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 Mon Combat

ADOLF HITLER

 

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Le peuple et ta race

 

Certaines vérités courent tellement les rues que, précisément pour cela, le vulgaire ne les voit pas, ou du moins ne les reconnaît pas. Il passe le plus souvent devant elles sans les voir, ainsi qu'il reste aveugle devant des vérités aveuglantes, et qu'il est extrêmement surpris quand quelqu'un vient soudain à découvrir ce que tous devraient pourtant savoir. Il y a tout autour de nous, par centaines de milliers, des problèmes aussi simples à résoudre que l'œuf de Christophe Colomb, mais ce sont précisément les hommes du genre de Colomb qu'on rencontre assez rarement.

C'est ainsi que tous les hommes, sans exception, se promènent dans le jardin de la nature, se figurent tout connaître et savoir, et se comportent comme des aveugles à peu d'exceptions près vis-à-vis de l'un des principes les plus saillants de son action : celui de l'existence de caractères organiques distinguant les espèces entre lesquelles se répartissent tous les êtres vivant sur cette terre.

L'observation la plus superficielle suffit à montrer comment les formes innombrables que prend la volonté de vivre de la nature sont soumises à une loi fondamentale et quasi inviolable que leur impose le processus étroitement limité de la reproduction et de la multiplication. Tout animal ne s'accouple qu'avec un congénère de la même espèce : la mésange avec la mésange, le pinson avec le pinson, la cigogne avec la cigogne, le campagnol avec le campagnol, la souris avec la souris, le loup avec la louve, etc.

Seules, des circonstances extraordinaires peuvent amener des dérogations à ce principe ; en première ligne, la contrainte imposée par la captivité ou bien quelque obstacle

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s'opposant à l'accouplement d'individus appartenant à la même espèce. Mais alors la nature met tous les moyens en œuvre pour lutter contre ces dérogations, et sa protestation se manifeste de la façon la plus claire, soit par le fait qu'elle refuse aux espèces abâtardies la faculté de se reproduire à leur tour, ou bien elle limite étroitement la fécondité des descendants ; dans la plupart des cas, elle les prive de la faculté de résister aux maladies ou aux attaques des ennemis. Cela n'est que trop naturel :

Tout croisement de deux êtres d'inégale valeur donne comme produit un moyen-terme entre la valeur des deux parents. C'est-à-dire que le rejeton est situé plus haut dans l'échelle des êtres que celui des parents appartenant à une race inférieure, mais reste en dessous de celui qui fait partie d'une race supérieure. Par suite, il succombera, plus tard, dans le combat qu'il aura à soutenir contre cette race supérieure. Un tel accouplement est en contradiction avec la volonté de la nature qui tend à élever le niveau des êtres. Ce but ne peut être atteint par l'union d'individus de valeur différente, mais seulement par la victoire complète et définitive de ceux qui représentent la plus haute valeur. Le rôle du plus fort est de dominer et non point de se fondre avec le plus faible, en sacrifiant ainsi sa propre grandeur. Seul, le faible de naissance peut trouver cette loi cruelle ; maïs c'est qu'il n'est qu'un homme faible et borné ; car, si cette loi ne devait pas l'emporter, l'évolution de tous les êtres organisés serait inconcevable.

La conséquence de cette tendance générale de la nature à rechercher et à maintenir la pureté de la race est non seulement la distinction nettement établie entre les races particulières dans leurs signes extérieurs, mais encore la similitude des caractères spécifiques de chacune d'elles. Le renard est toujours un renard, l'oie une oie, le tigre un tigre, etc., et les différences qu'on peut noter entre les individus appartenant à une même race, proviennent uniquement de la somme d'énergie, de vigueur, d'intelligence, d'adresse, de capacité de résistance dont ils sont inégalement doués. Mais on ne trouvera jamais un renard qu'une disposition naturelle porterait à se comporter philanthropiquement à l'égard des oies, de même qu'il n'existe pas de chat qui se sente une inclination cordiale pour les souris.

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Par suite, la lutte qui met aux prises les races les unes avec les autres a moins pour causes une antipathie foncière que bien plutôt la faim et l'amour. Dans les deux cas, la nature est un témoin impassible et même satisfait. La lutte pour le pain quotidien amène la défaite de tout être faible ou maladif, ou doué de moins de courage, tandis que le combat que livre le mâle pour conquérir la femelle n'accorde le droit d'engendrer qu'à l'individu le plus sain, ou du moins lui fournit la possibilité de le faire. Mais le combat est toujours le moyen de développer la santé et la force de résistance de l'espèce et, par suite, la condition préalable de ses progrès.

Si le processus était autre, le progrès ultérieur s'arrêterait et il y aurait plutôt régression. En effet, comme les moins bons l'emporteraient toujours en nombre sur les meilleurs, si tous les individus avaient la même possibilité de survivre et de se reproduire, les moins bons se reproduiraient si rapidement que les meilleurs seraient finalement refoulés à l'arrière-plan. I1 faut donc qu'une mesure corrective intervienne en faveur des meilleurs. La nature y pourvoit en soumettant les faibles à des conditions d'existence rigoureuses qui limitent leur nombre ; elle ne permet qu'à des survivants choisis de se reproduire ; elle opère alors une nouvelle et rigoureuse sélection en prenant pour critérium la force et la santé.

Si elle ne souhaite pas que les individus faibles s'accouplent avec les forts, elle veut encore moins qu'une race supérieure se mélange avec une inférieure, car, dans ce cas, la tâche qu'elle a entreprise depuis des milliers de siècles pour faire progresser l'humanité serait rendue vaine d'un seul coup.

La connaissance que nous avons de l'histoire fournit d'innombrables preuves de cette loi. L'histoire établit avec une effroyable évidence que, lorsque l'Aryen a mélangé son sang avec celui de peuples inférieurs, le résultat de ce métissage a été la ruine du peuple civilisateur. L'Amérique du Nord, dont la population est composée, en énorme majorité, d'éléments germaniques, qui ne se sont que très peu mêlés avec des peuples inférieurs appartenant à des races de couleur, présente une autre humanité et une tout autre civilisation que l'Amérique du Centre et du Sud, dans laquelle les immigrés, en majorité d'origine latine,

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se sont parfois fortement mélangés avec es autochtones. Ce seul exemple permet déjà de reconnaître clairement l'effet produit par le mélange des races. Le Germain, resté de race pure et sans mélange, est devenu le maître du continent américain ; il le restera tant qu'il ne sacrifiera pas, lui aussi, à une contamination incestueuse.

En résumé, le résultat de tout croisement de races est toujours le suivant:

a) Abaissement du niveau de la race supérieure.

b) Régression physique et intellectuelle et, par suite, apparition d'une sorte de consomption dont les progrès sont lents mais inévitables.

Amener un tel processus n'est pas autre chose que pécher contre la volonté de l'Eternel, notre Créateur.

Mais cet acte reçoit la sanction méritée par le péché.

En tentant de se révolter contre la logique inflexible de la nature, l'homme entre en conflit avec les principes auxquels il doit d'exister en tant qu'homme. C'est ainsi qu'en agissant contre le vœu de la nature il prépare sa propre ruine.

Ici intervient, il est vrai, l'objection spécifiquement judaïque aussi comique que niaise, du pacifiste moderne : « L'homme doit précisément vaincre la nature ! »

Des millions d'hommes ressassent sans réfléchir cette absurdité d'origine juive et finissent par s'imaginer qu'ils incarnent une sorte de victoire sur la nature ; mais ils n'apportent comme argument qu'une idée vaine et, en outre, si absurde qu'on n'en peut pas tirer, à vrai dire, une conception du monde.

En, réalité l'homme n'a encore vaincu la nature sur aucun point ; il a tout au plus saisi et cherché à soulever quelque petit coin de l'énorme, du gigantesque voile dont elle recouvre ses mystères et secrets éternels ; il n'a jamais rien inventé, mais seulement découvert tout ce qu'il sait ; il ne domine pas la nature, il est seulement parvenu, grâce à la connaissance de quelques lois et mystères naturels isolés, à devenir le maître des êtres vivants auxquels manque cette connaissance : abstraction faite de tout cela, une idée ne peut l'emporter sur les conditions mises à l'existence et à l'avenir de l'humanité, car l'idée elle-même ne dépend

que de l'homme. Sans hommes, pas d'idées humaines dans ce monde ; donc l'idée, comme telle, a toujours pour

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condition la présence des hommes et, par suite, l'existence des lois qui sont la condition primordiale de cette présence.

Bien plus ! Certaines idées sont liées à l'existence de certains hommes. Cela est surtout vrai pour les concepts qui ont leurs racines non pas dans une vérité scientifique et concrète, mais dans le monde du sentiment, ou qui, pour employer une définition très claire et très belle en usage actuellement, reflètent une « expérience intime ». Toutes ces idées, qui n'ont rien à faire avec la froide logique prise en soi, mais représentent de pures manifestations du sentiment, des conceptions morales, sont liées à l'existence des hommes, dont l'imagination et la faculté créatrice les a fait naître. Mais alors la conservation des races et des hommes qui les ont conçues est la condition nécessaire pour la permanence de ces idées. Par exemple, celui qui souhaite sincèrement le triomphe de l'idée pacifiste ici-bas devrait tout mettre en œuvre pour que le monde soit conquis par les Allemands ; car, dans le cas contraire, il se pourrait que le dernier pacifiste meure avec le dernier Allemand, puisque le reste du monde s'est moins laissé prendre au piège de cette absurdité contraire à la nature et à la raison que ne l'a malheureusement fait notre propre peuple. On devrait donc bon gré mal gré se décider résolument à faire la guerre pour arriver au règne du pacifisme. C'était là le vrai plan de Wilson, le Sauveur venu d'Amérique, ou, du moins, c'est ce que croyaient nos rêveurs allemands, et ainsi le but fut atteint.

En fait, l'idée pacifiste et humanitaire peut être excellente à partir du moment où l'homme supérieur aura conquis et soumis le monde sur une assez grande étendue pour être le seul maître de cette terre. Cette idée ne pourra pas avoir d'effet nuisible que dans la mesure où son application pratique deviendra difficile, et finalement, impossible. Donc, tout d'abord combat puis, peut-être, pacifisme. Sinon l'humanité à dépassé l'apogée de son évolution et le terme n'est pas la domination d'une idée morale quelconque, mais la barbarie et ensuite le chaos. Ce que je viens de dire peut faire rire certains lecteurs, mais notre planète a déjà parcouru l'éther pendant des millions d'années sans qu'il y eût des hommes et il se peut qu'elle poursuive un jour sa course dans les mêmes conditions, si les hommes oublient qu'ils arriveront à un niveau supérieur d'existence

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non pas en écoutant ce que professent quelques idéologues atteints de démence, mais en apprenant à connaître et en observant rigoureusement les lois d'airain de la nature.

Tout ce que nous admirons aujourd'hui sur cette terre - science et art, technique et inventions - est le produit de l'activité créatrice de peuples peu nombreux et peut-être, primitivement, d'une seule race. C'est d'eux que dépend la permanence de toute la civilisation. S'ils succombent, ce qui fait la beauté de cette terre descendra avec eux dans la tombe.

Quelque influence que le sol puisse, par exemple, avoi sur les hommes, les résultats de cette influence seront toujours différents suivant les races qui la subissent. Le peu de fertilité du terrain où vit une race peut être pour l'une d'elles un puissant aiguillon qui la pousse à accomplir de grandes choses ; pour une autre, la stérilité du sol sera une cause de misère et finalement de sous-alimentation avec toutes ses conséquences. Ce sont les prédispositions intimes des peuples qui détermineront toujours la façon dont les influences extérieures agiront sur eux. Ce qui réduit les uns à mourir de faim trempe les autres à un dur travail.

Toutes les grandes civilisations du passé tombèrent en décadence simplement parce que la race primitivement créatrice mourut d'un empoisonnement du sang.

La cause profonde de pareilles décadences fut toujours l'oubli du principe que toute civilisation dépend des hommes et non ceux-ci de celle-là ; que, par suite, pour conserver une civilisation déterminée, il faut conserver l'homme qui l'a créée. Mais cette conservation est liée à la loi d'airain de la nécessité et du droit à la victoire du meilleur et du plus fort.

Que celui qui veut vivre combatte donc ! Celui qui se refuse à lutter dans ce monde où la loi est une lutte incessante ne mérite pas de vivre.

Cela peut paraître dur, mais c'est ainsi ! Pourtant beaucoup plus dur encore est le sort de l'homme qui croit pouvoir vaincre la nature et, en réalité, l'insulte. Détresse, malheur et maladies, voilà alors la réponse de la nature.

L'homme qui oublie et méprise les lois de la race se prive réellement du bonheur qu'il se croît sûr d'atteindre. Il met obstacle à la marche victorieuse de la race supérieure

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et, par là, à la condition préalable de tout progrès humain. Accablé par le fardeau de la sensibilité humaine, il tombe au niveau de l'animal incapable de s'élever sur l'échelle des êtres.

