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Léon Degrelle
( 15-6-1906 à Bouillon en Belgique- 31-3-1994 à Malaga en Espagne)
Qu´importe de souffrir si on a eu dans sa vie quelques heures immortelles. Au moins, on a vécu!

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Un grand résistant
contre la domination juive

« Jamais je n’ai vu de tels dons chez un garçon de cet âge »: Propos de Hitler (à droite sur la photos) à Ribbentrop, sur Degrelle (à gauche sur la photos) venu  visiter - comme député de Bruxelles - en juillet 1936, Ribbentrop.

[ Ribbentrop était alors ministre des Affaire Étrangères de l´Allemagne. Après la victoire des juifs sur l´Allemagne, il fut pendu par un bourreau juif à Nuremberg pendant le jour de la fête juive de Pourim célébrant le massacre par les juifs de plus de 75.000 Perses selon le livre d’Esther de la bible juive l´"Ancien Testament"!]
 

Le journaliste belge et ancien député de Bruxelles Pierre Daye qui assistait à l’invitation donnée par Ribbentrop dit que le ministre  fut rapidement impressionné par la personnalité de Léon Degrelle. Après le repas offert par M. Et Mme Ribbentrop au couple Degrelle et à leurs amis, il s’absenta un instant et revint dire à Degrelle : « Voulez-vous prendre le thé chez le Führer ? Il vous y convie. »

 

Cette visite de Hitler, qui fut un tête-à-tête d’une heure et demi, au cours d’un voyage  qui portait sur le règlement du sort de la minorité allemande belge de Eupen et Malmédy annexée au lendemain de 1918 à cause de la richesse minière du sous-sol charbonneux, fut donc une initiative d’Hitler lui-même annoncée par son ministre et surprit Degrelle qui ne parlait pas l’allemand et s’était entretenu avec Ribbentrop aux Affaires Étrangères en  français.

 

Ribbentrop lui servit donc d’interprète. Hitler dédicaça une photographie, à  la date de ce jour de1936, que Degrelle montrait à ses amis en Espagne. Hitler ne devait plus revoir Degrelle avant février 1944 pour lui remettre la  Croix de Chevalier !

 

Degrelle dans un livre « La Guerre en Prison » (1940)  rapporte :

 

Un camp  sous la coupe juive dans la France  de 1940 :

 

 Origine du camp de concentration du Vernet d’Ariège : la guerre contre l’Allemagne.

 

Ce camp de concentration français  est celui du Vernet en Ariège, près de Pamiers, sur le flanc du Val d’Andorre.  Il fut créé au moment des Accords de Munich en 1938 dans le but d’y enfermer les éventuels prisonniers allemands d’un conflit avec l’Allemagne et en premier, les civils, hommes et femmes,  étrangers allemands, ou de citoyenneté française mais de naissance allemande  ou ressortissants de pays alliés à elle ; puis, après les Accords de Munich qui déjouèrent les plans bellicistes du judaïsme international et du Sionisme, son paravent , il servit de camp de  rassemblement ou de concentration des réfugiés républicains d’Espagne, et en 1939, puis 1940 fut grossi de tous les ressortissants, italiens, tchèques  et autres nationalités jugés suspects.

 

Le camp était gardé par les troupes noires coloniales qui accomplissaient comme partout,en France et dans les pays colonisés,  un rôle répressif et servile que des politiciens et des flibustiers de la pellicule veulent aujourd’hui exalter.

 

Le directeur du camp  était le Juif Bernheim.

 

Dans sa vieillesse en Espagne, grand blessé de guerre –il avait reçu la médaille des blessés en or- Degrelle rappelait souvent à son secrétaire belge, également atteint d’une blessure au coeur, au Caucase,  excellent cuisinier à la paix comme à la guerre,  et  qui venait du mouvement  la  « Légion Nationale »,  Raymond Van Leeuw engagé volontaire à pas même 16 ans  avec  truquage d’identité, que ce camp était dépourvu de tout, qu’il mangeait sa soupe dans les souliers, comme tous les autres infortunés  et qu’il a touché là un fond de la misère et de la dégradation humaine..

 

Degrelle était partisan de la neutralité belge en 1940 dans  une guerre déclenchée, sous prétexte de venir au secours de la Pologne, à la population sioniste fort nombreuse, excitée à l’intransigeance envers l’Allemagne et au meurtre de ressortissants civils allemands.

 

L’épisode sanglant du massacre des civils et religieux de la ville de Bromberg où se trouvait une minorité allemande  est aujourd’hui passé sous silence par les mass médias.

 

 Le  ministre de la guerre du Gouvernement britannique , jusqu’en juillet 1940 était Leslie Hore-Belisha, fils d’un capitaine juif Belisha (Hore  est le nom de son beau-père juif  anobli)  natif de Mogador aujourd’hui le port  de Saouira au Maroc.

 

Ce ministre juif de l’armée anglaise Leslie Hore-Belisha  avait dirigé la répression en Palestine, y faisant tuer par l’armé anglaise et les supplétifs indiens mercenaires des civils et des résistants arabes, et faisant dynamiter en 1938 les maisons par la troupe.

 

Le ministre de l’intérieur, en 1940, au moment où Léon Degrelle fut promené dans 19 prisons en France et jeté dans ce camp était Louis Rothschild, fils naturel de Georges Clemenceau et

d’une Hermine Rothschild-Mandel, d’où le nom de «  Georges Mandel » qu’il portait : il avait été auparavant ministre des colonies depuis 1938, et avait en 1939, à ce titre, au Conseil des Ministres,  poussé à  la déclaration de guerre contre l’Allemagne faite sept heures auparavant par la Grande Bretagne.

 

C’est le ministre juif Georges Mandel qui a vaincu les réticences des autres ministres qui refusaient de se lancer dans une seconde guerre mondiale voulue par le Congrès Juif Mondial et le Sionisme.

 

 

Degrelle fut livré  sur ordre d’ un ministre de la justice  nommé le « frère trois points » P.E. Janson, aujourd´hui bien heureusement oublié, ministre franc-maçon du gouvernement belge belliciste, aux  sbires français, à Dunkerque,  qui le traînèrent dans  19 prisons  après qu’aient été  fusillé  ses compagnons flamands de déportation , dont de vieilles personnes des deux sexes et notamment un prêtre  de Bruges  à qui l’on avait arraché un oeil qu’il tint pendant trois jours, exorbité.

 

Ces vingt et un  innocents furent fusillés sur les rives de la Somme en plein midi,   près du kiosque à musique de la grande place d’Abbeville.

 

« Cela se passe comme ça chez Mac Donald » dit la réclame nord-américaine, ça se passait comme ça chez Georges Mandel  alors  ministre de l’Intérieur,après avoir été deux ans ministre de la répression coloniale,  à qui l’on a donné le nom d’une avenue parisienne dans les beaux quartiers,dans le 16ème arrondissement de Paris,  après qu’il ait été tué en 1944  par la milice française excédée, en représaille de l’assassinat de l’ancien président de la jeunesse catholique et député de la Gironde aussi, ministre de l’information,  Emile Henriot par un futur colon et industriel français du Maroc et des juifs de Pologne !

 

Léon Degrelle fut cru mort.  Le fait est cependant qu’un des Français ayant reconnu le visage de Degrelle paru dans la presse avant guerre, il fut décidé non plus de l’exécuter avec ce groupe de gens livrés par aveuglement aux Français comme des espions, mais  de le conserver pour arracher de lui des secrets de l’État allemand, car son estime  pour  Adolf Hitler était bien connue.

 

 Ainsi se retrouva-t-il le plus loin du front percé par les Allemands de Erwin Rommel qui découvrirent le charnier d’Abbeville. Celui qui commandait le peloton français  des exécuteurs de civils  est entré dans la Résistance française et a donné son nom à l’allée conduisant au kiosque à musique,  sur la grande place..

 

Degrelle a raconté en détail dans un livre « Cohue de 40 » ce massacre d’Abbeville dont le souvenir est vivace dans les Flandres de Belgique et est tenu caché par la propagande anti-allemande des « Alliés » :

 

 

Massacre d’Abbeville de 21 civils belges,  sous l’autorité du ministre de l’Intérieur  juif Louis dit Georges, Rothschild-Mandel, le 21 mai 1940.

 

« Je fus amené dans une camionnette de boucher à la prison de Bruges. Le 15 mai 1940, on commit l’ignominie de me livrer à une  police étrangère, à la  police française, à Dunkerque.

 

Je fus traîné dans dix-neuf prisons successives, à un millimètre de la mort chaque jour, la mâchoire démolie à coups de sabots et d’énormes clés de cachot, dix dents brisées, le corps roué au cours de passages à tabac nocturnes, laissé dans cet état sans nourriture et sans boisson à la prison de Caen, pendant soixante dix heures, puis obligé de boire l’urine de mes gardiens, présenté totalement nu, presque chaque jour, à des hordes sadiques, mis aux fers, pieds et poings enchaînés, à Nantes, à Angers, puis dans les souterrains du bagne tristement fameux de l’île de Ré, dans l’Atlantique.

 

Je ne reviens pas là-dessus. D’autres connurent un sort beaucoup plus effroyable. J’avais dans mon camion vingt et un compagnons de misère, tous civils arrêtés comme moi, complètement à l’aveuglette, lorsque  les gendarmes belges m‘avaient amené de Bruges à Dunkerque et livré aux argousins français.

 

Ceux-ci voulurent m’assassiner le jour même ; après deux heures d’épouvante, ils m’emmenèrent, bandeau sur les yeux, pour me fusiller. Ce n’était qu’un ignoble simulacre. Ils préfèrent  me faire endurer à leur « tchéka » de Lille, des tourments indicibles, s’imaginant que je connaissais tout le plan de campagne d’Hitler et qu’à bout de souffrance, j’allais le révéler. C’est ce fanatisme imbécile de mes bourreaux qui me sauva la vie.

 

Mes vingt et un compagnons, eux, avaient été emmenés plus loin. A la prison de Béthune, hommes, femmes,jeunes filles, prêtres, furent mis complètement nus en présence les uns des autres. Ils furent battus à un tel point qu’un pauvre prêtre brugeois eut un oeil projeté hors de l’orbite. Pendant trois jours, la malheureux retint cet oeil gluant contre  sa joue. 

 

Finalement,des officiers et des soldats français les massacrèrent près du kiosque à musique de la grande place d’Abbeville, sur la Somme, en plein midi, le 21 mai 1940. Les femmes y passèrent comme les autres. Il y avait dans notre camion une grand-mère, sa fille et sa petite fille, originaires de Bruges. Elles furent abattues toutes les trois. La grand’mère fut assassinée à l’arme blanche : elle reçut une trentaine de coups de baïonnette dans les  seins avant de mourir..

 

[...] Quand on retrouva les cadavres de mes malheureux compagnons assassinés à Abbeville, ils étaient tellement méconnaissables, tellement défigurés par les coups et la décomposition au soleil qu’il fallut se reporter à la liste du convoi.

 

Or je figurais en tête de cette liste, n’ayant été arraché –miraculeusement- de mon banc que pour être fusillé à Dunkerque. Mais ce dernier détail, les chercheurs l’ignoraient.. Pour chacun, je me trouvais parmi ce monceau de cadavres putréfiés. »

 

 

Degrelle, après d’autres péripéties,  fut retrouvé par l’ écrivain  belge Pierre Daye ancien chef du groupe parlementaire de Rex qui obtint un sauf-conduit de l’Ambassadeur allemand Otto Abetz et l’intervention  du réfugié belge sénateur de son mouvement rexiste qui, ayant appris l’ incarcération à Puy en Velaypar un médecin des prisons,  remua le barreau. Mais cette libération fut un simulacre car Degrelle, dans une aventure digne de Tintin dont il est le modèle, quitta sa prison de Puy en Velay,le 13 juillet 1940,  en fourgon de corbillard, pour une destination : le Vernet en Ariège.

 

Voic sa description du camp du Vernet où il fut enfermé avec six mille prisonniers, dont une majorité  de réfugiés d’Espagne républicaine.

 

« Mon aventure n’avait pas été banale. J’avais reçu,  l’après-midi, notification de ma libération, prévue pour le soir à neuf heures ; entre temps, d’ordre du Maréchal, les autorités pénitentiaires devaient me rééquiper de pied en cap,car il eût été peu flatteur pour le bon renom de l’hospitalité française que, futur chef du gouvernement peut-être, je fisse  ma joyeuse entrée à Bruxelles, le torse nu et les pieds chaussés des sabots d’un gardien de vaches !

 

La prison assista à un cortège comme elle n’en avait jamais vu ; tailleurs, chemisiers, bottiers apportant tout un étalage de complets, de linge de corps, de chaussures, de cravates, de chaussettes,de fixe-chaussettes. Je n’avais pas un rouge liard. Quand je fus bien sûr que ce serait l’État français qui payerait, je me laissais renipper sans le moindre scrupule.

 

A neuf heures du soir, le directeur de la  prison vint m’ouvrir lui-même cérémonieusement, la porte de ma cellule. Je ne fis, on l’imagine, qu’un bond vers la liberté ! Mais j’eus à peine le temps d’entrevoir la fine  ligne d’or et d’argent qui délimitait le crépuscule à la hauteur  de la gigantesque statue de la Vierge hissée sur un roc : déjà l’on m’avait poussé  dans un corbillard à la place du mort, et le fourgon s’élançait dans la nuit tombante. Des  policiers- je n’ai jamais su lesquels, ni sur l’ordre de qui- m’avaient escamoté, m’emmenaient à toute vitesse vers le sud !

 

Au beau milieu de la nuit, dans des landes montagneuses et totalement désertes, ils tentèrent de me faire le coup du lapin, voulant à tout prix me décider à descendre pour tirer avec moi l’un ou l’autre de ces mammifères, à la lueur des réflecteurs du corbillard. Le lapin,c’eût été moi, bien entendu .M’en tenant à mon rôle, je fis le mort plus que jamais comme il convenait.

 

Après douze heures de route, mes gardes me confièrent à des soldats nègres, à l’entrée d’un vaste cantonnement entouré de barbelés de cinq mètres de hauteur, sur le flanc du Val d’Andorre.

 

C’était le sinistre camp de concentration du Vernet, dont le commandant s’appelait Bernheim. On me poussa dans une baraque occupée par deux cent rouges espagnols, Antifascistes à tout crin, s’en remettant à eux, sans aucun doute, pour assurer ma liquidation, d’un coup de couteau discret et alerte.

 

Mais la solidarité entre prisonniers est une chose bizarre. Partout, que ce fût parmi les communistes français, en Anjou, en Vendée,à l’île de Ré, ou parmi les anarchistes du Frente popular je fus rapidement entouré, protégé par l’esprit de camaraderie de mes co-détenus.

 

De même que le 17 juin 1940,au soir, à Cholet, mes compagnons communistes m’avaient sauvé la vie en formant le carré autour de moi quand des officiers français ivres avaient voulu m’écharper, de même les républicains espagnols- pourtant des durs de durs-,s’employèrent aussitôt en parfait camarades d’infortune, à me venir en aide. Ils étaient de braves types, pittoresques en diable. Je n’étais pas un mauvais coucheur. Et nous étions tous membres du même parti, celui des persécutés.

