No hate. No violence. Races? Only one Human race. United We Stand, Divided We Fall. Know Your enemy. Act Now! Tomorrow it will be too late.

QUAND LA VERITE N’EST PAS LIBRE, LA LIBERTE N’EST PAS VRAIE

Bulletin d’information
de l´Association Vérité et Justice, CP 355, 1618, Châtel-Saint-Denis, Suisse, Rédacteur : René-Louis Berclaz
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No 4 - mai 2000
Chacun constatera que le présent bulletin n'a pas le même volume que le précédent. En effet, il nous a paru plus judicieux de regrouper l'essentiel de nos informations dans nos brochures payantes, l'objectif premier du Bulletin d'information de V&J étant de vous tenir au courant de la vie de l'Association et de ses projets. D'autre part, des textes publiés tout d'abord dans le Bulletin étaient par la suite repris dans nos brochures, ce qui faisait double emploi. Par ailleurs, nous avons décidé de publier le Bulletin de l'Association également en allemand, dès le présent numéro, puisque nos brochures sont disponibles en français et en allemand, et pour répondre à l'attente de nos membres et amis de Suisse alémanique. Nous nous recommandons pour recevoir des coupures de presse et autres informations, grâce auxquelles il nous est possible de compléter notre banque de données. D'ores et déjà, nos remerciements à ceux qui l'ont fait, et à ceux qui le feront !

Le Contre-Rapport Bergier

Comme nous vous l'annoncions dans le Bulletin No 3 du mois de décembre dernier, nous avons publié dès le mois de février Le Contre-Rapport Bergier, en français et en allemand. Cette brochure de 60 pages comprend des textes de Bernhard Schaub, René-Louis Berclaz, Jürgen Graf et Philippe Brennenstuhl. Le Contre-Rapport Bergier a été présenté officiellement à l'occasion d'une conférence publique qui s'est tenue à Sion le 11 mars 2000. Relevons l'excellent accueil du restaurant Les Iles à Sion, lequel ne s'est pas laissé influencer par les articles alarmistes d'une certaine presse, laquelle voulait ainsi faire pression pour obtenir l'annulation de la salle que nous avions réservée. Cette conférence, annoncée dans la presse locale, s'est tenue à la satisfaction générale de la cinquantaine de personnes présentes, excepté pour le délateur professionnel Hans Stutz qui se vit interdire l'entrée de la salle. Grâce à la vigilance de V&J, ce dernier connut la même mésaventure au procès Amaudruz à Lausanne où il prétendait témoigner sans en avoir le droit, ayant assisté aux débats avant d'être entendu ! Le Contre-Rapport Bergier a fait l'objet d'une campagne de diffusion touchant les grands médias, les parlementaires fédéraux, ainsi qu'une trentaine d'historiens des Universités suisses. A ce jour, aucun exemplaire ne nous a été retourné et aucune critique de fond ne nous est parvenue. Seule réaction négative, la dénonciation du conseiller national écologiste Patrice Mugny, de Genève, selon une information à prendre au conditionnel publiée par Le Temps du 11 avril dernier. Alors que nous avions volontairement négligé d'envoyer Le Contre-Rapport Bergier en service de presse au principal intéressé, à savoir la Commission Bergier, cette dernière nous passa une commande spontanée de 20 exemplaires ! Autre contact, celui souhaité dans un premier temps par le Groupe de Travail Histoire vécue, un aréopage d'anciens officiers généraux, hauts fonctionnaires retraités et autres ex-grosses légumes de la Confédération. Ces caciques s'étaient investis de la noble mission de rétablir l'honneur perdu de la patrie, suite aux " révélations " du Rapport Bergier. Entre la poire et le fromage, ces Messieurs avaient eu l'excellente idée de nous inviter à participer à une réunion de travail, en vue d'élaborer dans le cadre d'un travail collectif un contre-rapport Bergier : courageux mais pas téméraires, nos ex-notables ont vite changé leur fusil d'épaule une fois qu'ils eurent pris connaissance de notre Contre-Rapport Bergier. Par retour du courrier, V&J était informée que sa présence devenait soudain indésirable… Bref, beaucoup de bruit pour rien, puisque la Suisse entière attend toujours la parution du contre-rapport Bergier de ces Messieurs…

 


