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La Chronique de Maxime Pale

2

Cette chronique hebdomadaire traite de la situation politique en France et du role de l'ideologie propagadiste dominante dans la création d'une histoire erronée et d'une pensée unique dans ce pays. Il amorce une serie d'autres textes qui critiquent l'histoire telle qu'elle est enseignée dans les ecoles françaises.


 

LES NOUVEAUX JUIFS

 

Sur les bancs de la République

 

 

* * *

"Lorsque dans le silence de l'abjection, l'on n'entend plus retentir que la chaîne de l'esclave et la voix du délateur; lorsque tout tremble devant le tyran, et qu'il est aussi dangereux d'encourager sa faveur que de mériter sa disgrâce, l'historien paraît, chargé de la vengeance des peuples."
Chateaubriand.

* * *

 

Prologue

 

Dans Le Monde du 15-16 juin dernier, une dépêche de la rubrique Société porte le titre "Révisionnisme". Un titre lourd de sens dans les pages de ce quotidien, véritable tribune libre des plus exécrables propagandistes de l'exterminationisme. La dépêche annonce la suspension par le rectorat d'un professeur d'histoire et géographie, M. Michel Adam, pour avoir émis, je cite, "Des opinions de nature révisionniste ou négationniste (sic) en présence d'élèves." Le cher homme a, parait-il, contesté la déportation en présence d'une ancienne déportée donnant un cours à ses élèves. Nul besoin d'autre commentaire de la part du Monde. L'accusation est suffisamment explicite et grave, c'est clair.
Il faut attendre Rivarol du 4 juillet pour connaître le fin mot de cette laconique dépêche. M. Adam a fauté, et par deux fois. Deux fois! Voyez-vous cela! Une dame se pointe dans sa classe, une ancienne déportée, Mme Christiane Cabalé. Jusqu'ici, pas de problème. Et puis la voilà qui projette un film sur la déportation. Logique. Mais tout bascule dans l'immonde quand le professeur Adam lui signale "les insuffisances et erreurs" de son film. On l'aura compris, il y a du révisionnisme dans l'air. D'où sanction. D'où interdiction faite à Mr Adam d'enseigner en classe de Troisième.
Mais le bougre remet ça, et en rajoute une couche. Il accuse la cinéphile d'être responsable de sa situation et de sa sanction. Il est alors suspendu, tandis que la triste FCPE demande la radiation de l'historien pourtant jugé "agréable" par les parents et élèves.
La chasse au monstre, quoi.
Ne serait-il pas aussi pédophile, des fois?
 
