No hate. No violence. Races? Only one Human race. United We Stand, Divided We Fall. Know Your enemy. Act Now! Tomorrow it will be too late.

QUAND LA VERITE N’EST PAS LIBRE, LA LIBERTE N’EST PAS VRAIE

Bulletin d’information
de l´Association Vérité et Justice, CP 355, 1618, Châtel-Saint-Denis, Suisse, Rédacteur : René-Louis Berclaz
Nr: 1 - 2 - 3 - 4 - 5 - 6 - 7 - 8 - 9 - 10 - 11 - 12 - 13 - 14 - 15

No 5 / septembre 2000
Non au micro-goulag !

Plusieurs événements survenus dernièrement nous indiquent qu'un régime dit démocratique ne craint plus de montrer ouvertement son véritable visage. Derrière le masque du libéralisme, une dictature met en place la répression en criminalisant l'opposition nationale sous couvert d'appliquer une loi dite antiraciste. Depuis 1995, date de l'instauration de cette loi, la répression a frappé surtout des personnes isolées : condamnés pénalement, embastillés, frappés d'ostracisme, discriminés socialement et professionnellement par les prétendus apôtres de la " tolérance ", les " racistes ", marqués du sceau de l'infamie, devaient jouer le rôle d'épouvantail afin de dissuader quiconque aurait la tentation d'utiliser activement sa matière grise. Pourquoi réfléchir, quand une société " tolérante " et " généreuse " permet à chacun de s'éclater en participant à une " Street Parade " du genre de celle qui a réuni le dimanche 13 août dernier à Zürich près de 500 000 microcéphales lobotomisés au son des tam-tam électroniques et des petites pilules roses ? Les esclaves - nouveaux ou anciens - n'ont ni famille, ni patrie, ni histoire, mais il faut bien laisser les plus dociles se défouler après le travail. Pour les autres, il suffira de resserrer d'un cran la muselière, en saisissant le prétexte du chahutage du conseiller fédéral Kaspar Villiger par des skinheads à l'occasion de la Fête nationale du Premier Août au Grütli. Cet incident a été monté en épingle par les médias afin de désigner publiquement les cibles à abattre : skinheads, groupes de réflexion, partis politiques et autres associations infréquentables. Tous sont désignés à la vindicte populaire et à l'extermination virtuelle, car la répression veut s'en prendre maintenant aux collectivités dissidentes. Mais quand le conseiller national écologiste Patrice Mugny incite à la haine et à la violence en suscitant l'agression physique des représentants de l'UDC réunis en congrès à Genève le 19 août dernier, on devine qui sera la prochaine cible : rien de moins que le premier parti politique de Suisse ! Concrètement, cela signifie que le Département fédéral de justice et police est mis sous pression afin d'étendre le champ d'application de la norme pénale antiraciste à la sphère privée. C'est pourquoi la conseillère fédérale Ruth Metzler vient de mandater l'Office fédéral de la police afin qu'il examine dans quelle mesure la loi-muselière permettrait de réprimer certains actes qui sont encore protégés par le droit de réunion ou le droit à la propriété privée. Une telle extension signifierait tout simplement la fin des libertés individuelles et la porte ouverte à tous les dérapages. Les procès Amaudruz et Graf, dont V&J a publié les comptes rendus détaillés, nous donnent un avant-goût de ce qui attend la dissidence. Ces événements confirment la nécessité d'une association comme V&J, car les témoignages et les informations que nous collectons constituent une base documentaire indispensable pour organiser la riposte. Cette évolution montre que V&J avait vu juste, car le combat s'est déplacé du terrain politique au terrain juridique. La norme pénale antiraciste offre une base légale pour asseoir la répression politique, mais les leçons de l'Histoire nous montrent que les lois d'exception sont surtout le symptôme d'une faiblesse endémique du système dominant, lequel se montrant incapable de convaincre, en est réduit à contraindre et à réprimer pour s'imposer. Il n'en reste pas moins que dans l'immédiat la situation s'aggrave dangereusement et nécessite le regroupement de ceux qui sont conscients de l'inquiétante dérive totalitaire de notre Etat de droit. C'est pourquoi V&J lance un appel aux victimes de cette répression afin qu'ils participent à une " Table ronde " en vue d'organiser un front de défense uni. Il faut à tout prix sortir du piège juridique dans lequel on veut enfermer l'opposition nationale et porter le débat sur la place publique et le terrain politique. Il y va de la survie de nos libertés et, comme toujours dans notre pays, face à un danger commun, l'union fait la force !