Le procès Amaudruz

Autre sujet d'actualité, le procès de Gaston-Armand Amaudruz s'est tenu du 3 au 5 avril dernier devant le tribunal correctionnel du district de Lausanne. La sentence est connue, 12 mois de prison sans sursis, pour des extraits de trois articles publiés dans le Courrier du Continent, sans compter les frais et autres indemnités, pour un montant supérieur à cinquante mille francs suisses, en attendant mieux, puisqu'un recours a été déposé devant le Tribunal cantonal du canton de Vaud. L'avocat de la défense, Me Patrick Richard ayant renoncé à son mandat, il a été remplacé par Me Jean-Pierre Moser du barreau de Lausanne. Les personnes ayant assisté aux débats ont pu constater l'absence des deux principaux témoins de la défense, le professeur Robert Faurisson et Me Eric Delcroix, du barreau de Paris. Agréés dans un premier temps par le tribunal, ils ne furent finalement pas autorisés à témoigner. Dans ces conditions, les témoins des plaignants purent se permettre de dire n'importe quoi sans risque d'être contredits. De même, les quatre avocats des plaignants purent se livrer à toutes les outrances, à tel point que l'un d'eux, Me Philippe Nordmann, se fit remettre à l'ordre par le président Michel Carrard, après qu'une partie du public eut vivement manifesté sa réprobation face à des attaques dirigées au-dessous de la ceinture par cet avocat indigne de l'être. Il est absolument inadmissible qu'un accusé puisse impunément se faire insulter dans un pareil lieu, de plus par des individus qui n'ont que le mot de " dignité " à la bouche, et qui font sans cesse des sermons sur les droits de l'homme et le " devoir de mémoire ", une main sur le tiroir-caisse, l'autre sur le Code pénal, sans doute pour mieux convaincre les incrédules et les récalcitrants. C'est pourquoi nous voulons publier dans une prochaine brochure les répliques que nous aurions entendues si ce procès avait été équitable. Un tel travail consiste à confronter les 68 pages des attendus du jugement avec nos notes, et à compléter le compte rendu des débats par des commentaires appropriés. Cette brochure sera disponible en français dès la fin du mois de juin, en allemand dès la fin du mois de juillet. V&J vous invite à passer commande dès maintenant au moyen du bulletin que vous trouverez ci-joint, ceci afin que vous puissiez bénéficier du prix de souscription de dix francs. Une fois parue, cette brochure sera vendue au prix public de vingt francs.

 


L'affaire Jürgen Graf

Le Tribunal fédéral a rejeté le recours de Jürgen Graf, président de V&J, condamné à 15 mois de prison sans sursis par la justice argovienne. Par ses écrits, selon le Tribunal fédéral, Jürgen Graf nie et minimise grossièrement le génocide des Juifs pendant la Deuxième guerre mondiale : un tel comportement tombe directement sous le coup de la norme pénale antiraciste, dont l'objectif est de réprimer toute discrimination raciale. Selon la logique très particulière de cette norme pénale, le fait de se poser des questions sur la réalité d'un génocide implique automatiquement un comportement discriminatoire envers des personnes de races différentes. En allant jusqu'au bout de ce curieux raisonnement, une personne de même race que celle victime d'un génocide est-elle encore punissable ? Soyons sûr qu'Ubu justicier saura répondre de la manière qu'on lui connaît à cette intéressante question. Mieux encore, dans ses attendus, le Tribunal fédéral n'hésite pas à déclarer : " Il est prouvé que sous le régime national-socialiste plusieurs millions de juifs ont été tués, dont une partie importante par gazage. " Dans un Défi public, lancé le 28 avril dernier au Tribunal fédéral, V&J considère que la publication des preuves détenues par le Tribunal fédéral est une obligation morale vis-à-vis des personnes condamnées, et pour que l'opinion publique puisse comprendre le sens des lourdes sanctions pénales infligées pour violation de la norme pénale antiraciste. En date du 3 mai dernier, le Tribunal fédéral nous informe que, selon une pratique constante, il ne commente pas ses propres arrêts. Cette dérobade ne fait qu'éluder le problème, et cache mal l'incapacité du Tribunal fédéral à répondre franchement à la question posée. Si le Tribunal fédéral était en mesure de fournir les preuves en question, il n'aurait certes pas attendu notre défi pour les communiquer urbi et orbi afin de clore définitivement le débat. Le Tribunal fédéral démontre ainsi que l'on peut, en Suisse, être condamné sans preuves, et prouve surtout son manque de franchise, une franchise qu'a eue le juge Gray de Londres, dans l'affaire David Irving. Ce juge honnête a déclaré ce qui suit, dans l'attendu 13.71 du jugement : " Je dois reconnaître que, comme je suppose la plupart des gens, je croyais que les preuves de l'extermination de juifs dans les chambres à gaz étaient irrécusables. J'ai cependant renoncé à cette idée préconçue après examen des preuves qui m'ont été fournies par les parties dans ce procès. " La morale de cette affaire est que celui qui veut communiquer publiquement les preuves de la non-extermination des Juifs dans les chambres à gaz se retrouve en prison !

Arrêt du 22 mars 2000, 6S.719/1999

 


Les projets de V&J

Nous allons organiser au mois d'octobre prochain un événement médiatique de portée internationale. Afin d'assurer son plein succès, vous comprendrez que nous ne puissions vous en dire davantage pour le moment. L'organisation de cet événement médiatique implique un travail de préparation considérable : nous espérons pouvoir vous informer de manière plus complète à ce sujet dès le mois de septembre prochain dans notre prochain bulletin.

Association Vérité & Justice
CCP 17 - 658980 - 4

 



Bulletin d’information
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En Suisse: la "Judéocratie" remplacera-t-elle la démocratie?

Israël rééduque la Suisse !

Une parodie juive en Suisse!_

Une parodie juive au scanaire


La Suisse occupée !

La Suisse existe-t-elle?-

La Suisse et les "fonds juifs"



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