Qui est Ahmed Rami ?
Par:
Magdy Hussein
Ahmed Rami, correspondant
pour l'Europe de l'ALSHAAB, est un combattant islamiste
d'origine marocaine. Sa vie est en beaucoup de chose typique
de sa génération. Il fut accusé de
complicité lors d'un putsch raté en juillet
1971 contre Hassan II. A cette époque, Rami
était officier dans l'armée marocaine. Il fut
condamné à mort mais put s'enfuir à
l'étranger. Il fait partie des admirateurs de
l'Egypte de Nasser. Rami ne vit pas seulement en
Suède aujourd'hui cependant il est devenu citoyen
suédois. Dans sa nouvelle patrie, il a
créé la station émettrice Radio Islam.
Ahmed Rami voit dans l'Islam
le moyen d'unifier les nations arabes. Encore aujourd'hui il
continue à avoir la plus grande estime pour
l'époque de Nasser. Mais malgré toutes ses
passions pour le passé, son regard est pourtant
tourné vers l'avenir. Selon lui, l'avenir appartient
au mouvement islamique et il fait siennes les idées
du parti d'action islamique égyptien. Il travaillera
à partir d' aujourd'hui pour notre journal comme
correspondant pour l'Europe. Nous l'accueillons avec joie
dans les rangs des collaborateurs du ALSHAAB.
Ahmed Rami accomplit en
Suède un travail extraordinaire. Pratiquement seul,
il lutte là-bas contre l'infiltration sioniste. Rami
utilise sa radio émettrice Radio Islam à
partir de son logement exigu de 20 mètres
carrés (le poste est provisoirement hors d'action
pour des raisons financière). Il ne veut pas louer un
plus grand appartement car il songe à retourner au
Maroc ou dans un autre endroit de sa patrie arabe.
Sous sa plume sont
nés quatre livres volumineux en langue
suédoise qui démasquent les sionistes. Ce sont
des chrétiens suédois qui ont financé
leur impression ! En Suède, tout le monde
connaît Ahmed Rami. Ses opinions politiques sont
discutées au Parlement et jusque dans le Gouvernement
suédois ! Sans doute, les organisations juives ont
réussi à porter plainte contre lui pour cause
de ce que l'on appelle l'antisémitisme et à le
faire emprisonner durant six mois. Mais pendant sa
détention, il a organisé les émissions
de Radio Islam à partir de sa cellule !
Il quitta la prison, devenu
combattant convaincu de la résistance antisioniste.
Aujourd'hui, il poursuit son combat comme correspondant au
sein de l'ALSHAAB. Que Dieu le bénisse et le
protège ainsi que tous qui comme lui oeuvrent pour la
prospérité de notre nation !
Magdy Hussein,
( Rédacteur en chef du journal égyptien
ALSHAAB )
La domination
juive
Par: Ahmed
Rami
De l'Etre du Sionisme
Le sujet qui est traité dans ce livre est tabou en
Suède, comme aussi dans d'autres pays occidentaux :
le sionisme, la juiverie et l'état juif d'Israël
avec sa fausse démocratie. A cet ensemble de tabous,
les média n'osent pas toucher et il n'existe aucun
débat public sur ce sujet. Ceci découle des
faits suivants que chacun de nous connaît bien.
Nous pouvons critiquer et condamner l'enseignement
chrétien, le capitalisme et le marxisme selon notre
bon plaisir. Nous pouvons mettre au pilori l'ordre social de
l'URSS, des USA et de l'Afrique du Sud. Nous pouvons faire
un battage médiatique sur l'anarchie ou la monarchie
et toute chose semblable sans risquer davantage qu'une
réponse par une polémique ou une
discussion.
Cependant pour notre sujet, il n'existe aucune
liberté de pensée : si on analyse les
fondements du sionisme et qu'on remet en question son
idéologie comme sa domination sur la Palestine, on
viole un tabou établi. On a fait quelque chose
d'indécent, de criminel même. On n'est plus
alors invité à des séminaires de
réflexion politique mais bien invité à
comparaître devant le tribunal de l'Etat.
En tant qu'antisioniste démocratique, on n'est pas
seulement personnellement diffamé et accablé
par des accusations insensées mais on encourt le
danger d'entrer en conflit avec la justice et d'être
traîné devant le Cadi comme un malfaiteur. En
outre on est traité de fou et de menteur.
La critique légalement admise dans chaque
démocratie pour un adversaire politique devient ici
quelque chose d'infamant, de méchant et pratiquement,
de criminel. Paradoxalement, on est accusé de trahir
la démocratie, on s'est dressé contre cette
démocratie qu'on veut cependant exercer en paroles et
en actes.
Le sionisme est en fait un phénomène
anti-démocratique autant dans sa théorie que
dans sa pratique : il est extrêmement chauvin, raciste
et exerce une pure violence contre un autre peuple, ainsi il
occupe la Palestine au nom de la sécurité du
peuple juif et oppresse la population qui y est depuis
longtemps établie.
L'auteur de ce livre peut dire un brin à ce sujet
vu sa propre expérience sur ce qui arrive à un
critique de la puissance sioniste. Il a été
poursuivi en justice pour "incitation à la haine
raciale" et il se trouve en but à des diffamations
continuelles. Dans la presse, on le désigne comme "un antisémite enragé", comme fidèle
adepte des bourreaux antisémites nazis et par tous
les noms les plus aimables qui soient !
Le fait que quiconque examine d'un oeil critique
l'idéologie humanitaire raciste des sionistes et
l'état d'occupation d'Israël, veut "exterminer
les Juifs", est devenu un refrain de la propagande
monstrueuse sioniste qui revient constamment, un mensonge
qui est gobé par la plupart des journalistes et
auteurs.
On se croit revenu plusieurs siècles en
arrière à l'époque des croisades ou des
grandes guerres de religion lorsque, non seulement des
personnes innombrables, mais aussi des peuples entiers
étaient emplis de fanatisme religieux et voyaient
dans chaque "incroyant", "hérétique" ou "papiste", une incarnation de Satan qu'il fallait exterminer
sans pitié soit en le convertissant par la torture
à la "vraie foi" soit en lui coupant simplement la
tête.
Comment tout cela est-il possible à notre
époque qualifiée cependant si volontiers de
siècle des lumières, dans laquelle la raison
est reine et qui place la science si haut dans
l'échelle des valeurs qu'on est sûr qu'elle
pourra résoudre tous les problèmes et tous les
conflits !
Pourquoi justement un état
déterminé, en l'occurrence l'Etat juif
d'Israël avec l' idéologie qui le sous-tend, le
sionisme qui est sanctifié par l'Ancien Testament
(dont les fondements sont la reconnaissance du Peuple
élu et l'espoir de la Terre promise), est-il devenu
sacro-saint et exclu de toute critique ? En vertu de quoi
Israël et le sionisme (un mouvement d'occupation)
sont-ils intouchables comme une vache sacrée ?
En vérité une telle mise au point ne
doit-elle pas s'allier à une vision politique claire,
nécessaire pour trouver des solutions constructives
au conflit palestinien ? Et comment tout ceci s'accorde-t-il
en particulier, avec la liberté de pensée
démocratique et avec le principe de la dignité
humaine qu'on estime tellement comme contrepoids aux
conceptions totalitaires et au plat conformisme intellectuel
?
Ce sont ces questions difficiles qui sont traitées
dans ce livre. Je remercie très cordialement tous les
amis qui m'ont aidé à rassembler des faits de
même qu'à les exprimer correctement. Sans leurs
conseils éclairés et leur soutien, ce livre
n'aurait pas vu le jour. Ma gratitude va aussi à ceux
qui ont accepté de se mettre à ma disposition
pour des interviews avec Radio Islam et qui ont
contribué ainsi à un débat
constructif.
****
Dans un compte rendu publié par l'Internationale
socialiste au sujet de l'anti-sémitisme en URSS on
trouve un article d'un journal soviétique, dans
lequel on peut lire ce qui suit :
"Le sionisme constitue un empire invisible, mais fort et
puissant de gens de la finance et de l'industrie, un empire
qu'on ne peut montrer sur aucune carte mais qui existe bel
et bien et qui opère à travers le camp
capitaliste. Des sionistes - les juifs des USA -
possèdent à eux seuls 80% des organismes
d'information locaux et internationaux."
A peu près au même moment, Sigbert Axelson
écrivait dans le cahier du Forum Chrétien
:
"Les sionistes gouvernent les médias de tout le
monde occidental et ils possèdent une
hégémonie assurée dans ce domaine. Ils
travaillent avec acharnement à empêcher que le
large public soit informé objectivement et ils y
arrivent habituellement."
Dans un livre récemment paru de l'ancien
correspondant Nahost du quotidien Nyheter Ake Ringberg, qui
porte comme titre "Du sang à Beyrouth", l'auteur
écrit au sujet de la minorité juive des USA :
"Le pouvoir installé des juifs est une menace pour
la liberté de pensée et la libre circulation
des informations et cette menace s'exprime par des
assassinats, des menaces de morts, des incendies
provoqués, des diffamations, l'interdiction de
réunions, etc."
Radio Islam a dénoncé ce fait par ces mots
: La propagande sioniste a pris sous son contrôle les
médias les plus importants. Ceci stipule des mesures
soigneusement orchestrées :
"Les sionistes tiennent entre leurs mains presque toutes
les industries cinématographiques américaines,
la télévision, la presse ainsi que les
éditions de livres, et toutes leurs productions sont
répandues dans le monde entier. En Suède
aussi, les sionistes ont placé leurs disciples dans
le but d'acquérir des positions stratégiques
sûres au sein de la police de la pensée."
***
Mais nous devons savoir que la force d'Israël
réside dans notre faiblesse. Les régimes
politiques qui règnent dans nos pays peuvent
être comparés à des organismes morts,
nos gouvernants sont politiquement finis.
Et, au lieu d'abdiquer dans l'honneur, ils se cramponnent
au pouvoir et tentent d'entraîner malgré eux
leurs peuples dans l'abîme.
Tout d'abord, il nous faut vaincre le despotisme, la
décadence et la corruption dans nos coeurs et dans
nos peuples !
Au lieu de baisser les bras, nous devons travailler
sérieusement pour créer des conditions
économiques, politiques, militaires et sociales
nécessaires à la victoire de la Justice !
L'avenir appartient aux forces de l'Islam. Le Hezbollah,
le Hamas, la Djihad sont autant de réponses de
l'Islam au défi sioniste.
L'Islam a commencé au 6e siècle en tant que
mouvement culturel et spirituel contre les super puissances
de l'époque.
La force militaire de l'Islam s'est accrue en proportion
de sa force spirituelle.
Aujourd'hui, capituler devant l'arrogance juive n'est pas
une solution. C'est trahir les générations
futures.
Même si nous ne pouvons pas aujourd'hui
créer les conditions de la victoire, ne soyons pas
cependant nous-mêmes les instruments de notre
défaite. Le pire que nous puissions faire est de
capituler sans résistance.
Chaque "solution" extorquée par la violence,
chaque "paix" (capitulation !) seront rejetées par
les futures générations.
La seule solution à la question palestinienne
réside dans le retour du peuple palestinien dans sa
patrie.
****
Le sionisme consiste donc en un empire invisible mais
gigantesque et puissant de gens de la finance et de
l'industrie, un empire qu'on ne trouve sur aucune carte du
monde mais qui n'en existe pas moins et qui opère
partout dans les camps capitalistes. Des sionistes, les
Juifs des Etats-Unis, possèdent 80% des organismes
d'information locaux et internationaux.
Ce livre est une critique de notre pensée
politique habituelle. La réalité qui se cache
derrière la façade "démocratique"
est-elle autre chose que la conception du monde
inculquée à travers les mass média ?
D'après l'auteur, nous vivons déjà sous
la dictature camouflée de véritables
multimilliardaires sionistes, bien réels, qui par
leur contrôle sur l'industrie de la pensée
exercent un pouvoir terrible et conspirent à mettre
l'humanité en esclavage dans un "Nouvel Ordre
Mondial" totalitaire. Le système politique tout
entier des Etats-Unis, par exemple, se trouve
déjà sous l'autorité des sionistes et
ce pays peut être considéré comme rien
de plus qu'une colonie d'Israël ! Comme jeune officier
des Panzers au Maroc, Ahmed Rami, au début des
années 70, prit part à deux essais de
renversement de la dictature royaliste corrompue et il dut
fuir à l'étranger. Il est aujourd'hui citoyen
suédois et il poursuit son combat consciencieux et
déterminé comme militant islamiste pour
libérer l'humanité et instaurer la justice
sociale.
LE GENOCIDE
PALESTINIEN
Le "débat" passionné, voire virulent sur le
conflit palestinien continue de plus belle.
Pourtant un observateur attentif constatera qu'il s'agit
là d'un débat étrange, voire
fantômatique, conduit par les amis d'Israël et
qui porte en majorité sur la crise interne
d'Israël. Ceux là se demandent comment
Israël pourra résoudre au mieux ses
problèmes intérieurs pour pouvoir survivre en
tant qu'état juif.
Les Palestiniens dont les immigrations sionistes venues
de tous les coins du globe ont volé la patrie et qui
voient s'installer partout la plus grave des usurpations, ne
jouent pratiquement aucun rôle dans les débats
médiatiques. Ils constituent une masse impersonnelle,
sans visage : des jeunes gens, et parfois même des
femmes d'âge moyen qui jettent des pierres ; l'un ou
l'autre vieillard mélancolique qui parle de sa petite
ferme, des légumes et des oliviers que sa famille et
lui-même possédaient autrefois, mais qu'ils ont
perdus depuis longtemps parce qu'ils doivent habiter, comme
des étrangers, dans un des camps de
réfugiés abandonnés par la
Providence.
Lors des émissions télévisées
ou autres comptes-rendus médiatiques, on ne rencontre
parmi les Palestiniens aucune forte personnalité, au
caractère ardent, à l'exception de Yasser
Arafat, présenté comme le Chef des
Palestiniens, qui joue, hélas, un rôle de dupe, qui passe la majorité de son temps à voyager,
qui doit fournir son lot de déclarations, et qui
semble vivre dans un monde abstrait coupé de la
réalité.
Les Palestiniens forment un peuple de 5 millions de
personnes, comprenant beaucoup de diplômés
universitaires, des gens compétents, hautement
qualifiés, des écrivains et des publicistes
parmi lesquels on trouve des personnalités riches et
passionnées pour la cause de leur peuple. Dans les
médias suédoises, ils deviennent une masse
anonyme.
Quel contraste étrange avec les juifs
d'Israël et des autres pays ! Ceux-ci sont
présentés comme formant un peuple qui a
souffert d'une manière indicible au cours de son
histoire sans qu'il y ait eu faute de sa part et qui a subi
toutes les persécutions imaginables ! En plus, ils
sont présentés comme doués d'une
façon singulière, souvent comme des
génies, en quelque sorte comme les joyaux du genre
humain ! Cette image des juifs est tout à fait
conforme à la représentation d'un Peuple
élu par son Dieu.
Ce que les écrivains israélites
éprouvent et pensent possède toujours une
importance exceptionnelle. On accorde la plus grande
attention à tout ce qu'ils disent de leurs
souffrances psychologiques et sur l'âme d'Israël
car l'âme d'Israël n'est-elle pas enfin de compte
l'âme de toute l'humanité ?
Personne par contre ne s'intéresse aux auteurs
palestiniens.
On peut en déduire ceci : le peuple palestinien
est condamné à mort. Car un génocide ne
consiste pas seulement en la destruction physique des
membres d'un peuple déterminé car celui-ci
peut continuer à vivre, tant qu'une partie de lui
survit, tant que survivent son âme, ses traditions,
son acquis spirituel. Les juifs se plaignent sans
arrêt d'avoir subi un "Holocauste".
Ceci est d'ailleurs sujet à caution dans tous les
sens du terme. La plus grosse majorité de la juiverie
mondiale a trouvé refuge durant la deuxième
guerre mondiale en Amérique, dans le Comonwealth, en
Union Soviétique, derrière le front, et n'a
pu de ce fait être victime d'un "Holocauste".
Même une grande partie des juifs résidant dans
les territoires allemands a survécu à la
guerre. Et parmi ceux-ci des centaines de milliers de
détenus des fameux camps.
Nahum Goldmann, président
durant de nombreuses années du Congrès juif
mondial, a écrit dans son livre "Le paradoxe Juif"
éd. européennes, 1978, p.263, qu'il y avait,
après la guerre, 600 000 anciens détenus
encore en vie. Comment tout cela se concilie-t-il avec la
thèse que les Allemands auraient planifié la
destruction totale des juifs?.
Mais surtout : le patrimoine culturel juif et les
traditions juives n'ont pas seulement survécu, elles
se sont même renforcées après la guerre
et elles exercent une influence prédominante surtout
aux E.U et naturellement en Palestine, territoire
volé par les sionistes aux Palestiniens.
Certes, les juifs ont subi des contraintes dures et
contraignantes sous le pouvoir national-socialiste mais ils
n'ont subi en aucune manière un génocide. Par
contre, et là se révèle la tragique
ironie du destin, ce sont eux qui par leur idéologie
meurtrière perpètrent le génocide des
Palestiniens. Et ceci pas seulement parce qu'ils les
chassent de leur pays mais aussi parce qu'ils humilient les
ressortissants du peuple palestinien qui sont restés,
de toutes les façons imaginables.
L'Etat d'Israël et tous ses propagandistes dans le
monde occidental, y compris en Suède, se rendent
coupables envers les Palestiniens d'un génocide
sournois, mais réel parce qu'ils anéantissent
leur âme. Ils réduisent les Palestiniens, par
leur propagande médiatique à une masse
impersonnelle au sein de laquelle il est impossible de
discerner l'âme d'individualités fortes et
puissantes, représentatives de leur peuple.
A bon droit, beaucoup se sont soulevés contre la
prétention fallacieuse d'Israël de vouloir
récupérer les territoires que les Palestiniens
ont occupés durant un ¼ de siècle en
Jordanie occidentale et dans la bande de Gaza. Une
indignation plus vive encore se manifeste à
l'encontre des interventions brutales de l'armée
israélienne contre la population civile sans
défense qui souffre les pires exactions : beaucoup de
Palestiniens ont été assassinés de sang
froid et vraisemblablement des dizaines de milliers ont
été ou blessés ou estropiés. Des
femmes enceintes ont été maltraitées si
durement qu'elles ont avorté. A cela s'ajoute le fait
que les Palestiniens qui vivent sous l'occupation
israélienne, sont obligés de vivre d'une
façon permanente dans la crainte et la peur. Ce qui
entraîne inévitablement un regain de haine
envers Israël et les juifs. Comprendre cela nous est
difficile car nous n'en avons connaissance qu'indirectement
et que nous ne le vivons pas nous-mêmes.
Les exactions inhumaines d'Israël contre la
population civile palestinienne ont été mises
en évidence par des documents
télévisés et elles sont si brutales que
l'on ressent une très grande émotion en les
regardant et que l'on regrette profondément de ne pas
pouvoir s'y opposer. Mais peu de personnes se rendent compte
de la campagne de destruction culturelle plus néfaste
encore, que mènent les sionistes. En Occident, de
même qu'en Suède, les médias tuent en
quelque sorte l'âme palestinienne qui est,
consciemment ou non, l'essence de la personnalité de
ce peuple. Elles les présentent comme une masse
stupide envers laquelle on ne peut éprouver qu'une
émotion passagère, mais à laquelle
personne ne peut s'identifier. Enlever à un homme sa
personnalité, son âme, c'est le tuer. Priver
tout un peuple d'un défenseur fort et vivant, c'est
lui voler son âme et ainsi le réduire à
néant.
Rappelons-nous pourtant celle que les médias
occidentaux appelaient : "Mère Courage". Golda Meir
a dit un jour "Il n'y a pas de Palestiniens". Une telle
négation de l'existence d'un peuple auquel Golda Meir
et consorts ont volé son pays, constitue un
génocide au sens spirituel du terme. Un peuple
accapare les terres d'un autre peuple et affirme ensuite que
cet autre peuple n'a jamais existé ! Derrière
cela se cache l'intention évidente de faire le
raisonnement suivant : puisqu'il n'existe pas de
Palestiniens, les sionistes ne pouvaient pas leur prendre
leur pays, ils n'ont pas pu expulser en 1948, 750 000
Palestiniens et ils ne peuvent pas opprimer ceux qui sont
restés !. Il n'y a pas de Palestiniens : ce sont de
purs fantômes, non des êtres humains qui
embarrassent le Peuple élu, dans le pays du Peuple
élu, en Palestine où les sionistes ont
érigé leur état d'Israël
Israël signifie d'ailleurs : le peuple qui lutte
pour moi, son Dieu. On peut le vérifier dans la
Torah, au premier livre de Moïse, chapitre 32, versets
24 à 28.
Réfléchissons à nouveau à
cette chose incroyable : l'ancienne premier ministre, Golda
Meir pour qui il n'existe aucun peuple palestinien, fut
adulée au delà de toutes mesures dans le monde
occidental et pas seulement ici en Suède.
N'était-elle pas l'incarnation même de la
figure type de la Mère juive, une combattante
indomptable pour Israël et les juifs du monde entier
?
La regrettée Golda Meir, la joyeuse et
espiègle Golda Meir, la courageuse combattante pour
la justice sociale qui naquit en Russie, qui échangea
son nom pour celui de Golda Meir aux USA, qui a avidement
saisi l'idée sioniste sublime d'un Etat juif, qui a
travaillé avec zèle dans un kibboutz et qui si
désintéressée, rejoignit le mouvement
des Travailleurs israéliens !
A la télévision américaine, un film
fut tourné sur la vie de Golda Meir, un film
émouvant, en plusieurs épisodes. Un film dans
lequel Ingrid Bergman avait le rôle principal. Lors
d'une interview, Ingrid Bergman exprima toute
l'émotion et toute la gratitude qu'elle
éprouvait à avoir pu jouer le rôle de
Golda Meir !
C'est ainsi qu'agit la propagande sioniste : elle exalte
les juifs en les présentant comme des gens
chaleureux, luttant avec honneur, tandis que les
Palestiniens comme tous les Arabes d'ailleurs - ne sont ni
grands, ni bons, ni nobles ! Ils ne sont, comme nous
l'avons déjà mentionné, qu'une masse
anonyme, ou bien on nous les dépeint comme des
politiciens cruels, intrigants, constamment en train de se
quereller, à la peau sombre et au caractère
douteux.
Sinon, ils sont des émirs du pétrole, des
princes roulant dans de somptueuses Cadillac de luxe et
à l'arrière plan, avec un harem qu'on ne peut
montrer concrètement, des gens richissimes, mais des
types avec lesquels il ne fait pas bon frayer !
Des personnalités palestiniennes ? Existe-t-il
seulement quelque chose de semblable ? Dans les
médias occidentales, vecteurs de la propagande
sioniste, les Palestiniens représentent une partie du
monde arabe qui nous est présenté comme une
meute sauvage ou comme un rassemblement de vieillards priant
dans une quelconque mosquée sombre.
A travers ces images médiatiques, on ne peut
reconnaître les Palestiniens tels qu'ils sont : un
peuple indépendant, et encore moins un peuple grand
et tragique. Et c'est justement ce qu'a pour but ce
génocide planifié par les sionistes envers les
Palestiniens.
LE SIONISME EN THEORIE
ET EN PRATIQUE
L'Etat d'Israël est basé sur une doctrine,
une idéologie que l'on nomme sionisme. Sans le
sionisme, pas d'Israël ! Les juifs ne sont pas
installés depuis longtemps en Palestine. L'Etat
d'Israël qui a vu le jour en 1948, se situe en
territoire arabe là où des Palestiniens vivent
depuis des temps immémoriaux.
En l'année 1917, les juifs ne
représentaient que 4 % de la population du pays. Par
la force des armes et le terrorisme, quelques 750 000
Palestiniens furent expulsés, ce qui
représente la moitié de l'ancien peuple
palestinien. A leur place vinrent s'installer des
immigrants juifs, venus en majorité d'Europe.
Cette immigration avait fortement
débuté avant la création de l'Etat
d'Israël et elle continua ensuite de plus belle. A
partir de ce moment, les Palestiniens restés au pays
ont été systématiquement
dépouillés de leurs droits et ont
été opprimés sans scrupules par les
occupants israéliens. Aujourd'hui, il existe environ
5 millions de Palestiniens dont 2,5 millions vivent sous
occupation étrangère et 2,5 millions en
exil.
L'Etat d'Israël fut reconnu par l'ONU sans tenir
compte de l'avis des Palestiniens et en méprisant
toutes les protestations qui se firent entendre du
côté arabe. Pourtant, l'ONU ne possédait
en aucune manière le droit de donner à un
autre peuple, un pays ou une partie de pays possédant
déjà une population. De toute
évidence, l'ONU a outre passé ses
compétences lorsque ses états membres, sous la
pression américaine, reconnurent l'Etat juif
d'Israël par un scrutin (se terminant d'ailleurs par un
score très serré). Plus tard, les Nations
Unies dénonceraient d'ailleurs le sionisme comme une
forme de racisme !
Cet Israël reconnu par l'ONU,
état basé sur le plan de répartition de
1947, englobait 57 % du territoire palestinien. La partie
restante fut laissée aux Palestiniens. Cependant,
plus tard, Israël accapara le territoire entier
palestinien lors d'une guerre menée contre les
états arabes voisins. Israël a de plus
annexé la Jérusalem orientale et les hauteurs
du Golan après la Guerre des 6 Jours lors de laquelle
il s'empara aussi de la Bande de Gaza et de la
Cisjordanie.
Ces territoires furent soumis à l'administration
militaire israélienne et près d'une centaine
de milliers de colons juifs ont créé là
leurs propres implantations. Le plan d'Israël est
d'annexer progressivement ces territoires. C'est pourquoi
les colonies d'implantation se multiplient de plus en plus
et de toutes les manières possibles, les Palestiniens
sont expulsés de leur pays comme on avait
déjà procédé auparavant lors de
la création de l'état d'Israël.
L'état juif a non seulement volé leur pays
aux Palestiniens au moyen d'une politique d'expropriation
sans scrupules mais de plus, il méprise l'opinion
mondiale et n'accorde aucune valeur à la condamnation
par l'ONU et les organisations internationales. En moins
d'un demi-siècle d'existence, Israël a
mené 5 guerres, a bombardé sans interruption
des camps de réfugiés, a tué 100.000
Palestiniens chrétiens et musulmans et a
humilié un milliard de musulmans.
Israël est un petit état, mais il
représente un danger pour l'humanité car il
possède des armes nucléaires parfaitement
mises au point, et il dépend totalement des
milliards de dollars qu'il reçoit chaque
année, surtout des Etats Unis. Les Américains
sont concernés eux aussi puisqu'ils mettent à
la disposition de ce pays les armes les plus
sophistiquées. Comment tout cela est-il possible
?
La réponse à cette question est claire et
nette : le sionisme ! La source de la toute puissance du
sionisme, sa force, réside dans le judaïsme, la
foi juive en l'Ancien Testament.
Quelques lignes suffiront à démontrer la
justesse de cette assertion :
1. Les juifs sont le peuple choisi par leur dieu entre les
autres peuples. (2. Moïse 15 : 16-21)
2. les juifs ont reçu de leur dieu le droit
d'occuper le pays des autres peuples du Nil jusqu'à
l'Euphrate. (1. Moïse 19 : 5-6)
De ce fait, la création d'un grand état
d'Israël est légitimé par leur dieu. Ceci
explique pourquoi l'état d'Israël n'a jamais
entériné un traité concernant ses
frontières. Israël est avide de toujours plus de
conquêtes et mène dans ce but une politique
d'expansion tout à fait déterminée.
Selon Moshe Dayan, les frontières d'Israël se
trouvent là où parvient son armée !
3. Les juifs ont reçu de leur dieu le droit
d'exterminer les autres peuples qui habitent le territoire
qu'ils revendiquent ou bien de les chasser ou de les
réduire en esclavage. (5. Moïse 7 : 1-9, 16) Bien entendu ils ont aussi le droit de prendre possession
des propriétés de ces peuples dans le pays que
leur dieu leur a promis. (5. Moïse 6 : 10-19)
Conséquemment à ce droit, pour les
sionistes dont le livre saint, la Torah, a valeur de loi
(plus le Pentateuque de Moïse) les scrupules moraux les
plus infimes n'existent pas à l'égard des
autres peuples. Ceux-ci n'existent que pour les servir et
doivent se soumettre à eux. Dans le chapitre du livre
d'Isaïe, qui porte le titre de "La Royauté
future de Sion", le prophète dit :
"Les étrangers bâtiront tes murailles et
leurs rois te serviront (...) Tes portiques doivent
être toujours ouverts, n'être fermés ni
le jour ni la nuit, car la richesse des nations te sera
apportée et leurs rois te seront livrés. Si
ces nations ne veulent pas te servir, ils doivent mourir et
leurs peuples doivent être
exterminés." (Isaïe 60 : 10-12)
LE CODE MORAL DES
SIONISTES
La Bible est-elle vraiment si sacrée pour
l'état moderne d'Israël et le sionisme ?
Finalement, le sionisme n'est - il pas un courant
fondamentalement religieux s'appuyant sur la Bible et non un
mouvement politique national juif qui, né à la
fin du 19e siècle, se développa à une
époque où fleurissait le nationalisme
européen en général ?
On trouve la réponse à cette question
lorsque l'on étudie les documents du professeur
Israël Shahak dans "Le livre du terrorisme sioniste"
qui fut publié en octobre 1975 en langue
hébraïque, en Israël. Trois des chapitres
les plus importants ont été traduits en
anglais par Israël Shahak lui-même. Cet ouvrage
de 123 pages porte le titre "Begin and Co. as they really
are" ; il parut en septembre 1977, en Israël lui
aussi.
Voici quelques extraits particulièrement
instructifs :
Le rabbin Tzwi Hacohen Kook est un des rabbins les plus
importants et les plus influents en Israël et dans le
monde entier. C'est ce qu'affirme du moins le professeur
Israël Shahak un éminent défenseur des
droits de l'homme israélien. Ce que dit le rabbin
Kook a énormément d'importance dans le cercle
des officiers supérieurs israéliens. Le 31
décembre 1973, parut dans Haaretz, une des
déclarations publiques du rabbin Kook :
"Laissez-moi vous citer le début de Josué
4 ; 24 : Tous les peuples doivent reconnaître quelle est
la puissance de la main de Yahvé...Ce pays nous
appartient, absolument, totalement. C'est un héritage
sacré de nos ancêtres, de notre père
Abraham, de notre père Isaac, de notre père
Moïse".
Le rabbin faisait allusion aux extraits du livre 1. de
Moïse : 12 : 7, 13 : 5, 13 : 7, 15 :18, 17 : 18, 35 : 12,
ainsi qu'au livre 2. de Moïse 6 : 8, et 32 : 13)
Pour cette raison, il est clair une fois pour toutes,
qu'il n'existe pas ici quelque chose qui puisse être
un territoire arabe ou un pays arabe. C'est un ordre de
Yahvé donné à nos ancêtres pour
notre vie et notre sainteté." (le rabbin se
référait au psaume 102 :14 et au psaume 46
: 12.)
Il est reconnu généralement que nous
n'avons pas chassé les Arabes de leurs demeures
situées dans notre patrie qui nous appartient, dans
le pays de nos prophéties,de nos royautés et
de nos rois, de notre temple saint et du foyer de notre
influence sur toute l'humanité ; non, ce sont eux,
les Arabes, qui sont partis de leur propre volonté et
qui ont laissé leurs foyers en plan que ce soit par
crainte excessive ou par un désarroi dont ils sont
eux-mêmes responsables, par calcul politique pour
colporter ensuite des informations défigurées
sur leurs souffrances, informations dans lesquelles ils se
présentent comme de malheureux
déportés, pour s'attirer la sympathie du
monde. Nous, par contre, nous continuons d'édifier ce
pays grâce au miracle merveilleux de notre dieu."
Telles sont les paroles du rabbin Hook cité par
Shahak p.66-67
Un autre dispensateur de morale israélien, Abraham
Avidan, rabbin, qui est actuellement lieutenant et membre de
l'état-major israélien, a dit (selon le
journal israélien Haolam Hazeh du 15 mai 1974) ce qui
suit :
"Nos écritures montrent clairement, d'une
façon évidente, qu'un non - juif, un goy,
aussi évolué et civilisé qu'il soit,
n'est pas digne de confiance. On doit se tenir sur ses
gardes et reconnaître clairement que le même
non-juif qui peut être décelé d'un coup
d'oeil comme un bon non-juif, incite nos amis à la
révolte.. De même il est tout à fait
patent que ceux qui apportent leur aide à l'ennemi ou
l'encouragent se conduisent tout à fait en ennemis et
doivent être aussi tués."
(Shahak, p. 69)
Dans un autre rapport, le rabbin Avidan, dit entre autres
:
"En aucun cas, nous ne devons faire confiance à
un Arabe, même si nous avons l'impression qu'il est un
homme civilisé." (Shahak p.70)
Ailleurs le rabbin et lieutenant Avidan dit :
"La loi juive nous permet de ne pas faire la moindre
distinction entre les soldats ennemis et les civils ennemis.
Durant une guerre, c'est un devoir de tuer aussi les civils
même ceux qui semblent avoir bon coeur et se
conduisent convenablement" (enfin le rabbin cite le Talmud
où il est écrit que même les non-juifs
qui adorent Yahvé doivent être
exterminés.) (Shahak p.70)
Moshe Ben-Zion Ushpizai est depuis quelque temps le plus
célèbre des rabbins d'Israël. Dans le
journal Yediot Achronot du 20 décembre 1974, il dit
entre autres les phrases suivantes :
"Comment devons-nous vaincre totalement les terroristes
arabes, la plaie palestinienne ? Les défaitistes et
les pessimistes ne donnent pas de réponse à
cette question. L'espoir leur manque. Pourtant pour ceux qui
ont étudié la loi juive, il n'y a rien auquel
la Bible ne donne pas de réponse
La loi d'Israël s'applique tout à fait d'une
manière évidente à chaque peuple qui
habite le pays de Canaan...Ils doivent être
traités comme du bétail pour Israël. La
bible enjoint qu'Israël usurpe le pays, qu'il extermine
ses habitants, et qu'il l'occupe. Israël ne peut pas
déroger à cet ordre. Il lui est strictement
défendu de laisser le pays à des non-juifs.
Dans ce pays il n'y a pas de place pour d'autre peuple que
le peuple d'Israël." (Shahak p.76-77)
Le rabbin Moshe Ben-Zion Ushpizai dit aussi : "Si nous
voulons obéir aux ordres de notre dieu, il n'y a pas
de place pour des compromis. D'où il s'ensuit qu'il
ne peut exister en aucune façon des
négociations en vue de traités de paix avec
d'autres peuples qui habitent ce pays."
Le rabbin cite alors la Torah, c'est à dire le
livre 5 de Moïse, 7 :2-3 et 16 : "Et si le Seigneur
ton dieu les conduit vers toi pour que tu les combattes,
alors tu dois les bannir. Tu ne dois pas conclure de
traité avec eux, n'avoir aucune pitié et ne
pas conclure d'alliance avec eux ; vous ne donnerez pas vos
filles à leurs fils, et vous ne donnerez pas vos fils
à leurs filles. Tu extermineras tous les peuples que
le seigneur ton dieu te donnera. Tu ne dois pas les
épargner ni servir leurs dieux car cela te porterait
préjudice." (Shahak p. 78).
Pour être tout à fait certain d'être
compris, le pieux rabbin continue : "Si nous ne purifions
pas ce pays des peuples qui le souillent alors ils nous
contamineront. C'est cela que nous apprend la bible."
(Shahak p ;78) Enfin il ajoute encore : "Les peuples qui
empêchent la renaissance d'Israël dans ce pays
doivent être exterminés." (Shahak p.79)
Le très célèbre
général de triste réputation et
politicien Arik Sharon qui fut plusieurs fois ministre du
gouvernement israélien, disait, le 26 mai 1974, dans
une interview avec Yediot Achronot : "Tous les terroristes
arabes, partout, en Israël et à
l'étranger, doivent être mis une fois pour
toutes hors d'état de nuire. Je sais que ce projet
est en cours d'exécution : je l'ai moi-même
planifié et exécuté." (Shahak p.87)
Sharon, le bourreau de Beyrouth, très mal
perçu à cause de sa riposte au massacre commis
dans les camps de réfugiés de Shabra et
Shatila, jugé en été 1982, mais pas
condamné, affirme clairement : "Ils doivent
être tués. Tous les terroristes doivent
être tués. Sur cette question, je suis
entièrement d'accord avec le Ministre de la
Défense." (Shahak p.88)
Le Docteur Aharon Davidi académicien
israélien et général des parachutistes,
disait le 6 décembre 1974, dans le journal Ma'ariv :
"Les Arabes n'ont apporté aucun
élément de valeur à la culture mondiale. Ils n'ont jamais rien créé. Les Arabes
constituent le peuple le moins créateur du globe
terrestre. Ils vendent du pétrole brut dans lequel
ils n'ont investi aucun sou vaillant. Ils tiennent le monde
dans leurs griffes ...
Dans toutes les guerres contre les Arabes, Israël a
été vainqueur et cela sera toujours ainsi
à supposer que nous ne cédions jamais.
Capitulerions-nous, cela entraînerait la constitution
d'un état palestinien à la place d'Israël
et c'est totalement impensable." (Shahak p.93-94)
Dans les écoles de Yeshiva, où plus de 10%
de la jeunesse israélienne est instruite, se trouvent
les rabbins Kook et Avidan comme piliers de sainteté.
Là, il est prêché sans arrêt qu'
"Israël comprend tout le territoire entre le Nil et
l'Euphrate. "Dans ces mêmes écoles de Yeshiva,
la violence et la guerre sont présentées comme
des phénomènes naturels qui fortifient la vie
israélienne et juive." (Shahak p.74-75)
Le fait qu'Israël se déclare en faveur d'une
idéologie de surhommes, ce qui fut à tort
reproché au national-socialisme, ressort aussi
clairement des oeuvres de différents auteurs
sionistes. Vous voulez des exemples ?
Eh bien en voici ! L'écrivain très
apprécié, Ahad Ha'am, écrit :
"Nous reconnaissons aussi que le but de chaque existence
est de devenir un surhomme. Cela est une des
caractéristiques essentielle et éminente d'une
nation supérieure. Une telle nation possède un
droit à l'existence. Son caractère
intellectuel la rend apte à vivre et plus puissante
que les autres nations." (Sources de la Pensée Juive
Contemporaine, Jérusalem, 1970, p. 49).
Cet Ahad Ha'am, qui vécut de 1856 à
1927, (depuis 1921 en Palestine) est considéré
comme un "rabbin agnostique". En l'an 1910, il
écrivait dans une lettre à Judah Magnes : "A
mon avis, notre religion est de nature nationale, ce qui
signifie qu'elle est le produit de notre esprit national.
Refuser ce principe ne serait pas juste." (id. p. 262)
David Ben Gourion, le premier ministre israélien,
chef du parti travailliste, disait lors d'une
conférence tenue à Jérusalem pour des
rabbins orthodoxes américains : "Le système
théocratique actuel d'Israël doit être
élargi par des institutions permanentes." (The
Jewish Newsletter, 18 septembre 1961).
Shulamit Aloni, membre de la Knesseth et adversaire
acharnée d'un état israélien
basé sur une loi religieuse, disait : "En
Israël, les rabbins ont acquis de plus en plus
d'influence et ils s'en servent pour maintenir le peuple
dans l'ignorance. Autant le peuple est ignorant et
crédule, autant est plus forte la caste sacerdotale." (Interview d'Aloni avec Norman
Dacey, cité par
Dacey dans son livre "Démocratie en Israël"
p.21).
Aloni disait aussi : "Chaque juif qui a dit une parole
favorable à Jésus, risque que l'entrée
d'Israël lui soit interdite parce que le ministre de
l'intérieur a la compétence requise pour tenir
éloigné de notre pays celui qui d'une
manière ou d'une autre a blessé les sentiments
de la communauté, et cela sans que l'accusé
puisse porter plainte devant un tribunal contre cette
décision. (Yediot Achronot, 2 février 1975,
cité par Dacey, p. 39).
Le commentateur israélien bien connu, Boaz Evron
disait dans un journal très important d'Israël :
"De très nombreux politiciens importants
israéliens soutiennent l'idée que la
minorité arabe doit quitter le pays tôt ou
tard. Ben Gourion espérait que les chicaneries
continuelles à l'encontre des Arabes
israéliens deviendraient avec le temps tellement
insupportables que les Arabes feraient d'eux-mêmes
leurs valises." (Yediot Ahronot, avril 1975)
Meron Benvenisti, bourgmestre de Jérusalem,
déclarait avec un aplomb à vous couper le
souffle : "Ou bien nous restons un état juif et de
ce fait un état non démocratique, soit nous
deviendrons un état démocratique et de ce fait
non-juif. Si nous voulons garder notre caractère
juif, qu'adviendra-t-il de la partie de la population arabe
qui compose la moitié de notre population?
Il ressort qu'il n'y a pas de sionisme, pas d'occupation
juive et aucun état juif sans le retrait des Arabes
et la confiscation de leurs terres"
QU'EST-CE QUE LE
SIONISME ?
Une mafia qui empêche la liberté de
pensée démocratique par des moyens coercitifs
! Toutes les idéologies peuvent être
critiquées ouvertement, être mises en question,
et soumises à l'analyse. Mais il y a une exception
: le sionisme.
Chaque critique consciencieux du sionisme est
considéré comme "antisémite", comme
ayant de la haine envers les juifs, un mépris pour
les juifs en tant que peuple. Dans ces conditions, la
liberté de pensée n'existe pas en ce qui
concerne le sionisme.
La thèse principale de la propagande sioniste
consiste en ceci : Israël est sacro-saint, il est une
vache sacrée dont toute critique quelle qu'elle soit
est malvenue. Et puisque Israël est un état
sioniste, on est tenu suivant une logique imparable, de ne
pas critiquer le sionisme. Ce simple argument est d'une
valeur redoutable dans les débats publics ce qui
arrange bien Israël et sa propagande mais constitue une
atteinte à la liberté de pensée.
Les sionistes et leurs partisans qui sont souvent
dénués de sens critique et dépourvus
d'une connaissance élémentaire ont compris
depuis longtemps que si le sionisme était remis en
question et pouvait être analysé d'une
façon critique, l'existence légale
d'Israël elle-même vacillerait sur ses bases et
que la sympathie éprouvée envers les
Palestiniens expulsés ou opprimés
s'accroîtrait d'autant. Ce ne serait alors plus qu'une
question de temps pour voir Israël isolé et la
catastrophe pour les sionistes serait complète.
Tout le monde sait que, sans l'aide de l'Occident et
particulièrement des USA, Israël, devrait
déposer, en moins d'un an, son bilan., ce serait la
banqueroute et il ne pourrait plus exister en tant
qu'état muni d'une machine de guerre
démesurée
Une telle éventualité doit être
écartée à tout prix du point de vue
sioniste., cela va de soi. Et ceci explique
l'intensité et la force de frappe de la propagande
sioniste qui utilise des moyens de pression énormes
par le biais des différents lobbies juifs.
Israël ne doit en aucun cas être boycotté
comme l'Afrique du Sud !
Un procédé malhonnête utilisé
depuis longtemps par les sionistes est l'identification de
l'anti-sionisme avec l'antisémitisme et le nazisme.
En réalité, il s'agit d'une inversion des
faits : comme les juifs auraient été (ce qui
n'est pas le cas) opprimés sous le troisième
Reich, ainsi les Palestiniens sont réellement
opprimés aujourd'hui. Le sionisme est une
espèce de reflet de l ' anti-sémitisme ; les
juifs jouent ici le rôle des seigneurs de la race
supérieure et les Palestiniens celui de la nation qui
est bafouée sur son propre sol.
Qu'est donc ce sionisme qu'il n'est pas permis de
critiquer à cause de l'intimidation de la propagande
médiatique ?
1. Le sionisme n'est en aucune façon un
nationalisme local, limité aux frontières de
l'état sioniste d'Israël. Si c'était le
cas, la création d'Israël n'aurait pas pu avoir
lieu et dans l'affirmative il n'aurait pu en aucune
façon durer longtemps. Non, le sionisme est une
idéologie d'extension mondiale, un mouvement
politique puisque les sionistes exigent la loyauté de
tous les juifs du monde à l'égard de
l'état d'Israël.
Ceci est répété inlassablement aux
juifs de tous les pays par des moyens tels que des
congrès mondiaux, diverses rencontres, qui,
d'année en année, sont tenus une fois dans tel
pays une fois dans tel autre. Le tragique, si l'on peut
dire, de cette situation pour beaucoup de juifs,
réside dans le fait que le sionisme les
considère comme une cinquième colonne et cloue
au pilori les juifs anti-sionistes comme étant des
traîtres à la cause nationale
2. Le sionisme est colonisateur et impérialiste. Il
est colonisateur parce que l'état d'Israël est
une création de juifs vivant à
l'étranger qui a été entreprise de
telle manière qu'un groupe de population, en
l'occurence les Palestiniens qui y habitaient depuis
toujours a été chassé de son pays par
la force brutale ou s'ils sont restés, ont
été réduits à la situation de
citoyens de seconde zone.Il est impérialiste aussi
parce que Israël est en fait suspendu aux basques des
sionistes du monde entier et spécialement de ceux des
USA.
3. Le sionisme est une politique d'arrogance et de
répression parce que l'Israël sioniste viole
impunément toutes les résolutions de l'ONU et
les principes de cet ONU qui pourraient entraver ses
agissements. De plus Israël peut miser sur l'aide du
lobby juif qui le fait soutenir par les Etats Unis qui
possèdent un droit de veto au Conseil de
Sécurité des Nations Unies. Il existe des tas
de documents prouvant la puissance politique des sionistes
aux USA.
4. Les médias occidentaux se trouvent sous la
puissante influence sioniste. C'est le cas surtout pour les
films, la télévision et autres branches de
loisirs américaines dont les productions inondent le
monde entier. Pour Israël, ceci est d'une importance
inestimable car il est toujours représenté par
des images le décrivant comme un pays menacé
par ses affreux voisins, constamment visé par les
perfides terroristes palestiniens, lui, le petit
Israël, héroïque, qui mène une
guerre en dentelles contre toutes les canailles arabes
usurpatrices !
5. Un autre brandon allumé sans arrêt par la
propagande sioniste est le présentation continuelle
des anti-sionistes comme de fous avides de sang, une horde
de "juivivores" aux dents acérées, qui n'ont
rien d'autre dans la tête que d'enfourner le plus
possible de juifs dans des chambres à gaz. Avec
cette histoire-là, les propagandistes charlatans
sionistes ont atteint leur but le plus important, celui de
placer le sionisme sous une protection naturelle et de le
soustraire ainsi à tout examen critique, ce qui fait
que chaque anti-sioniste est traité d'idiot, de
débile mental, dogmatique ou simplement d'
antisémite haineux enragé. Tout à fait
à l'opposé, les sionistes se posent en quelque
sorte comme les fleurons de l'humanité, sans parler
de leur intelligence supérieure, comme des esprits
remplis de tolérance et des modèles
éclairés de l'humanité.
6. Le sionisme est une idéologie et une politique
et non une communauté nationale. Aussi, une critique
à son encontre, si forte soit elle, ne peut en aucune
façon être considérée comme une
expression de haine envers une communauté de
peuple.
Or logiquement, le sionisme est raciste puisque en son
nom la Palestine est occupée par lui et est
affublée du nom d'Israël, afin que s'accomplisse
la promesse que Yahvé a faite à son peuple
suivant l'Ancien Testament. N'a-t-il pas donné
à son peuple l'ordre de chasser ou d'exterminer les
occupants de ce pays qui porte le nom de Canaan ?
Dans ses effets concrets, le sionisme a une ressemblance
frappante avec la politique d'apartheid puisque les juifs,
sont privilégiés en Israël de même
que dans les territoires qu'ils occupent et qu'ils privent
les Palestiniens de leurs droits en les contestant.
7. Le sionisme est une espèce de mafia ou de
franc-maçonnerie militante et conspiratrice puisqu'il
tente d'organiser la population juive partout dans le monde
au service d'une puissance étrangère. Ces
activités sont exercées en coulisse et ne font
jamais l'objet de discussions publiques. Les critiques
à ce sujet sont interdites par les sionistes et elles
sont réfutées avec le vocable liberticide
habituel d'antisémitisme.
Pour nous, Musulmans - et nous comptons en Suède
plus de 75 000 âmes, plus de 4 fois la
communauté juive si on peut se fier aux chiffres
officiels, - le sionisme est un adversaire, une provocation
à laquelle nous voulons nous opposer pour en
triompher, non par la violence, mais par une information
constante, toujours plus vaste et un appel à la
raison.
Il serait peut-être bon que les sionistes aussi
soient mieux informés, qu'ils puissent faire un peu
d'autocritique et se laisser guider par la raison pour
abandonner la forme stérile et désuète
du sionisme que l'historien britannique, Arnold Toynbee a
qualifié de fossile dans le monde des idées et
de la politique actuel.
"Israël ne peut avoir aucun égard envers
l'opinion du monde lorsqu'il s'agit de l'occupation juive
sur un ancien pays biblique". Ariel Sharon, ministre de
l'agriculture, 1977.
ISRAEL : UN MENSONGE
!
Les juifs affirment que la Palestine serait le pays que
Yahvé aurait promis à Abraham. Ils affirment
en outre qu'ils auraient été conduits
là après leur captivité en Egypte et
qu'ils y auraient créé leur royaume. David et
Salomon auraient régné à
Jérusalem et Salomon y aurait bâti son
temple.
Or, d'une manière étrange, les
archéologues n'ont pas réussi à
découvrir la moindre trace de ce royaume juif ou du
temple de Salomon. En fait ceci n'a rien d'étonnant
car les juifs ne sont pas venus en Palestine après
leur captivité en Egypte et Salomon n'a pas construit
de temple à Jérusalem.
Un professeur de l'université américaine de
Beyrouth, Kamal Salibi,a étudié à fond
l' ancienne histoire arabe et a ainsi découvert que
l'ancien royaume juif d'avant la captivité à
Babylone qui fut détruit par les Babyloniens en l'an
587 avant J.C, ne se trouvait pas en Palestine mais dans la
péninsule arabique un peu au Sud de la Mecque
actuelle.
Il a identifié le lieu d'origine cité dans
la Bible à cet endroit.Dans la Bible, il n'est pas
indiqué que le Jourdain ait été un
fleuve. Salibi a remarqué que les rabbins, au 8e
siècle après J.C avaient intercalé des
voyelles inexactes au milieu des consonnes et par là,
avaient entièrement falsifié le contenu., ce
qui rend dans de nombreux cas le texte
incompréhensible.
Par l'étude linguistique méthodique des
sources, Salibi a retrouvé la signification
véritable du texte et l'histoire de la Bible
dès ce moment s'accorde parfaitement à la
géographie de la zone concernée dans la
péninsule arabique. Le Jourdain n'était pas un
fleuve mais en réalité une chaîne de
montagnes qui s'étend de la bande
côtière à la partie intérieure de
la péninsule arabique.
Les villes de Sodome et Gomorrhe qui auraient
été détruites par un tremblement de
terre se trouvaient dans un territoire volcanique où,
encore en 1820, des éruptions volcaniques ont pu
être observées. Jusqu'alors on
prétendait que ces deux villes se trouvaient sur les
bords de la Mer Morte en Palestine., mais dans cet
endroit-là, il n'y a jamais eu d'activité
volcanique. Le fait que l'ancien royaume juif promis par
Yahvé à Moïse ne se trouve pas en
Palestine explique pourquoi ce royaume n'y a pas
laissé la moindre trace archéologique. Le pays
qui, selon Moïse, appartiendrait aux juifs, ne se
trouvait pas du tout en Palestine mais tout à fait
ailleurs. Le livre du Professeur Salibi est paru en langue
anglaise sous le titre "The Bible came from Arabia."
Les sionistes sont d'un autre avis :
"Les Juifs s'intéressent à la Palestine
non pas pour des raisons religieuses ou parce qu'elle est
mentionnée dans l'Ancien Testament, ni parce que dans
la Mer Morte se trouvent des minerais et des métaux
pour 5 milliards de dollars, ni même parce que le sol
de la Palestine contient des réserves de
pétrole 20 fois supérieures à celles
des deux Amériques réunies, non, nous les
Juifs nous nous intéressons à la Palestine
parce qu'elle constitue un noeud de communication entre
l'Europe, l'Asie et l'Afrique et, de ce fait, elle
possède une importance géostratégique
capitale, bref, elle est un centre stratégique
militaire pour la domination du monde." Nahum Goldmann,
président durant de longues années de
l'Organisation Mondiale Sioniste lors du Congrès
mondial du Sionisme en 1947.
"L'état juif doit comporter les territoires qui
vont du Nil égyptien jusqu'à l'Euphrate"
(Théodore Herzl, fondateur et premier
président de l'Organisation sioniste mondiale en l'an
1904) Cette phrase provient de la collection des journaux
intimes de Herzl, partie 2, page 711 de l'édition
anglaise.
"Vous devez vous battre de façon indomptable et
sans relâche, que ce soit sur le champ de bataille ou
le champ de la diplomatie pour réaliser l'empire
d'Israël qui comporte le territoire du Nil
jusqu'à l'Euphrate" (David Ben Gourion, premier
ministre israëlien, lors d'un discours à des
étudiants à l'université
hébraïque de Jérusalem en 1950).
LE MYTHE BIBLIQUE DE
LA PALESTINE
On nous rabâche sans relâche qu'avec la
création de l'état d'Israël, les juifs
seraient revenus dans leur patrie d'origine, après
deux mille ans de diaspora parmi des peuples
étrangers. Cette histoire est-elle vraie ? Est-ce que
l'état juif d'Israël construit sur le sol
palestinien est réellement le pays où les
juifs auraient vécu à l'origine ?
Non, c'est un mythe historique, une falsification
énorme des faits historiques. Les juifs sont issus de
la tribu de Juda, une des douze tribus d'Israël dont
l'ancêtre était un des douze fils de Jacob,
Juda, ainsi que nous l'apprend l'Ancien Testament. Naturellement celui-ci n'est pas un document historique
fiable ni une source digne de confiance. Les anecdotes de la
Bible se contredisent en beaucoup de points.
La science peut uniquement constater qu'il n'existe aucun
repère, autre que biblique, contemporain d'Abraham,
d'Isaac, de Jacob et de ses douze fils. Aucun document
historique ne vient confirmer le fait que les Hébreux
ou Israélites aient été esclaves en
Egypte, qu'ils furent sauvés de cet esclavage par les
7 plaies subies par le peuple de Pharaon, que tous les
premiers-nés égyptiens ont été
massacrés, que les Hébreux ont pillé
les richesses des Egyptiens, qu'ils ont traversé le
désert vers la Terre promise comme il est
raconté dans l'Exode, livre écrit par
Moïse.
De même, les rois juifs David et Salomon
n'apparaissent dans aucun document daté des nombreux
pays voisins bien qu'il existât là, au 9e
siècle avant J.C une histoire écrite
courante.
A l'époque où Salomon, d'après la
Bible, a fondé un puissant empire au Proche Orient,
les Phéniciens, leurs voisins du nord à cette
époque, n'ont pas une seule fois remarqué ce
prodigieux développement.
Bien que la Bible rapporte que le roi de Phénicie,
Hiram, ait envoyé des architectes et des
maîtres d'oeuvre pour construire le temple de Salomon
et ait construit la flotte que le roi Salomon dirigea
à Esjon-Geber, qui se trouve près de
l'actuelle ville d'Eilat sur le Golfe d'Akaba (1. Rois 5 :1,
Rois 9 : 26-28.)
Sur l'origine des juifs, il est dit dans Ezechiel,
chap.16, verset 3 :
"Ainsi parle le Seigneur Yahvé à
Jérusalem : par ton origine et par ta naissance, tu
es du pays de Canaan. Ton père était Amorite
et ta mère Hittite."
Tout cela ne s'accorde pas avec les histoires
racontées dans les livres de Moïse suivant
lesquelles les juifs descendraient d'Abraham, d'Isaac et de
Jacob, que leur origine remonterait à Jacob ou
à son fils Juda, fils d'Israël, qu'ils aient
été en esclavage en pays d'Egypte et que
Josué les ait conduits dans la terre promise de
Canaan, qu'ils exterminèrent les Cananéens qui
y habitaient ou bien les expulsèrent, etc.
D'après la version juive habituelle, Abraham est
l'ancêtre des juifs. Cependant il est originaire d'Ur
en Chaldée, l'actuel Irak, non loin du Golfe persique
et là-bas régnaient les Sumériens qui
n'étaient pas un peuple sémite et qui ne
parlaient pas une langue sémite. Cet Abraham
reçut l'ordre de Yahvé de partir dans un pays
qu'il lui indiquerait. Yahvé lui promit une sainte
alliance avec ses descendants qui deviendraient de ce fait
un grand peuple et règneraient sur un territoire qui
s'étendrait du Nil à l'Euphrate, un pays dans
lequel vivaient déjà au moins dix peuples
différents. (Genèse 15 :18-21)
Le mariage d'Abraham avec Sarah était resté
stérile. En revanche, il eut un fils du nom
d'Ismaël avec la servante Agar. Abraham avait
déjà 99 ans et la perspective de pouvoir
engendrer était minime ! Cependant Yahvé lui
promit que Sarah qui avait été stérile
jusqu'alors (ce nom signifie "princesse") lui donnerait un
fils. "Je la bénirai et des peuples sortiront d'elle
et des rois au-dessus de plusieurs nations." (Genèse,16
:17) Et Sarah devint enceinte.
Mais le père était-il réellement
Abraham âgé de 99 ans ? Dans la Bible, il est
écrit : "Yahvé visita Sarah comme il avait
dit et il fit pour elle comme il avait promis. Sarah
conçut et enfanta à Abraham un fils à
l'époque que Yahvé avait marquée."
Abraham avait 100 ans lorsque lui naquit un fils, Isaac,
et Sarah dit : "Yahvé m'a donné de quoi rire,
tous ceux qui l'apprendront me souriront." (Genèse, 21
:1-2 et 5-6)
Il est clair d'après ce texte que Yahvé
était le père biologique d'Isaac et en aucune
manière Abraham qui avait 100 ans. Dans ce contexte,
on peut mieux comprendre la version juive qui affirme que
Yahvé a conclu une alliance particulière avec
le peuple juif et l'a choisi comme son peuple. (Exode19
:5-6)
Une des pierres d'angle de la croyance juive en la Bible
consiste en ce que les juifs se considèrent comme le
peuple élu de Yahvé, qui leur aurait promis un
pays qui s'étendrait du Nil jusqu'à
l'Euphrate. mais ce pays était déjà
occupé par d'autres peuples et Yahvé ordonna
que les juifs expulsent ceux-ci, les exterminent ou les
réduisent en esclavage. :
"Je sèmerai devant toi la panique. Je jetterai la
confusion chez tous les peuples où tu
pénètreras et je ferai détaler tes
ennemis. Je te ferai précéder de frelons qui
chasseront devant toi les Hittites, les cananéens les
Hewites. Je ne les expulserai pas devant toi en une seule
année, car le pays deviendrait un désert
où se multiplieraient à tes dépens les
bêtes sauvages. Je les expulserai devant toi peu
à peu, jusqu'au jour où ta
fécondité t'aura mis en mesure d'occuper tout
le pays, ton héritage. Je fixerai pour limites
à ton territoire la mer des Roseaux, et la mer des
Philistins, le désert et l'Euphrate. Je livrerai, en
effet, entre vos mains, les habitants du pays et tu les
expulseras devant toi." (Exode, 23 :27-31)
Un tel passage doit fortement troubler les Palestiniens :
ont-ils donc à subir dans leur propre chair les
effets de la foi juive en la Bible maintenant que les
sionistes ont envahi la Palestine et ont fondé
l'état juif d'Israël pour les expansionnistes ?
On observe que l'état d'Israël repose sur cette
foi en la Bible ! Sans la Bible juive, pas d'état
d'Israël ! Mais les mythes et les légendes
bibliques ont-ils une quelconque valeur éthique
contraignante ? Sont-ils à considérer comme
fondement du droit des peuples ? Naturellement non !
LA BIBLE JUIVE COMME
LIVRE Dʼ "HISTOIRE" !
L'Ancien Testament, la Bible juive, est
considéré en Israël comme un livre
d'histoire, comme la relation du passé juif. Pourtant
une recherche scientifique sérieuse a
déjà depuis longtemps démontré
que les récits bibliques ne sont rien d'autre qu'une
collection de mythes et de légendes dont la valeur
historique est minime. Nous avons affaire ici à une
falsification systématique des
événements qui se sont passés durant
des milliers d'années.
On trouve les conclusions auxquelles sont arrivés
les archéologues dans le livre : "Fynd i Bibelns
Länder" ("découvertes dans les pays de la Bible") qui
a été publié par Magnus Magnusson,
historien, archéologue et recteur de
l'Université d'Edimbourg, livre qui a paru en 1977
chez Raben et Sjögren en langue suédoise.
Sur l'exode, la fuite des enfants d'Israël hors
d'Egypte dont il est question dans le second livre de
Moïse, l'auteur porte le jugement suivant :
"Les chercheurs qui étudient la Bible ont
consacré beaucoup d'efforts assidus pour
établir où se situaient les lieux
géographiques de l'histoire de l'exode. Cependant
leurs efforts ont abouti uniquement à des
spéculations qui se fondent sur différentes
interprétations des sources existantes.
Certains, d'après celles-ci, essaient de prouver
que les enfants d'Israël ont barboté jusqu'aux
genoux dans la Méditerranée à travers
un passage peu profond. D'autres pensent qu'ils ont
pataugé dans la Mer rouge.
Toutes sortes de variantes existent naturellement entre
ces deux extrêmes. Si l'on essayait de situer sur une
carte toutes les routes que les enfants d'Israël sont
supposés avoir parcourues lors de leur fuite hors
d'Egypte, on aurait l'impression, comme l'a fait remarquer
un observateur attentif, qu'un mille-pattes ivre chancelle
sur la carte.
Un autre problème se pose au sujet de l'importance
de l'exode. D'après le premier chapitre du 4e livre
de Moïse, les douze tribus d'Israël comptaient pas
moins de 603 550 hommes valides. On peut en déduire
que l'émigration concernait plus de 2 millions de
personnes, ce qui est tout à fait invraisemblable.
Une telle masse de population n'aurait jamais pu survivre 40
ans dans le désert comme l'affirme la Bible
En bref, le récit entier de la fuite hors d'Egypte et la traversée
du désert durant 40 ans ne sont pas des faits historiques mais des
mythes, des légendes. On peut, d'après Magnusson, penser la même
chose à propos des suppositions sur le Pharaon de l'Exode :
"Si l'on admet que le pharaon du temps de leur
captivité était Ramsès II, alors le
pharaon du temps de l'exode aurait été son
successeur Menefta. Or on éprouva beaucoup
émotion lorsque l'on découvrit en l'an 1881
sur la rive gauche du Nil, le cadavre embaumé de ce
pharaon dans un tombeau non loin de Deir el- Bahri. Il est
vrai que la trouvaille avait un côté
gênant : si Menefta était mort noyé dans
la mer Rouge (comme il est affirmé que le fut le
pharaon de l'exode) comment se faisait-il que sa
dépouille mortelle se trouvât en Egypte ?
Les fondamentalistes se consolent avec le fait que la
momie présente des traces évidentes de sel. Le
corps du roi égyptien aurait été
rejeté sur la côte après sa noyade et il
aurait été enterré ensuite suivant les
coutumes ancestrales. Ce qui cloche dans cette explication
est pourtant clair : chez toutes les momies, il y a des
traces de sel car l'une des opérations d'embaumement
exige l'emploi de sel.
Des recherches ultérieures démontrent que
la momie de Menefta contenait ni plus ni moins de sel que
d'autres
De même, d'une autre point de vue, Menefta ne
semble pas avoir été très
indiqué pour être le pharaon de l'exode. Il
régna, à ce qu'il paraît, de 1224
à 1211. Dans sa cinquième années de
règne, il entreprit une campagne contre la Palestine.
Or sur la stèle qui célèbre ses
exploits on trouve la liste des peuples qu'il a vaincus :
Canaan, Askelon, Geser, etc. C'est un chant de louange, un
monument de triomphe. Il n'est pas question de
défaite. D'une façon assez ironique on trouve
ici la seule mention d'Israël dans les sources
égyptiennes découvertes jusqu'ici : "Israël est détruit, il n'a plus
d'héritiers".
Menefta n'aurait pas pu se vanter d'une victoire sur le
peuple d'Israël à Canaan si celui-ci avait
réussi lors de sa fuite à le noyer
misérablement auparavant dans la Mer Rouge !
Celui qui voudrait un peu de logique dans les
récits bibliques de l'exode avec ses contradictions
flagrantes peut se référer à un fait
aujourd'hui reconnu : la désignation de "Mer Rouge"
provient d'un erreur de traduction. L'expression
hébraïque utilisée est "Yam Suf" ce qui
a été souvent traduit par "Mer des Roseaux"
mais pas par "Mer Rouge". Et ceci a conduit à
d'autres suppositions : où se trouvait donc la Mer
des Roseaux ? On a proposé au moins une douzaine
d'endroits situés le long du canal de Suez qui
auraient pu présenter une ressemblance sans qu'on put
jamais vérifier leur authenticité. (p.63)
Bref, on trouve ici aussi une falsification historique
grossière dans un fatras de mythes et de
légendes !
La description du sanctuaire au 6e chapitre du 2e livre
de Moïse présente aussi des perles
fantaisistes :
"Dans la Bible juive, la construction du sanctuaire, en
bois d'acacia est décrite en pas moins de 6
chapitres. Ceci démontre que la signification
cultuelle de ces objets est prépondérante sur
l'authenticité de la description. La tentative de
construction du sanctuaire qui a été faite
durant 15 ans par le diamantaire Moïse Levine s'est
révélée si compliquée et
coûteuse qu'on ne peut croire qu'elle fut entreprise
par un peuple nomade. Peut-être la description dont il
s'agit ici s'est-elle inspirée de celle du temple de
Salomon qui fut construit au dixième siècle
avant J.C, à Jérusalem" (p.69)
Selon Magnusson, aucune trouvaille archéologique
n'est venue confirmer les victoires remportées par
Israël selon la Bible, sur les royaumes arabes d'Edom,
de Maab, et d'Ammon dans l'actuelle Jordanie, lors
desquelles les Israëlites sont venus de l'Est et ont
pénétré dans le pays de Canaan, la
Palestine actuelle. (p.71-78)
A propos des récits de l'Ancien Testament
concernant Saul et David, Magnusson déclare : "Les
rivalités entre Saul et David sont
présentées à l'avantage de David dans
un but de propagande. Les récits populaires
concernant les exploits de champions durant la guerre et les
drames humains sont manipulés dans le but
évident de sanctifier David et de noircir Saul.
(p.120). Nous avons affaire ici à des légendes
et non à de l'histoire."
Un peuple sur lequel on déverse des torrents de
saletés abominables dans la bible juive est le peuple
des Philistins. Pourtant la spécialiste
israélienne, le docteur Trude Dothan, a,
d'après Magnusson, une grande admiration pour la
culture hautement développée de ce peuple
qu'il a amenée avec lui à Canaan, une culture
bien supérieure à celle des Israélites
et des Cananéens, qui s'est exprimée d'une
manière remarquable dans ses céramiques, ses
constructions et son organisation sociale
élaborée. C'est à cause de cela que les
Israélites ont toujours considérés les
Philistins comme de dangereux ennemis. Et plus tard ils ont
écrit sur leur compte avec mépris.(p.127) La
conséquence de la propagande biblique fut que le sens
de Philistin devint péjoratif ; il devint même
par la suite synonyme de "personne sans érudition
réelle", de "petit bourgeois".
La recherche ne peut pas prouver que le temple de Salomon
a réellement existé.
"Aucune pierre, aucune trace n'a subsisté de
cette construction légendaire si honorée." affirme Magnusson (p.138)
Et même s'il avait existé, il n'aurait pas
été juif, ni israélite, mais
cananéen ou phénicien puisque c'est le roi
Hiram qui a fourni à Salomon les matériaux de
construction ainsi que les ouvriers pour sa
construction.
C'est encore Hiram qui a fourni la flotte de Salomon
à Esjon-Geber, près d'Eilat sur les rivages de
la mer Rouge, de même que les marins
expérimentés qui suivirent les gens de Salomon
lors de son départ pour Ofir où ils gardaient
de l'or. (livre I des Rois, 9 :26)
Le mur des Lamentations de Jérusalem n'est pas un
reste du temple de Salomon comme on veut nous le faire
croire mais un vestige du temple que Hérode a fait
construire beaucoup plus tard au temps de la naissance de
Jésus-Christ. Comme on le sait, Hérode est
considéré par les juifs comme un tyran et un
vassal de Rome.
On s'étendrait trop longtemps dans ce chapitre si
on voulait citer toutes les falsifications et tous les
mensonges de l'Ancien Testament. Mais il faut tout de
même encore préciser que la captivité
à Babylone est une pure légende comme la
plupart des autres récits bibliques juifs.
La preuve en est que la grande majorité du peuple
juif resta de sa propre volonté sur place
après la prise de Babylone par les Perses, bien que
ceux-ci aient accordé aux juifs le droit de regagner
leur patrie. En outre de nombreux documents confirment que
les juifs étaient actifs chez les Babyloniens dans le
commerce comme dans le système bancaire,
activités qui ne s'accordent pas du tout avec le
statut de "captifs". De plus, la partie la plus importante
de la bible juive, dont font partie les 5 livres de
Moïse ou la Torah, a été
rédigée justement durant la captivité
à Babylone.
Enfin, il faut noter que les traductions occidentales de
l'Ancien Testament sont déformées. Un
spécialiste juif de premier plan de la Bible, Joseph
Kastein, a dit, en 1933, dans son livre : "History and
Destiny of the Jews" : "Les traductions en grec eurent
lieu pour que les textes puissent être compris par le
monde culturel grec et cela a conduit à des
déformations et des falsifications intentionnelles de
mots et de termes.".
Oui, les sionistes et leurs partisans peuvent se vanter
de posséder une riche moisson d'expériences
dans le domaine de la falsification
historique !
LE BLUFF DES
"DROITS
HISTORIQUES"
"Ce pays est la patrie historique des Juifs"
déclarait l'Organisation Mondiale Sioniste dans un
Memorandum à la conférence sur la paix de
Versailles en 1919. Lors de la proclamation de l'Etat
d'Israël le 14 mai 1948, il a été
affirmé que la création de cet état
s'est réalisé par suite des droits naturels et
historiques du peuple juif.
La thèse des "droits historiques" est une
constante de la propagande sioniste et est liée
régulièrement au mythe de la "terre promise"
suivant lequel les juifs revendiquent un droit d'origine
divine sur la Palestine (celui qui s'intéresse
à ce sujet lira avec profit le livre de Roger
Garaudy, The Case of Israël, paru chez Shoruouk en 1983)
Commençons par constater qu'avant le 10e
siècle av. J.C. il n'existe pas la moindre preuve des
événements relatés dans l'Ancien
testament dans les écrits historiques des pays du
Proche Orient comme l'ont prouvé depuis à leur
tour les archéologues. Ceci est également
concédé par un savant tel le Père de
Vaux à qui pourtant la validité de l'Ancien
Testament tient fort à coeur " On n' a pu, dit-il,
trouver en aucune manière des preuves
évidentes de l'existence des patriarches
hébreux, de la captivité en Egypte ou de la
prise de Canaan. Comme nous l'avons déjà
mentionné, ces histoires de l'Ancien Testament sont
de pures légendes.
La présentation de la Palestine comme la "terre
promise" est fondée uniquement sur l'Ancien
Testament que certains croyants prennent à la lettre
En réalité, l'histoire des Hébreux n'a
pas été aussi glorieuse et brillante que
tentent de nous le faire croire les sionistes
Dans les époques reculées, leur histoire ne
peut être séparée de celle des
Mésopotamiens du royaume hittite (où
était parlée une langue indo-germanique et non
une langue sémite) ou de celle des Egyptiens.
Laissons de côté les découvertes
archéologiques prouvant la présence
d'êtres humains dans l'actuelle Palestine depuis
environ 10 000 ans et limitons-nous aux périodes qui
nous ont livré des documents écrits. A partir
de ceux-ci nous pourrions établir les faits suivants
:
1. Age du bronze antérieur à environ 2000
ans av. J.C. Pour cette époque, nous possédons
(surtout depuis la découverte des écrits
d'Ebla en 1976) de très nombreuses preuves de
l'existence d'une civilisation indigène,
développée dans le pays de Canaan qui
englobait des peuples aux types linguistiques
sémitiques occidentaux comme l'araméen, le
cananéen,et également l'hébreu.
L'araméen a été la plus durable de ces
langues. Il était la langue courante du temps de
Jésus en Palestine. Et il y a encore aujourd'hui, en
Syrie, des petites communautés qui parlent
araméen.
2. Age du Bronze moyen avec des mouvements migratoires
massifs
3. Il s'en suivit une nouvelle période de vie
citadine (1900-1500 av. J. C.)
4. A partir du milieu du 15e siècle avant J.C,
l'Egypte était la puissance dominante dans cette
région. Les Pharaons de la 18e dynastie firent de la
Palestine un royaume frontalier égyptien.
Sur le territoire qui s'étendait du Nil
jusqu'à l'Euphrate, il y eut de nombreuses migrations
de peuples qui souvent s'affrontaient. Lorsque les peuples
de bergers nomades de Mésopotamie et de Transjordanie
arrivèrent à Canaan vers l'an 2000, ils y
trouvèrent des habitants sédentaires, les
Cananéens civilisés. Ceux-ci connaissaient le
fer et avaient un alphabet. Les nomades
hébreux,même après le passage à
un mode de vie sédentaire ne
représentèrent pas un groupe ethnique uniforme
mais étaient composés de plusieurs ethnies.La
situation se présente donc tout autrement qu'elle est
décrite dans la bible.
On a pu prouver qu'à peine une partie de ces
Hébreux nomades s'installèrent
définitivement à Canaan. Les autres
allèrent plus loin en Egypte. Ceux qui y
restèrent adoptèrent la langue,
l'écriture et même la religion des
Cananéens. Aux alentours de 1400 une partie
émigra vers l'Egypte, vraisemblablement dans la
foulée du peuple envahisseur des Hyksos.
Lorsque les Hyksos, ce peuple venu du Nord, probablement
de souche indo-européenne, fut chassé
d'Egypte, ils retournèrent vers une vie nomade. Les
hébreux qui avaient joui de la protection des Hyksos
et avaient profité de leur suprématie, furent
considérés comme leurs complices et subirent
plusieurs persécutions. Ce groupe de rebelles qui
n'était aucunement homogène mais était
constitué par différentes ethnies dont l'union
reposait sur leur hostilité envers le Pharaon.
s'échappa d'Egypte On les nomma "Apiru" mot
d'où vient probablement le nom "hébreu".
C'est à peu près ainsi que s'est
déroulée cette fuite hors d'Egypte
décrite dans l'Exode comme un événement
sanglant dans lequel Yahvé joua le rôle de
génocideur pour libérer son peuple de
l'esclavage. Les sources égyptiennes si abondantes
d'habitude ne soufflent pas mot de cet
événement
Une des rares mentions du terme Israël chez les
Egyptiens, se trouve sur une stèle qui date à
peu près de l'année 1225. Cette stèle
commémore le triomphe du pharaon Meneptah.
A Tel-El-Amarna, la capitale fondée par
Aménophis IV, on a trouvé environ 400
tablettes d'argile. Celles-ci nous indiquent un important
échange de lettres entre le pharaon et les princes
vassaux égyptiens de Palestine et de Syrie. Le nom
d'Israël n'y figure pas du tout. Par contre on y trouve
une foule d'informations très intéressantes
sur les grandes cités de Canaan, leurs conflits et
leurs différends.
En nous appuyant sur ces remarques, on peut
établir que :
1. Les faits ne permettent pas de reconnaître
à Israël de quelconques "droits historiques"
sur la Palestine. Lorsque les Hébreux
arrivèrent dans le pays de Canaan comme le firent
d'autres peuples migrateurs, lors de leurs
pérégrinations, ils y trouvèrent des
populations solidement établies : les
Cananéens, les Hittites, (dans la région d'
Hébron qui fut fondée par eux), des Amonites
(près d'Amon, l'actuelle Amman), les Moabites
(à l'est de la Mer Morte) et les Edomites (dans le
Sud-Est).
En même temps arrivait un autre peuple de la Mer
Egée : les Philistins indo-germaniques qui
s'établirent entre le mont Carmel et le
désert. Le mot "palestinien" vient probablement de
ce mot "philistin" Les Palestiniens actuels
chrétiens et musulmans ne sont donc en aucune
manière de souche exclusivement arabe mais
proviennent d'ancêtres bien plus lointains.
A partir du 7e siècle après J.C.
arrivèrent les Arabes d'abord en petit nombre en
Palestine. Ils convertirent la majorité de la
population (parmi laquelle les Cananéens subsistant
et les Hébreux) à l'Islam, ils se
mélangèrent à la population et
imposèrent leur langue. L'immigration arabe fut avant
tout d'ordre culturel plus que d'ordre ethnique
Les fondements ethniques des Palestiniens sont par
conséquents fort nombreux. ; leurs ancêtres
étaient cananéens, Philistins et Arabes. On
trouve aussi des traces du passage d'autres peuples qui ont
occupé la Palestine (les Perses, les Grecs, les
Romains et les Turcs)
On peut affirmer avec assurance que les Palestiniens ont
été les premiers habitants de ce pays et cela
depuis la nuit des temps. Par contre, les Juifs vinrent en
tant qu'envahisseurs.
2. Répétons-le : les "Apiru" (Hébreux) constituaient uniquement un parmi les
nombreux peuples qui immigrèrent dans le pays de
Canaan. Quant aux autres peuples, on trouvait dans l'ordre
chronologique :les Babyloniens, les Hittites, les Egyptiens,
les Perses, les Grecs, les Romains, les Arabes et les Turcs
(on pourrait y ajouter les Francs et les Normands qui y
restèrent après les croisades) Les
Hébreux, eux, arrivèrent d'Egypte
vraisemblablement au 13e siècle avant J.C et
s'établirent soit pacifiquement soit par des guerres
de conquête à Canaan.
Des livres soi-disant historiques de l'Ancien Testament,
comme par exemple le Livre des Rois et les deux livres de
Samuel, on ne peut apprendre que le fait que David fut un
conquérant particulièrement cruel. (cf. Samuel
2, 12-29-31) une espèce de condottiere à la
manière des condotierri de la Renaissance. Il
commanda des troupes de soldats qui se composaient de
Philistins et de Crétois. Nous connaissons
l'expression "Crétois et Philistins" pour
désigner une communauté
métissée. Elle provient d'une expression
tirée de la Bible (livre de Samuel 2 8 :18) où
l'on parle des soldats étrangers employés par
David, les Crétois et les Philistins dont la
traduction grecque a donné "Creti et Pleti"
David et son fils Salomon profitèrent adroitement
des dissensions entre les deux grandes puissances, l'Egypte
et Babylone,. Avec sa garde du corps de Crétois et de
Philistins, David s'empara de Jérusalem que ses
habitants, les Jésubites, continuèrent
à habiter.
David confia le commandement du tiers de son armée
au Philistin Ittai de Gath. Durant la révolte de son
fils Absalon, David trouva un appui auprès du prince
ammonite Schobi. David n'a jamais été le
souverain d'un royaume exclusivement juif. Il créa un
état multinational dans lequel existaient beaucoup de
religions. L'ancêtre de David, Ruth, était une
Moabite et lorsque David fut en péril, il mit ses
parents à l'abri chez le roi moabite Sa
maîtresse préférée Batseba,
était l'épouse du Hittite, Uria, que David
aurait perfidement envoyée à la mort.(Samuel
2 11 :3). Avec elle, il engendra son héritier
Salomon.
Sous Salomon, le royaume comprit encore plus de nations,
toujours en supposant que l'on prenne la Bible pour une
source historique sûre. Le soi-disant temple de
Salomon a été construit par des
Phéniciens et les matériaux de construction
avaient été fournis également par le
roi de Phénicie, Hiram (Les Rois 1, 5:8)
De même que La flotte avec laquelle il cingla vers
Ofir pour y chercher de l'or avait été
construite par les Phéniciens et elle a
été conduite par des marins phéniciens
(Rois, 9 :27). Les nombreuses épouses de Salomon
appartenaient à des peuples très divers. (Rois,
11 :1-3). Vraiment peu de choses étaient juives dans
ce royaume de David et de Salomon, et cet ancien royaume
doit servir de modèle pour l'état juif
d'Israël !
Après la mort de Salomon, le royaume a
été divisé en deux moitiés :
Israël dans le Nord et Juda dans le Sud. En l'an 721
av. J. C, les Assyriens envahirent Israël et en l'an
587 av. J. C., Juda fut vaincu par les Babyloniens. La
classe dirigeante de Juda fut traînée de force
ou alla de son plein gré à Babylone.
Lorsque le roi de Perse, Cyrus, s'empara de la ville de
Babylone, il laissa tous les juifs qui le désiraient
rentrer chez eux ; cependant la majorité resta
à Babylone dirigée à présent par
les Perses.
Ensuite les Hébreux ont vécu à tour
de rôle sous l'autorité des Perses, des Grecs
et des Romains. En l'an 167 av. J.C. eut lieu la
révolte des Macchabées contre le roi grec
Antiochus de la dynastie des Séleucides.
Après vingt ans de combat, les Macchabées
fondèrent une lignée de prêtres juifs,
une dynastie qui est connue aussi sous le nom des
Hasmonées. Elle s'éteignit bientôt par
suite de luttes internes.
En l'an 63 av. J.C., la Palestine secouée par des
désordres intérieurs constants, fut conquise
par Gaius Pompée. Elle se transforma en un royaume
vassal sous Hérode, et plus tard, en une province
romaine. Elle se souleva deux fois contre les Romains mais
ces deux révoltes échouèrent. La
première eut lieu en l'an 70 après
Jésus-Christ, l'autre en l'an 135 après
Jésus-Christ.
Après l'échec du deuxième
soulèvement - à la tête desquels se
trouvait Bar Kochba qui se serait fait appeler "Fils des
Etoiles" en tant que Messie - le temple fut
également détruit. Le destin du peuple juif
dès ce moment fut la diaspora, l'exil. Les Juifs qui
déjà depuis longtemps avant ces
événements avaient vécu tout autour de
la Méditerranée en Mésopotamie,
l'actuel Irak, vécurent dès lors
dispersés partout dans l'empire
romain,également à Rome même. La
communauté juive de Palestine avait cessé
d'exister.
Quel rapport y a-t-il entre tout ceci et la revendication
de pouvoir des Juifs sur la Palestine ? La réponse
est sans équivoque : les revendications des sionistes
sur la Palestine, inlassablement évoquées,
n'ont aucune valeur au point de vue historique. Les
sionistes ont déformé ou falsifié
systématiquement les faits historiques tandis qu'ils
présentent dans leurs propres livres scolaires dont
les copies conformes se trouvent en Occident, un compte
rendu d'événements de second rang qui
présentent de l'importance pour eux, à savoir
:
1) La prise de territoire du pays de Canaan au temps de
Josué qui est présentée par les
exégètes de la Bible comme s'étant
déroulée en l'an 1200 av. J.C. et qui s'est
passée en réalité environ 300 ans plus
tard. Ces expéditions de rapines et de pillages sont
glorifiées par les écrivains du sixième
siècle av. J.C. comme une "Guerre Sainte" qui se
serait terminée par une victoire écrasante.
Par cette littérature historique remaniée, on
poursuit naturellement des intentions politiques.
2) Les 73 années de règne de David et de
Salomon. Il est soigneusement tu que ce royaume était
de type vassal et de caractère multinational de
surcroît.
3) L'exil à Babylone et le retour au pays
après la captivité de Babylone. Naturellement
on passe sous silence que la majorité des Juifs sont
restés de leur plein gré à
Babylone.
4) Les révoltes contre Rome en 66-70 et en
132-135.
Dans la version sioniste de l'histoire de la Palestine
manque tout le reste comme s'il n'y avait rien eu à
signaler durant presque 2 millénaires entre la
rébellion de Bar Kochba et la création
d'Israël en l'an 1948 ! Il faut fouiller longuement
dans l'histoire pour trouver un cas semblable
d'ethnocentrisme.
De cette manière a été
créé un mythe lourd de conséquences. On
a sélectionné
délibérément quelques épisodes
de l'histoire d'environ 5000 ans d'un pays : l'immigration
des Hébreux - mais pas des autres peuples ! - dans le
pays de Canaan, le royaume de David et de Salomon - mais pas
des autres royaumes qui ont existé également
en cet endroit ! - et les révoltes des
Macchabées et de Bar Kochba - comme s'il n'y avait eu
aucun autre événement digne
d'intérêt dans le courant de l'histoire ! Oui,
l'histoire de la Palestine telle qu'elle est
présentée aux écoliers d'Israël,
est un fatras de mensonges.
Mais l' "Histoire Sainte" de la "Terre Sainte" telle
qu'elle est enseignée dans les cours de
catéchisme et dans les écoles du dimanche
protestantes est centrée essentiellement sur la Bible
et accrédite ainsi involontairement la version de la
propagande sioniste. Ceci fait que d'innombrables milliers
de Chrétiens du monde entier tiennent pour vrai un
mythe qui entraîne la privation des droits et la
misère pour les Palestiniens et une paix sans cesse
compromise non seulement au Proche Orient mais aussi
à l'échelle mondiale. Ce mythe justifie en
effet aussi les annexions territoriales de même que la
guerre de conquête des sionistes.
Les sionistes renforcent leurs mensonges historiques avec
deux autres mythes qui sont racontés comme suit :
1) Les Juifs ont créé là-bas en
Palestine où régnait le désert, un
jardin fertile. Ainsi la légende dit que ce pays vide
d'habitants jadis s'est peuplé grâce aux Juifs.
"Donnez un pays sans population à un peuple sans
pays !" avait clamé le sioniste anglais Israël
Zangwill (et après lui, Théodore Herzl).
2) Le peuple juif actuel appartiendrait à la
même race que les anciens Hébreux. Ceci
justifie son "retour" dans sa "vieille patrie". Or comme
nous le démontrerons plus loin, il ne peut être
question que les Juifs contemporains soient les descendants
des Hébreux bibliques.
Lorsque le sionisme politique dont la pièce
maîtresse pour l'état juif a été
le livre de Herzl paru en 1896, entra dans sa phase
décisive, on n'accorda aucune importance au fait que
la Palestine était déjà peuplée.
La non existence du peuple palestinien est un des principes
de base du sionisme. Ce dogme a conduit à beaucoup de
massacres de Palestiniens par les sionistes. Qu'a donc dit
Golda Meir le 15 juin 1969 au Sunday Times ? "Il n'existait
aucun peuple qui réponde au nom de palestinien". "D'où il n'existe en aucune manière un peuple
palestinien que nous aurions chassé et auquel nous
aurions pris son pays. Ces gens n'existaient tout simplement
pas".
Si ces Palestiniens qui n'existent pas sont assez fous
pour résister, ils doivent être envoyés
au diable ou être abattus. Ceci ne peut pas
entraîner des protestations sérieuses puisque
on a expulsé ou égorgé de simple
fantômes. Ainsi est légitimé ce que nous
appelons un génocide.
Lorsqu'Albert Einstein demanda à l'ancien chef de
l'organisation mondiale sioniste Chaim Weizmann ce qui se
passerait avec les Arabes si on donnait le pays aux Juifs,
celui-ci répondit avec mépris : "Quels Arabes
? Ces gens là ne jouent aucun rôle !".
Le professeur Ben Zion Dinur, le premier ministre de
l'éducation de l'état d'Israël et un ami
intime de Ben Gourion, écrivit, en 1954, dans son
introduction à l'histoire de l'Haganah par
l'organisation sioniste mondiale ce qui suit : "Dans notre
pays, il n'y a de la place que pour les Juifs. Nous dirons
aux Arabes : fichez le camp ! S'il n'obéissent pas
à cet ordre ou s'ils manifestent de
l'hostilité alors nous les expulserons du pays par la
force".
Joseph Weitz, l'ancien directeur de la commission pour
l'arbitrage au sein de l'agence juive, écrivit en
1940 : "Entre nous, il doit être clair qu'en ce pays,
il n'y a pas de place pour deux peuples... L'unique solution
est Eretz Israël, à tout le moins un Israël
occidental débarrassé des Arabes, et pour cela
il n'existe aucune autre possibilité si ce n'est
d'expulser ces Arabes dans les pays voisins."
Il faut savoir qu'un pionnier sioniste très
célèbre Hascher Ginzberg qui était
producteur de littérature abondante sous le nom de
Ahad Ha'am ("un du pays"), en 1891 déjà
écrivait ce qui suit : "Nous, à
l'étranger, nous nous imaginons que la Palestine est
actuellement pratiquement sans habitant, un désert
stérile où chacun peut acheter la terre qu'il
désire. En fait il n'en est pas ainsi. Dans toute la
Palestine on trouve difficilement un terrain arabe qui n'est
pas cultivé. Il y a seulement des dunes et des
régions montagneuses stériles où rien
ne peut pousser si ce n'est quelques arbres fruitiers
isolés et encore seulement après un dur
travail."
Non la Palestine n'était pas du tout un pays vide
d'habitants ni n'était laissé à
l'abandon et inculte Elle était habitée.
L'arboriculture et l'agriculture étaient en pleine
expansion.
LE PEUPLE ELU DE
DIEU
Leur pays a été volé aux
Palestiniens par les juifs, parce que le Tout Puissant
aurait promis la Palestine à ce peuple
prétendument élu par un dieu. Comment peut-il
en être ainsi ?
D'après l'Ancien Testament, l'écriture
sainte des juifs, les juifs constituent les peuple choisi
par Dieu, le peuple des "Seigneurs". Dans le chapitre 19
du second livre de Moïse (v. 3-6), il est dit : "Et
Moïse monta vers Dieu. Et le Seigneur l'appela de la
montagne et lui dit : "Voici en quels termes tu parleras
à la maison de Jacob et aux enfants d'Israël :
vous avez vu vous-mêmes comment j'ai traité les
Egyptiens et comme je vous ai emportés comme sur des
ailes de vautour et je vous ai amenés à moi.
Si vous obéissez désormais et respectez mon
alliance, je vous tiendrai pour miens parmi tous les peuples
; car toute la terre est à moi. Tel est le discours
que tu tiendras aux enfants d'Israël."
Dieu a donc conclu ainsi une alliance avec les enfants
d'Israël et choisi ce peuple avant tous les autres
peuples. C'est aussi exposé dans le 5e livre de
Moïse (v.1-3). "Et Moïse convoqua tout
Israël et lui dit : "Ecoute, Israël, les lois et
coutumes qu'aujourd'hui je prononce à tes oreilles et
apprends-les et garde-les pour les mettre en pratique.
Yahvé, notre Dieu, a conclu une alliance avec nous
sur l'Horeb et il n'a pas conclu cette alliance avec nos
pères mais avec nous qui sommes aujourd'hui ici et
tous vivants."
Que ce choix, cette preuve de Dieu d'être son
peuple à lui entraîne forcément une
position prédominante sur les autres peuples, c'est
ce qui ressort du 26e chapitre du 5e livre de Moïse (18-19) : "Et Yahvé a obtenu de toi aujourd'hui
cette déclaration que tu serais son peuple personnel
comme il te l'a dit - mais à la condition de garder
tous ses commandements. Il t'élèverait alors
au-dessus de toutes les nations qu'il a faites, en honneur,
en renom et en gloire et tu seras un peuple consacré
à Yahvé ainsi qu'il te l'a dit."
Cette domination du peuple choisi sur tous les autres
peuples est présentée expressément dans
le 5e livre de Moïse. Au verset 13 du 28e chapitre, il
est dit en toutes lettres : "Yahvé te mettra
à la tête et non à la queue, tu ne seras
jamais qu'au dessus et non point au dessous, si tu
écoutes les commandements de Yahvé ton dieu
que je te prescris aujourd'hui pour les garder et les mettre
en pratique..."
Pour n'importe quel croyant qui considère que tous
les hommes sont des créatures de Dieu, il est
particulièrement choquant que Dieu aurait
donné la préférence à un certain
peuple et aurait conclu une alliance particulière
avec lui contre tous les autres peuples. Pourtant c'est
écrit sans équivoque possible, dans la bible
juive de même que dans la loi juive, dans les livres
de Moïse. Là il est aussi écrit que ce
dieu permit à son peuple élu de voler le pays
des autres peuples et comme si ce n'était pas assez,
il lui accorde la permission d'exterminer les autres peuples
au moyen du fer et de l'acier, et de commettre ainsi un
holocauste dans le vrai sens du terme !
Dans le cinquième livre de Moïse, chapitre
VI, v. l, 10, 12 et 13, il est dit : "Lorsque Yahvé,
ton dieu, t'aura conduit au pays qu'il a promis à tes
pères, Abraham, Isaac et Jacob, de te donner, aux
villes grandes et prospères que tu n'as pas
bâties, aux maisons pleines de toutes sortes de biens,
maisons que tu n'as pas remplies, aux puits que tu n'as pas
creusés, aux vignes et aux oliviers que tu n'as pas
plantés, lors donc que tu auras mangé et que
tu te seras rassasié, garde-toi d'oublier
Yahvé qui t'a fait sortir du pays d'Egypte, de la
maison de servitude. C'est Yahvé ton dieu que tu
craindras, Lui que tu serviras, c'est par son nom que tu
jureras."
A un autre endroit (5ème livre, chapitre VII, v.
16-24), Yahvé dit encore clairement : "Tu
dévoreras donc tous ces peuples que Yahvé ton
dieu te livre, sans les prendre en pitié et sans
servir leurs dieux car tu y serais pris au piège.
Peut-être vas-tu dire en ton coeur : ces nations
sont plus nombreuses que moi, comment pourrais-je les
déposséder ? Ne les crains pas, rappelle-toi
donc ce que Yahvé ton dieu a fait à Pharaon et
à toute l'Egypte, ces grandes épreuves que tes
yeux ont vues, ces signes et ces prodiges, cette main forte
et ce bras étendu par lesquels Yahvé ton dieu
t'a fait sortir. Ainsi fera Yahvé ton dieu contre
tous les peuples que tu crains d'affronter. De plus,
Yahvé ton dieu enverra des frelons pour
anéantir ceux qui seraient restés et se
seraient cachés pour t'échapper. Ne tremble
donc pas devant eux, car au milieu de toi est Yahvé
ton dieu, dieu grand et redoutable. C'est peu à peu
que Yahvé ton dieu détruira ces nations devant
toi : tu ne pourras pas les exterminer sur le champ de peur
que les bêtes sauvages ne se multiplient à ton
détriment, mais Yahvé ton dieu te les livrera
et elles resteront en proie à de grands troubles
jusqu'à ce qu'elles soient détruites. Il
livrera leurs rois en ton pouvoir et tu effaceras leur nom
de dessous les cieux. Nul ne tiendra devant toi
jusqu'à ce que tu les aies exterminés."
Ce que ce dieu promet, c'est-à-dire exterminer
tous les peuples qui se trouvent sur le chemin de son peuple
élu, est un leitmotiv de la Torah. Dans le
cinquième livre de Moïse, chapitre XI, v. 22-25,
il est dit :
"Car si vraiment vous gardez et pratiquez tous ces
commandements que je vous prescris, aimant Yahvé
votre dieu, marchant dans toutes ses voies et vous attachant
à lui, Yahvé dépossédera
à votre profit toutes ces nations et vous
déposséderez des nations plus grandes et plus
puissantes que vous. Tout lieu que foulera la plante de vos
pieds sera vôtre ; depuis le désert, depuis le
Liban, depuis l'Euphrate jusqu'à la "mer occidentale", s'étendra votre territoire. Personne ne tiendra
devant vous. Yahvé votre dieu vous fera craindre et
redouter sur toute l'étendue du pays que vous
foulerez ainsi qu'il vous l'a dit."
Encore toujours dans le cinquième livre de
Moïse, chapitre XX, v. 10-13, Yahvé recommande
à son peuple élu de mettre en esclavage les
peuples qui veulent la paix et de tuer tous ceux qui osent
résister :
"Lorsque tu t'approcheras d'une ville pour l'attaquer,
tu lui proposeras la paix. Si elle l'accepte et t'ouvre ses
portes, tout le peuple qui s'y trouve te devra la
corvée et le travail. Mais si elle refuse la paix et
ouvre les hostilités, tu l'assiégeras.
Yahvé ton dieu la livrera en ton pouvoir et tu en
passeras tous les mâles au fil de
l'épée. Les femmes, toutefois, les enfants, le
bétail, tout ce qui se trouve dans cette ville,
toutes ses dépouilles, tu les prendras comme butin.
Tu mangeras les dépouilles de tes ennemis que
Yahvé ton dieu t'aura livré. C'est ainsi que
tu traiteras les villes très éloignées
de toi qui n'appartiennent pas à ces nations. Quand
aux villes de ces peuples que Yahvé te donne en
héritage, tu n'en laisseras subsister rien de vivant.
Oui, tu les voueras à l'anathème, ces
Hittites, ces Amorites, ces Cananéens, ces
Perizittes, ces Hivvittes, ces Jébusiens, ainsi que
te l'a commandé ton dieu !"
Lorsque l'état actuel d'Israël se
désigne comme état juif, il se
réfère aux principes religieux du dieu de la
torah et se considère comme le peuple élu avec
les droits sanctionnés par son dieu sur le pays des
Palestiniens, la "terre promise". Alors les
Israéliens et les Sionistes endossent une très
grande responsabilité. Car cette foi en l'ancien
testament est incompatible avec les plus hautes religions,
telles que le Christianisme et l'Islam et pas davantage avec
la démocratie et les droits de l'homme.
Golda Meïr, la dame très estimée en
Occident, premier ministre israélien,des
années 70, David Ben Gourion et Menahem Begin ont
déclaré publiquement que le Sionisme et la
création de l'état d'Israël était
issu de la Promesse que Yahvé avait faite dans les
temps bibliques à son peuple élu !
Dans ces circonstances, il est réjouissant de
constater qu'en Israël s'élèvent pour
protester des voix critiques raisonnables. Meron Benisti,
l'ancien bourgmestre de Jérusalem, a dit : "Soit
nous restons un état juif nous deviendrons toujours
plus anti-démocratiques, ou bien nous resterons un
état démocratique et non plus juif... La
démocratie peut seulement être respectée
si nous accordons tous les droits de citoyens aux arabes
israëliens." (Cité d'après le Newsweek
du 20 avril 1970)
Depuis Israël est devenu toujours "plus juif" et
par là toujours plus anti-démocratique envers
les Palestiniens, tout particulièrement dans les
territoires occupés de la Cisjordanie et dans la
bande de Gaza où sont créées, aux frais
de la population palestinienne, toujours plus de colonies
juives.
Israël Shahak, fondateur et membre du mouvement du
droit des citoyens israëliens, a, à plusieurs
reprises, qualifié Israël d' "état
raciste où, sur des principes religieux
dépassés, on crée l'image que les Juifs
constituent l'élite de l'humanité qui
possède le droit de traiter les autres peuples comme
des esclaves." (cité d'après le journal
israëlien Ha'aretz du 27 novembre 1971)
Dans le fond, la représentation d'être le
peuple de dieu est une glorification antithéiste de
son propre peuple au détriment des autres. Des
représentations tout à fait semblables ont
caractérisé l'idéologie des "Chrétiens allemands" durant le IIIè Reich au
sujet de laquelle l'évèque suédois et
historien renommé des religions, Anders Nygren disait
: "On se crée un dieu selon sa propre image,
à l'image des hommes allemands...le dieu qui est
adoré en réalité est une image de ce
peuple particulier." Il aurait mieux fait d'appliquer cette
fausse définition de "l'idéologie" du
IIIè Reich à la juiverie biblique !
LES MYTHES DE LA
PROPAGANDE SIONISTE
Pour renforcer leur pouvoir, les sionistes
répandent en Suède et dans les autres
démocraties occidentales, avec l'aide des mass
média, plusieurs mythes de propagande qui sont trop
rarement décelés comme tels par le public.Ces
mythes doivent être démasqués.
1. "Les juifs sont le peuple de Dieu", d'où qui
attaque les juifs ou conteste leur droit à un
état propre, s'attaque à Dieu et jette le
plan de Dieu aux oubliettes !
Des fidèles chrétiens sont souvent
réceptifs à cette affirmation et cela parce
qu'ils ne font aucune distinction entre le Dieu qu'ils
prient eux-mêmes et le dieu de la bible
hébraïque.
En reconnaissant cette bible comme faisant partie de
l'Ecriture Sainte, la chrétienté s'est
judaïsée depuis le début.
2. "Les juifs ont été
persécutés et opprimés incessamment au
cours de l'histoire. Durant la seconde guerre mondiale, ils
furent exterminés en masse. C'est pourquoi il est de
notre devoir d'éprouver une compassion
particulière pour les juifs et de leur accorder plus
d'indulgence que nous ne le faisons
généralement."
Il faudrait étudier la question si les juifs n'ont
pas une part de responsabilité dans ce qui leur est
arrivé, ou bien même s'il est vrai qu'ils ont
été persécutés beaucoup plus que
ne l'ont été d'autres minorités. Mais
se poser cette question est regardé comme
inconvenant, comme une espèce de sacrilège.
(les chercheurs révisionnistes en savent quelque
chose !)
3. "Les juifs sont plus intelligents et plus
méritants que les autres." Les juifs se
distingueraient dans tous les domaines. On les trouverait au
sommet de toutes les branches intellectuelles, en tant que
chercheurs, médecins, avocats, régisseurs,
auteurs et journalistes. Qu'on pense seulement aux "prix
Nobel" où leur nombre esr extraordinairement
élevé. Mais on ne lit rien dans la presse au
sujet des juifs qui se trouvent au bas de la
société ou totalement en dehors.
4. "Les juifs sont de vrais démocrates" dont les
idées libérales ont été
présentées par les mass média comme
déterminantes ! "En plus, il existe l'état
d'Israël, la seule démocratie du Proche Orient !
Les juifs ne sont pas seulement l'avant-garde de la
démocratie dans le monde occidental et les
porte-drapeau du monde libre mais aussi des citoyens du
monde qui rejettent les frontières trop
étroites des nations et se présentent comme
les meilleurs propagateurs de la culture universelle.
5. "Les juifs doivent posséder leur propre pays
où ils pourraient enfin se sentir en
sécurité après avoir subi des
persécutions incessantes au cours de leur longue
histoire." Chaque peuple a droit à un pays qui lui
soit propre. Pourquoi ne serait-il pas accordé aux
juifs, l'état d'Israël ? L'état
d'Israël est sacré et intouchable et les
adversaires d'Israël ne sont au fond que les ennemis
déclarés du genre humain. Ce que signifie pour
la population palestinienne la création de
l'état d'Israël par les armes, personne n'y
trouve rien à redire.
1. REFUTATION DE LA
PROPAGANDE MYTHIQUE
Les thèses et arguments présentés
ci-dessus ne sont que des mensonges éhontés
qu'on doit rejeter comme tels.
1. Il n'existe pas de "peuple élu", ni de "Peuple de Dieu". Un dieu, qui en plus, ordonne à ses
élus de s'emparer du pays des autres peuples (cf.
Moïse, livre 3, v. 20 :24) est un potentat maléfique
et doit être rejeté au nom de
l'humanité, de la civilisation et de la justice.
2. Les persécutions dont ont souffert assez souvent
les juifs au cours de l'histoire sont en grande partie
imputables aux juifs eux-mêmes. Elles sont la
conséquence avant tout de leur manière de
vivre, de ce qu'ils vivent comme des étrangers et
même comme des éléments
déstabilisateurs au sein des autres peuples.
Leurs efforts souvent couronnés de succès
en vue de créer en leur faveur une grande puissance
et de s'attribuer des privilèges princiers aux frais
des autres habitants de la planète suscitent
naturellement la haine et le rejet de la part des autres
peuples.
Ce rejet sera d'autant plus fort, cela va de soi, si l'on
peut lire dans la bible comment se sont comportés
dans les anciens temps les Enfants d'Israël sur ordre
de leur dieu contre les peuples voisins. Ainsi ce dieu leur
ordonna par exemple de massacrer les Madianites, un peuple
très hospitalier chez lequel Moïse a longtemps
séjourné et auquel appartenait sa
fiancée Siffora, à l'exception toutefois des
jeunes filles vierges dont les juifs pourront abuser.
Moïse, livre 4, 31, 17-18 : "Tuez donc tous les
enfants mâles. Tuez aussi toutes les femmes qui ont
partagé la couche d'un homme. Ne laissez la vie
qu'aux jeunes filles qui n'ont pas partagé la couche
d'un homme et qu'elles soient à vous."
Un peuple peut-il, parce qu'il adore un tel dieu,
attendre de la part des autres peuples une compassion
particulière pour ses souffrances et ses victimes ?
certainement pas plus que tous les autres peuples qui ont eu
à souffrir des injustices et des cruautés
!
3. Il n'existe aucune preuve de quelque sorte que ce soit
que les juifs soient plus intelligents et plus capables que
les autres peuples. Sauf dans leur propre propagande bien
entendu. Celle-ci n'est rien d'autre qu'une exaltation de
soi tout à fait abusive et une grossière
vantardise. Une chose apparaît clairement : au point
de vue de l'art, s'il s'agit d'architecture, de sculpture ou
de peinture, les juifs n'ont presque rien apporté en
comparaison des autres nations civilisées. On ne
trouve parmi eux qu'une poignée de compilateurs,
d'imitateurs de talent.
4. Hors de quelques passages dans la bible, les juifs
n'ont également apporté aucune oeuvre de
premier plan dans la littérature. Il n'y a eu ni un
Homère, ni un Sophocle, ni un Euripide, ni un Platon,
ni un Dante, ni un Ibn Kaldoun, ni un Shakespeare, ni un
Molière, ni un Goethe, ni un Balzac ou un Dostoievsky
juif. De même, on ne trouve pas de Plutarque, de
Thucydide, de Tacite, de Snorri Sturluson, de Carlyle, de
Mommsen ou de Toynbee juif.
Les juifs ont certainement produit quelques savants de
pointe. Par exemple des physiciens et mathématiciens
comme Einstein, John von Neumann et Edouard Teller qui ont
participé à la fabrication de la bombe
atomique. Malheureusement donc, leur recherche dans le
domaine scientifique n'offre que la perspective d'une
destruction de l'humanité !
La littérature juive tradest une
littérature de mode. On peut en dire autant du
domaine scientifique où les juifs se sont
créé un nom surtout en psychologie, en
sociologie ou en politique, de même que dans
l'économie nationale.
Il est indéniable que les juifs se
défendent avec succès dans la
communauté d'échanges internationaux
capitaliste occidentale même si leurs résultats
ne sont pas aussi probants que les média
pro-sionistes ne l'affirment. C'est en effet une loi non
écrite qu'on ne doit nommer les juifs en tant que
tels que si l'expérience est positive.
Par exemple, ont peut dire que les lauréats du
Prix Nobel comme Canetti et Singer sont juifs (c'est
l'Académie suédoise qui est responsable de
l'attribution des prix Nobel, mais c'est une organisation
qui se trouve sous forte influence franc-maçonne, et
qui a le devoir de désigner le plus possible de juifs
- ou bien de dire que des chanteurs de pop music comme Bob
Dylan (en fait Fred Zimmerman) ou Léonard Cohen sont
d'origine juive ; par contre l'origine juive des chefs de la
mafia ou des boss de la drogue ou des producteurs d'oeuvres
pornographiques n'est jamais soulignée.
Les succès importants des juifs dans la
société de concurrence capitaliste
s'expliquent sans difficulté. celui qui dispose
d'assez de capitaux, qui contrôle la branche
publicitaire et une bonne partie des média,
possède naturellement la clef de toutes les portes du
monde des affaires. Ceci vaut particulièrement pour
les E.U. où l'influence juive est énorme.La
dimension réelle de la puissance juive aux USA n'a
pas encore été pleinement
révélée.
Les juifs n'ont jamais été de
véritables démocrates Les racines de la
démocratie se trouvent dans l'Athènes des
Grecs et dans l'ancienne République romaine. En plus,
nous trouvons une démocratie dans le Nord Pensons aux
Lands germaniques ou à l'Angleterre où le
système parlementaire a été
appliqué très tôt. L'ancienne
forme de l'état juif était
théocratique, c'était un type d' auto-cratie
orientale. (Saul, David, Salomon)
Durant leurs siècles d'existence dans les ghettos,
les juifs n'ont jamais développé le moindre
rudiment d'un gouvernement démocratique. Le fait que
les juifs émancipés se soient mués plus
tard en disciples fervents de la démocratie
capitaliste (mais aussi les commissaires politiques du
bolchevisme, de Lénine et de Staline étaient
en majorité juifs !) doit faire subodorer qu'ils y
trouvent le moyen d'agir au mieux de leurs
intérêts particuliers.
Les sionistes devraient se rappeler que leur peuple, dans
notre siècle, a été responsable de
persécutions fanatiques contre les chrétiens
en URSS et dans les autres états communistes.
Le chef de l' "alliance des athées", du pouvoir
dirigeant sous la terreur religieuse barbare était un
certain Jaroslawsky alias Minej Israilovitch Kubelmann.
De même les goulags mortifères de l'empire
soviétique furent créés et
dirigés par des juifs comme le sait fort bien tout
lecteur de l' "Archipel du Goulag" d'Alexandre
Soljénitsine. Parmi les noms les plus fameux, on
trouve Naftali Aronowitsch Frenkel, Jakov Rappoport, Matvej
Berman, Lazar Kogan de même que le chef du GPU Genrich
Jagoda.
Un dirigeant sioniste américain, porte-parole
d'une "Ligue pour la Paix" américaine,
Théodore Nathan Kaufmann, ami intime du
Président des EU Roosevelt et de sa femme
Eléonore, publia, en mars 1941, un livre portant le
titre de "Germany Must Perish"(L'Allemagne doit
périr) Argyle Press, Neward, New Jersey.
Dans celui-ci, cet ami de la paix, Kaufmann, soutient que
la seule solution au problème allemand se trouve dans
l'extermination du peuple allemand par la
stérilisation de tous les hommes de moins de 60 ans
et de toutes les femmes de moins de 45 ans et par le partage
de l'Allemagne entre les pays voisins.
Ce programme de génocide radical trouva une
chaleureuse approbation dans les grands journaux des EU
comme le Times, le Washington Post et le New York Times.
Dans ce dernier il était présenté comme
"un plan pour garantir une paix durable entre les nations
civilisées."
Qu'on se souvienne en outre que Henry Morgenthau, le ministre des
finances juif de Roosevelt, proposa un plan durant la seconde guerre
mondiale qui proposait la transformation de toute l'Allemagne en un
pays exclusivement agricole sans la moindre industrie. Cette
réalisation aurait eu comme conséquence la mort par la faim d'au
moins 20 millions d'Allemands. Ce projet de génocide et si possible
sa réalisation semblent bien faire partie d'une tradition très
prisée par les juifs !
Les liens des juifs avec la criminalité
organisée sont exposés jusque dans les milieux
juifs Ainsi, dans l'Almanach juif très sérieux
de Richard Siegel et de Carl Rhein qui fut publié
à New York par Bantam Books, tout un chapitre est
consacré à ce sujet : "The Jewish Underworld
: American-Jewish Gangsters." Il y est dit entre autres : "Il n'est pas exagéré d'affirmer que
l'influence des bandits juifs dans le crime organisé
aux USA durant les années 20 et 30 était
comparable à celle des professionnels italiens, et
même qu'elle les surpasse encore"
Dans cet Almanach, sont cités nommément,
et se trouvent même les photos de quelques uns des
chefs gangsters de : Moses L. Annenberg, Louis "Lepke"
Buchalter et Jake "Greasy Thumb" Guzik à Meyer
Lansky et Benjamin "Bugsy" Siegel. Cette "démocratie" que les sionistes ont
réalisée en Israël est naturellement
d'une nature douteuse puisqu'elle exclut les Palestiniens ce
qui nie l'idée même de démocratie, de
même que les droits de l'homme et la volonté de
compréhension entre les peuples.
Aucun état n'a rejeté avec autant de
désinvolture les résolutions de l'ONU
qu'Israël. Aucun état en dehors d'Israël ne
se refuse à déterminer ses frontières.
Aucun état sauf Israël ne justifie la main-mise
sur des territoires en notre siècle, par la "volonté de dieu".
Non, la démocratie telle qu'elle est
pratiquée par les Israéliens n'est qu'une
farce, et pas une bonne farce ! Seuls les âmes
naïves croient en une telle supercherie.
Le sionisme s'appuie sur une philosophie
machiavélique Le chef de sa diplomatie est le "Prince" de Machiavel qui affirme : "Les hommes sont si
naïfs et se plaignent tellement du fardeau quotidien
qu'un trompeur trouve toujours quelqu'un prêt à
se laisser rouler par lui."
Ce n'est pas parce qu'ils sont des citoyens de nombreux
états, qu'ils parlent différentes langues et
s'approprient la culture des pays qu'ils habitent que les
Juifs sont des citoyens du monde et de véritables
internationalistes. Disciples de la religion juive
extrémiste, ethnocentriste, et du sionisme le plus
chauvin, ils paraissent des "citoyens du monde" à
peu près aussi convaincants qu'un sourd-muet comme
chanteur d'opéra.
Aux yeux de ces juifs, l'humanité et la
compréhension de l'être humain ne sont pas pour
tous les hommes mais uniquement pour les disciples de leur
foi.Car le Congrès mondial juif et l'organisation
mondiale sioniste se soucient-ils des intérêts
des autres peuples sinon de ceux du peuple juif ?
Israël a-t-il proposé à la Croix Rouge
internationale ou au Croissant Rouge international
d'adhérer ou de participer à des actions
humanitaires internationales ?
Les juifs s'intéressent aux autres peuples ou aux
individus non-juifs uniquement dans la mesure où le
point de vue de ces peuples ou de ces individus s'accorde
avec les intérêts de la juiverie. Un "citoyen
du monde" est quelqu'un qui non seulement peut se sentir
à l'aise dans une culture étrangère
mais encore considère tous les êtres humains
sans faire référence à leur race,
à leur nationalité, à leur religion
comme des frères et des soeurs
5. La revendication juive de la Palestine est totalement
injustifiée au nom des droits des peuples. Pourquoi
les juifs pourraient-ils, eux qui durant des
millénaires ont vécu disséminés
dans tous les pays imaginables, revendiquer tout à
coup un état particulier et l'obtenir par l'expulsion
ou l'oppression de la population qui y réside depuis
toujours ?. Peut-être parce que dans ce pays il y a eu, il y a très, très longtemps, il y a 2800
ans, un royaume juif ? cette revendication sioniste est
totalement absurde :
La revendication de la Palestine est fondée sur la
Bible juive, pourtant celle-ci n'est pas un véritable
livre d'histoire mais bien une collection de légendes
et de mythes que les Juifs ont amoncelés durant leur
prétendue captivité à Babylone et
qu'ils ont ensuite gonflés avec leur imagination.
C'est seulement à Babylone qu' ils ont
développé une tradition écrite
propre.
A cela s'ajoute que les histoires de l'Ancien Testament
sur les royaumes juifs d'Israël et de Juda, de
même que sur le royaume unifié de Salomon,
n'ont jamais été confirmées par la
recherche historique et archéologique.
On n'a trouvé en Palestine aucun vestige d'une
civilisation juive mais bien ceux de civilisations
phéniciennes, cananéenne et philistine. On n'a
pas retrouvé la moindre pierre du temple
légendaire de Salomon bien que, durant les 150
dernières années, les archéologues
aient fouillé nulle part ailleurs dans le monde
autant qu'en Palestine.
Selon toute vraisemblance, il y a eu seulement un petit
groupe de population juive et une poignée de
principautés vassales qui étaient tout
à fait dépendantes des grandes puissances de
l'époque : les Egyptiens, les Babyloniens, les
Assyriens, les Phéniciens et plus tard les Perses.
Peut-être l'ancien Israël se trouvait-il à
Asir dans le Sud-ouest de la péninsule arabique comme
l'affirme le professeur Kamal Salibi !
Les Juifs n'ont jamais vécu exclusivement en
Palestine mais ils ont vécu dispersés depuis
toujours dans différents pays. Après la "captivité de Babylone" du VIè siècle
avant J-C, comme cela a déjà été
souligné, la majorité des Juifs resta à
Babylone qui se trouvait sous l'autorité de la Perse.
Au temps de Jésus, la colonie juive était plus
dense dans l'Alexandrie égyptienne que toute la
population juive de Palestine.A ceux-là
s'ajoutèrent les communautés juives sur le
pourtour de la Méditerranée orientale et
même à Rome. Cela ne s'accorde en aucune
façon avec le fait que la diaspora juive ait
commencé seulement en l'an 70 après J-C avec
la destruction de Jérusalem par les légions
romaines.
Les tentatives sionistes pour créer un état
juif en Palestine ne purent être
réalisées que par la première guerre
mondiale. Pour attirer les Etats-Unis aux côtés
de la Grande Bretagne et de la France dans la guerre contre
l'Allemagne, le gouvernement britannique promit aux Juifs de
leur préparer une "foyer national" en Palestine.
Pour l'obtenir, les Juifs devaient se servir de leur
influence pour faire entrer les Etats-Unis dans la
guerre.
Les Sionistes revendiquèrent, il est vrai, d'abord
seulement un "foyer national" et en aucune façon un
Etat juif spécifique. Lord Curzon, le successeur de
Balfour avait sans doute subodoré la
réalité comme ministre des affaires
étrangères lorsqu'il écrivait
déjà, le 26 février 1919, : "Weizman
peut leur raconter ce qu'il veut et il peuvent comprendre
sous le terme "foyer national" un centre culturel et de
religion juive. Cependant il veut tout à fait autre
chose. Il a en vue un état juif, une nation juive qui
soit gouvernée par les Juifs et dans lequel la
population arabe ne jouerait qu'un rôle de second
plan. Cela, il désire le créer sournoisement
sous la protection de l'administration britannique".
En mars 1921, le Conseil national juif, l'ancienne
organisation sioniste la plus influente à
l'époque envoya au ministre des colonies Winston
Churchill un mémorandum qui contenait ce qui suit : "Nous ne pouvons pas supporter la pensée que nous
voulons enlever leurs droits à une autre nation."
Mais lorsque les Sionistes, plus tard, par le mensonge et
la fourberie, les armes et la terreur, construisirent leur
état d'Israël, chaque chef israélite a
admis tout à fait ouvertement que toutes les
promesses antérieures, de créer un "foyer
national juif" pour l'administration de la culture juive,
n'avait pas été autre chose qu'un
fieffé mensonge qui dissimulait l'intention d'amorcer
la création d'un état juif.
Le culot des
sionistes
Si l'état lilliputien d'Israël qui ne
pourrait absolument pas exister sans le chantage de sa
cinquième colonne sioniste située aux USA, se
procurait l'arme atomique et menaçait d'exterminer
totalement sinon partiellement tout ce qui l'entoure, alors
la menace sioniste sur la civilisation du genre humain
atteindrait son plus haut point.
Le monde libre doit absolument s'y opposer de toutes ses
forces. Car il ne s'agirait plus seulement des Palestiniens
volés et de leur droit de mener une vie d'êtres
humains à part entière dans leur propre
patrie, mais de l'avenir, de la survie même de toute
l'humanité.
La propagande sioniste est totalement
dénuée de conscience. Les mensonges
éhontés des sionistes sont
présentés comme des vérités,
leur brutalité comme de la justice, leur terrorisme
d'état comme une "lutte contre le terrorisme",
leurs intrigues ourdies comme de la diplomatie, leurs
atteintes à la liberté d'expression comme une
liberté de pensée, leur machiavélisme
comme une morale, leur campagne ordurière comme une
défense de la tolérance et de la
démocratie. En bref, ils inversent toutes les
valeurs.
Cela tient peut-être au fait que mentalement ils se
sentent ligotés par la peur de mépriser les
ordres de Yahvé. Celui-ci, en effet, leur ferait
subir les pires châtiments pour leur
désobéissance : "Si vous vos opposez à
moi, et ne consentez pas à m'écouter,
j'accumulerai sur vous ces plaies au septuple pour vos
péchés (...) C'est moi qui dévasterai le
pays et ils en seront stupéfaits, vos ennemis venus
l'habiter ! Vous, je vous disperserai parmi les nations. Je
dégainerai contre vous l'épée pour
faire de votre pays une lande et de vos villes une ruine."
Un peuple prie un dieu monstrueux et devient par
là lui-même monstrueux !, un abominable ennemi
de la Vérité et de la Morale ! Ou bien y
aurait-il une autre explication à un tel
phénomène ?
La propagande sioniste se sert toujours de quelques armes
qui se révèlent être extraordinairement
efficaces :
1. Un lavage de cerveau par de continuels rabâchages
des hypothèses de base mensongères du sionisme
jusqu'à ce que par la force de l'habitude, le peuple
accepte ces mensonges comme argent comptant.
2. Une compassion à leur égard par un rappel
incessant des souffrances endurées par le peuple
juif, souffrances dont les juifs ne portent naturellement
pas la moindre responsabilité. Cela commence avec la
"servitude en Egypte" et la "captivité à
Babylone" et se termine avec les "chambres à gaz"
de l' "Holocauste".
Dans leur entourage, ces histoires juives sont
utilisées par les Juifs pour se présenter
comme le peuple miraculé, le seul peuple martyr de
l'antiquité ayant survécu de manière
à susciter la compassion et un sentiment de
culpabilité chez les autres peuples. Ceux-ci ne
peuvent évidemment expier leur faute qu'en honorant
le "peuple élu" sans réserve, et en gardant
ses souhaits toujours présents devant les yeux.
3. Des campagnes de diffamation sont une des armes
favorites des sionistes. On inculque à tout un chacun
qu'un individu marqué au fer rouge du titre infamant
d'antisémite ou de "porteur de haine contre les
juifs" a commis le crime le plus horrible dont on puisse se
rendre coupable, un crime beaucoup plus grave qu'un
blasphème, beaucoup plus répugnant qu' un vol,
qu' un crime, qu' un assassinat. Un sacrilège peut
quand même être un brave homme et un voleur, un
criminel, un assassin peuvent s'améliorer et
être réinsérés socialement, mais
pas un "antisémite".
Pour que puisse se réaliser la force de frappe de
la propagande sioniste, il faut obligatoirement le
contrôle absolu sur toutes les entreprises importantes
qui concourent à façonner l'opinion publique:
l'industrie publicitaire, la presse, les grandes maisons
d'édition, le théâtre et le show
business, les films, la télévision, la
vidéo et la radio ainsi que de nombreuses entreprises
dont les annonces sont nécessaires pour financer les
médias. D'où il devient possible d'amadouer
les organismes médiatiques récalcitrants par
le boycottage.
Cette pression s'exerce sur les organismes qui osent
élever une critique contre le sionisme, ses plans et
ses méthodes. Aux USA, toutes ces conditions sont
parfaitement remplies mais elles sont en vigueur
également en Suède et dans beaucoup
d'états occidentaux. Le véhicule de la
propagande sioniste est ici la culture impérialiste
américaine.
La vulgarité de cette sous-culture
décadente américaine qui coule à flots
continus, son humour plat, sa sentimentalité
larmoyante, son hard rock assourdissant, ses ineptes
inventions quant à la mode, sa pornographie, son
culte de la violence, tout cela est d'origine sioniste et
est répandu par leurs commis.
En tout cas, l'intérêt des sionistes y
trouve son compte : dans l'abrutissement et
l'abêtissement des masses pour fabriquer des idiots
tournés vers la consommation qui n'ont plus la
moindre étincelle d'intelligence, de sens critique,
et qui deviennent de ce fait des proies faciles pour les
ambitions politiques des sionistes. Ceux-ci, au moins dans
le monde technologiquement progressiste et riche de
l'Occident, s'efforcent de parvenir à garder sous
contrôle l'opinion publique.
Dénoncer le sionisme et sa propagande est un
devoir terriblement important, essentiel.
LE SOI-DISANT
"ANTISEMITISME"
La haine envers les juifs, appelée
communément "antisémitisme" a
été le bouillon de culture du sionisme et
l'est resté jusqu'à aujourd'hui. Sans
antisémitisme, pas de sémitisme.
Pour les sionistes, le principal danger est le risque
d'intégration juive parce qu'un juif
intégré n'est plus un nationaliste juif et ne
peut plus servir par conséquent de lansquenet pour le
sionisme. L'unité du judaïsme par delà
les frontières et le mythe d'un peuple juif unique
qui se distingue des autres peuples, ce qui est
précisément le fondement même du
sionisme disparaissent.
Pour exister, cette unité des juifs a besoin d'une
menace reconnue contre tous les juifs :
l'antisémitisme. S'il n'existait pas un tel mouvement
au sein de la société laïque moderne,
l'intégration des juifs serait facilitée et
accélérée. Et le sionisme deviendrait
un quartier général sans soldats du sommet
à la base. C'est pourquoi l'antisémitisme est
indispensable aux sionistes, comme le sauveur face à
leur misère. (Ils vont donc jusqu'à l'inventer)
voici quelques propos de sionistes connus :
Théedore Herzl, le fondateur du sionisme, a
écrit dans son journal : "Les antisémites
sont devenus nos alliés et les pays
antisémites(?) nos amis." (Pataï, 1960, vol. I,
p.84)
Le Docteur Arthur Ruppin a dit : "On ne peut pas
vraiment affirmer que l'antisémitisme a produit
à lui tout seul le sionisme, mais en Europe
occidentale au moins, l'antisémitisme est l'agitateur
le plus actif pour la cause sioniste et la disparition de
l'antisémitisme (qui n'existe pas) entrainerait celle
du sionisme." (Les juifs contemporains, éd. juive,
Cologne, 1911, p.278).
Le Docteur Léo Wertheimer a écrit dans son
livre paru en 1968 : "La haine envers les juifs et les
juifs" : "L'antisémitisme est l'ange sauveur des
juifs, qui oeuvre puissamment à ce que les juifs
restent juifs... Les antisémites ont
créé la conscience d'être juifs chez
beaucoup de juifs qui ne désiraient pas l'être." (cité d'après le Docteur Franz Scheidl, "Israël, rêve et réalité", Vienne,
1962, p.18)
Le grand chef du sionisme, Nahum Goldmann, a dit dans un
discours prononcé lors de la rencontre du
Congrès mondial juif du 27 juillet 1958, à
Genève : "Si l'antisémitisme disparaît
dans sa forme classique, cela conduirait sans doute à
une amélioration matérielle et politique au
niveau de la communauté juive partout dans le monde,
mais cela aurait surtout une action négative sur
notre être intime. Notre peuple sait se battre
héroïquement (?) dans les mauvais jours, mais
il n'a pas encore appris à vivre d'une façon
créatrice dans les jours meilleurs." (New York
Times, 24 juillet 1958)
Dans son livre "Le paradoxe juif", Goldmann continue :
"Une totale intégration serait une véritable
catastrophe pour l'ensemble de la vie juive." (p. 182 de
l'édition suédoise parue à
Stockholm)
Le Professeur Jeshua Goldmann a déclaré au
26e rassemblement de l'Organisation Mondiale Sioniste en
Israël, le 30 décembre 1964 : "Le plus grand
danger pour le judaïsme et l'unité juive est l'
absence d'antisémitisme" (cité d'après
le docteur Franz Scheidl, voir plus haut, p.18)
Il ne subsiste aucun doute que le sionisme est
indissolublement lié à l'antisémitisme
et que sans lui il ne serait pas viable. Les sionistes
clament sans cesse leur peur et leur dégoût de
l'antisémitisme mais ne veulent pas qu'il
disparaisse, mais au contraire voudrait le voir se
réveiller, le rappeler sans cesse à la vie. Si
l'antisémitisme mourrait, le sionisme mourrait avec
lui. C'est pourquoi il ont forgé ce nouveau
mythe.
LE MYTHE DE LA RACE
DES SEIGNEURS
Comparer et assimiler le sionisme raciste au National
Socialisme relève de l'ignorance.
Le National Socialisme, mouvement politique qui a voulu
le bien de son pays et n'a jamais voulu s'imposer aux autres
peuples. Qui a voulu redonner aux Allemands leur honneur
d'êtres humains après la terrible
déchéance orchestrée par les vainqueurs
de 1918. Mouvement qui n'a jamais haï les juifs en
tant qu'individus, mais a cherché à les
empêcher de nuire dans les domaines où ils s
'étaient incrustés comme parasites,
mérite tout notre admiration. A l'opposé du
sionisme qui est un mouvement religieux qui veut la
domination du Mal sur le monde et utilise en ce but les
moyens les plus dépravés et les plus
horribles.
Nous trouvons dans la bible juive des propositions que la
connaissance de la Torah énonce comme suit : "Yahvé fera de toi son peuple qui lui est
consacré ainsi qu'il te l'avait promis si tu gardes
ses commandements et que tu marches dans ses voies. Et tous
les peuples sur la terre verront que tu portes le nom du
Seigneur et ils te craindront." (5 Moïse, 28
:9-10)
Les autres peuples doivent craindre le peuple élu. Mais cela ne
suffit pas, le peuple élu doit aussi régner sur les autres peuples
comme il est prescrit dans le 5e livre de Moïse, 28 :13 : "Et Yahvé
te mettra à la tête et non à la queue. Tu ne seras jamais qu'au
dessus et non point au dessous si tu écoutes les commandements de
Yahvé ton dieu, que je te prescris aujourd'hui pour les garder et
les mettre en pratique."
