On
se souvient que dans l'affaire du Rapport Rudolf,
jugée en première instance en septembre
1998, le président du tribunal du district de la
Veveyse accorda à la LICRA, " partie civile ", le
droit de plaider à l'audience. Or, si guillemets
il y a, c'est que la LICRA avait renoncé avant
l'audience à se constituer partie civile, tout
simplement parce qu'elle avait réalisé que
le code de procédure pénale fribourgeois ne
l'y autorisait pas. Pourtant, Me Nordmann, en
qualité de président de la LICRA, se
trouvait bel et bien à l'emplacement
réservé aux parties civiles en compagnie de
l'avocat de la LICRA, Me Morisod. Je provoquai
aussitôt un incident de procédure en
demandant au président du tribunal en vertu de
quel droit les deux compères se trouvaient
là. Après une suspension d'audience, le
président L'Homme vint expliquer, qu'en vertu du
nouveau code de procédure pénale, Me
Nordmann et Me Morisod étaient autorisés
à plaider en qualité de parties
pénales
Or, si le nouveau code de
procédure pénale prévoit bien cette
qualité, ce code n'entra en vigueur qu'au premier
janvier 1999, raison pour laquelle le jugement rendu en
première instance fut cassé par le tribunal
cantonal fribourgeois. Le président L'Homme avait
sciemment violé la loi pour complaire à la
toute-puissante LICRA. Je fus finalement acquitté
pour la diffusion du Rapport Rudolf, n'en étant
pas l'auteur (mais condamné pour d'autres
écrits de ma main). Or, me voilà à
nouveau inculpé du délit de "
discrimination raciale " pour avoir diffusé deux
brochures, Le Contre-Rapport Bergier et Le Procès
Amaudruz, quand bien même le Tribunal
fédéral avait confirmé mon
acquittement pour avoir diffusé le Rapport Rudolf,
ceci conformément à l'article 27 CPS qui
limite expressément la responsabilité
pénale d'un écrit diffusé
publiquement au seul auteur ! Mais Ubu justicier ne
s'encombre plus de rien quand il s'agit de
réprimer le révisionnisme. Ainsi, le
professeur Faurisson, poursuivi comme auteur pour avoir
contribué au Procès Amaudruz, s'est vu
condamné à un mois de prison sans sursis
par le juge Favre, en vertu d'une ordonnance de
condamnation envoyée par courrier postal
directement à son domicile en France, alors que la
procédure veut qu'une condamnation ne peut
être notifiée à l'étranger que
par la voie diplomatique. Mieux encore : je viens de
recevoir une sommation pour payer des frais de justice,
pour la nouvelle affaire de diffusion des deux brochures,
alors que cette affaire n'a pas encore été
jugée. Là encore, la justice viole
impunément le principe intangible en droit de la
présomption d'innocence. Une des raisons
d'être de V&J est justement d'inventorier les
cas de discriminations judiciaires dont sont victimes les
révisionnistes : les exemples mentionnés
plus haut ne sont qu'un faible aperçu de la
dérive totalitaire de notre " Etat de droit ", car
V&J croule sous les dossiers que l'on nous envoie de
partout, tous plus ubuesques les uns que les autres.