* * *
 
1. Tu finiras dans les livres d'histoire
 
Tout ça est intriguant, je trouve.
Le mec avait pourtant fait son boulot, non? Bien sûr, pas forcément le job que lui demandait la République et son institution chérie, l'Ecole publique, laïque et obligatoire. Pas exactement. Comprenez, le gars est un professeur d'histoire et de géographie. Son rôle est d'enseigner, pas de commenter, nous en conviendrons. Mettons qu'il peut faire les recherches qu'il souhaite de son côté. Mais en classe, bon. Il enseigne. Il n'a pas vraiment à faire de commentaire, à priori, disons. Il n'a pas à donner son avis, à la base.
C'est un peu un idéal, ça, une sorte d'absolu.
L'histoire qu'il inculque aux têtes blondes est supposée objective, et vraie. Il n'a donc aucun droit à la contredire, à la nuancer.
Le problème est plutôt dans les livres d'histoire. Parce que l'histoire qu'il y a dans ces bouquins est une histoire fausse. C'est l'histoire écrite par les républicains qui se sont emparés de l'école au début du siècle. C'est une histoire écrite au profit d'une idéologie, une histoire partisane, un petit peu marquée à gauche, nous dirons.
On le sait, la France vit sous le règne idéologique de la République morale. Une République qui n'a pu asseoir son autorité que dans la défaite politique et morale des ennemis de l'illusion démocratique. Quelque part aux alentours de la Seconde Guerre Mondiale, je crois. Et depuis cette date, la République s'est assise sur un tabou unique qui est la honte du génocide juif. La France, terre de l'infâme collaboration, doit expier ses pêchés passé en combattant à jamais les adversaires de la République, l'ombre de la croix gammée.
A jamais.
C'est pourquoi nos livres d'histoires sont des erreurs et des mensonges. Ils sont l'histoire d'une idéologie triomphante qui condamne moralement ses adversaires. Tout comme l'Etat d'Israël se sert du génocide, amplifié jusqu'à l'absurde pour justifier sa colonisation de la Palestine, la République française et son idéologie massiste et a-culturelle se sont emparés du souvenir d'Auschwitz pour justifier leur lutte contre les doctrines alternatives.
Et ce souvenir est devenu tabou.
Qu'il soit basé sur une réalité ou une amplification abusive et instrumentale, personne n'a le droit de le remettre en cause. Il est la clef de voûte des manuels scolaires républicains. Sans ce souvenir honteux et intouchable, l'histoire idéologique de la République devient celle d'aventuriers illégitimes aux doctrines incohérentes. La République perd sa justification morale si on lui ôte la culpabilité des déportations.
L'histoire écrite dans les manuels scolaire est une propagande totalitaire.
Alors nous pouvons en parler, du job de l'historien, dans ces conditions. Il y a deux attitudes possibles, je pense. Pas une de plus. Il y a ceux que diffuser l'histoire officielle décidée par le système ne dérange pas trop. Soit qu'ils soient eux-mêmes intoxiqués par les mensonges d'une République aujourd'hui séculaire, soit qu'ils se fassent délibérément les propagateurs de ces aberrations historiques. Le résultat est le même. Ces mecs sont des défenseurs farouches des vérités imposée par les oligarchies républicaines. Ils sont prêts à lutter dans la diffamation et la violence, symbolique ou réelle, contre ceux qui osent remettre en cause leurs versions unique et partisane des événements passés.
Vous vous souvenez d'un type nommé Althusser? C'est un gars qui a écrit dans les années 1970, un philosophe. Il a beaucoup parlé à l'époque d'un truc appelé les appareils idéologiques d'Etat.
Je vous rafraîchis la mémoire.
Ces appareils sont des institutions distinctes de l'appareil répressif d'Etat, police ou armée, qui ne fonctionnent pas à la violence mais à l'idéologie. Une oligarchie ne peut imposer sa domination sur l'Etat et la Nation que si elle exerce une hégémonie sur les appareils idéologiques d'Etat. Ce sont des appareils scolaires, syndicaux, médiatiques ou culturels. Ce sont les canaux par lesquels le système diffuse son idéologie et dresse les membres d'une société en modelant leurs consciences. Dans les écoles, devant leurs télévisions, dans leurs associations culturelles ou politiques, les membres d'une société subissent sans cesse la propagande d'Etat.
C'est de cette façon qu'une histoire réinventée par l'Etat et la République est diffusée dans les écoles, qu'elle est louée dans la presse, jusqu'aux grandes fêtes de commémoration annuelle. Du genre 14 juillet débile, ça me fait mal à la tête.
Alors bien sûr, un petit prof d'histoire, au milieu de tout ça, il n'a pas forcément une marge de manoeuvre énorme. Il fait son truc, il débite ses cours en se basant sur une autre institution bien française, la manuel scolaire idéologique. Il n'a pas trop le choix, à première vue. Il fait partie de l'Ecole républicaine, merveille des merveilles, fer de lance de la reproduction du système oligarchique. Alors il est tenu d'adhérer, même à contrecoeur, aux vérités historiques imposées par l'Etat. Sans ces vérités, la République s'écroule. Alors les professeurs chargés de les diffuser ne sont que des intermédiaires, sans existence intellectuelle propre, et dont l'opinion n'est pas censée compter.
Parfois, le belle mécanique du système dérape.
Et tout ça à cause d'une deuxième catégorie de mecs qui n'ont pas trop envie de suivre toute leur vie les consignes du totalitarisme républicain. C'est peut-être cela, le véritable rôle d'un historien, non? L'histoire, c'est un peu la recherche d'un putain de vérité, non? Tout le monde ne peut pas la manipuler n'importe comment. Et un mec qui se spécialise dans la recherche des faits historiques a justement pour rôle de contester les versions officielles de l'Etat et ses présupposés moraux.
Dans un régime totalitaire, c'est pas toujours la fête, hein.
Les institutions idéologiques d'Etat pratiques un véritable lavage de cerveau sur les esprits des citoyens. Et l'effort de l'historien est alors de renier tout ce qui est enseigné dans les manuels de l'école publique, de rejeter toute oeuvre culturelle approuvée par l'Etat, livres, films et autres, et enfin de rétablir la vérité historique au nom, peut-être, d'une certaine idée de la liberté d'opinion et de la liberté de penser.
Ce cher Mr Adam s'est aperçu que ce genre d'attitude ne payait pas. Moi, ça me parait évident. Il n'est jamais bon de s'opposer à la doctrine d'Etat au sein d'un régime qui traque impitoyablement ses opposants. Il ne va pas les flinguer, bien sûr. C'est finis, ça. Mais il suffit largement d'une opprobre morale et administrative, bien pratique. Fin du fin, on va jusqu'à remettre en cause leur qualité d'historien.
Au revoir, Mr Adam!
L'histoire républicaine se souviendra de vous comme d'un criminel...
  
