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Kevin MacDonald : Culture De La Critique – L’implication Juive Dans Le Mouvement Psychanalytique (3)

Le statut scientifique de la psychanalyse

Nathan de Gaza était un formidable exemple de l’archétype du Juif imaginatif et dangereux, qui allait prendre une importance mondiale au moment de la sécularisation de l’intellect juif. Il était capable de construire un système d’explications et de prédictions des phénomènes qui était à la fois hautement plausible et en même temps assez imprécis et flexible pour s’accommoder des événements nouveaux, souvent fort inconfortables, quand ils survenaient. Et il avait le don de présenter sa théorie protéiforme (…) avec un aplomb et une force de persuasion extraordinaires. Marx et Freud allaient exploiter le même genre de talent.

P. Johnson, A History of the Jews, p. 267-268

Les objections bien fondées expliquant que la psychanalyse est une pseudo-science ont été formulées depuis longtemps. Même en laissant de côté les objections de grande portée faites par certains chercheurs en psychologie d’orientation expérimentale, il existe depuis les années 1970 toute une série d’analyses extrêmement critiques de la psychanalyse faites par des universitaires aussi distingués qu’Henri Ellenberger, Frank Solloway, Adolph Grünbaum, Frank Cioffi, Eysenck, Malcolm Macmillan, E. Fuller Torrey, et pour citer le plus connu, Frederick Crews. Ces deux extraits résument bien cette tradition universitaire :

Devons nous conclure que la psychanalyse est scientifique ? D’après mon diagnostic, la théorie de Freud, à n’importe quelle étape de son évolution, n’a pas produit quoi que ce soit d’où l’on puisse tirer des explications adéquates. Dès le départ, la plupart des énoncés qui se faisaient passer pour de la théorie étaient en réalité de la description, et de la mauvaise description qui plus est (…) Chacune des thèses clés du développement ultérieur de sa théorie ne faisait qu’affirmer ce qu’il aurait fallu expliquer (…)

Aucun de ses épigones, y compris ses critiques révisionnistes qui étaient eux-mêmes des psychanalystes, n’a approfondi les énoncés de Freud qui sont au fondement de leur pratique, en particulier en ce qui concerne la « méthode fondamentale » – les associations libres. Parmi eux, personne ne s’est demandé si ces énoncés résistent aux situations thérapeutiques, personne n’a même tenté de sortir du cercle (Macmillan, Freud Evaluated : The Completed Arc, p. 610-612)

Ce qui passe aujourd’hui pour de la démolition de Freud n’est que l’examen attendu depuis longtemps des idées de Freud à la lumière des critères communs du discours empirique en général : qu’il soit non-contradictoire, clair, expérimentable, probant et explicatif avec parcimonie. Peu à peu, nous découvrons que Freud a été la figure la plus surévaluée de toute l’histoire de la science et de la médecine, et qu’il a causé d’immenses dégâts en propageant des étiologies fausses, des diagnostics erronés et des hypothèses infécondes. Cependant, la légende est dure au mal et ceux qui la contestent sont traités comme des chiens enragés. (Crews et al., The Memory Wars : Freud’s Legacy in Dispute, p. 298-299)

Même ceux qui se situent à l’intérieur de camp psychanalytique ont souvent remarqué le manque de rigueur scientifique des premiers psychanalystes et il faut dire que la question du manque de rigueur scientifique les taraude encore. P. Gay, qui considère pourtant que la psychanalyse est une science, dit que les psychanalystes de la première génération « interprétaient, intrépides, les rêves de leurs collègues, et tombaient, mordants, sur leurs lapsus de langue ou de plume. Dans leurs diagnostics, ils employaient librement, beaucoup trop librement, des termes comme ‘paranoïaque’ ou ‘homosexuel’ pour caractériser leurs associés ou carrément eux-mêmes. Ils pratiquaient au sein de leur cercle le même genre d’analyses sauvages qu’ils critiquaient chez les autres au motif qu’elles manquaient de tact, de scientificité et de fécondité. »

P. Gay considère que « Malaise dans la Civilisation est l’une des œuvres [de Freud] qui a eu le plus d’écho ». Or il semble bien aujourd’hui que la théorie développée par Freud dans cet ouvrage, auparavant dans Totem et Tabou, repose sur un certain nombre de conceptions extrêmement naïves et préscientifiques sur le comportement sexuel et son rapport à la culture. Remarquons qu’au moment d’établir ses thèses, Freud avait dû rejeter sommairement la théorie de l’inceste d’Edward Westermarck, qui forme aujourd’hui la base des théories scientifiques modernes sur le sujet.

Cependant, rien n’empêcha le docteur Freud, procédant par bonds spéculatifs, de diagnostiquer que la culture occidentale était fondamentalement névrotique, alors qu’à en juger par L’Homme Moïse et la Religion monothéiste, le judaïsme incarnait le sommet de la bonne santé mentale et de la supériorité morale et intellectuelle. Il semble que Freud était bel et bien conscient que les conjectures très subversives de Totem et Tabou reposaient entièrement sur de la spéculation. Quand un anthropologue britannique qualifia cet ouvrage d’ « inventé », Freud s’en « amusa » et répondit lapidairement que ce critique « manquait de fantaisie » (Gay, op. cit. p. 327), concession manifeste de la nature fantaisiste de son livre.

Freud affirmait : « Avec ce genre de matériau, il serait insensé de s’efforcer d’être exact, et déraisonnable d’exiger de la certitude » (ibidem. p. 330). Dans le même sens, Freud avait décrit Malaise dans la Civilisation comme étant « un ouvrage de dilettante pour ce qui est de ses fondements », sur lesquels « repose une fine couche d’enquête analytique » (ibid. p. 543).

Au sujet de l’idée lamarckienne – avancée par Freud dans les ouvrages que nous examinons – d’une hérédité de la culpabilité, Peter Gay écrit qu’il s’agit d’ « une extravagance pure et simple, empilée sur l’extravagance antérieure voulant que le meurtre primitif fût un événement historique réel. » Cette évaluation est loin de prendre la mesure de l’intensité du refus de l’esprit scientifique qui se fait jour dans ces textes. C’était quelque chose de plus que de l’extravagance. Freud acceptait une théorie génétique, l’hérédité des caractères acquis, qui était complètement rejetée par la communauté scientifique, au moins au moment où Malaise dans la Civilisation remettait cette doctrine sur le tapis. Il s’agissait d’une théorie délibérément tirée de son chapeau, mais qui n’était pas sans arrières-pensées. Au lieu de proposer des spéculations qui réaffirmeraient les fondements moraux et intellectuels de la culture de son temps, ses spéculations étaient au service de la guerre qu’il menait à la gentilité, à telle enseigne qu’il considérait Totem et Tabou comme une victoire remportée sur Rome et l’Église catholique.

De même, L’Avenir d’une Illusion était une attaque en règle contre la religion, menée au nom de la science. Le docteur Freud avait lui-même reconnu que le contenu scientifique de cet ouvrage était faible : « Le contenu analytique de cet ouvrage est très maigre » (ibid. p. 524). Gay considère que dans cet ouvrage, Freud n’est « pas à la hauteur de ses propres exigences », lesquelles interdisent pourtant assez peu, nous l’avons vu, la spéculation au service d’arrières-pensées politiques. Freud pratique dans cet ouvrage, encore une fois, la spéculation au service de la subversion des institutions de la gentilité. Cette attitude était typique chez lui. Crews fait remarquer que Freud affirmait que Dostoïevski n’était pas épileptique, mais hystérique et qu’il souffrait d’avoir été témoin d’une scène primitive (*) « tout en ressentant typiquement le désir coupable d’être tenté et tout en faisant comme si le problème avait été réglé, de façon tout aussi typique. » En réalité, Dostoïevski était épileptique.

De leur côté, le complexe d’Œdipe, la sexualité infantile et l’étiologie sexuelle des névroses – autrement dit les trois grandes doctrines qui sous-tendent la critique freudienne radicale de la gentilité – ne jouent à l’heure actuelle absolument aucun rôle dans la psychologie du développement de l’enfant. D’un point de vue évolutionnaire, l’idée qu’il y aurait une attraction sexuelle spécifique de l’enfant pour son parent du sexe opposé est hautement improbable, puisqu’un tel rapport incestueux aboutirait à une dépression de consanguinité et augmenterait l’exposition aux maladies causées par les gènes récessifs. L’idée que les garçons désirent tuer leurs pères entre en conflit avec l’importance que la théorie de l’évolution de la famille attribue au père en tant que pourvoyeur de ressources. Les garçons qui auraient tué leur père et couché avec leur mère se seraient retrouvés avec une progéniture génétiquement inférieure et sans soutien ni protection paternelle. Les études les plus modernes sur la question du développement de l’enfant montrent que beaucoup de pères et de fils ont des rapports très proches et de mutuelle affection datant de la petite enfance, et que le schéma normal concernant les rapports entre mère et fils consiste en des rapports très intimes et affectueux, mais dénués de tout aspect sexuel.

Le fait que ces concepts n’aient jamais cessé de vivre à l’intérieur des cercles psychanalytiques témoigne de la nature non-scientifique de l’entreprise tout entière. À ce titre, Kurzweil fait remarquer ce qui suit :

Au début, les freudiens cherchaient à ‘prouver’ l’universalité du complexe d’Œdipe ; ensuite, ils finirent par la considérer comme acquise. Pour finir, ils cessèrent de faire référence aux causes de l’universalité de la sexualité infantile et ne parlèrent plus de ses conséquences dans leurs monographies : ils l’acceptaient, un point c’est tout. (The Freudians : A Comparative Perspective, p. 89)

Ce qui avait commencé comme une spéculation en attente de corroboration empirique termina sa trajectoire à l’état de dogme fondamental a priori.

Les recherches scientifiques inspirées par ces principes freudiens fondamentaux ont cessé il y a longtemps et, en un sens, elles n’ont jamais commencé. Fondamentalement, la psychanalyse n’a jamais inspiré une quelconque recherche importante au sujet des trois constructions freudiennes en question. Il est intéressant de remarquer que Freud avait présenté frauduleusement les données qui étaient au fondement de ces concepts. Esterson a établi de façon convaincante que les patients du docteur Freud ne lui avaient confié aucune information relative à la séduction infantile ou aux scènes primitives. Les récits de séduction infantile qui forment la base empirique du complexe d’Œdipe étaient des reconstructions de Freud.

Quand il informait ses patients de ses constructions, il interprétait la détresse qu’ils lui manifestaient comme une preuve de la justesse de sa théorie. Par la suite, Freud a pratiqué la tromperie pour cacher le fait que les récits de ses patients étaient des reconstructions et des interprétations fondées sur une théorie a priori. Freud a aussi changé rétroactivement l’identité des séducteurs imaginaires, qui étaient au départ des adultes extérieurs à la famille (des domestiques, par exemple), afin que les récits correspondissent au complexe d’Œdipe, lequel exige des pères. Esterson mentionne un grand nombre d’autres exemples de tromperie (et d’auto-tromperie) et fait remarquer qu’ils étaient tous couchés par écrit dans le style brillant et très persuasif caractéristique de la prose du docteur Freud.

Parallèlement à Esterson, Lakoff et Coyne ont montré que la fameuse analyse du cas de l’adolescente Dora (dont le refus des avances pédophiles d’un homme marié était attribué à l’hystérie et à la répression sexuelle) n’était fondée que sur des idées controuvées et des raisonnements circulaires par lesquels les réactions émotionnelles négatives de Dora aux hypothèses psychanalytiques devenaient les preuves de l’hypothèse en question. À une étape antérieure de son élaboration théorique, le docteur Freud avait pratiqué le même genre de fabrication trompeuse en croyant que les séductions avaient réellement eu lieu. Avec une méthodologie pareille, n’importe quel résultat désiré pouvait être produit.

Une tendance particulièrement flagrante consiste à interpréter la détresse et la résistance du patient comme une marque de la vérité des allégations psychanalytiques. Évidemment, les patients n’étaient pas les seuls à résister à la psychanalyse, mais toutes les autres formes de résistance étaient de la même manière des marques de la vérité de la psychanalyse. Freud lui-même écrivit :

« Je rencontre une telle hostilité et vis un tel isolement qu’il faut supposer que j’ai découvert de grandes vérités » (in Bonaparte, Freud & Kris, The Origins of Psychoanalysis : Letters, Drafts and Notes to Wilhelm Fleiss, 1887-1902, p. 163).

Comme nous allons le voir, la résistance à la « vérité » psychanalytique de la part des patients, des psychanalystes déviants et même de civilisations tout entières était considérée comme le signe certain de la vérité de la psychanalyse et de la pathologie de ceux qui y résistaient.

En vertu du tour interprétatif et reconstructif de ces élaborations théoriques, l’autorité du psychanalyste devenait le seul critère de vérité des allégations psychanalytiques, situation qui déboucha naturellement sur la résultat attendu, à savoir que le mouvement, pour réussir, devait être fortement autoritaire. Comme nous allons le voir, le mouvement était autoritaire dès les commencements et l’est resté tout au long de son histoire.

Il faut remarquer que la base interprétative, herméneutique, de l’élaboration théorique en psychanalyse est formellement identique aux procédures de commentaire talmudique et midrachique des écritures. Les psychanalystes ont toujours eu tendance à supposer que le simple accord avec des faits d’observation était le critère suffisant d’une explication causale et scientifiquement acceptable. Les psychanalystes résident dans une sorte d’école maternelle de la science, où personne ne divulgue le secret des grandes personnes, à savoir qu’une explication causale réussie doit être différentielle et établir la supériorité d’une hypothèse sur toutes ses concurrentes. » (Crews, The unknown Freud : An exchange, p. 40)

Comme nous le verrons au sixième chapitre, la production de théories consensuelles qui correspondent à la réalité observable mais qui n’ont aucun contenu scientifique est un trait caractéristique des mouvements intellectuels juifs du vingtième siècle.

Un théoricien qui affirmerait que les enfants normalement attirés sexuellement par leur parent du sexe opposé serait banni du monde scientifique contemporain s’il faisait reposer sa supposition que les enfants recherchent un tel contact sur de la psychologie. Une erreur accablante persiste dans toute l’œuvre de Freud : l’absorption de l’amour dans le désir sexuel.

Depuis ses premiers commencements, la psychanalyse a estimé qu’il valait mieux qualifier ces impulsions amoureuses de pulsions sexuelles (in Wittels, Sigmund Freud : His Personality, His Teachings & His School, p. 141)

Cette remarque laisse à penser que cette assimilation était délibérée et met aussi en lumière la désinvolture avec laquelle les psychanalystes traitaient leurs hypothèses. Freud voyait tous les types de plaisirs comme autant de manifestations fondamentalement différentes d’un seul plaisir sexuel, sous-jacent, unitaire, mais infiniment transformable, qui expliquait aussi bien la gratification orale de la tétée du nourrisson, que la gratification anale de la défécation, ou la gratification sexuelle, et enfin l’amour. Les chercheurs contemporains affirment souvent que les liens d’affection entre parents et enfants sont importants du point de vue du développement infantile et que les enfants recherchent cette affection. Ceci étant dit, les théories actuelles et les données disponibles, ainsi que le point de vue évolutionnaire bien entendu, n’apportent absolument aucun élément en faveur de l’identification des liens d’affection avec le désir sexuel ou qui pourraient laisser entrevoir la possibilité d’un désir sexuel déplacé ou sublimé. Les contemporains soutiennent au contraire l’idée de systèmes beaucoup moins continus, où le désir sexuel et l’affection (ainsi que les autres sources de plaisir) relèveraient de systèmes relativement séparés et indépendants. D’un point de vue évolutionnaire, les rapports d’affection forts (l’amour) entre mari et femme et entre parents et enfants fonctionnent comme une source de cohésion sociale dont la fin dernière est d’apporter un haut niveau de soutien à l’enfant.

L’absorption de l’amour dans le désir sexuel est manifeste chez plusieurs successeurs de Freud, comme Norman O. Brown, Wilhelm Reich et Herbert Marcuse, dont les cas seront examinés plus tard. On peut résumer ainsi la ligne générale de leurs écrits : si seulement la société pouvait se débarrasser de ses répressions sexuelles, alors les rapports humains pourraient se fonder sur l’amour et l’affection. Ce point de vue est naïf et socialement destructeur, au plus haut point, compte tenu de l’état actuel de la science dans ce domaine. Les allégations contraires des psychanalystes n’ont jamais été autre chose que des spéculations au service d’une guerre contre la culture de la gentilité.

