Chacun
a entendu parler, une fois ou l'autre, des
mésaventures incroyables mais authentiques du
vrai gogo victime du faux marabout.
Appâté par la perspective de
réaliser un gain fabuleux, notre gogo remet
quelques grosses coupures à notre marabout, ce
dernier lui faisant croire qu'il va refaire à
son profit le coup de la multiplication des pains ! En
fait, le miracle survient quand le marabout trouve un
pigeon à la fois assez crédule pour le
croire et assez fortuné pour se faire plumer.
Dans ce genre d'affaires, il est vrai que la victime,
pas fière de l'être, avoue plus
difficilement que l'astucieux arnaqueur. Avec
l'industrie de l'" Holocauste ", il est même
interdit de dire que c'est une arnaque, puisque de
tels aveux porteraient à coup sûr
atteinte à la dignité humaine de nos
oiseaux
Hors les pays rançonnés
grâce aux lois-muselières, l'accueil fait
aux victimes des rançonneurs - précisons
bien, les victimes des rançonneurs -, est
à peu près le même que celui
réservé à notre gogo : la
surprise affichée dans un premier temps
s'accompagne de la compassion réservée
aux " pigeons ", compassion d'autant plus feinte et
narquoise que les pigeons en question se sont
longtemps prévalus d'une prétendue
supériorité intellectuelle face à
la " crédulité " native des peuples
extra-européens. Aujourd'hui, ces mêmes
peuples n'en reviennent pas d'apprendre comment
l'industrie de l'" Holocauste " arrive à
rançonner des européens, esprits " forts
" par nature, sur la seule foi des histoires
invraisemblables racontées par les survivants
de l'" Holocauste ". La méprise est explicable
: les extra-européens voient toujours dans
notre continent et en France en particulier le berceau
des admirables " Droits de l'Homme ", autrement dit
une terre promise où chacun est libre de penser
et de croire ce qu'il veut, et où les
sacro-saintes libertés d'opinion et
d'expression s'affichent en lettres d'or dans la
magique Déclaration européenne des
Droits de l'Homme. C'est pourquoi il devient urgent
d'expliquer au reste du monde pourquoi ces fameux "
droâd'lommes " ne sont que des droits de
pacotille, bons à servir d'écrans de
fumée derrière lesquels agit une
répression sournoise dirigée contre ceux
qui dénoncent les effets pervers des
lois-muselières européennes. Disons-le
inlassablement, de telles lois servent en fait
d'instruments d'asservissement et de dressage, avec
pour objectif de créer une
société sans patrie, sans religion et
sans famille, afin de transformer l'homme libre en
esclave.
Quelles
nouvelles de Jürgen Graf
?
(suite)
Contrairement à
ce que certains journaux ont annoncé,
Jürgen Graf est toujours à
Téhéran, ville où il
séjourne depuis le 17 novembre 2000. Le
président de V&J profite pleinement de la
liberté dans un pays qui aurait bien des
leçons à nous donner ; par exemple,
comment l'Iran combat courageusement et malgré
de lourdes pertes de redoutables trafiquants de
drogue, un trafic organisé et
contrôlé à l'échelle
mondiale par le Mossad (source : Victor Ostrovsky,
Mossad, un agent des services secrets
israéliens parle, Presses de la Cité,
1990). Autre exemple, le Teheran Times, le grand
quotidien iranien de langue anglaise, publie
actuellement une importante série de seize
articles sous un édifiant titre-choc : Une
conspiration sioniste : le Mensonge d'Auschwitz. Par
ailleurs, en sa qualité de président de
notre Association, Jürgen Graf collabore
activement à l'organisation de la
conférence sur le sionisme et le
révisionnisme. Grâce à Internet,
Jürgen Graf reste en contact avec ses nombreux
amis et correspondants du monde entier. Les membres de
V&J peuvent lui adresser des messages à
l'adresse Internet suivante :
E-mail :
d_gerald50@hotmail.com
Coup de vent sur Internet
Suite au
rachat du serveur qui les hébergeait, deux des
principaux sites révisionnistes francophones,
Radio-Islam (90 000 visites par jour) et Aaargh (7 000
visites par jour), ont été fermés
sans préavis. En cas de fermeture subite ou de
changement d'adresse, les internautes peuvent
retrouver les sites perdus en cherchant sur le site
www.google.com (tapez les mots-clés du site
recherché et allez dans la fonction
cache).
La
Suisse et les fonds juifs en
déshérence
L'affaire des fonds
juifs en déshérence a marqué la
fin d'une époque. Neutre depuis le
Congrès de Vienne (1815), la Suisse fut
brutalement confrontée à une forme de
conflit pour laquelle elle n'était nullement
préparée. Toujours en retard d'une
guerre, les stratèges de service en
étaient toujours à compter les boutons
de guêtre pendant que l'ennemi entrait dans le
fromage comme dans du beurre ! Celui qui
détient la puissance financière
détient en même temps l'arme
médiatique, capable d'asservir sans
détruire. Prenons acte que notre pays a perdu
une bataille, mais qu'il n'a pas encore perdu la
guerre. A une force médiatique toute-puissante,
visant la corruption des élites et la
soumission du peuple aux intérêts d'un
lobby avide et prédateur, doit répondre
une force d'une autre nature, fondée sur le
principe d'une liberté d'expression au service
de la vérité et de la justice. C'est
pourquoi V&J a décidé de publier,
à travers une chronologie serrée allant
des années trente à nos jours,
l'histoire de ces événements qui
ébranlèrent notre pays.