* * *
  
2. L'école des cadres de la République
(au bal du 14 juillet)
  
La République nous parle de belles choses. Elle cause assimilation, intégrations et valeurs morales universelles. Tout ça est merveilleux. La liberté, l'égalité, la fraternité. Ce sont les bases de l'idéologie républicaine au pouvoir en France depuis la Révolution. C'était il y a longtemps, je sais, mais la doctrine est restée. Elle s'est perpétuée, sans se lasser, générations après générations.
C'est beau, tout ça, non?
La vérité, c'est que l'école et l'université n'ont qu'un seul et unique but qui est la formation des cadres moraux de la République. Il ne s'agit que de former des militants cachés, des partisans qui s'ignorent, qui n'ont pas conscience de leur engagement, tant les principes républicains sont ancrés profondément en eux.
Tenez, l'autre jour, je lisais encore un truc dans Le Monde, début juillet. C'était un truc écrit sur Allegre, notre nouveau secrétaire général à la formation doctrinale, comprenez le ministre de l'éducation de Jospin. Le cher homme parle d'une sorte de réforme de l'enseignement. Et il est question quelque part de nouvelles matières à enseigner. Disons qu'il s'agirait en gros de rajouter des cours de Morale Civique.
C'est typiquement français, ça.
C'est tout juste si les oligarchies au pouvoir s'embarrasse de dissimuler leur propagande dans le système de l'éducation nationale. Les leçon de civisme. Je me souviens, j'y ai eu droit, il y a bien longtemps. Ce truc est aussi vieux que l'Ecole républicaine. C'est un thème flou et vague, une sorte d'auberge espagnole absurde qui dissimule mal ses véritable buts, à savoir l'inculcation d'une morale partisane et d'un cadre de pensée rigide aux élèves. Une sorte de complément aux cours d'histoire qui ne sont déjà qu'une désastreuse apologie de la démocratie et de la République bancale.
Qu'est-ce qu'il y a dans l'éducation civique? Des petits truc sur les institutions françaises, des machins sur les principes qui les sous-tendent. Un curieux mélange, en fait, telle que la France en raffole. Une association entre les enseignements techniques sur les mécanismes de la République et de la Démocratie, et les valeurs morales et citoyennes sans lesquelles tout le reste s'effondre, faute de légitimité. C'est ça la morale civique. C'est du gauchisme mièvre et intolérant que l'on présente comme un aboutissement politique, institutionnel et moral.
C'est très logique, tout ça. Un parti politique ou un mouvement idéologique se doivent de former leurs futurs cadres dans des écoles créées à cette fin. La reproduction du système et de ses oligarchies fascistes nécessite à la fois un renouvellement des élites d'après un modèle idéologique unique, et une socialisation partisane de l'ensemble de la population.
Du fascisme, je vous dis.
L'une des caractéristiques des mouvement fascistes des années 1920 ou 1930 était justement la forte socialisation idéologique des militants. L'organisation autoritaire de ces mouvements ne pouvait pas supporter la moindre déviance à la doctrine telle que l'avait défini ses dirigeants. Or l'école républicaine est une école des cadres fascistes élargie à l'échelle d'une Nation. C'est le canal par lequel la République diffuse son histoire tronquée et prépare les esprits à la défense inconditionnelle de la tromperie démocratique.
Le moindre écart par rapport à la pensée officielle est alors défini comme un acte monstrueux et condamnable. Les élèves ainsi éduqués sont prêts à rejoindre les rangs uniformes de l'idéal républicain, prêts à rejoindre le Grand Parti Moral qui impose son idéologie à la France.
Et ils aiment ça, les jeunes.
Voyez, par exemple dans les IEP, par exemple. Science Po, quoi. Un régal, une merveille. Il n'y a que ça, ça grouille de gauchistes. Des braves petits républicains en puissance qui ne jurent que par la pensée unique. Dans une école aussi prestigieuse qui devrait former de futurs chercheurs en Science Politique, on ne trouve que des militants plus ou moins conscients, clonés à l 'infini.
