No hate. No violence. Races? Only one Human race. United We Stand, Divided We Fall. Know Your enemy. Act Now! Tomorrow it will be too late.

QUAND LA VERITE N’EST PAS LIBRE, LA LIBERTE N’EST PAS VRAIE

Bulletin d’information
de l´Association Vérité et Justice, CP 355, 1618, Châtel-Saint-Denis, Suisse, Rédacteur : René-Louis Berclaz
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No 10 / septembre 2001

Révisionnisme:
le scandale judiciaire continue

On se souvient que dans l'affaire du Rapport Rudolf, jugée en première instance en septembre 1998, le président du tribunal du district de la Veveyse accorda à la LICRA, " partie civile ", le droit de plaider à l'audience. Or, si guillemets il y a, c'est que la LICRA avait renoncé avant l'audience à se constituer partie civile, tout simplement parce qu'elle avait réalisé que le code de procédure pénale fribourgeois ne l'y autorisait pas. Pourtant, Me Nordmann, en qualité de président de la LICRA, se trouvait bel et bien à l'emplacement réservé aux parties civiles en compagnie de l'avocat de la LICRA, Me Morisod. Je provoquai aussitôt un incident de procédure en demandant au président du tribunal en vertu de quel droit les deux compères se trouvaient là. Après une suspension d'audience, le président L'Homme vint expliquer, qu'en vertu du nouveau code de procédure pénale, Me Nordmann et Me Morisod étaient autorisés à plaider en qualité de parties pénales… Or, si le nouveau code de procédure pénale prévoit bien cette qualité, ce code n'entra en vigueur qu'au premier janvier 1999, raison pour laquelle le jugement rendu en première instance fut cassé par le tribunal cantonal fribourgeois. Le président L'Homme avait sciemment violé la loi pour complaire à la toute-puissante LICRA. Je fus finalement acquitté pour la diffusion du Rapport Rudolf, n'en étant pas l'auteur (mais condamné pour d'autres écrits de ma main). Or, me voilà à nouveau inculpé du délit de " discrimination raciale " pour avoir diffusé deux brochures, Le Contre-Rapport Bergier et Le Procès Amaudruz, quand bien même le Tribunal fédéral avait confirmé mon acquittement pour avoir diffusé le Rapport Rudolf, ceci conformément à l'article 27 CPS qui limite expressément la responsabilité pénale d'un écrit diffusé publiquement au seul auteur ! Mais Ubu justicier ne s'encombre plus de rien quand il s'agit de réprimer le révisionnisme. Ainsi, le professeur Faurisson, poursuivi comme auteur pour avoir contribué au Procès Amaudruz, s'est vu condamné à un mois de prison sans sursis par le juge Favre, en vertu d'une ordonnance de condamnation envoyée par courrier postal directement à son domicile en France, alors que la procédure veut qu'une condamnation ne peut être notifiée à l'étranger que par la voie diplomatique. Mieux encore : je viens de recevoir une sommation pour payer des frais de justice, pour la nouvelle affaire de diffusion des deux brochures, alors que cette affaire n'a pas encore été jugée. Là encore, la justice viole impunément le principe intangible en droit de la présomption d'innocence. Une des raisons d'être de V&J est justement d'inventorier les cas de discriminations judiciaires dont sont victimes les révisionnistes : les exemples mentionnés plus haut ne sont qu'un faible aperçu de la dérive totalitaire de notre " Etat de droit ", car V&J croule sous les dossiers que l'on nous envoie de partout, tous plus ubuesques les uns que les autres. Certes, la vocation de V&J consiste à venir en aide aux victimes de ces persécutions : mais précisons une nouvelle fois que V&J ne peut pas se substituer à un avocat et n'a pas qualité pour agir devant les tribunaux ; la tâche de V&J consiste à agir sur le plan politique et médiatique, en particulier à travers les articles de presse que nous arrivons à susciter. Ainsi, à plusieurs reprises ces derniers mois, la presse a parlé de la répression du révisionnisme, dont une fois en exposant de manière objective les arguments révisionnistes (La Gruyère du 4 août 2001). Le moment venu, V&J publiera une synthèse de tous ces dysfonctionnements judiciaires, pour dire le moins, car il serait faux de croire que la Justice n'est inéquitable qu'envers les seuls révisionnistes : chaque justiciable est concerné, et si V&J polarise l'attention des médias, c'est parce que son action est particulièrement gênante pour les mafieux qui nous gouvernent. Précision très importante, l'Association en soi, ni ses membres, ne sont concernés par les poursuites pénales en cours, car ses statuts ont été rédigés de telles sortes qu'ils excluent d'emblée toute responsabilité, pénale ou civile, des membres ou sympathisants de V&J : seul le Comité de V&J est civilement et pénalement responsable. C'est pourquoi V&J ne faisant pas l'objet d'une mesure d'interdiction, peut poursuivre ses activités en toute légalité. Le Comité remercie tous ceux qui ont manifesté, d'une manière ou d'une autre, leur soutien à V&J. Ce soutien est indispensable pour que V&J puisse continuer son combat, qui concerne en fin de compte chaque citoyen de ce pays. La volonté de criminaliser les défenseurs des libertés d'opinion et d'expression, pourtant garanties par notre Constitution fédérale, en dit long sur les méthodes de ceux qui s'appuient sur la répression pour maintenir un régime d'omerta. Or, s'exprimer sur un sujet d'intérêt public est certes un droit, mais c'est surtout un devoir, auquel V&J ne faillira pas.

