No hate. No violence. Races? Only one Human race. United We Stand, Divided We Fall. Know Your enemy. Act Now! Tomorrow it will be too late.



Bulletin d’information
de l´Association Vérité et Justice, CP 355, 1618, Châtel-Saint-Denis, Suisse, Rédacteur : René-Louis Berclaz
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Le Contre Rapport Bergier
Anatomie d'une falsification de l'Histoire


La Suisse existe-t-elle ?
Une introduction politiquement incorrecte.
Bernhard Schaub
Comment pourrait-on oublier la mémorable devise du pavillon helvétique à l’Exposition universelle de Séville: «La Suisse n’existe pas». D’un point de vue patriotique, cette maxime a été critiquée à juste titre comme frivole, voire blasphématoire. Mais une telle provocation avait sans doute valeur d’avertissement en vue de préparer le terrain à de nouvelles vérités. Peu après et comme par hasard, nos autorités, ainsi que les décideurs économiques, ont montré une telle soumission aux exigences du Congrès juif mondial dans l’affaire dite des fonds juifs en déshérence que le brave Suisse s’est frotté les yeux et s’est posé sérieusement la question de savoir si son pays était toujours un Etat souverain ou était devenu une république bananière sous haute influence d’un certain lobby de la Côte Est des Etats-Unis.

Ces événements nous montrent clairement que notre souveraineté a vécu et que le gouvernement suisse se considère dorénavant comme le vassal de ce même lobby.

Un tel traitement était jusqu’alors réservé aux seuls vaincus, comme l’Allemagne. N’oublions pas qu’il n’existe toujours aucun traité de paix entre la République fédérale allemande et les Alliés. Par contre, le statut réservé aux Etats ennemis est toujours valable et stipule que chaque Etat allié qui se considère menacé par la République fédérale allemande peut l’envahir sans avertissement. Quant à la Bundeswehr, il ne s’agit pas d’une véritable armée nationale, car elle ne possède pas d’état-major général véritablement indépendant: ce n’est qu’une troupe de mercenaires au service de l’OTAN.

Le sort des Allemands est d’entretenir continuellement Israël, la Communauté européenne, les «survivants de l’Holocauste», les Tsiganes et les anciens travailleurs forcés de la guerre. C’est le lot des vaincus, obligés à payer tribut aux vainqueurs.

Mais qu’en est-il de la Suisse indépendante et neutre? Quel son de cloche entend-on au «Stammtisch du café du Commerce»? Autrefois, nous étions du «bon bord», contre Adolf, et les frontistes n’ont jamais eu un grand succès auprès des foules. Nous avons accordé l’asile à 300’000 réfugiés et internés militaires, dont 21’000 Juifs, ce qui représente proportionnellement à notre population davantage qu’aucun autre pays! Nous avons considéré les Américains comme les sauveurs de la civilisation, bien qu’ils aient gelé notre or et bombardé Schaffhouse. Nous avons été des élèves exemplaires et avons fait ce que les futurs vainqueurs attendaient de nous. Nous avons même reçu des éloges de Monsieur Churchill et d’autres dirigeants alliés. Et soudain, Juifs et Américains nous traînent dans la boue devant le monde entier et veulent nous rançonner. Que fait alors le Conseil fédéral ? Au lieu d’envoyer sur les roses d’Amato and Co, il se rend à genoux à Washington et les banques payent sans compter des sommes astronomiques. Comment a-t-on pu en arriver là ?