Ce serait une vaine entreprise que de discuter sur le point de savoir quelle race ou quelles races ont primitivement été dépositaires de la civilisation humaine et ont, par suite, réellement fondé ce que nous entendons par humanité. Il est plus simple de se poser la question en ce qui concerne le présent et, sur ce point, la réponse est facile et claire. Tout ce que nous avons aujourd'hui devant nous de civilisation humaine, de produits de l'art, de la science et de la technique est presque exclusivement le fruit de l'activité créatrice des Aryens. Ce fait permet de conclure par réciproque, et non sans raison, qu'ils ont été seuls les fondateurs d'une humanité supérieure et, par suite, qu'ils représentent le type primitif de ce que nous entendons sous le nom d' « homme ». L'Aryen est le Prométhée de l'humanité ; l'étincelle divine du génie a de tout temps jailli de son front lumineux ; il a toujours allumé à nouveau ce feu qui, sous la forme de la connaissance, éclairait la nuit recouvrant les mystères obstinément muets et montrait ainsi à l'homme le chemin qu'il devait gravir pour devenir le maître des autres êtres vivant sur cette terre. Si on le faisait disparaître, une profonde obscurité descendrait sur la terre ; en quelques siècles, la civilisation humaine s'évanouirait et le monde deviendrait un désert.

Si l'on répartissait l'humanité en trois espèces : celle qui a créé la civilisation, celle qui en a conservé le dépôt et celle qui l'a détruit, il n'y aurait que l'Aryen qu'on pût citer comme représentant de la première. Il a établi les fondations et le gros œuvre de toutes les créations humaines et, seuls, leur aspect et leur coloration ont dépendu des caractères particuliers des différents peuples. Il fournit les puissantes pierres de taille et le plan de tous les édifices du progrès humain et, seule, l'exécution répond à l'esprit propre 'a chaque race. Par exemple, dans quelques dizaines d'années, tout l'Est de l'Asie pourra nommer sienne une civilisation dont la base fondamentale sera aussi bien 1'esprit grec et la technique allemande qu'elle l'est chez nous. Seul son

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aspect extérieur portera, en partie du moins, les traits de l'inspiration asiatique. Le Japon n'ajoute pas seulement, comme certains le croient, à sa civilisation la technique européenne ; au contraire, la science et la technique européennes sont intimement unies à ce qui constitue les traits particuliers de la civilisation japonaise. La base fondamentale de la vie n'est plus la civilisation japonaise originale, quoique celle-ci donne à cette vie sa coloration particulière - cet aspect extérieur frappant particulièrement les yeux des Européens par suite de différences fondamentales - mais bien le puissant travail scientifique et technique de l'Europe et de l'Amérique, c'est-à-dire de peuples aryens. C'est en s'appuyant sur les résultats obtenus par ce travail que l'Orient peut, lui aussi, suivre la marche du progrès général de l'humanité. La lutte pour le pain quotidien a fourni la base de ce travail, a créé les armes et les instruments nécessaires ; ce seront seulement les formes extérieures qui peu à peu s'adapteront au Caractère japonais.

Si, à partir d'aujourd'hui, l'influence aryenne cessait de s'exercer sur le Japon, en supposant que l'Europe et l'Amérique s'effondrent, les progrès que fait le Japon dans les sciences et la technique pourraient continuer pendant quelque temps ; mais, au bout de peu d'années, la source tarirait, les caractères spécifiques japonais regagneraient du terrain et sa civilisation actuelle se pétrifierait, retomberait dans le sommeil d'où l'a tirée, il y a soixante-dix ans, la vague de civilisation aryenne. On peut en conclure que, de même que le développement actuel du Japon est dû à l'influence aryenne, de même, dans les temps très anciens, une influence étrangère et un esprit étranger ont éveillé la civilisation japonaise de cette époque reculée. La meilleure preuve à l'appui de cette opinion est le fait qu'elle s'est ankylosée par la suite et s'est complètement pétrifiée. Ce phénomène ne peut se produire chez un peuple que lorsque la cellule créatrice originelle a disparu ou bien quand a fini par faire défaut l'influence extérieure qui avait donné l'élan et fourni les matériaux nécessaires au premier développement de la civilisation. S'il est prouvé qu'un peuple a reçu de races étrangères les éléments essentiels de sa civilisation, se les est assimilés et les a mis en œuvre, mais s'est ensuite engourdi quand l'influence

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étrangère a cessé de s'exercer sur lui, on peut dire que cette race a été dépositaire de la civilisation, mais non qu'elle a créé la civilisation.

Si l'on examine les différents peuples à ce point de vue, on constate qu'en fait, presque partout, on a affaire non pas à des peuples qui ont primitivement fondé la civilisation, mais presque toujours à des peuples qui en ont reçu le dépôt.

L'image qu'on peut se faire de leur évolution est la suivante :

Des peuples aryens - dont l'effectif est d'une faiblesse vraiment ridicule - soumettent des peuples étrangers et, sollicités par les conditions de vie que leur présente la nouvelle contrée (fertilité, nature du climat, etc.) ou profitant aussi de l'abondance de la main-d'œuvre que leur fournissent des hommes de race inférieure, ils développent alors les facultés intellectuelles et organisatrices qui sommeillaient en eux. En quelques millénaires, ou même quelques siècles, ils mettent sur pied des civilisations qui, primitivement, portent des traits répondant complètement à leur façon d'être et adaptés aux propriétés particulières du sol indiquées plus haut et à l'esprit des hommes qu'ils ont soumis. Mais enfin les conquérants deviennent infidèles au principe, d'abord observé, en vertu duquel ils conservaient la pureté de leur sang ; ils commencent à s'unir aux indigènes leurs sujets et mettent fin ainsi à leur propre existence ; car le péché originel commis dans le Paradis a toujours pour conséquence l'expulsion des coupables.

Au bout de mille ans et plus, la dernière trace visible de l'ancien peuple de maîtres se trouve souvent dans le teint plus clair que son sang a laissé à la race soumise, et dans une civilisation pétrifiée qu'il avait jadis fondée. Car de même que le sang du conquérant effectif et spirituel s'est perdu dans le sang des peuples dominés, de même s'est perdue la matière combustible dont était faite la torche qui éclairait la marche en avant de la civilisation humaine ! De même que le sang des anciens maîtres a laissé dans le teint des descendants une nuance légère qui prolonge son souvenir, de même la nuit qui étouffe la vie culturelle est rendue moins obscure par les douces lueurs que répandent les créations encore viables de ceux qui apportèrent jadis la lumière. Leur rayonnement brille à travers la barbarie

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revenue et fait croire trop souvent à l'observateur superficiel qu'il a devant lui l'image du peuple actuel, tandis qu'il ne 1'aperçoit que dans le miroir du passé.

Il peut arriver qu'un tel peuple entre en contact, au cours de son histoire, pour la seconde fois, ou même plus souvent, avec la race de ceux qui lui ont jadis apporté la civilisation, sans qu'un souvenir des rencontres précédentes soit encore présent à sa mémoire. Cx qui reste dans ce peuple du sang des anciens maîtres se tournera inconsciemment vers cette nouvelle floraison culturelle et ce qui n'avait d'abord été possible que par la contrainte peut maintenant s'effectuer de plein gré. Une nouvelle ère de civilisation apparaît et subsiste jusqu'à ce que ses pionniers soient abâtardis par le sang de peuples étrangers.

Ce sera la tâche de la future histoire universelle de la civilisation de diriger ses recherches dans ce sens et de ne pas se noyer dans l'énumération de faits extérieurs, comme c'est malheureusement trop souvent le cas de notre science historique actuelle.

Cette esquisse de l'évolution subie par les peuples dépositaires de la civilisation trace déjà le tableau du développement, de l'action et de la disparition de ceux qui ont véritablement établi la civilisation sur la terre, c'est-à-dire des Aryens.

De même que dans la vie journalière, ce qu'on appelle le génie a besoin d'une occasion particulièrement favorable, et même souvent d'une véritable impulsion, pour être mis en lumière, il en est de même pour la race douée de génie. Dans la monotonie de la vie de tous les jours, des hommes, même de première valeur, peuvent paraître insignifiants et émergent à peine de leur entourage ; mais aussitôt qu'ils se trouvent dans une situation qui déconcerte ou déroute Ies autres, des dons géniaux se révèlent chez cet homme qui paraissait quelconque, souvent au grand étonnement de ceux qui l'avaient vu jusqu'alors dans le cadre mesquin de la vie civile, c'est pourquoi rarement un prophète a de 1°autorité dans son propre pays. On n'a jamais de meilleure occasion d'observer ce phénomène que pendant une guerre. Chez des jeunes gens en apparence sans malice se manifestent subitement aux heures graves, au moment même où les autres perdent courage, des héros dont l'énergie farouche brave la mort et qui savent calculer avec un

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sang-froid de glace. Si cette heure d'épreuve n'avait pas sonné, personne n'aurait pu soupçonner que ce garçon imberbe cachait un jeune héros. Il faut toujours un choc pour que le génie se manifeste. 're coup de massue du destin, qui terrasse les uns, donne subitement à d'autres la trempe de l'acier et, en brisant l'écale de la vie journalière, met à nu aux yeux du monde stupéfait le fruit qu'elle enfermait. La foule se cabre alors et ne veut pas croire que ce qui lui paraissait semblable à elle-même soit devenu brusquement un autre être : processus qui se répète lors de l'apparition de tout homme de valeur.

Bien qu'un inventeur, par exemple, ne fonde sa réputation que le jour où est connue son invention, il serait faux de croire que c'est seulement à ce moment-là que le génie a brillé dans l'homme ; l'étincelle du génie se trouve dès I'heure de sa naissance sous le front de l'homme vraiment doué de la faculté créatrice. Le vrai génie est inné ; il n'est jamais le fruit de l'éducation ou de l'étude.

Si cela est vrai, comme nous l'avons déjà fait remarquer, quand il s'agit de l'individu, ce l'est aussi quand il est question de la race. Les peuples qui manifestent une activité créatrice ont, dès leur origine, le don de créer, même quand ce don échappe aux yeux des observateurs superficiels. Ici, également, la réputation d'un peuple de génie est la conséquence des actes accomplis par lui, car le reste du monde est incapable de reconnaître le génie en soi, il n'en perçoit que les manifestations tangibles sous forme d'inventions, découvertes, édifices, images, etc. ; mais ici aussi, il faut encore beaucoup de temps pour que le monde parvienne à reconnaître le génie. De même que chez un individu de grande valeur les dons du génie, ou du moins des dons extraordinaires, sous l'aiguillon de circonstances particulières, s'efForcent de se réaliser dans la pratique, il se peut que, dans la vie des peuples, la mise en œuvre effective de forces et facultés créatrices en puissance ne se produise que lorsque des conditions déterminées les y invitent.

L'exemple le plus probant de ce fait nous est donné par la race dépositaire du développement de la civilisation humaine, c'est-à-dire par les Aryens. Sitôt que le destin les met en présence de circonstances particulières, ils commencent à développer sur un rythme de plus en plus

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rapide les facultés qui étaient en eux et à les couler dans des moules leur donnant des formes tangibles. Les civilisations qu'ils fondent dans de pareils cas sont presque toujours nettement conditionnées par le sol, le climat et les hommes qu'ils ont soumis. Ce dernier élément est d'ailleurs le plus décisif. Plus les conditions techniques dont dépend la manifestation d'une civilisation sont primitives, plus est nécessaire la présence d'une main-d'œuvre humaine, qui, organisée et utilisée, doit remplacer la force des machines. Sans la possibilité qui fut offerte à l'Aryen d'employer des hommes de race inférieure, il n'aurait jamais pu faire les premiers pas sur la route qui devait le conduire à la civilisation ; de même que sans le concours de quelques animaux adéquats, qu'i! sut domestiquer, il ne serait pas devenu maître d'une technique qui lui permet actuellement de se passer peu à peu de ces animaux. Le dicton : « Le Maure a fait ce qu'il devait, le Maure peut s'en aller », n'a malheureusement qu'une signification trop profonde. Pendant des milliers d'années le cheval a dû servir l'homme et i'aider dans ses travaux, établissant ainsi les bases d'un progrès qui, en produisant l'automobile, rend le cheval lui-même inutile. Dans peu d'années, il aura cessé toute activité, mais, sans sa collaboration passée, l'homme aurait peut-être eu beaucoup de peine à parvenir su point où il se trouve aujourd'hui.

C'est ainsi que la présence d'hommes de race inférieure fut une condition primordiale pour la formation de civilisations supérieures ; ils compensaient la pénurie de ressources matérielles sans lesquelles on ne peut concevoir la possibilité d'un progrès. Il est certain que la première civilisation humaine s'appuya moins sur l'animal domestiqué que sur l'emploi d'hommes de race inférieure.

Ce fut seulement après la réduction en esclavage de races vaincues qu'un sort semblable atteignit les animaux, et non pas inversement, comme certains peuvent le croire. Car ce fut d'abord le vaincu qui fut mis devant la charrue ; le cheval ne vint qu'après. Il faut être un fou de pacifiste pour se représenter ce fait comme un signe de dégradation humaine ; il ne s'aperçoit pas que cette évolution devait avoir lieu pour arriver au degré de civilisation dont ces apôtres pro6tent pour débiter leurs boniments de charlatans.