 


Robert Faurisson:
La chasse aux révisionnistes

Aujourd'hui même, Serge Thion passe en jugement à Paris tandis que Vincent Reynouard est convoqué à Limoges par une jugesse d'instruction. Pour moi, je reçois de Michel Favre, juge d'instruction à Fribourg (Suisse), une ordonnance pénale me signifiant une condamnation à un mois de prison ferme pour un article révisionniste. Cet article était paru dans une brochure (Le Procès Amaudruz) éditée en août 2000 par V&J. Les trois responsables de l'Association font actuellement l'objet d'une procédure judiciaire qui leur permet d'être entendus.

 

Quant à moi, je n'avais été avisé d'aucune procédure contre ma personne. Le juge d'instruction ne m'avait averti ni prévenu de rien. Il ne m'a ni convoqué ni entendu. Il m'a, si

 

l'on peut dire, condamné par correspondance. D'aucuns s'étonneront du procédé. C'est ignorer que, lorsqu'il s'agit de réprimer ceux qui provoquent l'ire des organisations juives ou sionistes, il n'y a ni foi, ni loi, ni droit. Sont payés pour le savoir les personnes que ces organisations appellent selon les cas, soit " négateurs de l'Holocauste ", soit " criminels de guerre " ou " criminels contre l'humanité ", soit encore " terroristes palestiniens ". Le Talmud, Klarsfeld et Sharon dictent leur loi.

 

Notre juge fribourgeois me paraît mois Basile que les magistrats français à la Simone Rozès, à la Pierre Drai ou à la Françoise Simon qui, eux, m'avertissent, me convoquent, font semblant de m'entendre et me condamnent, quelque argument que je puisse invoquer pour ma défense. Demain, par pli RAR, j'informerai Michel Favre de ce que je ne fais pas opposition à son ordonnance ; je me tiens à la disposition du canton de Fribourg en vue de purger ma peine. Si j'avais la candeur de faire opposition et de comparaître devant un tribunal suisse, je serais traité comme l'ont été avant moi des révisionnistes suisses : d'abord, je me verrais signifier que toute défense de nature révisionniste constitue une récidive ; puis mon avocat ne pourrait user que d'arguties juridiques et plaider les circonstances atténuantes ; enfin, tout témoin sur le fond serait, sur réquisition du ministère public, immédiatement inculpé. Ma peine serait alors de douze à quinze mois de prison et les amendes et frais atteindraient des montants considérables. Quant à faire valoir ma qualité de Français, il n'y faut pas songer : les autorités françaises, pour complaire au Grand Sanhédrin, coopéreraient avec la Suisse comme je les ai vues collaborer contre moi, dans le cas Anne Frank, avec un tribunal néerlandais. Au reste, je n'ai ni le temps, ni l'argent, ni plus la santé pour ces marathons judiciaires voués à l'échec.