Effectivement, la vision de l’Histoire de nos amis du café du Commerce est trop superficielle, et les causes bien plus profondes. Ne croyons pas que le Conseil fédéral souffre seulement d’une crise passagère d’anémie patriotique. Tout ce qui est arrivé et arrivera encore chez nous est l’aboutissement d’un plan conçu de longue date. En politique, disait le président Roosevelt, le hasard n’existe pas, et si quelque chose se passe, celle-ci est prévue. Dans un moment d’égarement, à moins qu’il ne s’agisse de lucidité, le conseiller fédéral Delamuraz a parlé «d’extorsion» et notre ambassadeur Jagmetti, alors en place à Washington, a même utilisé le nom de «guerre» pour décrire la situation du pays dans l’affaire des fonds en déshérence. Par la suite, ces deux courageux ont gardé, eux-aussi, un silence prudent. Quelles sont les raisons de ce soudain mutisme? Faisant partie du système, nos deux téméraires souhaitaient évidemment y rester. Mais ce système là agit en fait depuis de nombreuses décennies au détriment des intérêts d’un peuple suisse maintenu volontairement dans l’ignorance des véritables enjeux.

Cette situation n’est pas particulière à notre pays, car chaque Etat doit faire acte d’allégeance au Nouvel Ordre mondial et au règne de la pensée unique. En cas de résistance, les sanctions suivent, d’abord économiques, et pour finir tombent les bombes. Elles sont tombées sur Bagdad et Belgrade et personne ne peut nous garantir qu’elles ne tomberont pas un jour sur Berne, comme elles sont tombées sur Berlin, Hambourg et Dresde. Exagérations que tout cela ? Mais il faut garder à l’esprit comment la campagne d’extorsion contre la Suisse a commencé, grâce à la complicité des médias, dans le but de détruire notre séculaire réputation d’intégrité.

Ces faiseurs d’opinion peuvent exciter et manipuler les foules de manière à ce qu’elles ne réagissent pas, ou regardent avec une complaisance passive lorsque l’Oncle Sam commence à tirer dans le tas.

Mais revenons encore une fois à la question de notre asservissement au système américano-sioniste. Le Suisse moyen, du moins celui qui se rend encore aux urnes, croit en principe toujours à la démocratie. Il suppose que nos institutions, basées sur la Constitution fédérale, c’est-à-dire le parlement, le gouvernement et la justice, sont les moyens par lesquels la «volonté populaire» peut s’exprimer. Deux exemples suffiront à relativiser ces belles croyances.

Dans l’ouvrage que la Migros a publié à l’occasion du 700ème anniversaire de la Confédération, on peut lire les déclarations d’une presque inconnue, Ruth Dreifuss, alors simple secrétaire syndicale. Cette Juive a appartenu au mouvement de la jeunesse sioniste. Pour elle, peu lui importe que la Suisse survive ou non comme Etat indépendant. Elle affirme avec conviction sa préférence pour une Suisse colorée (donc métissée), et prône ouvertement les mariages mixtes. Cette fervente patriote sera élue au Conseil fédéral en mars 1993, avec le soutien de la majorité bourgeoise du Conseil national. N’importe qui d’autre, osant ainsi s’exprimer publiquement, serait considéré comme potentiellement traître à la patrie. Mais dans ce cas très particulier, cette personne est pourtant en mesure d’accéder à la magistrature suprême.

 

Il y a vraiment quelque chose de pourri au pays des Waldstätten, dont la bannière est ornée d’une croix !

Deuxième exemple: peu avant les élections au Conseil fédéral qui ont permis à Joseph Deiss et Ruth Metzler d’entrer au gouvernement, la question a été posée au conseiller national de l’Union démocratique du centre (UDC) Alexander Baumann, avocat à Kreuzlingen, s’il était possible qu’un opposant à l’entrée de la Suisse dans la Communauté européenne (CE) puisse se faire élire. Sa réponse, étonnement franche, fut négative. Il est inimaginable que notre parlement puisse choisir un opposant à la CE. On peut prendre la position que l’on veut sur l’appartenance ou non de la Suisse à la CE, mais il est certain que le peuple est divisé concernant cette adhésion dans une proportion relativement égale. Si nous étions dans une démocratie véritablement représentative de la volonté populaire, le Conseil fédéral et le parlement devraient se composer de partisans et d’opposants, également à parts égales. Mais s’il est impossible à un seul opposant d’être élu au Conseil fédéral, il faut bien constater que la démocratie ne tient pas ce qu’elle promet.