Des petits gars qui ont la tête pleine d'idéologies et de concepts politiques. Et ils sont pourtant incapables de voir qu'on leur a lavé le cerveau depuis longtemps avec la plus insidieuse des doctrines. Une doctrine universelle à l'image du marxisme, et qu'ils acceptent comme telle. Ils lui ôtent sont caractère relatif pour en faire la seule pensée vraie et bonne. C'est à dire que cette doctrine, elle devient absolue, exhaustive et donc moralement logique. Et ces jeunes qui n'ont pas leur pareil pour prendre de haut n'importe laquelle des vieilles idéologies de ce siècle, se rangent en ordre de bataille impeccable dès qu'il s'agit de défendre la République.
C'est déjà trop tard, je pense.
C'est le principe de Grand Consensus Moral. Les profs et les élèves se renvoient la même image et la même vision de la société et de l'histoire de France. Des cours qui devraient justement les aider à remettre cette vision et cette histoire en question, ne font que renforcer les convictions des étudiants, acquises sur les bancs républicains. Tout le monde s'entend sur des bases qui devraient être le sujet même des discussions dans les cours. Et ceux qui dévient de ce droit chemin sont inévitablement exclus et stigmatisés.
Et qu'est-ce que voulez donc faire contre ça?
Partout, il n'y a que des bons petits républicains. Des mecs qui fraternisent qui tolèrent et qui égalisent. Des mecs qui sont horrifiés par le souvenir du génocide, à tel point que prononcer le mot "juif" leur semble suspect ou leur fait peur. Des types qui ne se sont jamais posé la question de savoir si la Démocratie était bien le système indépassable qu'on prétend. Ils sont des milliers, comme ça. Leur esprit est modelé dès leur plus jeune âge. Ils ne savent plus penser par eux-mêmes.
Moi aussi, vous savez, je vais au bal du 14 juillet.
Je fais la fête, ce soir-là, je célèbre la République. Parce que tout le monde fait comme ça et que je n'ai pas envie de rester planqué chez moi alors que les autres s'éclatent. Je prétends garder un peu de recul, c'est vrai. Je regarde ça avec un certain cynisme, quand tout le monde danse en louant la République. Je me dis que les allemands faisaient pareil à l'époque, devant Hitler. N'empêche que je n'y coupe pas. Toute ma jeunesse, j'ai vu les feux d'artifice en ce soir de juillet. Et j'ai encore envie de les voir. Parce que mine de rien, on n'échappe pas comme ça aux rituels navrants de la République totalitaire. Et puis c'est beau, un feu d'artifice, alors on va pas se priver, les mecs.
Avec les petits drapeaux bleus, blancs et rouges.
A coup de manuels d'éducation civique et morale, à coup de fanfares historiques fantaisistes. Terminé. Les têtes innocentes comme la mienne sont pleines de valeurs et d'idéaux qui ne les lâcheront plus jamais. Elles sont hypnotisés. Et toute remise en question de l'idéologie de l'Etat entraîne chez elles le dégoût, la haine et l'écoeurement. Moi, je fais des efforts, mais bon, c'est pas toujours la panacée, hein.
La France n'a qu'une pensée, elle n'a qu'une doctrine. Elle forme les générations, les unes après les autres. Chacun des mecs qui passe par l'école publique en ressort avec une vision déformée du monde. Il croit connaître une certaine vérité en matière d'histoire et de politique. Il croit pouvoir continuer sa putain de route avec des bases sûres en matière de philosophie et de morale politique. Mais en fait, il n'est plus rien d'autre qu'une machine programmée pour défendre la République à chaque instant de sa vie, persuadé qu'il est de la supériorité de ce concept politique sur les autres.
La liberté de pensée, dans les écoles françaises, ça n'existe pas.
Le but du jeu n'est pas d'éduquer des gars capables de réfléchir par eux-mêmes et de réfléchir à leur propre conception du politique. Il s'agit de créer une vaste armée idéologique de réserve. Des mecs qui seront prêts à mourir pour la République en croyant se battre pour la liberté d'expression. C'est parmi eux que les oligarchies vont mobiliser les hommes qui défendront la pseudo-démocratie contre les idéologies alternatives.
Le révisionnisme, dans ce contexte, c'est de la dissidence, pure et simple.
  