Les progrès de l'humanité sont une ascension sur une

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échelle sans fin ; on ne s'élève pas sans avoir gravi les échelons inférieurs. L'Aryen a donc dû parcourir le chemin. que lui indiquait la réalité et non pas celui dont rêve l'imagination d'un égalitariste moderne. Le chemin réel est dur et pénible, mais il conduit finalement au but vers lequel le pacifiste voudrait voir parvenir l'humanité ; mais, en réalité, ses rêveries l'en écartent plus qu'elles ne l'en rapprochent.

Ce ne fut pas par hasard que les premières civilisations naquirent là où l'Aryen rencontra des peuples inférieurs, les subjugua et les soumit à sa volonté. Ils furent le premier instrument technique au service d'une civilisation naissante.

Par suite, la voie que devait suivre l'Aryen était nettement tracée. Conquérant, il soumit les hommes de race inférieure et ordonna leur activité pratique sous son commandement, suivant sa volonté et conformément à ses buts. Mais, en leur imposant une activité utile, bien que pénible, il n'épargna pas seulement la vie de ses sujets ; il leur fit peut-être même un sort meilleur que celui qui leur était dévolu, lorsqu'ils jouissaient de ce qu'on appelle leur ancienne « liberté n. Tant qu'il maintint rigoureusement sa situation morale de maître, il resta non seulement le maître, mais aussi le conservateur de la civilisation qu'il continua à développer. Car celle-ci reposait exclusivement sur les capacités de l'Aryen et sur le fait qu'il restait lui. même. A mesure que les sujets commencèrent à s'élever et, comme il est vraisemblable, se rapprochèrent du conquérant au point de vue linguistique, la .cloison qui séparait. maître et valet disparut. L'Aryen renonça à la pureté de son sang et perdit ainsi le droit de vivre dans le paradis qu'il avait créé. Il s'avilit par le mélange des races, perdit de plus en plus ses facultés civilisatrices ; finalement il devint, non seulement intellectuellement, mais aussi physiquement, semblable à ses sujets et aux autochtones, perdant ainsi la supériorité qu'avaient eue sur eux ses ancêtres. Pendant quelque temps, il put encore vivre des réserves qu'avait accumulées la civilisation, puis la pétrification fit son œuvre et cette civilisation tomba dans l'oubli.

C'est ainsi que s'écroulent civilisations et empires, pour céder la place à de nouvelles formations.

Le mélange des sangs et l'abaissement du niveau des races, qui en est la conséquence inéluctable, sont les seules

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causes de la mort des anciennes civilisations ; car ce ne sont pas les guerres perdues qui amènent la ruine des peuples, mais la disparition de cette force de résistance qui est la propriété exclusive d'un sang pur.

Tout ce qui n'est pas, dans ce monde, de race pure n'est que brins de paille balayés par le vent.

Mais tout événement historique est 1a manifestation d'un instinct de conservation de la race, dans le bon comme dans le mauvais sens.

Si l'on se demande quelles sont les causes profondes de l'importance prédominante de l'aryanisme, on peut répondre que cette importance provient moins de la vigueur dont était doué chez les Aryens cet instinct, que de la façon particulière dont il se manifestait. La volonté de vivre est, considérée au point de vue subjectif, également forte chez tous les hommes ; elle n'est différente que par la façon dont elle se réalise dans la pratique. Dans le genre de vie le plus primitif, l'instinct de conservation ne va pas au delà du souci que l'individu a de son moi. L'égoïsme, pour employer le terme par lequel nous désignons cette disposition morbide, est si absolu qu'il englobe même la durée, de sorte que le moment présent prétend tout avoir et n'accorde rien aux heures qui vont venir. C'est l'état de l'animal qui ne vit que pour lui, cherche sa nourriture chaque fois qu'il a faim et ne combat que pour défendre sa propre vie. Tant que l'instinct de conservation ne se manifeste que de cette façon, il n'y a pas de base pour la formation d'une communauté, serait-ce même la forme la plus primitive de la famille. Déjà la vie en commun de mâles et de femelles, dépassant le simple accouplement, exige un élargissement de l'instinct de conservation, puisque le souci que l'individu avait de son moi et les combats qu'il livrait pour le défendre tiennent maintenant compte du second élément du couple ; le mâle cherche aussi parfois de la nourriture aussi pour sa femelle ; la plupart du temps tous deux la cherchent pour leurs petits. L'un s'emploie presque toujours à protéger l'autre, de sorte qu'on trouve ici les manifestations premières, bien qu'extrêmement rudimentaires, de l'esprit de sacrifice. Dans la mesure où cet esprit s'étend au delà des limites étroites de la famille, naît la condition primordiale qui permettra la formation d'associations plus vastes et enfin de véritables Etats.

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Cette faculté est très peu développée chez les races d'hommes de la plus basse espèce, de sorte qu'elles en restent souvent au stade familial. Plus les hommes sont portés à rejeter au second plan leurs intérêts personnels, plus grande est leur capacité de fonder des communautés étendues.

Cette disposition au sacrifice qui amène l'homme à mettre en jeu son travail personnel et, s'il le faut, sa propre vie su profit de ses semblables est particulièrement développée chez les Aryens. Ce qui fait la grandeur de l'Aryen, ce n'est pas la richesse de ses facultés intellectuelles, mais sa propension à mettre toutes ses capacités su service de la communauté. L'instinct de conservation a pris chez lui la forme la plus noble : il subordonne volontairement son propre moi à la vie de la communauté et il en fait le sacrifice quand les circonstances l'exigent.

Les facultés civilisatrices et constructives de l'Aryen n'ont pas leur source dans ses dons intellectuels. S'il n'avait que ceux-là, il ne pourrait agir que comme destructeur, mais jamais comme organisateur. Car la condition essentielle de toute organisation, c'est que l'individu renonce à faire prévaloir son opinion personnelle aussi bien que ses intérêts particuliers, et les sacrifie su profit de la communauté. C'est par ce détour qu'en se sacrifiant au bien général, il reçoit sa part. Par exemple, il ne travaille pas directement pour lui-même, mais il agit dans le cadre de l'ensemble, non pas pour son utilité personnelle, mais pour le bien de tous. Son expression favorite : « le travail », éclaire admirablement cette disposition d'esprit ; il n'entend pas par là une activité servant uniquement à conserver sa propre vie, mais qui est en connexion avec les intérêts de la communauté des hommes. Dans le cas contraire, il donne à l'activité humaine égoïste, étayant seulement l'instinct de conservation sans souci du reste du monde, le nom de vol, usure, brigandage, spoliation.

Cette disposition d'esprit, qui rejette au second plan l'intérêt de l'individu au profit du maintien de la communauté, est la première condition préalable de toute civilisation humaine véritable. Par elle seule peuvent naître les grandes œuvres humaines dont les fondateurs sont rarement récompensés, mais qui sont pour les descendants la source de biens abondants. Elle seule peut expliquer comment

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tant d'hommes peuvent supporter, sans cesser d'être honnêtes, une vie misérable, qui les condamne eux-mêmes à la pauvreté et à la médiocrité, mais assure à la communauté les bases de son existence. Tout travailleur, paysan, inventeur, fonctionnaire, etc., qui produit sans pouvoir parvenir lui-même au bonheur et à l'aisance, est un représentant de cette noble idée même s'il n'a jamais conscience du sens profond de sa façon d'agir.

Mais tout ce qui est vrai quand on parle du travail considéré comme la base fondamentale de l'entretien de la vie humaine et du progrès humain, l'est encore plus quand il s'agit de la protection de l'homme et de sa civilisation. Donner sa vie pour préserver celle de la communauté est le couronnement de l'esprit de sacrifice. C'est par cela seul qu'on peut empêcher que ce qui fut édifié par la main des hommes soit démoli par des mains humaines ou anéanti par la nature.

Notre langue allemande possède un mot qui désigne d'une façon magnifique les actes inspirés par cet esprit : remplir son devoir, c'est-à-dire ne pas se suffire à soi-même, mais servir la collectivité.

La disposition d'esprit fondamentale qui est la source d'un tel mode d'activité, nous la nommons, pour la distinguer de l'égoïsme, idéalisme. Nous entendons par là uniquement la capacité que possède l'individu de se sacrifier pour la communauté, pour ses semblables.

Il est de première nécessité de se convaincre que l'idéalisme n'est pas une manifestation négligeable du sentiment, mais qu'au contraire il est en réalité, et sera toujours, la condition préalable de ce que nous appelons civilisation humaine, et même qu'il a seul créé le concept de « l'homme ». C'est à cette disposition d'esprit intime que l'Aryen doit sa situation dans le monde et que le monde doit d'avoir des hommes ; car elle seule a tiré de l'idée pure la force créatrice qui, en associant par une union unique en son genre la force brutale du poing à l'intelligence du génie, a créé les monuments de la civilisation humaine.

Sans l'idéalisme, toutes les facultés de l'esprit, même les plus éblouissantes, ne seraient que l'esprit en soi, c'est-à-dire une apparence extérieure sans valeur profonde, mais jamais une force créatrice.

Mais, comme l'idéalisme n'est pas autre chose que la

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subordination des intérêts et de la vie de l'individu à ceux de la communauté et que cela est, à son tour, la condition préalable pour que puissent naître les formations organisées de tous genres, l'idéalisme répond en dernière analyse aux fins voulues par la nature. Seul, il amène l'homme à reconnaître volontairement les privilèges de la force et de l'énergie et fait de lui un des éléments infinitésimaux de l'ordre qui donne à l'univers entier sa forme et son aspect.

L'idéalisme le plus pur coïncide, sans en avoir conscience, avec la connaissance intégrale.

Combien cet axiome est vrai et combien il faut se garder de confondre le vrai idéalisme avec les jeux d'une imagination dévoyée, on s'en rendra compte immédiatement si l'on permet à un jeune homme dont l'esprit n'est pas corrompu, à un garçon sain, de porter son jugement en toute liberté. Le même jeune homme qui se refuse à comprendre et à admettre les tirades d'un pacifiste « idéaliste » est prêt à sacrifier sa jeune vie pour l'idéal de son peuple.

Inconsciemment, l'instinct obéit ici à la notion de la profonde nécessité qui s'impose à nous de conserver l'espèce fût-ce aux dépens de l'individu s'il le faut, et il proteste contre les rêveries des bavards pacifistes qui sont en réalité, quelque déguisement qu'ils prennent, de lâches égoïstes en révolte contre les lois de l'évolution ; car celle-ci est conditionnée par l'esprit de sacrifice volontaire de l'individu en faveur de la généralité et non pas par les conceptions morbides de lâches qui prétendent mieux connaître la nature.

C'est justement aux époques dans lesquelles l'idéalisme menace de disparaître que nous pouvons par suite et immédiatement constater un affaiblissement de cette force qui forme la communauté et est la condition préalable de la civilisation. Sitôt que l'égoïsme établit sa domination sur un peuple, les liens de l'ordre se relâchent et, en poursuivant leur propre bonheur, les hommes sont précipités du ciel dans l'enfer.

La postérité oublie les hommes qui n ont recherché que leurs propres intérêts et vante les héros qui ont renoncé à leur bonheur particulier.

Le Juif forme le contraste le plus marquant avec l'Aryen. Il n'y a peut-être pas de peuple au monde chez lequel

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l'instinct de conservation ait été plus développé que chez celui qu'on appelle le peuple élu. La meilleure preuve en est le simple fait que cette race a survécu jusqu'à nous. Où est le peuple qui, dans les derniers deux mille ans, a éprouvé moins de changements dans ses dispositions. intimes, son caractère, etc., que le peuple juif ? Enfin quel peuple a été mêlé à de plus grandes révolutions que les Juifs 2 Ils sont pourtant restés les mêmes au sortir des. gigantesques catastrophes qui ont éprouvé l'humanité. De quelle volonté de vivre d'une infinie ténacité, de quelle constance à maintenir l'espèce témoignent de pareils faits !

Les facultés intellectuelles des Juifs se sont développées. pendant ces milliers d'années. Le Juif passe aujourd'hui pour « malin u, mais il le fut dans un certain sens en tous temps. Mais son intelligence n'est pas le résultat d'une évolution intérieure, elle a profité des leçons de choses que lui a données l'étranger. L'esprit humain lui-même ne peut pas parvenir à son complet épanouissement sans franchir des degrés successifs. A chaque pas qu'il fait pour s'élever, il lui faut s'appuyer sur la hase que 1ui fournit le passé, ceci entendu dans toute la portée de l'expression, c'est-à-dire sur la base que présente la civilisation générale. Toute pensée ne provient que pour une toute petite partie de l'expérience personnelle ; elle résulte pour la plus grande part des expériences accumulées dans les temps passés. Le niveau général de la civilisation pourvoit l'individu, sans qu'il y fasse le plus souvent attention, d'une telle abondance de connaissances préliminaires que, ainsi équipé, il peut plus facilement faire lui-même d'autres pas en avant. Par exemple, le jeune homme d'aujourd'hui grandit au milieu d'une telle masse de conquêtes techniques faites par les derniers siècles que ce qui restait un mystère, il y a cent ans, pour les plus grands esprits, lui paraît tout naturel et n'attire plus son attention, quoique étant de la plus grande importance pour lui, en lui permettant de suivre et de comprendre les progrès que nous avons faits dans cette direction. Si un homme de génie, ayant vécu. dans les vingt premières années du siècle précédent, venait subitement à quitter son tombeau de nos jours, il aurait plus de peine à mettre son esprit au diapason du temps présent que n'en a, de nos jours, un enfant de quinze ans médiocrement doué. Il lui manquerait l'incommensurable

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formation préparatoire que reçoit pour ainsi dire inconsciemment un de nos contemporains pendant qu'il grandit, par l'intermédiaire des manifestations de la civilisation générale.