Dans ses lumineuses ruminations sur Freud, Cuddihy fait découler cette opinion de Freud du fait que pour les Juifs, le mariage était quelque chose de strictement utilitaire. Theodore Reik, disciple de Freud, affirmait à ce titre que l’ancienne génération de Juifs pensaient que « l’amour n’existe que dans les romans et les pièces de théâtre » et que « l’amour ou la romance n’ont pas de place dans la Judengasse [rue aux Juifs] ». Dans ces conditions, Freud voyait l’amour comme une invention de la gentilité étrangère, moralement suspecte par voie de conséquence. Sa nature véritablement hypocrite de vernis au service de l’instinct sexuel et de sublimation de celui-ci allait être démasquée par la psychanalyse. Comme nous allons le développer plus amplement ci-après, ce point de vue tout à fait dévastateur allait avoir des conséquences importantes dans la fabrique sociale des sociétés occidentales de la fin du vingtième siècle.

Pour finir, une autre erreur de fond et qui illustre la nature politique du projet freudien tout entier, est l’affirmation que les pulsions sexuelles ont une base biologique très puissante (le ça), alors que des traits de caractère comme la responsabilité, la fiabilité, le fait d’être ordonné, la culpabilité et la capacité de remettre à plus tard la gratification (ce que la théorie de la personnalité appelle la conscienciosité) seraient des choses imposées par une société répressive et source de pathologies. James Q. Wilson, faisant remarquer l’utilité de ces notions psychanalytiques le cadre de la guerre faite à la culture des Gentils, affirmait à juste titre que l’idée que la conscience « est le produit de la répression est une bonne chose à croire pour qui veut se libérer des contraintes de la conscience – la conscience devenant un policier qui vous crie « haut les mains » et vous empêche de vous ‘réaliser’. » (The Moral Sense, p. 104)

En réalité, la conscienciosité est un système biologique d’importance capitale que la communauté juive a placé sous une pression eugénique intensive.

La perspective évolutionnaire considère que les deux systèmes ont une base biologique et ont l’un comme l’autre des fonctions adaptatives très importantes. Aucun animal et bien sûr aucun homme n’a jamais été en position de se consacrer exclusivement à la gratification égoïste et il n’y a aucune raison de supposer que notre biologie serait orientée vers l’unique objet de la gratification et du plaisir immédiats. Dans le monde réellement existant, l’obtention de buts évolutionnaires exige au contraire de faire attention aux détails, de faire des plans soigneusement pensés et de savoir remettre la gratification à plus tard.

Le maintien en vie de ces notions dans la communauté psychanalytique témoigne de la vitalité de la psychanalyse en tant que mouvement politique. La séparation délibérée et maintenue de la psychanalyse d’avec les institutions scientifiques de la psychologie du développement, illustrée par le fait que ses organisations sont à part, que ses revues sont à part et que les effectifs des uns et des autres pour l’essentiel ne se recoupent pas, est une preuve supplémentaire que la structure fondamentale de la psychanalyse en tant que mouvement intellectuel fermé se maintient jusqu’à aujourd’hui. Et de fait, l’auto-ségrégation de la psychanalyse correspond bien à la structure traditionnelle du judaïsme vis-à-vis de la société des Gentils. Nous voyons là le développement de deux univers discursifs parallèles portant sur la psychologie humaine – deux visions du monde incompatibles qui ont de l’analogie avec les discours religieux différents qui ont séparé, au cours des âges, les Juifs de la gentilité environnante.






Kevin MacDonald : Culture de la Critique





   - Préface à la première édition brochée

- Les Juifs Et La Gauche (1) - L’implication Juive Dans Le Mouvement Psychanalytique (1)
- Les Juifs Et La Gauche (2) - L’implication Juive Dans Le Mouvement Psychanalytique (2)
- Les Juifs Et La Gauche (3) - L’implication Juive Dans Le Mouvement Psychanalytique (3)
- Les Juifs Et La Gauche (4) - L’implication Juive Dans Le Mouvement Psychanalytique (4)
- Les Juifs Et La Gauche (5) - L’implication Juive Dans Le Mouvement Psychanalytique (5)
- Les Juifs Et La Gauche (6) - L’implication Juive Dans Le Mouvement Psychanalytique (6)
- L’implication Juive Dans Le Mouvement Psychanalytique (7)

 


"Si j'étais un leader arabe, je ne signerais jamais un accord avec Israël. C'est normal; nous avons pris leur pays. [...] Ils ne voient qu'une seule chose : nous sommes venus et nous avons volé leurs terres. Pourquoi devraient-ils accepter cela ?"

- David Ben-Gourion, premier ministre israélien, cité par Nahum Goldmann dans "Le Paradoxe Juif", page 121.


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