Le 5 novembre 2001, le
Tribunal fédéral admettait le recours
déposé par le secrétaire
général de V&J dans la procédure
pénale concernant l'affaire des brochures
révisionnistes éditées par V&J
(Arrêt 1P.636/2001). Ce recours attaquait un
arrêt du Tribunal cantonal fribourgeois qui voulait
imposer un pseudo-défenseur au prévenu. Par
conséquent, un nouveau défenseur a dû
être désigné. Le 7 novembre 2001, le
Ministère public du canton de Thurgovie rendait un
non-lieu en faveur de Bernhard Schaub, co-inculpé
dans la même affaire. En l'occurrence, la Justice
thurgovienne agissait là sur requête de la
Justice fribourgeoise, Bernhard Schaub ayant
contribué au Contre-Rapport Bergier,
édité par V&J. Le 13 novembre 2001, le
tribunal civil de la Veveyse, sur requête de
mesures provisionnelles urgentes déposées
par le Ministère public du canton de Fribourg,
ordonnait le blocage du compte postal de V&J, de
même que les comptes privés du
secrétaire général de V&J, en
vue de la dissolution de V&J et de la
dévolution de sa fortune à l'Etat de
Fribourg. Par conséquent, les montants
crédités sur le compte postal de V&J
depuis le 15 novembre 2001 sont bloqués et seront
dévolus à l'Etat de Fribourg dès que
la requête du Ministère public sera
confirmée par un jugement définitif. La
somme bloquée ne devrait pas dépasser huit
cents francs. C'est dire la modestie de la " fortune " de
V&J. Mais cette modestie signifie que chaque centime
compte, car V&J n'a rien à voir avec ces
associations bidons, largement subventionnées par
les pouvoirs publics, autrement dit le contribuable, dont
le seul but est d'offrir aux " petits copains " des
sinécures dorées sur tranche. Pour la
Justice, la défense des révisionnistes ne
devrait être que purement formelle, histoire de
montrer que les droits de la défense sont
respectés. Mais que ces mêmes
révisionnistes s'avisent de se défendre sur
le fond avec un certain succès, voilà qui
dépasse les bornes du politiquement correct !
D'où le coup de pied de l'Anne Colliard, la
pimpante représentante du Ministère public
fribourgeois ! Tout d'abord, celui-ci est bien
obligé d'admettre que les statuts de l'Association
sont parfaitement licites. Mais ce sont les
activités de V&J qui tomberaient sous le coup
de la loi. Il est reproché à V&J
certains écrits : mais ces textes n'engagent que
leurs auteurs. De même pour l'organisation d'une
conférence à Beyrouth : mais cette
conférence n'a finalement pas eu lieu, et le Liban
n'est pas une colonie du canton de Fribourg ! Autre motif
invoqué : la Suisse s'est engagée à
appliquer certains traités internationaux, comme
la Convention internationale contre le racisme du 21
décembre 1965, qui condamne les organisations qui
prétendraient justifier ou encourager la haine ou
la discrimination raciale. Le droit international primant
le droit national, V&J ne saurait se prévaloir
du droit à la liberté d'association ou
d'expression. Par ailleurs, s'il y a conflit entre deux
droits fondamentaux garantis par la Constitution
fédérale, le droit à la
dignité humaine prime sur les autres droits
fondamentaux. Ainsi, chaque fois qu'un justiciable se
réclamera d'un droit fondamental pour une
requête indésirable, on lui opposera le "
Joker " de la " dignité humaine " ! Le Conseil
fédéral, qui est l'auteur de cet attentat
à l'esprit de la Constitution
fédérale, se garde bien de définir
ce qu'est la dignité humaine : c'est que les
libertés d'opinion, d'expression, d'association,
ainsi que le droit supérieur du public
d'être informé, font intrinsèquement
partie de la dignité humaine, et que la
liberté d'expression, en particulier,
résume et garantit toutes les autres, à
l'exemple du Premier Amendement de la Constitution
américaine. L'argumentation liberticide du
Ministère public fribourgeois est insoutenable sur
le plan logique, éthique et juridique. Tout
justiciable a le droit de se défendre, donc de
s'exprimer. En voulant interdire V&J, le
Ministère public veut priver les
révisionnistes du droit de s'exprimer, donc du
droit de se défendre. L'abus d'autorité est
flagrant et tombe de lui-même sous le coup de la
loi !