 

Eux étaient des vétérans de la misère, campaient dans ce bouge depuis deux années. Ils avaient fabriqué un étrange matériel de camping, petits sièges taillés, vieux bidons déformés pour recueillir la lavasse réglementaire. On me fit participer aussitôt, avec une extrême gentillesse aux avantages matériels de la communauté.

 

Car, dans ce camp de six mille esclaves, nul ne recevait le moindre ustensile, pas même un cuiller, pas même l’écuelle qu’on donne au plus pouilleux des chiens. Nombre de prisonniers devaient se déchausser et tendre une de leurs savates en ruine pour recevoir la ration de misérable soupe ! La galle rongeait ces milliers d’hommes entassés dans d’inimaginables conditions de promiscuité, dévorée par la vermine,devant faire leurs besoins à dix mètres des baraques après s’être perchés sur d’énormes tonneaux de fer, répugnants, sans eau, aux odeurs effroyables, entourés de millions de mouches tourbillonnantes, éclaboussées par les flaques de sang des dysentériques. Ces tonneaux immondes, pesant soixante kilos ou plus, il fallait les porter processionnellement à trois kilomètres du camp, chaque matin, les vider, les nettoyer à la main dans une rivière. Des centaines de tombelles s’alignaient au bout des cagnas sordides.

 

Le seul éclairage des baraques où nous nous empilions était fourni par des quinquets préhistoriques, fabriqués par les prisonniers eux-mêmes au moyen de vieux morceaux d’étoffe et d’un peu de graisse végétale, raclée au fond des gamelles de fortune.

 

Nul ne peut se faire une idée de ce qu’étaient ces camps de concentration français de 1940 , en vertu du caprice de fonctionnaires ou de politiciens de gauche, furent entassés trois cent mille personnes des deux sexes, de toutes les  nationalités. »

Léon Degrelle, « La Cohue de 1940 », Robert Crausaz, Lausanne, 1950, 528 pp.,p99-.102.

 

 

 

Trois belges,Pierre Daye mentionné et deux autres anciens camarades de l’université partis en voiture avec lui retrouvèrent Degrelle sur un banc à Carcassonne !

 

 Degrelle  fut accueilli triomphalement à  la frontière belge par la même gendarmerie qui l’avait livrée aux Français  et Hergé (George Remi) dessinateur bruxellois  du personnage de Tintin – dont l’épouse Germaine  Kieckens militait dans le parti de Degrelle-  l’ a représenté sous les traits de son héros de bande dessinée, à côté d’une borne kilométrique : Toulouse-Bruxelles, avec le kilométrage exact !

 

Degrelle a été un homme politique populaire en Belgique ; il était d’origine française par son père natif de Solre le Château-  et allemande luxembourgeoise par sa mère.

 

 C’était un Wallon et il se définissait comme son peuple Wallon, « Germain de langue française ». Rien de plus ethniquement et historiquement, culturellement exact !

 

Un monument viennois est édifié en l’honneur des Gardes Wallonnes en raison de leur dévouement à l’Empire d’Allemagne, le Saint Empire Romain Germanique.

 

Pendant la guerre il refusa de participer à un gouvernement de collaboration où  tous se mêlaient, et s’engagea comme simple seconde classe sur le Front de l’Est dans une Légion partie avec l’assentiment du Roi et de l’État belge, la «  Légion Wallonie » dont le commandant Lippert était sorti premier de l’École de Guerre.

 

Son rêve politique était de reformer à l’Ouest de l’Europe, entre l’Allemagne reconstituée et libérée définitivement de ses chaînes du Traité de Versailles  et la France affermie et décolonisée, donc  plus européenne,  l’État intermédiaire du Cercle de  Bourgogne qui avait eu son heure de gloire au Moyen-âge. Hitler lui avait donné son assentiment.

 

Degrelle monta les grades au cours de combats et de corps à corps qui figurent sur son livret militaire, et sa « Légion Wallonie » intégrée dans la Wehrmacht,, fut donc transformée en «  28ème Division des Waffen-SS  Wallonie » avec son propre aumônier catholique qui était, au reste, un homme de gauche. Elle avait son drapeau, les bâtons croisés de la Bourgogne que Degrelle voulait reconstituer !

 

 Un instructeur  de la Wehrmacht, à laquelle était rattachée,avec son État-major indépendant,  la Légion Wallonie,  était certain  avocat juif allemand de Munich,  soldat de la première guerre mondiale qui les quitta  en pleurant racontait en témoin  le secrétaire de Degrelle ,R. Van Leeuw,  car il ne pouvait,comme juif,  passer avec eux à la Waffen-SS. Il reprit alors son cabinet d’avocat.

 

Degrelle après la mort de Lippert, tombé  en 1944 au combat d’encerclement rompu de Tcherkassy, en devint le  commandeur.

 

 

Il  était apprécié comme  orateur ; il fut aussi mémorialiste et  historien ;  et durant la guerre il obtint les décorations suivantes : croix de fer de seconde classe sur le front de l’Est, puis  croix de fer de première classe,  le 3 mars 1942,ensuite  chevalier de la croix de fer remise par Adolf Hitler, le 20 février 1944, avec feuilles de chêne en argent et agrafe des combats rapprochés en or  remise aussi par le Führer  le 27 août 1944, à son grand-quartier général, en  compagnie de Félix Steiner : Degrelle  était titulaire  de l’insigne d’assaut, de l’insigne d’or des blessés, de la médaille de l’Est.

 

Trois volontaire étrangers seulement ont reçu « les feuilles de chêne en argent » : le général espagnol Munos Grandes qui avait  d’abord été  républicain  et condamné par les « communistes » avant de rejoindre les nationalistes - , un estonien Alfons Rebane et Degrelle !

 

L’agrafe des combats rapprochés en or est considéré en 1944 comme « la plus haute décoration de l’infanterie ».Depuis mars 1944,Hitler se réservait le droit de la décerner et de la remettre lui-même. Pour l’obtenir, il faut avoir livré des combats au corps à corps au cours de cinquante journées différentes et Degrelle en totalisera soixante-quinze !

 

Hitler lui dit le 20 février 1944,  en lui remettant la  croix de chevalier, le Ritterkreuz,  « Si j’avais eu un fils, j’eusse voulu  qu’il fût comme vous ».

 

Après la guerre, recueilli par l’Espagne  et quelques années plus tard  pensionné, après intervention personnelle du consul allemand auprès du ministre du travail le phalangiste Giron, car il se trouvait être le seul  membre d’honneur à titre étranger de la phalange espagnole fondée par le jeune Jose Antonio Primo de Rivera fusillé à Alicante, il défendit la cause palestinienne et  la vérité historique contre les mensonges diffusés par les vainqueurs et profiteurs de la guerre, les flibustiers  du cinéma et de la presse qui écrabouillent les cerveaux.

 

Sa conception religieuse, étant d’une famille ayant donné en un siècle, près de dix  pères jésuites, dont le dernier, mort en 1941, était le Père Henri, tous nés en France à Solre-le-Château,-  et un de ses oncles ayant été  le recteur du collège de Namur-   se rapprochait de l’islamisme. A la manière de Goethe qui disait avec la profondeur simple de sa nation,   « nous naissons et mourrons musulmans » !

 

Pour éviter qu’il fut livré aux Alliés en 1945, le recteur du collège des Jésuites de Namur, nous a-t-il dit en présence, à Madrid, en 1992, de son secrétaire et de sa femme,  représenta au ministre des  Affaires Étrangères de Franco, tous deux très catholiques,qu’il devait savoir qu’il serait en état de péché mortel s’ils livrait Degrelle à des ennemis de la foi et à des  francs-maçons. Degrelle nous le redisait en Juin  1992 à Madrid.

 

Himmler chef du corps de Volontaires de la SS et Kalkbrenner de la Police d’État secrète (« Gestapo » fondée non par le national-sociaisme, comme on le croit naïvement,mais par la social-démocratie, sous la République de Weimar, pour lutter contre les sociétés secrètes révolutionnaires terroristes du type spartakiste ou de celles qui avaient ravagé la Hongrie et la Bavière et avaient failli emporter Berlin)  en Allemagne avaient aussi  chacun un parent proche jésuite, les Pères Himmler et Kaltenbrunner S.J !.

 

  Degrelle   nous a dit, sur sa terrasse de Malaga, en 1991, que  Dieu était une notion inévitable à la Raison qui a besoin d’absolu,  mais que son idée  nous dépassait et était incompréhensible à l’intelligence de  l’homme sans un miracle de la volonté  divine  elle-même ou la grâce de la foi. Il était donc, lui élève des Jésuites, pour une totale soumission à Dieu.

 

Il s’élevait contre ceux qui voulaient  fonder une nouvelle religion artificielle, néo-païenne ou autre. La religion vient de Dieu, non point des hommes.

 

 Elle passe par le sacrifice du sang et la poésie, la foi et la science harmonisées, non point opposées comme s’y emploie le laïcisme ou l’école sans Dieu !

 

 

Il avait en abomination la Franc-maçonnerie, paravent du judaïsme et foyer de corruption dans l’économie, la morale, l’éducation et l’art !.

 

Il pensait, comme le Coran le dit expressément en exprimant  la volonté divine,  que les Écritures avaient été falsifiées, en particulier l’Ancien Testament rempli d’absurdités,comme il le développe dans un livre de vieillesse sur la question juive d’un point de révisionniste, et Ancien Testament, soulignait-il,  qui traduit la maladie mentale ou le phénomène de pathologie sociale en quoi se résumait pour lui le judaïsme d’aujourd’hui et de toujours.

 

Être juif n’est quand même pas une maladie ? Si, avait-il répondu.

 

L’Etat sioniste, n’est-il pas  un « cas social » international !

 

Il avait fait ,  en Tunisie, pays auquel  il attachait la senteur du jasmin, seul pays musulman qu’il ait connu,  son voyage de noces avec sa femme,fille d’industriel français du Nord  qui lui donna cinq enfants : Chantal,Anne, Gottlief et Marie-Christine et un fils Léon Marie mort par accident après avoir été tenu par les autorité belges,vingt ans,éloignés de son père.

 

La mesquinerie  allait jusqu´à présenter à Léon-Marie Degrelle, retenu de force en Belgique jusqu’à sa majorité,   des photos où l’on découpait la tête de son père !  Le jeune homme mourut d’accident de vespa,la tête ayant frappé le rebord du trottoir, au début des années soixante, quelques jours après avoir connu son père, en allant chercher un cadeau  pour son anniversaire.

 

Sa femme ne le rejoignit pas en Espagne et mourut peu de temps après son exil. La répression a été effroyable en Belgique comme partout dans l’Europe occupée, dans ce qu’il faut nommer la Palestine européenne !

 

 Degrelle  a composé en 1984  un « Hitler et les Musulmans ».

 

Raymond Van Leeuw, son secrétaire  a dit  qu’il avait avec Degrelle  fait la connaissance à Salzbourg du Grand Mufti de Al Qods(Jérusalem) Hadj Amin el Husseini, que justement Goebbels recevait le jour de leur  passage à la Waffen SS et qu’ils furent donc invité à rester partager leur table près du Mufti et de Goebbels qui parlaient le français ;Degrelle a admiré ce chef palestinien et après la guerre  accueilli  les fils du Grand Mufti de Jérusalem en Espagne, toujours au témoignage de son secrétaire, Raymond Van Leeuw.

 

Degrelle qui avait rencontré Franco pendant la guerre civile, avait aussi incidemment après la guerre connu le  peintre Dali qui le reçut incidemment à Cadaquès et partageait secrètement  son admiration pour Hitler,-  lequel avait dédicacé au peintre un exemplaire de Mein Kampf que Dali  montra à Degrelle- , après  que Salvador Dali lui ait, à l’initiative d’un Lord Britannique qui voulait plaire à Hitler lors du Congrès de Nuremberg de 1936,  dédicacé un exemplaire de son livre français sur » la conquête de l’Irrationnel. »

 

Hitler avait en effet apprécié une peinture figurative de Dali représentant Tristan et Yseult nonchalant sur une barque décorée de croix gammées  que l’on peut voir au musée de Figueras.

 

Il existe aussi un tableau intitulé  l’énigme d’Hitler au musée de la reine Christine à Madrid que Degrelle a commenté oralement à ses amis .

 

Ce tableau est une célébration de l’oeuvre accomplie par le révolution allemande et une prémonition des intrigues anglaises et soviétiques, alors que le fond du tableau célèbre le printemps revenu dans une  Catalogne enfin  débarrassée des meneurs anarchistes et des Rouges, entre lesquels, il faut le rappeler, figuraient un bataillon sioniste avec son drapeau.

 

Degrelle  ressemblait à  un homme de la Renaissance, un géant parmi les hommes ! Avec le  visage du héros Tintin dont il était, rien qu’à le voir, réellement le modèle, celui de la liberté, du courage  et de l’intelligence contre les grands maîtres du mentir, ainsi que littéralement le philosophe Schopenhauer désigna les membres du judaïsme, dans Parerga et Paralipomena, cité dans Mein Kampf.

 

 Quand on lui demandait  qui était Hitler ? Il répondait invariablement :un génie.

 

« C’était un génie absolu. S’il avait gagné la guerre, il aurait créé un monde grandiose, de la Mer du Nord à l’Océan Pacifique, prodigieusement ouvert au dynamisme de la jeunesse. Un monde qui serait idéologiquement frère du monde asiatique,avec le Japon à la tête ,tout comme du monde arabe revitalisé grâce à l’apport décisif de milliers de camarades musulmans de la Waffen SS.

 

 Hitler était l’aigle qui dominait l’immensité terrestre. Pauvres idiots que ceux qui n’ont rien compris de l’immensité de cette époque » écrivit Degrelle en 1991.

 

 

Quand Degrelle  parlait en orateur,  l’auditoire  avait  le sentiment d’une ascension, sa voix semblait ouvrir le ciel.

 

1940

 

« Quant au milliers d’étrangers raflés en France, qui se serait soucié d’eux ?

Mais le camps était bien gardé. De tous côtés, gendarmes, fusils, mitrailleuses nous guettaient. La férocité des gardes-mobiles éclatait chaque jour à grands coups de crosse et de matraque. Certains sous-officiers étaient de véritables tortionnaires.

 

Quant au chef de camp,c’était, comme il se doit, un Juif de la plus belle eau, nommé Bernheim. Il avait monté avec les Juifs internés, une gigantesque entreprise de mouchardage. Il y avait des espions dans chaque baraque. On ne pouvait pas parler deux fois avec le même prisonnier sans être suivi par un nez crochu à un demi-mètre. Tout était rapporté, propos, plaintes et relations.

Il y eut pourtant quelques tentatives. Certains prisonniers s’évadèrent par-dessus les barbelés. Ils furent abattus au mousqueton ou rejoints, avant la frontière espagnole, par d’énormes molosses, dressés tout spécialement à cet effet.

C’était à devenir neurasthénique ou enragé. J’essayais de résister à cette atmosphère de folie quand le mardi 21 juillet [1940] un garde mobile vint me héler pour me conduire au corps de garde.

J’entrai, prêt à un nouveau drame.

Le Juif Bernheim m’attendait : « Vous êtes libéré, me dit-il avec fureur. Voilà une feuille de circulation pour Carcassonne. »

Je restais pantois.

« Vous pouvez filer »,ajouta-t-il.