 


Quelles nouvelles de Jürgen Graf ?

Rappelons que Jürgen Graf est censé accomplir une peine ferme de 15 mois d'emprisonnement pour violation de la loi dite antiraciste (art. 261 bis CPS) Le président de V&J va effectuer pendant le mois de septembre des recherches en Pologne en compagnie d'un géologue. Ces travaux consistent à sonder le terrain au moyen d'un radar de profondeur afin de déceler d'éventuelles traces des fosses communes qui auraient servi à enfouir des victimes de l'" Holocauste ". Selon la version officielle, les corps auraient ensuite été exhumés et incinérés, afin qu'aucune preuve du crime ne subsiste. Des sondages effectués à Treblinka montrent par exemple que les terrains incriminés n'ont jamais été creusés, ce qui voudrait dire qu'il n'y a jamais eu de fosses communes dans ce camp. Des recherches plus approfondies devraient établir la preuve de l'existence, ou de la non-existence, de ces fosses communes. Dès octobre, Jürgen Graf sera en Russie, où il poursuivra ses investigations dans les archives d'Etat. Avant de quitter la Russie, il donnera une conférence de presse pour dénoncer la répression politique en Suisse. Qui aurait tenu le pari, il y a dix ans, suite à la chute du Mur de Berlin, que la situation connaîtrait une telle évolution ? Alors que censure et répression font maintenant parties de notre lot quotidien, Jürgen Graf a pu vendre dans l'ex-pays du Goulag plus de 300 000 exemplaires de la traduction russe de l'Holocauste au scanner ! En contrepartie, la mafia juive de Russie a importé ses " coucous " chez nous, autrement dit des sociétés chargées du recyclage des fonds volés en Russie. Ces mafieux et leurs complices locaux, recrutés jusque dans les plus hautes sphères du pouvoir - le cas du juge Verda -, ont commencé par mettre au pas une Justice suisse qui avait pris au pied de la lettre les rodomontades du procureur Bertossa, champion autoproclamé de la lutte antimafia. Acquittements pour Mykhaïlov à Genève et Grossrieder à Fribourg, condamnations pour Graf à Baden et Amaudruz à Lausanne, on sait maintenant qui commande dans ce pays !

 


L'affaire des fonds juifs en déshérence

 

" Ces dernières années, l'industrie de l'Holocauste est devenue une pure et simple entreprise de racket et d'extorsion de fonds. " (Le Temps, 9 août 2000). Les propos musclés de Norman Finkelstein, auteur de The Holocaust Industry, ne sont sans doute pas répréhensibles pénalement, puisque ses parents sont des " survivants de l'Holocauste "… Le 26 juillet 2000, le juge Edward Korman de New York a ratifié l'accord conclu le 12 août 1998 entre les banques suisses et les organisations juives portant sur le versement de 1,25 milliard de dollars d'indemnités pour " solde de tout compte "… A la surprise générale, les banques cantonales et les banquiers privés ont appris l'existence d'un amendement secret qui les obligeraient à ouvrir leurs comptes et leurs archives aux enquêteurs de la Commission Volcker. Thomas Sutter, porte-parole de l'Association suisse des banquiers a fait part de sa stupéfaction dans un entretien accordé au quotidien Le Temps du 29 juillet 2000 : " La surprise vient du fait que cet accord, négocié il y a deux ans, n'exigeait pas que l'ensemble des banques y participe puisque les deux grands établissements du pays négociaient pour tout le monde. Nous n'étions pas davantage au courant d'un amendement. Sans parler des industriels qui doivent également annoncer dans les trente jours s'ils ont employé des travailleurs forcés dans leurs filiales en Allemagne ". En cas de refus, ces entreprises seraient exclues de l'accord et pourraient faire l'objet de nouvelles plaintes collectives. En acceptant l'arbitrage d'un tribunal américain, les banques suisses inaugurent ainsi un service nouveau en faveur de la clientèle : le libre choix du for juridique. Les esprits chagrins y verront plutôt une discrimination entre clients : les clients de première classe, c'est-à-dire les organisations juives, et les autres, autrement dit les locataires et les propriétaires, qui contribueront à éponger les 1,25 milliard en supportant une hausse du taux hypothécaire.


L'affaire Garaudy

Nous venons d'apprendre que le Tribunal fédéral a confirmé le jugement rendu par le tribunal cantonal genevois, lequel déboutait la Licra dans ses prétentions de se constituer partie civile contre le libraire genevois qui avait vendu quelques exemplaires des Mythes fondateurs de la politique israélienne. Rappelons qu'au procès Berclaz à Châtel-Saint-Denis, la Licra avait renoncé à se porter partie civile, après qu'elle eût pris connaissance des objections de la défense… Un succès à l'actif de V&J !

 


Le Juif international

L'histoire édifiante de ce livre symbolise de manière exemplaire la toute-puissance du " lobby qui n'existe pas ", puisque l'ouvrage qui avait révélé aux yeux du grand public la réalité de cette toute-puissance a en quelque sorte été censuré par son éditeur lui-même, à savoir le grand Henry Ford, pionnier de l'industrie automobile aux Etats-Unis. Ingénieur, inventeur, entrepreneur, et homme d'affaires de génie, Henry Ford était bien placé pour voir comment fonctionne le Big Business. Pacifiste engagé, Henry Ford a vu dans quelles conditions et au profit de quels intérêts les Etats-Unis sont entrés en guerre en 1917, alors qu'il avait lui-même tout tenté pour essayer de mettre fin au conflit. Afin de dénoncer les instigateurs et profiteurs du massacre, il décida de mener une grande enquête qui sera publiée dans son journal, The Dearborn Independant, organe de la Ford Motor Company. Ces articles seront regroupés dans un livre publié en 1920 sous le titre Le Juif international. Victime d'un attentat, soumis à des pressions visant l'existence même de ses entreprises, Henry Ford sera contraint de s'excuser publiquement pour avoir publié Le Juif international… C'est dire l'intérêt extraordinaire que présente cet ouvrage, fruit d'une enquête qui a bénéficié de moyens exceptionnels. C'est pourquoi V&J a décidé de traduire ce texte capital en français, augmenté d'une préface et d'une postface. Prix de souscription : 40 francs suisses (Frs 50,-- dès parution, prévue pour fin 2000).

 


La Conférence internationale de Vérité & Justice

 

La conférence internationale organisée par V&J sur les thèmes du sionisme et du révisionnisme verra des intervenants venir des cinq continents. Cet événement médiatique aura lieu finalement les 27, 28 et 29 novembre 2000. L'organisation d'une telle conférence suscite des frais importants, raison pour laquelle le Comité de V&J vous remercie d'avance pour vos contributions.

Association Vérité & Justice
CCP 17 - 658980 - 4

 

 


Bulletin d’information
de l´Association Vérité et Justice, CP 355, 1618, Châtel-Saint-Denis, Suisse, Rédacteur : René-Louis Berclaz
Nr: 1 - 2 - 3 - 4 - 5 - 6 - 7 - 8 - 9 - 10 - 11 - 12 - 13 - 14 - 15
En Suisse: la "Judéocratie" remplacera-t-elle la démocratie?

Israël rééduque la Suisse !

Une parodie juive en Suisse!_

Une parodie juive au scanaire


La Suisse occupée !

La Suisse existe-t-elle?-

La Suisse et les "fonds juifs"



The Jewish Propaganda!
HOME