Comme le Juif - pour des raisons qui ressortiront de ce qui suit - n'a jamais été en possession d'une civilisation qui lui fût propre, les bases de son travail intellectuel lui ont toujours été fournies par d'autres. Son intellect s'est toujours développé à l'école du monde civilisé qui l'entourait.

Jamais Ie cas contraire ne s'est présenté.

Car, bien que l'instinct de conservation soit chez le juif non pas plus faible, mais plus puissant que chez les autres peuples, bien que ses facultés intellectuelles puissent donner facilement l'impression qu'elles ne le cèdent en rien aux dons spirituels des autres races, il ne satisfait pas à la condition préalable la plus essentielle pour être un peuple civilisateur : il ri a pas d'idéalisme.

La volonté de sacrifice ne va pas, chez le peuple juif, au delà du simple instinct de conservation de l'individu. Le sentiment de la solidarité nationale, qui semble si profond chez lui, n'est qu'un instinct grégaire très primitif qu'on retrouve chez bien d'autres êtres en ce monde. Il faut remarquer, à ce propos, que l'instinct grégaire ne pousse les membres du troupeau à se prêter mutuellement secours que lorsqu'un danger commun fait paraître cette aide réciproque utile ou absolument nécessaire. La même bande de loups qui vient de diriger contre sa proie une attaque commune, se disperse à nouveau quand la faim des individus qui la composaient est apaisée. Il en est de même pour les chevaux qui s'unissent pour se défendre contre un agresseur, mais qui s'égaillent sitôt le danger passé.

Le Juif n'agit pas différemment. Son esprit de sacrifice n'est qu'apparent. Il ne se manifeste qu'autant que l'existence de chaque individu le rend absolument nécessaire. Mais sitôt que l'ennemi commun est vaincu, le danger, qui les menaçait tous. passé, la proie mise en sûreté, la concorde apparente disparaît pour faire place aux dispositions naturelles. Les Juifs ne sont unis que quand ils y sont contraints par un danger commun ou attirés par une proie commune. Si ces deux motifs disparaissent, l'égoïsme le plus brutal reprend ses droits et ce peuple, auparavant

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si uni, n'est plus en un tournemain qu'une troupe de rats se livrant des combats sanglants.

Si les Juifs étaient seuls en ce monde, ils étoufferaient dans la crasse et l'ordure ou bien chercheraient dans des luttes sans merci à s'exploiter et à s'exterminer, à moins que leur lâcheté, où se manifeste leur manque absolu d'esprit de sacrifice, ne fasse du combat une simple parade.

Il est donc complètement faux de conclure du fait que les Juifs s'unissent pour combattre, ou plus exactement pour piller leurs semblables, qu'il existe chez eux un certain esprit idéaliste de sacrifice.

Ici également le Juif n'obéit à rien d'autre qu'au pur égoïsme.

C'est pourquoi l'Etat juif - qui doit être l'organisme vivant destiné à conserver et multiplier une race - est, au point de vue territorial, sans aucune frontière. Car la délimitation du territoire d'un Etat suppose toujours une disposition d'esprit idéaliste chez la race qui le constitue et notamment une conception exacte de ce que signifie le travail. Dans la mesure où cette conception fait défaut, toute tentative pour former ou pour faire vivre un Etat délimité dans l'espace doit plus ou moins échouer. Par suite, il manque à cet Etat la base sur laquelle peut s'élever une civilisation.

Le peuple juif ne possède donc pas, malgré toutes les facultés intellectuelles dont il est doué en apparence, une vraie civilisation, notamment une civilisation qui lui soit propre. Ce que le Juif possède aujourd'hui de civilisation apparente n'est que le bien des autres peuples qui s'est pour la plus grande partie gâté entre ses mains.

Pour apprécier quelle est la position du peuple juif à l'égard de la civilisation humaine, il ne faut pas perdre de vue un fait essentiel : il n'y a jamais eu d'art juif et, conséquemment, il n'y en a pas aujourd'hui ; notamment les deux reines de l'art : l'architecture et la musique, ne doivent rien d'original aux Juifs. Ce que le Juif produit dans le domaine de l'art n'est que bousillage ou vol intellectuel. Mais le Juif ne possède pas les facultés qui distinguent les races créatrices et douées par suite du privilège de fonder des civilisations.

Ce qui prouve à quel point le Juif ne s'assimile les civilisations étrangères que comme un copiste, qui d'ailleurs

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déforme son modèle, c'est qu'il cultive surtout l'art qui exige le moins d'invention propre, c'est à dire l'art dramatique. Même ici il n'est qu'un bateleur ou, pour mieux dire, un singe imitateur ; même ici i1 lui manque l'élan qui porte vers la véritable grandeur ; même ici il n'est pas le créateur de génie, mais un imitateur superficiel sans que les artifices et trucs qu'il emploie arrivent à dissimuler le néant de ses dons de créateur. Ici la presse juive vient à son secours avec la plus grande complaisance en entonnant les louanges du bousilleur le plus médiocre, à condition qu'il soit juif, de sorte que le reste du monde finit par se croire en présence d'un artiste, tandis qu'il ne s'agit en réalité que d'un misérable histrion.

Non, le Juif ne possède pas la moindre capacité à créer une civilisation, puisque l'idéalisme, sans lequel toute évolution élevant l'homme apparaît impossible, lui est et lui fut toujours inconnu. Son intelligence ne lui servira jamais à édifier, mais bien à détruire ; dans des cas extrêmement rares, elle pourra être tout su plus un aiguillon, mais elle sera alors le type de n la force qui veut toujours le mal et crée toujours le bien ». Tout progrès de l'humanité s'accomplit, non par lui, mais malgré lui.

Comme le Juif n'a jamais possédé de royaume doté de frontières déterminées, et, par suite, n a jamais eu de civilisation qui lui fût propre, on a cru avoir afFaire à un peuple qui devait être classé parmi les nomades. C'est une erreur aussi profonde que dangereuse. Le nomade possède parfaitement un territoire nettement délimité où il vit ; seulement il ne le cultive pas comme un agriculteur sédentaire, mais se nourrit du produit de ses troupeaux avec lesquels il parcourt son domaine. La raison de ce mode d'existence est le peu de fertilité du sol qui ne permet pas d'établissement fixe. Mais la cause réelle est la disproportion existant entre la civilisation technique d'une époque ou d'un peuple et la pauvreté naturelle d'une région. Il est des pays où l'Aryen est parvenu, grâce à sa technique, qu'il a perfectionnée au cours de plus de mille années, à fonder des établissements fixes et à se rendre maître d'un vaste territoire d'où il a tiré tout ce qui est nécessaire à la vie. A défaut de cette technique, il aurait dû, ou quitter ces contrées, ou y mener la vie misérable du nomade changeant continuellement de résidence, à supposer que

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la formation qu'il avait reçue depuis des milliers d'années et l'habitude qu'il avait de la vie sédentaire ne lui eussent pas rendu insupportable une telle existence. On doit se rappeler qu'au moment où le continent de l'Amérique s'ouvrit aux colons, de nombreux Aryens gagnèrent péniblement leur vie comme trappeurs, chasseurs, etc., errant souvent en grandes troupes avec femmes et enfants, de sorte que leur vie ressemblait complètement à celle des nomades. Mais, aussitôt qu'ils devinrent plus nombreux et que des ressources plus abondantes leur permirent de défricher le sol et de tenir tête aux indigines, leurs établissements fixes se multiplièrent dans ce pays.

L'Aryen fut vraisemblablement d'abord un nomade et ne devint sédentaire qu'au cours des âges, mais parce qu'il ri était pas un Juif ! Non, Ie Juif n'est pas un nomade, car le nomade a déjà du « travail » une conception d'où peut résulter une évolution ultérieure si les conditions intellectuelles préalables viennent à être remplies. Il y a chez lui un fond d'idéalisme, bien qu'assez mince ; aussi sa nature peut paraître étrangère aux peuples aryens, sans pourtant leur être antipathique. Une telle conception est inconnue aux Juifs ; aussi n'ont-ils jamais été des nomades, mais toujours des parasites vivant sur le corps des autres peuples. S'i1s ont parfois quitté les régions où ils avaient vécu jusqu'alors, ce ne fut pas volontairement, mais parce qu'ils furent chassés à diverses reprises par les peuples lassés de l'abus qu'ils faisaient de 1'hospitalité qu'on leur avait accordée. La coutume qu'a le peuple juif de s'étendre toujours plus au loin est un trait caractéristique des parasites; il cherche toujours pour sa race un nouveau sol nourricier.

Mais cela n'a rien à voir avec le nomadisme, car le Juif ne songe pas du tout à quitter la contrée où il se trouve ; il reste à l'endroit où il s'est établi et s'y cramponne à tel point qu'on ne peut l'en chasser que très difficilement, même en employant la violence. Son extension dans de nouvelles contrées ne se produit qu'au moment où sont remplies les conditions nécessaires à son existence sans que pour cela, comme le fait le nomade, il change d'habitat. Il est et demeure la parasite-type, l'écornifleur, qui, tel an bacille nuisible, s'étend toujours plus loin, sitôt qu'un sol nourricier favorable l'y invite. L'effet produit par sa présence est celui des plantes parasites : là où il se fixe,

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le peuple qui l'accueille s'éteint au bout de plus ou moins longtemps.

C'est ainsi que le Juif a, de tous temps, vécu dans les Etats d'autres peuples ; il formait son propre Etat qui se dissimulait sous le masque de « communauté religieuse » tant que les circonstances ne lui permettaient pas de manifester complètement sa vraie nature. Mais, s'il lui arrivait de se croire assez fort pour pouvoir se passer de ce déguisement, il laissait tomber le voile et était subitement ce que beaucoup ri avaient voulu auparavant ni croire ni voir : le Juif.

La vie que le Juif mène comme parasite dans le corps d'autres nations et Etats comporte un caractère spécifique, qui a inspiré à Schopenhauer le jugement déjà cité, que le Juif est « le grand maître en fait de mensonges ». Son genre de vie porte le Juif à mentir et à toujours mentir comme le climat force l'habitant du Nord à porter des vêtements chauds.

Sa vie au sein d'autres peuples ne peut durer que lorsqu'il parvient à faire croire qu'il ne doit pas être considéré comme un peuple, mais comme une « communauté religieuse », il est vrai d'un genre particulier.

Mais cela est le premier de ses grands mensonges.

Il est obligé, pour pouvoir vivre comme parasite des peuples, de renier ce qu'il y a de particulier et de fondamental dans son espèce. Plus grande est l'intelligence d'un Juif et plus cette supercherie aura de succès. Cela peut aller si loin qu'une grande partie du peuple qui leur donne l'hospitalité finira par croire sérieusement qu'ils sont des Français ou des Anglais, des Allemands ou des Italiens, bien qu'appartenant à une confession différente. Les classes dirigeantes, qui passent pourtant pour être inspirées par des bribes de la philosophie de l'histoire, sont particulièrement victimes de cette infâme tromperie. Penser par soi-même passe dans ces milieux pour un péché commis contre le saint progrès, de sorte qu'on ne peut s'étonner de voir, par exemple, qu'un ministère d'Etat en Bavière n'a pas le moindre soupçon encore aujourd'hui du fait que les Juifs sont les ressortissants d'un peuple et non d'une confession ; et pourtant il suffirait de jeter un coup d'œil dans le monde de la presse qui est la propriété de la juiverie pour que ce fait s'impose à l'esprit le plus médiocre. Il est

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vrai que L'Echo Juif n'est pas encore une feuille officielle ; aussi ri a-t-il aucune importance sux yeux d'un puissant de l'Etat.

Les Juifs ont toujours formé un peuple doué de caractères propres à sa race ; ils n'ont jamais été simplement les fidèles d'une religion particulière ; mais, pour pouvoir progresser, il leur a fallu trouver un moyen de détourner d'eux une attention qui pouvait être gênante. Le moyen le plus pratique et en même temps le plus propre à endormir les soupçons n'était-il pas de mettre en avant le concept, emprunté, de communauté religieuse ? Car ici aussi tout est copié, ou, pour mieux dire, volé ; par nature, le Juif ne peut posséder une organisation religieuse, puisqu'il ne connaît aucune forme d'idéalisme et que, par suite, la foi en l'au-delà lui est complètement étrangère. Mais, d'après les conceptions aryennes, on ne peut se représenter une religion à laquelle manquerait, sous une forme quelconque, la conviction que l'existence d'un homme continue après sa mort. En fait, le Talmud n'est pas un livre préparant à la vie dans l'au-delà ; il enseigne seulement à mener ici-bas une vie pratique et supportable.