* * *
3. Les nouveaux juifs de la République
Marianne est si jolie
 
 
Un révisionniste n'a pas sa place dans les rouages de la République. Il représente une histoire parallèle, située en marge du monde dans lequel vivent les républicains. Un monde fait de symboles et de rites magiques qui sacralisent le souvenir de la révolution française. Comme un mythe construit avec les exploits légendaires des pères fondateurs.
C'est le monde de l'Etat jacobin et centralisateur. C'est le monde des rituels démocratiques de masse et des principes universels pompeux. Toute une mythologie morale vautrée dans le souvenir d'aventuriers arrivistes et sanguinaires à jamais présentés dans les livres d'histoire comme des héros.
Le révisionniste s'en prend à un truc bien précis, à savoir le souvenir du génocide juif. C'est à dire aussi la base même de toute la puissance de la République face aux alternatives idéologiques. On se souvient de cette même République avant la Seconde Guerre Mondiale. Un vrai calvaire, le chemin de croix. Des mecs partout dans les rues pour la remettre en question. Des types qui braillent et qui tempêtent pour démolir les mythes encore faiblards de la révolution française et des bienfaits universels de la démocratie égalitaire.
Bien sûr, après la guerre, c'est un peu délicat.
Avec les morts dans les fameux camps et tout ça, il n'est pas trop évident de prétendre critiquer l'idéologie républicaine et sa tolérance impayable. Disons que ça ne rigole plus. La République a trouvé dans l'exterminationisme un moyen pas mal efficace pour condamner à jamais ceux qui mettraient un bémol à l'allégresse générale. La défaite des fascismes fut une défaite idéologique et morale pour toutes les autres conceptions de la société qui luttaient contre les oligarchies républicaines, même les plus éloignées des régimes autoritaires allemands ou italiens.
Alors quand un historien met le doigt sur un truc comme le génocide juif, quand il dénonce l'instrumentalisation et l'amplification de cet évènement, il s'en prend aux fondations même de la stabilité de la République d'après-guerre.
C'est pas vraiment tolérable, ça.
D'où les persécutions, juridiques, administratives, médiatiques ou parfois même physiques. Les livres de ces historiens de la vérité sont brûlés dans de gigantesques autodafés moraux. Leurs noms sont crachés comme des injures par les républicains hargneux qui s'agitent sur les petits écrans. Ils sont victimes d'isolement intellectuel et se voient interdire l'accès aux écoles et aux universités.
Ils sont traités comme les juifs sous le régime national-socialiste.
Ou alors comme les communistes aux Etats-Unis lors des chasses aux sorcières. La République rejette les révisionnistes. Elle encourage ses cadres obéissant à les traquer, les repérer et les dénoncer aussitôt. Elle fait l'apologie de la délation, de la suspicion et du contrôle des idées et pensées. Du délire! Bientôt les révisionnistes seront marqués de stigmates. On leur fera porter un signe cousu sur le bras afin qu'ils soient reconnus dans la rue. Ils sont les nouveaux juifs de la République. Ils luttent pour leur liberté dans un Etat fasciste qui en fait des monstres et des créatures maléfiques.
Et les nouveaux nazis républicains sont ceux qui les pourchassent.
Marianne est sanguinaire. C'est un autel païen qui réclame sans cesse plus de victimes sacrifiées au nom de la République. J'aime Marianne, j'aime son buste installé dans les mairies de chacun de nos villages. Je la regarde et je vois cette République qui prétend avoir combattu le mal dans le passé. Elle affirme qu'une aube de liberté s'est alors levée pour les peuples d'Europe quand Hitler et Mussolini ont été vaincu. C'était les méchants, il faut dire. Elle nous parle de la convergence des société vers la Démocratie, loin au dessus de la barbarie.
