Non
au micro-goulag !
Plusieurs événements survenus
dernièrement nous indiquent qu'un régime
dit démocratique ne craint plus de montrer
ouvertement son véritable visage.
Derrière le masque du libéralisme, une
dictature met en place la répression en
criminalisant l'opposition nationale sous couvert
d'appliquer une loi dite antiraciste. Depuis 1995,
date de l'instauration de cette loi, la
répression a frappé surtout des
personnes isolées : condamnés
pénalement, embastillés, frappés
d'ostracisme, discriminés socialement et
professionnellement par les prétendus
apôtres de la " tolérance ", les "
racistes ", marqués du sceau de l'infamie,
devaient jouer le rôle d'épouvantail afin
de dissuader quiconque aurait la tentation d'utiliser
activement sa matière grise. Pourquoi
réfléchir, quand une
société " tolérante " et "
généreuse " permet à chacun de
s'éclater en participant à une " Street
Parade " du genre de celle qui a réuni le
dimanche 13 août dernier à Zürich
près de 500 000 microcéphales
lobotomisés au son des tam-tam
électroniques et des petites pilules roses ?
Les esclaves - nouveaux ou anciens - n'ont ni famille,
ni patrie, ni histoire, mais il faut bien laisser les
plus dociles se défouler après le
travail. Pour les autres, il suffira de resserrer d'un
cran la muselière, en saisissant le
prétexte du chahutage du conseiller
fédéral Kaspar Villiger par des
skinheads à l'occasion de la Fête
nationale du Premier Août au Grütli. Cet
incident a été monté en
épingle par les médias afin de
désigner publiquement les cibles à
abattre : skinheads, groupes de réflexion,
partis politiques et autres associations
infréquentables. Tous sont
désignés à la vindicte populaire
et à l'extermination virtuelle, car la
répression veut s'en prendre maintenant aux
collectivités dissidentes. Mais quand le
conseiller national écologiste Patrice Mugny
incite à la haine et à la violence en
suscitant l'agression physique des
représentants de l'UDC réunis en
congrès à Genève le 19 août
dernier, on devine qui sera la prochaine cible : rien
de moins que le premier parti politique de Suisse !
Concrètement, cela signifie que le
Département fédéral de justice et
police est mis sous pression afin d'étendre le
champ d'application de la norme pénale
antiraciste à la sphère privée.
C'est pourquoi la conseillère
fédérale Ruth Metzler vient de mandater
l'Office fédéral de la police afin qu'il
examine dans quelle mesure la loi-muselière
permettrait de réprimer certains actes qui sont
encore protégés par le droit de
réunion ou le droit à la
propriété privée. Une telle
extension signifierait tout simplement la fin des
libertés individuelles et la porte ouverte
à tous les dérapages. Les procès
Amaudruz et Graf, dont V&J a publié les
comptes rendus détaillés, nous donnent
un avant-goût de ce qui attend la dissidence.
Ces événements confirment la
nécessité d'une association comme
V&J, car les témoignages et les
informations que nous collectons constituent une base
documentaire indispensable pour organiser la riposte.
Cette évolution montre que V&J avait vu
juste, car le combat s'est déplacé du
terrain politique au terrain juridique. La norme
pénale antiraciste offre une base légale
pour asseoir la répression politique, mais les
leçons de l'Histoire nous montrent que les lois
d'exception sont surtout le symptôme d'une
faiblesse endémique du système dominant,
lequel se montrant incapable de convaincre, en est
réduit à contraindre et à
réprimer pour s'imposer. Il n'en reste pas
moins que dans l'immédiat la situation
s'aggrave dangereusement et nécessite le
regroupement de ceux qui sont conscients de
l'inquiétante dérive totalitaire de
notre Etat de droit. C'est pourquoi V&J lance un
appel aux victimes de cette répression afin
qu'ils participent à une " Table ronde " en vue
d'organiser un front de défense uni. Il faut
à tout prix sortir du piège juridique
dans lequel on veut enfermer l'opposition nationale et
porter le débat sur la place publique et le
terrain politique. Il y va de la survie de nos
libertés et, comme toujours dans notre pays,
face à un danger commun, l'union fait la force
!
Quelles
nouvelles de Jürgen Graf ?
Rappelons que Jürgen Graf est censé
accomplir une peine ferme de 15 mois d'emprisonnement
pour violation de la loi dite antiraciste (art. 261
bis CPS) Le président de V&J va effectuer
pendant le mois de septembre des recherches en Pologne
en compagnie d'un géologue. Ces travaux
consistent à sonder le terrain au moyen d'un
radar de profondeur afin de déceler
d'éventuelles traces des fosses communes qui
auraient servi à enfouir des victimes de l'"
Holocauste ". Selon la version officielle, les corps
auraient ensuite été exhumés et
incinérés, afin qu'aucune preuve du
crime ne subsiste. Des sondages effectués
à Treblinka montrent par exemple que les
terrains incriminés n'ont jamais
été creusés, ce qui voudrait dire
qu'il n'y a jamais eu de fosses communes dans ce camp.