Certes, la vocation de V&J consiste à venir en
aide aux victimes de ces persécutions : mais
précisons une nouvelle fois que V&J ne peut
pas se substituer à un avocat et n'a pas
qualité pour agir devant les tribunaux ; la
tâche de V&J consiste à agir sur le plan
politique et médiatique, en particulier à
travers les articles de presse que nous arrivons à
susciter. Ainsi, à plusieurs reprises ces derniers
mois, la presse a parlé de la répression du
révisionnisme, dont une fois en exposant de
manière objective les arguments
révisionnistes (La Gruyère du 4 août
2001). Le moment venu, V&J publiera une
synthèse de tous ces dysfonctionnements
judiciaires, pour dire le moins, car il serait faux de
croire que la Justice n'est inéquitable qu'envers
les seuls révisionnistes : chaque justiciable est
concerné, et si V&J polarise l'attention des
médias, c'est parce que son action est
particulièrement gênante pour les mafieux
qui nous gouvernent. Précision très
importante, l'Association en soi, ni ses membres, ne sont
concernés par les poursuites pénales en
cours, car ses statuts ont été
rédigés de telles sortes qu'ils excluent
d'emblée toute responsabilité,
pénale ou civile, des membres ou sympathisants de
V&J : seul le Comité de V&J est civilement
et pénalement responsable. C'est pourquoi V&J
ne faisant pas l'objet d'une mesure d'interdiction, peut
poursuivre ses activités en toute
légalité. Le Comité remercie tous
ceux qui ont manifesté, d'une manière ou
d'une autre, leur soutien à V&J. Ce soutien
est indispensable pour que V&J puisse continuer son
combat, qui concerne en fin de compte chaque citoyen de
ce pays. La volonté de criminaliser les
défenseurs des libertés d'opinion et
d'expression, pourtant garanties par notre Constitution
fédérale, en dit long sur les
méthodes de ceux qui s'appuient sur la
répression pour maintenir un régime
d'omerta. Or, s'exprimer sur un sujet
d'intérêt public est certes un droit, mais
c'est surtout un devoir, auquel V&J ne faillira
pas.
Robert
Faurisson:
La
chasse aux révisionnistes
Aujourd'hui même,
Serge Thion passe en jugement à Paris tandis que
Vincent Reynouard est convoqué à Limoges
par une jugesse d'instruction. Pour moi, je reçois
de Michel Favre, juge d'instruction à Fribourg
(Suisse), une ordonnance pénale me signifiant une
condamnation à un mois de prison ferme pour un
article révisionniste. Cet article était
paru dans une brochure (Le Procès Amaudruz)
éditée en août 2000 par V&J. Les
trois responsables de l'Association font actuellement
l'objet d'une procédure judiciaire qui leur permet
d'être entendus.
Quant à moi, je
n'avais été avisé d'aucune
procédure contre ma personne. Le juge
d'instruction ne m'avait averti ni prévenu de
rien. Il ne m'a ni convoqué ni entendu. Il m'a, si
l'on peut dire,
condamné par correspondance. D'aucuns
s'étonneront du procédé. C'est
ignorer que, lorsqu'il s'agit de réprimer ceux qui
provoquent l'ire des organisations juives ou sionistes,
il n'y a ni foi, ni loi, ni droit. Sont payés pour
le savoir les personnes que ces organisations appellent
selon les cas, soit " négateurs de l'Holocauste ",
soit " criminels de guerre " ou " criminels contre
l'humanité ", soit encore " terroristes
palestiniens ". Le Talmud, Klarsfeld et Sharon dictent
leur loi.
Notre juge fribourgeois
me paraît mois Basile que les magistrats
français à la Simone Rozès, à
la Pierre Drai ou à la Françoise Simon qui,
eux, m'avertissent, me convoquent, font semblant de
m'entendre et me condamnent, quelque argument que je
puisse invoquer pour ma défense. Demain, par pli
RAR, j'informerai Michel Favre de ce que je ne fais pas
opposition à son ordonnance ; je me tiens à
la disposition du canton de Fribourg en vue de purger ma
peine. Si j'avais la candeur de faire opposition et de
comparaître devant un tribunal suisse, je serais
traité comme l'ont été avant moi des
révisionnistes suisses : d'abord, je me verrais
signifier que toute défense de nature
révisionniste constitue une récidive ; puis
mon avocat ne pourrait user que d'arguties juridiques et
plaider les circonstances atténuantes ; enfin,
tout témoin sur le fond serait, sur
réquisition du ministère public,
immédiatement inculpé. Ma peine serait
alors de douze à quinze mois de prison et les
amendes et frais atteindraient des montants
considérables. Quant à faire valoir ma
qualité de Français, il n'y faut pas songer
: les autorités françaises, pour complaire
au Grand Sanhédrin, coopéreraient avec la
Suisse comme je les ai vues collaborer contre moi, dans
le cas Anne Frank, avec un tribunal néerlandais.