 

En Suisse comme en France et en bien d'autres pays du monde, les organisations juives ont obtenu par pressions continues le vote de lois spéciales qui permettent de poursuivre ceux qui ne croient pas à l'histoire casher de la seconde guerre mondiale avec son génocide des Juifs et ses chambres à gaz nazies ( à ne pas confondre avec les fours crématoires dont personne ne conteste l'existence ainsi que l'utilité dans des camps ravagés par les épidémies). En France, la loi Fabius-Gayssot du 13 juillet 1990 prévoit contre les sceptiques (le simple doute constitue un délit) une peine d'un mois à un an de prison, une amende de 2 000 à 300 000 francs et d'autres peines encore. En Suisse, une loi identique sévit depuis 1995. Bien entendu, ces lois sont impudemment qualifiées d'antiracistes par leurs auteurs et leurs exécutants.

 

Il me faut bien ici préciser pour l'information du lecteur qu'à l'instar de mes autres articles révisionnistes celui qui me vaut aujourd'hui condamnation s'inspirait de la phrase de soixante mots que j'avais prononcées en décembre 1980 à la station de radio Europe I devant Ivan Levaï : " Les prétendues chambres à gaz hitlériennes et le prétendu génocide des juifs forment un seul et même mensonges historique qui a permis une gigantesque escroquerie politico-financière, dont les principaux bénéficiaires sont l'Etat d'Israël et le sionisme international et dont les principales victimes sont le peuple allemand - MAIS NON PAS SES DIRIGEANTS - et le peuple palestinien tout entier ".

 

En son jargon, au pays des " Suisses glacieux " (Céline), notre juge dit " d'instruction " prononce que, selon lui, dans mon cas, " un pronostic favorable ne peut être posé ". Il veut dire qu'on ne peut, de ma part, attendre ni repentir, ni repentance. Que voilà un juge clairvoyant ! Il doit savoir que dix agressions physiques et un flot de condamnations judiciaires, des saisies-assignations et une récente perquisition, une interdiction professionnelle, des flots d'ignominies déversées par la presse nationale ou internationale (en particulier, par Le Monde, journal oblique) n'ont eu pour effet que de me renforcer dans ma détermination, et cela d'autant plus que, sur le plan de l'argumentation scientifique, nous en sommes toujours à la situation du 21 février 1979 où, précisément dans ce journal, une " déclaration d'historiens " revenait à dire qu'on était incapable de me répondre sur le sujet des chambres à gaz nazies.

Jusqu'en prison je poursuivrai mon Intifada révisionniste.

NB: A Lyon, les organisations juives mènent contre les universités Lyon II et Lyon III, soupçonnées de révisionnisme, une campagne si virulente que, les uns après les autres, les responsables de ces universités sont devenus des chiens couchants et offrent le spectacle de la plus déshonorante soumission. Par exemple, Jean Plantin est convoqué par le président de l'Université Lyon III à venir se présenter de nouveau devant le jury qui, il y a onze ans, lui avait décerné la mention Très Bien pour un mémoire de maîtrise sur Paul Rassinier. Les organisations juives et ceux qui les suivent exigent l'annulation de ce mémoire et de cette maîtrise. Le président n'invoque, pour agir ainsi, ni loi, ni règlement, ni disposition administrative. On n'a rien inventé de mieux au Royaume d'Absurdie.

 

Récemment, Jean-Louis Berger a été exclu de l'enseignement secondaire et Serge Thion du CNRS.

 

 

Robert Faurisson : lettre du 10 juillet 2001 à Michel Favre, juge accusateur

 

Votre lettre du 26 juin m'est parvenue ce samedi 7 juillet.