Que le peuple des hommes élus possède le
droit d'expulser les autres peuples et de les soumettre
ressort de cette autre citation de la bible :
"Car si vraiment vous gardez et pratiquez tous ces
commandements que je vous prescris, aimant Yahvé
votre dieu, marchant dans toutes ses voies, et vous
attachant à lui, Yahvé
dépossédera à votre profit toutes ces
nations et vous déposséderez des nations plus
grandes et plus puissantes que vous. Tout lieu que foulera
la plante de vos pieds sera vôtre ; depuis le
désert, depuis le Liban, depuis le fleuve Euphrate
jusqu'à la Mer occidentale, s'étendra votre
territoire. Personne ne tiendra devant vous, Yahvé
votre dieu vous fera craindre et redouter sur toute
l'étendue du pays que vous foulerez ainsi qu'il vous
l'a dit." (Moïse 5, 11 : 22-25)
Les paroles suivantes de la bible révèlent
que le génocide est désigné comme une
action qui plaît à leur dieu et qu'il est
sévèrement défendu de se
mélanger aux autres races et autres peuples :
"Lorsque Yahvé ton dieu t'aura fait entrer dans
le pays dont tu vas prendre possession, des nations
nombreuses tomberont devant toi : les Hittites, les
Girgashites, les Amorites, les Cananéens, les
Périzzites, les Hivvites, les
Jébuséens, sept nations plus nombreuses et
plus puissantes que toi. Yahvé ton dieu te les
livrera et tu les battras. Tu les désavoueras par
anathème. Tu ne conclueras pas d'alliance avec elles,
tu ne leur feras pas grâce. Tu ne contracteras pas de
mariage avec elles, tu ne donneras pas ta fille à
leur fils ni ne prendras leur fille pour ton fils."
Les politiciens qui dirigent Israël
légitiment le rapt sioniste du territoire palestinien
de même que la politique raciste et expansionniste d'
Israël en se référant à la bible.
Est-il besoin d'exemples ?
"Ce pays existe comme résultat d'une promesse
faite par notre dieu lui-même. Il serait absurde de
mendier la reconnaissance de sa légitimité." a
dit Golda Meir, l'ancienne premier Ministre d'Israël,
en octobre 1971 lors d'un discours devant la Knesseth. (Le
Monde, 15 octobre 1971)
"Ce pays nous était promis, nous avons tous les
droits sur lui." a dit le premier Ministre Menahem Begin,
lorsqu'il reçut le Prix Nobel de la Paix (!)
à Oslo. (Dabar, 12 décembre 1978)
LES JUIFS ONT-ILS
TOUJOURS ETE PERSECUTES ?
La thèse continuellement
répétée comme quoi les Juifs auraient
été persécutés tout au long de
l'histoire, sans qu'il ait eu faute de leur part doit
être remise en question, de même que la
thèse suivant laquelle la haine envers les Juifs (ou
antisémitisme) serait une manifestation presque
chronique chez tous les peuples.
Dans leur livre "Why the Jews ?" (Simon and Schuster,
New York, 1983, p. 17), les deux auteurs juifs, Dennis
Prager et Joseph Teleshkin écrivent : "La haine
envers les juifs fut la grande haine de l'humanité.
Bien que d'autres groupes aient été haïs,
en aucun cas la haine n' a été si
étendue, si profonde et si durable que contre les
Juifs." Ces phrases sont typiques. Elles reflètent
la dominante non seulement des innombrables articles de
polémique issues de la plume des Juifs, mais aussi
d'oeuvres importantes qualifiées de sérieuses
qui décrivent l'histoire des Juifs et de
l'antisémitisme. Dans chaque cas, pour ainsi dire,
les éditeurs sont des Juifs. En Suède, Le
professeur aujourd'hui décédé, Hugo
Valentin, en France, Léon Poliakov, dirigeant du
Centre de Documentation juif, à Paris, en
Amérique, entre autres, Max I. Dimont Ainsi tous ces
livres sont partiaux.
En de telles conditions, il est bon d'attirer l'attention
sur le livre objectif du professeur Efraïm Briem, "Antisemitismen genom tiderna" (L'antisémitisme au
fil du temps) Natur och Kultur, Stockholm, 1940 duquel nous
voulons citer quelques passages sur l'antisémitisme
dans l'ancienne Rome :
"Une cause de la haine envers les Juifs résultait
du fait que les Juifs, plus que n'importe quel autre peuple, profitaient dans l'Antiquité de nombreux avantages
et droits particuliers qui n'étaient pas
justifiés. Pour des raisons diverses, plusieurs
empereurs romains, depuis Jules César, favorisaient
les Juifs, et divers édits leur assuraient la
liberté religieuse. Pour qu'ils puissent observer
rigoureusement le sabbat, ils étaient exemptés
du service militaire afin qu'ils ne doivent pas prendre les
armes le samedi (p. 169). Que de cette façon, les
Juifs jouissaient de plus de liberté et de droits
qu'ils n'accordaient eux-mêmes aux autres peuples
vaincus ressort de nombreuses citations de Josèphe,
le plus grand historien juif qui vécut de l'an 37
à l'an 100 après J.C.
L'orientaliste renommé, le professeur Julius
Wellhausen écrit dans son ouvrage : "Israël,
Histoire juive", page 236 : "Les Juifs jouissaient de
divers privilèges et libertés pour pouvoir
accomplir leurs obligations religieuses. Ils avaient
même leur propre jurisprudence liée
étroitement à leur foi. Ainsi, ils obtenaient
le droit de prélever l'impôt capitulaire
prescrit par la loi de Moïse pour le service du temple
et l'expédiaient à Jérusalem. Ils
étaient donc privilégiés d'une
manière importante même s'ils n'étaient
pas reconnus comme citoyens romains et par là, exclus
du gouvernement de l'Empire. Ce dernier fait n'est
d'ailleurs que la conséquence de leur propre refus de
participer aux affaires communes et aux
cérémonies religieuses publiques."
Evidemment cette situation particulière des Juifs
pouvait peut-être provoquer l'hostilité de la
part des autres citoyens mais surtout grâce à
ces privilèges, ils pouvaient s'isoler des autres
groupes humains et conserver ainsi leurs
particularités. Ceci de même que leur
ethnocentrisme éveillait l'antipathie chez les autres. Ainsi nous trouvons des propos anti-juifs chez divers
écrivains grecs et romains.
Les Juifs auraient-ils été
réellement persécutés (et
d'après les citations, il semble bien que non), eux
ne se gênaient pas pour persécuter les autres
partout où ils se répandaient. Moins de 50 ans
après la destruction de Jérusalem, en l'an 116
après J.C., la population juive se souleva dans
toute la région méditerranéenne
orientale pour exterminer les peuples parmi lesquels ils
vivaient et qui les détestaient autant qu'eux les
haïssaient. Le soulèvement juif se concentra en
première ligne sur l'Egypte, la
Cyrénaïque, et sur Chypre, mais s'étendit
aussi en Mésopotamie et en Palestine Partout
où les Juifs sortaient vainqueurs, ils commettaient
des massacres certainement aussi sinon plus horribles que
ceux qu'ils avaient subi eux-mêmes auparavant. Ils
faisaient mourir leurs victimes à petit feu et
forçaient leurs prisonniers à s'affronter dans
des combats de gladiateurs où les vaincus
étaient toujours condamnés à mort. En
Cyrénaïque, Les Juifs auraient tué pas
moins de 22 000 habitants, à Chypre même, 240
000. Ces chiffre semblent exorbitants. D'après
l'historien Dio Cassius, (qui est crédible
d'après Gibbon et Mommsen) les juifs taillaient en
morceaux les cadavres des vaincus et se barbouillaient de
leur sang.
En Palestine, des agitations débutèrent
à nouveau,en l'an 132, sous la conduite du chef de
bandits, Bar Koshba, le "Fils de l'Etoile" Ce nom fait
allusion à une prophétie du 4e livre de
Moïse(24. 17-19) que voici : "Je le vois, mais non
pour maintenant, je l'aperçois - mais non de
près : Un astre issu de Jacob devient chef, un
sceptre se lève, issu d'Israël. Il frappe les
tempes de Moab et les crânes de tous les fils de Seth.
Edom devient un pays conquis ; pays conquis, Séir.
Israël déploie sa puissance. Jacob domine sur
ses ennemis et fait périr les rescapés d'Ar."
Ce Bar Koshba a été proclamé messie
par l'écrivain de renom Rabi Akiba et honoré
comme tel par le peuple juif. Ce soulèvement avait
pris des allures si barbares que l'empereur Hadrien a
dû rappeler de Grande Bretagne son meilleur
général Julius Severus pour le mater. C'est
seulement en 135, après 3 années de lutte
acharnée que la rébellion fut
domptée.
580 000 hommes auraient été tués et
toute la Judée était en ruines, couverte de
cendres. Tout cela ne contribua pas à renforcer la
position des Juifs dans l'Empire romain et jusqu'à
l'avènement du christianisme, il régna durant
toute l'époque dite païenne une ambiance
anti-juive assez prononcée
RACISME DE JUIFS
MONDIALEMENT CONNUS
Dans la propagande sioniste, on souligne avec force que
les anti-sionistes, c'est à dire ceux qui condamnent
Israël et sa politique de répression et
d'occupation seraient des racistes et des
antisémites.
En réalité, c'est l'inverse qui est le cas.
Les sionistes eux-mêmes sont des racistes. Mais la
majorité des gens ne connaissent pas l'histoire ; ils
croient en la version sioniste falsifiée qui leur
sert de propagande. Malheureusement tous les propagandistes
le savent bien :quand un mensonge est
répété assez souvent sans jamais
être contredit publiquement, la majorité finit
par le considérer comme une vérité.
Nous tenons à préciser que nos sources sont
sionistes. Personne ne pourra donc nous accuser
d'anti-sionisme. Les sionistes eux-mêmes
révèlent leur racisme.
Theodor Herzl, la figure centrale du sionisme,
n'était pas un adversaire de l'anti-sémitisme,
du moins pas un adversaire actif. Il le considérait
comme inévitable et incurable. Dans les notes de son
journal intime, il écrit :
"Je comprends l'anti-sémitisme. Nous, les Juifs,
nous l'avons provoqué nous-mêmes en tant
qu'étrangers dans divers pays. En fait,
l'anti-sémitisme est la conséquence de
l'émancipation juive. mais l'anti-sémitisme ne
sera pas nuisible aux Juifs : je le considère comme
un mouvement utile à l'éducation du
caractère juif. (Journal, Berlin 1922, traduit en
suédois)
Théodor Herzl n'était pourtant pas le
premier sioniste politique. Il y eut Moses Hess, un ancien
ami du jeune Karl Marx. "Par Moses Hess, l'idée
nationale juive s'est érigée sur la notion de
race" relevait Edmond Silberner dans son livre : "Socialists and the Jewish question" (Princeton
University,
1969). Le fait que Moses Hess fut le premier véritable
sioniste est confirmé aussi par Chaïm Weizmann
dans son autobiographie ("Ett liv i kamp för Israël",
Une vie de combat pour Israël, Stockholm, 1951, p.
60)
Dans son livre paru en 1862, "Rome et Jérusalem", Hess déclare : "Jusqu'à ce jour,
l'histoire dans son ensemble s'est déroulée
autour de luttes de races et de classes. La race est
à l'origine de la lutte, la cause primordiale ; en
second vient la lutte des classes. Cette lutte des races
s'est déroulée au cours de l'histoire avant
tout entre deux races opposées : les Aryens et les
Sémites" (trad du suédois)
Cette conception de l'histoire se retrouve quant à
la lutte des races dans le livre de Gobineau "Sur la
différence des races humaines" et dans celui de
Steward Chamberlain, "Les bases du 19e siècle".
Chamberlain était anglais de naissance mais adopta
plus tard la nationalité allemande
Moses pensait cependant : "Si l'on doit avouer que des
races différentes existent, cela ne doit pas conduire
pour autant à parler de races supérieures ou
inférieures. Une vie harmonieuse entre les peuples ne
peut être obtenue que si chaque peuple se
libère de toute domination étrangère.
L'indépendance nationale est la condition
nécessaire à tout progrès politique et
social." (trad. du suédois)
C'est Moses Hess qui créa le premier l'expression
"national- socialisme" et ceci déjà en
l'année 1862.
Le successeur de Théodore Herzl et porte-parole de
l'organisation sioniste mondiale devint un écrivain
renommé : il s'agit de Max Nordau. Bien qu'il fut
marié à une chrétienne non-juive et
qu'il avait fait baptisé ses enfants, Max Nordau
était un raciste juif ou sioniste. Le 21.12.1903, il
s'exprimait ainsi dans le journal antisémite de
Edouard Drumont, "La parole libre" : "Le sionisme n'est
pas une question de religion mais exclusivement une question
de race, et à cet égard personne n'approuve
davantage Monsieur Drumond que moi !"(Desmond Steward,
Theodore Herzl, p. 332)
Contrairement à la plupart des juifs
émancipés, les sionistes acceptent la
conception fondamentale que les Juifs forment un peuple bien
à eux qui vit dans des pays étrangers auxquels
il leur est impossible de s'assimiler. La seule
véritable patrie des Juifs est le pays de leurs
pères, la Palestine.
Sur ce point, les sionistes sont entièrement
d'accord avec les antisémites. Ils font comprendre
à ces derniers que les mariages mixtes sont un mal et
ceci non pour des raisons religieuses ou culturelles mais
parce que leur sang, leur race, doivent rester purs. Pour
cela, ils se réfèrent à la Torah
(Moïse, 5, 7 :3-4) et aux législateurs Esdras et
Néhémie dans l'Ancien Testament.
Le philosophe Martin Buber vénéré
par de nombreux Juifs et que certains tiennent pour le plus
important penseur juif du siècle, écrivit en
1911, dans son livre : "Trois discours sur le judaïsme" : "C'est le sang que le Juif ressent comme son
héritage millénaire et qui le rend immortel.
Cette connaissance du fait que le sang produit la force
nutritive de chaque individu est essentielle. Que les lois
les plus profondes de notre existence sont
déterminées par le sang, que notre
pensée intérieure et notre volonté sont
déterminées par lui...Si quelqu'un est
amené à choisir entre les influences de
l'environnement et la substance et la source de vigueur du
sang, il se décidera pour le sang s'il veut
être un juif authentique." (trad. du
suédois)
Cette conception du sang et du sol se retrouve, mais
sans haine, dans le national socialisme. Pour lui, les Juifs
sont toujours des Sémites dont la seule
véritable patrie fut la Palestine. Dans son livre
pré-cité, Martin Buber affirme : "Les juifs
ont été chassés de leur pays et se sont
éparpillés dans tous les pays de l'Ouest et
pourtant ils sont restés des orientaux, des Juifs et
rien que des Juifs... On peut remarquer ceci même chez
les Juifs les mieux assimilés dès qu'on arrive
à toucher leur âme. Dès que le Juif
entre en contact avec sa terre maternelle, il devient
à nouveau créateur ; (p ; 75-77, trad. du
suédois)
Le sionisme mystique de Buber ne va pas jusqu'au racisme
sioniste populaire. Le responsable de ce dernier sera le
Juif autrichien Ignatz Zollshau. Il disait : "Les Juifs
forment une nation au sang pur avec un sentiment très
développé de la pureté de la famille et
avec des vertus enracinées profondément, qui
se traduisent par une activité intellectuelle
supérieure incomparable. L'interdiction des mariages
mixtes avec des peuples étrangers de moindre valeur a
créé les conditions pour ces valeurs morales
et ces performances intellectuelles qui ne doivent pas se
perdre par un mélange avec des races
inférieures ; Si une telle race surdouée
obtenait une nouvelle fois la possibilité de
développer sa force originelle, personne ne pourrait
se mesurer avec ses exploits." (Questions juives, 1914,
trad. du suédois)
Le savant, peut-être le plus célèbre
de notre siècle, Albert Einstein, un Juif, dont les
coreligionnaires sont si fiers, n'est pas non plus exempt
d'idées racistes il dit, par exemple, d'après
le livre de Salomon Goldman (1938, p. 116) :
"Les nations qui se composent de plusieurs races
semblent posséder un instinct qui agit contre le
mélange des races. L'assimilation des Juifs dans les
nations européennes n' a pas pu anéantir le
sentiment de parenté entre les Juifs et
l'incompatiblité avec leurs peuples d'accueil. Et ce
manque fondamental de sentiment de parenté entre
Juifs et non-Juifs ne peut être éliminé
par aucune pression si forte et si bien intentionnée
qu'elle soit."
Le prix Noble de la paix de renommée mondiale,
Albert Einstein, dont la théorie de la
relativité fit sensation à son époque,
met donc son immense prestige dans la balance en faveur
d'une pensée raciste que les Juifs reprochent aux
autres d'utiliser à leur encontre.
Ce même Albert Einstein tenta aussi de convaincre
par une série de lettres le président des
Etats Unis, Franklin Rooseveld que les Etats Unis devaient
fabriquer la bombe atomique et a contribué ainsi de
façon déterminante à l'avènement
de l'âge des armes nucléaires sous l'ombre
desquelles le monde entier vit avec terreur. Comparons
à ceci Max I Dimont, "Judarna, Gud och historien" (les juifs, Dieu et l'histoire) Stockholm 1980, p.
305.
Maurice Samuel, fut un raciste enragé parmi les
sionistes, qui, dans ce domaine dépasse tous ses
amis politiques. C'est à lui que Chaïm Weizman a
exprimé ses remerciements les plus sincères
dans son autobiographie : "Trial and Error". Samuel, un
écrivain américain très connu à
l'époque, a publié en 1927 le livre "I, the
Jew" (moi, le Juif) dans lequel il condamnait avec
indignation une ville qu'il n'avait jamais visitée
durant sa vie et qu'il ne connaissait que par ouï-dire,
la ville de Taos à New Mexico :
"Dans ce petit endroit, il y a des représentants
de toutes les races, des noirs africains, des mongols
américains, des Chinois, des sémites et des
aryens qui se mélangent pêle-mêle et se
fréquentent entre eux. Pourquoi ce spectacle
demi-réel, demi-irréel, éveille-t-il en
moi un dédain, quelque chose de honteux, d'une
animosité lugubre ? Cet ensemble a l'air d'une
poignée de reptiles grouillant dans une poubelle."
La plupart des gens trouvent trop choquant pour
être vraie l'idée que le sionisme soit une
idéologie raciste et que ses militants soient des
racistes. Finalement on nous a tellement submergés
jusqu'à plus soif de thèses de la propagande
sioniste qui affirment que les sionistes combattent le
racisme et sont eux-mêmes les victimes de puissances
racistes occultes ! Nous avons montré ci-dessus que
des dirigeants sionistes comme Moses Hess, Max Nordau, le
philosophe renommé Martin Buber de même que le
physicien célèbre de renommée mondiale,
Albert Einstein et Maurice Samuel, collaborateur intime de
Chaïm Weizman étaient tous des racistes
chevronnés.
Pour les sionistes, l'assimilation des Juifs
représente l'ennemi numéro 1. Tant que les
Juifs persécutés en Russie et en Europe de
l'Est pouvaient émigrer vers l'Europe de l'Ouest et
surtout vers l'Amérique, tant que les Juifs
étaient considérés dans l'ensemble
comme des citoyens égaux à ceux des
états qui les hébergeaient, le danger existait
que les Juifs ne se mélangent avec les peuples
d'accueil et n'oublient leur origine juive, ce que les
sionistes reconnaissaient avec raison. Dès lors il
n'y aurait plus de solidarité juive par delà
les frontières et le sionisme deviendrait superflu.
Cette perspective paraissait sombre aux sionistes et l'est
restée encore aujourd'hui.
L'anti-sémitisme, la haine des Juifs,
étaient considérés comme des sauveurs
dans la détresse, des alliés
indispensables.
Voici maintenant des citations de quelques sionistes
importants : Leo Wertheimer écrivit en 1918 dans son
livre "La haine des Juifs et les Juifs" : "L'antisémitisme est l'ange gardien des Juifs qui
contribue énergiquement à ce que les Juifs
restent juifs. Les antisémites ont créé
la conscience juive chez de nombreux juifs qui ne voulaient
pas être juifs." (cité d'après Franz
Scheidl : "Israël, rêve et réalité", Vienne 1962, p. 18 trad. du suédois)
Théodore Herzl a dit : "Les antisémites
seront nos amis les plus fidèles et les pays
antisémites seront nos alliés." (Patai,
1960, vol 1, p. 84).
Le docteur Nahum Goldmann, décédé
à l'âge biblique de 87 ans, fut le sioniste le
plus important de tous les temps, un véritable
Hercule du sionisme : président de la
Conférence Mondiale pour l'enseignement juif,
président de l'Organisation sioniste Mondiale,
président du Congrès Mondial juif,
président de l'Agence Jewish Claims qui escroque des
indemnisations à l'Allemagne et président du
Comité exécutif de la Jewish Agency. Ce Nahum
Goldmann a donc dit lors du discours d'ouverture de la
Rencontre du Congrès juif mondial à
Genève :
"Quand l'antisémitisme dans sa forme classique
disparaît, cela conduit sûrement à une
amélioration de la situation matérielle et
politique des communautés juives de par le monde,
mais simultanément, cela produit une
répercussion négative sur notre vie
intérieure. Notre peuple juif sait se battre
héroïquement dans les temps difficiles mais il
n'a pas encore appris à vivre d'une façon
créative lorsque tout va bien."
Le 30 du 12 1964, il déclara à la 26e
rencontre du Congrès mondial sioniste en Israël
: "Le plus grand danger pour le judaïsme et
l'unité juive est le manque d'antisémitisme."
(Franz Sheidl, cité ci-dessus, p. 18, trad. du
suédois)
Le chef sioniste Nahum Goldmann voulait interdire aux
Juifs de se mélanger à d'autres peuples. dans
"Le paradoxe juif", il écrit : "Une assimilation
complète serait une réelle catastrophe pour
toute la vie juive." (p. 182 de l'éd.
suédoise ;1978, Tiden)
En 1951, le chercheur et historien juif, le professeur
Bruno Blau affirmait : "Aussi curieux que cela puisse
paraître, l'état d'Israël doit toute sa
reconnaissance au Reich d'Hitler de ce siècle parce
que sans le dynamisme de l'antisémitisme
national-socialiste, les Nations Unies n'auraient jamais pris
la décision de soutenir la création d'un
état juif dans la Palestine arabe" "L'état
d'Israël dans son devenir", Cahiers de Francfort,
décembre 1951, etc.)
Les juifs sont une race à part. C'est l'opinion
professée par Louis D. Brandeis, membre du Tribunal
Suprême des USA et président de longue date de
l'Alliance sioniste américaine, un homme avec lequel
Chaïm Weizman était en contact permanent comme
il est précisé dans ses mémoires
déjà citées.
Pour Brandéis, le sionisme était une
expérience intellectuelle qui reposait sur une base
logique solide et sur le raisonnement, écrit
Weizman.
Ce Brandeis annonçait : "Nous désirons
avouer franchement que nous, les Juifs, nous
représentons une nation toute particulière
à laquelle appartient obligatoirement chaque Juif
quelle que soient sa situation sociale et sa relation avec
la foi. Nous devons nous organiser aussi longtemps qu'il
sera nécessaire pour que chaque Juif valide se range
volontairement ou non sous notre bannière."
Il est curieux de constater que certains activistes
sionistes auraient pu passer pour de véritables
antisémites ! L'Organisation de la jeunesse sioniste
"Hashome Hatzaïr" ("Les jeunes veilleurs de nuit")
créée en 1917, publia en 1936, le pamphlet qui
suit :
"Le Juif est la caricature d'un être humain
normal, naturel, aussi bien physiquement que
spirituellement. En tant qu'isolé dans la
société, il est un émeutier ; il
n'admet pas les devoirs imposés par la
société et ne reconnaît ni l'ordre ni la
discipline."
C'est de la même façon que s'est exprimé le sioniste américain Ben
Frommer : "Il est indéniable que les Juifs, vus collectivement, sont
des malades et des névrotiques. Les Juifs qui se savent malades et
nient le fait sont les pires ennemis de leur propre race parce
qu'ils cherchent de fausses solutions au problème juif, ("The Significance of a Jewish
State", dans le cahier "The Jewish Call", Shangaï,
mai 1935, p.10) les pires ennemis de leur propre race
Cette haine des Juifs envers eux-mêmes n'avait rien
d'étonnant parmi les sionistes militants des
années 20. En 1934, Jehezkel Kaufman, un chercheur
bien connu dans le domaine historique à
l'Université hébraïque de
Jérusalem, fit sensation en révélant
ouvertement quelques-uns des pires passages de la
littérature hébraïque. Dans son livre "Hurban Hanefesh" ("L'holocauste de l'âme"), il cite
trois penseurs sionistes classiques : Mikha Josef
Berdijevski, qui avait dit : "Les Juifs ne sont ni une
nation ni un peuple ni des humains." ; Josef Brenner qui
avait écrit : "Les Juifs ne sont rien d'autre qu'une
racaille de bohémiens, de chiens sales, non des
hommes, mais des êtres qui se plaignent,
hyperémotifs ;", et Aaron David Gordon qui disait :
"Les Juifs ne sont rien d'autre que de misérables
parasites, un peuple absolument inutile et superflu". (J.
Kaufman, "Hurban, Hanefesh", 1967, p. 106
Et Maurice Samuel, collaborateur de Chaïm Weizman,
écrivit dans son livre "You, Gentiles" (Vous les
non juifs) paru en 1924 : "Nous les Juifs, nous
détruisons, nous serons toujours ceux qui
démolissent et réduisent à néant
ce que d'autres ont construit."
BARBARIES DANS LA FOI
BIBLIQUE JUIVE
D'après la Sainte Ecriture juive voici comment le
roi héroïque, David, se conduisait vis à
vis de ses ennemis vaincus : il fit couper les Ammonites en
morceaux avant de les faire brûler (Samuel 2, 12 :31)
David est honoré par les Juifs et par tous les "chrétiens" comme un héros plein de gloire
!
En ce qui concerne ce roi David, on n'oublie pas
seulement qu'il fit massacrer tous les Ammonites qui lui
étaient tombés sous la main mais aussi que sur
son lit de mort, il exhorta son fils, héritier du
trône, Salomon, à tuer son vieux et
fidèle serviteur, Joal. (Bile, Rois, 2 :6) : "Tu
agiras sagement en ne laissant pas ses cheveux blancs
descendre en paix au Shéol."
Pour que David puisse entrer en possession de Michal, la
fille de Saul, et la prendre pour épouse, il devait
rapporter cent prépuces de Philistins comme dot.(1
Samuel, 18 :25) David réalisa deux fois sa mission
puisque étant parti avec ses hommes, il tua 200
Philistins. Et il rapporta leurs prépuces et les
compta au roi pour devenir son gendre. Alors Saul lui donna
sa fille Micka pour femme. Ainsi Saul s'aperçut que
Yahvé était avec David. (1 Samuel, 18,
27-28
Dans les psaumes qui servent encore aujourd'hui de livres
de chants et de prières, on célèbre la
haine, la vengeance, le désir de tuer, le massacre
des peuples et même l'assassinat des enfants (Psaumes
37 :28, 34, 59 :6, 79 :5-6, 110 :6, 118 :10-12, 137
:8-9)
Ainsi nous lisons dans ce dernier psaume : "Fille de
Babel, ô dévastatrice, heureux qui te revaudra
les maux que tu nous valus, heureux qui saisira et brisera
tes petits enfants contre le roc !"
Quels plaisirs la bible des Juifs promet-elle à
ses fidèles disciples ? Que leur promet par exemple
le grand prophète Isaïe que tant de
chrétiens vénèrent puisqu'il doit avoir
prophétisé à un endroit
l'avènement du Christ ? Isaïe ne promet pas aux
fidèles et aux justes un paradis céleste car
la foi juive n'admet pas de vie après la mort et ne
croit pas en l'immortalité de l'âme comme le
firent Platon, Socrate, et d'autres philosophes "païens". Non, le judaïsme promet aux hommes : "Tu es poussière et tu retourneras en poussière" (1 Moïse, 3-19)
Mais comme récompense pour les croyants et les
justes, on donne comme perspective un empire terrestre sous
domination juive, la gloire future du sionisme, empire dont
les non-juifs bâtiront les murailles et que les rois
non-juifs serviront comme esclaves. Celui qui ne se soumet
pas à leurs ordres seront exterminés
(Isaïe 60 : 10-12)
Peut-on décrire avec plus d'exactitude, plus
concrètement l'état impérial et
exploiteur, l'état esclavagiste que nous subissons
aujourd'hui ? Ces passages peuvent-ils être
interprétés différemment ? N'est-ce pas
pure hypocrisie, un détournement de signification des
mots, un mensonge éhonté lorsque Isaïe
affirme plus loin : "Ton peuple ne sera composé que
de justes qui posséderont pour toujours la terre.
Rejeton des plantations de Yahvé, tu seras l'oeuvre
de mes mains pour être belle."
Les ressortissants du peuple élu prouvent leur
justice en exploitant et en réduisant en esclavage
les autres peuples, malheureux damnés voués
à ce sinistre destin ! Ce n'est pas un hasard s'il a
subi tant de méfiance et parfois des révoltes
impitoyables de la part des autres peuples ! L'orgueil
précède la chute. La roche tarpéenne
n'est pas loin du Capitole.
LES ETATS-UNIS SOUS
DOMINATION SIONISTE
Si l'on veut comprendre comment Israël peut opprimer
les Palestiniens depuis des dizaines d'années, on
doit connaître le rôle que jouent les sionistes
aux Etats Unis dans cette affaire.
Les politiciens et les généraux sont
menés par le lobby israélien des USA,
révèle -t -on dans une rubrique du Herald
Tribune, rubrique qui vaut d'être lue.
Il nous est dit là combien les sionistes sont
incroyablement puissants aux Etats Unis.
Les medias suédoises n'abordent que rarement ou
jamais ce sujet.
Suivant l'article du Herald Tribune concerné, le
lobby israélien est devenu aux Etats Unis
d'année en année de plus en plus vaste, de
plus en plus expert et de plus en plus fort. Il est la force
puissante qui agit dans les coulisses, qui crée et
dirige la politique proche-orientale américaine
D'après un journal américain connu, le
comité directeur du lobby se nomme l'AIPAC (American-Israeli Public Affairs Committee).
Celui-ci exerce ses activités dans des bureaux
bien protégés à l'extrême Nord du
Capitole, la Maison du Congrès à
Washington.
Cette organisation a acquis tant de pouvoir qu'elle a
toujours son mot à dire si un président des
Etats Unis doit choisir ses collaborateurs, et elle peut de
même empêcher à son gré la
livraison d'armes aux pays arabes
De plus, l'AIPAC entretient des relations actives entre
le Pentagone et l'armée israélienne.
L'AIPAC est consultée régulièrement
par le Ministère des Affaires Etrangères des
Etats Unis ainsi que par les conseillers de l'Homme de la
Maison Blanche. Les sénateurs de même que les
membres du Congrès et les généraux ont
des contacts étroits avec cette association. A la
suite de quoi il est certain que les intérêts
d'Israël ne sont pas laissés de
côté lors de la discussion d'affaires
importantes.
Il faut bien comprendre que l'AIPAC est un lobby
américain et non un lobby israélien. Les
moyens considérables dont dispose cette association
sortent tout droit de la poche des contribuables
américains
Cette association qui agit uniquement en faveur
d'Israël jouit d'un soutien aussi considérable
par le fait que non seulement le gouvernement et le
Congrès mais aussi les grandes entreprises qui
forgent l'opinion sont alignées derrière
Israël. Cela rend des groupes de lobbies concurrents
assez jaloux, en particulier ceux qui désireraient
des liens plus étroits entre les Etats Unis et les
Arabes du Proche Orient.
Un porte-parole du Ministère des Affaires
étrangères communique : "L'AIPAC
déforme des questions d'affaires très
adroitement Ces gens-là ne se soucient pas de savoir
si l'on peut être d'un avis différent, s'il
existe une autre alternative. S'ils sont une fois convaincus
que l'affaire d'Israël est juste, ils ne dévient
pas de ce point de vue, même si on avance des raisons
fort pertinentes."
Un ancien conseiller haut placé d'un
président arrivait à une autre conclusion : "Même si l'AIPAC est un facteur qui doit être
pris en considération, il n'est pas exclu que
d'autres facteurs soient pris eux aussi en
considération avant que ne soit prise une
décision.. Je n'ai pas souvenance d'un cas où
l'AIPAC ait fait pencher la balance du moins pas dans la
phase d'analyse. La plus forte influence semble venir de
bien plus haut encore."
Le lobby israélite prépare toujours avec
soin les élections présidentielles. 16 mois
déjà avant ces élections, presque tous
les candidats à la présidence ont
rencontré des représentants de l'AIPAC et ont
été interviewés sur leur position vis
à vis de la politique du Proche Orient. Tous sont
alors soumis à la censure sous la forme d'une marque
rouge, bleue ou blanche ainsi que nous l'a confié
Thomas A. Dine, le directeur des affaires commerciales de
l'AIPAC. "Nous prenons cette affaire très au
sérieux" a dit Dine au cours d'une conversation" Cela représente une part du mandat politique,
continue-t-il. "Avant qu'un candidat à la
présidence ne tienne un discours public, il nous
demande comment ses prises de position seront vues par les
juifs qu'on ne doit brusquer en aucune façon. Certains candidats demandent l'avis de l'AIPAC avant
d'engager des collaborateurs."
Dine n'a voulu donner aucun nom mais il a affirmé
qu'un des candidats aurait appelé l'AIPAC pour lui
dire :
"Je vais bientôt tenir un discours public et je
voudrais bien engager une personne compétente pour ma
campagne présidentielle, mais je désire savoir
ce que vous pensez de la personne avant de prendre une
décision. Me donnez-vous le feu vert ?" "oui,"
répondit Dine.
Quelques anciens fonctionnaires haut placés
reprochent à l'AIPAC ses manières trop
autoritaires. Un de ceux-ci qui veut garder l'anonymat a
parlé d'une campagne épistolaire dans une
université qui l'avait invité comme
orateur.L'AIPAC et d'autres organisations juives lui avaient
reproché sa position hostile à Israël. La
direction de l'université subit de graves pressions
pour empêcher son discours. Elle résistait
pourtant à ces pressions. Certaines personnes
étaient directement concernées et craignaient
pour leur carrière.Là dessus, il lui sembla
préférable à cause de cela de renoncer
à son discours. Car "il ne voulait pas
délibérément entraver la
carrière d'autres personnes."
Il se peut qu'on exagère la force et la puissance
de l'AIPAC. Cependant tel est en tous cas, l'avis d'un haut
fonctionnaire de la Maison Blanche qui entretient des relations
étroites avec diverse organisations juives Certains politiciens ont
l'impression que c'est le lobby israélite qui décide quel candidat
sera sur les rangs,et quels collaborateurs en politique étrangère
les candidats devront nommer et en contre partie des moyens mis à
leur disposition.
Le directeur de l'AIPAC, Dine, affirme que tous les
membres du lobby sont informés du point de vue des
divers candidats sur Israël. Leur degré de
sympathie envers l'état juif est marqué sur
une échelle et il dépend de celle-ci quels
candidats pourront espérer réellement un appui
économique et quels sont ceux auxquels cet appui sera
refusé. Les autres groupes ou lobbies qui travaillent
de concert avec l'AIPAC sont tenus également au
courant.
On chuchote depuis longtemps que l'AIPAC se cache
derrièrele Mouvement des Travailleurs et les
syndicats organisés des USA. C'est ce que laisse
entendre en tous cas Bob Beckel qui conduisit en 1984 la
campagne présidentielle du candidat Walter Mondale.
En même temps a été
démontré que l'AIPAC dispose d'une
énorme influence dans les mileux patronaux. Cela
amène la plupart des sénateurs et des membres
du Congrès à traiter l'AIPAC avec des gants.
Aujourd'hui la puissance de celle-ci est plus forte que
jamais. Le gouvernement de Reagan soutient
entièrement Israël, ce qui aux yeux de beaucoup
constitue un triomphe pour les propagandistes
zélés de l'AIPAC.
L'AIPAC peut s'appuyer sur un état major de
collaborateurs organisés incroyablement efficace, sans reproche, qui sont à 100 % amis
d'Israël. Ils s'y connaissent fort bien en relations
publiques, souligne un fonctionnaire haut placé au
Ministère des Affaires Etrangères.
Ceci a conduit entre autres à ce que les Etats
Unis ont raté une grosse commande saoudienne Il
s'agissait de fusées modernes du nom de Maverick que
cet état du désert voulait acheter. En
même temps les Etats Unis réclamaient la
protection de l'Arabie Séoudite pour le trafic
pétrolier dans le Golfe Persique quoique les
Séoudiens ne manifestaient qu'un enthousiasme
mitigé pour accomplir ce souhait car les
Américains de leur côté n'étaient
pas prêts à leur livrer les armes
nécessaires à leur propre défense. Ce
qui en résulta fut que les Etats Unis durent veiller
eux-mêmes à la sécurité de leurs
tankers ce qui a entraîné un risque de
confrontation militaire directe avec l'Iran. C'est le lobby
central sioniste efficace, l'AIPAC, qui porte la
responsabilité de toute cette affaire.
Israël reçoit annuellement une aide militaire
et économique de la part des Etats Unis de 10
milliards de dollars. Ceci est sans comparaison aucune avec
n'importe quel autre état. Dans le même temps
les USA perdent en fumée les bénéfices
de ces milliards et ceci en raison des pressions de l'AIPAC
en faveur des souhaits d'Israël. Les stratèges
américains du Proche Orient en ont mal au ventre.
Depuis 1980, moment où Thomas Dine devint
directeur de l'AIPAC, celle-ci a recruté toute une
armée d'experts dans le domaine des armes modernes
ainsi que des analystes de stratégie qui ont
transformé le lobby israélite en une
institution scientifique de haute valeur.L'AIPAC publie
entre autres des brochures portant des titres comme "L'importance stratégique d'Israël" ou "Les
armes américaines et les fournitures de service pour
la défense d'Israël" Rien qu'à
Washington, il n'y a pas moins de 58 chercheurs hautement
qualifiés qui agissent pour le compte de l'AIPAC.
Déjà, sous les présidents
précédents, à commencer par Truman, les
Etats Unis ont soutenu fortement Israël et cela souvent
sans conditions. Mais sous Reagan cette protection est
devenue encore plus forte et plus efficace.
Les lobbyistes sionistes ont, grâce à leur
réseau très serré de relations, des
entrées de premier plan aux sources d'information
officielles. En 1980, l'AIPAC avait 9000 collaborateurs
alors qu'à présent ils sont déjà
environ 55 000. Le budget annuel de l'organisation est
passé de 1,4 millions de dollars en 1980 à
plus de 6 millions aujourd'hui. (c'est à dire en
1987). 90 à 95 % des collaborateurs étaient
des juifs américains et le restant, des
fondamentalistes protestants qui soutiennent sans conditions
Israël comme le pays du Peuple Elu.
Pour respecter la règle du jeu, Dine nie que
l'AIPAC soit porte-parole du gouvernement israélien
et un diplomate israélien va jusqu'à se
plaindre de ce qu' "ils ne nous tiennent rarement au
courant de ce qu'ils font et ils ne se soucient pas du tout
de ce que nous pensons." !
Sans ce soutien inconditionnel aussi bien
économique que politique et militaire, l'état
juif serait voué à une mort prochaine. Pour
assurer la continuité de ce soutien vital pour
Israël, celui-ci doit mobiliser constamment les 6
millions de juifs américains pour qu'ils fassent
pression politiquement et économiquement en sa
faveur. Ces campagnes sionistes d'intimidation sont
parfaitement organisées et suivies de
succès.
Les deux associations les plus compétentes dans ce
domaine sont l'AIPAC et l'ADL (Ligue anti-diffamation) qui
sont liées étroitement à la loge
franc-maçonne du B'nai B'rith. Il n'est guère
nécessaire de mentionner que l'AIPAC et l'ADL sont
à tu et à toi avec le gouvernement
israélien et l'ambassade israélienne à
Washington.
Déjà avant et pendant la première
guerre mondiale, sous la présidence de Woodrow
Wilson, les sionistes avaient commencé à
influencer massivement la politique américaine. Et
ceci durait déjà depuis la fin de la Guerre de
Succession avec Abraham Lincoln. Sous Rooseveld, leur
puissance s'accrut et sous Trumann, elle acquit des
proportions telles qu'ils tenaient entièrement la
politique américaine entre leurs griffes. Aujourd'hui
leur puissance est à son apogée et peu importe
que siège un président démocrate ou
républicain à la Maison Blanche.
Le seul président des Etats Unis qui osa braver le
pouvoir sioniste, au moins dans un cas important, fut Dwight
D. Eisenhower. Celui-ci jouissait en tant qu' ancien
général des Alliés du plus haut
prestige dans son pays. En 1956, lors de la Guerre de Suez,
Eisenhower força Israël avec les Français
et les Anglais à se retirer des territoires
occupés faute de quoi il menaça de couper
immédiatement toute aide des Etats Unis.
La menace fit son effet ! Jamais auparavant ni plus tard,
un président américain n'eut le cran de
s'opposer au petit état juif et au puissant lobby
sioniste. Son Ministre des Affaires Etrangères, John
Forster Dulles, parla à son collègue du parti
républicain William Knowland Klartext lorsque
celui-ci voulut le menacer de lui retirer son poste à
la Commission de l'ONU, après qu'Eisenhower lui eut
confié qu'il appuierait une résolution de
l'ONU pour juger l'agression d'Israël. Dulles dit : "Nous devons étudier cette affaire à fond. Il
n'est pas normal que toute notre politique soit faite
à Jérusalem.". Et Dulles dit à Henry
Luce, le puissant propriétaire du Consortium du Time
: "Je me suis rendu clairement compte combien il est
impossible dans ce pays de mener une politique qui ne soit
pas accréditée par les juifs."
"Cependant j'ai l'intention de mener une politique qui
serve les intérêts américains et pas
uniquement ceux des juifs. Cela ne signifie en aucune
façon que je sois un ennemi des juifs mais je suis
d'accord avec les paroles qu'a prononcées Georges
Washington dans son célèbre discours d'adieu,
qu'une sympathie de coeur envers un pays étranger ne
doit pas nous conduire à mener une politique qui
serve en premier lieu les intérêts de ce pays
étranger."
Ces mots clairs évidents quant à leur fond
qui préparaient bien des embêtements au lobby
sioniste firent sensation aux USA de l'après-guerre. Après cet affront, le lobby travailla encore plus
à renforcer son contrôle sur la politique
extérieure américaine.
Le successeur d'Eisenhower, John F. Kennedy, eut un amer
avant-goût de la puissance avide des sionistes
lorsqu'il fut candidat pour la présidence en 1960.Un
soir, il fut invité à diner chez quelques
juifs riches connus. Un de ceux-ci, Abraham Feinberg,
puissant président de la Banque Américaine et
de la Trust Company à New York, et par suite un
très influent lobbyiste du parti démocrate,
dit à Kennedy ce qui suit :
"Nous sommes parfaitement au courant du fait que votre
campagne présidentielle est entravée par de
sérieux problèmes financiers. Mais notre
groupe est prêt à vous aider si vous vous
engagez à nous laisser la direction de la politique
du Moyen Orient durant les 4 prochaines années. Ceci
restera naturellement tout à fait entre nous."
Kennedy fut profondément scandalisé par ces
tentatives frauduleuses de corruption. Cependant il
était déjà au courant des
méthodes de gangster qui se pratiquaient dans les
coulisses en politique. Il garda un visage impassible devant
ce mauvais pas et répondit évasivement qu'il
réfléchirait à la question. Le jour
suivant, il se rendit chez son vieil ami, le journaliste
Charles Bartlett pour discuter avec lui de
l'événement. Bartlett déclara plus tard
que Kennedy avait été profondément
affecté par le culot des juifs.