La doctrine religieuse des Juifs est, en première ligne, une instruction tendant à maintenir la pureté du sang juif et un code réglant les rapports des Juifs entre eux, et surtout ceux qu'ils doivent avoir avec le reste du monde, c'est-à-dire avec les non-Juifs. Mais dans ce dernier cas, il ne s'agit pas du tout de problèmes de morale, mais de ceux qui concernent les questions économiques d'une extraordinaire bassesse. Sur la valeur morale de l'enseignement religieux juif, il existe encore aujourd'hui, et il y eut dans tous les temps, des études assez approfondies (non pas du côté juif ; tout ce que les Juifs ont écrit sur cette question était naturellement conforme à leur but) ; ce qu'elles disent de ce genre de religion le rend fort suspect à ceux qui en jugent d'après les idées aryennes. Mais la meilleure définition en est fournie par le produit de cette éducation religieuse : par le Juif lui-même. Sa vie n'est que de ce monde et son esprit est aussi profondément étranger au vrai christianisme que son caractère l'était, il y a deux mille ans, au grand fondateur de la nouvelle doctrine. Il faut reconnaître que . celui-ci n'a jamais fait mystère de l'opinion qu'il avait du peuple juif, qu'il a usé, lorsqu'il le fallut, même du fouet pour chasser du temple

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du Seigneur cet adversaire de toute humanité, qui, alors comme il le fit toujours, ne voyait dans la religion qu'un moyen de faire des affaires. Mais aussi le Christ fut pour cela mis en croix, tandis qu'on voit aujourd'hui le parti politique chrétien se déshonorer en mendiant pour les élections les voix des Juifs et en cherchant ensuite à nouer des intrigues avec les partis juifs athées, même contre ses propres nationaux.

Sur ce premier et suprême mensonge que les Juifs ne sont pas une race, mais les tenants d'une religion, s'édifièrent ensuite logiquement d'autres mensonges. Par exemple, le mensonge en ce qui concerne la langue des Juifs. Elle est pour lui un moyen, non pas d'exprimer ses pensées, mais de les dissimuler. En parlant français, il pense en juif et, en tournant des vers allemands, il exprime seulement le caractère de sa race.

Tant que le Juif n'est pas devenu le maître des autres peuples, il faut que, bon gré mal gré, il parle leur langue ; mais sitôt que ceux-ci seraient ses esclaves, ils devraient tous apprendre une langue universelle (l'esperanto, par exemple), pour que, par ce moyen, la juiverie puisse les dominer plus facilement.

Les « Protocoles des sages de Sion », que les Juifs renient officiellement avec une telle violence, ont montré d'une façon incomparable combien toute l'existence de ce peuple repose sur un mensonge permanent. « Ce sont des faux », répète en gémissant la Gazette de Francfort et elle cherche à en persuader l'univers ; c'est là la meilleure preuve qu'ils sont authentiques. Ils exposent clairement et en connaissance de cause ce que beaucoup de Juifs peuvent exécuter inconsciemment. C'est là l'important. Il est indifférent de savoir quel cerveau juif a conçu ces révélations ; ce qui est décisif, c'est qu'elles mettent au jour, avec une précision qui fait frissonner, le caractère et l'activité du peuple juif et, avec toutes leurs ramifications, les buts derniers auxquels il tend. Le meilleur moyen de juger ces révélations est de les confronter avec les faits. Si l'on passe en revue les faits historiques des cent dernières années à la lumière de ce livre, on comprend immédiatement pourquoi la presse juive pousse de tels cris. Car, le jour où il sera devenu le livre de chevet d'un peuple, le péril juif pourra être considéré comme conjuré.

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Pour bien connaître le Juif, le meilleur procédé est d'étudier la route qu'il a, parmi les autres peuples, suivie au cours des siècles. Un exemple suffira pour y voir clair. Comme son développement a été le même à toutes les époques, et comme les peuples aux dépens desquels il a vécu ont toujours été les mêmes, il est nécessaire de répartir cette étude en chapitres distincts que, pour plus de simplicité, je désignerai par des lettres.

Les premiers Juifs sont arrivés en Germanie au moment de son envahissement par les Romains et, comme toujours, en qualité de marchands. Pendant les bouleversements amenés par les grandes migrations, ils ont disparu en apparence et c'est ainsi que l'époque où s'organisèrent les premiers Etats germaniques peut être considérée comme le début de la nouvelle et définitive judaïsation de l'Europe du Centre et du Nord. C'est alors que commença une évolution qui fut toujours la même ou semblable, chaque fois que les Juifs se rencontrèrent avec des peuples aryens.

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A. - Sitôt que naissent les premiers établissements fixes, le Juif se trouve subitement là. Il arrive comme marchand et, au début, se soucie peu de dissimuler sa nationalité. Il est encore un Juif, en partie peut-être parce que les signes extérieurs qui accusent la différence de sa race et de celle du peuple dont il est l'hôte sont encore trop apparents, parce qu'il connaît encore trop peu la langue du pays, parce que les caractères nationaux de l'autre peuple sont trop saillants pour que le Juif puisse oser se donner pour autre chose qu'un marchand étranger. Comme il est plein de souplesse et que le peuple qui le reçoit manque d'expérience, conserver son caractère de Juif ne lui cause aucun préjudice et offre même des avantages ; on se montre accueillant pour l'étranger.

B. - Peu à peu il s'insinue dans la vie économique, non pas comme producteur, mais comme intermédiaire. Son habileté commerciale, développée par l'exercice au cours de milliers d'années, lui donne une grande supériorité sur l'Aryen encore peu dégourdi et d'une honnêteté sans bornes, de sorte qu'en peu de temps le commerce menace

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de devenir son monopole. Il commence par prêter de l'argent et, comme toujours, à des intérêts usuraires. C'est lui qui, en fait, introduit dans le pays le prêt à intérêt. On ne s'aperçoit pas d'abord du danger que présente cette innovation ; on l'accueille même avec plaisir, en raison de l'avantage momentané qu'elle présente.

C. - Le Juif est devenu complètement sédentaire, c'est-à-dire qu'il occupe un quartier particulier dans les villes et les bourgs et forme de plus en plus un Etat dans l'Etat. Il considère le commerce et les affaires d'argent comme un privilège lui appartenant et qu'il exploite impitoyablement.

D. - Les affaires d'argent et le commerce sont devenus son monopole exclusif. Les intérêts usuraires qu'il exige finissent par provoquer des résistances ; son insolence naturelle, en s'aggravant, excite l'indignation ; ses richesses éveillent la jalousie. La mesure est comble quand il range la terre et le sol parmi les objets de son commerce et les avilit en en faisant une marchandise vénale et négociable. Comme il ne cultive jamais le sol lui-même, mais ne le considère que comme une propriété de rapport, sur laquelle le paysan peut bien rester, mais à condition de subir les exactions les plus éhontées de la part de son nouveau maître, l'antipathie qu'il excite augmente jusqu'à devenir une haine ouverte. Sa tyrannie et sa rapacité deviennent si insupportables que ses victimes, sucées jusqu'au sang, vont jusqu'aux voies de fait contre lui. On commence à regarder cet étranger de plus près et l'on remarque chez lui des traits et des façons d'être toujours plus répugnants, jusqu'à ce qu'enfin un abîme infranchissable s'ouvre entre lui et ses hôtes.

Aux époques de grande misère, la fureur des exploités finit par éclater contre lui. Les masses pillées et ruinées se font justice elles-mêmes pour se défendre contre ce fléau de Dieu : elles ont appris su cours de quelques siècles à le connaître et considèrent sa simple existence comme un danger aussi redoutable que la peste.

E. - Mais alors le Juif commence à révéler son véritable caractère. Il assiège les gouvernements de flatteries écœurantes, fait travailler son argent et, de cette façon, se fait accorder des lettres de franchise qui lui permettent de piller encore ses victimes. Si parfois la fureur populaire s'enflamme contre cette éternelle sangsue, elle ne l'empêche pas le

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moins du monde de reparaître su bout de quelques années dans l'endroit qu'il avait dû quitter et de reprendre son ancien genre de vie. Il n'y a pas de persécution qui puisse lui faire perdre l'habitude d'exploiter les autres hommes, aucune qui arrive à le chasser définitivement ; après chacune d'elles, il revient su bout de peu de temps et est resté le même.

Pour au moins empêcher le pire, on commence à mettre le sol à l'abri de ses mains d'usurier, en lui en interdisant l'acquisition par la loi.

F. - Plus la puissance du souverain grandit, plus le Juif l'assiège. Il mendie des « lettres de franchise » et des « privilèges » que les seigneurs, toujours gênés dans leurs finances, lui accordent volontiers contre paiement. Si cher que ces documents lui aient coûté, il récupère en peu d'années l'argent dépensé avec les intérêts et les intérêts des intérêts. C'est une véritable sangsue qui se fixe au corps du malheureux peuple et qu'on ne peut en détacher, jusqu'à ce que les souverains eux-mêmes aient besoin d'argent et lui fassent de leurs augustes mains dégorger le sang qu'il avait sucé.

Cette scène se renouvelle constamment et le rôle qu'y jouent ceux qu'on appelle les « princes allemands » est aussi pitoyable que celui des Juifs eux-mêmes. Ils étaient vraiment un châtiment envoyé par Dieu à leurs chers peuples, ces grands seigneurs, et on ne peut trouver leur équivalent que dans les différents ministres de notre temps.

C'est la faute des princes allemands si la nation allemande n'est pas parvenue définitivement à s'affranchir du danger juif. Malheureusement, les choses sont restées dans le même état par la suite, de sorte qu'ils ont reçu des Juifs le salaire qu'ils avaient mille fois mérité par les péchés dont ils s'étaient rendus coupables à l'égard de leurs peuples. Ils s'étaient alliés avec le diable et ont fini leur carrière en enfer.

G. - En se laissant prendre dans les filets du Juif, les princes ont préparé leur propre ruine. La situation qu'ils occupaient au milieu de leurs peuples est lentement, mais fatalement, minée à mesure qu'ils cessent de défendre les intérêts de leurs sujets et deviennent leurs exploiteurs. Le Juif sait très exactement que leur règne touche à sa fin et cherche à la hâter autant que possible. C'est lui-même qui les plonge dans leurs éternels besoins d'argent, en les

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détournant de leur vraie tâche, en les étourdissant par les plus basses et les pires flatteries, en les poussant à la débauche et en se rendant par là de plus en plus indispensable. Son habileté, ou pour mieux dire son absence de scrupules dans les affaires d'argent, sait toujours trouver de nouvelles ressources en pressurant les sujets, en les écorchant même ; si bien que la moyenne de leur existence devient toujours plus courte. Toute cour a son « Juif de la Cour », c'est le nom qu'on donne aux monstres qui torturent le bon peuple et le poussent au désespoir, tandis qu'ils offrent aux princes des plaisirs toujours renaissants. Comment s'étonner de voir ces ornements de la race humaine ornés de signes extérieurs de distinction, de les voir élevés à la noblesse héréditaire et contribuer ainsi, non pas seulement à rendre ridicule cette institution, mais encore à la contaminer.

C'est alors que le Juif peut vraiment profiter de sa situation pour monter encore plus haut.

Il n'a plus qu'à se faire baptiser pour entrer lui-même en possession de tous les droits et capacités dont jouissent les enfants du pays. Il conclut l'affaire, très souvent à la grande joie de l'Eglise, fière d'avoir gagné un nouveau fils, et d'Israël, heureux de voir une filouterie aussi réussie.

H. - A ce moment, se produit une transformation dans Ie judaïsme. C'étaient jusqu'alors des Juifs seulement, qui ne cherchaient pas à paraître autre chose, ce qui était d'ailleurs difficile en raison des caractères distinctifs qui séparaient les deux races en présence. A l'époque de Frédéric le Grand, il ne venait encore à l'idée de personne de voir dans les Juifs autre chose qu'un peuple « étranger » et Goethe se révolte encore à l'idée qu'à l'avenir, le mariage entre chrétiens et juifs pourrait ne plus être interdit par la loi. Goethe était pourtant vraiment un être divin ; ce n'était ni un réactionnaire ni un ilote ; ce qui s exprimait par sa bouche n'était pas autre chose que la voix du sang et de la raison. Ainsi le peuple, malgré les trafics honteux des cours, voyait instinctivement dans le Juif l'élément étranger introduit dans son propre corps et se conduisait en conséquence à son égard.

Mais cela allait. changer. Au cours de plus de mille ans, le Juif a appris à se rendre si bien maître de la langue du peuple qui lui a accordé l'hospitalité, qu'il croit pouvoir se risquer maintenant à mettre moins d'accent sur son

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origine juive et à faire passer su premier plan sa « qualité d'Allemand n. Si ridicule et absurde que cette prétention puisse paraître au premier abord, il se permet de se transformer en « Germain ~ et donc, dans le cas présent, en « Allemand ». Alors prend naissance une des plus infâmes tromperies qui se puisse imaginer. Comme il ne possède de ce qui fait l'Allemand que l'art d'écorcher sa langue -et d'une épouvantable façon - mais que, pour le reste, il ne s'est jamais fondu dans la population allemande, tout ce qu'il a d'allemand est la langue qu'il parle. Or, ce qui fait la race, ce n'est pas la langue, mais le sang, et le Juif le sait mieux que personne, puisqu'il attache peu d'importance à la conservation de sa langue et, par contre, en attache une très grande à ce que son sang reste pur. Un homme peut très facilement changer de langue, c'est-à-dire se servir d'une autre ; seulement, il exprimera alors dans sa nouvelle langue ses anciennes idées ; sa nature intime ne sera pas modifiée. C'est ce que prouve le Juif, qui peut parler mille langues différentes et n'est pourtant toujours qu'un Juif. Son caractère ethnique restera toujours le même, qu'il ait, il y a deux mille ans, parlé latin à Ostie en faisant le commerce des grains ou que, spéculateur sur les farines de nos jours, il parle l'allemand des youpins. C'est toujours le même Juif. Que ce fait évident ne soit pas compris par un conseiller ministériel de l'espèce courante actuellement ou par un fonctionnaire supérieur de la police, cela, il est vrai, va de soi, car il est difficile de rencontrer des personnages plus dénués d'instinct et d'esprit que ces serviteurs des autorités si éminentes qui dirigent actuellement l'Etat.

