Nouvelles
de
l'Association Vérité &
Justice
Rappelons que
l'objectif premier de V&J est de constituer une
banque de données concernant tout ce qui est
en rapport, de près ou de loin, avec la
nouvelle norme pénale dite antiraciste (art.
261 bis CPS). Nous avons maintenant acquis la
certitude que cette loi est une machine de guerre,
complémentaire aux forces armées de
l'OTAN, et destinée comme elles à
juguler toute véritable opposition nationale
susceptible de s'opposer à l'essor d'un
mondialisme totalitaire et liberticide, destructeur
des peuples et des nations. Il est donc très
important de réunir les preuves de cette
répression, laquelle devient de plus en plus
agressive, à la mesure des fissures de plus
en plus profondes qui sapent le mur des mensonges.
Par conséquent, nous invitons chacun
à nous faire parvenir tout document,
coupures de presse ou références
bibliographiques d'ouvrages susceptibles de
concerner V&J, afin que nous puissions
alimenter cette banque de données. Par
ailleurs, conformément à ses statuts,
V&J offre son assistance à toute
personne victime de la loi muselière, mais
ne saurait en aucun cas se substituer à une
procédure de défense juridique, que
seul un avocat inscrit au barreau peut assurer en
cas de poursuites pénales. Toutefois, nous
sommes en mesure de communiquer à un avocat
encore peu au fait avec des pratiques judiciaires
dignes de l'ex-URSS tous les renseignements
susceptibles de l'éclairer à ce
sujet. De même, V&J soutiendra toute
initiative politique visant à supprimer
l'art. 261 bis du Code pénal suisse. La
première tâche du Comité a
consisté à faire connaître
V&J, en premier lieu auprès de
sympathisants et d'amis susceptibles d'y
adhérer. Cet objectif a été
atteint, assurant ainsi un départ
encourageant et prometteur pour nos prochaines
initiatives. V&J a déjà des
adhérents en France, en Belgique, en
Allemagne et en Suisse, et a mis en place un
réseau de correspondants en Suisse et
à l'étranger. V&J a
également pris contact avec des
représentants d'organisations politiques
suisses, dans le but de leur faire prendre
conscience des vrais enjeux qui sont à
l'origine de la loi muselière. Enfin,
V&J a engagé plusieurs actions en vue de
rectifier des informations publiées par la
presse , qui sont manifestement et volontairement
erronées, voire calomnieuses. Le moment
venu, ces actions feront l'objet d'une information
dans notre bulletin. Par ailleurs, précisons
que le bulletin d'information de l'Association
Vérité et Justice est un document
personnel et confidentiel réservé aux
seuls membres de l'Association.
RLB
Questionnez
! On vous répondra
Ces trois points ne
sont pas que des points de suspension : en
l'occurrence, il s'agit bel et bien des trois
points qui sont la signature de la secte
maçonnique. L'occasion était donc
rare, voire unique, d'assister, le 18 mars 1999,
à la conférence publique
organisée par la Loge " La Fraternité
" d'Yverdon-les-Bains, à l'occasion de son
125ème anniversaire.
V&J
était représenté dans la salle
par deux membres du Comité pour entendre, en
compagnie d'un public nombreux et attentif, le
Souverain Grand Inspecteur Général
Daniel Beresniak, juif et franc-maçon, haut
dignitaire du 33ème Degré
maçonnique (source : " Le Chroniqueur ",
hebdomadaire juif, du 22 septembre 1993).
Précisons d'emblée que le
conférencier ne fut pas
présenté comme tel, mais, de
manière anodine, comme un écrivain et
conférencier français. En
réalité, il s'agissait bien là
d'une occasion exceptionnelle d'écouter, et
davantage encore, de questionner un titulaire du
plus haut grade maçonnique, puisque tel
était le programme de cette soirée,
présentée par la secte sous le signe
de l'ouverture et de la
transparence
Précisons et
soulignons encore que les propos qui furent
entendus et que nous rapportons ici l'ont
été par les 300 auditeurs
présents dans la salle.
Selon le
conférencier, l'existence des
premières loges remonte au XIVe
siècle déjà. Dès cette
époque, la maçonnerie
opérative des bâtisseurs de
cathédrale aurait évolué vers
une maçonnerie spéculative, adepte du
libre débat, en réaction au principe
d'autorité alors en vigueur dans
l'Université du Moyen Age. Apparemment, le
conférencier ne voit pas de contradiction
entre cet idéal maçonnique, et le
fait que le " principe d'autorité " se
trouve maintenant établi en Europe par une
législation liberticide qui impose une
vision de l'Histoire et interdit tout débat
public sur certains faits historiques
controversés. Pour citer exactement les
propos tenus par le conférencier, " le monde
est à faire ". Faut-il comprendre par
là que le monde est à faire par la
secte maçonnique, en tentant
d'ériger, sur le modèle des loges, le
Temple immatériel de l'humanité ?
L'obstacle principal à cette utopie serait
l'ignorance. Pour vaincre l'ignorance, il faut
éduquer les masses, raison pour laquelle la
maçonnerie s'y implique autant que possible.
L'enseignement laïque est son uvre : on
en voit maintenant les fruits. La maçonnerie
s'affirme ouverte à tous les courants de
pensée et à toutes les opinions :
libéralisme, socialisme, communisme, toutes
ces idées sont honorables et sont là
pour être discutées sans parti pris.
Seule exception, le fascisme, qui ne serait pas une
opinion, mais un trouble du comportement. De
même pour les intégrismes religieux,
incompatibles avec la liberté d'esprit
maçonnique. Le conférencier ne craint
pas de perdre de sa souveraine
sérénité en traitant d'aussi
pénibles sujets, affirmant avec force qu'on
ne saurait tolérer
l'intolérance
toujours selon notre
conférencier, les martyrs maçons se
sont sacrifiés sans compter pour conjurer de
tels périls. Le premier d'entre eux serait
Socrate lui-même, suivi de Ferrer l'Espagnol,
d'Alfieri l'Italien et de Novikoff le Russe, pour
n'en citer que quelques-uns plus rapprochés
de notre époque.