"Si je deviens président, je ferai en sorte
qu'aucun candidat à la présidence ne puisse
être soumis au chantage d'une façon aussi
éhontée. Ainsi j'épargnerai à
mon pays un tas d'ennuis et de complications".
Mais lorsqu'il fut au pouvoir, Kennedy ne put pas mettre
cette idée en pratique pour les campagnes
présidentielles ni empêcher que les candidats
ne soient dépendants financièrement
d'intérêts privés ni qu'ils ne soient
soumis ainsi à des pressions.
La tentative de corruption que subit Kennedy n'est pas un
fait isolé. Chaque candidat à la
présidence peut chanter un air sur le même
refrain. Même les présidents sont soumis
à ces chantages. Le lobby sioniste fait en sorte que
cela grouille de juifs tant dans le Conseil de
décision personnel du Pouvoir suprême de l'Etat
que dans les différents ministères.
Ainsi le conseiller personnel très intime de
Truman fut le juif Ed. Jakobson. Les deux conseillers les
plus écoutés de Lyndon B. Johnson
étaient Monsieur et Madame Krim, deux sionistes en
chair et en os. Aux côtés de Kennedy
siégeait Myer Feldman comme éminence grise ;
plus tard ce fut le juif déjà cité,
Abraham Feinberg qui conseilla aussi Johnson. Mais aucun
président n' a eu un essaim de juifs aussi dense
autour de lui que Jimmy Carter.
Aux élections présidentielles de 1984, les
deux candidats démocrates, Garry Hart et Walter
Mondale, étaient totalement dans les mains des juifs
vu que leurs campagnes avaient été
managées par des géants de la finance juifs
comme l'avaient été auparavant celles de
Truman, Eisenhower, Kennedy, Johnson et Carter. Comme nous
l'avons déjà mentionné, Eisenhower fut
le seul à opposer un veto, une seule fois, aux
désirs des sionistes.
L'influence sioniste battit tous les records avec la
présidence de Bill Clinton dont les ministres et
conseillers appartenaient à 50 % au Peuple Elu.
Le lobby sioniste se signale aussi par une intense
activité d'espionnage.Georges Ball, un politicien des
plus expérimentés, des plus informés
des affaires et un homme courageux, a dit un jour : "Les
protecteurs américains d'Israël n'exercent pas
seulement leur influence considérable sur la
majorité des membres du Congrès, ce qui est
bien plus grave, c'est que tout ce qui concerne Israël
ne peut être discuté en petit comité
sans que le gouvernement israélien ne sache dans
l'heure quelle mesure a été prise. Les yeux
d'Israël sont partout."
John Connaly, l'ancien gouverneur du Texas, fut en 1980
candidat à la présidence. Lorsqu'il insista
pour qu'Israêl se retire des territoires
occupés de la Cisjordanie et de la Bande de Gaza, il
rencontra un peu plus d'approbation de la part de plusieurs
journaux dont le Washington Post.
Que s'était-il passé ? En un clin d'oeil
une horde de rabbins et d'autres lobbyistes juifs
s'étaient dressés comme un seul homme et
avaient protesté avec fureur contre la destruction
programmée d'Israël par l'Amérique qui
jouait ainsi le rôle du bourreau. Cela suffit pour
réduire rapidement au silence les "antisémites" cloués au pilori. Un
républicain juif qui était candidat pour
devenir bourgmestre de Philadelphie, refusa
catégoriquement de se laisser photographier aux
côtés de Connaly parce qu'il ne voulait pas
être montré avec "le bourreau du peuple juif".
Il peut sembler étrange que le peuple
américain composé de personnes de bon sens et
saines moralement puisse être devenu ainsi l'esclave
de cette propagande insensée, hystérique. Il
faut en chercher la cause dans la terreur que les sionistes
font régner sans scrupule dans tous les domaines de
la société américaine.
C'est aussi le cas pour les universités dont on
pourrait admettre pourtant qu'elles sont les citadelles des
débats publics et de la liberté de
pensée, un foyer pour les assoiffés de savoir
et les chercheurs de vérité.
Cela reste vrai pour certains domaines mais dès
qu'il y a conflit entre Israël et la Palestine, les
juifs font en sorte, par des manifestations bruyantes et la
dissolution des réunions que le plus petit
début de liberté académique soit
emporté dans un tourbillon émotionnel.
Toutes ces cochonneries sont orchestrées par
l'AIPAC et l'ADL qui battent le rappel si besoin est de
bandes de spadassins de la JDL (Jewish Defence
league). Celle-ci constitue une véritable organisation
terroriste juive qui a été fondée par
le rabbin Meir Kahane qui émigra plus tard vers
Israël et qui siège là-bas comme
élu au parlement.Il fut assassiné en 1992.
C'est Kahane qui mange de l'Arabe à belles dents
qui a créé le mot connu : "Je ne suis pas
démocrate, je suis juif." Pour lui il s'agit
simplement de dire tout haut ce que murmurent tout bas les
autres sionistes pour des causes tactiques. Le parti Kach de
Kahane se tient derrière les colons les plus
militants de la Cisjordanie et de Bande de Gaza qui tentent
d'expulser les Palestiniens par la terreur.
Noam Chomsky, le linguiste connu même chez nous en
Suède, partisan du droit des citoyens, et
lui-même juif, critique clairement Israël et se
trouve de ce fait le point de mire d'une campagne de
scandale permanente.Chomsky affirme : "Dès que je
veux tenir un discours dans une université ou dans un
autre endroit, de façon systématique un groupe
répand des feuilles et des papiers sans signature qui
contiennent un flot d'attaques contre ma personne. Dessus on
trouve des citations presque toutes inventées qui me
sont attribuées. Je ne doute pas un instant que
derrière tout cela se cache l'ADL et ceux qui
répandent ces écrits orduriers le
concèdent souvent".
"Ce procédé est ignoble.Il a exclusivement
pour but de terroriser beucoup de gens de façon
à ce que plus personne n'ose exprimer sa
pensée. Naturellement c'est une violation des lois.
Mais si l'ADL utilise ces méthodes, on ne peut
l'empêcher mais on doit au moins le dénoncer."
En avril 1982, le mensuel Berkely Graduate publia
à l'université de Berkeley en Californie
quelques articles dans lesquels on exprimait une critique
à l'égard d'Israël et de son premier
ministre de l'époque, Menahem Begin.Ce dernier est
connu comme terroriste et comme responsable du massacre
collectif des habitants du village de Deir Yassin ;
Les sionistes entreprirent une campagne haineuse de
scandale à l'encontre de James Shamus, le
rédacteur responsable du mensuel. Dans des lettres de
menaces anonymes, il était sommé de prendre "le prochain train pour Auschwitz". Et naturellement sous la
direction de bandes d'étudiants juifs, des plaintes
contre Shamus s'élevèrent à
l'université :il était un antisémite
bon teint, etc.
Mais voilà que Shamus put prouver qu'il
était lui-même juif ! Et lorsque dans le
numéro suivant il eut admis que les articles du
numéro précédent étaient de
l'antisémitisme mesquin de l'espèce la plus
vile autant dans son contenu que dans son intention, on lui
exprima des regrets. Vive l'inquisition juive !
Lorsque le professeur Edouard Said, un citoyen des Etats
Unis d'origine palestinienne et membre du Conseil national
palestinien fut invité à faire un
exposé sur le conflit palestinien à
l'université de Washington, des voyous sionistes de
Rowdy se rassemblèrent pour disperser la
manifestation et empêcher Said de parler. Ils
hurlaient et rugissaient en choeur : "Stop aux terroristes
! Stop aux assassins des juifs !"
On se demande pourquoi de tels bourreaux, de tels
fossoyeurs de la liberté de pensée ne sont pas
immédiatement arrêtés par la police de
la Sûreté, pourquoi on ne les met pas pour un
temps sous les verrous, ainsi ils pourraient un peu se
calmer, et pourquoi on ne leur intente pas un procès
pour leur infliger une peine conséquente. La
réponse est que les sionistes ont acquis une telle
influence dans la plupart des états des USA que les
autorités actuelles tremblent dans leurs bottes et
n'osent pas les faire arrêter par la police.
Les pauvres sionistes pourraient alors, grâce
à l'aide de leurs amis des medias, se
présenter comme des martyrs et les victimes d'un
futur holocauste dans la société
américaine infestée de plus en plus par
l'antisémitisme et le nazisme
Chaque politicien qui aurait fait appel à la
police risque de ce fait les pires ennuis et serait
difficilement réélu car la minorité
juive est très fortement liée au pouvoir
politique et elle est en réalité la
minorité la plus puissante des Etats Unis.
Par conséquent, en Amérique, la
majorité des medias : presse, radio, et
spécialement la télévision se trouvent
aux mains des juifs. Un reporter indépendant a-t-il
un jour le courage de regarder d'un peu trop près
l'état sioniste d'Israël ou ose-t-il exprimer un
mot timide contre la puissance et l'arrogance du lobby, le
journal concerné ou la station de radio ou de TV est
aussitôt submergée d'un véritable
ouragan de protestations juives. On menace alors d'un
boycott d'annonces publicitaires de la part des entreprises
juives. On cède enfin face à ces menaces. Ici
on peut reconnaître à l'évidence le
talon d'Achille de la société capitaliste.
En Suède, d'autres possibilités
d'expression existent puisque les journaux, la radio et la
télévision sont subventionnés par
l'Etat et par conséquent ne sont pas exclusivement
dépendants de financiers privés. Mais en
Amérique, c'est le cas et les sionistes en profitent
en première ligne et derrière eux, une
puissance étrangère, Israël !
Il est inutile d'être un fervent socialiste qui
croit fermement dans les bénédictions du
socialisme pour reconnaître qu'un socialisme
réel (comme le national-socialisme) serait le seul
remède contre le sionisme virulent dans les Etats
Unis capitalistes.
Eisenhower qui, malgré ses faiblesses, fut un des
présidents des USA les plus compétents de
notre siècle, mettait en garde en connaissance de
cause contre le complexe militaro-industriel qui
représentait selon lui un danger pour la nation.Mais
bien plus dangereux encore est, non seulement pour les Etats
Unis mais pour le monde entier, le complexe sioniste car
celui-ci enchaîne les Etats Unis à
l'état pirate d'Israël mais en plus terrorise la
population américaine, pour la forcer à hurler
avec les loups sionistes.
Personne n'a mieux mis en lumière la puissance
énorme et dévastatrice du lobby sioniste aux E
U d'une façon plus détaillée et plus
complète que l'ancien homme du Congrès
républicain, Paul Findley,auteur du livre : "They
dare to speak out". C'est un livre excellent mais aussi un
livre terrible ; Åke Ringberg, un correspondant de longue
date du journal Dagens Nyheter, pour le Proche Orient,
consacre un chapitre spécial de son propre livre "Blodet i Beirut" (Carlsson, Stockholm, 1987) à
l'oeuvre de Findley. On y trouve une conversation avec
Findley.
Ringberg dit : "L'exposé essentiel du livre de
Findley consiste à dénoncer l'influence
anormalement forte du lobby juif et de ses nombreuses
associations secondaires purement et simplement comme un
danger pour l'expression libre de la pensée et
l'objectivité des débats publics. Ce danger
prend des formes différentes : meurtres, menaces de
mort, incendies criminels, campagnes de calomnie,
dispersions de réunion, tentatives de pressions sur
les radios et les émetteurs de
télévision locaux dans le but de taire
certaines informations et d'empêcher les discussions,
etc.. Durant notre entretien qui avait lieu dans le
Musée Abraham Lincoln de Springfield au Texas,
Findley cita le premier président américain :
"La démocratie ne peut pas prospérer dans un
atmosphère dans laquelle les citoyens n'osent pas
parler ouvertement."
Ce fut ce même Lincoln qui déclencha la
Guerre de Sécession, la plus meurtrière des
guerres du 19e siècle en faveur des ploutocrates
yankees qui offrirent le fumier de leur civilisation du
dollar comme terreau pour l'invasion juive. C'est
après cette guerre que les juifs ont lancé sur
le Nouveau Monde, leurs premières vagues d'assaut. En
moins d'un demi siècle, la conquête
était achevée. L'Amérique toute
entière était entre leurs mains . cf. Cousteau,
L'Amérique juive, p. 19)
Voici encore une citation du livre de Ringberg : "L'humiliation la plus incroyable qu'eut à subir la
super puissance des Etats Unis eut lieu le 8 juin 1967, deux
jours après le déclenchement de la Guerre des
6 jours. Le bateau USS Liberty qui ne possédait que
des fusils mitrailleurs fut agressé en plein jour
dans la Méditerranée orientale, à 15 km
de la Péninsule du Sinaï. Durant deux heures, on
tira sur le Liberty à partir d'avions et de bateaux
lance torpilles, bien qu'il fut tout à fait
reconnaissable par son drapeau américain. Auparavant,
durant des heures, des avions de reconnaissance
israéliens avaient survolé sans arrêt le
bateau et si bas que les pilotes de l'équipage
pouvaient leur faire signe. Durant l'attaque, 34 matelots
furent tués et 171 blessés. Ce fut un acte
absolu de guerre ouverte. Cependant sur l'ordre du
président Johnson, tout fut passé sous
silence.
Pourquoi cette incroyable indulgence ? Un autre
état aurait-il commis une telle agression sans fard
contre les Etats Unis, il aurait dû compter avec les
protestations diplomatiques les plus vives, et probablement
avec des représailles, les medias se seraient
élevées avec ensemble contre l'état
gangster et celui-ci aurait été
condamné par l'ONU. Pourtant Israël ne fut pas
inquiété et put même par la suite
empocher d'année en année des milliards de
dollars comme aide américaine, dollars avec lesquels
il put financer d'autres actes de piraterie. Pourquoi ?
L'amiral Thomas L. Moore affirme que les causes
étaient de nature de politique intérieure. "Johnson craignait de perdre des voix juives. Israël
déclarait impudemment, avec culot, que l'agression
avait été une "erreur" et put établir
ensuite que le lobby juif mettrait rapidement de l'ordre
dans cette affaire. Le peuple américain serait
furieux s'il savait ce qui se passe." (hum !)
Comme preuve supplémentaire de l'influence
d'Israël sur la politique extérieure
américaine qui conduit à ce que l'état
juif reçoit l'aide militaire la plus énorme
qui soit, Findley donne l'exemple suivant : "Durant la
Guerre du Yom Kippour en octobre 1973, Israël subit de
lourdes pertes d'armes durant le combat contre les Egyptiens
et les Syriens, parmi lesquelles des chars. Israël se
tourna alors vers les USA pour recevoir une aide
immédiate. Kissinger, le ministre des Affaires
Extérieures joua à l'ange sauveur. Nixon, lui, avait fort à faire avec le scandale du
Watergate et voyait déjà se profiler sa
prochaine démission.
Aussi en bon remplaçant, Kissinger décida
à sa place d'envoyer un nombre impressionnant de
chars à Israël. Ces Panzers furent
ramenés de tous les endroits possibles aussi bien des
unités actives que des dépôts de
réserve, ou bien même directement des
fabricants. Rien ne devait entraver le renforcement le plus
musclé possible de l'armée israélienne.
Israël voulait les tanks les plus modernes avec des
canons de 105 mm. Mais il n'existait en Amérique
qu'un nombre limité de chars de cette sorte et en
remplacement on envoya des chars similaires avec des canons
de 90 mm. Mais ensuite on s'aperçut que les munitions
pour de tels tanks manquaient. Le Pentagone affolé
chercha partout dans les munitions de réserve mais
n'en trouva pas.
Un officier nommé Thomas Planka, qui servait alors
au Pentagone rapporte ce qui suit : "Nous avons entrepris
les plus gros efforts pour trouver des munitions ; nous
avons cherché partout, dans l'armée, dans la
marine, mais nous n'avons trouvé nulle part des
munitions pour des canons de 90 mm.Le Pentagone en avertit
Israël et lui exprima ses regrets.
Quelques jours plus tard, la réponse arriva
d'Israël : "Quoi ! Mais vous avez 15 000 grenades en
réserve à Hawaï !" Planka raconte qu'on
suivit l'ordre et qu'on aurait trouvé
réellement les munitions à l'endroit
nommé. Les espions israéliens étaient
donc plus au courant au sujet des munitions
américaines que les Américains !
Encore un exemple : Richard Helms était chef de
la CIA durant la Guerre des 6 Jours en juin 1967. Il se
rappelle un cas où du matériel non
adéquat avait été livré à
l'armée israélienne. Israël
présenta une nouvelle demande pour le matériel
désiré avec le nom de code secret et une note
pour s'informer si le Pentagone avait bien compris les
souhaits israéliens. Helms affirme qu'à cette
époque, Israël avait accès à tous
les secrets importants.
L'amiral Thomas Moore peut rapporter un autre exemple
frappant de la puissance du lobby israélien. Durant
la Guerre du Yom Kippour en 1973, Moore était chef de
l'état-major général. En ce
temps-là, Mordéchaï Gur était
attaché militaire auprès de l'Ambassade
israélienne à Washington. Plus tard ce
même Gur fut aussi général en chef de la
force de frappe israélienne.
Gur contacta Moore et lui dit que les Etats Unis devaient
livrer des avions munis de fusées modernes anti-chars
du nom de Maverick. Moore répliqua que
l'Amérique ne possédait qu'une unique
escadrille de tels avions et que le Congrès
accepterait difficilement qu'Israël prenne possession
de cette unique escadrille.
Alors Gur le fixa droit dans les yeux et dit : "Vous
nous donnez les avions. Quant au Congrès, je m'en
occuperai." Et c'est ce qui arriva. La seule escadrille
américaine d'avions à fusées Maverick
s'en alla pour Israël. Moore avait refusé la
livraison mais un ordre était venu du sommet, du
président Nixon en personne.
Laissons la parole à l'amiral : "Je n'ai jamais
vécu le fait qu'un président ait refusé
un ordre quelconque des Israéliens. On lit chacun de
leurs désirs dans leurs yeux. De plus, ils sont
parfaitement informés de tout ce qui se passe.
Finalement cela tournait si mal que je n'osais plus signer
quelqu'ordre écrit que ce soit. Si le peuple
américain savait quel pouvoir ces gens ont sur notre
gouvernement, il y aurait sûrement une insurrection
armée. Nos citoyens n'ont pas le moindre
soupçon de ce qui se passe dans les coulisses".
Paul Findley expose clairement comment celui qui ose
exprimer une critique à l'encontre d'Israël
subit inévitablement de douloureuses
représailles jusqu'à perdre son existence
professionnelle. Les présidents ont une peur bleue
du lobby. Le Congrès obtempère avec
empressement à ses moindres désirs. Les medias
et les militaires cèdent devant leurs pressions..
Aussi modérément que puissent s'exprimer les
critiques du lobby, ils sont immanquablement salis ensuite
comme agents du lobby pétrolier, comme amis intimes
des terroristes arabes et qualifiés
d'antisémites.
Le plus grave de ces trois points d'accusation est le
dernier : l'expression antisémite ne désigne
plus depuis longtemps autre chose que l'attitude de
quelqu'un qui ne soutient pas la politique
israélienne. La plus minime prise de position
anti-israélienne ou pro-arabe provoque des attaques
du lobby L'intention cachée est de protéger
Israël de toute critique. Bien entendu, les agents
sionistes ne s'embarrassent pas d'arguments puisque ceux-ci
leur font défaut. Ils préfèrent
d'autres méthodes :
Calomnies, déshonneur, diffamations
auprès des supérieurs des victimes qui sont
inscrites sur des listes publiques comme "ennemis publics", lettres de menace ou coups de fil anonymes, menaces de
violences ainsi que des agressions réelles.
Le lobby sioniste aux Etats Unis est le plus puissant et
le plus craint de tous les groupes d'influence
politiques. Pris dans le sens le plus strict, il est bien
plus qu'un simple groupe d'influence. Il rassemble des
organisations travaillant étroitement en commun,
actives dans plusieurs domaines et qui travaillent aussi
bien à ciel ouvert que dans les coulisses. Ses
activités ne ménagent guère la moindre
sphère d'activité de la politique
américaine.
L'AIPAC et l'ADL déjà citées
représentent les organisations sionistes les plus
visibles. Ces deux grandes associations ont un budget annuel
de quelques douzaines de millions de dollars. La mission de
l'AIPAC est de créer constamment de nouveaux liens
entre le gouvernement israélien et le congrès
américain et de renforcer les anciens. Elle influence
les parlementaires américains sur toutes les
questions importantes pour Israël, comme par exemple,
l'aide étrangère américaine, le
commerce extérieur des Etats Unis et l'aide militaire
américaine à ses alliés. L'AIPAC
opère à peu près comme un lobby
conventionnel : on invite les hommes politiques à
diner ou à des voyages, on les submerge de tracts de
propagande qui sont présentés comme des "informations", on offre des vacances gratuites en
Israël à des politiciens choisis etc.
L'ADL agit différemment. Elle fonctionne
plutôt comme un service secret d'un état
totalitaire, comme un organisme de contrôle et de
surveillance. Elle tente d'empêcher l'élection
ou la réélection dans un emploi ou une
fonction publique de tout homme politique qui dit
ouvertement du mal de la politique israélienne et qui
ose critiquer le soutien sans faille accordé par
l'Amérique à l'état juif.
Dans ce but, l'ADL entretient une véritable
armée d'agents aux Etats Unis et aussi, via les
organisations filiales, dans d'autres états. Ces
agents écoutent avec soin tout ce qu'expriment les
hommes politiques et rapportent leurs propos au siège
d'informations du quartier principal de l'ADL à New
York et à Jérusalem.
Supposons qu'un écolier ou un étudiant dise
à un de ses camarades un seul mot contre Israël
et qu'un agent de l'ADL (ou un juif qui est en contact avec
celle-ci) soit mis au courant. Le propos concerné est
transmis et classé au siège d'informations. Si
quelques années plus tard, l'étudiant qui a
décidé entre temps de sa carrière, se
tourne vers un emploi public quelconque ou désire
s'inscrire sur une liste électorale d'un parti, l'ADL
mène son contrôle de routine au siège
d'informations et tombe sur la remarque qu'il a faite il y a
des années.
L'homme (ou la femme) sera alors écrasé(e)
par les agents de l'ADL. Peut-être tentera-t--il
(elle) de rétorquer qu'il ne s'agit que d'une erreur
de jeunesse et qu'entre temps il (elle) a changé
d'avis : l'ADL donne alors le feu vert c'est à dire
qu'elle ne met plus d'entraves pour la personne
concernée. Sinon celle-ci se trouve sur la liste
noire. Le comité local juif et les medias sont
avertis qu'un antisémite se présente comme
candidat.
Si cela ne suffit pas à écraser dans l'oeuf
les chances d'élection des candidats
indésirables, alors le quartier général
de l'ADL sort ses grosses batteries. Elle entreprend une
énorme campagne de dénigrement avec l'aide
d'autres organisations par un véritable déluge
d'écrits et de lettres de protestation. L "antisémite" se présente-t-il à une
réunion électorale, on rassemble des
manifestants pour la perturber. Dans ces circonstances,
celui ou celle qui est concerné (e) n'a plus
qu'à céder ainsi que ceux qui ont soutenu sa
candidature.
L'AIPAC et l'ADL ne représentent que le sommet de
l'iceberg. Israël est soutenu aussi par l'Organisation
mondiale sioniste, par le Congrès mondial juif et une
foule d'autres organisations juives dans chaque pays
occidental. En Suède, ce sont les communautés
juives à Stockholm, à G?teborg et Malm?,
l'Association unie pour Israël, l'Association
suédoise pour les juifs et les chrétiens, le
Comité suédois contre l'antisémitisme,
etc. A toutes ces organisations dont il y a cent autres
encore aux Etats Unis, s'ajoute encore le Centre Simon
Wiesenthal à Los Angeles et le centre de
Documentation juif de Wiesenthal à Vienne.
Celui-ci agit indirectement pour les
intérêts d'Israël en dépistant sans
arrêt de soi-disant criminels de guerre nazis pour
garder la mémoire de l'Holocauste. Si les medias ne
nous inondaient pas continuellement avec des histoires sur
l'Holocauste, les juifs perdraient leur titre de
persécutés qui peut facilement faire couler un
argent liquide dont la somme peut atteindre des
milliards.
Une condition importante pour la survie de l'état
sioniste qui frôle la banqueroute depuis longtemps
déjà et qui ne se maintient hors de l'eau que
grâce à l'aide économique et militaire
étrangère, consiste dans le fait que les
médias des Etats Unis et du reste du monde
présentent Israël comme un état
courageux, plein de bonne volonté, composé de
braves juifs qui sont persécutés par des
Arabes cruels, barbares et belliqueux. Les pires de tous
ceux-ci sont, bien sûr, les Palestiniens, tous
fanatiques, terroristes sans pitié, ennemis de tout
arrangement pacifique.
Déjà longtemps avant la création
d'Israël, la majorité des médias des
Etats Unis se trouvait totalement entre les mains des Juifs.
Les deux quotidiens américains les plus
célèbres, le New York Times et le Washington
Post appartiennent aux Juifs. La famille juive Sulzberger
possède le New York Times tandis que Katherine
Meyer-Graham, fille du magnat financier juif Eugène
Meyer, est propriétaire du Washington Post.
L'hebdomadaire Newsweek appartient également à
Meyer-Graham. Le deuxième grand hebdomadaire
américain, le Time, est dirigé par le Juif
Henry Grunwald tandis que le troisième hebdomadaire
du lot, l'US News and World Report, se trouve sous les
ailes du Juif Marvin Stone. Parade, hebdomadaire au tirage
le plus important même si moins connu à
l'étranger, est possédé par la famille
d'éditeurs juifs Newhouse.
Les trois grandes compagnies américaines de la
radio et de la télévision appartiennent toutes
trois à des Juifs : l'ABC au Juif Léonard
Goldensohn, la CBS au Juif William Paley et la NBC au Juif
David Sarnoff ainsi qu'à ses héritiers. Et ce
n'est pas fini :toutes les grandes maisons d'édition
américaines sont contrôlées par des
Juifs.
Il va de soi que toutes ces médias ne peuvent pas
prendre à 100 % le parti des intérêts
d'Israël parce qu'il existe de nombreux journalistes et
rédacteurs qui pensent d'une manière
indépendante et qui publient de temps à autre
des informations ennuyeuses pour le gouvernement
israélien. C'est le cas quand la situation est trop
évidente. Par exemple lorsque des soldats
israéliens tuent des civils sans défense en
Cisjordanie ou dans la Bande de Gaza.
Mais dans l'ensemble on réussit à
dissimuler le véritable visage de haine du sioniste
et sa brutale politique d'occupation. Le lobby sioniste s'y
emploie constamment. Tout reporter libre dans ses
convictions risque le licenciement et s'il cherche une
nouvelle place, il n'en trouvera pas parce qu'il sera
fiché sur la liste noire de l'ADL.
Tout le monde islamique sait que l'industrie
américaine cinématographique avec son centre
prestigieux et brillant d'Hollywood se trouve
entièrement à la solde du sionisme ; le fait
qu'Hollywood avec ses productions gigantesques
composées en grande partie de films, de
séries TV et vidéos sans valeur aucune est
sous la domination juive.devrait être un peu
gênant.
Cette idée n'est pas partagée par un des
plus grands journaux juifs, le Jewish Chronicle,
hebdomadaire qui paraît à Londres. En 1974, il
rendait public un long article où il était
révélé que les Juifs tenaient Hollywood
totalement entre leurs griffes. L'article qui a
été retranscrit le 6 décembre 1974 dans
le grand journal juif le "Jewish Post and Opinion" aux
Etats Unis, avait pour titre triomphant : "Jews dominant in
Hollywood" (Les Juifs gouvernent Hollywood)
Nous extrayons les citations suivantes de cet article : "Les Juifs gouvernent aujourd'hui Hollywood dans toute son
ampleur comme ils l'ont fait dans l'enfance de l'industrie
cinématographique. Les Juifs sont
prépondérants en tant qu' acteurs,
régisseurs et producteurs." Tom Tugend écrit
ce qui suit dans la "Jewish Chronicle" de Londres : "Dans
l'ensemble, la présence juive à Hollywood est
un fait historique. Très peu de gens l'ignorent."
On présente comme allant de soi que les Juifs
gouvernent le monde du film et que le caractère et
les "qualités" juives soient mises ainsi au premier
plan "A des cocktails, la conversation tournait sur les
derniers triomphes ou les fiascos de notre peuple. Paul
Newman, Barbara Streisand, Joel Grey, Tony Curtis, Dustin
Hoffman, Kirk Douglas, Woody Allen sont nos
congénères."
Bien plus importants que tous ces artistes
renommés sont les juifs au sommet qui décident
du choix des films, les boss, les directeurs avec leur
pouvoir effectif, comme Ted Ashley de la
société de films la firme Warner Brothers
fondée et dirigée par des Juifs ; Gordon T.
Stulberg, avec la firme de propriété juive,
20th Century Fox, Frank Rosenfeld et Daniel Melnick avec la
Metro-Goldwyn Mayer (MGM), David Begelman avec la Columbia
juive, Lew Wasserman et Jennings Lang avec l'Universal
Pictures juive et Charles Bloudon de même que Robert
Evans avec la Paramount juive.
Si nous regardons du côté des producteurs et
des régisseurs, on s'aperçoit qu'une
majorité écrasante est juive.Les producteurs
de scénarios de films représentent presque une
guilde fermée car au moins 80 à 90 % d'entre
eux sont juifs.Tugend se pose alors la question suivante :
"A quel point la nouvelle génération de films
aux USA est-elle juive ?" Il y répond en donnant la
parole à Charles Powell, vice-président de la
Metro- Goldwyn Mayers : "La chose est évidente et
l'on n'a pas besoin de chercher longtemps. Il suffit de
citer des noms comme Richard Benjamin, Elliot Gould, Ron
Leibman etc."
Les journaux juifs, la Jewish Chronicle en Angleterre et
la Jewish Press and Opinion aux USA sont d'avis qu'on
pourrait ajouter que si les juifs composent 3% de la
population américaine, ils sont environ à 80%
dans les industries du film, de la TV et des industries
annexes. C'était déjà le cas dans les
trente années passées, et cela a sans doute
augmenté depuis.
Il faut aussi mentionner que les trois grandes
sociétés nationales des Etats Unis : la
Colombia Broadcasting System (CBS), l'American Broadcasting
Corporation (ABC) et la National Broadcasting Corporation
(NBC) sont entre les mains des Juifs. Le propriétaire
de la CBS se nomme William Paley, celui de l'ABC, Leonard
Goldensohn, et la NBC est possédée par les
frères David et Robert Sarnoff. Tous ces messieurs
sont multimillionnaires, même probablement
milliardaires.
Les films d'horreur, macabres ou carrément
sadiques dont le seul but est de susciter l'angoisse et la
peur chez les spectateurs sont caractéristiques des
producteurs juifs, tel le si célèbre Alfred
Hitchcock. Parmi les noms importants de la nouvelle
génération cinématographique, il faut
naturellement citer Steven Spielberg qui investit pourchaque
nouveau film 150 à 400 millions de dollars.
Les films sur le sexe, pornographiques sont aussi une
spécialité juive. On peut citer ici Joe Levine
qui sert souvent de directeur de scénario pour les
romans orduriers de l'écrivaine juive Robins. Pour
son film "The first Grade", (Le premier Degré)
Levine a empoché la bagatelle de 130 millions de
dollars
On peut tirer de tout cela que le lobby sioniste aux
Etats Unis n'est pas seulement un groupe de pression
habituel qui soigne les intérêts de ses membres
face aux tenants du pouvoir politique, mais bien une 5e
colonne au service d'une puissance étrangère
qui peut établir ainsi sa force inouïe, efficace
et son contrôle sur les medias par le chantage sur
chaque gouvernement américain
Aucun président américain, aucun
gouvernement américain ne peut survivre s'il a contre
lui la meute des médias. Qui contrôle la
presse, la radio et la télévision
possède aussi la force de faire tomber un
président et son gouvernement.
Selon toute apparence, des actes criminels peuvent
être commis impunément à partir des
Etats Unis contre les Arabes par les sionistes. D'après un document du FBI publié dans le
journal américain "The Village Voice" (un
memorandum intérieur du FBI) des activités
terroristes de la Jewish Defense League (JDL) ont
été déjouées par les recherches
du FBI.
Dans le Memorandum, on dit entre autres : "De nombreuses
indications furent fournies par le FBI à la police
secrète israélienne, pourtant
l'éclaircissement espéré des 25
meurtres terroristes et d'autres infractions à la
loi, n' a pas eu lieu." Le FBI a demandé des
informations sur les numéros de
téléphone, les condamnations
précédentes, les contacts personnels, les
aides, les domiciles, les passeports des personnes
soupçonnées. Mais suivant le memorandum, les
ressortissants israéliens n'ont donné aucune
réponse à ces questions.
La section du FBI contre le terrorisme a rencontré
très souvent les représentants
israéliens à Washington, cependant, "la
quantité d'information ne s'est pas
améliorée." La Commission israélienne
à Washington a refusé de commenter les
réclamations du FBI.
La JDL fut fondée en 1968 à Washington. Son
premier président fut Rabbi Meir Kahane. En 1971,
Kahane émigra vers Israël où il
créa le parti raciste Kach, qui se mobilise pour
l'expulsion de tout Arabe vivant en Israël et ou dans
les territoires occupés.
A l'intérieur du FBI, on se doute que beaucoup de
gens soupçonnés d'être des terroristes
sont en contact étroit avec le parti Kach et la JDL.
Les moyens d'action du FBI sont entravés par le fait
que ces personnes soupçonnées possèdent
la double nationalité américaine et
israélienne et peuvent donc voyager facilement sans
passeport, sans ennuis bureaucratiques sous leur nom
hébreu. Les membres de la JDL sont
soupçonnés entre autres d'avoir
été derrière l'attentat meurtrier
à la bombe contre Olex Odeh, l'ancien
président de la Ligue antidiscrimination
américano-arabe.
LE SIONISME ET LES JUIFS AUX ETATS
UNIS
D'après le politologue et journaliste
américain Stephen D. Isaacs (lui-même d' origine
JUIVE), les juifs politiquement conscients, du moins aux
USA, ne voient pas le monde habité par des juifs et
d'autres peuples mais bien par des juifs et leurs ennemis.
Ces derniers sont considérés comme
antisémites et les non juifs totalement pro-sionistes
comme dignes d'être juifs, "juifs d'honneurn (!)."
Un juif d'honneur particulièrement fidèle
fut Jimmy Carter qui, comme protestant fondamentaliste,
considérait les juifs comme le Peuple élu de
Dieu. La même chose vaut pour Ronald Reagan.
Pour le lobby, la loyauté envers Israël est
prioritaire alors que la loyauté envers les Etats
Unis dépend de la détermination avec laquelle
ceux-ci soutiennent Israël. Si l'Amérique se
désolidarisait de l'état juif et rompait les
relations privilégiées à son encontre,
le lobby protesterait de toutes sortes de manières et
ferait de son mieux pour compromettre leur propre pays
d'accueil aux yeux de l'opinion publique mondiale.
D'après Stephen D. Isaacs, la puissance
d'Israël domine les juifs riches avant tout au
niveau psychologique. Sa manoeuvre consiste à leur
rappeler constamment le danger antisémite qui peut
à chaque instant prendre des dimensions
menaçantes. Et peut conduire les juifs dans une
misère terrible et peut-être même dans de
nouvelles chambres à gaz. Sans ce fantôme
horrible d'un antisémitisme inventé, le
sionisme et avec lui l'état juif ne pourraient
subsister durablement.
Si malgré la meilleure volonté, on ne peut
trouver nulle part des actes antisémites, alors il
faut réanimer les horreurs du passé en
rappelant qu'elles peuvent se reproduire à tout
moment. Cela explique le flot ininterrompu de films et
d'émissions de TV toujours neufs sur
l'antisémitisme du national socialisme et des efforts
zélés pour mettre au pilori d' imaginaires
néo-nazis.
A la base de toute la tradition juive on trouve
l'idée fixe juive que les juifs tout au long de
l'histoire ont été continuellement
persécutés. Le traumatisme résultant de
la peur de voir à nouveau se répéter
ces atrocités est exploité à fond par
les sionistes (dixit Isaacs) On rappelle
quotidiennement aux juifs qu'ils vivent dans un monde
hostile (!) que la peur et la crainte font partie de leur
identité, de leur nature.
Alors intervient le sionisme ! Et ce sionisme les
sermonne, l'index levé : Pensez que vous êtes
juifs !, que vos prochains vous détestent et qu'ils
peuvent à chaque moment fomenter de nouveaux pogroms
et vous pousser dans de nouvelles chambres à gaz.
Et ceci n'est possible qu'avec votre aide
financière et votre publicité pour la cause."
Voilà comment fonctionne, selon Isaacs, le
mécanisme psychologique de l'agitation sioniste. Et
cela trouve un terrain particulièrement favorable du
fait que, d'après la religion juive, les Goyms pleins
de malice sont considérés comme les acteurs de
la punition de leur dieu de colère.
Rationalisme et irrationnel marchent souvent la main dans
la main (dixit Isaacs, qui ajoute comme preuve :) Pensons
seulement au psychologue juif Sigmund Freud avec son
obsession sexuelle (celle qu'il voulait inculquer aux
autres !) et son complexe d'Oedipe ou à un
génial (?) Franz Kafka avec ses cauchemars lugubres
exposés dans ses pièces célèbres
(hélas !) : "Le Procès", etc.
Mais les oeuvres de Freud et de Kafka ont
été rédigées bien avant
l'arrivée au pouvoir d'Hitler et des soi-disant
persécutions nazies. Donc, cette peur typiquement
juive trouve sa source dans la crainte de Yahvé.
Isaacs décrit clairement quelle est la réaction
d'un juif dès qu'il entend le nom "juif" dans la
bouche d'un non-juif. Il éprouverait une peur intense
parce qu'il pense avoir affaire à un
antisémite qui déteste les juifs en
général et donc lui aussi personnellement.
Le mot "juif" est tabou sauf lorsqu'on l'utilise dans
un sens élogieux. D'après la conception juive,
le juif est invulnérable, saint, sacro-saint puisque
dans la Torah, il est répété sans
arrêt que les juifs sont le peuple élu de
Yahvé. Et ne doivent pas se souiller en
fréquentant les autres peuples qui sont impurs.
D'après Isaacs, cette peur irrationnelle touche
particulièrement les juifs qui s'engagent en faveur
du sionisme alors que ceux qui sont pour le socialisme et
surtout ceux qui participent au domaine scientifique et
médical y sont moins sujets.
Le juif Isaacs, collaborateur du Washington Post
libéral et influent, ne craint pas de nommer comme
qualités spécifiquement juives la crainte
irrationnelle et l'hypersensibilité de la
paranoïa. Il parle ouvertement d'une manie de la
persécution qui présente les
caractéristiques d'une maladie mentale, une sorte
d'étape intermédiaire entre la santé et
la folie pure et simple.
Ainsi pourrait-on encore parler de hasard lorsqu'on
apprend que 80 à 90 % des Américains qui
suivent un traitement psychologique sont juifs et que plus
de 95 % des spécialistes en psychologie sont juifs
aussi ! Isaacs estime que sans cette paranoïa, il
n'existerait pas de lobby juif, pas de sionisme et pas
d'état d'Israël
On pourrait ajouter qu'alors il n'existerait plus de
motif de conserver la religion juive (et tout ce qu'elle
entraîne, elle, la cause réelle de tout le mal
que font les juifs !) Le mieux serait que les juifs cessent
d'être juifs tout simplement ! On pourrait en
conserver quelques exemplaires orthodoxes (!) comme
curiosités archaïques et les exposer
derrière les vitrines d'un musée.
Le fait que le sionisme considère l'assimilation
comme le danger le plus mortel ressort des mises en garde
continuelles des dirigeants sionistes. Le boss sioniste Nahum
Goldmann a dit le 30 du 12 1964 lors du 26e congrès
sioniste mondial à Jérusalem : "L'assimilation représente pour l'existence
éternelle du peuple juif un danger plus grand que ne
l'ont été dans le passé les
persécutions, inquisitions, pogroms et l'Holocauste" (cité d'après le Monde du 1.1. 1965).
Cette citation prouve l'existence d'un traumatisme racial
mélangé d'anxiété chez les
sionistes.
Celui qui s'intéresse à la politique sait
que l'état d'occupation d'Israël ne pourrait
survivre sans l'aide financière massive de la super
puissance des Etats Unis Dans la presse suédoise
aussi on attire de temps en temps l'attention sur ce fait.
Depuis des années déjà, cet état
qui ne compte que 4 millions d'habitants encaisse autant
d'aide au développement que l'ensemble des pays du
monde. Chaque citoyen israélien touche de la part de
la caisse de l'Etat américain le double d'un citoyen
américain ! Et à cela s'ajoutent les sommes
énormes provenant des organisations juives des Etats
Unis sommes pour lesquelles suivant la coutume
américaine on ne paie pas d'impôts.
SUR LA REVOLUTION "RUSSE"
Dire que l'Union soviétique
marxiste-léniniste a été
antisémite ou ennemie des Juifs est une plaisanterie
et même une sinistre plaisanterie ! Karl Marx, fondateur du communisme, était entièrement
juif : il appartenait à une lignée de rabbins.
Une très grande partie - environ 80% - des
commissaires directeurs de la Russie léniniste
étaient d'origine juive même si les Juifs ne
représentaient qu'environ 3 % de la population.
12 des 19 membres du premier gouvernement de
Lénine étaient juifs, parmi ceux-ci les
suivants : Schmidt (Commissaire en chef pour les travaux
publics), Pfenigstein (Commissaire en chef pour la
déportation des contre-révolutionnaires),
Kukorskij (Commissaire au commerce), Schlichter (Commissaire
en chef pour la confiscation des Biens privés) et
Simasko (Commissaire en chef pour la Santé).
Les Juifs étaient encore en nombre plus
élevé dans les différents
commissariats. Au Ministère de l'Intérieur, il
y avait par exemple 9 Juifs parmi les 10 commissaires :
Ederer, Rosental, Goldenrubin, Krasikow, Rudnik, Krohmal,
Martensohn, Pfeifermann,et Schneider.
Au commissariat du ministère des Affaires
étrangères, les 17 diplomates bolcheviques
appartenaient tous au Peuple élu. : Margolin, Fritz,
Joffe, Lewin, Axelrod, Beck, Beintler, Martins, Rosenfeld,
Vorovskij, Voikoff, Malkin, Rako, Manuilskij, Atzbaum, Beck
et GrundBaum.
Au Commissariat supérieur économique, 13
des 14 membres étaient de la lignée d'Abraham.
: Merzvin, Solfein, Harskyn, Berta Hinewitz, Gurko,
Gladneff, Axelrod, Michaelsohn, Fürstenberg, et Kogon
(secrétaire de Fürstenberg)
Au commissariat pour la Justice, tous les 8 commissaires
étaient juifs : Steinberg, Berman, Lutzk, Berg,
Koinbark, Schrewin, Gaussmann, et Schrader.
Au commissariat supérieur pour la formation
publique, 7 des 8 commissaires de même que leurs
collaborateurs les plus proches étaient juifs
: Groinim, Lurie, Rosenfzeld, Jatz, Sternberg, Zolotin et
Grünberg.
Au commissariat pour l'Armée Rouge il y avait
seulement des Juifs, 15 en tout : Trotsky, Schorodak,
Slanks, Petz, Gerschenfeld, Fruntze, Fiscmann, Potzern,
Schutzmann, Gübelmann, Eviensohn, Dietz, Glusmann,
Beckmann et Kahlmann.