La raison pour laquelle le Juif se décide tout d'un coup à devenir un « Allemand » est évidente. Il sent que la puissance des princes commence à chanceler et il cherche bientôt une plateforme sur laquelle poser ses pieds. De plus, la domination financière qu'il exerce sur toute l'économie politique a fait tant de progrès qu'il ne peut plus soutenir cet énorme édi6ce, qu'en tous cas son influence ne pourra plus s'accroître, s'il ne possède pas tous les droits « civiques n. Mais il désire ces deux choses, car plus haut il grimpe et plus le sollicite ce but dont la conquête lui fut jadis promise et qui se dégage maintenant des ténèbres du passé ; avec une ardeur fébrile, les meilleurs cerveaux juifs voient se rapprocher, jusqu'à être à la portée de leurs mains, le rêve

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de la domination universelle. Aussi tous ses efforts tendent à la conquête pleine et entière des droits « civiques ».

Telle est la raison de l'émancipation hors du ghetto.

I. - C'est ainsi que du Juif de cour sort peu à peu le juif du peuple.

Bien entendu, le Juif se tient, comme auparavant, dans l'entourage des puissants de ce monde, il cherche même avec encore plus d'ardeur à se glisser dans leur société ; mais, en même temps, d'autres représentants de sa race font les bons apôtres auprès du bon peuple. Si l'on se rappelle de combien de péchés le Juif s'est, au cours des siècles, rendu coupable à l'égard de la masse, comment il l'a toujours impitoyablement exploitée et pressurée, si l'on considère en outre combien le peuple a pour ces raisons appris peu à peu à le haïr et a fini à voir dans sa présence un châtiment que le ciel inflige aux autres peuples, on comprendra combien les Juifs ont eu de peine à exécuter ce changement de front. Oui, ce fut un pénible travail pour eux de se présenter comme « amis des hommes » aux victimes qu'ils avaient écorchées.

Le Juif commence tout d'abord par pallier aux yeux du peuple les torts graves qu'il a eus envers lui. Il se transforme, en premier lieu, en « bienfaiteur p de l'humanité. Comme sa bonté toute nouvelle a des motifs très intéressés, il ne peut pas observer le vieux précepte de la Bible qui professe que la main gauche doit ignorer ce que donne la main droite ; il 1ui faut, bon gré mal gré, se résigner à faire savoir combien il est sensible aux souffrances de la masse et à publier tous les sacrifices qu'il s'impose personnellement pour les soulager. Avec la modestie qui lui est innée, il trompette ses mérites dans le monde entier avec tant de persévérance que celui-ci commence vraiment à y croire. Qui reste incrédule passe pour très injuste à son égard. Bientôt il donne aux choses une telle tournure qu'il semble que ce soit à lui qu'on ait fait toujours tort, quand c'est le contraire qui est la vérité. Les gens particulièrement sots lui font confiance et ne peuvent s'empêcher de plaindre le pauvre « malheureux ».

D'ailleurs, il faut noter que, bien que se sacrifiant avec joie, le Juif n'en devient pas plus pauvre pour cela. Il a'entend à faire les parts ; ses bienfaits sont même parfois comme un fumier qu'on répand sur un champ non par

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amour pour celui-ci, mais en se proposant d'en tirer un profit personnel. Mais, en tous cas, tout le monde sait, en un temps relativement court, que le Juif est un « bienfaiteur et philanthrope n. Quelle étrange transformation !

Ce qui est chez les autres plus ou moins naturel, provoque un extrême étonnement, et même chez certains une admiration visible, parce qu'une telle conduite n'est pas naturelle chez le Juif. Il arrive ainsi qu'on lui fait de chacun de ses actes de bienfaisance un beaucoup plus grand mérite qu'on ne le ferait pour les autres hommes.

Bien plus encore : le Juif devient tout d'un coup libéral et commence à manifester son enthousiasme pour les progrès que doit faire le genre humain.

Peu à peu il devient, en paroles, le champion des temps nouveaux.

Il est vrai qu'il continue à détruire toujours plus radicalement les bases d'une économie politique vraiment utile pour le peuple. Par le détour des sociétés par actions, il s'introduit dans le circuit de la production nationale, il en fait l'objet d'un commerce de brocanteur pour lequel tout est vénal, ou, pour mieux dire, négociable ; il dépouille ainsi les industries des bases sur lesquelles pourrait s'édifier une propriété personnelle. C'est alors que naît entre employeurs et employés cet état d'esprit qui les rend étrangers les uns aux autres et qui conduit plus tard à la division de la société en classes.

Enfin l'influence que le Juif exerce sur la Bourse au point de vue économique grandit d'une façon effrayante. Il possède ou du moins contrôle toutes les forces de travail de la nation.

Pour affermir sa situation dans l'Etat, il cherche à abattre toutes les barrières par lesquelles la race et l'état civil avaient d'abord gêné sa marche. Pour cela il combat avec toute la ténacité qui lui est propre en faveur de la tolérance religieuse et il a dans la franc-maçonnerie, qui est complètement tombée entre ses mains, un excellent instrument pour mener une lutte qui lui permette de parvenir astucieusement à ses fins. Les classes dirigeantes et les hautes sphères politiques et économiques de la bourgeoisie, prises dans le réseau maçonnique, deviennent sa proie, sans qu'elles puissent s'en douter.

Mais le peuple véritable ou, pour mieux dire, la classe

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qui commence à s'éveiller, qui est en train de conquérir par ses propres forces ses droits et la liberté, échappe à cette emprise dans ses couches vastes et profondes. Pourtant, la dominer est plus important que tout le reste. Car le Juif sent qu'il ne pourra jouer son rôle de dominateur que si un « entraîneur » marche devant lui. Il croit trouver cet entraîneur dans les couches les plus étendues de la bourgeoisie. Mais les fabricants de gants et les tisserands ne peuvent être pris dans le fin réseau de la franc-maçonnerie ; il faut employer ici des procédés plus grossiers, mais qui ne seront pas moins efficaces. Alors à la franc-maçonnerie s'ajoute la presse comme seconde arme au service de la juiverie. Le Juif met toute sa ténacité et toute son habileté à s'emparer d'elle. Par son intermédiaire, il prend dans ses serres et ses filets toute la vie publique ; il la dirige et la pousse devant lui, car il se trouve à même de produire et de conduire cette force que, sous le nom « d'opinion publique », on connaît mieux aujourd'hui qu'on ne le faisait il y a quelques dizaines d'années.

En même temps, il se donne l'air d'être personnellement altéré de savoir, fait l'éloge de tous les progrès, particulièrement de ceux qui causent la ruine des autres ; car il ne juge de tout progrès et de toute évolution qu'au point de vue des avantages qu'ils peuvent avoir pour son peuple, sinon il est l'ennemi acharné de toute lumière, il hait toute vraie civilisation. Toute la science qu'il acquiert dans les écoles des autres, il ne l'emploie qu'au service de sa race.

Mais il veille à la conservation de sa nationalité plus qu'il ne l'avait jamais fait auparavant. Tout en paraissant déborder de « lumières », de « progrès », de « liberté », « d'humanité », il a soin de maintenir l'étroit particularisme de sa race. Il lui arrive bien d'accrocher ses femmes à des chrétiens influents, mais il a pour principe de maintenir toujours pure sa descendance mâle. Il empoisonne le sang des autres, mais préserve le sien de toute altération. Le Juif n'épouse presque jamais une chrétienne, tandis que le chrétien épouse une juive. Mais chez les produits de ce métissage, c'est l'élément juif qui l'emporte. Particulièrement, une partie de la haute noblesse est complètement dégénérée. Le Juif le sait fort bien et pratique systématiquement ce « désarmement H de la classe des guides spirituels de ses adversaires de race. Pour dissimuler ses

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menées et endormir ses victimes, il ne cesse de parler de l'égalité de tous les hommes, sans considération de race ou de couleur. Les imbéciles commencent à se laisser persuader par lui.

Mais comme tout son être ne peut se débarrasser d'un relent qui signale trop clairement l'étranger pour que la grande masse du peuple puisse facilement tomber dans ses rets, il fait donner de lui-même par sa presse une image qui répond aussi peu à la réalité qu'elle est, par contre, utile aux fins qu'il poursuit. C'est surtout dans les journaux humoristiques qu'on s'efforce de représenter les Juifs comme un bon petit peuple inoffensif, qui a bien ses traits particuliers - comme d'ailleurs tous les autres mais qui, même dans ses mœurs d'un aspect peut-être un peu étranger, témoigne avoir une âme qui peut éveiller le sourire, mais qui est d'une honnêteté foncière et pleine de bonté. En général, on tente de le représenter toujours comme plus insignifiant que dangereux.

Son but dernier, dans ce stade de son évolution, est la victoire de la démocratie, ou bien ce qu'il entend par lâ : l'hégémonie du parlementarisme. C'est elle qui répond le mieux à ses besoins ; elle supprime les personnalités pour mettre à leur place la majorité des imbéciles, des incapables et surtout des lâches.

Le résultat final sera la chute de la monarchie, qui arrive fatalement plus ou moins rapidement.

J. - L'énorme évolution économique amène une modification des couches sociales constituant le peuple. Comme les petits métiers s'éteignent peu à peu et que, par suite, le travailleur a de moins en moins l'occasion de parvenir à une existence indépendante, il devient rapidement un prolétaire. Alors paraît « l'ouvrier de fabrique » dont le caractère principal est d'arriver très rarement à se créer à la fin de sa vie une existence indépendante. Il est, dans toute la force du terme, un non-propriétaire ; la vieillesse est pour lui un enfer et c'est à peine si l'on peut dire qu'il vit encore.

L'évolution sociale avait déjà auparavant créé une situation semblable qui exigeait impérieusement une solution et la trouva. A la classe des cultivateurs et des artisans était venu s'ajouter celle des fonctionnaires et employés, particulièrement ceux de l'Etat. Eux aussi étaient, dans le vrai

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sens du mat, des non-propriétaires. L'Etat remédia à cet inconvénient en se chargeant de l'entretien de ses employés qui ne pouvaient rien mettre de côté pour leurs vieux jours ; il créa la pension, Ie traitement de retraite. Peu à peu des exploitations privées, chaque jour plus nombreuses, suivirent cet exemple, de sorte qu'aujourd'hui presque tous les employés réguliers et remplissant des fonctions administratives touchent une retraite, à condition que l'entreprise ait atteint ou dépassé une certaine importance. Et c'est seulement la sécurité ainsi donnée au fonctionnaire de l'Etat pour ses vieux jours qui développa cette conscience professionnelle et ce dévouement qui, avant la guerre, étaient la qualité principale du corps des fonctionnaires allemands.

C'est ainsi que toute une classe, qui resta sans propriété personnelle, fut intelligemment soustraite à la misère sociale et devint un des membres de la communauté nationale.

Cette question s'est posée à nouveau, et dans des proportions beaucoup plus grandes, à l'Etat et à la nation. De nouvelles masses d'hommes, s'élevant à des millions d'individus, émigrèrent de la campagne dans les grandes villes pour gagner leur vie en qualité d'ouvriers de fabrique dans les industries nouvellement fondées. Les conditions de travail et de vie de cette nouvelle classe étaient plus que misérables. Les anciennes méthodes de travail de l'artisan et aussi du cultivateur ne pouvaient pas s'adapter plus ou moins automatiquement à la nouvelle forme de l'industrie. L'activité de l'un comme de l'autre ne pouvait se comparer aux efforts imposés à l'ouvrier d'usine. Dans les anciens métiers le temps pouvait ne jouer qu'un rôle secondaire ; il a le premier dans Ies méthodes actuelles de travail. Le transport de l'ancienne durée du travail dans la grande industrie eut un effet désastreux. Car le rendement effectif du travail était autrefois peu considérable, parce qu'on n'employait pas les méthodes actuelles de travail intensif. Si l'on pouvait supporter autrefois une journée de travail de quatorze ou quinze heures, on ne pouvait plus y résister à une époque où chaque minute est utilisée à l'extrême. Cet absurde transfert de l'ancienne durée du travail dans la nouvelle industrie fut fatal à deux points de vue : il ruina la santé des ouvriers et détruisit leur foi en un droit

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supérieur. A ces inconvénients vint s'ajouter, d'une part,. la lamentable insuffisance des salaires et, de l'autre, la situation bien meilleure des employeurs qui n'en était que plus frappante.

A la campagne, il ne pouvait pas y avoir de question sociale, parce que maître et valet se livraient au même travail et surtout mangeaient au même plat. Mais, là aussi, il y eut du changement.