Après ce
préambule, le conférencier invite les
auditeurs à poser des questions.
Question:
quelles
sont les principes fondamentaux et éthiques
de la maçonnerie ?
Réponse:
les
Constitutions d'Anderson sont les statuts
fondateurs de la maçonnerie et datent de
1723, et les Frères sont pour le moins tenus
d'observer les lois de Noé.
Commentaire
V&J :
le conférencier se garde bien de
préciser que le noachisme, du point de vue
du judaïsme, est la seule religion toujours en
vigueur pour l'ensemble de l'humanité non
juive. Un célèbre rabbin italien du
XIXème siècle, Elie Benamozegh, est
le personnage-clé de cette ancienne
religion, que l'on retrouve sous le masque du New
Age, prototype de la future religion mondialiste,
Celle-ci devrait trouver sa consécration
à l'occasion de la rencontre des religions,
sur le Mont Sinaï, prévue au mois de
mars de l'An 2000, en présence du pape
Jean-Paul II. La nouvelle religion mondialiste est
identifiable à sa bannière,
l'arc-en-ciel, un symbole que l'on retrouve
à l'occasion de toutes les manifestations
laïques ou religieuses placées sous
cette influence.
Question
:
qu'est-ce
qui différencie une loge d'une secte
?
Réponse
: il est
facile d'entrer dans une secte, mais difficile d'en
sortir, alors qu'il est difficile d'entrer en loge,
mais facile d'en sortir
Question
: la
maçonnerie est-elle en expansion, ou en
récession ?
Réponse
: la
maçonnerie traverse actuellement une phase
récessive, mais il s'agit en fait d'un
phénomène cyclique bien connu qui ne
doit en rien laisser croire au déclin des
loges
Question
:
que
faut-il faire pour devenir maçon
?
Réponse
:
il
suffit de présenter sa candidature,
cautionnée par des amis
maçons
Question:
quelle
fut l'influence de la maçonnerie dans la
création de la Suisse moderne
?
Réponse
: les
loges sont à l'origine de la Constitution de
1848, et le premier président de la
Confédération helvétique,
Jonas Furrer, était Grand Orateur de la Loge
Alpina. Mais la maçonnerie est par principe
de nature apolitique.
Commentaire
V&J : apprécions
la nuance ; la maçonnerie est apolitique,
mais un maçon a toute liberté de
s'engager en politique
Question
: dans
un prospectus diffusé par la Loge Alpina, il
est dit que la maçon se tourne vers une "
puissance supérieure " pour faire sa
profession de foi : quelle est la nature de cette "
puissance supérieure " ?
Réponse
: il
s'agit d'une métaphore pour désigner
la liberté de croyance en usage dans la
maçonnerie.
Commentaire
V&J : en
fait, cette " puissance supérieure " est
celle qui domine la maçonnerie, comme le
déclarait le rabbin Wise : " La
maçonnerie est une institution juive dont
l'histoire, les degrés, les fonctions, les
mots de passe et le catéchisme sont juifs du
début à la fin, à l'exception
d'un degré intermédiaire et de
quelques mots au cours de l'initiation. " (source :
Epiphanius, Maçonnerie et Sectes
secrètes, le Courrier de Rome, Versailles,
1999, page 146)
Question
: quelle
est la nature des relations entre Juifs et
maçons ?
Réponse
: les
maçons ont toujours travaillé pour
que l'on reconnaisse leurs droits
par
conséquent, ces relations ont toujours
été excellentes.
Commentaire
V&J : Daniel
Beresniak nous confirme ainsi que les loges sont
bien l'instrument des Juifs en vue d'instituer dans
le monde les lois de Noé, sous-religion
primitive mais suffisante pour l'humanité
non juive. Le noachisme est la religion
conservée par Israël pour être
transmise aux Gentils, et le Juif en est le
prêtre, chargé de guider
l'humanité, avec le concours actif des
maçons. Entre autres effets, cela se traduit
par l'inversion de certaines valeurs : mariage
entre invertis, en vue de créer un "couple
", voire une " famille ", mais dans le même
temps, abolition des prérogatives des vrais
familles
un paradoxe voulu de plus à
l'actif de l'influence maçonnique, dont les
agissements ne sont pas toujours fondés sur
la logique, le but étant à ce stade
de semer la confusion pour mieux troubler les
esprits.
A l'occasion d'une
réunion du Rotary Club de Turin, Armando
Corona, alors Grand Maître de la
Maçonnerie italienne affirma : " le pape
Jean-Paul II lui-même est un Paul Harris
fellow ", c'est-à-dire un rotarien. Cette
affirmation n'a jamais été
démentie par le Vatican. Ceci est d'autant
plus surprenant, sachant que la " Rotary Foundation
" appuie la diffusion du " Bulletin de la Bonne
Volonté Mondiale ", organe de " Lucis Trust
", le nouveau nom de " Lucifer Trust " une secte,
comme son nom le revendique, d'essence
luciférienne. Précisons que le
siège genevois de " Lucis Trust " se trouve
au 3ème étage de la rue
Varembé 1 à Genève. Au
4ème étage, on note la
présence du " Congrès Juif Mondial
"
Les
Assassins de la Mémoire. Une
conférence publique de Pierre Vidal-Naquet
à Lausanne.
Pierre Vidal-Naquet
est un des signataires de la déclaration
suivante, publiée dans le journal " Le Monde
" du 21 février 1979 : " Il ne faut pas se
demander comment, techniquement, un tel meurtre de
masse a été possible. il a
été possible techniquement puisqu'il
a eu lieu. Tel est le point de départ
obligé de toute enquête historique sur
ce sujet. Cette vérité, il nous
appartenait de la rappeler simplement : il n'y a
pas, il ne peut y avoir de débat sur
l'existence des chambres à gaz. "
Vingt ans plus
tard, c'est-à-dire le 9 juin 1999, il
était intéressant de savoir si le
dogme avait bougé. Micromètre en
mains, V&J est venu mesurer l'évolution,
si évolution il y a eu
.