 

Vous n'aviez pas besoin de souligner que le code procédure pénale de votre canton vous autorise à me condamner, dans le secret de votre cabinet, à un mois de prison ferme. Je m'en doutais, figurez-vous !

 

Le scandale réside précisément dans le fait qu'à l'aube du XXIe siècle un canton suisse possède un code de procédure pénale qui autorise un juge improprement appelé " d'instruction " à prononcer une condamnation sans instruction préalable. J'entends le mot d'" instruction " au sens qu'on lui accorde généralement aujourd'hui dans les nations civilisées.

 

Vous avez donc eu tout loisir de condamner par correspondance un homme de septante-deux ans à un mois de prison ferme sans l'avoir vu ni entendu, sans lui avoir permis de présenter sa défense, sans même vous être d'abord assuré de son identité et sans lui avoir demandé si l'écrit que vous lui reprochez est bien de lui et a effectivement été rédigé sous la forme où celui-ci vous est parvenu. Arrivé au point de décider si la condamnation allait être assortie du sursis, vous avez doctement écrit : " Un pronostic favorable ne peut pas être posé, de telle sorte que la peine qui sera prononcée ce jour ne saurait être assortie du sursis ". Comprenez pourquoi, dans mon pli du 19 juin dernier, je vous avais dit : " Je tiendrai, si c'est possible, à voir votre visage ". Je souhaite, en effet, rencontrer face à face un maître Jacques de canton qui, tout à la fois, est un juge d'instruction, un procureur, un juge de siège et un psychologue capable de lire dans l'avenir au point de pronostiquer le comportement d'une personne qu'il n'a jamais rencontrée de sa vie.

 

Je vous fais compliment de tant de qualités. En revanche, je ne saurais vous faire compliment de la qualité de vos informations sur mon compte, de votre maniement de la langue, du peu de soin apporté à reproduire quelques mots de votre serviteur et de votre manque d'attention dans le relecture de votre propre prose. Pour ne prendre que ces exemples, je suppose que, sous votre plume, " suite romande " doit se lire " Suisse romande " et que " se rencontre " signifie " se rend compte ".

 

Vous vous êtes mal informé sur les condamnations que m'a values, en France, mon hérésie révisionniste. Je ne vais pas rectifier vos fautes, vos erreurs, ni combler vos lacunes. Notez, en tout cas, que même depuis l'institution dans mon pays, le 14 juillet 1990, de la loi Fabius-Gayssot (alias Lex Faurissonia) jamais un tribunal ne m'a condamné à une peine de prison ferme. Peut-être parce qu'en France un révisionniste a le droit d'expliquer à la barre pourquoi il est révisionniste. Et là, croyez-m'en, le révisionniste fait mouche. Il a des arguments à profusion cependant que, par l'effet d'un contraste qui manifestement frappe les juges, la partie adverse est réduite à quia et n'a pour tout recours que l'insulte. Voyez, à ce propos, la pièce jointe, datée du 21 juin 2001, où l'on constate que des historiens antirévisionnistes en sont réduits à écrire au sujet des révisionnistes : " Manipulant le mensonge à un degré extrême, ils sont difficiles à réfuter avec les arguments logiques ".

 

J'en viens au point le plus contestable de votre lettre du 26 juin. Vous ne craignez pas d'affirmer que le prévenu a le droit d'être entendu ; ce droit, précisez-vous, lui est " garanti par la possibilité qu'a celui-ci de faire opposition et d'obtenir des débats contradictoires devant le Juge de répression ". A quoi je vous ferai observer que je ne suis plus un " prévenu " mais un condamné. Mais, surtout, il n'y a place devant vos tribunaux pour de quelconques " débats contradictoires " dès lors que le prévenu est un révisionniste. En pareil cas, on bride le révisionniste et on bâillonne ses témoins et même son avocat. Si, devant un tribunal, ces derniers se risquent à invoquer pour la défense du prévenu un seul argument révisionniste, ils sont immédiatement rappelés à l'ordre par le représentant du ministère public et, s'ils insistent, ils seront poursuivis en conséquence. J'ai assisté dans votre pays à l'immonde procès au terme duquel MM. F?rster et Graf ont été respectivement condamnés à douze mois et quinze mois de prison ferme. Je parle donc d'expérience.

 

Sortons de la fumée de vos considérations théoriques et revenons à la réalité. En fait, vous m'offrez le choix entre, d'une part, une condamnation à un mois de prison ferme et le versement de 230 francs suisses pour " frais de procédure " et, d'autre part, une peine, en première instance, d'un minimum de douze à quinze mois de prison ferme sans compter d'inévitables dépenses en " frais de procédure ", en amendes, en dommages-intérêts, en frais d'avocats, d'hôtel, de transport, et cela sans utilité aucune puisque me serait dénié le droit élémentaire de pleinement me faire défendre sur le fond. Etonnez-vous que j'aie choisi la première solution !

 

Le fier Helvète, cédant à de formidables pressions internationales, a voté une loi antirévisionniste qui a pris effet en 1995. Au nom de cette loi, on peut dans son pays contester tout point de la longue préhistoire et histoire des hommes sauf un point de l'histoire ou de la prétendue histoire des années de notre ère qui vont de 1941 (ou 1942 ?) à 1944 (ou 1945 ?). Pendant des milliers d'années, l'humanité a vécu des milliards d'événements ; sur ces événements, on peut en principe, dans nos démocraties, exprimer librement les opinions les plus diverses, et cela qu'on se trouve être un historien, un scientifique ou un simple citoyen. Et puis, soudain, le holà est mis sur l'histoire d'une poignée d'années ; c'est l'embargo, le veto, le tabou. Armé de son glaive, le juge se dresse. Fouquier-Tinville vient nous dire le droit, la science et l'histoire. Et, s'il vous plaît, pour l'éternité ! Prodigieux ! Pourquoi ce seul et unique point d'histoire tout à fait contemporaine ? L'Helvète n'a pas même le droit d'en douter (voyez le procès de Gaston-Armand Amaudruz ; ce dernier, bien qu'âgé de quatre-vingts ans, s'est vu condamner, le 5 avril 2000, à douze mois de prison ferme). Ledit Helvète peut affirmer - non sans raison - que l'histoire de Guillaume Tell n'est qu'un mythe cher à un groupe de population donnée (la sienne en la circonstance !) mais il ne peut mettre en doute un certain autre mythe cher à un groupe international qui lui fait les poches. Merveilleux ! A ce prodige, à cette merveille il existe une explication d'une simplicité biblique mais, saluons l'artiste, le juge - encore lui - nous fait défendre de le dire.

 

Comme j'ai eu l'occasion de l'écrire ailleurs, Voltaire, craignant la lettre de cachet, s'était installé à Ferney afin de pouvoir, d'un pas, trouver refuge en terre genevoise. Les temps ont changé. Aujourd'hui, en Suisse, on vous laisse le choix entre la simple lettre de cachet et une parodie de procès public où l'on menace aussi bien votre avocat que vos témoins. Dans les deux cas, la prison vous attend pour le plus grave des crimes : celui d'hérésie en matière d'histoire religieuse. Je dis bien " religieuse " puisque, comme l'a admis, jusque dans la presse suisse, l'historien antirévisionniste Jacques Baynac, ceux qui croient aux chambres à gaz nazies ne disposent franchement d'aucune preuve (Le Nouveau Quotidien de Lausanne dans ses livraisons du 2 et 3 septembre 1996). Le téméraire n'a pas été poursuivi parce qu'il a eu la précaution de clamer, en dépit de tout, sa foi en l'existence de ces chambres. " Credo quia absurdum ! "

 

Bref, si je devais me retrouver effectivement à la disposition de ce que vous appelez votre " Service pénitentiaire ", organe chargé de l'exécution des peines, je ne manquerais pas de faire savoir via Internet ou par d'autres moyens, que cet emprisonnement s'est fait d'ordre de la Nouvelle Inquisition, représentée, au pays qui a brûlé Michel Servet, par le sieur Michel Favre, juge accusateur.