La séparation entre l'employeur et l'employé paraît accomplie aujourd'hui dans tous les domaines. Combien, à ce point de vue, l'enjuivement de notre peuple a fait de progrès, on s en aperçoit au peu d'estime, sinon au mépris que l'on a pour le travail manuel. Cela n'est pas allemand. C'est seulement la francisation de notre vie sociale, qui a été en réalité un enjuivement, qui a transformé l'estime où nous tenions autrefois les métiers manuels en un certain mépris pour tout travail corporel.

Ainsi est née une nouvelle classe très peu considérée et la question se posera certainement un jour de savoir si la nation aura l'énergie nécessaire pour refaire de cette classe un membre de la communauté sociale ou bien si la différence d'état s'aggravera jusqu'à creuser un abîme entre cette classe et les autres.

Une chose est sûre : c'est que la nouvelle classe ne possédait pas dans ses rangs les plus mauvais éléments, mais au contraire et dans tous les cas les plus énergiques. L'affinement excessif, résultat de ce qu'on appelle la civilisation, n'avait encore exercé ici son influence qui désagrège et détruit. La nouvelle classe n'était pas encore, dans ses masses profondes, contaminée par le poison de la lâcheté pacifiste ; elle était restée robuste et, quand il le fallait, brutale.

Tandis que la bourgeoisie ne se soucie pas de cette question si importante et laisse avec indifférence les événements suivre leur cours, le Juif se rend compte des perspectives in6nies qui s'ouvrent ici dans l'avenir ; tout en organisant d'un côté, jusqu'à leurs dernières conséquences, les méthodes capitalistes d'exploitation de la race humaine, il se rapproche des victimes de ses conceptions et de ses actes et il devient bientôt leur chef dans le combat qu'elles mènent contre lui-même. Dire .< contre lui-même n, c'est, il est vrai, parler par métaphore ; car le grand maître des

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mensonges sait toujours se faire passer pour l'être pur et vertueux et mettre à la charge des autres ses propres fautes. Comme il a l'impudence de se mettre à la tête des masses, il ne vient pas à l'esprit de celles-ci qu'elles sont la dupe de la plus infâme tromperie de tous les temps.

Et pourtant il en fut ainsi.

A peine la nouvelle classe est-elle sortie de la transformation économique générale que le Juif voit déjà nettement de quel nouvel entraîneur il dispose pour avancer lui-même. Il a d'abord employé la bourgeoisie comme bélier contre le monde féodal ; maintenant, il se sert de l'ouvrier contre le monde bourgeois. De même qu'autrefois il a su obtenir par ses intrigues les droits civils en s'abritant derrière la bourgeoisie, il espère maintenant que le combat mené par les travailleurs pour défendre leur existence lui ouvrira la voie qui le conduira à la domination du monde.

A partir de ce moment, la tâche de l'ouvrier est de combattre pour l'avenir du peuple juif. Sans qu'il le sache, il est su service de la puissance qu'il croit combattre. On le lance en apparence à l'assaut du capital et c'est ainsi qu'on le fait le plus commodément lutter pour celui-ci. En même temps, on crie toujours contre le capital international, mais, en réalité, c'est à l'économie nationale qu'on pense. Celle-ci doit être démolie, afin que sur son cadavre la Bourse internationale puisse triompher.

Voici comment le Juif s'y prend :

Il se rapproche de l'ouvrier, feint hypocritement d'avoir de la compassion pour son sort ou même d'être indigné de la misère et de la pauvreté qui sont son lot ; le Juif gagne ainsi la confiance de l'ouvrier. Il s'efforce d'étudier toutes les épreuves, réelles ou imaginaires, que comporte la vie de l'ouvrier et d'éveiller chez celui-ci le désir violent de modifier ses conditions d'existence. Le besoin de justice sociale qui sommeille toujours dans le cœur d'un Aryen, le Juif l'excite habilement jusqu'à ce qu'il se change en haine contre ceux qui jouissent d'un sort plus heureux et il donne un aspect philosophique précis au combat livré contre les maux sociaux. Il jette les bases de la doctrine marxiste.

En la présentant comme intimement liée à de justes revendications sociales, il favorise sa propagation et, inversement, soulève l'opposition des gens de bien qui refusent d'admettre des revendications qui, sous la forme où elles

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sont présentées et avec les conséquences qu'elles entraînent, leur paraissent foncièrement injustes et inexécutables.

Car, sous le masque d'idées purement sociales, se cachent des intentions vraiment diaboliques ; on les expose même publiquement avec la clarté la plus impudente. Cette doctrine est un mélange inextricable de raison et de niaiserie humaine, mais ainsi dosé que seul ce qu'elle a de fou peut être réalisé, et jamais ce qu'elle a de raisonnable. En refusant à la personnalité et, par suite, à la nation et à la race qu'elle représente, tout droit à l'existence, elle détruit ta base élémentaire de ce qui constitue t ensemble de la civilisation humaine, laquelle dépend précisément de ces facteurs. Voilà l'essence même de la philosophie marxiste, autant qu'on peut donner le nom de « philosophie » à ce produit monstrueux d'un cerveau criminel. La ruine de la personnalité et de la race supprime le plus grand obstacle qui s'oppose à la domination d'une race inférieure, c'est-à-dire de la race juive.

Ce sont précisément ses théories extravagantes en économie et en politique qui donnent sa signification à cette doctrine. Car l'esprit qui l'anime détourne tous les hommes vraiment intelligents de se mettre à son service, tandis que ceux qui ont moins l'habitude d'exercer leurs facultés intellectuelles et qui sont mal informés des sciences économiques s'y rallient bannières au vent. L'intelligence nécessaire à la conduite du mouvement - car même ce mouvement a besoin, pour subsister, d'être dirigé par l'intelligence -c'est le Juif qui, en « se sacrifiant », la tire du cerveau d'un de ses congénères.

Voilà comment naît un mouvement de travailleurs exclusivement manuels conduits par les Juifs. Il a, en apparence, pour but d'améliorer la condition des travailleurs ; en réalité, sa raison d'être est de réduire en esclavage et, par là, d'anéantir tous les peuples non-juifs.

La campagne entamée par la franc-maçonnerie, dans les milieux qualifiés d'intellectuels, pour paralyser l'instinct de conservation national au moyen des doctrines pacifistes, la grande presse, qui est toujours aux mains des Juifs9 la poursuit auprès des masses et surtout de la bourgeoisie. A ces deux armes dissolvantes vient se joindre une troisième, et de beaucoup la plus redoutable, l'organisation de la violence. Lx. marxisme doit, comme troupe d'attaque et

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d'assaut, achever de renverser ce que les deux premières armes ont déjà sapé pour lui préparer la besogne.

C'est une manœuvre admirablement combinée, de sorte qu'il ne faut pas s'étonner si l'on voit, devant elle, renoncer à la lutte précisément ces institutions qui se sont toujours plu à se représenter comme les organes de la plus ou moins légendaire autorité de l'Etat. Auprès de nos hauts fonctionnaires, et même de ceux les plus élevés dans la hiérarchie, le Juif a trouvé en tous temps (à de rares exceptions près) les auxiliaires les plus complaisants pour son travail de destruction. Servilité rampante devant les supérieurs, arrogance hautaine envers les inférieurs, voilà ce qui caractérise ce corps, ainsi qu'une stupidité révoltante qui n'est surpassée que par une infatuation souvent effarante.

Mais ce sont là des qualités qui sont utiles au Juif dans ses rapports avec nos autorités et qui lui sont, en conséquence, très sympathiques.

Le combat, qui maintenant s'engage, se déroule, pour le peindre à grands traits, de la façon suivante :

Conformément aux buts derniers que poursuit la lutte juive, qui ne se contente pas de vouloir conquérir économiquement le monde, mais prétend aussi le mettre politiquement sous son joug, le Juif distribue sa doctrine universelle en deux parties, qui, en apparence, sont réciproquement indépendantes, mais forment un tout indivisible : le mouvement politique et ie mouvement syndical.

Le mouvement syndical est celui qui doit pourvoir au recrutement. Il offre aide et protection aux ouvriers dans le dur combat pour l'existence que la rapacité ou la vue bornée de nombreux patrons les force à mener ; il leur permet de conquérir de meilleures conditions de vie. Si le travailleur ne veut pas livrer à l'arbitraire aveugle d'hommes, parfois peu conscients de leur responsabilité et souvent sans entrailles, la défense des droits qu'il a, comme homme, à la vie, à une époque où l'Etat ne s'inquiète pour ainsi dire pas de lui, il doit prendre lui-même cette défense en mains. Dans la mesure même où ce qu'on appelle la bourgeoisie nationale, aveuglée par ses intérêts pécuniaires, oppose à ce combat pour la vie les plus grands obstacles, ne se contente pas de résister à toutes les tentatives faites pour abréger une durée de travail d'une longueur inhumaine, pour mettre un terme au travail des enfants, pour protéger la femme,

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pour améliorer les conditions hygiéniques dans les ateliers et les demeures, mais souvent les sabote effectivement, le Juif, plus malin, prend en mains la cause des opprimés. Il devient peu à peu le chef du mouvement ouvrier et cela d'autant plus allègrement qu'il n'a pas sérieusement l'intention de remédier réellement aux injustices sociales, mais qu'il vise uniquement à créer progressivement un corps de combattants dans la lutte économique, qui lui seront aveuglément dévoués et qui détruiront l'indépendance de l'économie nationale. Car, si la conduite d'une politique sociale saine doit prendre pour points de direction, d'une part le maintien de la santé du peuple, de l'autre la défense d'une économie nationale indépendante, non seulement ces deux considérations laissent le Juif tout à fait indifférent, mais le but de sa vie est d'en débarrasser sa route. Il ne désire pas maintenir l'indépendance de l'économie nationale, mais la supprimer. Aussi ne se fait-il pas scrupule d'élever, comme chef du mouvement ouvrier, des exigences qui non seulement dépassent le but, mais auxquelles il serait impossible de satisfaire ou bien qui amèneraient la ruine de l'économie nationale. Il veut avoir devant lui une génération d'hommes non pas sains et solides, mais un troupeau dégénéré et prêt à subir le joug. C'est dans cette intention qu'il met en avant les revendications les plus absurdes qu'il sait très bien ne pouvoir être satisfaites et qui ne changeront donc rien à l'état des choses, mais auront tout au plus pour effet d'éveiller dans les masses une vague et violente irritation. Car c'est là ce qu'il recherche et non pas à améliorer réellement et honnêtement leur situation sociale.

Le Juif restera donc le chef incontesté du mouvement ouvrier tant que n'aura pas été entrepris un gigantesque travail pour éclairer les grandes masses, pour les renseigner plus exactement sur les causes de leur éternelle misère, tant que l'Etat ne se sera pas débarrassé du Juif et de son travail souterrain. Car aussi longtemps que les masses seront aussi peu orientées qu'elles le sont actuellement et que l'Etat se montrera aussi indifférent, elles suivront toujours le premier qui leur fera, au point de vue économique, les promesses les plus éhontées. Sur ce point, le Juif est passé maître, car toute son activité n'est tenue en bride par aucune sorte de scrupules de morale.

C'est pourquoi il l'emporte facilement sur ce terrain, et en

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peu de temps, sur tous ses concurrents. Conformément à la brutalité et à l'instinct de brigandage qui sont en lui, il donne au mouvement ouvrier un caractère de violence la plus brutale. La résistance de ceux dont le bon sens ne mord pas à l'hameçon est brisée par la terreur. Les conséquences d'une pareille activité sont effrayantes.

En fait, le Juif détruit les fondements de l'économie nationale par l'intermédiaire de la classe ouvrière, qui pourrait faire la prospérité de la nation.

Parallèlement, se développe l'organisation politique. Elle concorde avec le mouvement ouvrier en ce que le mouvement ouvrier prépare les masses à faire partie de l'organisation politique, les y fait même entrer de force et comme à coups de fouet. Il est la source permanente des subsides au moyen desquels l'organisation politique entretient son énorme appareil. Il est l'organe de contrôle pour l'activité politique des individus et joue le rôle de rabatteur pour toutes les grandes démonstrations politiques. l1 finit par ne plus lutter pour les conquêtes économiques, mais met son principal moyen de combat, la grève, sous forme de grève de masse et de grève générale, à la disposition de l'idée politique.

En créant une presse dont le contenu est adapté à l'horizon intellectuel des lecteurs les moins cultivés, l'organisation syndicale et politique tend à répandre un esprit de révolte qui rend les plus basses classes de la nation mûres pour les actes les plus téméraires. Sa tâche n'est pas de tirer les hommes du marais de leurs bas instincts et de les faire parvenir à un niveau supérieur, mais, au contraire, de flatter leurs plus vils appétits. C'est là une spéculation qui rapporte beaucoup quand on s'adresse à la masse dont la paresse intellectuelle n'a d'égale que la présomption.

C'est cette presse avant tout qui dénigre, dans un esprit de calomnie fanatique, tout ce qu'on peut considérer comme l'appui de l'indépendance nationale, d'une culture élevée et de l'autonomie économique de la nation.

Elle sonne avant tout la charge contre tous les hommes de caractère qui ne veulent pas s'incliner devant la prétention que les juifs ont de dominer l'Etat ou dont les capacités et le génie paraissent dangereux au Juif. Car, pour être haï de lui, il n'est pas nécessaire qu'on le combatte ; il suffit qu'il vous soupçonne soit de pouvoir penser un jour à le com-

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battre, soit d'user de la supériorité de vos dons intellectuels pour développer la force et la grandeur d'une nation hostile au Juif.