Un grand titre de
la presse de la Suisse romande, " La Liberté
" de Fribourg, annonçait cette
conférence et présentait le
conférencier comme un " Terminator " qui
allait mettre en pièces le
révisionnisme. Une centaine de personnes, y
compris de nombreux sympathisants à la cause
du révisionnisme, ainsi que deux membres du
Comité de V&J n'ont pas craint de venir
affronter le " Terminator "
holocaustique.
Précisons
d'emblée que le conférencier saute du
coq-à-l'âne, qu'il ne développe
ni n'argumente, et se limite à des
affirmations péremptoires, ce qui explique
le caractère décousu du compte rendu
qui va suivre.
Après les
présentations d'usage, PVN critiqua
véhémentement les décisions
prises par le Conseil fédéral au
sujet des réfugiés du Kosovo (le
droit humanitaire bafoué, etc
)
Commentaire
V&J : il
est révélateur de constater qu'un
hôte comme PVN n'a plus besoin de respecter
le devoir de réserve qui incombe en principe
à tout étranger s'exprimant
publiquement.
Feignant
après cette tirade contre les
Autorités suisses de faire preuve de
courtoisie, PVN confie à l'assistance qu'il
apprécie beaucoup la Suisse, car c'est la
patrie du Cenovis, une pâte à tartiner
qui fait son régal (un ersatz qui date de la
guerre
)
Après la
hargne et le mépris, PVN aborde le vif du
sujet : la mémoire n'est pas l'histoire, et
celui qui impose sa vision du passé est en
mesure de contrôler le présent et le
futur - l'Histoire reste une notion fragile, comme
celle de la Suisse, dont le passé n'est
qu'une vue de l'imagination - la destruction des
preuves de la Shoah a eu lieu en même temps
que l'extermination elle-même - le discours
du 6 octobre 1943 de Himmler à Posen
(Pologne) confirme la volonté
d'anéantissement des Juifs par les SS - les
chambres à gaz fonctionnent depuis 1942
à Auschwitz, et le Zyklon B était
transporté sur les lieux par un SS dans une
boîte recouverte du drapeau de la Croix-Rouge
- un langage codé a permis de travestir le
sens des mots, ce qui est une manière de
changer les valeurs - à titre d'exemple, "
traitement spécial " pouvait dire, A)
gazage, B) séjour à l'hôtel -
les installations de gazage furent
systématiquement détruites à
la fin de la guerre, raison pour laquelle la
mémoire vivante des témoins reste la
seule preuve du Génocide - selon le " Times
of Ohio ", les Juifs auraient déclaré
la guerre à l'Allemagne, ceci pour illustrer
les méthodes des révisionnistes, qui
utilisent dans ce cas une feuille de choux locale
pour trouver leurs arguments - les
révisionnistes sont très actifs aux
Etats-Unis et au Canada, car c'est là que se
trouve le " grosse galette " - en Europe, c'est
l'Allemagne qui est le marché le plus
important pour les révisionnistes - le
révisionnisme est multiforme, PVN en brosse
le portrait, de l'extrême droite à
l'ultra gauche .
A part quelques
pervers isolés, comme ce Témoin de
Jéhovah qui organisait des visites des camps
en distribuant du savon fabriqué avec de la
" pure graisse juive " (sic) on trouve :
Robert
Faurisson,
le pape des révisionnistes, ancien camarade
de lycée de PVN, donc le traître par
excellence. Aurait inventé lui-même
l'organisation " Les Fils de la mémoire
juive " responsable de son agression du16 septembre
1989.
Pierre
Guillaume,
animateur infatigable de " La Vieille Taupe ",
secte marxiste, paranoïaque et
délirante, qui ne fait pas de
différence entre le communisme, le
socialisme et le libéralisme.
Paul
Rassinier,
l'ancêtre, personnage trouble et ambivalent,
socialiste münichois, pacifiste et anarchiste,
non-violent et paranoïaque, fut un
déporté choyé par les Nazis,
qui extrapola son expérience à
l'ensemble du monde concentrationnaire.
Noam
Chomski,
autre exemple de perversion intellectuelle, en plus
un traître juif qui osa écrire une
préface pour Faurisson.
Jean-Claude
Pressac,
vrai pharmacien mais faux scientifique, mentalement
négationniste, a du mal à cacher son
attirance pour le national-socialisme.
Jacques
Baynac, un
ancien de " La Vieille Taupe ", a osé porter
la main sur la statue de Jean Moulin.
Roger
Garaudy,
gâteux et manipulé, dont le livre
insignifiant ne se serait pas vendu à plus
de 500 ex. s'il n'avait été
interdit.
Ernest
Zündel,
nazi résidant au Canada, a profité de
ses procès pour se faire de la
publicité.
Mariette
Paschoud,
la régionale de l'étape (mise en
boîte sur le thème : " même
votre Suisse si propre a ses révisionnistes
! ".
Pour
PVN, les
révisionnistes ne sont pas de vrais
historiens, et ils ne sont ni compétents ni
crédibles. PVN ne craint pas de
préciser que lui seul a les
compétences universitaires requises pour
être crédible.
Heureusement, selon
PVN, il existe des figures exemplaires pour
l'humanité :
Primo
Lévy,
a vécu l'enfer des camps, et reste le
meilleur témoin de l'aspect psychologique du
système concentrationnaire.
Raul
Hilberg,
l'historien fondamental de la Shoah.
Elie
Wiesel, et
son témoignage poignant relaté dans "
La Nuit " (PVN croit bon d'ajouter qu'il
déteste Elie Wiesel).
Jean-François
Steiner,
dont le livre " Treblinka " a été une
révélation pour PVN.
Claude
Lanzman et
son film " Shoah ", un documment inestimable sur le
plan des témoignages, ainsi qu'un
chef-d'uvre
cinématographique.