Appel à
témoin
Dans un arrêt daté du 16 octobre 2001
(Arrêt 6S.399/2001), le Tribunal
fédéral a confirmé la peine de trois
mois de prison ferme infligée à
Gaston-Armand Amaudruz par la justice vaudoise pour "
incitation à la haine raciale ". Suprême
élégance de la Cour suprême, c'est
par hasard, en lisant la presse du 3 novembre 2001, que
l'intéressé a appris que son recours avait
été rejeté. Voulant savoir, suite
à " l'affaire Léon Reich " (voir notre
précédent bulletin) si la déposition
des témoins avait fait l'objet d'un
procès-verbal d'audience exhaustif, on nous
répondit qu'il fallait le demander au
préalable, ce qui n'avait pas été
fait. Une subtilité de la procédure que
personne ne connaissait : que voilà une
disposition fort commode pour couvrir de faux
témoins ! C'est pourquoi il est important que tous
ceux qui ont entendu à l'audience du procès
Amaudruz la déposition du témoin
Léon Reich en communiquent le récit
à l'intéressé (1). Des suites
pénales ne sont pas à exclure, car, selon
la doctrine et la jurisprudence, celui qui, omettant
consciemment certains éléments, donne une
fausse impression générale, est punissable
pour faux témoignage (Strafrechtskommetar
Trechsel, No 14 ad Art. 307 CPS).
(1)Gaston-Armand Amaudruz, Case Ville 2428
CH-1000 Lausanne
La conférence de Me Jacques
Vergès
Nul besoin de présenter le
plus célèbre des avocats
français. Invité à
Lausanne jeudi 29 novembre dernier pour parler du droit
pénal international, Me Vergès a fait salle
comble devant plus de 300 personnes. Me Vergès a
osé dire publiquement, pour répondre
à une question posée après son
exposé par V&J, que la loi Fabius-Gayssot
(équivalent français de l'article 261bis du
Code pénal suisse) était une loi
liberticide, réprimant la liberté
d'expression, par ailleurs réprouvée par
Simone Veil (déportée à Auschwitz et
ancienne présidente du Parlement européen).
Se croyant sans doute couvert par cette prestigieuse
caution casher, Me Vergès a encore
déclaré que certaines controverses relevant
de l'histoire de la Deuxième guerre mondiale
devaient faire l'objet de débats entre historiens.
En cas de litiges très pointus, la Justice fait
appel à des experts, ce qui n'est jamais le cas
dans les procès intentés aux
révisionnistes, qui, eux, n'ont droit qu'à
des témoins à charge. Pour finir, Me
Vergès s'est demandé pourquoi il fallait
appeler police-secours pour des questions qui ne sont
manifestement pas de la compétence de la Justice.
Me Vergès a sans doute trouvé la
réponse en lisant la presse des jours suivants :
la censure avait passé, nulle part on a
relaté la conférence de Me Vergès.
Me Vergès a parlé, Me Vergès a trop
parlé, Me Vergès n'existe plus
Robert
Faurisson:
un
holocauste imaginaire
peut
conduire
à un
véritable holocauste
Sans le mensonge du prétendu " Holocauste " et
des prétendues " chambres à gaz ", l'Etat
d'Israël n'existerait pas et la paix s'en porterait
mieux. Avec ce faux " Holocauste ", qui est devenu
l'épée et le bouclier de l'Etat
d'Israël, la paix est en danger. C'est ainsi qu'un
holocauste imaginaire, créé et entretenu
aussi bien par les sionistes d'Israël que par les
juifs de la Diaspora, peut conduire à un
véritable holocauste aux dimensions
planétaires.