De la même manière, 14 Juifs
siégeaient au Soviet Suprême pour le Commerce
national :
Kamenjev, Krasokov, Schotmann, Hekina, Eismobd,
Landemann, Kreinitz, Alperovitj, Herzen, Schilmon, Tavrid,
Rotenberg, Klammer et Kisswalter. Au commissariat
supérieur de la représentation publique les 6
membres et leurs plus proches collaborateurs étaient
juifs.
Au Comité central du Parti siégeait
Lénine, qui était seulement juif pour un quart
(sa mère, née Blank, était demi-juive)
avec deux non-Juifs et 27 (!) juifs : Swerdlow, Kremmer,
Bronstein, Katz, Goldstein, Abelmann, Zünderbaum,
Uritzki, Rhein, Schmidowitz, Zeimbuhr, Rifkin, Schirota,
Tschenilowski, Lewin, Weltmann, Axelrod, Fuschmann,
Kraiskow, Knitzunck, Rader, Haskyn, Goldenrubin, Frisch,
Bleichmann, Lantzner et Lischatz.
Dans la police secrète, la Tchéka, qui a
précédé le GPU et le NKVD, 31 des 34
commissaires en chef étaient juifs : Derzhinski,
Limbert, Vogel, Deipkhyn, Bizenskij, Razmirovitj, Sverdlov,
Jahnsohn, Kneiwitz, Finesch, Delavnoff, Ziskyn, Golden,
Scholovski, Rentenberg, Pernstein, Knigkiesen, Blumkin,
Grunberg, Lanz, Heikina, Ripfkin, Kamkov, Jacks, Woinstein,
Leindovitj, Gleistein, Helphan, Lazarevitj, Silencus et
Mohdel.
On pourrait encore allonger longtemps la liste des
commissaires juifs dans la jeune Union Soviétique. La
prédominance juive des révolutionnaires
bolcheviques était écrasante, ce qui a
été depuis longtemps parfaitement
prouvé par les documents. Tout parle en faveur du
fait que la légendaire "révolution russe" au
fond n'était pas russe mais a été une
révolution juive. Les nouveaux maîtres du
peuple russe étaient en majorité juifs.
C'est ainsi que des dirigeants juifs de l'Occident ont
compris cette révolution et la Russie bolchevique a
soumis le peuple russe à une domination
meurtrière et terroriste Des Juifs importants ont
fomenté aussi cette révolution à partir
de l'Occident et ont forgé la Russie bolchevique, contre le peuple russe qui a subi un régime de
meurtres atroces et de terreur. Des feuilles sionistes
renommées comme la Jewish Chronicle de Londres et
l'American Hebrew à New York ont salué la
Russie bolchevique comme une idée de
société utopique juive qui s'était
matérialisée. Même s' ils ne pouvaient
pas cacher qu'il y avait même entre les Juifs
certaines dissensions. Ainsi Dora Kaplan, une
révolutionnaire socialiste juive tenta d'assassiner
Lénine le 30 août 1918.
Dans un livre blanc officiel britannique sur les origines
de la révolution bolchevique, est cité
l'ambassadeur néerlandais à Pétrograd
qui avait dit le 6 septembre 1918 : "Le bolchevisme est
organisé et dirigé par des juifs dont le seul
but est la chute de l'ordre établi."
Le consul britannique d'Ekaterinenbourg où la
famille du tsar fut massacrée par une bande
d'assassins dirigés par le juif Swerdlow,
écrivit le 23 janvier 1919 à Lord Curzon qui
avait remplacé Balfour comme ministre des Affaires
Extérieures britannique : "On ne peut pas qualifier
les bolcheviques de parti politique. Ils représentent
une classe relativement petite, privilégiée,
qui s'est créé un monopole sur les armes et
les ressources alimentaires et tient tout le reste de la
population dans la crainte et la terreur. Cette classe se
compose d'ouvriers et de soldats mais est conduite par une
clique juive."
Et Winston Churchill déclara lors d'un discours
dans le Dundee écossais, paru à Londres dans
l'Illustrated News le 24 septembre 1921 :
"Cette cruelle catastrophe (la révolution
bolchevique) a été voulue par une petite
clique de révolutionnaires professionnels qui sont en
grande partie juifs. Ceux-ci ont asservi le malheureux
peuple russe par un régime tyrannique."
Ne manquons pas de préciser que les bolcheviques
ont été nourris financièrement par des
capitalistes juifs. Au premier plan, il faut nommer la firme
bancaire juive Kuhn, Loeb et compagnie dont les directeurs
et propriétaires se parent de noms bien juifs : Jacob
et Mortimer Schiff, Felix Warburg, Otto Kahn, et
Jérôme H. Hannauer. En plus des hommes qui se
cachaient derrière le bolchevisme comme puissance
financière étaient Helphand, souverain d'une
fortune de millions escroqués dans des affaires
douteuses, la famille du cuivre Guggenberg, Olof Aschberg,
propriétaire de la banque Nya à Stockholm,de
même que le propriétaire du syndicat
Rhénois-Westphalien, Max Warburg. Tous ces noms sont
des noms juifs.
Les faits ci-dessus sont prouvés par David Schub,
journaliste et écrivain juif travaillant aux USA,
dans sa biographie de Lénine, et plus tard, dans la
foulée, dans plusieurs ouvrages de l'historien
économiste Anthony Sutton.
Les régimes de marionnettes installés
après la deuxième guerre mondiale en Europe de
l'Est étaient composés en grande partie de
juifs. Dans le KP tchécoslovaque, la domination juive
a été écrasante jusqu'à la mise
en échec en 1952 de la ligue de Slansky. En Hongrie,
les proportions étaient encore plus fortes ;
là, on chuchotait en plaisantant que Janos Kadar
était le seul non juif parmi les membres du
Comité central afin que quelqu'un puisse signer les
condamnations à mort le jour du sabbat.
En URSS même, Staline dut, peu de temps avant sa
mort soudaine et mystérieuse, avoir dressé des
plans de mesures drastiques pour briser la toute-puissance
juive.Il aurait décidé entre autres, la
déportation de toute la population soviétique
juive dans le Birobidschan sibérien.Sa disparition
brutale empêcha la réalisation de cette
politique.
Pourtant peu après la mort de Staline, en juin
1953, Marschall Schukow écrasa la clique sanguinaire
du ministère de la police dirigé par Lavrentiy
Béria, un géorgien d'origine juive et
annonça ainsi la fin de la domination de la terreur
juive sur les peuples de l'URSS. Cette domination qui avait
provoqué quelques douzaines de millions de morts a
conduit au plus grand holocauste de tous les temps, un
véritable holocauste pas un imaginaire comme celui
des juifs dans des chambres à gaz qui n'ont jamais
existé, durant la deuxième guerre
mondiale.)
QUI EST JUIF
?
Hans W. Levy est un juif né en Allemagne qui
émigra de sa patrie natale, en 1940 en Suède
où il acquit la nationalité suédoise.
Plus tard, il devint président de la
communauté juive de G?teborg qui compte environ 1800
personnes. Dans le "Svenska Dagbladet" du 22 juillet 1990,
parut une interview de lui consacrée à des
questions religieuses posées par le journal. Le titre
annonçait : "L'amour pour Israël unit." Levy
expose d'abord que cet amour est caractéristique de
tous les juifs indistinctement. Lévy sait clairement, lui le président de la communauté juive de
Göteborg, ce que ressentent et pensent tous les juifs. De ce
fait on peut le considérer comme le
représentant des juifs et ceci devient d'autant plus
intéressant que peu seulement savent ce qu'il fait
connaître au sujet de l'amour de tous les juifs pour
Israël.
A la question qui est vraiment juif, une question sur
laquelle beaucoup de juifs et de non-juifs se sont
creusé la tête au cours des siècles,
Levy répond :
"C'est tout simple. Est juif celui dont la mère
est juive." On ne trouve rien d'original dans cette
réponse. Une mère juive est la condition
nécessaire pour qu'un juif soit
considéré automatiquement comme citoyen
d'Israël. Ce principe est raciste ou si l'on
préfère, à moitié raciste. celui
qui n'a qu'un père juif mais pas une mère
juive, n'est pas reconnu comme juif. En Suède, comme
ailleurs, la communauté juive lui refusera
l'admission et il n'aura aucun droit à la
citoyenneté israélienne.
Levy dit ensuite que tous les juifs forment un peuple
particulier et une nation particulière et qu'ils sont
liés à Israël. La nationalité
suédoise ne fait pas d'un juif - d'un vrai juif qui
peut se réclamer d'une mère juive - un
Suédois. Il est et reste juif même si pour des
raisons d'opportunité, il se désigne comme
suédois.
Un exemple encore de ce que la définition juive du
mot juif est raciste : Si on dit : "Ne peut être
chrétien que celui qui possède une mère
chrétienne" ou "N'est musulman que celui qui
possède une mère musulmane", cela
signifierait que le christianisme et l'islam sont racistes,
qu'ils sont des religions associées à une
certaine ethnie. Ceci n'est naturellement pas le cas. Chacun
peut être soit chrétien soit musulman. Le
judaïsme se distingue des autres religions principales
par le fait qu'il n'est pas universel et ne s'adresse pas
à tous les peuples mais n'est valable que pour un
seul peuple.
Hans W. Levy dit ce qui suit à propos des juifs et
de leur religion :
"A vrai dire chaque juif possède sa propre
religion. D'une part nous avons les juifs qui suivent
méticuleusement les préceptes de la Torah et
de la Loi juive et respectent soigneusement le sabbat.
D'autre part, il y a les juifs qui se désignent comme
athées."
Levy oublie de dire que beaucoup de juifs se sont
convertis officieusement au christianisme mais qu'ils sont
restés juifs. Prenons par exemple le cas de
l'historien de l'art, Berenson, ou du grand premier ministre
britannique Disraéli, ou du poète Henri Heine,
du prophète Nostradamus, des compositeurs Mendelsohn
et Mahler et de l'actuel archevêque de Paris,
Monseigneur Lustiger. Ce ne sont pas des cas
isolés.
On s'aperçoit aussi que, suivant Levy, les
athées s'ils ont une mère juive, ne sont pas
seulement des juifs mais aussi des "juifs religieux"
puisqu'il affirme que chaque juif possède sa propre
religion et qu'il classe les athées dans cette
catégorie. Un athée est quelqu'un qui ne croit
pas en Dieu et qui, de ce fait, est hors de toute religion. Ainsi un chrétien ou un musulman ne peuvent
être désignés comme athées. Il y
aurait une contradiction.
Il en va tout autrement avec les juifs ! Les juifs
athées, selon Levy, ont leur propre religion ! De
tout ceci on peut conclure qu'en toute logique les juifs
échappent aux définitions courantes. Un juif
non religieux n'est pas irréligieux, mais il
possède sa propre religion !
La solution à ce mystère apparent est fort
simple. Le judaïsme n'est pas une religion dans le vrai
sens du terme, mais un nationalisme déguisé en
religion qui repose sur un concept de race suivant lequel
les juifs ne peuvent pas se mélanger aux autres
peuples. (Moïse, 5, 7 :1-3 ; Esrah, 9 :12, 10 :2-3,
Néhémie, 13 :3,25,30-31)
Par conséquent la "communauté juive"
n'existe réellement que nominalement. elle se donne
ce titre parce qu'ainsi elle entend jouir des avantages et
du respect attribués aux communautés
religieuses. En fait, elle n'est qu'un rassemblement de
juifs nationalistes qui oblige à être loyal
envers tous les juifs et entraîne l "amour pour
Israël".
En résumé : les juifs peuvent se
désigner comme religieux ou non religieux. Même
dans le second cas, ils seront religieux ! C'est
certainement un truc malsain mais efficace. Le
prestidigitateur qui au cirque sort de sa poche vide des
mouchoirs de soie ou de petits lapins blancs est
salué par de chaleureux applaudissements. Au juif
aussi, il ne manque pas de spectateurs qui n'ont pas compris
l'astuce, pour applaudir. Ergotage, détournement de
sens, logique ? Vocabulaire homicide, avec lequel ils
matraquent leurs adversaire ? : tout cela fait partie de la
tradition talmudique centenaire.
"Chaque juif français est un représentant
d' Israël" a déclaré le grand rabbin de
France, Joseph Sitruk, à la radio israélienne
le 9 juillet 1990. A Jérusalem lors de la
construction de la "maison de la communauté juive
française", Sitruk se tourna vers le ministre
Yitzhak Shamir, et déclara : "Soyons conscients du
fait que chaque juif de France défend ce que vous
défendez" et il poursuivit : "personne ne peut
rompre cette alliance ni nos diffamateurs ni nos ennemis"
(AFP, Agence d'information française)
Le grand rabbin français fait donc connaître
que la communauté juive et le sionisme mondial
d'agression appartiennent tous deux à Israël en
tant que citadelles. Les 750 000 juifs français sont
par conséquent en dépit de leur
citoyenneté française des agents
israéliens. Ils ne se comportent pas vis à vis
de la France avec loyauté mais offrent leur
loyauté à une puissance
étrangère qui est en état de guerre
avec des états arabes islamiques avec lesquels la
France entretient traditionnellement de bonnes relations
!
Il est clair pour chacun qu'il faut être loyal
envers son pays qu'on y soit né ou qu'on y ait
émigré et ceci tout à fait
indépendamment de la religion. Mais pour les juifs
cela n'est pas valable. Le lien avec Israël est une
revendication absolue. Comment tout cela peut-il se
concilier ?
On peut comprendre et admettre que beaucoup
d'immigrés ou de réfugiés tiennent
encore sentimentalement à leur pays d'origine
où ils ont leurs racines. C'est un sentiment
personnel d'attachement à son ancienne patrie mais
pas un lien politique ou religieux sans réserve avec
une puissance étrangère ennemie qui
mène fatalement à un conflit envers la
loyauté envers le pays où l'on vit, où
l'on travaille et jouit de tous les droits civiques
Le cas est différent pour les juifs de France, de
Suède ou d'ailleurs. Les juifs concernés ne
sont pas nés en Israël et les seuls liens qui
les unissent à ce pays sont de nature fictive,
d'origine biblique.
Avec ce même raisonnement, tous les
chrétiens du monde pourraient se sentir chez eux en
Israël puisque le Christ y est né et y a
vécu.
Ce que le grand rabbin de France a déclaré
officiellement en Israël au premier ministre Yitzhak
Shamir est extrêmement instructif et démasque
beaucoup de choses !
LA PUISSANCE DE LA
MAISON ROTHSCHILD
En Suède comme au Canada, il existe une loi qui
interdit la "haine envers un groupe ethnique"
D'après celle-ci, répandre de fausses
informations est interdit Cette loi est utilisée
comme une matraque pour la répression du
révisionnisme.
C'est par une ironie amère que de telles lois ont
vu le jour dans certains pays pour empêcher des
capitalistes juifs d'escroquer des sommes énormes en
propageant consciemment de fausses informations.
Voici un exemple type bien connu de fausse information :
Après la bataille de Waterloo, en juin 1815, le juif
Nathan Rothschild a répandu la nouvelle à
Londres que Napoléon était vainqueur de la
bataille. Rothschild avait appris par un pigeon voyageur
l'issue du combat et savait que Wellington et Blücher
étaient vainqueurs. L'information mensongère
provoqua naturellement la panique et les actions en bourse
chutèrent à un niveau record. Nathan
Rothschild acheta alors ces actions pour une miette de
pain.
Avec un truc de cette espèce, les juifs se sont
rendus coupables de cette, catastrophe dans
l'économie mondiale., catastrophe entrée dans
l'histoire sous le nom de "Grande Dépression". Il
existe d'innombrables exemples des mensonges de la haute
finance juive mais je ne peux pas m'étendre ici plus
longtemps sur ce sujet.
D'innombrables légendes et anecdotes circulent au
sujet de l'empire fabuleux de la tribu Rothschild et de sa
puissance financière durant les 19e et 20e
siècles
Dès le début du dix-neuvième
siècle, Amschel Mayer Rothschild de Francfort envoya
ses fils dans différentes métropoles - Paris,
Londres, Vienne et Naples - où ils
s'établirent bien vite comme banquiers et comme gens
de commerce. Ils ne se gênaient jamais pour monnayer
leur immense pouvoir économique au pouvoir politique.
Et c'est bien ce qu'ils réussirent d'une part par la
mise en place d' un réseau d'information qui
fonctionnait parfaitement, d'autre part en
s'immisçant dans les affaires des gouvernements
économiquement faibles qu' ils financèrent en
échange d'une sécurité garantie.
Déjà un peu avant le vingtième siècle, la branche Rothschild
britannique s'était engagée sur la question du Moyen Orient qui
était d'une importance géostratégique considérable pour l'ancien
empire britannique oriental de Suez jusqu'aux Indes et la Birmanie.
Les Rothschild montrèrent ouvertement à
Londres leur fascination pour l'idée d'une Palestine
gouvernée par les juifs. Dans une biographie
ultérieure des Rothschild, l'auteur Derek Wilson dit
: "Aucune chronique de la famille Rothschild ne serait
complète si on décrivait seulement leur
puissance économique et leur style de vie brillante,
sans révéler leur lien à leur
héritage juif tumultueux et écrasant. Ce lien
témoigne de leur engagement en faveur du sionisme."
Déjà dans la seconde moitié du
dix-neuvième siècle, les Rothschild
favorisèrent l'immigration juive en Palestine
gouvernée alors par les Turcs. Les sionistes de ce
temps-là qui ne voulaient absolument pas
reconnaître l'existence des Palestiniens,
immigrèrent dans ce pays et découvrirent avec
un profond ahurissement qu'il était réellement
habité par un peuple palestinien et que celui-ci
s'insurgeait de plus en plus contre l'invasion juive.
Derek Wilson dit à ce sujet : "Malgré
toutes ces difficultés, le juif palestinien arrivait
à survivre facilement grâce au soutien
financier constant des juifs occidentaux fortunés."
Avec la forte prise de pouvoir du sionisme au
début du 20e siècle et avec la première
guerre mondiale, lorsque la France et l'Angleterre firent la
guerre au royaume ottoman, Lord Rothschild,
élevé au rang de chevalier, se dévoua
totalement pour les sionistes. Avec la protection des hommes
politiques importants, Arthur Balfour et Lloyd Georges, il
travailla en faveur de la formation d'une "patrie nationale
juive" en Palestine que les Britanniques voulaient prendre
aux Turcs après la victoire attendue de la guerre. A
cette époque Lord Rothschild passait pour le
prophète mondial juif et prit parti, avec sa fortune
prodigieuse et sa place au sommet comme prophète
mondial du judaïsme mondial, pour la colonisation juive
de la Palestine !
Ceci doit être considéré comme la
cause cachée de la fameuse Déclaration Balfour
de novembre 1917. Après le travail acharné de
publicité de Lord Rothschild, parut le 2 novembre
cette lettre confidentielle du ministre des Affaires
étrangères :
Cher Lord Rothschild,
Au nom de Sa Majesté
britannique, j'ai le grand plaisir de vous adresser les
déclarations de sympathie suivantes en faveur des
tentatives sionistes juives qui ont été
déposées au Cabinet et ont été
agréées par celui-ci. :
Le gouvernement de Sa
Majesté regarde avec bienveillance les efforts
entrepris en faveur de la création d'une patrie
nationale en Palestine pour le peuple juif et soutient ces
efforts qui ne doivent en rien léser les
intérêts des groupes non-juifs en Palestine ou
les droits et le statut que les Juifs possèdent dans
d'autres pays.
Je vous serais obligé de
porter à la connaissance de la ligue sioniste le
contenu de cette déclaration,
Votre dévoué
Arthur James Balfour
Ce qui est remarquable dans cette Déclaration
Balfour, c'est que le gouvernement britannique visait un
pays, en fait la Palestine, comme patrie pour les juifs, sur
lequel il ne possédait aucun droit de décret
et au nom duquel il n' aurait donc pas pu parler au nom du
droit des peuples.
Ce fut naturellement un cas classique de politique
impérialiste. Les sionistes se comportèrent
encore plus sournoisement en toute liberté avec la
réalisation de leur état d'Israël et
l'expulsion en masse qui s'ensuivit : les
intérêts des groupes non-juifs étaient
oubliés, ce qui était interdit par la
Déclaration.
La maison Rothschild avait commençé un jour
par des affaires de bordel ses entreprises commerciales
à Francfort et par la suite avait amassé.par
toutes sortes d 'affaires louches et de spéculations,
un pouvoir fabuleux.
La guerre civile américaine fut planifiée
à Londres en 1857, c'est à dire 4 ans avant le
déclenchement des hostilités. Certains
banquiers de la branche parisienne devaient soutenir et
financer les états du Sud et la branche britannique
du même groupe devait donner son aide aux états
du Nord. Derrière les deux branches se trouvait la
maison Rothschild.
Dans le Nord, elle fut représentée par un
juif que l'on connaît sous le nom d'Auguste Belmont
(son véritable nom était Auguste Schönberg).
Il était d'origine allemande mais il avait
émigré aux USA. Dans le Sud, le groupe fut
représenté par son oncle, le sénateur
de la Louisiane John Slidell. Celui-ci était juif du
côté paternel et avait sa résidence
à New York. L'associé économique le
plus intime de Slidell était un autre juif du nom de
Judah Benjamin qui avait été un bon ami de
Disraéli. Durant la guerre civile américaine,
Benjamin fut le secrétaire de la
Confédération des Etats du Sud. Selon
l'encyclopédie juive (vol. III, p. 30) Benjamin
était le "cerveau coordinateur de la
Confédération", mais fut fortement
impopulaire surtout durant son service
rémunéré durant la guerre ".
La chronique The Counciler (5. -25 octobre 1973, vol. 10,
n° 15) affirme : "Aussi bien Benjamin que Slidell
étaient des agents de Rothschild et, durant la guerre
civile, les moyens financiers coulèrent dans les
coffres de la part des Rotschild via les banques Erlander."
Pour les magnats de la finance Rothschild, le but de la
guerre civile était d'endetter les Etats du Nord
aussi bien que les Etats du Sud afin que dans leur situation
financière désespérée, ils
soient prêts à accepter le même
système monétaire qu'avait déjà
mis sur pied la maison Rothschild en Angleterre et sur le
continent européen. Egalement aux Etats Unis, une
banque nationale ou impériale devait être
appelée à l'existence et l'argent en cours
devait être centralisé afin de liquider en
partie les dettes nationales dont on garantissait le
paiement avec les impôts payés par les citoyens
américains.
De ce fait, la production économique
américaine et par suite le peuple américain
lui-même, devaient tomber dans la dépendance
financière de la maison Rothschild et des banques qui
lui sont affiliées
Dire que le but de la guerre a consisté dans
l'abolition de l'esclavage est un conte de nourrice
répandu par la propagande des Etats du Nord et plus
tard par les livres d'histoire à l'usage des
naïfs. Tout ceci a été exposé
entre autres dans le livre de Gertrude Coogens, "The
Historical Facts. Our Untaugh History". (p. 174-184).
Le fait qu'Abraham Lincoln, chef des Etats du Nord, ait
vu clair dans le jeu de cartes des Rothschild est
très instructif. Il avait fort bien compris que les
banquiers juifs étaient les véritables ennemis
de l'Amérique et non les Etats du Sud
révoltés ou les "barons de l'esclavage". Les
manigances et les machinations dégoûtantes des
magnats des banques juives préoccupaient
profondément Lincoln. Nous renvoyons à ce
sujet à John R. Elsons, "Lightening Over the
Treasure Building" (Meador, Boston, 1941, p. 78) ainsi
qu'au livre de Gertrude Coogans déjà
cité.
Beaucoup de chercheurs pensent qu'il peut être
prouvé valablement que le meurtrier de Lincoln, John
Wilkes Booth, ne fut pas un espion ou un fanatique agissant
en son nom personnel mais comme l'a dit sa mère : "une marionnette aux mains de gens qui agissaient dans les
plus haut milieux", un petit rouage dans une conspiration
dont les acteurs cachés étaient Judah Benjamin
déjà cité et à l'autre
extrémité, les Rothschild. Lincoln a dû
être écarté pour que la clique des
Rothschild puisse avoir l'économie américaine
entièrement dans ses mains. Il fallait pour cela
créer une banque nationale. Et cela se fit en 1913.
Celui qui aida à sa naissance fut le banquier juif,
Paul Warburg, qui avait ouvert la voie pour la
création de la Federal Reserve Bank
Une source juive révèle combien le pouvoir
financier des Rothschild était déjà
gigantesque dès la première moitié du
19e siècle. Moses Margoliuth écrit dans son
livre "The History of the Jews in Great Britain" (Londres, 1951, vol. II, p. 161) : "Le nom des Rothschild
était omniprésent et on s'apercevait avec
justesse que la maison Rothschild avait étendu un
réseau sur toute la nation. Il n'est pas
étonnant qu'aucun gouvernement de quelque état
européen que ce soit ne pouvait contrecarrer ses
opérations sur le marché monétaire
;
Le capitalisme - ou le pouvoir de l'argent - est un
instrument que la puissance juive utilise sous le couvert de
la démocratie. Il faut ajouter que la famille
bancaire Rothschild déjà immensément
riche dès le milieu du siècle passé a
participé activement à la politique en
Angleterre et en France, en Allemagne et en Autriche. Au 20e
siècle, elle soutint activement le sionisme. Lors de
notre introduction sur la Déclaration Balfour, nous
avons vu que Lord Rothschild se présentait comme
défenseur du sionisme mondial.
COMMENT LES ETATS-UNIS ENTRERENT-ILS DANS LA PREMIERE GUERRE
MONDIALE ?
Samuel Landman, secrétaire de l'Organisation
Mondiale Sioniste de 1917 à 1922 révèle
dans son écrit Great Britain : "The Jews and
Palestine" (New Zionist Press, London, 1936) comment
l'Organisation Mondiale Sioniste conclut un accord secret
avec le Cabinet de la guerre britannique qui ouvrait la voie
à la Déclaration Balfour de l'année
suivante.
Suivant cet accord, la Grande-Bretagne promettait aux
sionistes l'acquisition de la Palestine gouvernée
alors par les Turcs en échange de l'entrée en
guerre des Etats Unis à côté des des
Anglais qui devait se faire sous la pression des sionistes.
Le sioniste Landman écrit : "La meilleure
façon et peut-être la seule pour obtenir l
'entrée en guerre de la part du président
américain, Woodrow Wilson, consiste en ce que ce
dernier soit assuré du soutien des sionistes
convaincus. En posant comme objectif, devant les yeux de
ceux-ci, la Palestine, on mobilisa le potentiel
inespéré des sionistes des Etats Unis et
d'ailleurs pour les Alliés. Quid pro quo - Service
pour service !"
Selon l'Agence officielle américaine (World
Almanach), 4 millions 335 000 Américains furent
appelés sous les drapeaux durant la première
guerre mondiale. 116.516 d'entre eux moururent, 204.002
furent estropiés. L'Amérique paya d'un beau
bain de sang les intérêts juifs.
James A. Malcolm, qui a été chargé
par le Cabinet de la guerre britannique en 1916 de traiter
avec les sionistes, révèle dans son livre "Origins of the Balfour Declaration : Dr Weisman's
Contribution" (Londres 1944) : "On peut gagner partout la
sympathie des juifs mais seulement si on leur offre la
Palestine. "Lord Alfred Milner du ministère de la
Guerre s'y intéressait mais il ne croyait pas en la
possibilité de promettre la Palestine aux juifs. Je
répondis qu'il n'y avait qu'une seule méthode
pour créer l'événement
désiré, à savoir l'entrée de
l'Amérique dans la guerre et je lui désignai
un des amis les plus intimes du président Wilson, en
l'occurrence Louis Brandéis, président du
tribunal suprême des Etats Unis, de la Cour
Suprême : Brandéis était un sioniste de
corps et d'âme.
Ensuite, James A. Malcolm décrit les tractations
dures entre les chefs sionistes et le Cabinet de la guerre
britannique : "Les entretiens aboutirent à un accord
que je désignai du nom de "Gentleman Agreement" :
les sionistes devaient oeuvrer activement pour que les juifs
se rangent du côté des Alliés surtout
aux Etats Unis et pour influencer l'opinion publique dans le
sens des Alliés. En échange, le Cabinet
britannique devait aider les juifs à gagner la
Palestine."
Sir Francis Neilson, historien et parlementaire
britannique, écrit dans son ouvrage classique sur la
première guerre mondiale "The Makers of the War" :
"En Amérique, le président Woodrow Wilson
cherchait désespérément un
prétexte pour entrer en guerre. Il le trouva
finalement dans l'histoire du naufrage du Sussex dans la
Manche. Tous les citoyens américains qui se
trouvaient à bord auraient péri. Avec ce
prétexte, il se tourna vers le Congrès pour
obtenir la permission de déclarer la guerre. Plus
tard il fut prouvé que le Sussex n'avait pas
coulé et qu'aucun Américain n'avait
trouvé la mort."
James A. Malcolm a dépeint en détails dans
le New Judaea, l'organe officiel de l'Organisation Mondiale
sioniste à Londres, (ed. d'octobre-novembre 1944)
comment les sionistes ont remué ciel et terre aux
Etats Unis pour entraîner le pays dans la guerre. : "Le Gentlement Agreement entre les chefs sionistes et le
cabinet de la guerre britannique dont l'élaboration
m'a été confiée représentait la
base de la coopération. Déjà
après quelques mois de guerre on constatait
d'excellents résultats malgré les nombreuses
défaites."
Dans son oeuvre citée ci-dessus, Great Britain, "The Jews and Palestine", Samuel Landman dit : "Le fait que
l'entrée en guerre des Etats Unis dans la
première guerre mondiale soit due à
l'initiative des juifs a provoqué en Allemagne,
surtout chez les Nationaux-socialistes, une profonde
amertume. Il en a résulté que
l'antisémitisme joua un rôle si important dans
la politique du national-socialisme."
Le journal juif "Jewish Daily Bulletin" imprima le 30
octobre 1934 un télégramme juif de Berlin dans
lequel il était dit en substance : "La nouvelle
Allemagne tente de rendre inopérante l'influence
juive actuelle car les juifs ont poussé les Etats
Unis dans la guerre mondiale pour contribuer à la
défaite de l'Allemagne et amener ensuite une
inflation catastrophique dans ce pays. C'est ce que
déclarait hier, à Magdebourg, Richard Kunze,
un député, dirigeant national-socialiste."
DES CHEFS DE LA MAFIA
POUR ISRAEL
Beaucoup d'Américains furent profondément
choqués lorsque l'ADL, organe de la loge juive du
B'naï Brith, conféra au gangster Morris, "Moe"
Dalitz, en 1985, la distinction "Flambeau de la Paix".
Dalitz était le fondateur du "Gang Pourpre", une
bande d'assassins de triste réputation et l'acolyte
de longue date de Meyer Lanski. Qu'on s'imagine une
association d'Italo-Américains décernant une
distinction à Al Capone !
Le Gang Pourpre opérait à Détroit et
Cleveland et était cette branche de la mafia
américaine qui, durant l'ère de la prohibition
des années 20, avait eu la plus grosse part dans le
trafic de l'alcool. Après la fin de la prohibition,
il se spécialisa dans le commerce des
stupéfiants. Meyer Lanski comptait parmi les plus
grands boss de la mafia et était responsable de
plusieurs meurtres.
Comment l'ADL eut-elle l'idée d'attribuer une
distinction à un bandit juif, mal famé ?
Peut-être que le long article paru le 20 avril 1990,
sous la rubrique "Les mafias sionistes en WK" du Jerusalem
Post Magazine, d'un certain Robert A. Rockaway, expert en
histoire juive à Tel Aviv, pourra nous
révéler la cause cachée de cette
énigme.
Dans cet article, il était dit comment Meyer
Lanski, Dalitz et d'autres gangsters juifs collaboraient
clandestinement à la lutte pour la création de
l'état d'Israël. Durant les années 40,
ces cercles envoyèrent de l 'argent et des armes en
Palestine.
Si l'article avait paru dans un autre journal, on
l'aurait certainement qualifié
d'antisémite.
Le lecteur aura les cheveux qui se dresseront sur la
tête lorsqu'il apprendra que : "De même que
dans beaucoup d'autres domaines, les juifs se sont
créé une position dominante dans le domaine du
crime." Après cette introduction, suit une
énumération des chefs américains de
premier plan. :
Charles King Salomon dirigeait le monde de la
pègre à Boston et gérait le trafic de
drogue en Nouvelle Angleterre. Max Dalitz (celui à
qui l'ADL rendit les honneurs), Sam Tucker, Morris
Kleinmann, et Louis Rothkopf dirigeaient le trafic d'alcool
à Cleveland...
Jake "Greasy Thumb" était caissier et comptable
dans la bande d'Al Capone. Une véritable mafia juive
du nom de Purple Gang régentait en grande partie le
trafic d'alcool à Détroit et s'occupait de
salons de jeu, de fraudes d'assurances, de commerce de
stupéfiants, d'enlèvements et de meurtres sur
commande... Abner "Longy" Zwillmann, un trafiquant
d'alcool important du temps de la prohibition, était
chef de la mafia à New Jersey.
A New York, qui était déjà en 1920
la plus grande ville juive du monde, l'instigateur en chef
des crimes organisés, le juif Arnold Rothstein, fut
considéré par les historiens comme le plus
grand entrepreneur dans l'histoire du gangstérisme
américain. Rothstein, connu aussi par le public comme
organisateur des World Series, en 1919, construisit l'empire
du jeu le plus puissant du monde entier. Grâce
à ses ressources financières
illimitées, il finançait le trafic de l'alcool
et celui de la drogue, il achetait les juges et les hommes
politiques et prêtait de l'argent à des firmes
légales. L'influence de vaste envergure de Rothstein
l'amena à recevoir le titre de noblesse de "Tsar de
la Pègre".
Parmi ses disciples les plus fervents, on comptait le
juif Meyer Lanski qui, plus tard, devint une des figures les
plus connues de la pègre. Il fonda des casinos
à Cuba et aux Bahamas ; le juif Bugsy Siegel qui se
spécialisa à Los Angeles dans les affaires de
chantage et qui créa à Las Végas une
voie d'accès pour la mafia ; le juif Louis "Lepke",
comptable, qui commandait une troupe de plus de 200
gangsters et gouvernait par les menaces et la terreur
l'industrie du textile à New York ; et le juif Arthur
"Dutch Schultz" Flegenheimer, un meurtrier brutal,qui fut
le roi incontesté de la bière dans le Bronx.
"
De tels faits bien établis doivent être
considérés comme très importants ; ce
n'est pas rien de prendre des assassins sous sa protection
et de les honorer pour des motifs soi-disant objectifs.
Rockaway écrit : "Beaucoup de juifs ont une
admiration à contre coeur pour ces gangsters parce
qu'ils brisent les normes traditionnelles de la
société sans se soucier de ce que pensent les
Goïms."
L'article se termine sur ces phrases incroyables : "Même si la pratique du gangstérisme juif
pouvait être gênante, ils pouvaient faire ce que
les juifs décents ne pouvaient pas : une protection
physique des juifs et de l'argent rapide pour Israël
qui luttait pour sa survie. Ces hommes n'étaient pas
des successeurs de Robin des Bois et ne devaient pas
être louangés. Pourtant ils ont fait de leur
mieux pour aider leur peuple à survivre."
La distinction décernée par l'ADL au
meurtrier Moe Dalitz peut être
considérée comme une bizarre façon de
venir à bout du passé des dirigeants de l'ADL
suivant la devise : "Ne cachons pas notre sale passé
plus longtemps ! Soyons en fiers ! Honorons-le !"
Dans l'article du Post Magazine de Jérusalem
manque un nom tout à fait fondamental. Car il est
universellement connu que la famille juive Bronfmann a
escroqué une fortune fabuleuse en mettant sous son
contrôle le trafic de l'alcool durant l'époque
de la prohibition d'abord au Canada et ensuite aux Etats
Unis. Lorsque la consommation de l'alcool fut interdite de
1915 à 1919 au Canada, la famille Bronfmann importa
clandestinement des boissons fortes dans le pays. En 1919,
l'interdiction fut levée. Alors commença la
prohibition aux Etats Unis. Les Bronfmann eurent de ce fait
un nouveau marché.
Leurs aides étaient des hommes de la mafia
américaine qui manageaient et protégeaient le
commerce de l'alcool : les quatre frères Bronfmann,
Allan, Sam (le père d'Edgard Bronfmann, le
président d'honneur actuel de l'ADL), Abe et Harry
possédèrent la majorité des actions
dans le si nommé "syndicat Reinfeld" qui achetait
du whisky aux fabricants britanniques et le revendait par la
mafia. La distribution était surveillée par le
juif Joseph Reinfeld, un meurtrier présumé,
à New Jersey, par Abner "Longy", Zwillmann et par
le "Paten" Arnold Rothstein, avec leurs bandes à
New York.
Sous la protection de l'oncle d'Al Capone, John Torrio,
la mafia fut centralisée durant les années 20
en organisation criminelle strictement
organisée couvrant l'ensemble du pays.
A cette époque, les grandes batailles de la mafia
s'enflammèrent, batailles par lesquelles un grand
nombre de mafiosi italiens dut mordre la poussière,
et la fraction dirigée par John Torrio, Meyer Lansky
et Lucky Luciano triompha. Au début des
années trente, Meyer Lansky et Benjamin "Bugsy"
Siegel fondèrent le "Bureau du crime" de la mafia
cartellisée dont la mission était d'envoyer ad
patres ceux qui représentaient une gêne pour la
mafia. On appelait ce bureau l' "AB Meurtre".
Simultanément on continuait la politique
d'investissement dans des branches commerciales
légales, ce qui eut pour résultat qu'en 1936,
lorsque la prohibition fut levée, beaucoup de mafiosi
étaient devenus immensément riches et
possédaient un impact formidable dans la
société américaine.
En mai 1936, le clan Bronfmann accepta de payer à
l'état américain 1,5 million de dollars pour
régler ses dettes. La facture représente un
aveu implicite du fait qu' à peu près la
moitié de l'eau de vie trafiquée durant la
prohibition venait des Bronfmann. Durant l'époque qui
suivit, ceux-ci s'endormirent sur leurs lauriers maintenant
qu'ils étaient devenus "respectables". Des
personnalités juives influentes veillèrent
à ce que Sam Bronfmann dès 1934 c'est à
dire déjà avant la fin de la prohibition,
obtint son poste de président du National Jewish
People's Relief Commitee, poste plein de prestige.
En 1939, il fut nommé président de la
Jewish Colonisation Association, et beaucoup d'autres
postes suivirent. D'autres gangsters de la mafia
américaine, également, se muèrent en
juifs philanthropes. Ils protégèrent des
organisations juives qui s'occupaient des
réfugiés juifs devant le
national-socialisme.
Edgar Bronfmann se servit de la fortune familiale
escroquée pour prendre son essor vers la
présidence du Congrès Mondial Juif. Une partie
du clan des Bronfmann couvre encore aujourd'hui le
gangstérisme sous son aile. En 1972, Mitchell, le
frère d'Edgar, fut cité à
Montréal dans un rapport d'une commission criminelle
comme acolyte du dirigeant local du gangstérisme
Willy Obront : "Leur situation comporte des
activités illégales qu'ils ont
pratiquées ensemble, les services spéciaux
qu'ils se sont rendus réciproquement et les profits
qui en sont sortis pour tous les deux dans le domaine de
l'usure, des jeux de hasard, de paris illégaux, des
falsifications d'actions, d'impôts extorqués et
de corruption." (cité à partir de Peter C.
Newmans "The Bronfmann Dynasty", p. 231) Obront et un
autre copain de Mitchell Bronfmann, un juif du nom de Sidney
Rosen, furent tous deux envoyés derrière les
barreaux durant les années septante pour blanchiement
d'argent sale et autres délits.
Encore aujourd'hui les postes directeurs de l'ADL sont
occupés par des gens qui entretiennent des relations
avec le crime organisé, le B'nai Brith et leur
ADL.
Le quartier général d'où les
racistes juifs pratiquent l'espionnage et la propagande
raciste juive est le B'nai B'rith juif de la confrérie
franc-maçonne avec l'ADL qui lui est
rattachée. Cette dernière a de nombreuses
filiales locales partout aux Etats Unis et dans tous les
pays où il y a un nombre appréciable de
juifs. Tous les gouvernements occidentaux soutiennent l'ADL.
En août 1988, par exemple, le B'nai B'rith a tenu un
congrès d'une semaine à Stockholm.
Lorsque l'ADL fêta son cinquantième
anniversaire en 1963, cette organisation de propagande juive
put démontrer ainsi fièrement que son quartier
général de New York possédait des
bureaux régionaux dans pas moins de 30 villes
américaines et commandait un état major de 150
avocats, de professeurs de sciences sociales, de
pédagogues et de spécialistes en
publicité à temps complet. Le budget
s'élevait déjà en 1960 à 3, 940
millions de dollars bien établis (Thomas B. Morgan :
"The fight against prejudice", Look Magazine, 4 juin
1963).
Bien que l'ADL soit exempte d'impôts parce que
reconnue soi-disant "d'utilité publique", elle joue
un rôle politique considérable et peut
prétendre souvent à des pouvoirs dans la
police. Le chef régional de l'ADL à la
Nouvelle Orléans, contrôle une partie
importante des fonds publics utilisés par le FBI dans
ses agences pour la découverte de soi-disant
attentats contre des synagogues dans le Mississipi.
Une jeune professeur fut tuée par le FBI lors de
son arrestation. On l'avait soupçonnée de
vouloir faire sauter une synagogue. L'ADL réussit
à éviter toute enquête bien que celle-ci
soit de règle lors d'attentats, de coups meurtriers
et d'accidents mortels. (Los Angeles Times, 13
février 1970)
La loge du B'nai Brith fut fondée en 1843. En
1966, Elle avait 205 000 membres masculins dans l'ensemble
des 350 loges réparties dans 43 pays et 130 000
membres féminins dans 600 sections (Edward Grusd :
"B'nai B'rith", Appleton Century, New York, 1966, p. 283/286). Elle travaille en tant que lobby puissant pour Israël
et d'autres intérêts juifs même si elle
n'a jamais été enregistrée comme
agentur d'un gouvernement étranger. (New York Times,
28 mai 1970, p. 21)
QUE SE CACHE-T-IL
DERRIERE L'ADL ?
C'était le 16 février 1979. Un jeune homme
de 19 ans qui s'appelait James Guttmann se présenta
chez les autorités de l'époque et leur demanda
l'autorisation d'organiser une manifestation du parti nazi
américain auquel il adhérait pour revendiquer
une "force blanche".
Guttmann déclara tout de suite qu'on apporterait
à la manifestation : des uniformes nazis, des
accessoires du Ku Klux Klan, des pancartes avec croix
gammées et certaines avec le slogan : "Hitler avait
raison ! Que les communistes et les juifs soient
gazés !"
Ce fut l'occasion rêvée pour la JDL (Jewish
Defense League) d'organiser une contre-manifestation
à Philadelphie à laquelle participèrent
des organisations qui étaient en relation avec l'ADL
;
Malheureusement on s'aperçut bientôt que le
jeune morveux qui avait demandé l'autorisation pour
la manifestation nazie appartenait lui-même à
la JDL et ne s'appelait pas du tout Guttmann mais bien
Mordechaï Levy !
La chose vola en éclats ; la JDL prit ses
distances avec Levy et les titres des gazettes
parlèrent d'un certain juif qui revendiquait pour le
nazisme : "Le chef des nazis est-il réellement un
juif ?" ou "Les nazis sont-ils tous balayés ?"
