Gollnisch
soutenu par plusieurs
centaines de militants
(Dépêche de l'AFP datée 1er mars 2005)
Gollnisch:
"Les morts des deux guerres sont morts pour
que nous puissions nous exprimer librement."
"Bruno Gollnisch, soutenu par plusieurs centaines de militants du Front national (FN), a fait mardi matin une entrée théâtrale dans les locaux de l'université Lyon III, où il était convoqué devant la section disciplinaire à la suite de ses propos ambigus sur les chambres à gaz, a constaté une journaliste de l'AFP."Je suis un universitaire irréprochable, ma toge est sans tache. On peut ne pas partager mes opinions de parlementaire et d'élu local. Mais je n'ai jamais mélangé, moi, mon engagement politique avec mon enseignement", a déclaré M. Gollnisch, vêtu de sa toge jaune de professeur d'université.
"Les morts des deux guerres, y compris dans ma propre famille, sont morts pour que nous puissions nous exprimer librement. Ceux qui récupèrent leur mémoire pour en tirer profit, politique ou financier, pour culpabiliser les Français, ceux-là et ceux-là seuls sont les véritables négateurs de notre histoire", a ajouté le délégué général du FN.
M. Gollnisch, professeur de droit et de japonais actuellement suspendu, est ensuite entré dans les locaux de l'université avec son avocat pendant que ses partisans, 400 selon la police, 1.000 selon les organisateurs, entonnaient la Marseillaise.
Les manifestants, parmi lesquels se trouvaient notamment Carl Lang, secrétaire général du FN, et de nombreux élus frontistes, sont alors partis en cortège jusqu'au rectorat, agitant des pancartes proclamant "Touche pas à mon prof", "Non à la police de la pensée", "Assez de persécutions"...
L'audience devant la section disciplinaire devait durer plusieurs heures.
La commission, composée d'une dizaine de professeurs d'université de toutes matières, doit décider d'éventuelles sanctions dans les prochains jours.
Son rapport devrait être rendu public "en début de semaine prochaine", selon la direction de Lyon III.
Lors d'une conférence de presse le 11 octobre dernier, M. Gollnisch avait assuré "ne pas remettre en cause les déportations", "les millions de morts", ou "l'existence des chambres à gaz homicides", mais avait ajouté:
"quant à savoir la façon dont les gens sont morts, le débat doit avoir lieu".
Gollnisch: "... pour que nous puissions nous exprimer librement".
... Sous la pression d'un lobby juif qui se croit tout permis
Zur Verteidigung Bruno Gollnischs
Les juifs sont activement en train de massacre la liberté d'expression - sur tout ce qui touche à leur domination - menant ainsi à la décadence de la démocratie en Occident et particuliérement en France. Dans certains pays en occident (France, Allemagne, Belgique, Suisse...) s'est développé un cancer juif policier qui s'attaque à tous les esprits qui répugnent à accepter des versions juives de l'histoire imposées et protégées par la "loi" et la police. Ainsi la justice et la Police de la pensée juive sont sur les dents. Des "intellectuels" et journalistes mercenaires font leur office en dénonçant les "mal-pensants" et en essayant de les éliminer par tous les moyens. Les "vigilants", les éradicateurs et les épurateurs veillent. Les dénonciations pleuvent dans les milieux les plus divers. L'ensemble de ces affaires forment un baromètre de l'état de santé intellectuel et moral de l'Occident en décadence, dont le moins qu'on puisse dire est qu'il est très bas. Ces procès grotesques ("administratives" ou "judicières") intentés par des boutiques obscurantistes juives en perdition, ne nous apprennent rien. Ils veulent simplement étouffer les voix libres dissidentes. C'est peine perdue, et ils le savent bien.
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