PVN poursuite en
reconnaissant qu'il existe des failles dans
l'histoire officielle de la Shoah : cela viendrait
du fait que les historiens de la Shoah sont
hypocritiques, alors que les révisionnistes
sont eux hypercritiques - PVN ne donne pas
d'exemple pour illustrer son propos - PVN admet que
la chambre à gaz de Buchenwald est une
fiction, ce qui a permis au révisionnisme
d'extrapoler cette fiction à d'autres camps
- à Nuremberg, la Shoah ne fut pas "
prouvée " comme il aurait fallu, car
noyée dans le drame général de
la guerre - la Shoah est une vérité
qui se situe sur le plan politique, car un argument
historique peut être détruit par un
meilleur argument historique - les historiens sont
contre la Loi Gayssot, PVN aussi - la
vérité n'a pas besoin de la police et
des tribunaux - l'Etat n'a pas à dire
l'Histoire - PVN est en désaccord total avec
Baynac, parce qu'il présente Jean Moulin
comme un cryptocommuniste et comme un traître
proaméricain - Edward Gibbon, historien
anglais du XVIIIe siècle, auteur d'une
monumentale " Histoire et Chute de l'Empire romain
" a prouvé qu'un livre d'histoire peut
être une uvre d'art - les
négationnistes, une secte de canailles, avec
lesquelles il n'est pas question de dialoguer - le
père Hardouin peut être
considéré comme un précurseur
du révisionnisme, car il a essayé de
démontrer que la littérature antique
grecque était une invention des moines
copistes du Moyen Age - les faits historiques ne
sont pas des choses, ils sont vivants et ils
évoluent - l'Arabie Saoudite continue de
diffuser les " Protocols des Sages de Sion ", ce
faux notoire - les Palestiniens sont des
négateurs de la Shoah et ils veulent
s'identifier au destin du peuple juif - aucune
discussion sérieuse n'est possible avec les
révisionnistes : si on vous dit que la lune
est un fromage, que faut-il répondre ? - PVN
se réjouit de la division du Front National
- PVN déplore la réapparition
néfaste d'un néonationalisme, de
l'antisémitisme et du racisme - Faurisson a
péché contre l'esprit, comme Irving
et Paschoud - la Shoah n'appartient pas qu'aux
historiens - Auschwitz et ses 4 millions de
victimes juives était à la fois un
camp-usine et un camp d'extermination.
Après ces
affirmations et autres digressions, l'assistance
est invitée à poser des
questions.
Un fort en gueule
affirme que plus personne ne sait qui est Hitler,
que les jeunes ne savent rien de l'Histoire, que
l'école est nulle à ce sujet,
etc
PVN proteste,
répond que c'est faux
Un Noir se demande
pourquoi on ne fait rien pour le génocide
des Tutsis (sous-entendu, alors qu'on fait tout en
faveur de la Shoah
)
PVN répond
qu'un Tribunal militaire suisse vient de condamner
un des responsables des massacres
Aucun compte rendu
ne suivra dans la presse car il serait sans doute
trop facile de lire entre les lignes et difficile
de gommer les contradictions et les aveux
implicites. Pour conclure, relevons une des plus
évidentes de ces contradictions, quand PVN
se déclare opposé aux lois
antirévisionnistes, alors que dans la
presse, il dit : " Il faut une loi antiraciste "
(24 Heures du 8 juin 1999).
Sur
le front de la
répression
Compte rendu du
procès en appel de Jürgen Graf,
président de V&J, devant le Tribunal
cantonal du canton d'Argovie, en date du 23 juin
1999. (notes d'audience de Xaver M?rz)
Comme on pouvait
s'y attendre, la sentence exemplairement et
volontairement inique rendue en première
instance est confirmée en appel. Rappelons
que l'écrivain révisionniste avait
été condamné le 16 juillet
1998 par le Tribunal de district de Baden à
15 mois d'emprisonnement sans sursis et à
Frs 8'000,-- d'amende, pour avoir publié
plusieurs ouvrages et articles qui, selon le
Tribunal, auraient violés la norme
pénale dite antiraciste (art. 261 bis CPS),
autrement dit, la loi muselière.
L'éditeur de Jürgen Graf, Gerhard
F?rster, alors âgé de 78 ans,
domicilié à Würenlos (AG),
déjà très gravement atteint
dans sa santé, avait été
condamné à 12 mois d'emprisonnement
sans sursis et, également, à Frs
8'000,-- d'amende ; toutefois, la " Justice "
suisse n'est plus en mesure de le harceler, Gerhard
F?rster étant parti pour un monde meilleur
le 23 septembre 1998.
Ce nouveau jugement
n'a surpris ni l'accusé, ni son
défenseur d'office, le Dr Urs Oswald. Tous
deux étaient partis du principe que, lors de
procès politiques, la sentence est
déjà fixée d'entrée de
cause : le déroulement de l'audience d'appel
n'a fait que confirmer ce point de vue.
Après une suspension d'audience d'une
durée d'une heure, la Cour devant se
concerter pour la bonne forme, le président
lut à haute voix une sentence qui, du fait
de sa longueur, ne pouvait avoir été
rédigée pendant ce laps de temps. Un
telle constatation confirme que la longue
plaidoirie du défenseur, concise et
engagée, de même que l'interrogatoire
de l'accusé par le Président et par
le Procureur n'ont pas eu la moindre influence sur
le verdict.
L'avocat Oswald
aurait ainsi déployé toute sa force
de persuasion, sans influencer le moins du monde un
Tribunal ayant de toute évidence suivi
à la lettre des consignes venues d'en
haut.
Environ 45
personnes ont pu assister aux débats, d'une
durée de 2h 30, dont plus d'une trentaine
était des amis et sympathisants de
l'accusé, les autres, des
représentants des médias et quelques
Juifs. Le président, Ruedi Bürgi,
assisté de deux juges et d'un greffier (au
contraire de l'an dernier, le quarteron ne
comprenait cette fois que des hommes) interrogea
brièvement Jürgen Graf. Nous restituons
ici ces propos, non pas au mot près, mais en
substance.
Le
Président :
vos livres continuent-ils de représenter vos
opinions, et les diffusez-vous toujours
?
Jürgen
Graf : je
m'en tiens toujours au contenu de mes livres, car
ils n'ont jamais été
réfutés. Comme vous le savez, il y a
déjà longtemps que je ne vends plus
mes livres seul ; ils sont diffusés depuis
la Belgique et l'Angleterre.