Les juifs et les
Américains
En 1947-1948, se présentant comme les
survivants d'un prétendu génocide, les
juifs obtinrent, par le chantage et le terrorisme, le
droit de créer un Etat en terre de Palestine. Avec
aplomb, ils firent valoir auprès de la
communauté internationale qu'à une
tragédie sans précédent (leur
supposé " Holocauste ") il convenait d'apporter,
en compensation, un remède sans
précédent : la dévolution à
leur profit de terres appartenant à d'autres
populations. Puis, forts de cette donation exorbitante,
ils étendirent considérablement leur
domaine, à l'occasion de guerres chroniques, sans
tenir compte des restrictions que l'Organisation des
Nations Unies avait prévues en faveur des
Palestiniens, restrictions que les sionistes
s'étaient pourtant engagés à
respecter. En cinquante ans, avec l'aide de la Diaspora
juive, ils menèrent, aux dépens du peuple
palestinien, une politique de conquête coloniale et
d'apartheid. Ils violèrent l'une après
l'autre les conventions internationales en tenant pour
nulles et non avenues une soixantaine de
résolutions de l'ONU qui les contrariaient. Les
dirigeants politiques américains ont soutenu,
armé et défendu Israël aussi
chèrement que si cette entité avait
constitué le premier Etat des Etats-Unis
d'Amérique. Il faut dire qu'ils ne pouvaient se
permettre de défier leur lobby juif, lequel
contrôle et surveille de près tout le
personnel politique ainsi que tous les grands
médias du pays. Au demeurant, la plupart des
Américains, intoxiqués de propagande
holocaustique, ne sont que trop enclins à
retrouver dans les inventions de la névrose juive
leurs croyances en un monde fait de deux camps : celui
des bons (juifs et associés) et celui des
méchants (nazis et assimilés). Pour eux,
tout se juge à l'aune du nazi,
scélérat idéal, qui ne songe
qu'à tuer le pauvre juif, parangon d'innocence et
de bonté. Ce n'est pas pour rien que l'Holocaust
Memorial Museum dresse sa masse hideuse à
proximité du monument de George Washington, non
loin du Capitole.
Les Arabes et les
musulmans
Les juifs ont fini par lasser la patience du monde
arabe et musulman. Dans leur longue histoire, ils
s'étaient, au cours des siècles, rendus
indésirables chez tous les peuples d'Europe qui
les avaient accueillis en grand nombre, en particulier
chez les Anglais, les Français, les Espagnols et,
surtout, chez les Allemands et les Polonais. A ces
peuples, jusqu'à ces derniers temps, on faisait
volontiers la morale en leur donnant pour exemple de
tolérance (relative) le comportement
séculaire des Arabes à l'égard des
juifs. Or, voici que la leçon n'est plus possible.
Il n'y a plus d'exception arabe : même leurs
frères sémites maintenant s'insurgent
contre le peuple juif, " dominateur et sûr de lui
". Au sein de la communauté juive, il s'est bien
trouvé ça et là quelques esprits
clairvoyants comme Noam Chomsky et le défunt
Israel Shahak, l'auteur de Jewish History, Jewish
Religion, pour lancer des mises en garde aux
zélotes mais ils n'ont pas été
écoutés. Il est vrai que Chomsky et Shahak
ont toujours cautionné le grand mythe juif,
autorisant ainsi Israël à employer en toute
tranquillité d'esprit le meilleur de ses arguments
et l'arme No 1 de son arsenal : l'" Holocauste "
précisément. Les Arabes, les musulmans et
le peuple de Palestine tout entier sont les principales
victimes, aujourd'hui, de cette arme et de cet argument
forgés par le mensonge.