Dans ces conditions, personne ne s’étonnera de constater également que la classe politique de notre pays, y compris les partis d’opposition de la droite, sont incapables de s’engager activement pour défendre notre pays contre les agressions venues d’outre-atlantique. Même si les discours de notre «ventilateur» national Christoph Blocher brassent beaucoup d’air, ils ne sont pas de taille à résister à ceux qui sont capables de déclencher la «tempête du désert».

Il est évident qu’il existe une totale unanimité entre la gauche à la droite concernant certaines évidences apparentes. Autrement dit, il s’agit des deux postulats suivants, y compris la conclusion qui s’impose d’elle-même:

1. Le Troisième Reich a exterminé six millions de Juifs.

2. On ne peut pas assassiner autant de gens sans que des témoins aient pu remarquer quelque chose.

3. Donc les Suisses savaient et sont de ce fait complices.

Osons constater tout de même que la conclusion est contredite par de nombreux témoins. En particulier les deux figures de proue que sont les historiens von Salis et Bonjour ont déclaré n’avoir rien su jusqu’à la fin de la guerre d’une destruction massive des Juifs 1. Mais celui qui s’obstine à faire fonctionner sa matière grise entre soudain dans la zone rouge, celle où il est interdit de réfléchir depuis l’entrée en vigueur de la loi-muselière (art. 261 bis du Code pénal suisse). Si la conclusion est sans rapport avec les postulats, cela peut vouloir dire que l’un des postulats énoncés n’est pas confirmé par les faits. Le deuxième postulat n’est pas à mettre en doute, car il ressort du simple bon sens. Les services secrets alliés auraient immédiatement appris les gazages, et les dirigeants n’auraient certainement pas laissé passer cette occasion unique de dénoncer publiquement les crimes du Reich allemand. Or, rien de tout cela n’est arrivé. Entre alors en cause le premier postulat. Mais cela n’est pas possible d’y réfléchir, car tout doute est interdit à ce sujet... Pour cette raison, la conseillère fédérale Ruth Dreifuss peut sans vergogne prétendre que le Conseil fédéral d’alors «a su que les Juifs ont été détruits» 2. Et presque personne n’ose ouvertement démentir Ruth Dreifuss et mettre en balance des arguments contraires.

Au coeur de cette catastrophe nationale, qui montre la Suisse dans une dépendance ridicule et humiliante, se pose la question de savoir pourquoi, et précisément maintenant, plus d’un demi-siècle après la Deuxième guerre mondiale, notre pays se retrouve au ban des nations dites civilisées ?

Nous avons mentionné plus haut que certains Etats et autres lobbies, représentatifs des valeurs dominantes, sont une étape vers le monde unitaire du Nouvel Ordre mondial. Ce monde doit, selon Richard Coudenhove-Kalergi, fondateur de l’Union paneuropéenne, être peuplé d’une race métissée «négroïdo-eurasienne» et dirigé par les Juifs 3. Ce monde unitaire doit naturellement avoir un fondement religieux commun. Cela consiste, selon Ian Kagedan, directeur canadien du B’nai B’rith, dans la croyance en l’Holocauste 4. Il est significatif d’avoir choisi cette locution grecque qui vient du langage religieux des Mystères antiques.

Qu’en est-il de ce Nouvel Ordre mondial, proclamé officiellement à l’occasion de la guerre contre l’Irak? Un monde, un gouvernement, une race (métissée), dominés comme il se doit par le peuple «élu», un Dieu (Jahwe), une croyance, l’Holocauste, et son culte, qui consiste à ne jamais oublier...