Au reste, je n'ai ni le temps, ni l'argent, ni plus la
santé pour ces marathons judiciaires voués
à l'échec.
En Suisse comme en France
et en bien d'autres pays du monde, les organisations
juives ont obtenu par pressions continues le vote de lois
spéciales qui permettent de poursuivre ceux qui ne
croient pas à l'histoire casher de la seconde
guerre mondiale avec son génocide des Juifs et ses
chambres à gaz nazies ( à ne pas confondre
avec les fours crématoires dont personne ne
conteste l'existence ainsi que l'utilité dans des
camps ravagés par les épidémies). En
France, la loi Fabius-Gayssot du 13 juillet 1990
prévoit contre les sceptiques (le simple doute
constitue un délit) une peine d'un mois à
un an de prison, une amende de 2 000 à 300 000
francs et d'autres peines encore. En Suisse, une loi
identique sévit depuis 1995. Bien entendu, ces
lois sont impudemment qualifiées d'antiracistes
par leurs auteurs et leurs exécutants.
Il me faut bien ici
préciser pour l'information du lecteur qu'à
l'instar de mes autres articles révisionnistes
celui qui me vaut aujourd'hui condamnation s'inspirait de
la phrase de soixante mots que j'avais prononcées
en décembre 1980 à la station de radio
Europe I devant Ivan Levaï : " Les prétendues
chambres à gaz hitlériennes et le
prétendu génocide des juifs forment un seul
et même mensonges historique qui a permis une
gigantesque escroquerie politico-financière, dont
les principaux bénéficiaires sont l'Etat
d'Israël et le sionisme international et dont les
principales victimes sont le peuple allemand - MAIS NON
PAS SES DIRIGEANTS - et le peuple palestinien tout entier
".
En son jargon, au pays
des " Suisses glacieux " (Céline), notre juge dit
" d'instruction " prononce que, selon lui, dans mon cas,
" un pronostic favorable ne peut être posé
". Il veut dire qu'on ne peut, de ma part, attendre ni
repentir, ni repentance. Que voilà un juge
clairvoyant ! Il doit savoir que dix agressions physiques
et un flot de condamnations judiciaires, des
saisies-assignations et une récente perquisition,
une interdiction professionnelle, des flots d'ignominies
déversées par la presse nationale ou
internationale (en particulier, par Le Monde, journal
oblique) n'ont eu pour effet que de me renforcer dans ma
détermination, et cela d'autant plus que, sur le
plan de l'argumentation scientifique, nous en sommes
toujours à la situation du 21 février 1979
où, précisément dans ce journal, une
" déclaration d'historiens " revenait à
dire qu'on était incapable de me répondre
sur le sujet des chambres à gaz nazies.
Jusqu'en prison je
poursuivrai mon Intifada
révisionniste.
NB:
A Lyon, les organisations juives mènent contre les
universités Lyon II et Lyon III,
soupçonnées de révisionnisme, une
campagne si virulente que, les uns après les
autres, les responsables de ces universités sont
devenus des chiens couchants et offrent le spectacle de
la plus déshonorante soumission. Par exemple,
Jean Plantin est convoqué par le
président de l'Université Lyon III à
venir se présenter de nouveau devant le jury qui,
il y a onze ans, lui avait décerné la
mention Très Bien pour un mémoire de
maîtrise sur Paul Rassinier. Les
organisations juives et ceux qui les suivent exigent
l'annulation de ce mémoire et de cette
maîtrise. Le président n'invoque, pour agir
ainsi, ni loi, ni règlement, ni disposition
administrative. On n'a rien inventé de mieux au
Royaume d'Absurdie.
Récemment,
Jean-Louis Berger a été exclu de
l'enseignement secondaire et Serge Thion du
CNRS.
Robert Faurisson : lettre
du 10 juillet 2001 à Michel Favre, juge
accusateur
Votre lettre du 26 juin
m'est parvenue ce samedi 7 juillet.