La nouvelle croisade
Le 11 septembre 2001, en particulier à New
York, les faibles ont frappé la citadelle des
forts. Le cur de la puissance
judéo-américaine, le district même de
Wall Street, où se fait et se défait le
sort de milliards de pauvres, a été atteint
de plein fouet par des " terroristes " assez courageux
pour sacrifier leur vie dans une entreprise suicidaire. A
New York, la première tour du " Centre du commerce
mondial " (tout un programme dans ce titre !) aurait pu
s'appeler " Hambourg " ou " Hiroshima " et la seconde, "
Dresde " ou " Nagasaki ". Mais leur destruction semble
n'avoir provoqué, selon diverses estimations, que
de trois à cinq mille morts, ce qui nous met bien
loin des prouesses destructrices de l'US Air Force et de
la Royal Air Force au début des années
quarante. Là-dessus, l'Amérique, une fois
de plus, est partie en croisade. Déjà, au
début de ces années quarante, le
général Eisenhower, qui, en
récompense, allait devenir après la guerre
président des Etats-Unis, avait lancé une "
Crusade in Europe ". Cette entreprise
militaro-industrielle allait se révéler
extrêmement fructueuse pour les Etats-Unis (" The
Best War Ever ") mais, pour les Européens, elle se
soldait par des millions de morts, par d'immenses
destructions et par la remise au Moloch
russo-soviétique d'une bonne partie du continent.
Cette " libération " de l'Europe s'accompagnait,
au surplus, d'une atroce épuration, de la
déportation meurtrière de douze à
quinze millions d'Allemands, d'éhontées
razzias, du démembrement de tout un grand pays,
d'une totale occupation militaire, du règne de la
censure et de l'instauration de tribunaux où les
vainqueurs, juges et parties, se permettaient de juger
les vaincus en de véritables mascarades
judiciaires. Encore aujourd'hui, en 2001, des
procès de ce type permettent aux enfants
d'Israël d'exercer leur vengeance, de
génération en génération. Il
n'est que de voir les actions intentées, plus de
cinquante ans après la guerre, contre des
octogénaires ou des nonagénaires,
accusés, sur de simples témoignages juifs,
de " crimes contre l'humanité ".
Les croisades
antérieures
En riposte aux attaques qu'elle a subies,
l'Amérique, cette fois-ci, va se faire " justice
sans limites " en massacrant des civils pour la
vingtième fois en soixante ans. De 1941 à
2001, pas un corps de bataille n'aura tué ou
brûlé plus de civils, plus d'enfants, plus
de nourrissons que l'armada aérienne
constituée tout ensemble par l'US Army, l'US Air
Force et l'US Navy, parfois accompagnées de leur
alliée, la RAF. Les champions du phosphore, du
napalm, de l'agent orange, de la bombe à
fragmentation, du feu nucléaire, de l'uranium
enrichi ou appauvri vont aujourd'hui infliger à
des pays misérables des leçons de droit, de
justice, de vertu et de " liberté immuable " comme
ils l'ont fait, jadis et naguère, à Berlin,
à Hambourg, à Dresde, dans toute l'Europe
(67 000 tués pour la " libération " de la
seule France), au Japon, en Corée, au Vietnam, en
Iran, en Irak, en Libye, au Soudan, en Ethiopie, en
Somalie, au Nicaragua, au Salvador, à la Grenade,
au Panama, en Yougoslavie et ailleurs. En l'espace de
soixante ans, les Américains, qui sont par
ailleurs les plus grands pollueurs industriels de la
terre, ont truffé le globe terrestre de milliards
de bombes, d'obus, de missiles et de mines, en
particulier de mines antipersonnel, si redoutables pour
les civils. Soucieuses - et c'est compréhensible -
d'épargner leurs propres soldats, les responsables
du Pentagone sont amenées à choisir, le
plus souvent, un mode de combat particulièrement
lâche. Larguant des bombes à haute altitude,
lançant des fusées à de longues
distances, semant la terreur dans les populations civiles
désarmées, elles recherchent depuis
quelques années " la guerre à zéro
mort ", ce qui, selon la formule du révisionniste
français Vincent Reynouard, revient en fait
à pratiquer une guerre où, d'un
côté, on a zéro mort au combat, ou
peu s'en faut, tandis que, de l'autre côté,
les morts comptent pour zéro. Installés sur
des porte-avions ou dans des bases militaires bien
éloignées du front, les boys, mastiquant
leur chewing-gum et absorbant cacahouètes et
boissons gazeuses, sèment la mort au loin dans le
plus grand confort.
Le véritable holocauste des
villes allemandes
Par comparaison avec le martyre des villes allemandes
il a été enviable le sort des fugitifs de
Manhattan juste après la destruction des deux
tours. Ces gens ont quitté les lieux du
désastre sans qu'on les mitraille. A la
différence des Allemands de 1942-1945,
affamés, épuisés par le manque de
sommeil, chaque jour accablés par l'annonce de la
mort des leurs en particulier sur le front russe, ils
n'ont pas été transformés en torches
vivantes ciblées par des chasseurs-bombardiers.
Les victimes, elles, du carpet bombing, s'enfuyaient les
vêtements et les cheveux en flammes. Elles se
jetaient à l'eau. Les flammes s'éteignaient
d'abord mais, dès que les malheureux sortaient de
l'eau, elles reprenaient. Ainsi le voulait le phosphore.
Les derniers survivants expiraient la peau du palais
cloquée par la chaleur de l'air ambiant. Quant aux
pompiers et aux secouristes, ils mouraient sous l'effet
des bombes à retardement.
Les vaines leçons du
passé
En ce septembre noir, le peuple américain a pu
se faire une idée, une faible idée à
vrai dire, de ce qu'il a infligé à tant de
peuples durant tant d'années. Au Vietnam, il avait
connu une humiliante défaite au terme d'une guerre
qui lui avait valu le retour de 56 000 bodybags. Il
semblait avoir tiré quelques leçons sur ce
qu'il en coûte de mépriser les petits, les
faibles et les pauvres. La France et la Grande-Bretagne
avaient, de leur côté, connu des
humiliations identiques avec la dislocation de leurs
empires coloniaux et paraissaient, elles aussi, en avoir
retenu quelques enseignements. Or, voici que les
Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la France, pris de
frénésie guerrière, oublient les
leçons de leur plus récente histoire.
Le terrorisme magnifié par
ceux qui s'en plaignent
Il est cocasse de voir les puissants dénoncer
le terrorisme de leurs adversaires. Non seulement ces
puissants ont inventé le terrorisme à
grande échelle mais ils l'ont même
préconisé, loué et sublimé
sous le terme de " résistance ". Roosevelt,
Churchill, de Gaulle, Tito et leu ami Staline ont,
à des degrés divers, organisé une
politique d'assassinat, par leurs francs-tireurs, de
soldats et de civils ennemis. Ils ont froidement
provoqué des représailles, conformes,
elles, aux dispositions des conventions internationales,
pour que le crime nourrisse le crime. Ils ont, au XXe
siècle, institutionnalisé la guerre de
l'ombre, la guerre des lâches. Certes, l'esprit de
résistance est une vertu mais non sous cette
forme-là. Et que dire du terrorisme des fondateurs
de l'Etat sioniste assassinant, par exemple, Lord Moyne,
le comte Folke Bernadotte et tant d'autres ? Une
modèle, paraît-il, de combat pour une juste
cause.
Au bonheur des juifs
En bail emphytéotique, les deux tours
commerciales de New York (" Jew York ") appartenaient
à Larry Silverstein qui, n'en doutons pas,
percevra de grasses " réparations ". Sa
coreligionnaire Madeleine Albright, fille d'un voleur
juif du nom de Korbel, avait, en 1996, estimé que,
si la politique américaine à l'égard
de l'Irak avait entraîné la mort de 500 000
(?) enfants irakiens, cela en avait " valu la peine " ("
The price (
) was worth it "). L'Israélien
Netanyaou, lui, n'a pu dissimuler sa joie en apprenant la
destruction des tours et la mort de milliers
d'Américains : la nouvelle était bonne pour
les juifs car l'Amérique comprendrait ainsi que
ses intérêts et ceux des Israéliens
étaient identiques. Quant à Sharon, le
boucher et le bouteur de feu, il y voyait, avec l'accord
de Shimon Peres, une occasion propice aussi bien à
sa politique de création de colonies juives dans
la fourmilière arabe qu'à son programme
d'assassinats systématiques. Pour l'instant, les
Etats-Unis lui permettent encore de tuer
pêle-mêle des adultes et des enfants
palestiniens avec des balles, des obus, des missiles, des
chars, des hélicoptères et des avions
payés par le contribuable américain.
Le prochain malheur des
juifs
Américains et Israéliens ont tout loisir
de continuer ce jeu. Mais il pourrait leur en
coûter. Car l'Etat d'Israël va
désormais à sa perte. Il ne durera pas
même ce qu'a duré
l'éphémère royaume chrétien
de Jérusalem. Il n'est pas besoin d'un Ben Laden
ou d'un nouveau Saladin. Ni armes, ni argent, ni les
Etats-Unis, ni les juifs de la Diaspora, ni l'Allemagne
qui, en proie à son néo-masochisme, serait
capable de sacrifier ses soldats pour la survie de
l'Etat-sangsue, n'empêcheront " la Descente ". (Les
Hébreux appellent ainsi le mouvement contraire
à celui de " la Montée " en Terre promise).
Déjà ils quittent le vaisseau. A Tel Aviv,
à Jérusalem et dans leurs colonies de
peuplement, pères et mères de familles
juives s'alarment pour leur propre vie, pour celle de
leurs enfants, pour leur avenir professionnel ou leur
business. La lourdeur des impôts nécessaires
au budget de l'armée israélienne ainsi que
la longueur et les dangers du service militaire, pour les
hommes comme pour les femmes, font que se
raréfient, par le phénomène de
rémigration, le nombre des contribuables et des
mobilisables. La Terre promise devient pour les juifs
l'endroit le plus précaire du globe. Elle avait
été un havre de grâce pour les
escrocs et les voleurs, en particulier cette maffia
appelée " russe " alors qu'elle est
judéo-russe. Rarissimes avaient été
les extraditions autorisées par l'Etat
hébreu en direction des pays qui
réclamaient Flatto Sharon et ses émules.
Or, aujourd'hui, les tribunaux français constatent
que, dans la gigantesque " affaire du Sentier ", des
aigrefins partis se réfugier en Israël
préfèrent regagner la France, quitte
à y passer en jugement et à s'y voir
emprisonner. Là où devait couler le lait et
le miel coulent le sang et les larmes. A qui la faute
?
Entre la valise et le
cercueil
Le juif errant reprend donc sa route. A peu
près partout où il est passé, son
comportement a provoqué la révolte des
indigènes, qui l'ont finalement sommé de
choisir entre la valise et le cercueil. Aujourd'hui, en
Israël, il va lui falloir choisir la valise. Il
regagnera les pays riches qu'il a intoxiqué avec
sa propagande holocaustique. Il lui suffira alors de
crier au second " Holocauste " et à la
troisième Destruction du Temple. Il exigera
nouvelles réparations et nouveaux
privilèges. " Shoah Business " et " industrie de
l'holocauste " reprendront de plus belle mais, cette
fois-ci, avec des risques de saturation. Dans le cas d'un
scénario de catastrophe, on pourrait assister en
Israël à une guerre civile avec une sorte
d'OAS regroupant ses desperados. En définitive,
Tel Aviv pourrait connaître le sort d'Alger en 1962
et la Jérusalem juive, celui de Saïgon en
1975. mais une fin moins dramatique semble
également possible comme, par exemple, celle de
l'Allemagne communiste ou de l'empire soviétique.
En tout état de cause, l'épicentre du
conflit actuel se situe en Israël, et Israël
est perdu.