Seuls les révisionnistes, qui ne sont finalement rien d’autre qu’un modeste club de réflexion, mais qui sont persécutés comme des réprouvés, poursuivis devant les tribunaux et pourchassés des librairies, osent encore réfléchir librement. Mais les adeptes du politiquement rampant, y compris certains patriotes, préfèrent minimiser les reproches contre la Suisse et polir avec des gants l’image rayée de l’élève modèle, alors qu’il faudrait empoigner les arguments et poser une fois pour toute les bonnes questions, en confrontant nos historiens de Cour avec la réalité historique. La Commission Bergier, officiellement mandatée par le gouvernement helvétique, n’aurait pas seulement dû examiner notre politique économique et celle des réfugiés, mais également et en première ligne la question des persécutions subies par les Juifs dans le Troisième Reich. Est-il admissible de prétendre que les Juifs refoulés à la frontière suisse ont été «envoyé à une mort certaine»? Pour cela, Bergier, ses troupes et son budget pharaonique, auraient pu se baser sur les déclarations de l’historien allemand Ulrich Herbert, de l’Université de Fribourg-en-Brisgau, qui a déclaré récemment: «Les historiens ont seulement interprété l’Holocauste; il importe maintenant de l’étudier» 5.

Mais pour l’instant, il s’agit d’un appel dans le désert. En outre, on peut craindre avec raison d’enfreindre la loi, si l’on arrive à d’autres conclusions que celles imposées par le Code pénal. Le procès contre l’historien révisionniste Jürgen Graf l’a montré de manière exemplaire. Pour les mêmes raisons, on n’ose pas éclairer bien des pans troubles de l’histoire du sionisme et passer enfin à la contre-offensive. Par l’effet d’une simple loi, un certain lobby ultraminoritaire et sa version obligée de l’histoire sont placés sous haute protection et bénéficient d’un statut spécial qui les situent au-dessus des autres citoyens de ce pays.

L’objectif du rapport Bergier était évident dès le début. Partant du principe obligé «du caractère criminel» du Troisième Reich, les agissements de la Suisse de cette période sont jugés et condamnés selon les critères actuels. La droite «patriotique» peut toujours s’indigner, l’effet sera le même qu’une tempête dans un verre d’eau. Car sur l’essentiel, tout le monde semble d’accord pour convenir que les Allemands sont à la fois coupables et responsables ad vitam aeternam. Celui qui voudrait exprimer une autre idée sera désigné à l’unanimité comme hérétique et finira dans les flammes du bûcher. Et cette réalité là, qui signe la dérive totalitaire de notre société, personne ne pourra la contester.

1- Recht und Freiheit du 2 octobre 1995

2- Le Nouveau Quotidien du 9 mai 1995

3- Richard de Coudenhove-Kalergi, Praktischer Idealismus, Wien-Leipzig, 1925, pages 22/23 et 33

4- Toronto Star du 26 novembre 1991

5- Frankfurter Rundschau du 13 février 1997


Le Contre Rapport Bergier

1.

Introduction

2.

Le nombre des réfugiés juifs refoulés et leur destin

3.

La Suisse avait-elle connaissance, en 1942, d’une extermination des Juifs ?

4.

Que savait-on à l’étranger?

5.

Le silence des historiens

 

Ce que cache le rapport Bergier - Philippe Brennenstuhl

6.

NOTES




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En Suisse: la "Judéocratie" remplacera-t-elle la démocratie?

Israël rééduque la Suisse !

Une parodie juive en Suisse!_

Une parodie juive au scanaire


La Suisse occupée !

La Suisse existe-t-elle?-

La Suisse et les "fonds juifs"


Louis Farrakhan
Benjamin Franklin
Luther


( "Les negociations de paix" au Moyen Orient! )
Enfin, maintenant nous avons trouvé un negociateur
Palestinien acceptable pour Israel. Commencons a negocier.



"Les negociations de ` paix ´" au Moyen Orient!


 





The Jewish USA´s "administration" as "judge" between...
...the Jews
and
..the Palestinians


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