Vous n'aviez pas besoin
de souligner que le code procédure pénale
de votre canton vous autorise à me condamner, dans
le secret de votre cabinet, à un mois de prison
ferme. Je m'en doutais, figurez-vous !
Le scandale réside
précisément dans le fait qu'à l'aube
du XXIe siècle un canton suisse possède un
code de procédure pénale qui autorise un
juge improprement appelé " d'instruction "
à prononcer une condamnation sans instruction
préalable. J'entends le mot d'" instruction " au
sens qu'on lui accorde généralement
aujourd'hui dans les nations
civilisées.
Vous avez donc eu tout
loisir de condamner par correspondance un homme de
septante-deux ans à un mois de prison ferme sans
l'avoir vu ni entendu, sans lui avoir permis de
présenter sa défense, sans même vous
être d'abord assuré de son identité
et sans lui avoir demandé si l'écrit que
vous lui reprochez est bien de lui et a effectivement
été rédigé sous la forme
où celui-ci vous est parvenu. Arrivé au
point de décider si la condamnation allait
être assortie du sursis, vous avez doctement
écrit : " Un pronostic favorable ne peut pas
être posé, de telle sorte que la peine qui
sera prononcée ce jour ne saurait être
assortie du sursis ". Comprenez pourquoi, dans mon pli du
19 juin dernier, je vous avais dit : " Je tiendrai, si
c'est possible, à voir votre visage ". Je
souhaite, en effet, rencontrer face à face un
maître Jacques de canton qui, tout à la
fois, est un juge d'instruction, un procureur, un juge de
siège et un psychologue capable de lire dans
l'avenir au point de pronostiquer le comportement d'une
personne qu'il n'a jamais rencontrée de sa
vie.
Je vous fais compliment
de tant de qualités. En revanche, je ne saurais
vous faire compliment de la qualité de vos
informations sur mon compte, de votre maniement de la
langue, du peu de soin apporté à reproduire
quelques mots de votre serviteur et de votre manque
d'attention dans le relecture de votre propre prose. Pour
ne prendre que ces exemples, je suppose que, sous votre
plume, " suite romande " doit se lire " Suisse romande "
et que " se rencontre " signifie " se rend compte
".
Vous vous êtes mal
informé sur les condamnations que m'a values, en
France, mon hérésie révisionniste.
Je ne vais pas rectifier vos fautes, vos erreurs, ni
combler vos lacunes. Notez, en tout cas, que même
depuis l'institution dans mon pays, le 14 juillet 1990,
de la loi Fabius-Gayssot (alias Lex Faurissonia) jamais
un tribunal ne m'a condamné à une peine de
prison ferme. Peut-être parce qu'en France un
révisionniste a le droit d'expliquer à la
barre pourquoi il est révisionniste. Et là,
croyez-m'en, le révisionniste fait mouche. Il a
des arguments à profusion cependant que, par
l'effet d'un contraste qui manifestement frappe les
juges, la partie adverse est réduite à quia
et n'a pour tout recours que l'insulte. Voyez, à
ce propos, la pièce jointe, datée du 21
juin 2001, où l'on constate que des historiens
antirévisionnistes en sont réduits à
écrire au sujet des révisionnistes : "
Manipulant le mensonge à un degré
extrême, ils sont difficiles à
réfuter avec les arguments logiques ".
J'en viens au point le
plus contestable de votre lettre du 26 juin. Vous ne
craignez pas d'affirmer que le prévenu a le droit
d'être entendu ; ce droit, précisez-vous,
lui est " garanti par la possibilité qu'a celui-ci
de faire opposition et d'obtenir des débats
contradictoires devant le Juge de répression ". A
quoi je vous ferai observer que je ne suis plus un "
prévenu " mais un condamné. Mais, surtout,
il n'y a place devant vos tribunaux pour de quelconques "
débats contradictoires " dès lors que le
prévenu est un révisionniste. En pareil
cas, on bride le révisionniste et on
bâillonne ses témoins et même son
avocat. Si, devant un tribunal, ces derniers se risquent
à invoquer pour la défense du
prévenu un seul argument révisionniste, ils
sont immédiatement rappelés à
l'ordre par le représentant du ministère
public et, s'ils insistent, ils seront poursuivis en
conséquence. J'ai assisté dans votre pays
à l'immonde procès au terme duquel MM.