Cette histoire est le premier épisode venu
à la lumière de la carrière de
Mordechaï Levy comme provocateur de l'ADL et qui fut
plus tard assassin et terroriste. Depuis longtemps
déjà il n'était pas seulement en
relation avec la JDL du Rabbin Meir Kahane, mais aussi avec
l'ADL.
Dans une déclaration écrite parue le 18
juillet 1984, Irwin, le chef du département de la
documentation et membre haut placé de l'organisation,
a admis qu'il avait rencontré Levy ou lui avait
téléphoné à maintes
occasions.
Levy n'est pas une exception. Suivant le journal " ... "
du 5 avril 1955, l'ADL travaillait déjà depuis
quelque temps à la formation d'un parti
néo-fasciste NPP aux USA.
Le chef de ce parti était un certain Robert
Madole. Des agents infiltrés de l'ADL firent de leur
mieux pour peindre le danger d'un fascisme américain
dans les couleurs les plus sombres. Si nous accordons foi au
journal cité plus haut, le parti attirait une foule
de sympathisants. Le fondateur du NRP Robert Mardole fut
approvisionné via l'ADL par un groupe de
prostituées menées par le
proxénète juif nommé Mickey Jelke qui
s'occupait des membres du parti. L'agent soviétique
Wladimir Stepanowsky que l'ADL avait infiltré dans le
NRP confia ceci aux hommes de l'ADL Ben Epstein et Arnold
Forster. Ceux-ci répandirent la nouvelle à
donner le frisson que rien qu' à New York le NRP
comptait déjà entre 200 et 700 membres.
Plus tard également, l'ADL se servit sans cesse
de la présence d'agents provocateurs qui excitaient
les tensions entre les différentes races et les
divers groupes de population des Etats Unis. Des actes
à l'origine dissimulés mais ensuite rendus
publics prouvent que l'ADL opérait au sein du FBI
sous la dénomination de Cointelpro qui devait
infiltrer les groupes de citoyens noirs ainsi que ceux de
leurs adversaires.
Le reporter Jack Nelson révéla dans le Los
Angeles Times du 13 février 1973, le fait suivant :
en 1968, l'ADL finança les deux assassins du K.K.K
Alton Wayne Roberts et Raymond Roberts, pour qu'ils
exécutent un attentat contre un membre de l'ADL. La
police devait être aux aguets Lors de l'échange
de tir qui suivit, une jeune fille du KKK fut touchée
mortellement
Parlons encore de ce qui se trouvait dans le Los Angeles
Times. En 1964, Alton Wayne Roberts avait tué avec
six autres membres du Klan 3 citoyens dont deux
étaient juifs- dans le Mississipi. Ils furent
jugés pour leurs crimes contre les droits civils
fédéraux. Les frères Roberts firent
appel après leur condamnation.
Selon les avis de la police, un émissaire d'
Adolphe "Sam" Botnick se présenta chez eux. Il
était président de l'ADL à la Nouvelle
Orléans. Il leur offrit 69 000 mille dollars s'ils
acceptaient de jouer le rôle d'agents provocateurs par
la mise en scène d'un attentat à la bombe
contre la maison du fonctionnaire de l'ADL Meyr Davidson
à Meridan dans le Mississipi. La police tendrait une
embuscade.
Un agent anonyme du FBI informa le reporter Jack
Nelson.que l'agent du FBI, Franck Wattes et le policier
Mike Scarborough auraient marchandé un accord avec le
KKK comme suit : l'ADL devait payer à un
intermédiaire la somme de 10 000 dollars et 69 000
dollars aux frères Roberts pour que les deux membres
du Ku Klux Klan Thomas A. Tarrants et Joe Danny Hawkins,
tombassent dans un piège dont ils ne devaient pas
sortir vivants.
"Le 10 juin, l'accord fut conclu et le jour suivant
Botnick fit en sorte que 25 000 dollars soient
envoyés de la Nouvelle Orléans à
Meridan où le FBI devait rencontrer le même
jour les deux frères" écrit Nelson dans le
Los Angeles Times. Le 20 juin, les frères Roberts
confièrent au FBI que l'attentat à la bombe
aurait lieu comme prévu. Le 29 juin, Alton Wayne
Roberts donna le feu vert pour le drame financé par
l'ADL. La seule modification fut que Hawkins s'était
désisté et qu'il avait été
remplacé par la membre active du Klan Cathy
Ainsworth.
Dans la nuit du 29 au 30 juin, juste après minuit,
Tarrant et Ainsworth parquèrent leur voiture dans la
rue en face de la maison de Meyer David Son. Ainsworth
resta assise au volant tandis que Tarrand se dirigeait vers
la maison muni de plusieurs charges de dynamite dans une
main et d'un pistolet dans l'autre. Il n'a pas encore
été éclairci qui a ouvert le feu le
premier. Les 10 agents du FBI et les 12 policiers locaux ou
Tarrant. Ainsworth reçut une balle dans la colonne
vertébrale tandis que Tarrand était
frappé de 70 balles mais il survécut d'une
manière inexplicable.
Selon un rapport de police, trois jours plus tard, l'ADL
payait aux frères Roberts 10 000 dollars. Le 10
juillet suivit un autre paiement d'un même montant. Et
le 27 août, trois hommes d'affaire juifs
allèrent de Jackson à Meridan et
payèrent 17 500 dollars comme dernier compte aux
frères Roberts, écrit le Los Angeles
Times.
C'est cette collaboration entre l'ADL et le FBI qui amena
les autorités à la prudence quand Altyon Wayne
Roberts reçut finalement son jugement
définitif pour avoir participé au triple
meurtre du Mississipi. Le 17 mars 1970, il fut
condamné seulement à 10 ans de prison dont
trois avec sursis. Les frères Roberts obtinrent
ensuite le statut de témoins protégés
par l'état et continuent à servir le FBI aussi
bien que l'ADL encore aujourd'hui en tant que mouchards.
Sam Botnick, en tant que participant parmi les plus
importants dans cette affaire trouble, est toujours
président de l'ADL à la Nouvelle
Orléans et son ancien subordonné
immédiat, le juif Richard Lobenthal, dirige
aujourd'hui l'ADL à Détroit. Justin J. Finger
qui dirigeait le département juridique de l'ADL
à l' époque où le mouvement pour le
droit des citoyens de même que le KKK étaient
à leur apogée, est actuellement le
suppléant du chef de l'ADL au niveau national.
Deux bons mois seulement avant l'échange de tir
perpétré à Meridan, Martin Luther King
était assassiné sur le tas à
Memphis. Dans cette relation il est très instructif de
voir que Botnick avait collaboré étroitement
avec le chef décédé entretemps du
département 5 du FBI (contre espionnage) à la
Nouvelle Orléans, Guy Bannister. Ce Bannister avait
créé un réseau d'agents provocateurs
qui infiltraient l'organisation terroriste Minutemen.
Suivant une source bien informée du service
d'informations des USA, les minutemen avaient aidé
James Earl Ray à s'échapper de prison de telle
sorte que le 4 avril, il put être arrêté
comme soi-disant meurtrier de Martin Luther King. Ceci
signifierait que Ray n'était qu' un bouc
émissaire tandis que les véritables meurtriers
n'ont jamais été arrêtés !
Des documents secrets antérieurs du FBI qui ont
été ouverts au public (Dossier Les
Panthères Noires /Questions de race))
démontrent que l'ADL et le FBI ont collaboré
aussi contre les Panthères Noires, organisation
militante nègre. Ce qui nous intéresse
spécialement ici est un rapport de l'ADL du 22
octobre 1968 sur les Panthères Noires, qui provient
de la plume d'un certain Carl Gershman de même que de
celle de Jérôme Bakst et dans lequel on peut
lire : "On peut s'attendre dans un avenir proche à
des heurts meurtriers toujours plus graves entre les
Panthères et la police."
Le fait que ce rapport dfort révélateur fut
trouvé dans les archives du FBI prouve la justesse
d'un passage d'un livre qui porte le titre "Racial Matters" (problèmes raciaux). Dans un chapitre sous le
titre "La seule bonne Panthère" on lit : "Le
département 5 cherchait à nuire aux
Panthères en manipulant Rabbi Meir Kahane de
même que la Jewish Defense League qui n'est pas
hostile aux méthodes terroristes, en laissant
transpirer des informations vers l'administration des
universités et les filiales de l'ADL et en
collaborant avec des journalistes.. Dans le cas de la JDL,
le FBI ne s'inquiéta pas de publier des faits, le
groupe de Kahane ne pouvant être motivé
à agir quand les renseignements sur
l'antisémitisme et sur d'autres questions
n'étaient pas décrits avec assez de
précision.
L'ADL coopère jusqu'à aujourd'hui aux
opérations du nom de Cointelpro. Des sources des
services d'information des services américains
montrent à quel point le FBI s'occupait de ce contre
espionnage condamné par le Congrès,et que
chaque fois que cela transpirait celui-ci a toujours mis en
cause l'ADL pour toutes les actions où des agents
provocateurs étaient à l'oeuvre. Un bon
exemple de cela nous est fourni par le cas James R.
Rosenberg, alias Jimmy Mitchell, alias Jimmy Anderson.
Le juif Rosenberg est un agent à temps complet
dans le département de la documentation de l'ADL.
Des rapports de police établissent que Rosenberg a
infiltré le groupe du KKK à Trenton, dans le
New jersey à l'instigation de l'ADL et voulait ainsi
provoquer le dynamitage du bureau de l'organisation de
couleur NAACP à Trenton. On trouva même la
facture de l'argent payé par l'ADL à
Rosenberg.
En 1981, un membre féminin de la JDL qui se
servait du nom d'emprunt "Ricky" rapporta à un
journaliste : "J'ai rencontré Jimmy en Israël
à peu près en 1978 lorsque je me trouvai dans
le kibboutz.Kfar Saba sur la côte occidentale.. Il
avouait qu'il noyautait le Klan au service de l'ADL. Jimmy
était largement dépendant du valium.Il devait
être hospitalisé.Personnellement il voulait
servir dans l'armée israélienne et il y
réussit - il m'a envoyé une photo. Mais c'est
un bureaucrate, un gratte-papier ; au combat, on ne pouvait
pas se fier à lui."
Rosenberg revint en Amérique en 1979 où il
travailla sous la direction de Irwin Suall dans le
département de la documentation de l'ADL. On lui
confia la mission d'infiltrer la droite paramilitaire qui
était devenue une cible importante pour l'ADL. Le 7
décembre,1981, il se produisit sous une nouvelle
identité dans un film documentaire
télévisé qui s'appelait "Les
armées de la droite" à Minnéapolis
dans le Minnesota. Il s'agissait d'une organisation du nom
d'Alliance christique patriotique. Il
dénonçait les propos antisémites les
plus racistes de tous ceux qui se produisirent dans ce
film.
Nous nous souvenons de Mordechaï Levy, le jeune
homme qui, en 1979, sous le nom de James Guttman, demanda
à Philadelphie une autorisation pour une
manifestation nazie. Il était aussi-tout comme
Rosenberg - un agent provocateur qui travaillait non
seulement pour l'ADL mais aussi pour le FBI et d'autres
instances policières. Il se manifestait sous
différents noms : James Franck, Mark Levine, Mark
Levy et Morty. Deux de ses contrôleurs du FBI
s'appelaient Joseph Valiquette et Paul Locke.
Tous deux travaillaient dans la filiale de New York.
Ceux-ci avaient entretenu, comme il ressort de documents
secrets qui furent dévoilés, des liens
officiels depuis au moins les années soixante avec
l'ADL.Et ce n'est pas tout : Levy est aussi
soupçonné d'avoir trempé dans des
attentats terroristes très violents commis aux USA
ces dernières années.
Le 7 septembre 1985 mourut Tscherim Soobzokov,
président d'une communauté musulmane à
Paterson, New York, des suites d'un attentat à la
bombe contre sa maison le 15 août de cette même
année. Quelques jours à peine avant
l'attentat, Levy s'était arrêté à
Paterson et s'était élevé contre
Soobzokov dans une synagogue. L'Office des investigations
spéciales, une organisation juive, qui essayait de
détecter tous les soi-disant "criminels nazis" aux
USA, avait cherché sans succès à
prouver que Soobzokov était un "criminel nazi".
Quelques jours après l'attentat meurtrier, Levy
donna une conférence de presse à Paterson et
prononça des louanges du crime. Une semaine avant
l'acte meurtrier il avait appelé l'avocat de
Soobzokov, Michael Dennis et lui avait adressé des
menaces de mort dans lesquelles il prédisait la mort
prochaine de Soobzokov lui-même
Le 11 octobre 1985, Alex Odeh, président du
comité anti-discrimination arabo-américain fut
tué àSanta Anna en Californie, par une bombe
qui avait été placée à la porte
de son bureau. Le soir précédent, Odeh avait
été interviewé dans deux
émission télévisées nationales.
Douze heures après, il était mort. Si l'on se
réfère à des sources crédibles,
Odeh aurait reçu de nombreuses menaces de mort venant
de Mordechaï Levy et de la JDL.
Bien que le chef du FBI, William Webster, depuis
longtemps un ami intime de l'ADL, n'a pas pu
s'empêcher d'avouer que la "pègre juive"
avait été en 1985 l'organisation terroriste la
plus active, dans le cas Soobzokov et dans celui de Odeh, il
n'y eut aucune interpellation.
Le FBI affirma devant les proches d'Odeh qu'il n'y avait
pas d'arrestation parce que les meurtriers étaient en
relation avec le service de sécurité
israélien. Ils leur apprirent aussi qu'il n'y avait
eu aucune plainte déposée contre Lévy
même si celui-ci était soupçonné
d'avoir commis l'attentat.
Le 10 août 1989, Mordechaï Levy fut cependant
arrêté par la police new yorkaise après
que, monté sur le toit de sa maison haute de six
étages, à Greenwitch Village, il
s'était mis à tirer autour de lui comme un
forcené et avait blessé un passant non
concerné. L'incident se produisit après qu'Irv
Rubin de la JDL ait tenté de porter plainte pour
diffamation contre Levy qui dirigeait à
présent une organisation concurrente nommée
JDO (Jewish defense organisation). Le terroriste
âgé de 30 ans fut reconnu coupable de tentative
de meurtre par voies de fait comme de menaces publiques mais
fut bientôt libéré.
La direction actuelle de l'ADL se trouve largement entre
les mains de personnes qui ont entretenus des rapports
à long terme avec des associations criminelles
organisées, spécialement avec la mafia
internationale de blanchiment de la drogue.
A la tête de tous ces fonctionnaires corrompus se
trouve le juif Kenneth Bialkin, ancien président de
l'ADL et actuel président d'honneur de même que
membre de la direction des fondateurs de l'ADL. Pendant les
années 70, Bialkin travaillait au bureau d'avocat
Wilkie Farr & Gallagher à New York.C'est lui qui
intriguait derrière Robert Vesco qui frauda pour une
somme de 60 000 000 millions l'entreprise Investors Overseas
Service (IOS). Le géant de la finance, Vesco,
établi comme fugitif à la Havane cubaine
devant la justice américaine, avait
déjà auparavant collaboré avec le
pourvoyeur de drogue colombien Carlos Lehder et avait
contribué à la création de voies d
'écoulement de la cocaïne et de la marijuana sur
l'île des Bahamas. Le 17 avril 1989, Robert Vesco fut
trainé devant le juge à Jacksonville pour
implication dans une affaire de drogue colombienne
passée en fraude.
En janvier 1980, Wilkie Farr & Gallagher furent
condamnés par un tribunal de New York à payer
35 millions de dollars de dommages et intérêts
à la victime de leur fraude gigantesque, l'entreprise
IOS. Or on découvrit alors que Bialkin avait
participé à l'escroquerie à tous les
échelons. D'après les annales
policières publiées, l'IOS aurait perçu
des milliards de dollars de la part de fournisseurs de
drogue et le roi des gangsters, le jui Meyer Lansky y aurait
investi son argent.
Depuis peu de temps, Bialkin travaille pour Skadden Arps,
le plus grand bureau d'avocats d'Amérique. Comme
Wilkie Farr & Gallagher furent les pionniers du
blanchiment de la drogue qui aujourd'hui remplit les
artères du réseau commercial international
d'opium, Skadden Arps joua un rôle de pionnier dans un
autre commerce trouble, en fait l'achat d'obligations
fictives et d'entreprises de prêts financés qui
ont pour but de ramener aux Etats Unis par le biais d'opérations dénommées "hostile
takeovers" et "asset stripping" des milliards de dollars
d'origine douteuse. Aux clients les plus
célèbres et les plus mal famés de
l'entreprise Skadden Arps appartiennent Michael Milken et
Ivan Boesky deux juifs gangsters qui ne comptent pas par
hasard parmi les sponsors de l'ADL.
Un autre ancien président de l'ADL, Burton Joseph,
joua un rôle clef auprès de Robert Vesco dans
la prise en charge et le pillage de l'entreprise IOS :il
ouvrait la voie aux contacts entre Vesco et son
protégé, le financier Meshulan Riklis de la
Rapid America Corp. Selon les actes du procès, Riklis
acheta en tant que représentant de Vesco un poste
d'action de contrôle. Plus tard on mit en relation
Ricklis avec Bialkin, Edgar Bronfman, Henry Kissinger et
d'autres personnalités de l'ADL. Il s'agissait d'un
scandale où de grands terrains ont été
achetés illégalement dans les territoires
occupés par Israël de même que dans les
parties chrétiennes et islamiques de
Jérusalem.
Tandis que Bialki était employé chez Wilkie
Farr & Gallagher, cette entreprise fonctionna aussi
comme représentante juridique de l'ADL ; elle
représentait en outre les puissants protecteurs
financiers de l'ADL et de criminels supposés comme le
banquier Edmond Safra.
Bialkin oeuvra personnellement comme défenseur de
Safra surtout lors d'un procès dans lequel il
s'agissait de son acquisition de l'American Express. La
transaction s'acheva des années plus tard par un
fiasco. Les porte parole de l'American Express
accusèrent Safra de blanchiment de la drogue.
Le 3 janvier 1989, Safra fut accusé par les
douaniers américains ainsi que par les
représentants de la police contre la drogue des Etats
Unis à Berne comme acteur principal dans une
entreprise de blanchiment d'argent sale internationale
à laquelle appartenait la Shakarchi Trading Company.
La banque nationale républicaine de Safra à
New York servait de lieu de transit pour l'argent provenant
de la drogue de gangs libanais, bulgares et colombiens.
Tandis que ces "transactions" continuaient leur cours,
Bialkin siégeait comme président de l'ADL dans
une commission qui avait pour fonction de contrôler
fortement les lois en cours sur tout le territoire des Etats
Unis. A la même commission appartenait aussi C. Boyden
Gray, avocat de l'ancien vice-président Georges Bush
qui dirigeait deux organisations, le "Special Situation
Group" et le "Crisis Pre-planning Group" pour la
coordination de la politique de l'Amérique centrale
du gouvernement de Reagan Bush.
L'entreprise de boites aux lettres Lake Ressources
à Genève, dont se servaient 2 acolytes
d'Olivier North, General Secord et Albert Hakim,
dépendit dès le début de l'avocat
Willard Zucker. Le juif Zucker avait travaillé avec
Bialkin à la Wilkie Farr & Gallagher. En 1972, il
passa de président de l'ADL au poste de chef du
département juridique de l'IOS et il joua par
là un rôle majeur dans le pillage mené
par Vesco au sein de cette entreprise.
Edmond Safra, un des sponsors les plus
généreux envers l'ADL, et Wilkie Zucker
possédaient ensemble une escadrille d'avions
privés dont l'ancien conseiller de la
Sûreté Robert mac Farlane et le premier
lieutenant Olivier North se servaient pour leurs
expéditions de vente d'armes illégale.
D'après les aveux de collaborateurs de Safra,
celui-ci offrit à l'ADL un million de dollars
lorsqu'il eut gagné son procès civil en
1989.
La Sterling National Bank de New York travaille plus
étroitement qu'aucune autre avec l'ADL.Le 29 janvier
1982, les autorités italiennes
déposèrent une plainte contre la Sterling
National Bank de même que contre d'autres banques des
Etats Unis. Il leur était reproché d'avoir
subtilisé à la banque italienne - la Banca
Privata Italiana - 27 millions de dollars.
A la tête de la Sterling National Bank se trouvait
et se trouve encore le juif Théodore H. Silbert, un
autre président d'honneur de l'ADL et ancien
directeur de l'organisation ADL Appeal qui récoltait
des fonds pour l'ADL. D'après des cercles de
policiers américains, la banque serait depuis sa
fondation en 1929 par l'acolyte de Meyer Lanski, Franck
Erickson, au service de la mafia.Son nom fut aussi
cité lors d'une affaire de fuite d'impôts au
début des années 80, dans laquelle se trouvait
aussi impliqué un autre membre du directoire, Arnold
Burns, le vice-ministre de la justice sous Reagan, un homme
qui entretenait de bonnes relations avec l'ADL.
Burns possédait un bureau d'avocats, Burns &
Summit dont on dit qu'il offrait à ses clients un
nombre d'objets de placement exempts d'impôts dans le
monde du pétrole, ce qui conduisit à ce que
des millions de dollars furent soustraits à
l'administration fiscale des USA pour être
utilisés pour la recherche et le développement
en Israël.
Un autre figure haut placée dans le team de
Reagan, Masvell Raab, ambassadeur en Italie, siégea
longtemps simultanément au comité de la
Sterling National Bank. Raab avait travaillé
autrefois en collaboration avec Meyer Lanski dans la
International airport Hotel Corporation. Un autre banquier
dont les meilleures relations avec la mafia furent
dénoncées est Leonard Abess de la City
National Bank à Miami. Il appartient à la
Commission nationale de l'ADL et fut désigné
comme président d'honneur dans l'écrit
récemment publié par l'ADL "Purpose and
Program". En 1981, Abess appela Alberto Duque,un
blanchisseur d'argent sale du cartel de la drogue Medellin
au comité de sa banque. Il y siégea jusqu'en
1986. Depuis ce temps-là, il siège dans un
endroit un peu moins confortable à cause justement de
ce blanchiment d'argent sale !
En 1982, Donald Beasly fut appelé au comité
la présidence de la City National Bank dont on
suppose qu'elle lave de l'argent provenant du commerce de
l'héroïne du Sud Est asiatique de même que
de l'argent sale du commerce illégal d'armes qui est
dirigé par Théodore Shackley et d'autres
anciens "grands" de la CIA. Ils figurèrent plus
tard comme acteurs principaux dans le scandale de la
Contra.
La liste de toutes les personnalités qui ont
dépensé de l'argent pour l'ADL et qui en
contre partie ont reçu d'elle des distinctions
pourrait servir de Who is Who pour le syndicat d'assassins
international de Meyer Lanski. Des acolytes de longue date
de Meyer Lanski comme Victor Posner, l'avocat d'Hollywood
Sidney Korchak et Moe Dallitz appartiennent tous aux
bienfaiteurs de l'ADL.
Au niveau régional, nous trouvons les mêmes
figures. Phil Baskin, un avocat et un troubleshooter du
Parti démocrate à Pittsburg et en même
temps membre actif dirigeant de l'ADL en Pennsylvanie
occidentale dut démissionner comme actionnaire de sa
propre entreprise après que le bruit eut couru qu'il
avait participé à une tentative de faire
parvenir une importante commande immobilière à
"Nicky" Sands, un gangster clef de la famille Gambino de
New York.
De même Paul Lipkin, président de la
direction régionale de l'ADL en Virginie est digne
d'être mentionné. Lipkin travailla des dizaines
d'années comme avocat du juif Arthur "Bootsy"
Goldstein, le roi de la pornographie de Norfolk. Goldstein
fut arrêté 85 fois.
L'ADL n' a jamais éprouvé la moindre
gêne pour enrôler ces criminels dans ses rangs.
Au contraire, elle donne des décorations à des
gens comme Dalitz et qualifie d' "antisémites" tous
ceux qui condamnent ses liens avec le crime organisé.
LA POLITIQUE
D'ISRAEL CONFIRME LA VERACITE DES PROTOCOLES DES SAGES DE
SION
Israël et les sionistes occidentaux s'offusquent
continuellement du fait que les Protocoles des Sages de Sion
peuvent être vendus librement dans les pays arabes
musulmans et qu'on considère cet écrit chez
les Arabes musulmans comme un document très
instructif car on peut mieux comprendre grâce à
lui le contrôle sioniste rigide sur la politique et
sur l'opinion publique occidentales.
Je voudrais à présent soulever une question
primordiale à laquelle je m'efforcerai de
répondre le plus objectivement possible : Les
Protocoles sont-ils réellement un faux
fabriqué par la police secrète du Tsar,
l'Okrana, comme l'affirment les sionistes ? Ou cette
dernière affirmation n'est-elle qu'un mensonge de
plus de la part des sionistes ?
Il faut d'abord bien établir ce qui suit : Par les
Protocoles, on entend le document secret qui doit avoir
été rédigé en 1897 au premier
congrès de l'Organisation mondiale sioniste à
Bâle. Ce document était secret parce qu'il
était destiné uniquement à un cercle
étroit de maîtres secrets et non au public, et
certainement pas aux non juifs.
Dans ces mystérieux Protocoles, il est
exposé d'une manière très
détaillée et cynique comment les leaders juifs
collaborent tous ensemble dans tous les pays surtout dans
les pays chrétiens avec une minorité juive
relativement importante, pour affaiblir et anéantir
l'ordre de la société et préparer ainsi
des bases pour une domination mondiale juive. Ceci s'accorde
d'ailleurs totalement d'une manière saisissante avec
plusieurs citations de la bible juive, de l'Ancien
Testament, par ex. avec : Isaïe, 60, 10-12 où la
royauté future de Sion est décrite comms suit
:
"Les fils de l'étranger rebâtiront tes
murailles
Et leurs rois seront tes serviteurs ;
Car dans ma colère je t'avais frappée
Mais dans ma bienveillance, j'ai eu pitié de
toi.
Et tes portes seront toujours ouvertes
Le jour ni la nuit elles ne seront fermées
Pour t'amener les richesses des nations
Et leurs rois pour les conduire.
Car la nation et le royaume qui ne te serviront pas
périront
Et les nations seront exterminées."
La description d'une domination mondiale juive où
tous les autres peuples seront esclaves, ou s'ils se
révoltent, seront exterminés, n'est pas
à considérer comme une monstrueuse invention
mensongère de méchants antisémites,
mais sort de l'écriture sainte des juifs et est
exprimée dans leur bible par le prophète le
plus grand et le plus cité : Isaïe.
Dans la Torah aussi, le plus saint des livres juifs, nous
retrouvons souvent cette description d'un futur gouvernement
mondial juif. Par ex. dans le 5e Livre de Moïse,
33, v.29 :
"Heureux es-tu, ô Israël !
Qui est comme toi, peuple vainqueur ?
En Yahvé est le bouclier qui te secourt
Et l'épée en marche qui te mène au
triomphe.
Tes ennemis voudront te corrompre
Mais toi, tu fouleras leurs os."
La cruauté des juifs est mise en évidence
dans la Torah, comme dans le 4e Livre de Moïse, 23,
22-24 :
"Dieu le fait sortir d'Egypte,
Il est pour lui comme des cornes de buffle.
Car il n'y a pas de présage contre Jacob
Ni de sortilège contre Israël.
alors même qu'on dit à Jacob
Et à Israël : "Que fait donc Dieu ?"
Voici qu'un peuple se dresse comme une lionne
Qu'il surgit comme un lion :
Il ne se couche pas qu'il n'ait dévoré sa
proie
Et bu le sang de ceux qu'il a tués."
A différents endroits de la bible juive on chante
le poème sublime de la haine sanguinaire et on
décrit par la louange comment Israël
sèmera la discorde et les conflits chez les peuples
étrangers. Qu'on se réfère à
Isaïe, 19, 1-4 où le Seigneur parle par la
bouche de son prophète au peuple élu :
"J'exciterai les Egyptiens l'un contre l'autre
et ils combattront frère contre frère,
ami contre ami, ville contre ville,
Royaume contre royaume.
L'Egypte perd la tête
Et j'abolis son habileté.
Ils consulteront idoles et enchanteurs,
Nécromants et sorciers.
Je livre les Egyptiens
Aux mains d'un maître dur
un roi cruel les dominera,
Oracle du Seigneur Yahvé Sabaoth."
Dans le même chapitre 19, v. 14-17, on
décrit comment les juifs ont jeté chez les
Egyptiens la crainte et la peur avec l'aide et la
bénédiction du Seigneur :
"En eux Yahvé a répandu
Un esprit de vertige.
Ils font divaguer l'Egypte en toutes ses entreprises
Comme divague un ivrogne vomissant
Et l'Egypte ne peut plus rien réussir
de ce que font la tête et la queue, la palme et le
jonc
Ce jour-là, les Egyptiens deviendront des
efféminés, saisis d'effroi et de terreur, en
voyant se dresser la main que Yahvé Sabaoth
lèvera contre eux.
Le territoire de Juda deviendra la
terreur de l'Egypte. Toutes les fois qu'on le lui
rappellera, elle sera prise d'épouvante à
cause du dessein formé contre elle par Yahvé
Sabaoth."
Par ces citations hautement probantes de la bible juive,
il est évident que tout ce qui se trouve pour
l'essentiel dans les Protocoles de Sion, ne fait qu'un avec
les croyances de la religion ancienne juive originelle, en
particulier que les juifs veulent obtenir un gouvernement
mondial par la ruse et le sapage moral des
sociétés non juives. La pensée des
Protocoles repose entièrement sur la bible juive et
ne constitue absolument pas une méchante calomnie de
la croyance et des préceptes religieux juifs !
Il faut toujours tenir devant les yeux que si les
propagandistes sionistes pleurnichent en larmoyant que les
Protocoles seraient un faux commun machiné par de
sombres antisémites qui visent à noircir les
juifs et à exciter la haine contre eux, on trouve des
citations ignobles écrites par le peuple
d'Israël, qui démontrent une avidité
cynique de puissance inhumaine dans l'écriture sainte
du peuple juif, dans la bible elle-même. où ils
célèbrent un dieu épouvantablement
cruel qu'ils considèrent comme leur protecteur.
Les juifs qui se plaignent tellement que les Protocoles
soient une pitoyable oeuvre antisémite, devraient
d'abord régler leurs comptes avec leur propre bible
et fustiger celle-ci comme une oeuvre de propagande haineuse
sémite ! Sinon ils ne peuvent plus être
crédibles mais se révèlent être
de fieffés hypocrites !
Tournons-nous à présent vers les Protocoles
eux-mêmes et posons-nous la question de savoir s'il
s'agit d'un faux comme les sionistes l'affirment
inlassablement depuis leur publication et surtout depuis le
procès de Berne. (nous parlerons plus loin de
celui-ci) Je veux d'abord expliquer comment ces Protocoles
ont vu le jour d'après ceux qui les
considèrent comme authentiques.
C'est un savant russe nommé Sergueï A. Nilus
qui, le premier, publia les Protocoles. Il affirmait qu'il
avait reçu en 1901 un exemplaire avec une inscription
signée par les représentants de Sion du 33e
degré, ce qui signifiait en clair qu'il
désignait ainsi un ordre maçonnique juif. Ce
document saisi en français lui aurait
été donné par un major tsariste, comte
et chevalier au Tribunal de guerre de Petersbourg, Alexis
Nikolajewitsch Suchtin du Gouvernement de Tula.C'est ce que
prétend Nilus dans son livre : "Das Grosse im
Kleinem." Plus tard, en 1936, son fils a confirmé
dans une déclaration qu'il avait été
personnellement présent lorsque le comte Suchotin
avait remis en mains propres le document à son
père.
Madame Antonia Profyrjewna Manjakowskaja, parente du
comte Suchotin, née Suchotina, veuve de l'amiral
Manjakowsky, a dit dans les années trente de son exil
en Yougoslavie que, étant jeune femme, elle avait
souvent rendu visite à Sukotin et qu'elle avait
été chez lui en 1895 donc deux ans avant le
Congrès de Bâle lorque la soeur de Suchotin,
Véra, de même que sa nièce Olga
Wischnjewskaja, plus tard Lotin, avaient
rédigé une copie des Protocoles secrets.
Vera Sukotina mourut dans la tourmente
révolutionnaire mais Olga Lotin vivait encore dans
les années trente à Paris. Mais elle
était dans une maison de santé comme malade
mentale et ne pouvait donner aucune interview. Madame
Manjakowskaïa, une émigrée russe en
Yougoslavie, écrivit deux livres, le premier en
anglais avec le titre "Waters flowing Eastward" et le
second en français sous le titre "Le juif, notre
maître". Dans ces deux livres se trouve une lettre
de Filip Petrowitsch Stepanow - procurateur du Saint Synode
à Moscou durant l'époque tsariste - à
l'écrivain américaine Louise Fry. Cet
écrit date du 17 avril 1927. Stepanow y affirme qu'il
existait déjà une copie des Protocoles en
1895.
Les Protocoles furent publiés pour la
première fois à Moscou durant l'hiver
1902-1903. Le 28 août de même que le 7 septembre
1903, le journal russe Snanja (Savoir) publia une version
abrégée et en 1905, Sergej alexandrowitsch
Nilus rendit public le texte complet dans son livre sur
l'Antichrist qui portait le titre "Le Grand dans le Petit
et l'Antichrist comme possibilité immédiate de
gouvernement" Sous le nouveau titre "Il se trouve à
la Porte" parut en l'année fatidique 1917 une 4e
version "La Lumière du Monde".
En 1916, l'auteur russe Georgij Butmi avait publié
les Protocoles dans un livre qui connut déjà
sa quatrième édition l'année
suivante.
Tout ceci restait ignoré dans les autres pays
européens où personne ne savait quoi que ce
soit de ces mystérieux Protocoles. Seulement
après la première guerre mondiale et la
révolution d'octobre bolchevique, des fugitifs russes
diffusèrent cet écrit aux Etats Unis, en
Allemagne et dans d'autres pays. Cela provoqua une terrible
agitation dans les cercles juifs. La supposition qu'il
existerait un Protocole sioniste qui dévoilerait une
conspiration juive au niveau mondial devait être
clouée au pilori à tout prix comme une
honteuse escroquerie. Pour les Protocoles, il ne pouvait
s'agir que d'un faux né du cerveau malade et haineux
d'antisémites.
La contre offensive juive fut ouverte le 25
février 1921. Ce jour-là, le journal sioniste
américain "The American Hebrew" publia une
interview du reporter juif Isaac Landman avec la princesse
tsariste Catherine Radziwill qui affirmait que les
Protocoles seraient une oeuvre rédigée par la
police secrète de l'Okrana dans le but de
légitimer des persécutions antisémites.
Le 12 et le 13 mai, le journal Poslednjeje Nowosti "Dernières nouvelles", publia à Paris une
nouvelle version provenant de la plume du comte
français Armand du Chayla et dans laquelle les
Protocoles étaient également
considérés comme un faux.
Toujours en 1921, les 16, 17, et 18 août, le
célèbre Times londonien publia une longue
série d'articles du journaliste Philip Graves qui
sont de la même veine. Ses arguments sont ceux des
sionistes dont les gens naïfs sont abreuvés
jusqu'à plus soif.
Les Protocoles des Sages de Sion, dit Graves, seraient
une énorme tromperie agencée par un faussaire
sans vergogne et peu doué puisque, pour lui, il
s'agissait du plagiat d'un livre qui avait paru
déjà en 1864 sous le titre "Dialogue aux
Enfers entre Machiavel et Montesquieu". Son auteur
était un avocat français nommé Maurice
Joly.
Dans les trois articles du Times se trouvaient pluieurs
colonnes d'extraits concordants des deux livres. On voulait
démontrer ainsi que les Protocoles étaient un
plagiat fondé sur l'écrit de Joly. Pour un
observateur superficiel, il peut sembler que le faux est
prouvé ainsi.
La série du Times se termine sur ces mots :
"Ce que notre journal fait comme
révélation sur cette escroquerie sert
uniquement à servir la vérité parce
qu'il est extrêmement important que la légende
des Protocoles soit liquidée. Maintenant que le faux
est démontré de façon claire et nette,
cette légende disparaîtra, nous
l'espérons, dans les oubliettes de l'histoire."
Les sionistes naturellement jubilèrent à
ces propos qui résonnent encore à nos oreilles
aujourd'hui. Opiniâtrement, ils répètent
la thèse que les Protocoles seraient un
misérable faux reconnu comme tel, créé
par un cerveau malade, haineux, aliéné d'un
fanatique détestant les juifs.
Pourtant, l'affaire n'est pas si simple. Car, pour citer
le grand Shakespeare : "Il y a quelque chose de pourri dans
le royaume du Danemark". Il est interessant d'aller voir
plus profond dans cette histoire et d'établir la
vérité effective et pas seulement un semblant
de vérité apparente.
Admettons qu'il s'agisse d'un faux et examinons point par
point les arguments :
1) Le fait que le Times reconnu pour sa
crédibilité et sa bonne renommée,
s'intéresse précisément avec tant
d'ardeur au problème et se présente en faveur
du faux peut fort bien se comprendre si l'on sait qu'au
moment même de la publication, à la
mi-août 1921, la famille de banquiers juifs Samuel
& Samuel acquit au sein du Times une influence
économique prépondérante. Les
séries pourraient avoir ainsi pour cause un motif
économique.
2) Le Times déclara que le faux avait
été découvert par un hasard
étonnant et par un correspondant étranger au
journal qui aurait habité Constantinople.Par un
caprice du hasard, celui-ci aurait rencontré un Russe
désirant garder l'incognito qui serait
désigné à cause de cela Mister X. Le
mystérieux Mister X d'origine inconnue aurait remis
au reporter du Times un livre paru 57 ans auparavant
à Bruxelles en quelques centaines d'exemplaires.Alors
l'homme du Times a vu clair, comprenant que les Protocoles
des Sages de Sion étaient un pitoyable faux ; qu'un
journal sérieux comme le Times n'ait jamais
dévoilé l'identité des deux personnages
clefs, celle du correspondant de Turquie de même que
celle du Russe, le fameux Monsieur X démontre qu'il
pourrait y avoir quelque chose de louche dans cette
histoire.
3) Les citations rencontrées dans les deux
écrits concordent quant au contenu mais non par
l'expression. Si un texte présente des concordances
de contenu et de sens avec un autre cela ne signifie pas
qu'il soit nécessairement l'oeuvre d'un plagiaire. A
qui viendrait sérieusement à l'esprit de
qualifier de plagiaire le curé qui prend un extrait
de la Bible et l'exprime ensuite avec ses propres termes ?
Il s'agit de la même chose, mutatis mutandis pour un
article de journal dans lequel un journaliste transcrit les
déclarations de ses correspondants, etc.
Des personnes versées dans l'étude des
textes bibliques peuvent prouver ici que le texte complet du
premier livre de Moïse, chapitre 36, v. 31 et 32,
correspond au premier chapitre des Chroniques 1, v.43. Y a
t'il plagiat, faux ou duperie ?
Ne serait -il pas plus juste de parler de paraphrase ?
Différents auteurs n'ont-ils pas parlé du
même sujet en plusieurs occasions ?
D'après la tradition juive, le premier livre de
Moïse a été écrit par Moïse
lui-même tandis que la première Chronique fut
couchée sur le papier seulement environ 860 ans
après sa mort et a été redigée
par Isaïe et Néhémie suite à la
captivité à Babylone. Pourtant une personne
sensée pourrait aussi peu parler ici d'un plagiat que
dans le cas des correspondances de contenu entre l
'écrit de Joly et les Protocoles de Sion.
Qui était donc en réalité ce
monsieur Maurice Joly, auteur du Dialogue aux Enfers entre
Machiavel et Montesquieu ? Un avocat français si nous
voulons bien croire le Times. Pourtant un chercheur allemand
du nom de Gottfried von Beck affirme que ce Joly serait
d'origine juive et qu'il a été circoncis
suivant un rituel fort ancien sous le nom de Moses Joel. Il
est né en France en 1831et, d'après les
Mémoires de René Maureuil qui fut en France
membre du gouvernement Polignac, il reçut
déjà un poste en 1849 au ministère de
l'Intérieur français. Maurice Joly alias Moses
Joel était un ami intime d'Adolphe Isaac
Crémieux, le célèbre fondateur de
l'ordre franc maçon juif "Alliance israélite
universelle"
Joly écrivit plusieurs pamphlets dont seul le
Dialogue entre Machiavel et Montesquieu aux Enfers est
encore connu aujourd'hui. Cet écrit satirique
critique Napoléon III. En fait c'était aussi
un plagiat : il paraphrase un texte paru 14 ans auparavant
à Berlin sous le même titre dont l'auteur
était le juif Jakob Venedy. Ce Venedy né
à Cologne en 1805 résidait depuis 1835
à Paris. Comme Joly, il entretenait des relations
intimes avec Crémieux et entra dans la Ligue mondiale
israélite qui publia le joyeux message suivant : "Un
nouveau royaume mondial, une nouvelle Jérusalem
règnera à la place des rois et des nations
détronés !"
Ces deux textes qui présentent de telles analogies
avec les Protocoles de Sion proviennent donc de la plume de
sionistes pur sang !
5) La Ligue mondiale israélite fondée par
Crémieux à Paris possédait en Allemagne
une plus vieille filiale, l'Association pour la culture et
la science juives. Un de ses membres fut un certain Baruch
Lévy qui désirait réussir à
amener le juif Karl Marx à collaborer avec cette
association. Dans une lettre à Marx, Levy
écrit :
"Le peuple juif est dans sa totalité son propre
messie et acquerra la domination sur tous les autres peuples, domination dans laquelle fusionneront toutes les races et
qui abolira toute frontière. Ceci est le
véritable internationalisme. Une république
universelle sera créée et dans cette nouvelle
organisation, le peuple d'Israël représentera
l'élément dominant car les juifs s'entendent
le mieux à diriger les masses et à les faire
progresser. Par la victoire du prolétariat, les
gouvernements des nations tomberont peu à peu dans
les mains des juifs. Toute propriété
privée reviendra de cette manière aux princes
d'Israël et à eux appartiendront les richesses
des nations. Ceci est l'accomplissement d'une
prophétie du Talmud où il est dit qu'à
l'avènement du Messie, les clefs de la chambre du
Trésor de tous les peuples seront dans les mains des
juifs".
On pourrait ajouter ici que cela concorde
entièrement avec le texte d'Isaïe 60
déjà cité où il est dit que les
princes de tous les pays viendront à Jérusalem
et y livreront leurs trésors. C'est aussi conforme au
ton des Protocoles.
6) Les Protocoles durent être écrits d'abord
en langue hébraïque et ont été
traduits ensuite en français et en russe, avant
qu'ils ne commencent à faire sensation d'une
manière si fantastique peu après la
première guerre mondiale. Dans le livre de
l'Américaine Louise Fry, Les auteurs des Protocoles,
il est affirmé qu'il s'agit d'un écrit qui
aurait été esquissé au début du
19e siècle par Kahal, le gouvernement secret juif et
qu'il aurait été remanié par le juif
sioniste Ahad Haam alias Asher Ginsburg à Odessa. En
l'an 1886, ce Ginsburg fonda une communauté juive
nommée Beni Mosheh, les Fils de Moïse. Les
Protocoles étaient bien connus dans ce cercle
fermé. Entre autres, un juif russe Bernstein,
émigré plus tard aux USA a attesté en
1922 devant le secrétaire de Henri Ford, William
Cameron, avoir déjà lu les Protocoles en 1895
en russe à Odessa. Au cas où ceci serait vrai,
cela contredit l 'affirmation de la Princesse Radziwill qui
dit que les Protocoles auraient été
fabriqués après la révolution d'Octobre
par l'Ochrana.