Comme un automate, je gagnai la grand’route où je marchais tout droit jusqu’au premier bouquet d’arbres. »

 

 Léon Degrelle, «  La Guerre en Prison », Editions Ignis, Bruxelles,1940,pp.277-278.

 

 

 

 Octobre   1942.

                                             

 « J’arrivais le soir, avec une de nos officiers, jusqu’à des monceaux de cadavres accumulés depuis une semaine. Ils se trouvaient dans un état monstrueux de putréfaction. Une file de Rouges, abattus par une rafale de mitrailleuse, m’avait surtout impressionné. Ils étaient tombés l’un sur l’autre, comme un château de carte, chacun tenait encore sa mitraillette dans ses poings pourris.

 

A six heures du matin ,je voulus photographier cette scène macabre.

 

Au moment où je regardais dans le viseur de l’appareil, il me sembla qu’un des corps avait légèrement remué. Certes, des milliers de vers grouillaient sur eux, jaunâtres, ignobles. Mais je voulus en avoir le coeur net. Le cadavre qui paraissait avoir frémi avait la capote retournée sur la tête. Je m’approchais, révolver au poing  rabattis brusquement le vêtement. Deux yeux effrayants de fureur me fixèrent,pareils à deux escarboucles

 ( autre nom pour le rubis).

 

C’était un meneur bolcheviste. Il était couché parmi ce pourrissoir depuis la veille et avait laissé les larves le recouvrir. Il tenait sur lui un testament dans lequel il déclarait que, Juif, il était décidé à tout pour venger les Juifs.

 

La passion des hommes n’a pas de limites.. ».

 

Léon Degrelle « La Campagne de  Russie 1941-1945 ». La Diffusion du Livre, Paris, 1949, 501pp, Chapitre 4, « Au Caucase à pied », p.171-172.

 

 

1977

 

Aux éditions du Baucens en Belgique parut un livre de Degrelle, sous le nom de la duchesse de Valence, car aucun livre à son nom ne pouvait paraître en Belgique.

 

Degrelle y écrit sur Hitler et les Juifs :

 

« Après plus d’un quart de siècle, qu’est-il resté de la puissance, de l’harmonie, de la culture, des grandes vertus de base d’un vieux Continent forgé au long de deux mille ans d’efforts,et si brillant encore en 1939 ?

 

Les Américains sont devenus, matériellement, les dompteurs de l’univers. Ils ont injecté à tous les êtres vivants leur virus de la consommation. Vendre n’importe quoi, mais toujours plus,pour gagner toujours plus. Virus commercial typiquement juif. Or le juif est le maître des Etats-Unis et y tient les neuf-dixième des bourrages de crâne : presse,radio, télévision...  Il y tient la finance.

 

Il y tient les postes-clés de l’administration. Il est soutenu en tous lieux du monde par une politique américaine qui doit bien bon gré, mal gré, se soumettre à sa domination. Quel Président des États-unis pourrait être élu sans les voix des quelques millions de Juifs installés à New York ? Même un Carter leur a fait mille risettes et mille courbettes. Il devra, comme tous ses prédécesseurs, passer sous leurs fourches caudines, même s’il fait mine un instant de leur résister. Un Truman n’eut d’autres remèdes que de reconnaître, diplomatiquement,le premier au monde, État d’Israël sept minutes tout juste après qu’ eût été consommé, par les Juifs terroristes, le rapt de ce territoire en 1947 !

 

Les États-unis qui constituent le bélier et le bouclier mondial de ces affairistes ont, depuis 1945, transformé de fond en comble la mentalité européenne. Ils règnent en maître dans l’industrie de l’Europe, dans les réseaux commerciaux de l’Europe. Qui leur échappe ? Qui n’a pas cédé à la tentation de leur refiler son affaire pour échapper à leurs pressions ?

 

Mais le plus grave n’est pas là.

 

C’est que pour rafler sans fin l’argent du public à travers le monde, il leur faut inventer sans cesse, pour les foules, de nouveaux besoins. C’est ce qu’ils appellent la société de consommation. Le public émerveillé marche à grands coup, achète de tout ,utile,  inutile ; il s’empoisonne, s’asphyxie,s’emplit l’imagination de mirages décomposants, âchant sottement tout ce qu’il gagne, réclamant toujours davantage, à ses employeurs et à État, pour pouvoir acheter davantage, quitte à fausser complètement l’économie de chaque pays. L’acheteur possible est trituré chaque jour par la publicité, par l’écran de la  télévision qui alimente sans répit et sans pudeur sa boulimie et qui l’abrutit.

 

Ce matérialisme trépidant élimine ou salit tout ce qui pourrait faire obstacle à son expansion sans freins, c’est-dire tout ce qui, par essence, représente une tendance au sacrifice et au renoncement : religion,famille, service de la patrie,trois crans d’arrêt de la  sagesse.

 

Il n’est plus une seule valeur morale qui parvienne à résister aux yeux des jeunes : les parents ont perdu les pédales, la patrie est une foutaise,Dieu fait rire et aussi le Pape avec ses Conciles. On tolère tout juste l’un ou l’autre curé gauchiste jouant au plombier zingueur ou au laveur de  vitres. Or Dieu était tout. Seul Son Message pouvait illuminer éternellement le coeur des hommes.

 

La société de consommation convertit l’humanité en une immense cohue matérialiste à qui la simple idée du sacrifice fait horreur. Les congés, la télévision, la libido,la hantise de tout avoir,de se payer tout ce qu’on voit,de ne plus se soumettre à aucune morale limitative, de ne plus même s’encombrer des vieux parents (des poids morts) ou des enfants (des obstacles) ont envoyé la civilisation occidentale en l’air en l’espace d’un quart de siècle.

 

Une guerre perdue, ce n’est pas mortel. Ici c’est toute un manière de vivre qui est désormais balayée, ce sont toutes les valeurs qui avaient fait l’Europe qui ont été dynamitées sans pouvoir être remplacées. Il reste des Parlements bavard qui n’apportent d’ailleurs de solutions sérieuses à rien.. On invente milles Congrès disparates qui n’intéressent même plus personne. Mais, partout dans le vieux monde, État s’écroule sous le coup des foules matérialistes, de plus en plus exigeantes et de plus en plus insensées dans leurs  revendications.

 

Les plus hautes notions spirituelles se voient éliminées l’une après l ‘autre, qu’il s’agisse de la Foi, de la Communauté et de la Nation, de l’équilibre des moeurs, de la solidarité de la famille, du rôle procréateur des parents, des obligations et des bienfaits de la procréation. On veut vivre, c’est-à-dire vivre matériellement ,se gaver de confort. Que le reste aille au diable !

 

Et le reste va au diable...

 

En même temps,en dehors de cette Europe qui se décompose, des mondes géants se dressent et deviennent de plus en pus puissants.

 

L’alerte de la guerre du pétrole eût dû éclairer l’Europe en pleine foire. Pourquoi les autres peuples eussent dû continuer à fournir  à peu près pour rien aux pays comblés, un pétrole que ceux-ci payaient moins chers  que leurs eaux minérales alors que, pourtant, ce pétrole  qu’ils prétendaient recevoir à moitié gratis était la source capitale de leurs enrichissements. !

 

Après le pétrole viendra le tour de toutes les autres matières premières, raflées pendant longtemps, à des prix misérables, à des millions de parias extra- européens sur par un hyper-capitalisme impitoyable. Celui-ci, au XIXème siècle déjà avait prétendu accroître de plus en plus immensément ses richesses grâce à l’exploitation éhontée des masses ouvrières. .Il était bien décidé à remettre cela au XXe, en poursuivant avec un égoïsme implacable le pillage des matières  premières des peuples non encore industrialisés.

 

La tragédie est que la société de consommation, imposée à cette heure par l’Amérique juive à toute l’humanité, est la création nourricière de l’hyper-capitalisme et qu’elle a converti les masses en complice de celui-ci. Pour n’importe quel ouvrier ou employé européen, le Tiers-Monde, s’il augmente le prix de ses matières premières, devient automatiquement un  obstacle à la frénésie de consommation et est digne des plus cinglantes imprécations.

 

Au XXe siècle, les prolétaires étaient solidaires. Au  XXe, les prolétaires des pays dits civilisés veulent à présent –exactement dans la ligne de pensée des magnats de l’hyper-capitalisme du siècle passé- que le Tiers-Monde travaille à peu près gratuitement pour eux. De l’autre côté, quelques trois milliards de prolétaires d’un Tiers-Monde miséreux sont traités avec un égoïsme éclatant par les repus.

 

L’électeur européen n’est plus qu’un bourgeois comme les autres- ou, pour le moins, un candidat bourgeois. Il n’en a jamais assez. Du moment que ça ne se passe pas chez lui, il est prêt à tolérer toutes les injustices sociales afin d’obtenir, au moindre prix, de quoi consommer toujours davantage. Calcul à courte vue. Et calcul inintelligent.

 

 (A lire Degrelle, on retrouve cette adresse de Voltaire à des Juifs : « Vous êtes des animaux calculants, soyez des animaux pensants. », Septième lettre etc..)

 

 

L’Europe[...] est de plus plus submergée par des problèmes insolubles, malgré ses télévisions, ses millions d’autos asphyxiantes. Échec éclatant de sa politique économique et sociale : elle traîne la charge terrible  de sept millions de chômeurs. Opération inverse : elle est envahie par la pénétration des gens de couleur, trois fois plus prolifiques qu’elle !

 

La France de quatre millions d’étrangers possèdera, dans vingt ans, dix millions d’enfants étrangers, africains pour la plupart. Les rares enfants français, une fois devenus adultes et producteurs, encadrés de millions de pensionnés précoces, auront,  beaucoup moins nombreux que leurs devanciers, à payer des charges sociales de plus en plus écrasantes. Elles les étoufferont pour finir. C’est alors qu’il faudra céder devant le chantage – le mot est injuste, disons plutôt devant les revendications normales- d’un Tiers Monde qui aura appris à se barricader pour défendre ses matières premières.

 

Ce Tiers-Monde va ,pendant le quart de siècle qui nous reste s’accroître prodigieusement. L’Inde atteindra le milliard d’habitants,la Chine le dépassera. L’Europe occidentale se sera recroquevillée de plus en plus dans ses morgues à foetus subventionnées par la Sécurité Sociale. Elle n’hébergera plus qu’un trente-cinquième de l ‘humanité ou même moins. [.....]

 

Aussi, à la fin de ce retour en arrière, quelle douleur ne nous étreint-elle pas lorsque nous nous souvenons de ce que nous avons failli réussir, de l’Europe maîtresse du monde (qui a la maîtrise du monde, garde l’ordre du monde maître étant opposé, selon Aristote,  à despote qui est possédé par le monde, le parasite et meurt sur ses décombres) que nous avons été sur le point d’édifier, grâce à la vision prophétique, à la force et à la volonté du génie prodigieux que fut Adolf Hitler.

 

Évidement, parler ainsi paraît de la folie à la plupart des lecteurs, incapables de dépasser les préjugés et les racontars, et sur la tête desquels, lorsqu’ils entendent des propos comme les miens, les cheveux se dressent comme des barbelés de la ligne Maginot ! Interdiction à tous de prononcer le plus mince éloge du Führer !Il faut balayer de la mémoire des hommes ce monstre sanguinaire !Toute référence au sujet de son infamie est un crime !

 

Moi, je me fiche totalement de commettre ce crime. Chaque jour j’admire davantage Hitler, génie total, politiquement, militairement et aussi socialement,ce qui ne fut pas le cas de Napoléon.

 

Un certain nombres de Juifs,c’est possible, ont écopé à  cause du chef du Troisième Reich. J’en ai du chagrin pour eux, car toute persécution d’autres êtres humains est regrettable et est condamnable. Mais le moins qu’on puisse dire,c’est qu’ils l’avaient vraiment cherché. Ce qu’on doit dire ensuite, c’est que toute la sarabande qu’ils ont menée après 1945 fut une exploitation, souvent éhontée, du sort de leurs coreligionnaires présumés décédés, dont le nombre fut gonflé par eux, d’autant plus fabuleusement que les Allemands de l’après-guerre, écrasés sous les plus épouvantables calomnies, devaient payer cash, à l’État d’Israël, une indemnité correspondant à chacun des pseudo-cadavres tapageusement imposés à l’opinion universelle.

 

[..] Ces malheureux avaient été pour la plupart victimes de l’épidémie de typhus qui ravagea l’Allemagne entière durant les derniers mois des hostilités. Leurs compagnons de captivité, au lieu d’enterrer les cadavres décemment les laissèrent en vrac, à l ‘abandon. Ils furent la proie offerte aux cannibales cinématographiques des armées alliées, fonçant triomphalement dans les éclairs de tous leurs flashes vers ces objectifs pitoyables qui allaient se révéler aussitôt – ce qui ajoutait à leur intérêt-  rémunérateurs au plus haut point, financièrement autant que politiquement. »
 

 

Des contrevérités juives sur Auschwitz :

 

Le cardinal Voijtila élu pape  Jean-Paul Ier après la mort suspecte de son prédécesseur Jean Paul Ier, qui est  un assassinat par la maffia infiltrée au Vatican,  est natif de la Galicie autrichienne polonaise où les Juifs pullulaient et a été dénoncé par des catholiques comme étant,  du côté paternel et maternel,  d’ascendance juive, dont un  ancien patronyme était Stiefelnadel ;  comme il a été dit aussi de la famille du chancelier Kohl venue de cette même Galicie en Allemagne, en passant par Vienne où les grands parents paternels juifs  de Kohl sont inhumés.

 

Le dr. Gregor Hess, décédé à Vienne, au printemps 2006, neveu du confesseur de la dernière impératrice et reine de Bohème et de Hongrie Zita  Habsbourg-Lorraine,  était théologien et sociologue, docteur en ces deux disciplines et  adversaire de la Franc-maçonnerie  qu’il dénonçait dans des conférences publiques,notamment  à Salzbourg : il  assurait, comme d’autres personnalités religieuses autrichiennes et italiennes, que Paul VI,  ex -Cardinal Montini, était  un juif infiltré dans l’Église.

 

Gregor Hess  avait fait allusion  dans un conférence populaire anti-maçonnique de Salzbourg, en 2003 un document de la police secrète fasciste qui compromettait l’activité judéo-marxiste de la famille du Cardinal Montini , et qui n’avait pas abouti à une mise en  examen par l’intervention du futur Pie XII.

 

Il est remarquable que un an après son élévation au Pontificat Paul VI ait entrepris  un voyage en Palestine à Jérusalem, cependant qu’en 1979, un an après qu’il ait été élu pape, le Cardinal Voijtila a voulu donner une consécration pieuse  à la légende juive  d’Auschwitz et que sous son pontificat un « accord fondamental », pour  user du  langage diplomatique, ait  été conclu, en deux temps,  avec les Sionistes.

 

 Il s’agit, à chaque fois,  d’un pas vers la reconnaissance du brigandage  sioniste qui ne peut être fait que par des  complices  de ce dernier.

 

Degrelle montre au Pape, dont il suppose l’honnêteté, en quoi consiste ,selon sa belle expression,  « le piège béant d’Auschwitz » et insiste sur l’import  haineux  de cette fausse mémoire juive, sur son fanatisme  qui est une triple offense :

·        à la critique historique,

·        à la vraisemblance scientifique la plus élémentaire,

·         à la fraternité chrétienne qui réconcilie au lieu de cultiver les accusations les plus délirantes venant des éternels ennemis précisément  et calomniateurs de la foi chrétienne et musulmane. (voir l’affaire Ruhsdie  et  les  caricatures blasphématoires du Prophète de l’Islam  par des  de journalistes sionistes, liés aux néo-conservateurs américains, des  juifs du Danemark, non pas de vrais danois.)