 


Quand le Conseil fédéral
tient ses promesses…

Les mauvaises langues prétendent que le Conseil fédéral ne tient que rarement ses promesses : c'est faux. Par son ordonnance du 27 juin 2001, le Conseil fédéral fait preuve d'une parfaite diligence et prouve le contraire. Moins d'une année et demi après avoir fait une promesse, il la tient en appliquant l'article 7 de la Convention internationale du 21 décembre 1965 sur l'élimination de toutes les formes de discrimination raciale. Selon cette ordonnance fédérale, la Confédération peut verser des subsides aux fins de soutenir des projets visant à sensibiliser l'opinion publique aux droits de l'homme ou à prévenir l'antisémitisme, le racisme et la xénophobie. Ce soutien concerne des projets relevant de l'enseignement scolaire, de la formation professionnelle des jeunes, de la formation continue des adultes, de prévention, de sensibilisation, de conseils aux victimes ou en cas de conflits. On le voit, le portillon de départ est aussi large qu'un porche de cathédrale, sans doute pour que les gros bras du prêchi-prêcha politiquement correct n'aient point à trop jouer des coudes pour se précipiter vers le saint des saints, autrement dit le butin pris au contribuable. Cette manne est ainsi redistribuée aux perroquets patentés de l'antiracisme chargés de faire l'éducation du bon peuple, autrement dit le cochon de payant. La pompe à fric reverse de 50 000 à 500 000 francs suisses par année à ceux qui présenteront des projets de lutte contre le racisme, l'antisémitisme et la xénophobie, selon des critères suffisamment élastiques pour éliminer les ingénus qui croient encore au Père Noël et favoriser les petits copains des grands voleurs. Pour en revenir aux promesses tenues du Conseil fédéral, il n'est pas inutile de se souvenir d'un article paru dans la Jüdische Rundschau du 2 décembre 1999, relatant comment le conseiller fédéral Joseph Deiss reçut ses instructions de ses deux honorables " parrains ", MM. Rolf Bloch et Sigi Feigel. A une question de Deiss, qui s'inquiétait de ce qu'il fallait encore faire pour réparer les " crimes " commis par la Suisse contre les Juifs pendant la Deuxième Guerre mondiale, Bloch, magnanime, répondit qu'il ne demandait plus d'argent, mais seulement que l'on mette sur pied des programmes éducatifs pour grands et petits afin de lutter contre le racisme, l'antisémitisme et la xénophobie…

 


Les fonds juifs en déshérence (suite)

Un article du quotidien Le Temps paru le 14 août 2001 nous apprend que les revendications de " survivants de l'Holocauste " concernant 800 millions de dollars destinés à rembourser les détenteurs de comptes ouverts auprès des banques suisses sont étonnamment peu nombreuses. Pourtant, par " survivants de l'Holocauste ", il faut comprendre, selon le droit américain, tous les Juifs ayant vécu - et pas forcément dans un " camp de la mort " - dans un pays ou un territoire administré par le Troisième Reich. C'est dire combien le croupier ratisse large, et combien nombreux devraient être les prétendants au tiroir-caisse. Pourtant, il n'en est rien, parce que, selon les explications emberlificotées du Temps, certains plaignants, âgés, n'auraient pas bien su répondre aux questionnaires compliqués des banques, ce qui va impliquer une nouvelle et coûteuse vérification de ces revendications. Sachant que les formulaires en question sont le plus souvent remplis par des avocats hyper méticuleux quand il s'agit de gros sous, Le Temps finit par admettre, du bout des lèvres, que les revendications financières sont bien moins nombreuses que prévues ; autrement dit, ce journal, dont la principale occupation consiste à beurrer des tartines pour les organisations juives, reconnaît que l'affaire des fonds juifs en déshérence a été gonflée pour les besoins de la cause.