Le
Président :
vous avez souvent souligné que, selon vous,
trois points étaient essentiels :
1. La non-existence
des chambres à gaz homicides.
2. La non-existence
d'un plan d'extermination des Juifs.
3. Le chiffre
erroné quant au nombre de victimes juives (5
à 6 millions).
Vous ne contestez
pas, en revanche, la persécution des Juifs.
Est-ce bien là votre point de vue
correctement exprimé ?
Jürgen
Graf :
absolument
Le
Président :
n'y avait-il pas de chambres à gaz, selon
vous, dans les camps de concentration ?
Jürgen
Graf : si,
mais utilisées seulement pour
l'épouillage des vêtements.
Le
Président : la
politique allemande à l'égard des
Juifs s'est-elle limitée, selon vous,
à exploiter leur force de travail
?
Jürgen
Graf : il y
eut sur le front de l'Est des exécutions de
Juifs dans un contexte de lutte contre les
partisans. On ne connaît pas le nombre de
victimes en raison du manque de documents
fiables.
Le
Président :
mais dans les camps de concentration,
s'agissait-il, de la part des Allemands, de
n'exploiter que la force de travail des Juifs
?
Jürgen
Graf : je
puis vous citer, de tête, dix documents de
guerre qui vous le confirmeront.
Le
Président : pour
quelles raisons alors les gens moururent à
Auschwitz ?
Jürgen
Graf : principalement
de maladies. A la fin de l'été 1942,
le typhus exanthématique faisait presque
chaque jour plus de 300 victimes. Une autre cause
de mortalité est due à une mauvaise
alimentation. Il y eut aussi des exécutions,
et une exécution, où qu'elle se
passe, est toujours terrifiante, Mais il faut dire
que les exécutions sommaires, sans jugement,
étaient interdites.
Le
Président :
maintenez-vous aussi qu'il n'y avait pas de plan
pour l'extermination des Juifs ?
Jürgen
Graf : en
France, actuellement, vivent deux fois plus de
Juifs qu'avant l'Holocauste, ce qui, en pratique,
ne correspond pas aux effets qu'auraient dû
avoir une extermination massive.
Le
Président :
continuerez-vous d'écrire sur l'Holocauste
?
Jürgen
Graf : vous
savez certainement que, depuis septembre dernier
déjà, a paru un ouvrage écrit
par Carlo Mattogno et moi-même sur le camp de
concentration de Maidanek. Ce livre n'a pas fait
l'objet d'une dénonciation. J'en
déduis que les études relatives
à des aspects particuliers du soi-disant
Holocauste ne sont pas considérées
comme punissables. Fin avril, encore avec Mattogno,
j'ai terminé la rédaction d'un livre
sur le camp de concentration de Stutthof qui
devrait paraître à la fin de cet
été.
Le
Président : vous
avez travaillé sur des archives. Sont-elles
ouvertes au public ?
Jürgen
Graf : A
Auschwitz, Mattogno et moi ne fûmes pas
admis, au motif, il est vrai, que les
révisionnistes sont indésirables.
Ailleurs, nous n'avons rencontré aucune
difficulté. En 1995 déjà,
à Moscou, nous avons visionné tous
les documents concernant la conduite des travaux de
construction du camp d'Auschwitz. Aucun historien
officiel ne se rend sur place ; nous sommes les
seuls à le faire.
Le
Président : qu'avez-vous
à déclarer quant à ce
procès ?
Jürgen
Graf : je
constate que votre attitude ne manque pas de
courtoisie ; ceci n'empêche pas qu'il s'agit
en fait d'un procès-spectacle de nature
politique.
Après cet
interrogatoire, l'avocat de Jürgen Graf, Me
Oswald, posa quelques questions à son
client, que nous reproduisons de même, en
substance.
Me
Oswald : contestez-vous
dans vos ouvrages le génocide des Juifs
?
Jürgen
Graf :
comment définissez-vous le terme "
génocide " ?
Me
Oswald : la
définition qu'en donne l'ONU sert de
référence obligée.
Jürgen
Graf : selon
cette définition, qui commet un
génocide tue des membres d'un groupe
ethnique. Comme les nationaux-socialistes ont
incontestablement tué des Juifs, le
génocide, selon la définition de
l'ONU, est établi. Mais que l'on me montre,
dans mes livres, un seul paragraphe où
j'aurais contesté un génocide ainsi
défini !
Me
Oswald :
vous n'êtes pas historien. Comment se fait-il
que vous manifestez tant d'intérêt
pour l'Holocauste ?
Jürgen
Graf : il
est intéressant de relever que la plupart de
ceux qui traitent de l'Holocauste ne sont pas des
historiens professionnels. Ceci est valable pour
nous autres révisionnistes comme pour nos
adversaires. Les deux figures de proue des
historiens partisans de l'Holocauste, Raul Hilberg
et Jean-Claude Pressac, n'ont pas non plus fait des
études en Histoire.
Me
Oswald : vous
abordez aussi, dans vos écrits, les aspects
techniques de l'Holocauste ; en tant que non
technicien, certaines compétences ne vous
font-elles pas défaut ?
Jürgen
Graf : je
me suis renseigné auprès de
spécialistes. Avant la parution de mon
premier ouvrage, je suis allé consulter un
spécialiste de l 'EPFZ, compétent
pour les moteurs Diesel, ainsi que le responsable
du crématoire de Bâle. Ces deux
personnes ignoraient la finalité de mes
questions. Le spécialiste en moteurs Diesel
déclara que les gaz d'échappement
issus d'un tel moteur ne conviennent pas à
des buts homicides. J'avais déjà eu
connaissance de cet avis dans des écrits
révisionnistes ; maintenant, j'en ai la
confirmation. Le responsable du crématoire
m'a dit, qu'en moyenne, il faut compter au moins
une heure pour incinérer un corps. Or, les "
témoins " d'Auschwitz font mention de
durées 12, 17, voire 25 fois
inférieures à la
réalité.
Me
Oswald : combien
d'archives avez-vous consultées ?