 

Une actrice française célébrissime  qui connaissait  Degrelle et correspondit continûment avec lui dans son exil  par des mots affectueux de Nouvel An,  Arletty, native de Courbevoie et amie de son concitoyen Céline, passée en jugement après-guerre pour collaboration, a eu ce mot sur Jean Paul II :

 

« Ne me parlez pas de ce Pape, même s’il s’exprime  dans une dizaine de langues, je voudrais bien savoir dans laquelle il est le moins con ?» (« Les mots d’Arletty » receuillis et présentés par  Claudine Brecourt-Villars,Neuilly,1991,16pp.p.67.)

 

Degrelle écrit dans Lettre au Pape  à propos de son voyage à Auschwitz, le 20 mai 1979 :

 

 

En exil, le 20 mai 1979

A Sa Sainteté le Pape Jean Paul II

Cité du Vatican,

 

 

 

Très Saint Père,

 

Je suis Léon Degrelle, le Chef du Rexisme (mouvement social et patriotique fondé par lui, à partir d’une maison, d’édition Christus Rex, Christ-Roi ;Degrelle fut le plus jeune député en juillet 1936 élu à Bruxelles à 31 ans)  belge avant la Seconde Guerre Mondiale,et, durant celle-ci, le Commandeur des Volontaires belges du Front de l’Est, luttant au sein de la 28ème Division des Waffen S.S. « Wallonie ». Ceci n’est certainement pas aux yeux de tous une recommandation. Mais je suis catholique comme vous et me crois, de ce fait, autorisé à vous écrire, comme à un frère dans la foi.

 

Voilà de quoi il s’agit : la presse annonce que lors de votre prochain voyage en Pologne, entre le 2 et le 19 juin 1979, vous allez concélébrer la Messe avec tous les Évêques polonais à l’ancien camp de concentration d’Auschwitz. Je trouve, je vous le dis tout de suite, très édifiant qu’on prie pour les morts quelqu’ils soient, et où que ce soit, même devant des fours crématoires flambant neufs, au briques réfractaires immaculées.

 

Vous êtes Polonais. Cette appartenance réapparaît sans cesse, et c’est humain, dans votre comportement pontifical. Si vous impressionnaient trop fortement d’anciens ressentiments de patriote qui participa de tout près, dans sa jeunesse, à un dur conflit belliqueux, vous pourriez être tentés de prendre parti, devenu Pape, dans des bagarres temporelles que l’Histoire n’a pas encore suffisamment décantées.

 

Quelles furent les responsabilités exactes des divers belligérants dans le déclanchement de la Deuxième Guerre Mondiale ? Quel fut le rôle de certains provocateurs ? Votre Président du Conseil le Colonel Beck, dont tout le monde sait qu’il était un personnage plutôt douteux, agit-il, en 1939, avec toute la pondération voulue ? Ne repoussa-t-il pas avec trop de hauteur certaines possibilités d’arrangement ?

 

Et après ? la guerre fut-elle comme on l’a dit ? Quelles furent les fautes, voire les crimes des uns et des autres ? A-t-on toujours soupesé les intentions ? n’a-t-on pas, à la légère ou avec mauvaise foi, parce que la propagande le réclamait, dénaturé la doctrine de l’adversaire, lui prêtant des plans, lui endossant des actes dont la réalité pouvait être sujette à caution ?

 

Malgré qu’elle soit toujours beaucoup mieux renseignée que quiconque, l’Église, à travers deux mille ans de circonspection, a toujours évité les prises de position précipitées, n’a jamais entendu juger que sur pièces, calmement, après que le temps eut départagé le grain et l’ivraie, les fureurs et les passions. Tout spécialement, elle se distingua par une retenue extrême au cours de la Deuxième Guerre Mondiale. Elle se garda soigneusement de colporter des élucubrations folles qui couraient alors, Très Saint Père, sur votre sol partial – à Auschwitz particulièrement –repris, peut-être, par certaines visions incomplètes et partisanes du passé, allez-vous simplement prier ?

 

Je crains surtout que vos prières, et même votre simple présence en ces lieux, soient immédiatement détournées de leur sens profond, et servent de paravent à des propagandistes sans scrupules qui les utiliseront pour relancer aussitôt, sous votre couvert, les campagnes de haine à base de contre vérités qui empoisonnent toute l’affaire d’Auschwitz depuis plus d’un quart de siècle.

 

Oui, des contrevérités.

 

Après 1945 –en abusant de la psychose collective qui avait tourneboulé à coups de racontars incontrôlés, de nombreux déportés de la Deuxième Guerre Mondiale – la légende des exterminations massives d’Auschwitz est montée à l’assaut du monde entier.

 

On a répété cent mensonges, avec une rage de plus en plus obstinée, dans des milliers de livres. On les réédite en couleur, dans des films apocalyptiques qui flagellent outrageusement non seulement le vrai et le vraisemblable, mais aussi le bon sens, mais l’arithmétique la plus élémentaire, mais les faits eux-mêmes.

 

Vous avez été, m’a –t’on dit,Très Saint Père, un Résistant au cours de la Seconde Guerre Mondiale,avec les risques physiques qu’un combat contraire aux Lois Internationales comporte (la convention de la Haye interdisait aux civils de combattre un force militaire) . Certains ajoutent que vous avez été interné à Auschwitz : comme tant d’autres, vous vous en êtes donc sorti, puisque vous voilà Pape, un Pape qui, de toute évidence, ne sent pas trop le gaz Cyclon B ! Votre Sainteté ayant vécu sur les lieux doit savoir, mieux que tout autre, que ces gazages massifs de millions de personnes n’ont jamais eu lieu. Témoin de choix,avez-vous, personnellement, vu s’effectuer un seul de ces grands massacres collectifs tant ressassés par des propagandistes sectaires ?...

 

Certes, on a souffert à Auschwitz. Ailleurs aussi. Toutes les guerres sont cruelles. Les centaines de milliers de femmes et de gosses atrocement carbonisés, sur ordre direct des Chefs d’États alliés, à Dresde comme à Hambourg, à Hiroshima comme à Nagasaki, ont « trinqué » au moins autant que ceux qui, déportés politiques ou résistants (25%),objecteurs de conscience, anormaux sexuels ou criminels de droit commun (75%) peinaient, parfois mouraient dans les camps de concentration du IIIème Reich.

 

L’épuisement les dévorait. L’effondrement moral éliminait les forces de résistance des âmes les moins trempées. Les cruautés de gardiens dénaturés, des Allemands, et , plus encore, des juifs non-Allemands, des « Kapos » et  autres déportés devenus les bourreaux de leurs compagnons, ajoutaient encore à l’amertume d’une promiscuité multitudinaire. Il y aura même eu, certainement des hurluberlus pour précéder dans un cas ou l’autre à des expériences de mort inédites, à des tortures, à des fantaisies monstrueuses, à ses assassinats précis.

Néanmoins, le calvaire de la plupart des exilés eut pris fin dans l’allégresse au jour tant attendu du retour de la paix, si ne s’était pas abattue sur eux, au cours des dernières semaines, la catastrophe d’épidémies exterminatrices, amplifiées à l’infini par des bombardements fabuleux qui déchiquetaient les lignes de chemins de fer et les routes, envoyaient à pic les bateaux chargés de réfugiés, comme ce fut le cas à Lubeck. Ces raids anéantissaient les réseaux électriques, les conduites et les dépôts d’eau, coupaient tout ravitaillement, imposaient partout la famine, rendaient épouvantable tout transport d’évacués. Les deux-tiers des déportés morts au cours de la Seconde Guerre Mondiale périrent alors, victimes du typhus, de la dysenterie, de la faim, des  attentes interminables sur les voies de communication broyées. Les chiffres officiels l’établissent. A Dachau, par exemple, d’après les statistiques mêmes du Comité International il était mort, en Janvier 1944 cinquante-quatre déportés ; en février 1944 : cent un déportés ; en Janvier 1945, il en mourut 2.888, et, en février 1945, 3.977 ! Sur le total de 25.613 déportés décédés dans ce camp en 1940, 1941,1942, 1943, 1944, 1945, 19.296 périrent durant les  sept derniers mois des hostilités! Or le terrorisme aérien des Alliés n’avait plus d’utilité militaire alors, puisque la victoire des Alliés, dès le début de 1945 était définitivement acquise. Elle ne réclamait plus, en aucune façon, cet épouvantable écrabouillage final.

 

Sans la folie sauvage de ces pilonnages aveugles, des millions d’internés eussent survécu, au lieu d’être convertis en Avril et en Mai 1945, en macabres objets d’exposition, autour desquels s’affairaient des nuées de nécrophores de presse et de ciné, avides de photos et de films, aux angles sensationnels et d’un rendement commercial assuré.

 

Documents visuels qu’ils prirent encore grand soin, par la suite, de retoucher, de surcharger, de déformer, de truquer pour en compléter l’horreur génératrice de haines accrues.

 

Ces voltigeurs de l’information eussent pu, tout aussi bien, prendre des kilomètres de photographies similaires de cadavres de femmes et d’enfants allemands, mais cent fois plus nombreux, morts exactement de la même manière de faim, de froid ou mitraillés sur les mêmes wagons plats glacés et sur les mêmes routes ensanglantées.

 

Mais ces photos là, de même que celles de l’immense extermination des villes allemandes, qui recouvraient 600.000 cadavres, on se garda bien de les faire connaître ! Elles eussent pu troubler, et surtout empêcher de moins haïr... Le vrai c’est que le typhus, la dysenterie, la faim, les myriades de rafales d’une aviation déchaînée frappaient indistinctement, en 1945, les déportés étrangers comme les civils du  IIIe Reich tous happés par des abominations de fin du monde.

Pour le reste, très Saint Père, pour ce qui a trait à une volonté formelle de génocide, dont aucun document n’a pu, depuis trente ans, apporter la moindre preuve officielle et plus spécialement, en ce qui concerne le prétendu enfournement à Auschwitz de millions de juifs dans de fantomatiques chambres à gaz Cyclon B, les affirmations lancées et relancées depuis tant d’années dans un fabuleux tapage, ne résistent pas à un examen scientifique un tant soit peu sérieux.

 

Il est insensé d’imaginer et surtout de prétendre qu’on aurait pu gazer à Auschwitz 24.000 personnes par jour, par paquet de 3.000 chaque fois, dans une salle de 400 m3, et moins encore, à 700 ou 800 dans des locaux de 25m² sur 1,90m de hauteur, comme on l’a proclamé à propos de Belzec : 25m² cela équivaut à la superficie d’une chambre à coucher! Vous,Très Saint Père, vous parviendriez à mettre 700 à 800 personnes dans votre chambre à coucher ? et 700 à 800 personnes dans 25m² cela fait 30 personnes au m². 1m² avec 1,90 de hauteur, c’est une cabine téléphonique ! Vous  voyez Votre Sainteté empiler 30 personnes dans une cabine téléphonique de la place Saint Pierre ou du Grand Séminaire de Varsovie  ou sur une simple dalle de douche ?

 

Mais si le miracle de trente corps humains plantés comme des asperges dans le bocal de la cabine téléphonique ou celui des 800 personnes encaquées autour de votre lit de camp s’était jamais réalisé, un second miracle eut du être immédiatement indispensable, car les 3000 personnes –l’équivalent de deux régiments- entassés aussi fantastiquement dans la chambre d’Auschwitz ou les cinq cent à six cent personnes empilées à Belzec à raison de 30 occupants au mètre carré, eussent péri, presque aussitôt, asphyxiées, faute d’oxygène ! Il n’y eut même pas eu besoin de gaz ! Avant même qu’on eut fini d’entasser les derniers arrivés, de verrouiller les portes et de répandre du gaz dans la salle- par des fentes ? par des trou ? par une cheminée ? sous forme d’air chaud ? à la vapeur ? en le déversant sur le sol ? chacun raconte le contraire de l’autre ! Tous eussent déjà cesser de respirer ! Le Cyclon B n’atteignant que des cadavres n’eut plus représenté la moindre utilité !

 

De toute façon, ce Cyclon B était, comme chaque homme intéressé à la science peut le savoir, un gaz d’un emploi dangereux, inflammable et adhésif. Aussi vingt et une heure d’attente eussent-elles été nécessaires, indispensable même avant qu’on ait pu retirer le premier corps de l’étonnante chambre en question.

 

Ensuite, seulement, on eut pu extraire –comme on s’est tellement complu à nous le raconter, avec mille détails croustillants- toutes les dents en or et toutes les dents plombées, censées être des caches de diamant, de chaque lot de 6.000 mâchoires rigides (3.000 personnes !), contractées par le trépas, ou de 48.000 mâchoires par jour, si on croit aux chiffres officiels de 24.000 gazés quotidiens, dans le seul Auschwitz !

 

Très Saint Père, tout saint que vous soyez, vous devez parfois supporter le dentiste avec plus ou moins de résignation ! On vous extrait une dent ? deux dents ? vous êtes installé au mieux de l’opérateur qui dispose de réflecteurs puissants, braqués sur les mâchoires, d’outils perfectionnés et d’un patient qui se prête à ses injonctions ! Or l’extraction, dans ces conditions optimales, combien prend-t-elle de temps ? un quart d’heure ? une demi-heure ? A Auschwitz, selon les légendaires (un légendaire est ici un recueil de légendes), les cadavres souillés gisaient au sol, il fallait distendre, avec beaucoup de difficultés les mâchoires durcies, les décontracter, les ouvrir béantes, au moyen d’outils nécessairement primitifs. Avec huit opérateurs en tout et pour tout : c’est le chiffre officiel, puis scruter, sans éclairage, au ras du ciment, non seulement un endroit malade de la denture, mais les deux mâchoires entières, arrachées,vidées, désossées ! Et cela  en moins de temps que chez le spécialiste parfaitement équipé !

 

Que Sa Sainteté daigne prendre un crayon : à un quart d’heure la mâchoire et à lui arracheurs acharnés à la distinction, cela fait 16 cadavres traités par heure, 160, en une journée de dix heures sans une minute de répit ! Soyez même un stakhanoviste (Stakhanov fut un ouvrier hyper-productif, à l’exploit exagéré  inventé par la propagande judéo-soviétique) de la denture et doublez la cadence des arrachages, ce qui est d’ailleurs matériellement impossible : cela ferait 320 ! Alors,Très Saint Père, les fournées de trois mille juifs d’un seul coup ? et les journées de 24.000 gazés au Cyclon B, ce qui représente 48.000 mâchoires à vider, plus 760.000 dents à scruter quotidiennement ! Simplement à s’en tenir aux 6.000.000 de juifs morts- certains ont doublé, triplé le chiffre dont la propagande nous rebat sans fin les oreilles- ces arracheurs eussent encore été, des années après la guerre,en pleine activité ! Ces extractions, seulement ces extractions, à dix heures de labeur ininterrompu eussent absorbé une affaire de 1875 journées de toute l’équipe !

 

Mais cet arrachage n’était qu’une formalité préliminaire. Il fallait aussi tondre des millions de chevelure, parait-il. Puis, avant de passer les cadavres au four, on procédait – selon ce que tous les « historiens » d’Auschwitz vous affirment ex cathedra (depuis la chaire)-  à l’examen de tous les anus et de toutes les matrices dans le fond desquels il s’agissait de récupérer les diamants et les bijoux qui y auraient pu être escamotés !Vous imaginez cela, Très Saint Père, 6 millions d’anus, 3 ou 4 millions de matrices à récurer de fond en comble, alors qu’on nous a expliqué qu’à la  fin des gazages massifs les corps ruisselaient d’excréments, de sang féminin et de sanie ! Dans ces organes souillés, les doigts, les mains des opérateurs devaient farfouiller, repérer les diamants cachés, les extraire, gluants, les laver, se laver,24.000 fois par jour (les anus), 15 à 20.000 fois par jour les matrices. C’est fou !C’est fou ! Toute cette affaire est folle ! Et nous ne parlons pas des activités complémentaires, fabriques d’engrais et fabriques de savon dont certains, tel le professeur délirant Poliakov, font état sans sourciller !

 

Ces opérations de gazage, de tontes, d’arrachages de dent, de nettoyage d’organes répétées sur 6 millions de Juifs ou sur 7 millions, ou sur 15 millions selon le Père Riquet (jésuite déporté qui fut prédicateur à Notre Dame  de Paris) , ou sur 20 millions –c’est-à-dire plus que les juifs du monde entier ! selon le dictionnaire Larousse dureraient toujours s’il fallait admettre comme exactes les affirmations « officielles » des manipulateurs de l’ « Histoire » d’Auschwitz ! Vous pourriez encore, Très Saint Père, vous boucher le nez près des chambres à gaz et transpirer à la chaleur des fours d’Auschwitz au cours de votre messe concélébrée !

 

Si on avait multiplié le nombre de cadavres réels et normaux d’Auschwitz par dix ou par vingt, l’escroquerie aux morts eut pu conserver un certain aspect de vraisemblance. Mais, comme pour les gazages à 700 ou 800 personnes par chambre à coucher, à trop mentir on arrive à être grotesque. Il faut l’insondable, l’inimaginable bêtise des foules pour que de pareilles sornettes aient pu être inventées, racontées, énoncées à grands coups de trompette, filmées dans un tapage inouï et crues.

 

Je crois, déclare bravement un personnage du film « Holocauste » tout ce que l’on raconte sur eux.

 

Aveu exemplaire !

 

 

Alors,Très Saint Père, comment imaginer qu’un instant, à Auschwitz, à l’heure de la concélébration de la messe, lorsque tous les coeurs étreints par l’amour de Dieu et des hommes, vont participer au renouvellement du sacrifice, un prêtre, un Pape, pourraient, au moment où il élèvera le calice vers le ciel, avoir l’air de couvrir sous son pallium(le pallium est un ornement pontifical) des déferlements d’un haine si bête et de mensonges si extravagants, qui sont à l’extrême opposé de l’enseignement pathétique du Christ ! Non ! Certainement non ! Ce n’est pas possible !Votre message, à cent pas de la fausse chambre à gaz d’Auschwitz, ne peut être que celui de la charité, de la fraternité, et également de la vérité, sans laquelle toute doctrine s’effondre.

 

Vous allez à Auschwitz pour vous recueillir, ému, à un des hauts lieux de la souffrance humaine dont les causes et les responsables seront fixés objectivement avec le temps,par une histoire sereine, et non en recourant à des témoignages extorqués et à des divagations de falsificateurs.

 

Le Pape est au-dessus de ces bagarres. Il est près des âmes qui ont souffert, qui, dans la souffrance, se sont élevées spirituellement, car il n’est point de peine, point de calvaire,point de trépas qui ne puisse devenir sublime.

 

Sur les champs de bataille de la Seconde Guerre Mondiale où tant de soldats sont tombés après d’immenses souffrances, de même que dans les camps de travail où mourraient de nombreuses victimes de conflits qui les dépassaient et les écrasaient,partout, chez les uns comme chez les autres, le sacrifice, la douleur physique et morale, l’angoisse ont fait jaillir dans des vies qui eussent pu normalement rester médiocres, de grandioses floraisons d’âmes. Il en fut ainsi à Auschwitz, il en fut ainsi au Front de l’Est, tout au long des années de lutte et d’immolation de millions de jeunes Européens qui, de 1941 à 1945, firent face héroïquement au déferlement du Communisme.

 

Bien sûr, à travers toute l’histoire des hommes, des atrocités ont été commises. Auschwitz, de toute façon, n’aura été ni le premier cas, ni le dernier. Nous ne le voyons que trop bien à l’heure actuelle, où sont massacrés tant de femmes et d’enfants sans défense, écrabouillés dans les camps palestiniens par l’aviation d’Israël répercutant la loi du Talion sur des innocents à la mémoire desquels on ne chantera certainement jamais de messes concélébrées.

 

Des puissants ont abusé cent fois de leur pouvoir. Des peuples ont perdu la tête. Pas un spécialement. Mais tous. A côté des millions de coeurs purs et désintéressés qui ont offert leur jeunesse à un idéal, l’Allemagne à eu, elle comme tout le monde, son lot d’êtres détestables coupables de violences inadmissibles. Mais quel pays n’a pas eu les siens !

 

La France de la Révolution Française n’a-t-elle pas inventé la Terreur ! La guillotine, les noyades de la Loire ! Napoléon n’a-t-il pas non point déporté, mais enrégimenté par la force des centaines de milliers de civils des pays occupés, envoyé à la mort pour sa gloire ! Cinquante et un mille, rien qu’en Belgique ! c’est dire plus qu’il ne périt de  Belges au cours de la Première Guerre mondiale ou dans les camps de concentration du IIIe Reich !

 

Plus près de nous, un De Gaulle n’a -t-il pas,  en 1944 et 1945,  présidé au massacre de dizaines de milliers d’adversaires baptisés collaborateurs ? Plus récemment encore, en Indochine, en Algérie, la France n’a-t-elle pas entassé des centaines de milliers  d’ insoumis, de réfractaires, d’otages, de simples civils raflés massivement, dans des camps de concentration extrêmement durs, ou les sadiques, là non plus, ne firent pas défaut ! un général français fit même l’éloge public de la torture.

 

Et la Grande Bretagne ? Avec ses bombardements de ville libre comme Copenhague (en 1807) ? ses exécution de Cipayes(1857) attachés à la bouche des canons, son écrasement des Boers (paysans d’Afrique du Sud néerlandais que les Anglais et les juifs d’Afrique du Sud qui voulaient s’emparer des ressources diamantaires, -dont ils sont aujourd’hui possesseurs avec ou sans Apartheid-- affamèrent dans des camps), ses camps de concentration du Transvaal où des milliers de femmes et d’enfants périrent dans des misères indicibles ? Et Churchill déchaînant ses abominables bombardements de terreur sur la population civile du Reich, la grillant au phosphore dans les caves, anéantissant en une seule nuit environ 200.000 femmes et enfants dans le gigantesque crématoire de Dresde ? « Environ » parce qu’on ne put faire qu’une estimation approximative  en calculant le poids des cendres !

 

Et les États-unis ? N’ont-ils pas élevé leur puissance grâce à l’esclavage affreux de millions de  Noirs marqués au fer brulant comme des bêtes et grâce à l’extermination quasi intégrale des Peaux-Rouges propriétaires des terrains convoités ? N’ont-ils pas été en 1945, les dispensateurs de la bombe atomique ? Hier encore,n’ont-ils pas compté, parmi leurs troupes du Viêt-Nam d’indiscutables bourreaux ?

 

 Et nous n’insistons même pas sur les dizaines de millions de victimes de la tyrannie de l’URSS ni des goulags actuels dont nul, je le crains fort, ne soufflera mot, lors de votre visite au camp « reconstitué » d’Auschwitz  vidé, lui, pourtant de tout occupant depuis des dizaines d’années.

 

A Auschwitz, nul ne le dira, la vie a été dure, parfois très cruelle. Mais dans les camps des vainqueurs de 1945, les sadiques et les bourreaux eurent vite fait de fleurir avec une égale abondance, avec moins d’excuse toutefois, si l’on admet qu’une guerre mondiale puisse abriter des excuses...

 

Très Saint Père, je ne voudrais pas gâter le plaisir que vous allez avoir à retrouver votre pays, mais quand même ! Votre patrie valeureuse dont vous avez tenu à mettre vous même en valeur l’élévation morale en glorifiant son admirable patron saint Stanislas, n’a-t-elle pas elle aussi connu ses heures de crime et d’abjection ? A l’heure où vous allez fouler le sol polonais d’Auschwitz qui rappelle tout spécialement la dernière tragédie juive, est-il indécent, si on veut être juste, d’évoquer d’autres juifs innombrables, précédemment mis à mort à  travers tout votre territoire, dans des pogroms horribles (pogrom ou « dévastations » est un mot russe désignant la révolte des non-juifs excédés contre les juifs usuriers), torturés, égorgés, pendus, pendant des siècles, par vos propres compatriotes ? Eux non plus n’ont pas toujours été des anges, tout catholiques qu’ils étaient !

 

J’entends encore le Nonce apostolique à Bruxelles, le futur cardinal Micara, antérieurement Nonce à Varsovie, me raconter à son excellente table comment les paysans polonais crucifiaient les Juifs aux portes de leurs granges.

 

-« ces cochons de juifs ! » s’exclamait assez peu évangéliquement l’onctueux prélat !
 

Ces mots furent prononcés tels quels, croyez-moi.

 

L’Église, elle-même, Très Saint Père, avait-elle toujours été tendre ? Même en plein XVIIIème siècle, elle brûlait encore les juifs en grand apparat. En pleine ville de Madrid, notamment. Mais elle, elle les brûlait vivants ! L’inquisition n’a pas été une bergerie. Les massacres des Albigeois se perpétrèrent sous l’égide de  saint Thomas d’Aquin. Les assassinats de la Saint Barthélémy firent la joie du pape, votre prédécesseur, qui se releva en pleine nuit pour fêter,par un Te Deum enthousiaste, cet heureux événement, qu’il ordonna même de commémorer par la frappe d’une médaille ! Et les 30.000 soi disant sorcières grillées pieusement à travers la chrétienté ? Même au siècle dernier la Papauté rétablissait encore à Rome le ghetto. Au fond, Très Saint Père,nous ne valons pas lourds. Que nous soyons Pape ou Ayattolah, Parisiens ou Prussiens, Soviétiques ou New Yorkais. Il n’y a pas de quoi être exagérément fiers ! Nous avons tous été, en nos mauvais moments aussi sauvages les uns que les autres. Cette équivalence ne justifie rien d’ailleurs ni personne. Elle incite néanmoins, à ne pas distribuer avec trop d’impétuosité ou de « bénévolence » les excommunications et les absolutions.

 

On ne refoulera la sauvagerie humaine qu’à force de répondre à la haine par la fraternité. La haine se désarme, comme tout se désarme, mais pas en la réservant sans fin à des sauces toujours plus piquantes ni en l’accroissant et en l’exaspérant, comme dans le cas d’Auschwitz, à grands renforts d’exagérations folles, de mensonges et de pseudo-aveux, farcies de contradictions criardes, arrachées par la torture et la terreur dans les geôles soviétiques ou américaines, car les unes valérent les autres au temps hideux de Nuremberg.

 

Certains eussent pu penser qu’enfin les forbans de l’exhibitionnisme concentrationnaire et les faussaires qui firent l’affaire des « six millions de juifs », l’escroquerie financière la plus rémunératrice du siècle, allaient mettre enfin un terme à cette exploitation.

 

Grâce à tout l’apparat de la grandiose cérémonie religieuse qui va, en votre présence, se déployer parmi les faux décors du plateau d’Auschwitz, on va au moyen d’un  gigantesque battage de télévision et de presse, tout tenter pour vous convertir en avaliste indiscuté des ces chèques de la haine. Votre nom vaut son poids d’or, pour tous ces gangsters.  On va nous sortir, dans le monde entier, comme si le premier (film) Holocauste ne suffisait pas, un Holocauste n°2 , qui n’aura pas coûté un milliard de dollars celui-là, puisque Votre Sainteté aura fourni absolument gratuitement, à d’indécents metteurs en scène, la plus fastueuse des figurations !

 

L’Holocauste n°1, quels qu’aient été parmi les gogos sa diffusion et son impact, n’était qu’un gigantesque tapage hollywoodien, d’une rare vulgarité, destiné avant tout à vider des centaines de millions de goussets de spectateurs non avertis. Mais les dégâts ne pouvaient être que passagers ; on devrait rapidement noter que les extravagances étaient bouffonnes, ne résisteraient pas à l’examen consciencieux d’un historien. Par contre, votre Holocauste, à Vous, très Saint Père, tourné en grande pompe à Auschwitz même, par un Pape en chair et en os, revêtu de toute la majesté pontificale, et oint de véracité, en face d’un autel inviolable, surtout à l’heure du sacrifice, cet Holocauste n°2 risque fort d’apparaître aux yeux d’une Chrétienté bernée par des manipulations sacrilèges, comme une confirmation quasi divine de toutes les élucubrations montées par des refoulés haineux et par des usuriers.

 

Déjà votre évocation, devant les tombes polonaises de Monte Cassino, d’une guerre dont – à en croire à ce qu’a dit aussitôt la presse – vous paraissez n’avoir retenu que certains aspects fragmentaires et partisans, a inquiété beaucoup de fidèles. Votre comparution ostentatoire à Auschwitz ne peut qu’inquiéter davantage encore, Très Saint Père, car il n’est pas douteux qu’on va vous « posséder », comme on dit dans le peuple. Ca crève les yeux. Des flibustiers de la presse et de l’écran sont fermement décidés à vous faire plonger, mettre en avant, avec votre soutane blanche toute neuve, dans ce piège béant d’Auschwitz, alors que cette cérémonie religieuse ne peut représenter à vos yeux, certainement à l’heure de la concélébration,  qu’un appel à la réconciliation des hommes, succédant enfin à la haine des hommes.

 

Homo homini lupus, disent les sectaire. Homo homini frater, dit tout Chrétien qui n’est pas un hypocrite (La formule de Degrelle est en réalité empruntée par lui à l’empereur romain Julien). Nous sommes tous des frères, le déporté souffrant derrière ses barbelés, le soldat hagard crispé sur sa mitraillette. Nous tous qui avons survécu à 1945, vous le persécuté devenu pape, moi le guerrier devenu persécuté et des millions  d’êtres humains qui avons vécu d’une façon comme de l’autre l’immense tragédie de la  Seconde Guerre Mondiale, avec notre idéal, nos élans, nos faiblesse et nos fautes, nous devons pardonner, nous devons aimer. La vie n’a pas d’autre sens. Dieu n’a pas d’autre sens.

 

Alors, au fond, qu’importe le reste !Le jour où vous célèbrerez votre messe à Auschwitz, malgré les imprudences spirituelles que peuvent comporter des prises de positions d’un Pape dans des débats historiques non clos, et malgré les fanatiques de la haine qui, sans tarder, vont exploiter la speéctacularité de votre geste, je joindrai du fond de mon exil lointain, ma ferveur à la vôtre.

 

Je suis ,Très Saint Père, filialement vôtre.

 

 

 

 

1988.

 

Degrelle historien

 

 

                                                         1918 à Budapest

                            Les juifs au pouvoir.

 

« Bien vite –comme toujours- ces semi modérés avaient été dépassés par des plus extrémistes qu’eux, d’autres Juifs qui étaient des communistes durs, rouges comme des homards cuits.

 

Ils avaient été formés en URSS même, tout comme, à Munich, les Lewin, Léviné et Axelrod.

 

Leur chef, à Budapest, s’appelait Bela Kun.

 

(Degrelle omet de dire que Bela Kun, ainsi que de nombreux Juifs révolutionnaires et massacreurs , appartenait à la franc-maçonnerie :

« Le 22 mars1919,fut érigée la République hongroise des Conseils ; leurs chefs étaient francs-maçons, par exemple le ministre de l’éducation, frère Kunsi (lisez Kohn), frère Jaszi, le ministre des nationalités, etc. frère Lukazs, fils d’un millionnaire juif de Budapest,etc... et avant tout,  frère Bela Kun (lisez Kohn) etc. » cf. Fr. Wichtl, Weltfreimaurerei, Weltrevolution, Weltrepublik, Franc-maçonnerie mondiale, Révolution mondiale, République mondiale,Munich,Lehmann,1923, p.275

 

Ce juif maçon Lukazs eut une réputation comme philosophe marxiste  en Occident.) 

 

Ce nouveau venu était un Israélite au passé douteux, chassé avant la guerre du secrétariat d’un organisme ouvrier de Koloszvar pour avoir piqué dans la caisse.  Les Tharaud ont laissé de lui un portrait admirable : « la tête ronde, complètement rasée, de vastes oreilles pointues, les yeux gros et saillants, le nez court,les lèvres énormes, une bouche largement fendue, pas de menton, l’air d’un lézard, tel apparaît Bela Kun. »

 

Ce Bela Kun arrivait en ligne droite de Tomsk en Sibérie où il avait été interné après être passé, déserteur, en 1916, dans les lignes russes.

 

Dès les premiers jours de la Révolution communiste, Bela Kun avait entrepris en Russie la bolchevisation des prisonniers (touchant pour ce travail vingt mille roubles d’indemnité).

 

Il avait comme compère un autre Juif,né dans un autre ghetto, un Galicien aux énormes lunettes noires, au rictus ouvert sur des dents écartées. Il s’appelait Sobelsohn. Celui-ci se rendrait célèbre sous le nom de Radek lors des combats révolutionnaires de Berlin où Lénine l’avait chargé de superviser Liebknecht.

 

En 1918, Bela Kun avait formé un bataillon international d’ex prisonniers (trente mille roubles d’indemnité), les avait réunis en congrès ( quarante –six mille roubles d’indemnité), était devenu un des collaborateurs les plus assidus de Lénine,tout comme le copain Radek.

 

Le cosmocrate Lénine avait décidé de s’installer aussi en Hongrie.

 

Comme partout ailleurs, il liquiderait les «  bourgeois idiots » qui avaient enfoncé pour lui les portes par lesquelles ses hommes de mains pourraient s’engouffrer.

 

Il décida de catapulter à cette fin, à Budapest, Bela Kun.

 

Dès le début de 1919, l’ex déserteur était sur place ( trois cent mille roubles d’indemnité) camouflés en major Sebestyen). Les moyens mis à sa disposition deviendraient de plus en plus importants : douze millions de roubles en quelques semaines.

 

Les révolutionnaires en guimauve comtale de Novembre 1918  furent promptement dépassés.

 

On sut, à lire le »Journal Rouge » (Vöros Ujsag) créé par Bela Kun, ce qui les attendait.

 

« Il ne suffit pas de tuer les bourgeois,il faut encore les mettre en pièces. »

 

Les quotidiens de ces bourgeois modérément rouges importunait Bela Kun : il embaucha et lança à l’assaut de leurs imprimeries des bandes de casseurs d’assiettes, chômeurs et anciens soldats à la dérive. Tout le matériel fut démoli, pulvérisé.

 

Il tenta de rééditer le  coup à la Nepzava, le journal des Sociaux-démocrates. Là le sang coula,huit policiers furent tués, nombre d’autres furent blessés. Bela Kun fut tabassé puis coffré.

 

Comme toujours, la propagande rouge fit de l‘emprisonné,à peine connu la veille,un martyr et un héros.

 

Karolyi poussa  la faiblesse jusqu’à permettre à deux de ses ministres, juifs,d’aller le saluer dans sa cellule !

 

Comme dans tout appareil communiste,Bela Kun avait un suppléant camouflé. Ce complice abrahamique s’appelait Pogany. Il n’avait pas jusqu’alors sorti le bout de son nez. Il avait donc été laissé en liberté.

 

Celui-là put poursuivre le travail de sape.

 

Le 20 mars 1919, le plan d’assaut était au point.

 

« Pour culbuter la locomotive essouflée deKarolyi, il ne fallut pas plus d’une « poignée d’Israélites audacieux » (Tharaud dixit).

 

En une matinée, les Soviets de Budapest proclamèrent la dictature du prolétariat : deux hommes de main de Bela Kun,Kaufi et Keri, d’accord avec les deux secrétaires particuliers de la Présidence,Simonyi et Geller, tous les quatre juifs, suffirent pour prendre le bureau de Karolyi à l’abordage.

 

Celui-ci ne se risqua même pas à résister.

 

Il resta court.

 

« Soit, murmura-t-il. « Faites ce que vous voudrez ».

 

Une heure après, on affichait dans tout Budapest la proclamation que les quatre compères avaient rédigée pour Korolyi :

 

« Au peuple hongrois,

 

 « le Gouvernement a démissionné. Ceux qui jusqu’ici ont tenu le pouvoir par la volonté du peuple et avec l’appui du prolétariat,se rendent compte que la force des événements réclame une nouvelle ligne de conduite. »

 

La fin du message de Karolyi fixait cette nouvelle ligne de conduite :

 

« Je démissionne et je remets le pouvoir au prolétariat du peuple de Hongrie ; »

 

 

 

Bela Kun put sortir immédiatement de sa prison (en fait son quartier général) et prendre la présidence des Commissaires du Peuple.

 

Ceux-ci étaient au nombre de vingt-six. Parmi eux campaient dix-huit commissaires juifs, c’est-à-dire 70% du Conseil des Soviets, dans une Hongrie où les Juifs étaient juste 7%

 

Dans le premier Soviet Suprême en Russie communiste, les Juifs détenaient les trois quart des Commissariats,alors qu’ils représentaient moins de 3% de la population.

 

De Berlin à Hambourg et à Brême, de la Ruhr à la Saxe, la Révolution, nous l‘avons vue, avait été partout la spécialité d’agitateurs d’origine israélite, parfaitement coordonnée.  Le dire n’est ni une attaque ni une insulte, c’est constater un fait, un fait historique, rigoureusement établi : le communisme,en 1917, 1918, 1919 fut largement inspiré et conduit par des Juifs tels que Trotsky , Rosa Luxemburg,  Boukharine ou Liebknecht.

 

Le message d’investiture de Bela Kun à Budapest fut absolument explicite,mettant tous les chiens en curée.

 

« Que la bourgeoisie sache qu’à partir d’aujourd’hui, nous la prenons en otage. Qu’elle ne mette pas le drapeau blanc aux fenêtres,sinon, avec son propre sang, nous teindrons ses drapeaux en rouge. »

 

La persécution révolutionnaire cribla aussitôt de mille dards ces bourgeois aveugles, les mêmes qui avaient acclamé l’intronisation du comte Karolyi-Kerensky.

 

Les coupe-bourses bolcheviques leur raflèrent leur or, leurs bijoux,  leurs dépôts bancaires, leurs actions, leurs tableaux et même leurs frusques. Ils ne furent plus autorisés qu’à posséder un seul costume, une seule paire de souliers, deux paires de chaussettes !! Leurs immeubles, à part une chambre- furent occupées par les « prolétaires ».

 

Voulaient-ils acheter de quoi manger ? Il leur fallait présenter des bons. Or ces bons n’étaient accordés qu’au porteur d’une carte d’un syndicat ouvrier, c’est-à-dire communiste, idem,si on voulait voter.

 

En vérité, nul ne se servit jamais du carnet en question, ni alimentairement, ni électoralement. La nourriture avait disparu en quelques jours. Et sous Bela Kun, on ne vota jamais !

 

 

Dans les boutiques confisquées, contrôlées par les surveillants bolcheviques,  les vivres avaient été épuisés en quelques jours.

 

Des expéditions punitive, exactement comme en Russie soviétique, partirent alors razzier les campagnes.

 

A cette fin, un Juif russe,appelé Boris Grünplatt, recruta sept cent vauriens. En uniformes de cuir,un couteau de tripière au flanc, il les installla dans un vaste palais, le Palais Batthyani, rebaptisé Caserne de Lénine. Ces sept cent coupe-gorges soviétiques s’appelaient d’ailleurs les Lénine-Fiuk (les « gars de Lénine »).

 

Un féroce service d’espionnage les secondait, où régnait un nommé Otto Klein « petit juif bossu et scrofuleux » (Tharaud) qui avait changé son nom de Klein en Corvin.

 

Sa grande spécialité était d’enfoncer une règle dans la gorge des incarcérés peu coopératifs.

 

Les Tharaud nous ont narré quelque cosaqueroie de ces brigands :

 

« Dans les caves du Parlement où travaillaient, si l’on peut dire, ce Klein-Corvin et ses gens, comme au Palais Batthiany et à l’Ecole d’Instituteurs, on assommait, on pendait, on fouettait à coups de cravaches et de cordes mouillés, on faisait sauter un oeil avec la pointe d’un couteau, on vous taillait des poches dans le ventre. »

 

Avec beaucoup de générosité, on jetait des suspects dans le Danube, ou on les pendait dans des caves, aux tuyaux des calorifères.

 

« Un détachement spécial, recruté parmi les « gars de Lénine’ fut chargé d’organiser la terreur à la campagne.

 

« Ce détachement d’une trentaine d’individus environ avait pour caserne un train blindé, armé de mitrailleuses,toujours prêt à partir et à se porter sur le village où l’on avait signalé quelque agitation suspecte.

 

« A sa tête, se trouvait un garçon d’aspect malingre, voûté, phtisique, les mains longues et veineuses,le visage blafard, osseux, avec des yeux de poisson mort, un long nez aplati du bout, une large bouche à grosses lèvres, et d’épais cheveux noirs rejetés en arrière, qui lui faisaient comme un bonnet de loutre. Tout cela emmanché sur un long cou, où la pomme d’Adam montait et descendait au-dessus d’un col impeccable, car l’homme était coquet.« Il s’appelait Tibor Szamuely.

 

C’était un des trois enfants d’une famille juive de Galicie, émigrée depuis quelque temps en Hongrie, et qui avait  acquis une certaine aisance dans un comitat du Nord. Lui aussi, comme Pogany, Bela Kun et la plupart des commissaires du peuple, appartenait à ce milieu d’intellectuels insatisfaits etc. ; » » (Tharaud,Quand Israël est Roi,Paris,Plon,1921,  291 pp.p.230 et 231)

 

Description des méthodes de pendaison de Szamuely :

 

« A l’occasion, Szamuely s’amusait à nouer la corde en bonnet de cravate, autour du cou du patient, et il trouvait aussi plaisir à la lui faire embrasser.

 

« On le vit pousser le sadisme jusqu’à forcer un parent du condamné à retire la chaise qui soutenait le pauvre diable. »

 

« Ou bien il obligeait les enfants d’une école à défiler sur la place où se balançaient ses victimes ; ou bien encore il s’arrangeait pour faire passer une femme, qui ne se doutait de rien, devant le corps de son mari, tout raide à sa branche d’acacia. » (p.241)

 

Autre exploit de ce Szamuely dardant son poignard dans un village :

 

« C’était à Kapuvar. Suivi de quelques Lénine-Fiuk , il entrait dans les maisons, appelait le maître du logis et, désignant du doigt un arbre de la route : « Vas te placer dessous », disait-il., Bientôt six hommes et une femme se balancèrent au bout de branches. » (Tharaud,ibidem,)

 

 C’était à qui, parmi ces terroristes battait son record : l’un qui s’appelait Arpad Kohn Kerekes, avait pendu ou fusillé dix-huit personnes. Un autre Didier Debrencxen, vingt-huit.

 

Récit d’une de leurs expéditions dans la localité de Kalosca :

 

Ce jour là, à Kalosca, il y eut des exécutions nombreuses. Des professeurs, un instituteur, des commerçants, des officiers, et nombre de paysans furent pendus devant les fenêtres du collège des Jésuites. Un des victimes, dont la corde s’était brisée, s’échappa. On rattrapa le pendu récalcitrant et de nouveau on le suspendit à sa branche.

 

Les Hongrois qui n’avaient pas regardé la plaine hongroise du haut de ces perchoirs vivaient sous le couteau, réduits à la famine.

 

Un navet coûtait cinq couronnes.

 

Le froid coupait les lèvres, car la production minière avait été réduite de moitié. L’industrie était en ruine. L’argent avait disparu faute de papier à filigrane de l’Hôtel des Monnaies, Bela Kun faisait imprimer sur simple papier blanc des millions de billets.

 

Sa faillite financière ne l’empêchait d’ailleurs pas d’envoyer de gros appuis en bonnes devises, volées les premiers jours, aux coreligionnaires qui tricotaient les côtes aux Allemands à Hambourg et à Munich.

 

»Une Jérusalem nouvelle s’élevait au sortir du Danube, sortie du cerveau juif de Karl Marx. »  (J.et J. Tharaud, ibidem,p.241 et p.220).

 (Léon Degrelle, Le Siècle d’Hitler,.Les Tricheurs de Versailles,Paris, 1988, Art et Histoire d’Europe, 544pp.  p.154  à 160

 

 

 

 

                                                            1991

 

Degrelle sur la manière  juive d’écrire l’histoire :

 

« Des Siècles d’Exagération »

 

« Dans le cas de six millions de Juifs présumés gazés par Hitler, comme dans d’autres cas où les « historiens » juifs de la Seconde Guerre Mondiale ont fait merveille, il ne s’est absolument pas agi d’un fâcheux défaut de mémoire, mais bien, comme nous allons le voir, de procédés millénaires.

 

Voici des milliers d’années que ce type d’ « erreurs » -toujours dans le sens de l’exagération- en est venu à une échelle digne de celle de Jacob

 

(l’échelle de Jacob dont parle Degrelle est l’échelle placée entre ciel et terre aperçue par Jacob ; il fait un jeu de mots avec l’échelle comme grandeur).

 

Les Juifs du temps d’Abraham étaient –comme tout le monde le sait- des nomades peu nombreux, guidés par quelques chefs de bande qui en venaient aux poings pour un âne ou pour un figuier dans des déserts peu accueillants.

 

Dans les récits, la grandeur des faits est bien différente..

 

Une simple dispute entre Abias et Jéroboam (IIème  livre des Chroniques,13,3) se voit transformée, comme par enchantement  en un affrontement  entre un million deux-cent mille hommes d’élite, guerriers valeureux.

 

 

Ainsi, un autre héros a levé la bagatelle de 580.000 juifs, « arc au carquois »,  contre son ennemi l’éthiopien  Zerac, qui comptait de son côté pas moins d’une armée d’ « un millions d’hommes et trois cent chars »’ !) (II.Chroniques,14,8) Cela suppose une bagarre   entre 1.580.000 combattants ! Et sans compter les chars.

 

«  Ils tuèrent tant d’Ethiopiens qu’aucun ne survécut. » (II,Chroniques 14,12)

 

Imaginez l’enterrement d’un million de morts !

 

Dieu est avec les grands bataillons, a dit Bossuet, mais parfois cependant , pour ce qu’on en voit, il était avec les petits.  L’armée de Gédéon équipée uniquement de trompettes et de cruches, détruisit ,  dans  un fracas de vaisselles cassées, les 150.000 guerriers de Zebaj et de Salmana et leur causèrent 120.000 morts( !) (Livre des Juges, 8,7).

 

Par ailleurs, ce Gédéon était un as en tout « Gédéon  eut 70 enfants, tous nés de lui. » (Juges,8,30).

 

Entre les dénommés Hébreux,  à propos de l’éternel état de leurs armées,  les plus fabuleux déploiements étaient monnaie courante et en progression constante. Tout commence par 400.000 hommes (autant que la Grande Armée de Napoléon) . Sous David l’on remarque une nette augmentation : « Israël comptait 800.000 hommes de guerre qui  maniaient l’épée, et ceux de Juda étaient 500.000 hommes. »( !) (II , Samuel,24,9).

 

Puis, toujours sous David, on est parti au grand galop, on est passé de 1.300.000 guerriers israélites à 1.570.000.

 

« Israël comptait 1.100.000 hommes capables de combattre en temps de guerre, et Juda 470.000 hommes capables aussi de manier l’épée ». En tout : 1.570.000 combattants ! Pour, sans doute, une population de 250.000 ou 300.000 habitants.

 

On pourrait aller plus loin dans les calculs, puisque « l’on a omis le recensement de la tribu de Levi et Benjamin »(Chroniques,21,6).

 

 Le "dieu" juif "Jahvé" ne  regardait pas trop aux dégâts  au cours de ces événements. Il appelle même clairement à l’exécution :

 

« Que soit tué quiconque ne recherche pas Yahvé,Dieu d’Israël, sans distinguer entre grands et petits, hommes et femmes. » (II,Chroniques,15,13).

 

En résumé, le génocide divin le plus complet.

 

En ce qui  touche les bêtes, les chiffres étaient aussi étonnants que pour les gens.

 

Le jour de l’inauguration du temple de Salomon les Juifs sacrifièrent en ce lieu étroit « vingt mille boeufs et cent vingt mille  moutons. »(Livre I des Rois,63) Ce qui veut dire que ces 142.000 quadrupèdes auraient du , de la manière la plus naturelle, produire par jour, sur  le pavés sacré trois ou quatre cent kilos d’excréments liquides et solides.

 

Au milieu de ces cataractes, chaque lévite recevait en régal sacré, selon les Écritures, deux palettes de l’animal sacrifié (à savoir en tout 284.000 palettes !) et, d’autre part, le ventre de la bête ce qui fait 142.000 panses de moutons et de boeufs.

 

Vous pouvez imaginer ces pieux lévites, trébuchant, les bras remplis, à la fin des offices. Et des millions de kilos de palettes sacrées ! C’est la Bible qui le dit . De même que, face aux tribunaux d’exception, soyez prudents !

 

Et quand Israël se battait avec ses voisins, les records s’amélioraient  aussi davantage. Dans la guerre des fils de Ruben, le nombre d’animaux qu’ils avaient avec eux (I,Chronique,V,2) s’élevait à 302.000 bêtes (dont 50.000 étaient des chameaux, comptez les bosses !).Voyez la caravane !Et menu travail pour Jahvé, le chamelier de l’expédition !

 

Et chacun avait le sien !David portait un casque d’or de quarante cinq kilos !Samson une couronne de soixante kilos ! Comme de rien ! Comme une plume !

 

Il battait Samgar, fils d’Anat d’un simple bâton : il  abat 600 philistins avec une aiguillon pour les boeufs! Ainsi sauva-t-il Israël ! (Juifs,3,31).

 

Samson fit encore mieux : dans la plus grande de ses colères il coupa la tête à mille ennemis, avec une simple mâchoire d’âne !

 

Et quant à Jonas, il passa trois jours et trois nuits dans l’estomac d’une baleine, aussi tranquille qu’ Onassis lisant le « New York Times »  sur sa chaise longue.

 

 De nos jours,à  80 ans, et même moins, l’homme civilisé est un vieillard. Parmi les Juifs d’avant Auschwitz, l’on pouvait avoir brillamment des enfants à cinquante ans. Esther, l’astucieuse amante  d’Assuérus,, comptait, quand elle s’est livrée romantiquement au commerce de la chair, cent ans bien accomplis. Enoch a vécu trois cents soixante cinq ans. Noé, conservé, bien certainement, par le vin,cinq cents  ans. Lameck avait sept cent soixante ans, Set mourut dans la fleur de l’âge à neuf cent douze ans !

 

Une  santé si bonne impliquait une solide quantité de victuailles dégustées. Repas normal de Salomon : « Les vivres de Salomon pour une journée supposent trente mesures de fleur  de farine (une mesure équivaut à 365 litres) et soixante mesures de farine courante, dix boeufs engraissés et vingt boeufs de pâturage, cent animaux  d’élevage plus petits, sans compter les cerfs, les gazelles, les chevreuils et  les oies, et les oiseaux engraissés » (I,Rois,5,3)

 

C’est-à-dire,27.400 kilos de farine,15.000 kilos de  boeuf,, le « menu bétail » (cent animaux !) et quelques plats supplémentaires,cerfs, gazelles et oiseaux,pour assurer  la modeste routine quotidienne de Salomon et compagnie.

 

Les Pères Riquet de l’époque (le Père Riquet déporté politique et  jésuite pro-juif et hyper-sioniste, germanophobe en diable,  donnait des chiffres énormes de perte juive, poussant jusqu’à 15 millions, au cours d’un prêche de Carème à Notre-Dame) devaient être enchantés de faire les comptes. « Salomon  avait des écuries pour  cent mille chevaux de  trait, destinés à ses chars, et pour douze mille cavaliers de selle. » (I.Rois, 5,6) Et combien de centaines de kilos d’excréments y aurait-il eu à nettoyer, chaque matin !

 

 

Tous ces chiffres juifs opulemment donnés aident à comprendre la  grandeur des chiffres hébraïques postérieurs à 1945.

 

Qui ne connaît pas l’histoire des oiseaux de Moïse ?

 

Les valeureux Juifs, dans le désert du Sinaï,avaient  fait  un grand esclandre parce qu’ils ne recevaient pas de viande. Le "dieu" juif "Jahvé" régla  l’affaire en cinq secondes, comme on peut le lire dans  le livre des « Nombres » (11,31-32) : « il se leva un grand vent par l’oeuvre de Jahvé, et  tira de la mer  des cailles qu’il fit choir sur le campement ; elles couvraient l’espace de presque un jour de marche dans une direction et plus ou moins un autre jour de marche à l’opposé. Elles arrivaient d’une hauteur de deux coudées sur le sol. »

 

Le peuple ramassa  les cailles tout le jour, toute la nuit et tout le jour suivant.

 

Calculez, Père Riquet,calculez !

 

« presque un jour de marche » représente (sans grand effort dans le cheminement) vingt kilomètres ; un jour de marche dans une direction et l’autre à l’opposé suppose (20 par 20) 400 kilomètres carrés !

 

Deux coudées  sont l’équivalent, plus ou moins, d’un mètre. En multipliant par quatre cent millions de kilomètres carrés, nous obtenons 400 millions de mètres cubes d’oiseaux !

 

Un mètre cube d’oiseaux peut contenir deux cent cinquante volatiles. Ceci suppose, pour un chute normale d’oiseaux célestes, un total de quelques centaines de mille de plumifères.

 

Dans quelle  sorte  de réfrigérateur géant les compagnons de Moïse eussent-ils pu conserver sous le soleil torride du Sinaï ces cent mille millions  de cailles saintes durant trente jours ?...

 

Ensuite Jahvé aurait du servir la chair de ces volatiles bénis aux Juifs durant un mois entier :

 

« « Vous ne les mangerez ni un  jour, ni deux, ni cinq, ni dix, ni vingt, mais tout un mois jusqu’à ce qu’elles vous sortent par la narine. » (Nombres,11,19)

 

 

Ce serait une bon moyen de ravitailler pendant un hiver les trois cents millions d’affamés de MM. Eltsine et Gorbatchev.

 

Ces sommes et ces multiplications israélites sont –elles insensées ?  Bien entendu qu’elles le sont ! Comme sont insensées les sommes et les multiplications amplifiées par les Juifs tout au long de leur histoire. La machine d’âne et la pique de boeuf liquidant mille six cent philistins ! Les dizaines de mille de kilos de mets  journaliers de Salomon. Et ses quarante mille chars ! Et David réprimant les brigands des tribus en mettant le feu au ventre à  1.507.000 hommes capables de manier l’épée.

 

On sait qu’Alexandre, au départ de la conquête de l’Asie Mineure, franchit l’Hellespont avec trente sept mille combattants, et que César a conquis les Gaules avec quatre légions de six mille hommes chacune. David, le seul,sur sa frange de terrain dénudée, manoeuvrait un million et demi de « marines » de l’époque.

 

Les acrobates juifs de la mathématique, à travers toute leur histoire, ont multiplié  impunément les multiplications astronomiques. Ils l’ont fait dans le sang. Depuis toujours. C’est la pure évidence.

 

Leurs exagérations spectaculaires s’enchaînent depuis voici deux mille ans tout au long des milliers de commentaires de la « Guemara » et de la « Michna », aussi fous que fantastiques. Chaque  taupe se transforme en piège à taupes ;Chaque soldat en un escadron. Mille se transforme en un million.

 

Un semblable délire paranoïaque avec les chiffres est inquiétant.

 

C’est certainement ce que devait pensait, en 1988, l’honnête ingénieur Leuchter , à vérifier scientifiquement les sommes, les multiplications et les mensonges d’Auschwitz, Birkenau et Majdanek et, en 1989, ceux de Dachau,Mauthausen et d’Hartheim, dignes en  tous leur détails, des prodigieuses multiplications de Moïse, David, Samson, Salomon et autres précurseurs des  mathématiciens. ( à partir de la version espagnole diffusée par Libreria Europa,Barcelone,  faite par Daniel Aguilar

«  El Dr.Leuchter y  el fascinante Hitler » sur l’original français de Degrelle,141pp. pp.55-63 )

 

 

 

 

 Testament  révisionniste de Degrelle :

 

 

Le Président du Bundestag Jenniger  venait de dire avec sincérité,le 10 novembre 1988,  qu’il avait, avec sa génération vécu une époque fascinante et évoqué l’enthousiasme populaire au temps d’Hitler. Il avait du démissionner sous pression juive.

 

Degrelle  saisit le terme au vol.

 

Il écrivit son   pamphlet « Le Dr.Leuchter et le fascinant Hitler » où il détruit la légende folle et mensongère  juive sur Hitler, dans la tradition hystérique des Judaïsme, et explique, éclaire et justifie donc  sa politique envers les Juifs aujourd’hui dénaturée par le Sionisme  afin de davantage  oppresser la Palestine et de rançonner, de dévorer  le monde qui est son unique objet:

 

 

« Que les Allemands de l’époque de Hitler n’adorassent point les Juifs ? C’est indubitable.

 

Ils avaient sans doute des raisons  valables pour cela.  Tous se souvenaient des révolutions communistes en série qui, depuis fin 1918 et durant 1919, avaient  ensanglanté, province par province, l’Allemagne vaincue.

 

Celle-ci avait été sur le point de périr.

 

D’accord, tous  ceux qui avaient causé ces excès dans l’Allemagne agonisante ont été  des Juifs, et si le fait de le dire entraîne un crime de lèse-majesté, eh bien, pas de chance. La liste complète de ces agitateurs  a été publiée à Paris par le grand historien Benoist-Méchin  aux pages 222 et 223 de l’Histoire de l’Armée Allemande , tome II, Albin Michel,

 

« Or que voient-ils ? Des foules, brandissant des drapeaux rouges , montant à l’assaut du pouvoir et cherchant à étouffer sous la lutte des classes , les derniers vestiges de l’instinct national.  Mais ces foules n’agissent pas seules. Elles sont menées par une légion de militants et d’agitateurs. Et ces agitateurs, qui sont-ils ?

 

«  A Berlin, Landsberg et Hasse,  Liebknecht et Rosa Luxembourg ; à Munich, Kurt Eisner, Lipp et Landauer, Toller, Léviné et Lewien ; à Magdebourg,Brandès ; à Dresde,Lipinsky,Geyer et Fleissner ;  dans la Ruhr, Markus et Levinshon ; à Bremerhaven et à Kiel, Grünewald et Kohn. Dans le Palatinat, Liliental et Heine.

 

Autant de noms, autant de Juifs. » ( l’Histoire de l’Armée Allemande par Benoist-Méchin, tome II, Albin Michel, 1938, 667pp).

 

Et plus loin ceci :

 

« Quand les partis de gauche décident d’instituer une commission d’enquête, et d’y faire comparaître Hindenburg et Ludendorff, quels en sont les animateurs ? MM. Kohn,Gothein et Zinsheimer, et l’on pourrait allonger la liste à l’infini.Comment ne pas y voir une véritable conspiration ? »

 

Et surtout, l’on doit tenir compte de ce que ces Juifs, agitateurs rouges de l’Allemagne exténuée à la fin de 1918 et au commencement de 1919 étaient les compagnons de race de ces autres juifs qui réussirent, à la fin de 1917 et 1918 à faire triompher en Russie la révolution armée de Lénine. Ils avaient reçu de ce dernier 70% des postes ministériels et quasi tous les pouvoirs de la haute administration, eux qui représentaient à peine  2% de la population de l’ancien empire tsariste !

 

Et celui qui, à la même époque s’empara au nom de Lénine de la Hongrie,  clef de l’Europe centrale, fut Bela Kun: juif aussi, comme toute son équipe.

 

Comment n’allaient-ils pas marcher tous unis, de Saint-Petersbourg à Berlin, en passant par Budapest, pour faire triompher le grand branle-bas de leurs rêves messianiques ?...

 

Le projet de Lénine et des Juifs d’Allemagne et d’Europe centrale était clair. Ils crurent en 1919 qu’ils allaient s’assurer la domination d’un  monde nouveau.  L’Allemagne, plus avancée socialement, serait leur tremplin. Et il s’en est fallu de peu qu’ils  ne réussissent.

 

Des millions d’innocents payèrent de leur vie, y compris en Russie, cette dictature de Lénine d’inspiration israélite.

 

L’Allemagne, voisine immédiate des Soviets, a été sur le point de payer un tribut identique de servage en 1919.

 

Du fait de la maladresse des agitateurs juifs d’Allemagne, intellectuels déconnectés du monde, et du fait de la folie sanguinaire de Bela Kun, le plan fantastique de domination mondiale de Lénine s’est brisé.  Mais l’Allemagne a connu durant ces années une angoisse mortelle... Comment les  Allemands allaient-ils l’oublier ?

 

 

L’appétit juif  est resté tenace sous la complice République de Weimar. Jusqu’en 1933, la poursuite  a continué sans trêve.