Les propagandes
guerrières
Le sort des Palestiniens de toute confession sera
tragique. Il provoquera de plus en plus de
désespoir et le fanatisme. Les masses des pays
arabo-musulmans aspirent déjà à
châtier l'Occident pour les crimes que, dans leur
esprit, celui-ci a commis ou laissé commettre en
Palestine (plus qu'en Arabie saoudite, en Irak ou en
Afghanistan). De leur côté aussi se
développe par réaction un esprit de
croisade ou de guerre sainte. Ayathoras et ayatholas se
suscitent les uns les autres. De part et d'autre, chez
les forts et les riches de l'Occident comme dans les
populations démunies du monde arabo-musulman, les
passions et les craintes s'exacerbent. On va beaucoup
tuer et beaucoup mentir. Le prodigieux mensonge du
prétendu " Holocauste " des juifs,
épée et bouclier d'Israël et de la
Diaspora, peut ainsi conduire à un holocauste bien
réel aux dimensions du globe. Les auteurs
révisionnistes, eux, avaient, depuis beau temps,
prévenu que la religion du faux " Holocauste "
avec ses " chambres à gaz " imaginaires et ses
prétendus " Six millions " contenait un redoutable
ferment de haine. Les événements actuels
font craindre que cette haine ne finisse par mettre le
feu au monde et ne provoque pour le coup un holocauste
planétaire.
La vigilance des
révisionnistes
Les révisionnistes suivront l'exemple de Paul
Rassinier, qui fut le premier d'entre eux.
Réfractaires à toute propagande
guerrière, ils viseront à l'exactitude
là où l'émotion nourrit, de part et
d'autre, le mensonge. Ils éviteront de colporter
les inventions de la propagande antiaméricaine,
antijuive ou antirarabe et, par exemple, à propos
du 11 septembre, ils devront nous épargner les
ragots, habituels en pareil cas, du type : " Bush savait
", " La CIA ne pouvait ignorer ", " Le FBI est dans le
coup ", " Le Mossad a tout fomenté ", " Quatre
mille juifs, qui auraient dû être à
leur travail ce jour-là, n'y étaient pas ",
" dans les deux tours on avait dissimulé des
charges explosives ", etc. La propagande arabe, plus que
jamais, orchestrera les mythes du juif saigneur d'enfant
ou empoisonneur de puits et invoquera le faux, pourtant
manifeste, que constituent Les Protocoles des Sages de
Sion. On peut s'attendre à bien d'autres rumeurs,
délires, psychoses et phénomènes de
croyance collective. Les Américains vont minimiser
le nombre des victimes de leurs bombardements et les
Afghans l'exagérer. Dieu ou Yahweh, d'un
côté, et Allah, de l'autre, seront mis
à contribution ainsi que leurs prophètes
pour attiser les haines et les peurs. On verra pulluler
faux témoins, faux reportages, fausses interviews,
faux documents. Peut-être Bush fils
surpassera-t-il, en ce domaine, Bush père avec son
histoire de couveuses débranchées par les
Irakiens au Koweit. On fabriquera d'autres accusations
pour fomenter d'autres guerres. La censure, bien entendu,
s'aggravera sans même que les gouvernements aient
besoin de légiférer en la
matière.
L'union sacrée des
puissants
En France, d'entrée de jeu, Le Monde, journal
oblique, a opéré sa soumission. Sous la
signature de son directeur, le courbe et moite Jean-Marie
Colombani, il a lancé : " Nous sommes tous
Américains ". En un tournemain, la France s'est
retrouvée en état de guerre. Elle en a
l'habitude. Son gouvernement actuel est de gauche. Une
tradition chère à la gauche qui, comme
chacun le sait, a le monopole du cur et de
l'intelligence, est de plonger le pays dans la guerre
sans consultation préalable ni décision du
Parlement. C'est bafouer la Constitution, mais qu'importe
! Cela permet au Français de se coucher en paix et
de se réveiller en guerre. Pour être juste,
rappelons que le président de la
République, ancien communiste devenu gaulliste, se
sent encore plus guerrier et américain que son
premier ministre, chef d'une coalition
socialo-communiste. Une sorte d'union sacrée s'est
forgée contre le pelé, le galeux
d'où venait tout le mal : Oussama Ben Laden,
puisqu'il faut l'appeler par son nom. Autrefois, il se
nommait Adolf Hitler. Ce dernier n'avait-il pas commis un
crime inexpiable en touchant à l'or, aux juifs et
au communisme ? Il avait poussé l'audace
jusqu'à refuser l'étalon-or. Il s'en
était si bien porté que son nouveau
système économique lui avait permis de
multiples échanges avec des pays également
pauvres en or, notamment l'Italie, le Japon ainsi que des
nations d'Europe centrale et d'Amérique latine. La
panique avait saisi la Grande-Bretagne, la France et les
Etats-Unis : l'Allemagne chassait sur leurs terres et
leur prenait des marchés. Les riches (en or)
n'apprécient jamais la révolte, la
coalition et la réussite des pauvres (en or). A la
fin des années trente, les trois riches, qui se
disaient liés par un même système
démocratique, étaient surtout
enchaînés les uns aux autres par une
chaîne d'or. Après la guerre, en 1947, L.