Jürgen
Graf : une
à Amsterdam, deux à Moscou, une
à Prague, une à Bratislava, une
à Budapest, une en Biélorussie, deux
en Lithuanie et six en Pologne, à savoir :
Lublin, Stutthof, Varsovie, Waldenburg, Wroclaw
(Breslau) et Katowice. Bien sûr, nous n'avons
pas trouvé partout des documents
susceptibles de nous intéresser.
Me
Oswald : il
existe pourtant de nombreux livres sur
l'Holocauste. Peut-on tous les ignorer ?
Jürgen
Graf : je
n'ignore nullement l'existence de ces livres, et
j'ai lu tous les ouvrages classiques des historiens
orthodoxes. J'ai réalisé une analyse
critique globale de plus de 120 pages de l'ouvrage
de Raul Hilberg. J'ai pu constater que cet auteur,
qui fait autorité en la matière, se
réfère à d'autres auteurs qui
évoquent des témoins oculaires,
toujours les mêmes ; ainsi ces auteurs se
servent des mêmes références
depuis des dizaines d'années en se copiant
les uns les autres.
Me
Oswald :
éviterez-vous, à l'avenir, d'exprimer
des opinions que la Justice considère comme
punissables ?
Jürgen
Graf : je
ne me prêterai pas au moindre compromis quant
au contenu de mes ouvrages ; j'éviterai
cependant des formulations
considérées comme pénalement
répréhensibles.
Après cet
interrogatoire, la plaidoirie de Me Oswald dura
presque une heure : le défenseur de
Jürgen Graf reprit plusieurs arguments
développés dans son mémoire de
recours et en produisit de nouveaux.
Tout d'abord, Me
Oswald se référa de manière
détaillée à un article paru
dans la Neue Zürcher Zeitung (NZZ) du 12 juin
1999, sous la plume du Prof. Claus Nordbruch, dans
lequel celui-ci fustige la mode du " politiquement
correct ", et rompt une lance en faveur du
révisionnisme, considéré au
sens le plus large. Nordbruch cite
l'écrivain Martin Walser, selon lequel celui
qui touche aux thèmes tabous,
Troisième Reich, les étrangers, les
femmes, dans une optique non souhaitée par
le système dominant, se trouve accusé
d'hérésie. Nordbruch ajoute que la
révision de l'Histoire est une chose normale
et raisonnable (Nordbruch, dans son texte, fait des
citations de " L'Holocauste au scanner ", un des
livres pour lequel Jürgen Graf se trouve
condamné, sans toutefois nommer ni le livre,
ni son auteur). Il est évident que ni la
NZZ, ni Nordbruch ne peuvent être
soupçonnés de nourrir des
idées racistes. On ne peut nier que les
textes publiés par un journal de la
qualité de la NZZ sont à prendre en
considération. Cet article confirme le
caractère politique du procès de
Jürgen Graf, et les procès politiques
sont indignes d'un Etat de droit.
Me Oswald tient
encore à préciser qu'il ne s'exprime
pas sur le contenu des livres de Jürgen Graf,
par manque de compétences, et qu'il n'est,
par ailleurs, nullement tenu de le faire. Me Oswald
releva cependant que Jürgen Graf est un
chercheur sincère et sérieux,
pleinement convaincu de la justesse du point de vue
révisionniste. Le révisionnisme,
poursuit Me Oswald, n'est pas une idéologie
: c'est une méthode. C'est la raison pour
laquelle la condamnation de Jürgen Graf,
fondée sur la propagande d'idéologies
racistes, n'est pas justifiée. Me Oswald
déplore que le procureur Aufdenblatten, dans
sa duplique, n'ait pas crû bon de
répondre à cet argument de poids :
visiblement, il ne disposait plus de
contre-arguments pour le faire.
La loi antiraciste
interdit la négation d'un génocide.
Mais Jürgen Graf ne nie pas le génocide
des Juifs : il ne fait que contester le nombre des
victimes, ainsi que les gazages, si bien que de
tels considérations ne sauraient tomber sous
le coup de la loi antiraciste.
L'attitude critique
de Jürgen Graf face aux dires des
témoins oculaires est justifiée par
l'affaire Wilkomirski. Dans un article de la
Weltwoche, le Juif Daniel Ganzfried a
démasqué l'imposteur Wilkormiski et
l'histoire de son enfance soi-disant passée
à Maidanek et à Auschwitz,
inventée de A à Z. Il ne serait venu
à l'idée de personne de poursuivre
Daniel Ganzfried devant la Justice à cause
de cette révélation, bien que son
article soit aussi révisionniste.
Se basant sur le
principe de la non-rétroactivité des
lois, Me Oswald critique le fait que Jürgen
Graf a également été
condamné pour des livres publiés
avant l'entrée en vigueur de la loi
antiraciste. La raison invoquée selon
laquelle Jürgen Graf n'aurait pas interdit
à son éditeur Gerhard F?rster de
diffuser ses livres est lamentable, car il n'y
était nullement tenu.
Me Oswald met fin
à sa brillante plaidoirie en exigeant un
acquittement pur et simple : mais il reste
réaliste, et sait que le Tribunal est sous
l'empire de fortes pressions politiques. Dans ces
conditions, un acquittement est impossible pour des
raisons politiques, et il demande une peine
assortie du sursis. Son client évitera
alors, dans ses prochaines publications
révisionnistes, des formulations
incompatibles avec la loi, et veillera à ne
plus faire l'objet d'une plainte
pénale.
Dans un bref
réquisitoire prononcé en
bégayant, le procureur Aufdenblatten ne fit
que répéter ce qu'il avait
déjà raconté il y a un an, en
première instance : Jürgen Graf,
intelligent et doué pour la
réthorique, est un " esprit incendiaire "
qui porte une responsabilité dans
l'expansion de l'antisémitisme en Suisse. Il
est le porte-parole des extrémistes, qui ne
peuvent s'exprimer comme il sait si bien le faire,
et l'on tremble en songeant aux conséquences
ravageuses d'une telle influence.