F?rster et Graf ont été respectivement
condamnés à douze mois et quinze mois de
prison ferme. Je parle donc
d'expérience.
Sortons de la
fumée de vos considérations
théoriques et revenons à la
réalité. En fait, vous m'offrez le choix
entre, d'une part, une condamnation à un mois de
prison ferme et le versement de 230 francs suisses pour "
frais de procédure " et, d'autre part, une peine,
en première instance, d'un minimum de douze
à quinze mois de prison ferme sans compter
d'inévitables dépenses en " frais de
procédure ", en amendes, en
dommages-intérêts, en frais d'avocats,
d'hôtel, de transport, et cela sans utilité
aucune puisque me serait dénié le droit
élémentaire de pleinement me faire
défendre sur le fond. Etonnez-vous que j'aie
choisi la première solution !
Le fier Helvète,
cédant à de formidables pressions
internationales, a voté une loi
antirévisionniste qui a pris effet en 1995. Au nom
de cette loi, on peut dans son pays contester tout point
de la longue préhistoire et histoire des hommes
sauf un point de l'histoire ou de la prétendue
histoire des années de notre ère qui vont
de 1941 (ou 1942 ?) à 1944 (ou 1945 ?). Pendant
des milliers d'années, l'humanité a
vécu des milliards d'événements ;
sur ces événements, on peut en principe,
dans nos démocraties, exprimer librement les
opinions les plus diverses, et cela qu'on se trouve
être un historien, un scientifique ou un simple
citoyen. Et puis, soudain, le holà est mis sur
l'histoire d'une poignée d'années ; c'est
l'embargo, le veto, le tabou. Armé de son glaive,
le juge se dresse. Fouquier-Tinville vient nous dire le
droit, la science et l'histoire. Et, s'il vous
plaît, pour l'éternité ! Prodigieux !
Pourquoi ce seul et unique point d'histoire tout à
fait contemporaine ? L'Helvète n'a pas même
le droit d'en douter (voyez le procès de
Gaston-Armand Amaudruz ; ce dernier, bien
qu'âgé de quatre-vingts ans, s'est vu
condamner, le 5 avril 2000, à douze mois de prison
ferme). Ledit Helvète peut affirmer - non sans
raison - que l'histoire de Guillaume Tell n'est qu'un
mythe cher à un groupe de population donnée
(la sienne en la circonstance !) mais il ne peut mettre
en doute un certain autre mythe cher à un groupe
international qui lui fait les poches. Merveilleux ! A ce
prodige, à cette merveille il existe une
explication d'une simplicité biblique mais,
saluons l'artiste, le juge - encore lui - nous fait
défendre de le dire.
Comme j'ai eu l'occasion
de l'écrire ailleurs, Voltaire, craignant la
lettre de cachet, s'était installé à
Ferney afin de pouvoir, d'un pas, trouver refuge en terre
genevoise. Les temps ont changé. Aujourd'hui, en
Suisse, on vous laisse le choix entre la simple lettre de
cachet et une parodie de procès public où
l'on menace aussi bien votre avocat que vos
témoins. Dans les deux cas, la prison vous attend
pour le plus grave des crimes : celui
d'hérésie en matière d'histoire
religieuse. Je dis bien " religieuse " puisque, comme l'a
admis, jusque dans la presse suisse, l'historien
antirévisionniste Jacques Baynac, ceux qui croient
aux chambres à gaz nazies ne disposent franchement
d'aucune preuve (Le Nouveau Quotidien de Lausanne dans
ses livraisons du 2 et 3 septembre 1996). Le
téméraire n'a pas été
poursuivi parce qu'il a eu la précaution de
clamer, en dépit de tout, sa foi en l'existence de
ces chambres. " Credo quia absurdum ! "
Bref, si je devais me
retrouver effectivement à la disposition de ce que
vous appelez votre " Service pénitentiaire ",
organe chargé de l'exécution des peines, je
ne manquerais pas de faire savoir via Internet ou par
d'autres moyens, que cet emprisonnement s'est fait
d'ordre de la Nouvelle Inquisition,
représentée, au pays qui a
brûlé Michel Servet, par le sieur Michel
Favre, juge accusateur.