René-Louis
Berclaz, La Suisse et les Fonds juifs en
déshérence,
Vérité
et Justice, février 2001, A5, 32 pages.
Disponible dès maintenant au prix de dix francs
suisses (franco de port).
Une
armée mercenaire
Suite à
l'annonce par l'Union européenne de la
création d'une force d'intervention rapide, il
devient évident que cet organisme
internationaliste est en train de reformer un pacte de
Varsovie à l'envers. En effet, l'étoile
jaune chassant l'étoile rouge, il y a tout
à craindre que cette armée de
mercenaires, au droit d'ingérence reconnu,
vienne menacer l'intégrité des pays
européens, surtout les petits, qui ne
voudraient pas danser sur la musique
capitalo-mondialiste, celle-ci étant, comme de
bien entendu, composée à Washington. Le
principe de réciprocité en cas d'envoi
de troupes en armes à l'étranger par
notre pays permettrait à cette légion
euro-impérialiste l'envahissement du territoire
suisse au cas où notre pays viendrait à
se rebeller face à un quelconque diktat
bruxellois. L'exemple de la crise entre l'Union
européenne et l'Autriche ne serait alors qu'un
premier ballon d'essai. Après le rideau de fer,
c'est bien une chape de plomb qui va menacer tous ceux
qui auraient l'idée de contrer ce nouvel ordre.
On en veut pour preuve les chiens de garde de la
pensée mondialiste qui sévissent
déjà en Suisse, comme chacun a pu le
constater à travers les procès
concernant l'article 261bis du Code pénal,
autrement dit la loi-muselière. Quant à
la très suspecte obsession de certains
politiciens à nous faire entrer dans cette
tragique sarabande, cela nous prouve bien que le monde
politique suisse est sous influence et qu'il n'est
plus en mesure de défendre les
intérêts du peuple suisse.
Philippe
Brennenstuhl, vice-président
de V&J
La
Justice en question
Les procès
iniques liés aux lois-muselières
(article 261bis du Code pénal) ne sont
visiblement que la partie visible de l'iceberg.
Après Franz Weber il y a une dizaine
d'années, un justiciable de Saint-Prex, Gerhard
Ulrich, s'est lancé dans une croisade contre la
justice vaudoise. Ce citoyen a pris l'initiative de
s'adresser directement à la population en
diffusant par milliers des tracts sur la Côte
vaudoise. L'appel a visiblement été
entendu, puisque de nombreux citoyens
mécontents de la justice vaudoise se sont
manifestés. Les médias ayant en principe
pour vocation de relater objectivement les faits,
d'autant plus si ces faits révèlent de
graves défaillances dans le fonctionnement de
nos institutions judiciaires, il était fort
instructif de voir comment nos journaux allaient
emballer la salade. Dans un premier temps, la presse a
largement mentionné l'existence de ce nouveau
mouvement citoyen, l'accent étant toutefois mis
sur la personnalité de son principal animateur
plutôt que sur les cas soulevés, certains
d'une révoltante injustice. Lundi 15 janvier
2001, Gerhard Ulrich conviait les médias
à une conférence de presse afin de
présenter concrètement des cas de
justiciables victimes de graves dénis de
justice. A part le journaliste d'une radio locale,
aucun représentant des médias n'a
daigné paraître. La presse n'avait
manifestement pas envie de relater des faits
susceptibles de mettre en cause
l'intégrité de certains magistrats
vaudois. La même semaine, cette même
presse annonçait de manière
ultra-confidentielle l'enterrement de première
classe réservé par la justice vaudoise
à l'affaire du garage Ramuz-Edelweiss.
Rappelons que cette grave affaire de corruption ayant
entraîné mort d'hommes implique plusieurs
notables, dont le procureur général du
canton de Vaud, Jean-Marc Schwenter. A cette occasion,
le grand quotidien 24 Heures s'est contenté
pour annoncer la nouvelle de reprendre sans
commentaire le plus que laconique communiqué de
l'Agence télégraphique suisse. Tout
commentaire est effectivement
superflu
Les
80 ans
|de
Gaston-Armand Amaudruz
Dimanche 17
décembre 2000, le Cercle Avalon de Berne
conviait les amis de Gaston-Armand Amaudruz à
célébrer son huitantième
anniversaire. Près d'une centaine de convives
se sont retrouvés pour participer à la
fête, qui coïncidait avec celle du Solstice
d'hiver. Un hommage chaleureux et appuyé fut
rendu au directeur du Courrier du Continent par
l'assemblée unanime. Longue vie, santé
et succès à notre exemplaire et
courageux ami !
La
Conférence internationale de
Vérité & Justice
Diverses circonstances
indépendantes de notre volonté font que
la conférence internationale que nous
organisons est une nouvelle fois remise à une
date ultérieure. Celle-ci aura finalement lieu
du 31 mars au 3 avril 2001, à Beyrouth (Liban).
Environ vingt-cinq orateurs sont attendus des cinq
continents. Ceux qui voudraient assister à
cette conférence sont les bienvenus et doivent
s'adresser sans tarder à V&J. Passeport et
visa peuvent être nécessaires pour le
Liban. Pour des renseignements
détaillés, périodiquement remis
à jour, consultez le site internet de notre
partenaire, l'Institute for Historical Review
: