Le véritable Hitler:
"C'était un
homme simple,
Er war ein einfacher Mann » nous a dit sa dévouée
sténographe hanovrienne Adda Schierloh et
ceci l’éloigne des profiteurs, des rois et des tyrans qui vivent du peuple et
non pas pour le peuple; il eut une mère pieuse, dont il hérita le
regard transparent et profond ; elle le fit instruire chez les moines
bénédictins des hauteurs de Lambach, sur la
route de Salzbourg à Linz, dans une école aujourd’hui
toujours tenue par les mêmes
religieux et qui offre une particularité : l’un des père abbés érudit en
littérature asiatique a un monument le représentant en buste, dans la large
cour centrale, au bas duquel se voit
le signe de la croix gammée qui est répandue chez les peuples de l’Asie à
l’Europe.
(insigne de la division musulmane bosniaque Handshar)
Hitler
l’adopta pour opposer le signe du travail et de l’idéalisme à l’emprise
matérialiste juive de l’usure et particulièrement à l’étoile qui était sur le
drapeau du judéo- bolchevisme soviétique.. La
calomnie juive, pour discréditer Hitler, a prétendu qu’il était fils
naturel d’un Juif de Graz, fait d’autant plus impossible qu’aucun Juif ne
vivait à Graz quand y aurait séjourné sa mère. Il fut aussi qualifié
par les mêmes menteurs de peintre en bâtiment, alors qu’il a
produit artistiquement quantité d’aquarelles qui ont été exposées
et sont d’une grande sensibilité. Il voulait être architecte ; il a
laissé des plans de ville et de monuments, car il aimait à bâtir : et de
lui nous avons le dessin adopté de la classique Volkswagen, la voiture
populaire qu’il a voulu en effet pour le peuple.
Hitler oppose le Christianisme et
Judaïsme:
Il se définit toujours catholique, fait construire quantité d’églises,
édifier une mosquée aussi à Berlin et paya sa contribution aux
impôts du clergé jusqu’à sa mort. Il avait, tout comme son prédécesseur
Guillaume II et l’ empereur
Frédéric II Hohenstaufen qui refusa au 13ème
siècle de lancer réellement la 6ème croisade et fut
excommunié en 1227 pour cela, accueillit les musulmans dans ses Etats italiens, un faible ou plutôt une admiration
pour l’Islam dont il a fait l’éloge, insistant sur sa supériorité
scientifique, artistique et politique en Espagne et son exaltation de
l’héroïsme. Il pensait que le Christianisme devait se purifier : qu’il
était corrompu par les fourberies de l’Ancien Testament qui judaïsait les
mentalités, les infectant des vices exaltés par les livres juifs ; il
célébrait le patriotisme et l’esprit d’examen des protestants mais disait que
Martin Luther qui avait dénoncé courageusement les mensonges juifs, avait en
même temps ouvert la porte au Judaïsme en brisant la discipline
nécessaire de l’Eglise et semé l’anarchie et
son dernier testament politique, la veille de sa mort, tout comme l’ a
été dernier sermon de Luther, met en garde contre « l’empoisonneur
mondial de tous les peuples « Weltvergifter
von aller Völker »:
le Judaïsme international ». Dans son livre « Mon
Combat », Hitler précise du Juif qu’ « il n’a jamais
été pour cette raison nomade, mais qu’il n’a toujours été qu’un parasite
dans le corps d’ autres peuples. »… « L’action
qu’il a cependant de se répandre plus loin (Sein Sich-Weiterverbreiten
aber ) est
une manifestation typique de tous les parasites ; il chercher toujours
un nouveau terrain nourricier pour sa race. » (op.cit.1930, livre
premier, chapitre onzième, p. 334, édition allemande).
Le Judaïsme n’est pas une religion:
Hitler
a dénoncé plusieurs fois le Talmud et expliqué dans son livre
autobiographique « Mon Combat » ce qu’il entendait par une
conception aryenne qui est applicable à la vraie religion, aryen signifiant non-juif :: « On ne
peut pas se représenter une religion, d’après la conception aryenne, à
laquelle manque sous n’importe quelle forme la conviction de la survie de
l’âme après la mort. En réalité le Talmud n’est pas non plus un
livre pour se préparer à l’au-delà, mais seulement à une vie pratique
et supportable ici-bas. » .Hitler dit que pour en bien
juger il suffit d’observer son produit : « le Juif lui
même : sa
vie n’est que de ce monde et son esprit est intérieurement si étranger
au vrai Christianisme comme sa nature l’était il y a deux mille ans avant que
le grand fondateur de la nouvelle doctrine lui-même ne soit. A vrai
dire, il n’a pas caché ses sentiments à l’égard du peuple juif,
il a saisi même le fouet pour chasser du temple du Seigneur cet
adversaire de toute humanité qui ne voyait alors et comme toujours dans la
religion qu’un moyen d’existence sociale. »voir « Mon
Combat », premier livre, onzième chapitre, « Peuple
et race », édition allemande, « Mein
Kampf » München, 1930, p.336)
Hitler et la Palestine:
Il
fut, après Mussolini , le premier à recevoir le
représentant du Comité Arabe de Palestine, le grand mufti de Jérusalem Hadj
Amin El Husseini avec les honneurs officiels civils et militaires
dus à un chef d’Etat, à
l’ étonnement du mufti lui-même. Hitler
lui déclara le 28 novembre 1941 que la Palestine, depuis toujours, était
l’œuvre et le bien propre des Arabes, le fruit de leur travail,
et que les Juifs n’y étaient que comme un prétexte pour une domination
mondiale. L’originalité de Hitler a été de déceler, dans son ouvrage de base,
Mon Combat, le mensonge ou le tour de prestidigitation
présenté par le Sionisme qui se veut national pour tromper les peuples non
juifs, alors qu’il n’est que l’expression trompeuse du Judaïsme, seul
réel, aspirant dans son principe à la domination universelle et
au parasitisme des peuples, poussant à leur abaissement moral, matériel et de
santé physique même, comme le clame l’Ancien Testament et le répètent au long
des siècles les livres de la collection dite du Talmud
(ou« enseignement » sous-entendu, des rabbins, de la racine Lamed, enseigner).
L’estime du Coran
est rappelée par Léon
Degrelle, chef du mouvement politique belge dit du Rexisme (par
allusion à une encyclique du pape intitulée « Christ
roi », Christus rex), qui vécut en exil
en Espagne et vit plusieurs fois, dès avant la guerre, Hitler dont il reçut
une décoration en février 1944 pour fait d’armes et lui dit « Si
j’avais eu un fils j’eusse aimé qu’il fût comme vous » : à
chacun des volontaires musulmans de la Waffen- SS (
SS ou Schutz -Staffel
« échelons de protection » armés), Hitler fit cadeau d’ un Coran
miniature autour d’une chaînette. De nombreux peuples musulmans comme les
Tatares de Crimée, les Tchétchènes (tous ces deux peuples furent, à
cause de leur accueil des Allemands en libérateurs, entièrement déportés, les
seconds déracinés de chez eux en 1944 revinrent chez eux en 1956 et les
premiers retournent seulement aujourd’hui d’Asie centrale en Crimée,
sans récupérer leurs biens ancestraux) ,
les Bosniaques les Azerbaïdjanais connurent une répression terrible
pour avoir soutenu Hitler contre le système soviétique. La popularité
d’Hitler était grande en Iran, comme télégraphie le délégué
apostolique du Vatican le 8 novembre 1941,
Alcide Marina au secrétaire d’Etat, le cardinal Luigi
Maglione (« ../.. de très nombreux sympathisants
iraniens de l’Allemagne ( « e dai moltissimi iranici simpatizzanti per la Germania » ). Il n’est pas exagéré
de calculer qu’au moins 80% aujourd’hui de la population est anti-britannique
et anti-soviétique. La propagande allemande a réussi à persuader ces gens que
Hitler est musulman (che Hitler è musulmano) , qu’il a fait même le pèlerinage au
sanctuaire de Meshed
(« hat fatto anzi il pellegrinagio al santuario di Meshed » Actes et Documents du Saint
Siège relatifs à la Seconde Guerre Mondiale, tome 5, Le Saint Siège et la Guerre Mondiale
juillet 1941-octobre 1942, Libreria editrice vaticana, Città del Vaticano, 1969, 794
p. §358,p.559-560.), et dans tout le monde arabe et aussi en Inde et en
Asie, en Turquie et en Albanie. Aussi est-il l’objet d’une haine immense de
la part des adversaires de l’Islam et en premier du Judaïsme et de ceux qui
s’enjuivent et donc pourrissent sur pieds comme des arbres au sein des
religions existantes. Le colonel Nasser, dans un entretien privé à un journal
nationaliste allemand de Munich, du 7 avril 1964 donné dans sa maison
d’Héliopolis, dans la banlieue du Caire, a dit à son directeur le Dr. Gerhard
Frey, que pendant la seconde guerre mondiale,
« nos sympathies allaient à l’Allemagne » et que
les simples gens de l’Egypte ne croyaient
pas à la propagande juive de l’holocauste
«
personne ici n'a pris au sérieux ce mensonge au sujet de 6 millions de Juifs
assassinés, même le plus simple des hommes. »
(Deutsche National Zeitung,
1.Mai1964)
La liberté du culte musulman
fut entière en Allemagne
national-socialiste d’Hitler ; ce fut le cas des chrétiens et des Juifs
mêmes, libéraux ou orthodoxes, , puisque la
synagogue de Berlin ne fut jamais fermée et brûla en 1943 des suites du
bombardement anglais. C’est devant l’Institut islamique que le Grand Mufti
condamna, avec un télégramme de soutien d’Himmler, la déclaration Balfour qui
a reconnu politiquement le Sionisme le 2 novembre 1917. Tous
les efforts de présenter Hitler comme lié au Sionisme sont une tromperie pour
cacher la nature de la Seconde Guerre Mondiale, laquelle fut une immense
Intifada des peuples contre l’occupation financière et terroriste, par
le moyen du communisme juif et du capitalisme colonial, qu’ils
subissaient. Le reproche de racisme, au sens divulgué par la propagande
juive, de haine des autre peuples, est une
contre-vérité. Ce seul racisme là que l’on dénonce avec raison, Hitler
le premier, est précisément le Judaïsme contre lequel se sont insurgés
et le fils de Marie, de celle que Hitler a peint en aquarelle pendant
la première guerre mondiale, et le prophète de l’Islam..
Ce que voulait Hitler est l’épanouissement de chaque
race humaine dans son environnement, dans sa patrie.
Et ses premiers et
plus fidèles alliés furent les Japonais, les Indiens de « l’Inde libre » ( free India ) alliés aux
Japonais, les musulmans entrés dans sa vaste
coalition, et tant de peuples qui sont aujourd’hui broyés comme celui du
Kosovo: un peuple musulman que Hitler fit réintégrer à l’Albanie
constituant la grande Albanie - de 1941 à 1944 - qui forma, avec des
chrétiens albanais intégrés, l’armature de la division Waffen- SS Skanderbeg.en avril
1944, rejointe par près de deux mille
Bosniaques de
la division croate musulmane Handschar que le Grand mufti
palestinien avait passée en revue en 1943 en Croatie.
Hitler ne fut pas un agresseur:
La propagande juive clame qu’il a annexé l’Autriche ;or ce pays se
nommait officiellement « Autriche allemande »
(Deutsch- Österreich) et le peuple voulait se
réunir à la mère patrie. Il en avait été empêché par une disposition spéciale
de la Société des Nations, l’article 88 imposé par
Georges Clémenceau à la demande du roi de
Yougoslavie et du ministre tchèque Edvard Beneš. L’Autriche, en mai 1955, a dû s’engager à ne
jamais demander son rattachement à l’Allemagne pour pouvoir obtenir le départ
des troupes d’occupation étrangères. Hitler n’a pas par ailleurs agressé
arbitrairement la Russie, il a ordonné avec d’autres gouvernements une
attaque préventive le 22 juin 1941 pour prévenir une offensive soviétique
prévue pour le début de juillet et supérieure en nombre de chars et d’avions
à l’Allemagne et à ses alliés de Finlande à la Roumanie. La disposition des
armées soviétiques en formation offensive de pointe, sans arrière défensif
profond, a fait éclater le front sous les coups d’ une armée
allemande bien inférieure en nombre d’hommes et en blindés, nullement
préparée à une campagne d’hiver, ce qui avait endormi la méfiance de Staline.
Ce projet d’offensive soviétique contre l’Europe a été avoué par les
militaires soviétiques eux-mêmes. Hitler n’a pas non plus agressé la
France et l’Angleterre qui lui ont déclaré la guerre en premier ; la
raison de la déclaration de guerre anglaise fut l’attaque de la Pologne qui
était mobilisée contre lui et comptait sur le soutien de l’Angleterre et de la
France tout en massacrant la population allemande de Pologne. La propagande
juive dit que Hitler a attaqué la Tchécoslovaquie : c’est en réalité à
l’appel du peuple slovaque et de la minorité ruthène demandant le
rattachement à la Hongrie, et de leurs deux chefs religieux, dont
l’archevêque de Bratislava et professeur de théologie catholique
Joseph Tiso, en mars 1939, que Hitler a alors
imposé un protectorat à Prague en gardant le même Président tchèque, Hacha,
et mis fin à un régime, pépinière de sionistes, qui, reconstitué en 1945
alimentera l’entité sioniste au printemps et en fin 1948 en armes
légères et semi-lourdes, en avions pris aux
Allemands et en hommes (juifs tchèques armés envoyés fin 1948, le secrétaire
du parti communiste étant alors le Juif
Rudolf Salzmann dit Slánsky exécuté en
1952) sur
ordre de Staline qui fera équiper un aérodrome pour le pont aérien. La
Yougoslavie n’a pas échappé à l’enfer juif puisque sous ce Tito que Staline
appelait de son vrai nom Walter (le Josip Broz croate étant un communiste dont il aurait pris la
place, et il est de fait que ce Walter parlait mal le croate. Dans son
soi-disant village natal de Kumrovec personne, au
témoignage reçu d’un religieux du même village recueilli par nous, ne
reconnaissait « Tito », surnom adopté en 1934 à Moscou !)
le premier ministre fut le Juif
Moše Pijade, né à Belgrade en 1890,
traducteur du Capital de Marx, en décédé à Paris en 1957.
La défaite d’Hitler fit naître une tyrannie juive
La défaite d’Hitler n'a pas fait naître seulement cette
tyrannie juive, contre la nation islamique et chrétienne que sous
laquelle nous vivons aujourd'hui en Palestine et dans le monde entier.
La défaite d’Hitler fit naître également une tyrannie juive modiale,
notamment en Europe orientale et centrale:
1- celle
du Juif hongrois Ernö Gerö, ancien des brigades internationales portant le
nom de Fernandez durant la guerre d’Espagne, au quartier général d’ Albacète avec l’italien Togliatti et le catalan André
Marty.
2- Celle du prédécesseur de Ernö
Gerö, le Juif Mátyás
Rákosi commissaire politique sous le Juif dictateur de Hongrie en
1919 Bela Kun.
3- Celle de Peter Gabor qui commandait la
police secrète ..
4- Celle de son compère, le Juif du
Wurtemberg, lieutenant colonel Markus Wolf (nommé Mischa), chef de la Stasi,
la sécurité d’Etat
communiste allemande.
5- Celle du juif Klaus
Gysi (1912-1999) - d’origine suisse - ministre
de la culture et - à ce titre -
supérieur du père de l'actuelle a chancelière pro-sioniste Angelina Merkel, pasteur protestant émigré volontaire de Hambourg chargé
d’aligner le christianisme sur l’idéologie judéo-marxiste officielle.
Ce Klaus
Gysi est père
de l’actuel politicien juif berlinois - de mère juive de
Saint-Pétersbourg - née Lessing, Gregor Gysi,
né en 1948.
6- Celle de la
vice-ministre présidente de la Roumanie de 1947 à 1952 et qui a
tenu même le rôle de vice- ministre des Affaires Etrangères:
la Juive Anna Pauker - maîtresse de
l'ancien chef du parti communiste français Maurice Thorez. Le mari de Anna Pauker
- le juif Marcel Pauker - est un trotskyste autrichien exécuté par Staline. Elle est fille
d’un boucher kosher et rabbin nommé Rabinsohn. Elle a été professeur d’hébreu
dans une école juive en Roumanie. Son frère a vécu en Israël. Elle termina sa vie comme bibliothécaire en 1960, dégradée en 1952,
soupçonnée de Sionisme.
7- Celle de la vice-présidente du tribunal suprême de l’Etat communiste
d'Allemagne - de 1949 à 1953 - surnommée « guillotine rouge »
(rote Guillotine), la juive Hilde
Benjamin née Lange qui a été aussi ministre de la Justice.
Libre pendant toute la guerre, Hilde
Benjamin travaillait dans
l’industrie de la confection de 1939 à 1945, après s’être
occupée comme juriste, des relations commerciales entre l’Allemagne et
l’Union Soviétique. Elle est
décédée à Berlin le 18 avril 1989, après avoir été mariée à un Benjamin, frère de l’auteur juif
Walter Benjamin. Partout les Juifs en Europe exerçaient la
tyrannie, car la guerre contre Hitler était avant tout une guerre juive.
Hitler voulait un socialisme non juif:
Déjà l’Allemagne impériale d’avant 1914 devançait tous les
peuples en matire de justice sociale. Les Juifs
s’emparèrent des leviers de commande de l’Etat et
affamèrent le pays après sa défaite militaire. La venue d’Hitler fin janvier
1933 fut la débandade des Juifs, l’écroulement de leur système de domination.
En 1941, l’Allemagne célébrait le cinquantième anniversaire de la sécurité
sociale ! Quel pays pouvait alors en dire autant ? Le Front
populaire sous la houlette du sioniste Léon Blum ? Il y eut un
formidable mouvement d’unité populaire de toutes les classes sous Hitler. La
justice à l’intérieur entraînait la justice à l’extérieur. C’est pourquoi
Hitler a soutenu les Palestiniens dans leurs révoltes en 1935-1939 et qu’il a
accueilli le Grand mufti de Al Qods ayant succédé à son
père dans cette charge, qu’il a soutenu le mouvement d’indépendance en
Irak en envoyant des avions soutenir la révolte de Rachid Ali en mai 1941 et
qu’il lui donna asile. Dans ses entretiens il célèbre la lutte future
du tiers monde contre l’oligarchie juive mondiale. C’est à cause de son
sentiment de justice sociale et du droit des nations que Hitler a été l’objet
d’une vaste coalition et que les mensonges de la propagande comme celui de
l’extermination des Juifs veut le discréditer. C’est le judaïsme qui
est au contraire une doctrine constante d’extermination des peuples et de la
ruine des âmes. Défendre la mémoire d’Hitler est impossible à tout ce
qui est enjuivé ; le pape actuel Benoît 16ème du nom,
s’assied par exemple le Vendredi 19 août 2005 dans la synagogue de Cologne
comme un passager dans l’avion piloté par des Juifs ; le Pape ne
conduit pas la vie de l’Eglise, c’est la vie de l’Eglise qui est désormais conduite par
l’équipage du Judaïsme qui lui dicte sa conduite ; ainsi vous voyez le
Pape se rendre, le jour de l’Ascension du Christ au Ciel, à Auschwitz
et non pas en Palestine protester contre la famine provoquée par le blocus
des pro-sioniste ; son maître est le Dieu des
Juifs, le diable destructeur et tyrannique et non pas le Dieu de Miséricorde
et de Puissance, celui de la Création, de la Justice, de la Beauté.
Rendre justice à Hitler est impossible à quiconque suivra la même
voie d’enlisement dans le marais du judaïsme :
l’ Islamisme et les gens sincères
parmi les Chrétiens ne s’égarent pas
sur la voie de la perversion, comme le Coran le dit de nombreux gens du
Livre, c’est-à-dire de ceux qui lisent des Ecritures
falsifiées par le Judaïsme ; car judaïser, c’est mentir. Le
Christianisme routinier, remarquait Hitler, joint le testament de Jésus à
celui de ses adversaires, mêle le vrai au faux et succombe à l’odeur
juive.
Jamais après la guerre le Grand Mufti de
Palestine, Hadj Amin, décédé
en 1974, n’a dit un mot contre Hitler, ni Nasser non plus n’a désavoué
son amitié de jeunesse pour l’Allemagne. Pourquoi ? Parce qu’ils
connaissaient la vérité sur Hitler et qu’ils savaient que les Juifs sont
« les plus grands maîtres dans l’art de mentir »
[mot du philosophe Schopenhauer cité par Hitler dans « Mon
Combat »] et les diviseurs des peuples. Suivons les exemples du mufti et
de Nasser, rendons à Hitler et à sa mémoire ce qui lui appartient: le sens de la Justice et
le soutien au peuple palestinien et musulman.
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