Son instinct, qui est infaillible à cet égard, flaire en tout homme ses dispositions naturelles et celui qui n'est pas l'esprit de son esprit est sûr de l'avoir pour ennemi. Comme le Juif n'est pas celui qui est attaqué, mais bien l'agresseur, il considère comme son ennemi non pas seulement celui qui l'attaque, mais aussi celui qui lui résiste. Le moyen qu'il emploie pour tenter de briser les âmes aussi audacieuses, mais droites, n'est pas un combat loyal, mais le mensonge et la calomnie.

Dans ce cas, il ne recule devant rien et sa vilenie est tellement gigantesque qu'il ne faut pas s'étonner si, dans l'imagination de notre peuple, la personnification du diable, comme symbole de tout ce qui est mal, prend la forme du Juif.

L'ignorance où est la masse du caractère intime du Juif, le manque d'instinct et l'intelligence bornée de nos hautes classes font que le peuple est facilement victime de cette campagne de mensonge menée par les Juifs.

Tandis que les hautes classes, avec la lâcheté innée chez elles, se détournent d'un homme que le Juif attaque ainsi par le mensonge et la calomnie, les masses, par sottise ou simplicité, croient d'ordinaire tout le mal qu on dit de lui. Les autorités soit s'enferment dans le silence, soit, ce qui le plus souvent fait cesser la campagne de la presse juive, poursuivent celui qui a été injustement attaqué, mesure qui, aux yeux de ces ânes de fonctionnaires, est propre à maintenir l'autorité de l'Etat et à assurer le calme et le bon ordre.

Peu à peu la crainte de l'arme marxiste, maniée par la juiverie, s'impose comme une vision de cauchemar au cerveau et à l'âme des gens convenables.

On commence à trembler devant ce redoutable ennemi et on devient ainsi, en fin de compte, sa victime.

K. - La domination du Juif parait maintenant si assurée dans l'Etat qu'il ose non seulement recommencer à se donner ouvertement pour Juif, mais confesser sans réserves ses conceptions ethniques et politiques jusque dans leurs dernières conséquences. Une partie de sa race se reconnaît ouvertement pour un peuple étranger, non sans d'ailleurs commettre un nouveau mensonge. Car lorsque le sionisme

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cherche à faire croire au reste du monde que la conscience nationale des Juifs trouverait satisfaction dans la création d'un Etat palestinien, les Juifs dupent encore une fois les sots goïmes de la façon la plus patente. Ils n'ont pas du tout l'intention d'édifier en Palestine un Etat juif pour aller s'y fixer ; ils ont simplement en vue d'y établir l'organisation centrale de leur entreprise charlatanesque d'internationalisme universel ; elle serait ainsi douée de droits de souveraineté et soustraite à l'intervention des autres Etats ; elle serait un lieu d'asile pour tous les gredins démasqués et une école supérieure pour les futurs bateleurs.

Mais c'est un signe de leur croissante assurance, et aussi du sentiment qu'ils ont de leur sécurité, qu'au moment où une partie d'entre les Juifs singe hypocritement l'Allemand, le Français ou l'Anglais, l'autre, avec une franchise impudente, se proclame officiellement race juive.

Le sans-gêne effrayant avec lequel ils se comportent à I'égard des ressortissants des autres peuples, montre combien le jour de la victoire leur paraît proche.

Le jeune Juif aux cheveux noirs épie, pendant des heures, le visage illuminé d'une joie satanique, la jeune fille inconsciente du danger qu'il souille de son sang et ravit ainsi au peuple dont elle sort. Par tous les moyens il cherche à ruiner les bases sur lesquelles repose la race du peuple qu'il veut subjuguer. De même qu'il corrompt systématiquement les femmes et les jeunes filles, il ne craint pas d'abattre dans de grandes proportions les barrières que le sang met entre les autres peuples. Ce furent et ce sont encore des Juifs qui ont amené lé nègre sur le Rhin, toujours avec la même pensée secrète et le but évident : détruire, par l'abâtardissement résultant du métissage, cette race blanche qu'ils haïssent, la faire choir du haut niveau de civilisation et d'organisation politique auquel elle s'est élevée et devenir ses maîtres.

Car un peuple de race pure et qui a conscience de ce que vaut son sang ne pourra jamais être subjugué par le Juif ; celui-ci ne pourra être éternellement en ce monde que le maître des métis.

Aussi cherche-t-il à abaisser systématiquement le niveau des races en empoisonnant constamment les individus.

Mais, au point de vue politique, il commence à remplacer l'idée de la démocratie par celle de la dictature du prolétariat. Dans la masse organisée des marxistes il a trouvé l'arme

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qui lui permet de se passer de la démocratie et qui le met également à même de subjuguer et de gouverner les peuples dictatorialement d'un poing brutal.

Il travaille systématiquement à amener une double révolution : économiquement et politiquement.

Il entoure, grâce aux influences internationales qu'il met en jeu, d'un réseau d'ennemis les peuples qui opposent une énergique résistance à cette attaque venue du dedans ; il les pousse à la guerre et finit, quand il le juge nécessaire, par planter le drapeau de la révolution sur le champ de bataille.

Il ébranle économiquement les Etats jusqu'à ce que les entreprises sociales, devenues improductives, soient enlevées à l'Etat et soumises 's son contrôle financier.

Au point de vue politique, il refuse à l'Etat les moyens de subsister, mine les bases de toute résistance et défense nationale, ruine la confiance que le peuple avait dans le gouvernement, répand l'opprobre sur l'histoire et sur le passé et jette au ruisseau tout ce qui est grand.

En ce qui concerne la civilisation, il contamine l'art, la littérature, dupe les sentiments naturels, renverse tous les concepts de beauté et de noblesse, de dignité et de bien et entraîne en échange les hommes dans le domaine de la vile nature qui est la sienne.

La religion est ridiculisée ; la morale et les mœurs sont données pour des choses mortes et désuètes jusqu'à ce que les derniers appuis qui permettent à un peuple de lutter pour son existence en ce monde, soient tombés.

L. - Maintenant commence la grande et dernière révolution. Au moment où le Juif conquiert la puissance politique, il rejette les derniers voiles qui le cachaient encore. Le Juif démocrate et ami du peuple donne naissance au Juif sanguinaire et tyran des peuples. Il cherche, au bout de peu d'années, à exterminer les représentants de l'intelligence et, en ravissant aux peuples ceux qui étaient par nature leurs guides spirituels, il les rend mûrs pour le rôle d'esclave mis pour toujours sous le joug.

Un exemple effroyable de cet esclavage est fourni par la Russie où le Juif a, avec un fanatisme vraiment sauvage, fait périr au milieu de tortures féroces ou condamné à mourir de faim près de trente millions d'hommes, pour assurer à une bande d'écrivains juifs et de bandits de la Bourse la domination sur un grand peuple.

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Mais le dénouement n'est pas seulement la mort de la liberté des peuples opprimés par les Juifs, elle est aussi la perte de ces parasites des peuples. La mort de sa victime entraîne tôt ou tard celle du vampire.

Si nous passons en revue les causes de l'efFondrement allemand, la cause première et décisive fut la méconnaissance du problème de la race et surtout du danger juif.

Il aurait été extrêmement facile de supporter les défaites essuyées sur le champ de bataille en août 1918. Elles n'étaient rien en proportion des victoires remportées par notre peuple. Ce ne sont pas elles qui ont causé notre chute ; nous avons été abattus par cette puissance qui avait préparé ces défaites, en enlevant systématiquement à notre peuple, depuis des dizaines d'années, les forces et instincts politiques et moraux qui, seuls, rendent les peuples capables d'exister et légitiment ainsi leur existence.

En négligeant le problème que posait le maintien des fondements de la race à laquelle appartient notre peuple, l'ancien Reich méprisait le seul droit qu'un peuple a de vivre en ce monde. Les peuples qui se métissent ou se laissent métisser pèchent contre la volonté de l'éternelle Providence et leur chute, amenée par un plus fort qu'eux, n'est pas imméritée ; ce n'est pas une injustice qu'on leur fait, c'est au contraire le rétablissement du droit. Quand un peuple n'attache plus de prix aux caractères spécifiques de son être, qui lui ont été donnés par la nature et prennent leurs racines dans son sang, il n'a plus le droit de se plaindre de la perte de son existence terrestre.

Tout ici-bas peut devenir meilleur. Toute défaite peut être mère d'une victoire future. Toute guerre perdue peut être la cause d'un relèvement ultérieur ; toute détresse peut rendre féconde l'énergie humaine et toute oppression peut susciter les forces qui produisent une renaissance morale, tant que le sang a été conservé pur.

Mais la perte de la pureté du sang détruit pour toujours le bonheur intérieur, abaisse l'homme pour toujours et ses conséquences corporelles et morales sont ineffaçables.

Si l'on confronte cette unique question avec tous les autres problèmes de la vie, on s'aperçoit alors combien ces derniers ont peu d'importance mesurés à cet étalon. Ils sont tous bornés dans le temps ; la question du maintien ou de la perte de la pureté du sang existera tant qu'il y aura des hommes.

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Tous les cas de décadence de que'que importance, antérieurs à la guerre, se ramènent en dernière analyse à une question de race.

Qu'il s'agisse de questions de droit général ou de monstruosités de la vie économique, de phénomènes de décadence d'une civilisation ou de dégénérescence politique, de la faillite de l'instruction scolaire ou de la mauvaise influence qu'exerce la presse sur les adultes, le mal vient toujours et partout, si l'on va au fond des choses, de ce que l'on n'a pas tenu compte de la race à laquelle appartient le peuple en question ou pas aperçu le danger que faisait courir à la race un peuple étranger.

C'est pourquoi toutes les tentatives de réforme, toutes les œuvres d'assistance sociale, toutes les mesures politiques, tout progrès économique et tout accroissement apparent des connaissances de l'esprit n'ont eu aucune conséquence importante. La nation et l'organe qui la met à même de naître et d'exister sur la terre, c'est-à-dire l'Etat, n'ont pas été intérieurement mieux portants, au contraire ils s'étiolaient à vue d'œil. La floraison apparente du Reich ne pouvait pas dissimuler sa faiblesse et chaque tentative faite pour le revigorer réellement échoua toujours parce qu'on laissait de côté la question la plus importante.

Il serait faux de croire que les partisans des différentes tendances politiques, qui discutaient doctoralement au chevet du peuple allemand, que même leurs chefs fussent en partie des hommes foncièrement méchants ou mal intentionnés. Leur activité était condamnée à rester infructueuse, parce que, dans le cas le plus favorable ils constataient tout au plus la forme sous laquelle se manifestait notre maladie générale, mais ne savaient pas en discerner l'agent pathogène. Quand on étudie méthodiquement la .ligne que suivait l'évolution politique de l'ancien Reich, on ne peut manquer de s'apercevoir, après un examen attentif, que même après la formation de l'unité et au moment des progrès faits par la nation allemande et qui en furent la conséquence, la décadence intérieure était déjà en plein cours et que, malgré tous les succès politiques apparents et malgré le développement de la richesse économique, la situation générale empirait d'année en année. Dans les élections au Reichstag, l'augmentation des voix marxistes indiquait l'approche continue de l'effondrement intérieur

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qui devait amener l'effondrement extérieur. Toutes les victoires de ce qu'on appelait les partis bourgeois étaient sans valeur, non seulement parce qu'ils ne pouvaient empêcher, malgré tous leurs triomphes électoraux, la croissance numérique de la marée marxiste, mais encore parce qu'ils portaient en eux-mêmes des germes de décomposition. Sans s'en douter, le monde bourgeois était déjà contaminé intérieurement par les ptomaïnes des conceptions marxistes et sa résistance résultait souvent plutôt de la concurrence que se faisaient des chefs ambitieux que d'une opposition de principe d'adversaires décidés à lutter jusqu'au bout. Un seul lutta pendant ces longues années avec une inébranlable constance et ce fut le Juif. Son étoile de David continua à monter toujours plus haut au firmament, à mesure que s affaiblissait la volonté de conservation de notre peuple.

Aussi ce ne fut pas un peuple décidé à l'attaque qui se précipita sur le champ de bataille en août 1914 ; c'était seulement le dernier sursaut de l'instinct de conservation national contre les progrès de la paralysie dont les doctrines pacifistes marxistes menaçaient notre peuple. Comme, même dans ces jours où se décidait notre destin, on m'a pas su voir quel était l'ennemi intérieur, toute résistance à l'extérieur était vaine et la Providence n'a pas accordé son salaire au glaive vainqueur ; elle a obéi à la loi éternelle qui veut que toute faute s'expie.

Ces considérations devaient inspirer les principes directeurs et la tendance du nouveau mouvement ; ils sont, nous en sommes convaincu, seuls capables non seulement d'arrêter la décadence du peuple allemand, mais de créer la base de granit sur laquelle un Etat pourra s'élever un jour, un Etat qui soit, non pas un mécanisme étranger à notre peuple, au service de besoins et d'intérêts économiques, mais un organisme issu du peuple, un Etat germanique de Nation allemande.

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