Marianne est tout cela, si belle et rayonnante.
Mais elle porte en elle tout ce que la République a prétendu vaincre au milieu de ce siècle. Elle représente la fin de toute liberté de pensée et l'appareil repressif d'Etat le plus parfait.. Marianne est une putain, de luxe. Si pure à l'extérieure, si chaude et attrayante.
J'aime Marianne.
Bientôt, les révisionnistes seront déportés. Tout ça avait commencé un peu pareil, pour les opposants politiques et intellectuels au nazisme. D'abord les brimades, les violences gratuites, les acharnements administratifs. Et puis des lois, de plus en plus de lois qui s'accumulent pour ôter peu à peu toute liberté, toute possibilité d'exister. Et un beau jour, sous un prétexte quelconque, une profanation d'un cimetière juif, sans doute encore fomentée par la République elle-même, ce sera la déportation. Et les révisionnistes iront crever dans les camps de la Démocratie fasciste.
Le coup du prof Adam, c'est le futur déporté face à l'ancienne déportée.
Je pense que la prochaine affaire Dreyfus concernera un révisionniste. Et la République pourra alors dévoiler toute l'ampleur de ses moyens de répression et toute la force de son endoctrinement scolaire.
Mais la contre-histoire des historiens qui cherchent encore à passer leurs recherches au crible de la vérité se nourrira encore longtemps de la ségrégation dont elle est victime. Avec son acharnement, la République prouve sa peur, et les lacunes de son intoxication intellectuelle. Elle montre les zones d'ombre que sa propagande ne peut pas atteindre. Et je suppose que si les juifs ont survécu à l'holocauste et à la répression, les révisionnistes pourront bien continuer à se battre sous une dictature morale et totalitaire.
Alors j'embrasse Marianne à pleine bouche sous les lueurs des feux d'artifice.
C'est tout de même exaltant, non? Vivre sous une régime répressif qui vous menace à chaque instant de votre vie. Et ça, simplement parce que vous refusez de penser comme il vous l'a enseigné. C'est un beau combat, quelque part. Voyez, j'en viendrais presque à remercier les républicains et leur idéologie. Ils m'ont fait comprendre que la lutte pour la liberté d'expression possédait encore un sens, une raison d'être dans notre vieille Europe. Moi qui pensait, plus jeune, et c'était hier, que tous les combats appartenaient au passé, et que l'idéal démocratique avait finis par tout résoudre! Tout semblait si fade, à l'époque.
J'ai compris que c'était ce même putain d'idéal démocratique qu'il fallait affronter.
Vive la République, vive la France!
 
Maxime Pale
 



Les Chroniques de Maxime Pale

   1. La "démocratie" totalitaire

   2. Sur les bancs de la République

   3. Les mythes fondateurs...

   4. La pensée unique!

   5. La révolution idéologique

   6. La rafle de la mémoire

   7. L´"Holocauste": un commerce lucratif!

   8. Révisionnismes, populismes et sionismes

   9. Honte et péché de la République française

  10. Qu'est-ce qui succédera au mensonge?

  11. Le révisionnisme face à la répression


"Si j'étais un leader arabe, je ne signerais jamais un accord avec Israël. C'est normal; nous avons pris leur pays. [...] Ils ne voient qu'une seule chose : nous sommes venus et nous avons volé leurs terres. Pourquoi devraient-ils accepter cela ?"

- David Ben-Gourion, premier ministre israélien, cité par Nahum Goldmann dans "Le Paradoxe Juif", page 121.


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