Des recherches plus approfondies devraient
établir la preuve de l'existence, ou de la
non-existence, de ces fosses communes. Dès
octobre, Jürgen Graf sera en Russie, où il
poursuivra ses investigations dans les archives
d'Etat. Avant de quitter la Russie, il donnera une
conférence de presse pour dénoncer la
répression politique en Suisse. Qui aurait tenu
le pari, il y a dix ans, suite à la chute du
Mur de Berlin, que la situation connaîtrait une
telle évolution ? Alors que censure et
répression font maintenant parties de notre lot
quotidien, Jürgen Graf a pu vendre dans l'ex-pays
du Goulag plus de 300 000 exemplaires de la traduction
russe de l'Holocauste au scanner ! En contrepartie, la
mafia juive de Russie a importé ses " coucous "
chez nous, autrement dit des sociétés
chargées du recyclage des fonds volés en
Russie. Ces mafieux et leurs complices locaux,
recrutés jusque dans les plus hautes
sphères du pouvoir - le cas du juge Verda -,
ont commencé par mettre au pas une Justice
suisse qui avait pris au pied de la lettre les
rodomontades du procureur Bertossa, champion
autoproclamé de la lutte antimafia.
Acquittements pour Mykhaïlov à
Genève et Grossrieder à Fribourg,
condamnations pour Graf à Baden et Amaudruz
à Lausanne, on sait maintenant qui commande
dans ce pays !
L'affaire
des fonds juifs en
déshérence
" Ces dernières années, l'industrie
de l'Holocauste est devenue une pure et simple
entreprise de racket et d'extorsion de fonds. " (Le
Temps, 9 août 2000). Les propos musclés
de Norman Finkelstein, auteur de The Holocaust
Industry, ne sont sans doute pas
répréhensibles pénalement,
puisque ses parents sont des " survivants de
l'Holocauste "
Le 26 juillet 2000, le juge
Edward Korman de New York a ratifié l'accord
conclu le 12 août 1998 entre les banques suisses
et les organisations juives portant sur le versement
de 1,25 milliard de dollars d'indemnités pour "
solde de tout compte "
A la surprise
générale, les banques cantonales et les
banquiers privés ont appris l'existence d'un
amendement secret qui les obligeraient à ouvrir
leurs comptes et leurs archives aux enquêteurs
de la Commission Volcker. Thomas Sutter, porte-parole
de l'Association suisse des banquiers a fait part de
sa stupéfaction dans un entretien
accordé au quotidien Le Temps du 29 juillet
2000 : " La surprise vient du fait que cet accord,
négocié il y a deux ans, n'exigeait pas
que l'ensemble des banques y participe puisque les
deux grands établissements du pays
négociaient pour tout le monde. Nous
n'étions pas davantage au courant d'un
amendement. Sans parler des industriels qui doivent
également annoncer dans les trente jours s'ils
ont employé des travailleurs forcés dans
leurs filiales en Allemagne ". En cas de refus, ces
entreprises seraient exclues de l'accord et pourraient
faire l'objet de nouvelles plaintes collectives. En
acceptant l'arbitrage d'un tribunal américain,
les banques suisses inaugurent ainsi un service
nouveau en faveur de la clientèle : le libre
choix du for juridique. Les esprits chagrins y verront
plutôt une discrimination entre clients : les
clients de première classe, c'est-à-dire
les organisations juives, et les autres, autrement dit
les locataires et les propriétaires, qui
contribueront à éponger les 1,25
milliard en supportant une hausse du taux
hypothécaire.
L'affaire
Garaudy
Nous venons d'apprendre que le Tribunal
fédéral a confirmé le jugement
rendu par le tribunal cantonal genevois, lequel
déboutait la Licra dans ses prétentions
de se constituer partie civile contre le libraire
genevois qui avait vendu quelques exemplaires des
Mythes fondateurs de la politique israélienne.
Rappelons qu'au procès Berclaz à
Châtel-Saint-Denis, la Licra avait
renoncé à se porter partie civile,
après qu'elle eût pris connaissance des
objections de la défense
Un succès
à l'actif de V&J !
Le Juif
international
L'histoire édifiante de ce livre symbolise
de manière exemplaire la toute-puissance du "
lobby qui n'existe pas ", puisque l'ouvrage qui avait
révélé aux yeux du grand public
la réalité de cette toute-puissance a en
quelque sorte été censuré par son
éditeur lui-même, à savoir le
grand Henry Ford, pionnier de l'industrie automobile
aux Etats-Unis. Ingénieur, inventeur,
entrepreneur, et homme d'affaires de génie,
Henry Ford était bien placé pour voir
comment fonctionne le Big Business. Pacifiste
engagé, Henry Ford a vu dans quelles conditions
et au profit de quels intérêts les
Etats-Unis sont entrés en guerre en 1917, alors
qu'il avait lui-même tout tenté pour
essayer de mettre fin au conflit. Afin de
dénoncer les instigateurs et profiteurs du
massacre, il décida de mener une grande
enquête qui sera publiée dans son
journal, The Dearborn Independant, organe de la Ford
Motor Company. Ces articles seront regroupés
dans un livre publié en 1920 sous le titre Le
Juif international. Victime d'un attentat, soumis
à des pressions visant l'existence même
de ses entreprises, Henry Ford sera contraint de
s'excuser publiquement pour avoir publié Le
Juif international
C'est dire
l'intérêt extraordinaire que
présente cet ouvrage, fruit d'une enquête
qui a bénéficié de moyens
exceptionnels. C'est pourquoi V&J a
décidé de traduire ce texte capital en
français, augmenté d'une préface
et d'une postface. Prix de souscription : 40 francs
suisses (Frs 50,-- dès parution, prévue
pour fin 2000).
La
Conférence internationale de
Vérité & Justice
La conférence internationale
organisée par V&J sur les thèmes du
sionisme et du révisionnisme verra des
intervenants venir des cinq continents. Cet
événement médiatique aura lieu
finalement les 27, 28 et 29 novembre 2000.
L'organisation d'une telle conférence suscite
des frais importants, raison pour laquelle le
Comité de V&J vous remercie d'avance pour
vos contributions.
Association Vérité
& Justice
CCP 17 - 658980 - 4