 

Hitler en 1933 fut le frein, le frein populaire, élu au suffrage universel.

 

Pour les Juifs le moment  aurait été choisi d’être sensés. Mais il n’y eut rien de cela.,La communauté israélite s’est comportée instantanément  en ennemi mordant des temps nouveaux.

 

Le titre énorme : « Judea declares war on Germany », « Les juifs (la juiverie) déclarent la guerre à l’Allemagne" occupant toute la première page du Daily Express du 24 mars 1933 rappellerait pour toujours le défi ouvert.

 

Ils auraient pu, durant trois ans,chercher un type d’accord, encore qu’il n’aurait pas été plus parfait que  l’accord que pourraient contenir  les « Lois de Nuremberg », par ailleurs dix fois plus  modérées  que le sera la législation raciale contemporaine de l’État d’Israël.

 

S’ils avaient voulu partir, ils auraient pu le faire, sans précisément rien de spécial pour réaliser pacifiquement ces sorties. Hitler était décidé à leur accorder des facilités économiques sans fin.

 

Mais ce furent les  dénommés « pays d’accueil » qui fermèrent leurs portes !Y compris les pudiques Suisses qui se mirent à imposer le mot « juif » sur les passeports des Israélites expatriés. Quant aux Nord-américains, ils renvoyèrent, de leurs ports, par une absence d’humanité étonnante, les bateaux chargés de Juifs, préalablement chassés de Cuba bien qu’en possession de visas en règle. On les obligea –c’était en 1939- à retourner en Europe et à débarquer leur cargaison humaine au port d’Anvers,c’est-à-dire à plus de dix mille kilomètres de vain périple.

 

[...] Après qu’en 1941 Hitler ait été dans l’obligation de se presser, avec les Soviétiques sur le point de se lancer sur l’Europe, avec l’immense masse  de leurs troupes d’assaut, les Juifs  se mirent continûment en contact avec les milliers d’agents terroristes que Staline  avait  placés à ce moment là aux aguets, dans tous  nos pays. On le verra ensuite, dans toute la France, où se formèrent notamment les futures troupes de choc de l’État d’Israël.

 

Communistes et Juifs (dans quelques cas alliés aux droitiers) multiplièrent les attentats et les crimes à l’arrière de l’espace allemand. Les actions de représailles ne manquèrent pas. La botte pressa avec force.

 

 

Nombreux furent internés, comme le sont normalement, au cours de toutes les guerres, les citoyens suspects. Ce fut le cas de plusieurs centaines de mille d’Américains de race japonaise, enfermés en 1941 dans les camps de concentration des Etats-Unis.

 

La France elle-même, la super démocratique du Front Populaire, les favorisa :en septembre  1939 et en mai  1940 elle interna, avec une extrême promptitude, dans quarante trois camps de concentration une dizaine de mille de réfugiés juifs, dont un tiers venait d’Allemagne et les autres deux tiers de Pologne(alliée !) et qui s’étaient abattus sur le sol français, qu’ils le veuillent ou non, entre 1937 et 1938

 

Ces Juifs enfermés par les polices du Front Populaire avant qu’un seul Allemand n’apparût à Sedan, n’étaient donc ni les cobayes d’Hitler ni du Gouvernement de Vichy qui n’existait pas même, mais ceux de la France « Populaire », celle des élections socialo-communistes de 1936.

 

Incroyable, mais  incontestable !

 

Et quant à Hitler, son idée était, en attendant la fin des hostilités,de réunir les Juifs –ennemis du Reich depuis 1933- dans des camps similaires à leurs traditionnels « ghettos ».

 

Ceux-ci correspondaient à leurs coutumes millénaires .Ils allaient y être administrés par un « Conseil des Anciens » disposant de leur propre police, et y pourraient même y arborer leur propre drapeau. D’ailleurs,une fois  la guerre finie, ils pourraient aller s’installer hors de la vieille Europe.

 

« A Madagascar ! » avaient proposé,  après  1938, les alliés privilégiés, le colonel Beck et autres autocrates Polonais.

 

Ensuite, il fut nécessaire de transporter ces Juifs dans de véritables camps, après les révoltes qui  avaient été  déchaînées à Varsovie et autres places durant la bataille de Stalingrad.

 

Dans ces camps il y eut malheureusement des morts. Les internés, même quand ils étaient juifs, n’étaient pas  immortels. Un certain nombre d‘entre eux- vingt fois moins que ce qu’on a martelé-  succombèrent au désespoir, à l’épuisement et aux maladies contagieuses, surtout le typhus qui fut un authentique calvaire, autant pour les internés que pour les gardiens SS. Cette maladie fut transmise par des centaines de mille de prisonniers soviétiques, porteurs de poux mortifères.

 

Les déportés juifs succombèrent aussi du fait des souffrances morales d’une guerre interminable, intensifiée par les bombardements alliés. On ne répètera jamais assez   que  ces bombardements ont détruit et carbonisé sous des millions de kilos de projectiles et de bombes  au napalm l’Allemagne entière, y compris les camps de concentration.

 

Durant les derniers mois du conflit, ces raids de terreur anglo-américains ont privé les déportés, quasi entièrement, d’électricité, d’eau, de charbon et de vivres. Les gares étaient  réduites en cendres,les voies de chemin de fer se voyaient systématiquement broyées.

 

Malgré tout,par ces routes gelées, devaient être évacué au début de 1945, des centaines de mille de déportés juifs et non juifs qui fuyaient, joints aux millions de civils allemands, l’avance sauvage des troupes soviétiques.

 

D’autre part, les  déportés pouvaient rester dans leurs camps, comme cela s’est passé à Auschwitz, où six mille d’entre eux, aux soins de dix-huit médecins, attendirent sans empêchement aucun, durant dix jours, l’arrivée de leurs amis soviétiques. Ceci, sans plus attendre, traitèrent les juifs cent fois plus durement que les SS allemands des mois antérieurs. Ils déportèrent  sur le champ, dans leurs camps de concentration les plus durs de l’URSS plusieurs milliers de Juifs « libérés ».Et pour ce qui est des femmes juives, elles furent violées en grande partie plusieurs fois le jour même de l’arrivée des stalinistes, étant envoyées ensuite comme prisonnières en URSS.

 

Néanmoins la plus grande partie des déportés d’Auschwitz préférèrent aller  loger dans d’autres camps allemands , bien qu’ils fussent  terriblement entêtés, plutôt que de recevoir avec un « shalom » les vainqueurs soviétiques.

 

A égalité avec les centaines de milliers de civils allemands, ils ne pouvaient recourir qu’à des trains  délabrés, bombardés sans cesse, et aux chemins enneigés de la déroute, mélangés d’autre part aux grosses vagues des prisonniers déguenillés français, américains et anglais qui se fiaient le moins possible aux Soviétiques. Leur retraite de l’Est à l’Ouest, à 20° sous zéro fut un interminable calvaire. Ils se traînaient  sous un air gelé, entre d’innombrables cadavres.

 

Nous, les derniers soldats, avons été témoins horrifiés de cet écroulement apocalyptique.

 

Nous avons vu, au cinéma d’après-guerre, des montagnes de cadavres de déportés qui, en réalité, étaient, en majeure partie, des cadavres d’humbles civils allemands, photographiés et re-photographiés avec impudeur par toute une meute de journalistes  de ces mêmes alliés qui, avec leurs bombardements atroces, semèrent la  famine et la mort de tous côtés, portant  au maximum  l’horreur de ces fabuleuses exterminations.

 

Un jour, il sera nécessaire de reconnaître honnêtement qu’une telle extermination ne fut pas le sort de nombreux Juifs d’Europe. En 1945, une synagogue et un  hôpital israélite fonctionnaient normalement à Berlin.

 

A Budapest,deux cent mille Hébreux assistèrent à l’arrivée des troupes soviétiques en 1944.

 

En France,283.000 juifs sur un total de 350.000 ne furent jamais objet de la moindre menace allemande de déportation.

 

Et en ce qui touche le chiffre fabuleux des gazés dans des lieux comme Auschwitz, mille fois répétés sans aucune preuve,on l’a vu diminué, en 1988, des six millions fatidiques à un million, dans la principale revue israélite de France, « Le Monde Juif », chiffre qui, de nos jours, s’est précipité dans l’abîme encore plus vertigineusement, comme s’il  s’échappait par un tobogan.

 

Après quarante  cinq ans de séquestre dans les caves du KGB, les registres officiels d’Auschwitz, portés à la connaissance grâce à la « glasnost » (transparence) de Gorbatchev, n’attestent pas, selon ce qu’on nous en a dit,  plus de 74.000 décédés, en grande partie par maladie ou accident.

 

 Seuls  les législateurs français de 1991 semblent croire en la fable des Six Millions,

 

La gent sensée, de son côté, à présent doute, et ils sont nombreux ceux qui nez croient pas en ce chiffre. Le gaz peut-être, promptement, ne sera-t-il plus que vent qui passe et se disperse à l’horizon ?

 

Il s’es produit une agitation telle autour de ces gazages (sans gaz) que l’opinion publique a quasi oublié les autres internés, emmenés en wagons vers l’Allemagne entre 1940 et 1945.

 

Il est certain  qu’une partie de ces déportés périt dans les camps allemands. De nombreux autres se trouvèrent, en avril 1945, au bord de la tombe, après que les bombardements alliés eurent éliminé leurs dernières possibilités de subsister.

 

Même n’y aurait-il eu dans les camps du IIIe Reich pas plus qu’un seul mort entre 1940 et 1945, ce serait, à coup sûr, bien lamentable. Mais toutes les guerres sont ainsi, y comprises celles que les  Israélites font sans cesse dans la Palestine ensanglantée par leurs troupes d’occupation.

 

Au reste, ce sont  aux  bellicistes sionistes d’Amérique et d’Europe que l’on devrait reprocher d’avoir provoqué le Seconde Guerre Mondiale et  pour cela,c’est à eux,  à eux que doivent s’adresser les victimes de 1939-1945 pour réclamer des indemnités. Au lieu d’assumer leurs responsabilités, ces bellicistes ont préféré maintenir le spectacle fabuleux et plus productif des chambres à gaz. Les jeunes aujourd’hui en doutent. Auraient-elles existé les fameuses chambres à gaz, en dehors du cinéma et de la télévision ?

 

Il  ne suffit pas de répondre aux révisionnistes avec des condamnations et des persécutions.

 

En attendant,en toute sécurité,ce type de spectacle peut procurer  des indemnités proportionnellement élevées à un Israël qui n’existait pas même à l’époque du temps de la Seconde Guerre Mondiale.

 

N’est que de trop connue la lettre de récapitulation du Consul Général d’Allemagne aux États-unis, fixant  à 102.653 millions de Marks la somme que son pays, quasi exsangue en 1945, a eu à  payer et paye encore pour des frais de gaz volatilisé.

 

A parler historiquement, le cas allemand ne fut qu’un épisode de l’interminable aventure juive.

 

Les descriptions mille fois rabâchées des avatars fréquemment incohérents des Juifs de la Seconde Guerre Mondiale ne sont  que la  continuation de plus de deux mille ans d’autres avatars, successivement soufferts par les Israélites, comme ce fut le cas de l’Égypte des Pharaons, la Grèce de Périclès ou la Rome glorieuse des Césars.

 

L’inventeur des camps de concentration ne fut autre que l’empereur Tibère – il est clair que oui ! qui, voici deux mille ans, déporta un millier de Juifs de Rome en Sardaigne.

 

Ensuite ce fut la France qui les expulsa, la France de saint Louis. Puis l’Espagne pris la relève, l’Espagne des Rois Catholiques. Vient –quelle horreur !  Le tour de la noble Angleterre, durant trois siècles. Et de la Russie. Et, avant Hitler, de l’Empire Germanique.

 

Et nous n’oublions pas les ghettos du Pape. Avec les marques jaunes qu’on imposait aux hommes, et les femmes  courant sur la Place Saint Pierre dans des sacs de jute ! A la grande réjouissance de leurs Éminences ! Et c’est ainsi que les derniers ghettos qui fleurirent en Europe au XIXème siècle furent, indiscutablement, les bien peu apostoliques ghettos de Sa Sainteté à Rome.

 

En résumé, le balais antisémite n’a  attendu, nulle part, la création du Marché Commun.

 

Le passé laisse des traces indélébiles.

 

Les vendeurs de fables de terreur d’Hollywood, capitale cinématographique du sémitisme, auraient pu employer leur argent aux souvenirs de ces trois mille ans de multiples épisodes. Mais leur projet était autre. Ils  avaient intérêt – avant tout- à occulter la geste du Grand Inopportun  de notre époque,lui qui, selon la conclusion d’un des plus grands historien des États-unis, John Tolland, a été « la personnalité la plus forte du XXème siècle ».

 

Après la chute d’Hitler, les démocraties « européennes », regorgeant de vanité,n’ont  été capables en cinquante ans, que de créer l’incohérence. Des conglomérats de politiciens de hasard, incompétents, fréquemment corrompus, noyés dans des enchevêtrements de gouvernements hétéroclites (cinquante crises ministérielles seulement en Italie), n’ont offert aux masses d’autre idéal que celui de plaisirs rapides,  l’agitation désordonnée, la drogue et l’agressivité sociale. Ils n’ont pas même été capables d’engendrer un nombre décent de fils. Et ces masses se sont vue envahies – de manière croissante et anarchique- par des millions d’Africains et d’Asiatiques.

 

Au prochain siècle, ces Européens ne représenteront plus que 6 à 7 % de la population mondiale.

 

Leur  « Marché Commun » -c’est tout ce qu’il a de commun- est toujours, au travers des années – en ses balbutiements.

 

Seulement avec l’argent – dont en outre ils manquent- il est impossible de rien construire.

(Léon Degrelle, « Le Dr. Leuchter et le fantastique Hitler »,143pp.p.105-119, traduit de l’espagnol, l Dr. Leuchter y el fascinante Hitler », <Barcelona, libreria Europa.1991)

 

 

Degrelle moraliste :

 

Degrelle, à cinquante ans, a écrit, après la guerre, dans son exil espagnol,  un ouvrage français traduit en plusieurs langues :

 

Dans « Les  Ames qui brûlent », parues  A la Feuille de Chêne,1964, Paris, 251 pp; il y dit :

 

« Un peuple riche, composé de millions d’individus, mais égoïstement isolés, est un peuple mort.

 

« Un peuple pauvre où chacun reconnaît intelligemment ses limites et ses obligations communautaires, obéit et travaille est un peuple-vie »

 

 

A trente trois ans, notre ami  publiait en 1938  « Révolution des Ames »,aux Editions de France, Paris, 179pp. qui est un avant-goût de « Les Ames qui brûlent ».

 

 

 « En un siècle où l’on ne vit que pour soi, il faudra que des centaines, des milliers d’hommes ne vivent plus pour eux, mais pour un idéal collectif, consentent pour lui, à l’avance, tous les sacrifices, toutes les humiliations, tous les héroïsmes.

 

Les âmes tristes dans cette atmosphère, détonnent comme des fleurs sans parfum ou des oiseaux sans voix. Elles s’y sentent mal à l’aise et doivent se retirer ou s’enflammer. »

 

( Léon Degrelle, Révolution des âmes, p.161- 2)

Qu´importe de souffrir si on a eu dans sa vie quelques heures immortelles. Au moins, on a vécu!

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