Quand
le Conseil
fédéral
tient ses promesses
Les mauvaises langues
prétendent que le Conseil fédéral ne
tient que rarement ses promesses : c'est faux. Par son
ordonnance du 27 juin 2001, le Conseil
fédéral fait preuve d'une parfaite
diligence et prouve le contraire. Moins d'une
année et demi après avoir fait une
promesse, il la tient en appliquant l'article 7 de la
Convention internationale du 21 décembre 1965 sur
l'élimination de toutes les formes de
discrimination raciale. Selon cette ordonnance
fédérale, la Confédération
peut verser des subsides aux fins de soutenir des projets
visant à sensibiliser l'opinion publique aux
droits de l'homme ou à prévenir
l'antisémitisme, le racisme et la
xénophobie. Ce soutien concerne des projets
relevant de l'enseignement scolaire, de la formation
professionnelle des jeunes, de la formation continue des
adultes, de prévention, de sensibilisation, de
conseils aux victimes ou en cas de conflits. On le voit,
le portillon de départ est aussi large qu'un
porche de cathédrale, sans doute pour que les gros
bras du prêchi-prêcha politiquement correct
n'aient point à trop jouer des coudes pour se
précipiter vers le saint des saints, autrement dit
le butin pris au contribuable. Cette manne est ainsi
redistribuée aux perroquets patentés de
l'antiracisme chargés de faire l'éducation
du bon peuple, autrement dit le cochon de payant. La
pompe à fric reverse de 50 000 à 500 000
francs suisses par année à ceux qui
présenteront des projets de lutte contre le
racisme, l'antisémitisme et la xénophobie,
selon des critères suffisamment élastiques
pour éliminer les ingénus qui croient
encore au Père Noël et favoriser les petits
copains des grands voleurs. Pour en revenir aux promesses
tenues du Conseil fédéral, il n'est pas
inutile de se souvenir d'un article paru dans la
Jüdische Rundschau du 2 décembre 1999,
relatant comment le conseiller fédéral
Joseph Deiss reçut ses instructions de ses deux
honorables " parrains ", MM. Rolf Bloch et Sigi Feigel. A
une question de Deiss, qui s'inquiétait de ce
qu'il fallait encore faire pour réparer les "
crimes " commis par la Suisse contre les Juifs pendant la
Deuxième Guerre mondiale, Bloch, magnanime,
répondit qu'il ne demandait plus d'argent, mais
seulement que l'on mette sur pied des programmes
éducatifs pour grands et petits afin de lutter
contre le racisme, l'antisémitisme et la
xénophobie
Les
fonds juifs en déshérence
(suite)
Un article du quotidien
Le Temps paru le 14 août 2001 nous apprend que les
revendications de " survivants de l'Holocauste "
concernant 800 millions de dollars destinés
à rembourser les détenteurs de comptes
ouverts auprès des banques suisses sont
étonnamment peu nombreuses. Pourtant, par "
survivants de l'Holocauste ", il faut comprendre, selon
le droit américain, tous les Juifs ayant
vécu - et pas forcément dans un " camp de
la mort " - dans un pays ou un territoire
administré par le Troisième Reich. C'est
dire combien le croupier ratisse large, et combien
nombreux devraient être les prétendants au
tiroir-caisse. Pourtant, il n'en est rien, parce que,
selon les explications emberlificotées du Temps,
certains plaignants, âgés, n'auraient pas
bien su répondre aux questionnaires
compliqués des banques, ce qui va impliquer une
nouvelle et coûteuse vérification de ces
revendications. Sachant que les formulaires en question
sont le plus souvent remplis par des avocats hyper
méticuleux quand il s'agit de gros sous, Le Temps
finit par admettre, du bout des lèvres, que les
revendications financières sont bien moins
nombreuses que prévues ; autrement dit, ce
journal, dont la principale occupation consiste à
beurrer des tartines pour les organisations juives,
reconnaît que l'affaire des fonds juifs en
déshérence a été
gonflée pour les besoins de la cause.