Précisons
que, outre sa condamnation pour " discrimination
raciale ", Jürgen Graf fut encore
condamné à Frs 1'000,-- d'amende pour
" offense ", c'est-à-dire pour avoir
envoyé au professeur de théologie
Stegemann, un livre avec la dédicace
suivante : " au Prof. Stegemann, afin qu'il serve
le Christ plutôt que ses adversaires ". Il
est vrai que ce théologien protestant a fait
carrière grâce à ses efforts
visant à soumettre l'Eglise
évangélique à la juiverie.
Lors du procès de première instance,
Jürgen Graf avait admis qu'il
s'agissait-là d'un enfantillage regrettable.
Lorsqu'on lui posa la question de savoir s'il
voulait s'excuser auprès de Stegemann,
Jürgen Graf répliqua lors du
procès de première instance : " Un
professeur de théologie devrait avoir honte
de jouer une telle comédie pour un pareil
enfantillage ".
Le Juif
Liatowitsch, avocat de Stegemann, partie civile,
déclara que le procès intenté
à Jürgen Graf devait avoir un
caractère exemplaire. Pour lui, la
discrimination des minorités ne doit plus
exister, et la récente guerre au Kosovo a
démontré combien la tolérance
et le respect des Droits de l'homme sont
importants. Jürgen Graf est un ennemi de la
tolérance et des Droits de l'homme, ce qui
constitue une des raisons pour lesquelles il a
écrit ses livres.
En
conclusion, Jürgen Graf a fait la
déclaration suivante :
" D'abord, un mot
à l'attention de Me Liatowitsch : si les
Droits de l'homme vous tiennent tant à
cur, je souhaite que vous puissiez vous
engager en faveur des droits des Arabes et des
Palestiniens dans l'Etat terroriste et raciste
d'Israël ! Ce pays est le seul Etat au monde
où la torture est autorisée par la
Justice !
Il y a toujours eu
dans l'Histoire des tentatives
répétées de réprimer
par la force une vérité scientifique
contraire aux intérêts des puissants ;
l'exemple le plus connu est la persécution
des astronomes coperniciens à la fin du
Moyen Age. Aujourd'hui, dans nombre d'Etats
soi-disant " démocratiques ", des hommes
sont persécutés parce qu'ils mettent
en question l'image convenue du sort des Juifs
pendant la Deuxième guerre mondiale. Les
révisionnistes ont amassé une somme
d'arguments, qui contredisent la version officielle
et obligée de l'Holocauste. Comme on ne peut
rien opposer à ces arguments, on a
utilisé l'instrument de la
persécution pénale pour museler tout
débat à ce sujet. C'est une preuve
évidente de faiblesse, car celui qui veut
réprimer un débat par la force doit
avoir quelque chose à cacher. Je
réitère ici et maintenant ma
proposition à MM. Stegemann et Liatowitsch
de participer à un débat sur
l'Holocauste, ouvertement et en toute
objectivité, à la
télévision, à la radio ou sur
un podium public. On verra alors bien qui a les
meilleurs arguments !
Quant à
vous, Messieurs les juristes, vous savez bien que
la preuve matérielle et la preuve
documentaire prévalent de loin sur la preuve
testimoniale. Seuls les révisionnistes ont
rédigé des études
scientifiques, techniques et chimiques sur les
prétendues chambres à gaz homicides.
Les conclusions de ces recherches sont en
contradiction totale avec la version officielle de
l'Holocauste. Cette version se base exclusivement
sur les déclarations des témoins.
J'ai fait l'inventaire de ces témoignages
dans mon livre sur Auschwitz. Lisez ce que ces
témoins ont déclaré, c'est
catastrophique !
Dans " Blick " du
11 mars de l'an dernier, on pouvait lire qu'un
satyre, qui avait violé une fillette de 5
ans, avait été condamné
à 9 mois de prison avec sursis. Contre moi,
15 mois sans sursis ont été
prononcés. Un système qui punit des
opinions qui divergent sur certains aspects
controversés de l'Histoire contemporaine
plus sévèrement que le viol d'une
fillette de 5 ans se discrédite
lui-même et ne mérite plus la
confiance du justiciable !
La grande
majorité de l'assistance gratifia ces propos
d'applaudissements nourris, pendant qu'un Juif
allemand, persifleur, lançait à
Jürgen Graf : " Vous avez oublié
d'ajouter : Heil Hitler ! " Une telle pique
illustre parfaitement la mentalité de son
auteur, la même que celle du procureur
Aufdenblatten et de la Cour.
Jürgen Graf
fera recours auprès du Tribunal
fédéral à Lausanne. A un
journaliste, Jürgen Graf déclara
après l'audience que cette procédure
lui permettrait de gagner un peu de temps, et qu'il
mettrait à profit ce gain pour
travailler.
Commentaire
V&J
Depuis
l'introduction de la nouvelle norme pénale
dite antiraciste, on assiste à une
dérive toujours plus inquiétante du
pouvoir judiciaire, lequel a visiblement
accepté, et le procès de Jürgen
Graf en est l'illustration la plus visible, de
n'être plus qu'un instrument judiciaire.
Depuis l'entrée en vigueur de la loi, le 1er
janvier 1995, jusqu'à novembre 1998, soit
presque 4 ans, 80 décisions judiciaires ont
été prises en rapport avec une
violation de cette loi, et 40 jugements ont
été rendus. Nous voyons bien avec le
recul que l'art. 261 bis CPS amalgame deux cas de
figure distincts : l'alinéa 4 qui implique
la négation ou la simple mise en doute d'un
génocide, et qui présente le cas de
figure du délit d'opinion, et les autres
alinéas, qui répriment la
discrimination raciale, cela de manière
très générale. Cet amalgame a
servi dans un premier temps a faire accepter la loi
par le peuple : on enrobait ainsi la pilule
limitant la liberté d'expression,
c'est-à-dire l'alinéa 4, d'un bonbon
édulcoré et consensuel, les autres
alinéas, une majorité
d'électeurs étant convaincue de la
nécessité de réprimer
pénalement la discrimination raciale. Le
subterfuge a bien fonctionné, et le
Conseiller fédéral Arnold Koller, qui
déclarait sans rire dans " 24 Heures " du 29
septembre 1994 : " La liberté d'opinion est
tellement enracinée dans les têtes de
nos magistrats que je ne vois pas le moindre danger
", peut bien rire maintenant, alors qu'il savoure
une retraite dorée, mais guère
méritée, après avoir si bien
trompé le peuple suisse, de la
manière la plus odieuse et cynique qui soit.