Genet et Victor-L. Tapié pouvaient, dans leur
Précis d'histoire contemporaine, 1919-1939 (Hatier
éditeur), reproduire la citation suivante : " Ce
n'est donc pas un lien idéologique mais une
chaîne d'or qui lie entre elles les grandes
démocraties " (page 206) avant d'ajouter : " Six
ans d'autarcie ont fait de l'Allemagne le plus grand pays
industriel du monde " (page 29). Plus que d'autres
encore, les financiers juifs avaient ressenti l'offense :
comment cela, on pouvait se passer d'eux et de leur or ?!
Quant à la Russie communiste, elle voyait Hitler
réaliser dans les faits le programme social auquel
elle aspirait. Le téméraire dictateur
allait payer cher ses audaces, et cela d'autant plus
qu'avec l'inconscience du joueur à qui tout semble
réussir il cherchait à forcer la chance en
d'autres domaines. Survint alors la catastrophe, pour
l'Europe et l'Asie, de la Seconde guerre mondiale.
Actuellement, la nouvelle union sacrée des
démocraties occidentales et de la Russie contre le
nouveau trouble-fête augure mal de l'avenir. Sous
les dehors habituels de la
générosité et du
désintéressement, les Etats-Unis vont se
montrer féroces à l'égard des masses
arabo-musulmanes qui mettraient en péril à
la fois les ressources de l'Oncle Sam en matières
premières, son commerce mondial (le World Trade)
et son économie. Invoquant leur cher " Holocauste
" et la nécessité d'éviter un second
" Holocauste ", les juifs ne seront pas moins
féroces à l'égard des Palestiniens.
Les Russes, eux, écraseront toute
velléité d'indépendance de leurs
minorités musulmanes : moyennant quoi, ils tendent
déjà la sébile aux
Américains.
La seule chance de la
paix
La seule chance de la paix réside dans l'esprit
de résistance aux mensonges des diverses
propagandes. Or, pour l'heure, la plus dangereuse de ces
propagandes n'est pas celle des pauvres. Elle est celle
des riches, des puissants et de leurs serfs, tous
capables, s'ils se croient réellement
menacés, de mettre le feu au monde. Elle est celle
des névrosés du faux " Holocauste ". Elle
est celle des juifs, des Américains et de leurs
obligés. Si les révisionnistes avaient
été entendus, la religion du faux "
Holocauste " des juifs aujourd'hui n'aurait plus cours.
Elle n'alimenterait pas la sympathie d'une grande partie
du monde occidental pour l'entreprise sioniste. La
Diaspora ferait montre de moins d'arrogance. Pour
commencer, l'Etat d'Israël n'existerait pas. Le
mensonge historique nourrit tout à la fois la
haine, l'esprit de croisade et la guerre. Le retour
à l'exactitude historique favorise la
réflexion et la paix.
Attention de ne plus rien verser sur le compte postal
Bulletin
dinformation
de
l´Association
Vérité
et
Justice,
CP 355, 1618, Châtel-Saint-Denis, Suisse,
Rédacteur : René-Louis
Berclaz
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En
Suisse: la "Judéocratie"
remplacera-t-elle la
démocratie?
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