Quand
la pourriture juive
gangrène
la jeunesse
L'été est
la saison de grandes manifestations de plein-air qui
voient par milliers, voire centaines de milliers, des "
Jeunes " envahir les centres urbains, des plus grandes
métropoles européennes jusqu'aux plus
modestes cités de notre pays. " Street Parade ", "
Lake Parade ", " Gay Pride ", " Raves parties ", " Free
parties ", tous ces rassemblements nous sont
présentés comme de sympathiques "
surprise-parties ", au cours desquelles de paisibles "
Jeunes " communient joyeusement au son de la " musique "
techno. Or, cette présentation angélique,
reprise par les grands médias, est aussi fausse
que possible. La plupart de ces concentrations de masse
sont en fait de vastes supermarchés de la drogue
où opèrent des dealers armés. Selon
Libération du 2 août 2001, " le grand
banditisme a pris le contrôle du marché des
drogues dans les free parties ". Selon l'Office national
des drogues et des toxicomanies (France), une " free
party " de 30 000 personnes rapporte, en
stupéfiants vendus au détail, de 4 à
5 millions de francs français en 48 heures, dont
les deux-tiers en vente d'ecstasy. Or, selon Le Figaro du
11 août 2001, " l'ecstasy est la chasse
gardée du milieu criminel israélien. "
Même constat pour Libération du 23 juillet
2001 : " La Mafia [israélienne] a
récupéré le marché des
drogues de synthèse. " Fin juillet, deux
narco-trafiquants israéliens étaient
interpellés à New York en possession d'un
million de pilules d'ecstasy. Ces 200 kilos de drogue
valent au détail 40 millions de dollars. Selon le
Journal of Neuroscience de mai 2001, ces drogues de
synthèse (ecstasy, pilule thaïe) sont de
véritables " poubelles chimiques ", dont les
effets sont effrayants, car irréversibles (pertes
de mémoire, trouble du comportement, du sommeil,
de la concentration, lésion
cérébrale chez les enfants des mères
droguées). Mais que fait la police ? Suite
à la politique de libéralisation des
drogues dites " douces " et la distribution gratuite
d'héroïne aux toxicomanes, une politique
initiée par la conseillère
fédérale juive Ruth Dreyfuss, la police
pourra enfin se consacrer à des tâches
beaucoup plus importantes, comme, par exemple, la
répression du racisme, de l'antisémitisme
et de la xénophobie
La
conférence de Durban
On sait que la
conférence des Nations Unies sur le racisme
achoppe principalement sur le diktat sioniste : aucune
discussion ne sera tolérée concernant le
génocide du peuple palestinien par Israël.
Les sionistes et leurs alliés voudraient voir
à leurs pieds une assemblée de
béni-oui-oui cautionner les crimes d'Israël.
Or, de nombreux pays, arabes et islamiques en
particulier, auraient souhaité mettre à
l'ordre du jour la question palestinienne. Le simple
respect de la liberté des débats voudraient
que chaque délégation puisse s'exprimer sur
le sujet de son choix. Mais ces Etats sont traités
par Israël et les Etats-Unis comme le sont les
citoyens européens quand ils s'expriment sur
certains sujets tabous : il suffit qu'un Etat pose
certaines questions " politiquement incorrectes " pour
qu'il se voie aussitôt mis au ban des nations et,
s'il persiste, criminalisé, avec en prime des
sanctions pour les plus récalcitrants.
Quelles
nouvelles de Jürgen Graf
?
(suite)
Le président de
V&J, qui vit en exil politique, vient de convoler en
justes noces. Le Comité de V&J tient à
adresser ses plus chaleureuses félicitations aux
jeunes mariés et à leur souhaiter tout le
bonheur possible dans un pays où la liberté
d'expression est encore de mise