Dans un deuxième temps, on constate que la
norme pénale dite antiraciste est devenue un
instrument de répression politique efficace,
au service du " lobby qui n'existe pas ", lequel,
simple coïncidence, pouvait dès la mise
en place de la loi muselière, mettre sur le
feu l'affaire dite des fonds juifs en
déshérence sans risque de faire
déborder la soupe. Il est maintenant
établi que la loi muselière sert
à réprimer toute opposition politique
non complaisante avec l'omnipotent et
omniprésent " lobby qui n'existe pas ",
preuves en sont les incroyables pressions subies
par les Chambres fédérales en vue
d'obtenir la levée de l'immunité
parlementaire du Conseiller national Rudolf Keller.
Qu'est donc devenue cette liberté d'opinion,
si bien " enracinée dans la tête de
nos magistrats " : en fait, des racines bien
faibles pour des baudruches bien grosses,
prêtes à s'envoler au moindre souffle
du vent dominant. N'hésitons pas à le
dire, la Justice argovienne a été
prise en flagrant délit de forfaiture. Ces
magistrats n'ont rien respecté : ni la
justice, ni la vérité, encore moins
leur serment et leur conscience. Ils ont mis
volontairement en bière l'Etat de droit,
avec la complicité active des
médiamenteurs. Avec pertinence, Jürgen
Graf a commenté son procès en le
qualifiant de " terroriste ". Il ne s'agit
là nullement d'une réaction
suscitée sous le coup de l'émotion du
moment, mais bien d'une constatation
réaliste concernant le caractère
arbitraire des débats. Le public fut
visiblement impressionné par le déni
de justice qu'a été le procès
de Jürgen Graf. Ceux, trop peu nombreux, qui
ont assisté à ces débats,
n'ont pu qu'éprouver un malaise certain, car
l'injustice ainsi mise en uvre ne se pare
même pas des sophismes utilisés le
plus souvent par la Justice quand elle veut masquer
certaines carences de procédure. Il y avait
là, au contraire, une volonté
manifeste de proclamer au grand jour le triomphe de
l'arbitraire, de la déraison et de
l'iniquité, autrement dit de faire valoir
ostensiblement le droit du plus fort, dans le sens
où la raison du plus fort est toujours la
meilleure. Cela étant dit, n'oublions pas
que la force, sous sa forme répressive, est
déjà un symptôme de
déclin et de faiblesse, car elle ne peut
plus qu'inquiéter, diviser et
réprimer pour se maintenir, au contraire des
forces positives, qui rassurent, rassemblent et
permettent d'envisager l'avenir avec confiance.
Comme le disait Stendhal dans une lettre
adressée au baron de Mareste le 21
décembre 1819 : " Une collection de
baïonnettes ou de guillotines ne peut pas plus
arrêter une opinion qu'une collection de
louis d'or ne peut arrêter la goutte ". Ces
forces positives et constructives resurgiront des
décombres du mur des mensonges, ces
mensonges que Jürgen Graf a
dénoncés sans haine et sans crainte,
avec courage, détermination et talent.
RLB
L'affaire
Reynouard
Pour avoir
publié de nombreux ouvrages
révisionnistes, Vincent Reynouard a
été révoqué de
l'Education nationale le 18 avril 1997. Depuis
cette date, lui, sa femme et ses trois enfants,
n'ont plus de domicile fixe ni de revenus
réguliers. Après de nombreuses
tribulations, la famille Reynouard a dû
s'expatrier en Belgique où un ami accepte de
les loger. Dans ces conditions, Vincent Reynouard
ne peut faire vivre sa famille qu'en vendant les
livres dont il est l'auteur. Ses écrits lui
ont valu une condamnation à 3 mois de prison
ferme, et son procès en appel aura lieu le
16 décembre 1999 à Rennes.
Malgré tout, Vincent Reynouard n'abandonne
pas son combat révisionniste.
Rédacteur principal de VHO Informations,
Vincent Reynouard publie un bulletin dont le
mérite premier revient à mettre en
lumière les effets des mensonges historiques
institués, résultant de la
Deuxième guerre mondiale, par rapport aux
événements de l'actualité la
plus récente. Vincent Reynouard ne manque
pas de projets, mais de moyens pour les
réaliser. Ce qu'il a déjà fait
est une preuve de sa compétence et de son
engagement. Pour venir en aide à la famille
Reynouard, un Cercle des Amis de la famille
Reynouard a été constitué
à l'adresse suivante :
Vincent
et Marina Reynouard
C/O
V.H.O
Postbus 60
B-2600 Berchem-2
L'affaire
Plantin
Jean Plantin est un
jeune universitaire titulaire d'une maîtrise
d'histoire et d'un DEA, âgé de 33 ans.
Formé à la recherche historique, il
publie une revue historique de haute volée,
" AKRIBEIA ". Pour avoir simplement
mentionné dans sa revue trois publications
révisionnistes interdites de diffusion par
le ministère de l'Intérieur, il a
été interpellé le 13 janvier
1999 par des policiers, conduit dans les locaux de
la police de Lyon et retenu pendant 24 heures dans
des conditions indignes d'une nation
civilisée. Jean Plantin vient d'être
condamné le 27 mai 1999 à 6 mois de
prison avec sursis, à 10'000 FF d'amende et
à 39'000 FF de
dommages-intérêts en faveur
d'associations juives. lesquelles exigent
maintenant que l'Université de Lyon annule
les diplômes obtenus par Jean Plantin.
Renseignements pour s'abonner à AKRIBEIA
à l'adresse suivante :
Jean
Plantin
45/3
route de Vourles
F-69230 Saint-Genis-Laval