Quand la pourriture juive
gangrène la jeunesse…

L'été est la saison de grandes manifestations de plein-air qui voient par milliers, voire centaines de milliers, des " Jeunes " envahir les centres urbains, des plus grandes métropoles européennes jusqu'aux plus modestes cités de notre pays. " Street Parade ", " Lake Parade ", " Gay Pride ", " Raves parties ", " Free parties ", tous ces rassemblements nous sont présentés comme de sympathiques " surprise-parties ", au cours desquelles de paisibles " Jeunes " communient joyeusement au son de la " musique " techno. Or, cette présentation angélique, reprise par les grands médias, est aussi fausse que possible. La plupart de ces concentrations de masse sont en fait de vastes supermarchés de la drogue où opèrent des dealers armés. Selon Libération du 2 août 2001, " le grand banditisme a pris le contrôle du marché des drogues dans les free parties ". Selon l'Office national des drogues et des toxicomanies (France), une " free party " de 30 000 personnes rapporte, en stupéfiants vendus au détail, de 4 à 5 millions de francs français en 48 heures, dont les deux-tiers en vente d'ecstasy. Or, selon Le Figaro du 11 août 2001, " l'ecstasy est la chasse gardée du milieu criminel israélien. " Même constat pour Libération du 23 juillet 2001 : " La Mafia [israélienne] a récupéré le marché des drogues de synthèse. " Fin juillet, deux narco-trafiquants israéliens étaient interpellés à New York en possession d'un million de pilules d'ecstasy. Ces 200 kilos de drogue valent au détail 40 millions de dollars. Selon le Journal of Neuroscience de mai 2001, ces drogues de synthèse (ecstasy, pilule thaïe) sont de véritables " poubelles chimiques ", dont les effets sont effrayants, car irréversibles (pertes de mémoire, trouble du comportement, du sommeil, de la concentration, lésion cérébrale chez les enfants des mères droguées). Mais que fait la police ? Suite à la politique de libéralisation des drogues dites " douces " et la distribution gratuite d'héroïne aux toxicomanes, une politique initiée par la conseillère fédérale juive Ruth Dreyfuss, la police pourra enfin se consacrer à des tâches beaucoup plus importantes, comme, par exemple, la répression du racisme, de l'antisémitisme et de la xénophobie…


La conférence de Durban

On sait que la conférence des Nations Unies sur le racisme achoppe principalement sur le diktat sioniste : aucune discussion ne sera tolérée concernant le génocide du peuple palestinien par Israël. Les sionistes et leurs alliés voudraient voir à leurs pieds une assemblée de béni-oui-oui cautionner les crimes d'Israël. Or, de nombreux pays, arabes et islamiques en particulier, auraient souhaité mettre à l'ordre du jour la question palestinienne. Le simple respect de la liberté des débats voudraient que chaque délégation puisse s'exprimer sur le sujet de son choix. Mais ces Etats sont traités par Israël et les Etats-Unis comme le sont les citoyens européens quand ils s'expriment sur certains sujets tabous : il suffit qu'un Etat pose certaines questions " politiquement incorrectes " pour qu'il se voie aussitôt mis au ban des nations et, s'il persiste, criminalisé, avec en prime des sanctions pour les plus récalcitrants.


Quelles nouvelles de Jürgen Graf ? (suite)

Le président de V&J, qui vit en exil politique, vient de convoler en justes noces. Le Comité de V&J tient à adresser ses plus chaleureuses félicitations aux jeunes mariés et à leur souhaiter tout le bonheur possible dans un pays où la liberté d'expression est encore de mise…

 



Bulletin d’information
de l´Association Vérité et Justice, CP 355, 1618, Châtel-Saint-Denis, Suisse, Rédacteur : René-Louis Berclaz
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En Suisse: la "Judéocratie" remplacera-t-elle la démocratie?

Israël rééduque la Suisse !

Une parodie juive en Suisse!_

Une parodie juive au scanaire


La Suisse occupée !

La Suisse existe-t-elle?-

La Suisse et les "fonds juifs"


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