7) Examinons cette Princesse Radziwill de plus
près. Bien que son témoignage fut
considéré comme crédible au
Procès de Berne, elle était cependant une
personne peu digne de confiance. Ceci ressort d'une
étude accomplie par la défense même si,
d'une façon étonnante, le tribunal n'y accorda
aucune importance. La Princesse aurait épousé
un prince nommé William Radziwill qu'elle aurait
envoyé promener en 1914. Ensuite elle épousa
un ingénieur du nom de Karl Emil Kolb, divorça
également d'avec lui aussi vite et saisit finalement
un monsieur Danvin dans les liens du mariage. Son
passé démontre, au bas mot, un
caractère douteux. Déjà avant ses
différents mariages, elle ne fuyait pas du tout la
compagnie des hommes surtout si ses soupirants
étaient puissants financièrement. Aux
alentours de 1900, elle avait eu une liaison amoureuse avec
le roi du diamant Cecil Rhodes avant de partir pour
l'Afrique du Sud et la Rhodésie, pays qui doit son
nom à ce même Rhodes (l'actuel Zimbabwé). Tout à fait en accord avec Cecil Rhodes, elle publia
un journal intitulé "Greater Britain". Dans
celui-ci, elle interviewe Lord Salisbury sur la situation
politique en Afrique du Sud. Salisbury déclara dans
cette interview que Rhodes devait être nommé
premier ministre de la Colonie du Cap de ce temps-là.
Elle montra au secrétaire privé de Rhodes une
déclaration écrite signée par Salisbury
de même qu'un télégramme émanant
soi- disant de lui qui l'invitait à l'interviewer.
Il fut établi plus tard qu'il s'agissait d'un faux
que la princesse Radziwill se serait adressé à
elle-même, la signature de Lord Salisbury étant
imitée !
Ce ne fut pas la seule escroquerie que commit la dame !
En 1901, elle aurait falsifié la signature de Cecil
Rhodes sur un chèque de plus de 29 000 livres ce qui
représentait à l'époque une somme assez
considérable. L'histoire éclata très
vite et à cause de cette grave falsification de
chèque elle alla passer 18 mois derrière les
barreaux. On peut lire tout ceci dans le livre de Cecil
Rhodes "His private life by his private secretary Philip
Jordan" qui parut à Londres en 1910. L'oeuvre de
Cecil Rhodes "The man and his work by one of his private
and confidentials secretaries, Gordon le Sueur", parle du
même sujet. A peine l'aventurière avait-elle
quitté sa prison qu'elle recommença ses
machinations frauduleuses. Entre autres elle fut
arrêtée à New York à cause de
deux affaires de fraude commises dans des hôtels.
Devons-nous, même si elle a été un
moment l'épouse d'un prince, considérer cette
dame comme un témoin crédible lorsque elle
affirme que les Protocoles sont un faux ?
8) Allons vers le témoin suivant, le comte du
Chayla. Au procès de Berne, la défense put
prouver que celui-ci avait été
démasqué par le général russe
blanc Wrangel comme agent bolchevique et condamné
à mort ; grâce à l'intervention de
l'ambassade française, il fut grâcié. Le
comte affirmait que les Protocoles auraient
été un instrument de propagande tsariste ;
ceci doit être accepté avec la plus
extrême méfiance car le gouvernement
bolchevique affirmait déjà la même
chose. Le régime rouge aussi dénonçait
les Protocoles comme un faux. Le même régime
condamna l'antisémitisme à la peine de
mort.
9) Au procès de Berne de 1934-1935, on reprocha
aux propagateurs des Protocoles de s'être servi d'une
infâme falsification présentée comme un
authentique écrit juif. Ce reproche fut
exprimé surtout par l'Alliance juive de la Suisse et
de la juiverie de Berne. Comme experts, les organisations
juives avaient choisi un certain docteur A. Baumgarten,
professeur de Droit à l'Université de
Bâle ainsi qu'un écrivain pro-sioniste
nommé A. Loosli. Fin octobre 1934, 16 mois
après la déposition de la plainte, le tribunal
invita 16 témoins qui s'exprimèrent dans le
sens des plaignants juifs. Le 14 mai 1935, le tribunal
rendit son jugement : les Protocoles seraient un faux et en
plus de la littérature ordurière. Le
président du tribunal avait refusé
catégoriquement d'examiner la véracité
des témoignages de la princesse Radziwill et du comte
de Chayla et avait pris leurs affirmations pour argent
comptant. A cause de cela, le procès tourna à
la farce. Cela aussi parce que le tribunal refusa
d'écouter 40 témoins produits par la
défense. Les plaignants juifs purent agir à
leur guise comme il leur plaisait.
10) C'est seulement deux ans et demi après le
jugement, le 27 octobre 1937,qu' un des accusés,
Silvio Schnell, réussit à faire reprendre
l'affaire grâce à son avocat juridique Hans
Ruef. La Cour d'Appel de Berne accéda à sa
requête. Les deux avocats de la défense, Ruef
et Ursprung, purent prouver entre autres que les
témoignages produits par les plaignants juifs ne
portaient en aucun cas la signature requise des
témoins. En outre, il put être prouvé
que les pièces russes que M. Loosli avait
présentées au Tribunal étaient des
copies non certifiées conformes qui comportaient un
grand nombre de fautes de traduction et cela constamment au
désavantage des accusés. L'avocat
général déclara les objections des deux
avocats tout à fait fondées. En novembre 1937,
la Cour d'Appel de Berne, fit savoir que l'accusé
Silvio Schnell était acquitté sans poursuite
pénale parce que aucune preuve n'avait pu être
produite contre lui par l'accusation.
Dans l'ordonnance du jugement, le président de la
Cour d'Appel soutint que toutes les expertises tentant de
prouver la véracité ou la fausseté des
Protocoles étaient sans signification. A cause de
cela, le plan de l'organistion juive fut contrecarré,
elle qui avait espéré que la justice d'un
état internationalement reconnu pour neutre comme la
Suisse, à cette époque siège de la
société des nations, reconnaisse comme juste
la version sioniste sous la pression juive. Qu'elle y soit
parvenue en première instance montre combien la
puissance sioniste était forte déjà
bien avant le prétendu holocauste et depuis cette
puissance est devenue encore plus effrayante !
11) Le triomphe espéré par les juifs fut
détruit par la décision de la Cour d'Appel qui
confirma clairement que le juge en première instance
n'avait en aucune manière compétence
d'examiner l'authenticité ou la fausseté des
Protocoles et de s'exprimer à ce sujet vu que ceci ne
relevait absolument pas de sa compétence. Il
s'agissait uniquement d'établir s'il était
question de littérature obscène ou non.
Le fait que les héraults de la propagande sioniste
piaillent sans arrêt dans le monde encore aujourd'hui
que la fausseté des protocoles aurait
été établie juridiquement à
Berne est dans tous les cas une inexactitude puisque le
jugement de la première instance a été
annulé en deuxième instance. On pourrait
seulement en conclure que les Protocoles sont de la
littérature ordurière, verdict qui retomberait
sur leurs auteurs !
12) Trois juifs orthodoxes- dont l'un s'est converti
à vrai dire au christianisme- ont confirmé
l'authenticité des Protocoles. Le premier fut Rudolf
Fleishmann, (au nom prédestiné !) boucher de
profession. et aide de rabbin. Il résidait dans la
ville polonaise de Skoki et était l'ami de l'avocat
général chrétien M. Noskowics.
Déjà en 1901, Fleishman en la présence
de celui-ci fit une déclaration solennelle.Le
deuxième juif orthodoxe qui confirma
l'authenticité des Protocoles - et cela même
indirectement - fut le rabbin Grünfeld de la ville
polonaise de Swarzedz. Celui-ci fournit la
déclaration suivante typiquement juive à la
demande de l'avocat général Noskowicz en 1906
:
"Mon cher Noskowicz, Vous êtes trop curieux et
vous voulez en savoir trop. Nous n'avons pas la
compétence voulue pour parler de ces choses et vous
ne pouvez pas prétendre à apprendre quoi que
ce soit : Soyez donc prudent pour la volonté de Dieu
sinon vous mettrez en danger votre vie et celle de ceux qui
vous sont chers !"
Le troisième juif qui confirma
l'authenticité des Protocoles par une
déclaration fut Sawelij Konstantinowitsch Efron qui
avait fui en Yougoslavie devant les bolcheviques. Là
il fit la connaissance d'un officier russe blanc,
émigré lui aussi, du nom de Gregorij
Dschepanowitsch. Efron avait été du temps des
tsars rabbin à Vilnius en Lituanie. Cependant il se
convertit au christianisme orthodoxe puis fit une formation
d'ingénieur de mine. Il fut aussi un homme de lettres
et écrivit sous le pseudonyme de Litwin entre autres
dans la revue mensuelle "La Lumière" qu'il
dirigeait lui-même comme rédacteur en chef. De
plus Efron travailla pour la revue tsariste "Le Messager"
et se créa une certaine renommée avec sa
pièce de théâtre très anti juive
: "Les contrebandiers". Par suite de ses activités
publiées, il fut vilipendé par une campagne de
haine juive ciblée et fut même un jour
roué de coups par des gibiers de potence juifs.
Lorsque par la suite les bolcheviques arrivèrent
au pouvoir et que les juifs purent à loisir passer
leur colère contre leurs adversaires, Efron trouva le
sol trop brûlant sous ses pieds et s'enfuit en Serbie
où il trouva refuge dans un monastère proche
de Petkovic. Il y mourut dans l'année du Seigneur
1926. Ce juif converti fit à l'officier russe blanc
Gregorij Dschepanowitsch une déclaration formelle
suivant laquelle lui, Efron, aurait connu le contenu des
Protocoles déjà longtemps avant leur
publication dans la presse chrétienne.
Les déclarations de ces trois juifs suivant
lesquels l'authenticité des Protocoles était
réelle furent présentées au
procès de Berne par l'avocat de la défense
Fleischhauer. Pourtant, comme d'autres témoignages,
ils furent ignorés par le tribunal. Plus tard, il fut
établi qu'Efron, en l'an 1921, avait soutenu dans un
journal d'immigrés russes paraissant à Paris,
qu'il s'agissait pour les Protocoles d'un véritable
écrit juif. Il attirait l'attention sur le fait que
tout juif croyant doit dire trois fois par jour la
prière suivante : "Schaketz Tischakzenu, Sawe
Tissawenu, Ki Cherem, Hu." C'est de l'hébreu et cela
signifie : "Tu dois (il s'agit indubitablement de la croix)
l'exécrer le plus profondément, elle doit te
dégoûter le plus profondément parce
qu'elle est damnée. Pfui !". D'après les
dires de ce juif Efron converti au christianisme, la haine
des juifs envers le christianisme est enracinée si
fortement que les juifs croyants sont poussés par
leurs rabbins à dire tous les mensonges imaginables
et à fomenter toutes les machinations possibles pour
faire du tort aux croyants chrétiens. Rien que cela
parle en faveur de la véracité des
Protocoles.
13) Après avoir disserté aussi longtemps sur l'origine et la
véracité des Protocoles, nous désirons à présent citer un extrait.
Il s'agit du Protocole n° 7 qui s'occupe de la course à l'armement.
"L'intensification de l'armement et l'augmentation des
forces de police sont essentielles à la
réalisation des plans mentionnés ci-dessus.
Nous devons arriver à ce que dans tous les
états du monde sauf dans le nôtre, que seules
les masses du prolétariat quelques millionnaires
dévoués à notre cause fournissent
policiers et soldats.
Dans toute l'Europe et avec l'aide de l'Europe sur les
autres continents, nous devons exciter la sédition,
les dissensions et l'hostilité mutuelle. Il y a
à cela un double avantage : d'abord nous tenons ainsi
en échec tous les pays qui savent bien que nous avons
le pouvoir de créer les soulèvements à
volonté et de restaurer l'ordre. Tous ces pays voient
en nous une tyrannie inévitable. En second lieu nous
embrouillerons par des intrigues tous les fils ourdis par
nous dans les ministères de tous les gouvernements
non seulement au moyen de notre politique mais par des
contrats économiques et des obligations
financières.
Pour atteindre ces fins, il nous faudra recourir à
beaucoup de ruse et d'artifices pendant les
négociations et les débats ; mais dans ce qui
s'appelle le "langage officiel", nous semblerons adopter
la tactique opposée et paraîtrons
honnêtes et conciliants. Ainsi les peuples et les
gouvernements des Gentils à qui nous avons appris
à ne regarder que le côté brillant des
affaires telles que nous les leur présentons, nous
considèreront même comme les bienfaiteurs et
les sauveurs de l'humanité. Nous devons être
en mesure de contrer toute résistance d'un pays
à notre égard avec des guerres contre les pays
voisins. Si ces mêmes voisins devaient s'allier contre
nous, alors nous devrons leur résister par une guerre
mondiale."
Tout ceci fut écrit avant la première
guerre mondiale ! Qui lit ce texte éprouvera un
étonnement sans borne en voyant combien tout ce qui
est annoncé s'est accompli dans les grandes
lignes.
Cela ne s'accorde-t-il pas avec le fait que les sionistes
ont accaparé la Palestine. et ont créé
là-bas un état juif, Israël, qui
mène, sous le couvert d'une politique
démocratique, une politique de guerre tyrannique
?
Cela ne s'accorde-t-il pas en outre avec le fait
qu'Israël a à ses ordres la superpuissance des
Etats Unis, qu'un démocrate ou un républicain
siège à la Maison Blanche ? L'influence de la
cinquième colonne n'est-elle pas ainsi qu'en
Suède, d'une force inouïe ? Je me souviens du
fait qu'avant les élections de 1988, les 4 grands
partis démocratiques en Suède ont signé
par la société Suède Israël
interposée, un traité de confiance envers
l'état sioniste. La suprématie du sionisme
n'est-elle pas écrasante dans les medias occidentaux,
dans les films, les théâtres, la
littérature populaire et l'industrie des loisirs
?
Qui pourrait encore parler de hasard si on a devant les
yeux le fait que le plus grand quotidien scandinave,
l'Express, n'est que l'interprète des sionistes ?
Cela ne s'accorde-t-il pas avec le fait qu'Israël
attise les dissensions et l'hostilité entre les
différents états non juifs, qu'il a
jeté abondamment de l'huile sur le feu du conflit
entre l'Irak et l'Iran, que cela sert la guerre froide entre
les superpuissances pour se présenter comme un
avant-poste occidental contre le soi-disant danger
soviétique au Proche Orient, et s'assurer ainsi le
soutien inconditionnel des USA ?
Point par point, nous voyons la véracité du 7e Protocole de Sion
confirmée par les événements.L'information de telles réalités est
d'une énorme importance puisque ces Protocoles ne sont pas
disponibles ou même interdits de vente dans la plupart des états
européens !
LE CINQUIEME
PROTOCOLE
Le cinquième Protocole s'exprime comme suit :
" Quel
genre de gouvernement peut-on donner aux
sociétés pénétrées de
toutes parts par la corruption, au milieu desquelles les
richesses ne s'acquièrent que par les surprises de
tricheries astucieuses, où règne la licence
des moeurs, où la moralité est maintenue par
des châtiments et non par des principes acquis,
où les sentiments patriotiques et religieux sont
remplacés par des idées cosmopolites ? Quelle
autre forme de gouvernement peut-on donner à de
telles sociétés si ce n'est la forme
despotique que je vais vous décrire ;
Il faut que nous créions une centralisation
très ferme du gouvernement de façon à
tenir entre nos mains toutes les forces sociales. Ensuite
nous réglerons automatiquement, par de nouvelles
lois, toutes les fonctions de la vie politique de nos
sujets. Ces lois aboliront les uns après les autres
tous les privilèges et toutes les franchises, et
notre règne sera marqué par un despotisme si
majestueux qu'il sera en état d'écraser, en
tout temps et en tout lieu, les récalcitrants ou les
mécontents.
On nous dira que le despotisme dont je parle ne s'accorde
pas avec le progrès moderne, mais je vais prouver le
contraire :
Au temps où les peuples considéraient leurs
souverains comme une pure manifestation de la volonté
divine, ils se soumettaient sans murmure à
l'autorité des monarques, mais du jour où nous
leur avons suggéré la notion de leurs propres
droits, ils commencèrent à considérer
leurs souverains comme de simples mortels, l'onction
sacrée cessa d'être regardée comme
divine par le peuple auquel nous avons enlevé sa foi
; dès que nous eûmes ébranlé la
croyance en Dieu, le pouvoir fut jeté au ruisseau, il
devint la propriété publique dont nous nous
emparâmes. De plus, l'art de gouverner les masses et
les individus au moyen de théories, de grandes
phrases, de soi-disant préceptes de vie sociale,
d'étiquette et de toutes sortes d'artifices dont les
Goïm ne peuvent saisir ni comprendre le but, cet art
est une des particularités de notre génie
administratif nourri d'analyse, d'observation et de telles
subtilités de raisonnement que, dans ce domaine, nous
ne pouvons avoir de rivaux, non plus que dans celui de l
'élaboration des plans d'activité politique et
de solidarité.
A notre connaissance, la seule société
capable de lutter avec nous dans cette science serait celle
des jésuites. Mais nous sommes parvenus à la
discréditer aux yeux de la foule stupide, comme
étant une organisation apparente, tandis que nous
sommes restés dans la coulisse, tenant occulte notre
organisation.
En outre, qu'est-ce que cela pourra bien faire au monde
que celui qui doit devenir son maître soit le chef de
l'église catholique ou un despote du sang de Sion ?
Mais à nous, le "Peuple élu", la chose ne
peut être indifférente.
Une coalition universelle des Goïm aurait pu,
à un moment donné, avoir raison de nous. Mais
nous sommes désormais protégés de ce
côté par des dissensions si profondément
enracinées chez eux, qu'on ne peut plus les extirper.
Nous avons mis en conflit leurs intérêts
personnels et nationaux et aussi leurs haines de religion et
de race, tous sentiments entretenus par nous dans leurs
coeurs depuis de longs siècles. Grâce à
cela, aucun Etat n'obtiendra nulle part de secours pour nous
combattre, parce que chaque Etat croira qu'une coalition
contre nous lui sera personnellement désavantageuse.
Nous sommes trop puissants, il faut compter avec nous.
Les puissances ne peuvent conclure le moindre
traité sans que nous n'y participions
secrètement.
Le Seigneur a dit : "Par moi règnent les rois."
Nos prophètes nous ont dit que nous avons
été choisis par Dieu Lui-même pour
régner sur toute la terre. C'est pourquoi Dieu nous a
doués de génie ; il faut que nous puissions
mener à bonne fin notre tâche qui est la
conquête du monde par des moyens pacifiques. S'il se
trouvait un génie dans le camp ennemi, il pourrait
cependant, nous combattre, mais un nouveau venu ne pourrait
se mesurer à de vieux lutteurs de notre espèce
et le combat serait entre nous d'une nature si
désespérée que le monde n'en a encore
jamais vu de semblable. Il est déjà trop tard
pour leur génie
Actuellement, tous les rouages des mécanismes
gouvernementaux sont mis en mouvement par un moteur qui est
entre nos mains ; ce moteur, c'est l'or. La sceince de
l'économie inventée par nos Sages a
déjà prouvé que la puissance du capital
surpasse le prestige de la couronne.
Le capital pour avoir le champ libre., doit obtenir le
monopole de l'industrie et du commerce. Ceci est en voie
d'être réalisé, dans toutes les parties
du monde, par une main invisible. Un tel privilège
donnera un pouvoir politique aux industriels qui,
s'enrichissant de profits excessifs, opprimeront le peuple.
De nos jours, il importe plus de désarmer
complètement les peuples que de les mener à la
guerre, d'utiliser à notre profit les passions qui
s'éveillent que de les éteindre, de saisir et
d'interpréter les idées des autres dans le
sens voulu par nous plutôt que de les supprimer.
Le problème essentiel et secret de notre
gouvernement est d'affaiblir l'esprit public par la
critique, de lui faire perdre l'habitude de la
réflexion qui détermine une opposition
à surmonter, d'orienter ses forces vers la vaine
éloquence.
De tous temps, les peuples, comme les individus, ont pris
les paroles pour des actes. Ils se contentent des apparences
et font rarement attention si les promesses touchant la vie
sociale ont été tenues. C'est pourquoi dans le
seul but de parader, nous avons organisé des
institutions présentant une belle façade,
c'est à dire des loges maçonniques qui
démontreront éloquemment leur contribution au
progrès.
Nous nous sommes approprié la physionomie de tous
les partis à tendances libérales et nous leur
avons fourni des orateurs qui ont tant parlé qu'ils
ont fatigué leurs auditeurs et les ont
dégoûtés d'eux ;
Afin de prendre en main l'opinion publique, il faut la
rendre perplexe et exprimer de toutes parts tant d'opinions
contradictoires que les Goïm non initiés soient
perdus dans leur labyrinthe et finissent par conclure qu'il
vaut mieux ne pas avoir d'opinion politique, que les
questions politiques ne doivent pas être connues du
public sous leur vrai jour, que cela appartient à
celui-là seul qui dirige.Ceci est le premier
secret.
Le second moyen de réussir à gouverner est
de multiplier les coutumes, habitudes, passions, conventions
populaires, de telle façon que personne ne puisse
plus rien démêler dans ce chaos et que, par
suite, les hommes voyant tout sous un aspect
différent et donnant à toute chose une
interprétation personnelle, cessent de se comprendre
réciproquement.
Sur un tel terrain, l'inimitié des Goïm les
amènera à se trahir entre eux à notre
profit. La différence des points de vue est la
meilleure créatrice des malentendus et des haines.
Par ce moyen, nous sèmerons les dissensions dans tous
les partis ; nous désagrégerons toutes les
forces collectives qui refusent de nous obéir et de
se soumettre à nous, et nous découragerons
toute initiative personnelle, susceptible d'entraver notre
oeuvre.
Il n'y a rien de plus dangereux que l'initiative
personnelle ; si elle est géniale en quoi que ce
soit, elle peut avoir plus d'action que n'en auraient les
millions d'individus parmi lesquels nous avons jeté
la dissension. Nous devons éduquer les Goïm de
telle façon que, devant toute tâche qui
exigerait une initiative personnelle, les bras leur tombent
de découragement
La pression émanant de la liberté d'action
que nous avons inculquée aux Goïms, affaiblit
les forces quand elle se heurte à la liberté
d'autrui ; il en résulte de sérieux
échecs, des déceptions et des secousses
morales.
Tout cela à la fin des fins, nous servira à
lasser les Goïm à ce point que nous les
obligerons à nous offrir le pouvoir international,
pouvoir qui, par ses tendances et sa préparation, est
susceptible d'englober sans heurts toutes les forces
gouvernementales du monde et de former un supergouvernement.
Alors, à la place des souverains régnants,
nous mettrons un dictateur que tous considèreront
comme l'administration supergouvernementale : Ses mains
s'étendront dans toutes les directions, comme des
tenailles, et son organisation sera si colossale qu'elle ne
pourra manquer de dominer les peuples du monde
".
MON COMMENTAIRE SUR
LE 5e
PROTOCLE
Dans le cinquième Protocole, il est mis en
évidence que dans une société
matérialiste, la corruption tout autant que la
violence, est une manifestation courante qui doit
forcément être dirigée par un
gouvernement centralisé qui impose un contrôle
sévère des particuliers. Puisque la morale
générale a déjà
été depuis longtemps décomposée,
personne ne peut plus se fier à qui que ce soit.
Pense-t-on ici à l'état communiste au parti
unique ou à l'état pluripartis
démocratique muni de son appareil de contrôle
qui surveille tout, par lequel de multiples informations sur
chaque individu sont recueillies et emmagasinnées sur
ordinateur ? C'est plus que probable ! et cela était
déjà programmé dans le 5e Protocoleil y
a presqu'un siècle car il y est dit : "Nous
créerons une centralisation très ferme du
gouvernement de façon à tenir entre nos mains
toutes les forces publiques. Nous réglerons
automatiquement par de nouvelles lois toutes les fonctions
de la vie politique de nos sujets."
Cette prédiction ne s'est-elle pas
réalisée par le menu ? Déjà, il
y a 20 ans, au Parlement suédois, deux nouvelles lois
étaient décrétées par an.
Aujourd'hui, environ mille nouvelles lois sont
décrétées par an. De combien d'entre
elles, le peuple est-il informé correctement et
comment les apprécie-t-il ?
Il n'y a naturellement qu'une poignée de juristes
capables de se retrouver approximativement dans ce fouillis
de paragraphes et à savoir comment expliquer les lois
toujours nouvelles. La majorité écrasante de
nos concitoyens est livrée sans défense
à ce déferlement juridique continu. Un citoyen
qui n'enfreindrait pas quotidiennement une loi n'est pas
encore né ! C'est tout à fait logique que le
développement absurde du droit ne cesse de prendre de
l'extension.
Plus loin, il est dit dans le 5e Protocole : "L'art de
gouverner les masses et les individus au moyen de
théories appliquées habilement, de grandes
phrases, de soi-disant préceptes de vie sociale,
d'étiquette et de toutes sortes d'artifices dont les
Goïm ne peuvent ni saisir ni comprendre le but, cet art
est une des particularités de notre politique."
Cela s'accorde-t-il avec les événements en
cours ? De quelles théories et de quels raisonnements
incompréhensibles aux Goïm s'agit-il ?
Nous avons d'abord le marxisme, création du juif
Karl Marx avec ses nombreuses variantes comme la
social-démocratie créée par le juif
Lassalle et le marxisme révisé du juif Edouard
Bernstein comme le flot continu de nouvelles formes
marxistes fondées par les juifs Adorno, Reich,
Marcuse et Fromm nommées "Ecole de Francfort" dont
l'influence remarquable atteint même les Etats
Unis.
Ensuite nous avons eu droit au libéralisme dont
les initiateurs étaient en grande partie juifs comme
Daniel Bell en Amérique, Isaac Berlin en Angleterre
et ainsi de suite. L'école monétariste avec
son gourou, Milton Friedmann, prix Nobel d'économie
et conseiller du gouvernement chilien de Pinochet ne doit
pas être oubliée. Très significative
également est toute la troupe des philosophies
anti-marxistes, néo-conservatrices, à
commencer par celle du juif Friedrich A. Hayek, connu aussi
comme prix Nobel d'économie, jusqu'au juif Karl
Popper qui a rédigé la bible
néo-conservatrice, néo-libérale, "La
société ouverte et ses ennemis". Pire encore,
nous avons la psychanalyse juive initiée par son
fondateur le juif Sigmund Freud, puis par le juif Alfred
Adler avec leur enseignement sur les complexes
d'infériorité compensés et Arthur Janov
avec ses thèses d'introspection approfondie, sa
thèse du cri originel : il suffit de crier assez fort
et de manière suffisamment furieuse pour jeter tout
son lest d'états d'âme par dessus bord et
pouvoir ainsi comme un jeune homme plein de vigueur
recommencer sa vie pour se rendre, et le monde avec, heureux
!
Une autre citation du 5e Protocole peut de prime abord
rester incompréhensible : "Les nations ne peuvent
pas agir individuellement sans que nous tenions toutes les
ficelles dans nos mains."
Quelle signification profonde se cache sous ces mots ?
Mais c'est évident ! Qu'on pense seulement aux
puissantes organisations internationales riches d'influence
comme l'Organisation mondiale du Sionisme et le
Congrès Mondial Juif qui travaille étroitement
en liaison avec Israël comme avec toutes les
communautés juives répandues dans le monde, on
s'apercevra que cette citation convient admirablement.
Ecoutons ce que notre vieil ami, Nahum Goldmann,
président de longue date du Congrès juif
Mondial a dit dans son livre paru aussi en suédois en
1978, "Le paradoxe juif" :
"Un des buts principaux du Congrès mondial juif
consiste à représenter chaque
communauté juive peu importe l'endroit où elle
se trouve, si elle n'est pas assez forte pour se
défendre elle-même. Voilà pourquoi la
plupart de nos interventions sont tenues secrètes.
Par exemple, une vague d'anti sémitisme
déferle-t-elle dans un quelconque état
latino-américain, les juifs de là-bas nous
prient d'intervenir rapidement. Nous nous adressons alors au
ministère des Affaires étrangères des
Etats Unis ainsi qu'à l'ambassade du pays
concerné à Washington ou à Paris.
Personne, ni l'état concerné ni les
Américains, ne désire que notre intervention
soit rendue publique. Il s'agit pourtant en l'occurence
d'états formellement indépendants."
Nahum Goldmann ne confirme-t-il pas l'existence d'une
puissance sioniste répandue sur le monde, qui se
mêle des affaires intérieures d'états
étrangers de la façon la plus
éhontée qui soit pour imposer la
volonté des sionistes ?
Dans le livre de Nahum Goldmann, on trouve plein de
citations qui valent leur pesant d'or, par exemple :
"Les juifs sont les plus grands spéculateurs du
monde. N'importe où une nouvelle citadelle du monde
civilsé s'érige, les juifs ne sont pas loin.
Lorsque cette citadelle s'est trouvée au Proche
Orient, les juifs furent d'abord en Palestine, puis à
Babylone et enfin à Alexandrie. Lorsque les Romains
soumirent le Proche Orient, les juifs
émigrèrent vers l'Europe, vers Rome et en
Rhénanie. Plus tard, ils gagnèrent
l'Amérique. Aujourd'hui, le Proche Orient est
à nouveau un territoire précieux et c'est
pourquoi les juifs sont à nouveau là-bas. On
les rencontre partout où de grosses affaires de
spéculation ont lieu dans l'histoire. .. A mon avis,
la présence juive ne se limite ni à
Israël ni à la diaspora seule, mais comprend les
deux parties également. Mais Israël et la
diaspora doivent être indépendants l'un de
l'autre. Si le système scolaire juif dont j'ai
parlé, devait devenir réalité, chaque
étudiant juif devrait passer un an en Israël.
Aujourd'hui déjà beaucoup d'universités
ont accepté un tel accord et reconnaissent cette
année d'études. Cela ne peut que conduire
à un contact permanent et nécessaire entre
Israël et les juifs de la Diaspora. La condition
nécessaire est que l'hébreu devienne la
seconde langue parlée pour tous les juifs. La
nouvelle culture hébraïque deviendra dans ces
conditions une manière de civilisation mondiale qui
empêche qu' Israël ne devienne un pays à
mentalité provinciale. 18 % du peuple juif habite en
Israël et plus de 80 % ailleurs. D'autres peuples, par
exemple l'Arménie, ont connu le
phénomène de la diaspora mais pas de la
même manière.La diaspora juive est unique en
son genre. Les juifs de la diaspora décident-ils
demain qu'Israël ne les intéresse plus, le
rêve s'effondrerait et Israël
s'écroulerait aussitôt aussi bien
économiquement que politiquement. L'Amérique
continuerait-elle à soutenir Israël si les juifs
des USA délaissaient leur propre pays ?
Lors de la création de notre état tout
comme de notre armée, nous avons pu nous baser sur
des modèles Cependant pour régler les
relations entre Israël et la Diaspora nous ne
disposions d'aucun modèle. Nous avons dû le
créer nous-mêmes" (trad. du suédois, p.
91, 92de l'édition suédoise)
Et c'est le président de longue date du
Congrès mondial Juif qui dit ceci ! Que
désirez-vous de plus ?
Continuons notre examen du 5e Protocole Il est dit : "Le
principal problème de notre gouvernement consiste
à affaiblir le sens critique du public, à lui
faire perdre l'habitude de la réflexion qui pourrait
conduire à éveiller de la résistance,
et à orienter leur esprit combatif vers la lutte
fictive de la vaine éloquence."
Lorsque l'on lit cela, on se souvient des débats
officiels parus dans les medias lors des campagnes
électorales comme des manifestations des syndicats
sur les lieux de travail ou des cours donnés dans les
universités populaires : ces professionnels adroits
n'utilisent comme cartouches que de vaines paroles, de la
rhétorique. On ne trouve jamais une question
importante débattue à chaud. A peine lui
accorde-t-on un renseignement précis. Qui de nous n'a
pas vécu cela une centaine de fois !
Dans le 5e Protocole il est aussi avoué sans fard
quelle intention se cache derrière tout cela : on
veut fatiguer les auditeurs et ainsi les
dégoûter des discours. On peut trouver
là la cause des discussions politiques si
fastidieuses !
Il est dit plus loin dans le 5e Protocole : "Afin de
prendre en mains l'opinion publique, il faut la rendre
perplexe et exprimer de toutes parts tant d'opinions
contradictoires et cela pendant si longtemps que les
Goïm perdront la tête dans ce labyrinthe et
arriveront à la conclusion qu'il vaut mieux n'avoir
aucune opinion politique et que seuls peuvent comprendre la
politique ceux qui les dirigent. Ceci est le premier secret."
Je pose ici une question de pure rhétorique :
Peut-on imaginer un énoncé plus juste de la
réalité sociale actuelle dans laquelle nous
vivons ? Le secret qui se trouve dans le 5e Protocole prend
forme dans le chaos des exposés les plus confus et
les points de vue les plus divergents sur le monde et sur
Dieu qui sont répandus à dessein pour conduire
la société toute entière dans
l'obscurité la plus totale et pour faciliter à
la clique dirigeante d'exercer le pouvoir auquel le nigaud
participe en imagination ! En quoi consiste le
deuxième secret ? Les Protocoles ne laissent pas
cette question sans réponse : "Le deuxième
secret dont nous avons besoin pour la réussite de
notre gouvernement est le suivant : enflammer les tendances
et les passions, exacerber les faiblesses nationales, rendre
confus les objectifs des partis de telle sorte que personne
ne puisse plus se retrouver dans ce chaos de manière
à ce que finalement les hommes du peuple en arrivent
à ne plus se comprendre mutuellement" C'est bien
ainsi que l'on se comporte ! Voici notre
société faiblarde dans laquelle ne
règne pas seulement une surabondance de
denrées et de services, mais également toutes
imbécillités et camelotes imaginables
présentées tantôt comme culture
tantôt comme divertissement.jusqu'à ce que les
hommes en perdent le sens commun. Mais les relations entre
les humains dans la société moderne se perdent
bel et bien et conduisent à une sorte d'homme
névrosé de telle sorte que l'homme normal est
regardé aujourd'hui comme une exception. De
véritables troupes de psychologues et de
psychothérapeutes sont lâchées
aujourd'hui sur nos écoliers innocents. Mais les
efforts de ces plombiers de l'âme changent-ils quelque
chose au fait qu'environ ¾ des enfants peuvent
être classés comme "perturbés
psychologiquement" ? Comment a-t-on pu en arriver là
? Qui avait intérêt à ce que cela arrive
?
Où trouver le remède ?Aucune des questions
primordiales n'est même posée car elle mettrait
dans l'embarras ceux qui devraient donner la réponse.
A la place, on nous offre un tas énorme de
débats apparents qui peuvent à l'occasion
effleurer les questions primordiales mais sans jamais aller
à l'essentiel.
La situation critique que les Protocoles nous livrent
dans leur description comme un phénomène, un
nombre illimité de sociologues, de politologues et de
médiologues. ne peuvent pas et ne veulent pas en
tenir compte.
Comment se termine le 5e Protocole ? "Nous pouvons mener
l'instruction des Goïm de telle sorte que devant toute
tâche qui exigerait une initiative personnelle, les
bras leur tombent de découragement. Avec tous ces
moyens, nous lasserons les Goïm au point que nous les
obligerons à nous offrir le pouvoir international,
pouvoir qui, par ses tendances et sa préparation, est
susceptible d'englober sans heurts toutes les forces
gouvernementales du monde et de former un supergouvernement.
A la place des souverains régnants, nous mettrons un
dictateur. Il nommera l'administration supergouvernementale.
Ses mains s'étendront comme des tenailles dans toutes
les directions et son organisation sera si colossale qu'elle
ne pourra manquer de dominer les peuples."
Ainsi cette vision de cauchemar est l'avenir que les
sionistes nous ont concocté, le résultat d'une
politique orientée. Atteindront-ils leur but ? Aucun
mortel ne peut le prédire. Cependant beaucoup de
sonnettes d'alarme indiquent depuis longtemps que le
sionisme travaille à instaurer une dictature mondiale
totalitaire. Et le lobby sioniste des Etats Unis et de
beaucoup d'autres pays est devenu tellement fort et influent
!
LA PORNOGRAPHIE "DURE"
EST BIEN AUX MAINS DES JUIFS !
Y a t-il une raison de supposer que les juifs occupent
une place prépondérante dans le domaine de
l'obsession sexuelle et que, bien plus que d'autres groupes
ethniques ou religieux, ils s'attachent à toutes les
variantes imaginables des débauches sexuelles ?
Si je parle ici des juifs ce n'est pas en raison de leur
race ni en tant que peuple, mais bien comme d'un groupe
d'hommes liés par une même idéologie ou
religion.
Je veux considérer le judaïsme comme le
communisme, le christianisme et l'Islam, comme une
communauté universelle à laquelle on peut
adhérer alors qu' on ne peut être juif
qu'héréditairement, par le sang et la
race.
D'après les chiffres officiels livrés par
les synagogues des Etats Unis, il y aurait en
Amérique quelques 6 millions de juifs, ce qui
représente environ 2,5 % de la population.
Malgré leur nombre relativement peu
élevé dans l'ensemble de la population, les
juifs sont prédominants d'une façon
incontestable dans certains domaines à
l'intérieur de la communauté des Etats
Unis.
Par exemple, dans l'industrie cinématographique,
la télévision, la radio, la presse et la vie
culturelle. De même qu'ils ont sous leur
contrôle une bonne partie de la publicité et
des maisons d'édition. Ce n'est pas une affirmation
gratuite mais on peut la vérifier sans
difficulté.
On ne peut reprocher aux juifs d'avoir acquis un tel
pouvoir mais dans une démocratie, ceux qui gouvernent
doivent admettre l'existence d'une opposition !
Mais peut-on parler de démocratie lorsqu'il s'agit
d'une affaire aussi mal famée que la pornographie la
plus dégoûtante qui n'est plus l'objet d'une
quelconque censure depuis le milieu des années 60
?
Est-ce que ce sont les juifs qui, ici aussi, donnent le "la" ?
L'importante revue pronographique américaine Screw
qui propose à ses lecteurs toutes les perversions
sexuelles imaginables, dégoûtantes, est
totalement aux mains des juifs. Elle est
rédigée par des juifs et ses collaborateurs :
journalistes, photographes et dessinateurs sont en
majorité juifs.
Al Goldstein, le producteur et le rédacteur en
chef de ce torchon disait, le 25 septembre 1989, dans l'
interview d'une actrice porno, parue dans son propre
journal: "Comme vous le savez, 85 % des acteurs dans les
films pornographiques sont juifs."
Nous ne mettrons pas en doute une affirmation venant d'un
spécialiste reconnu et qui est de plus lui-même
juif.
Cet Al Goldstein a écrit un éditorial dans
le même numéro de Screw, où il
condamnait le président Bush pour sa décision
de mener une campagne contre les bandes de la drogue et les
drogués, sous prétexte que derrière
cette campagne se cacherait en réalité une
chasse contre la porno et le sexe. Par ce dernier terme,
l'homme entend clairement toutes les déviations et
les perversions sexuelles qu'il encourage lui-même
avec tant de zèle. Apparemment il craignait qu'une
lutte menée avec succès contre le mauvais
usage de la drogue ne mette sa branche en difficulté
!
Si l'on jette un oeil dans ce journal pornographique ou
un production de cette espèce ou si l'on regarde un
film pornographique "dur", dans lequel 85 % des acteurs
principaux appartiennent au Peuple élu, on est
facilement persuadé que c'est dans une tradition et
une "religion" juives enracinées que s'expriment
ici cette obsession sexuelle.
Cette impression se renforce encore si on lit quelques
articles de cette presse ou que l'on parcourt le flot
d'annonces dans les journaux émanant de clubs
pornos.
Ainsi la réponse à la question de savoir si
les juifs sont impliqués plus particulièrement
comme groupe "religieux" dans le domaine de l' obsession
sexuelle est "oui". La prédominance
écrasante des juifs dans l'industrie pornographique
s'est exprimée dans la suprématie juive de la
psychanalyse attachée au sexe depuis Sigmund Freud,
de même que par le nombre très
élevé de juifs parmi les psychanalystes et
sexologues ainsi que parmi leurs clients
LE REVISIONNISME
HISTORIQUE
Par révisionnistes, on entend des personnes qui
soumettent à un examen critique des
représentations de faits connus à la
lumière de connaissances nouvelles ou
méconnues quant à leur importance. Des
historiens qui méritent ce nom ne s'occupent ni
d'opportunisme ni de propagande. C'est pourquoi ils sont
souvent gênants pour le pouvoir en place qui aimerait
tellement les réduire au silence même si des
méthodes comme la liquidation ou l'emprisonnement ne
sont plus à la mode.
Dans le monde arabe et musulman, les représentants de la conception
révisionniste ne sont pas taxés d'esprits confus, comme c'est le cas
en Suède et dans les autres pays occidentaux à cause du contrôle
sioniste sur les medias, quand ils examinent de plus près la thèse
sioniste inlassablement répétée suivant laquelle 600 000 de juifs de
même que quelques millions de non juifs auraient été gazés ou
exterminés d'une autre façon durant la deuxième guerre mondiale par
les Allemands.
En définitive, le monde arabe composé
aujourd'hui approximativement d'1 milliard de personnes
n'est pas soumis à la propagande sioniste. Là-bas, on conserve une vision des choses saine vis
à vis des sionistes et de leur propagande.On sait
là-bas combien souvent les sionistes changent la
couleur du ciel en fonction de leurs intérêts
et comment ils noircissent impudemment leurs adversaires.Par
amère expérience, on est conscient dans le
monde islamique qu'Israël et le sionisme international
qui protège cet état usurpateur sont
bâtis sur des mensonges. C'est pourquoi on n'y tient
pas pour invraisemblable que les sionistes racontent des
mensonges lorsqu'ils parlent des 6 millions de juifs
assassinés dans l'Allemagne nazie. Pourqoi
diraient-ils la vérité sur ce point alors
qu'ils mentent comme des arracheurs de dents à
d'autres occasions ?
A cause de cela, les productions de la recherche des
auteurs révisionnistes occidentaux sont
publiées et lues avec intérêt dans les
états musulmans. On y lit aussi les Protocoles des
Sages de Sion afin de mieux comprendre la prise de pouvoir
des sionistes sur le monde entier.
Chez les Musulmans, il n'existe aucune censure sioniste
qui décide de ce qui peut être imprimé
ou non et les juifs ne décident pas ce qu'on doit
croire et ce pour quoi il faudrait éprouver une "repentance" appropriée. on regrette seulement que le
monde occidental soit tombé si bas, lui qui
possède un passé culturel immense et un
formidable développement technique, qu'il croit les
centrales de propagande sionistes qui prennent les gens de
l'Occident pour des imbéciles grâce à
leurs histoires à dormir debout.
Une de ces histoires les plus absurdes raconte comment
des millions de juifs ont dû marcher comme des moutons
vers les chambres à gaz qu'ils pensaient être
des salles de douches ! Les myriades de gazés
auraient dû être brûlés dans des
crématoires sans que les juifs qui attendaient au
dehors ne remarquent quoi que ce soit ! Et cependant un
nombre incalculable de juifs auraient survécu d'une
façon miraculeuse aux camps d'extermination. Rien
qu'en Israël, il y avait par moment plus d'une centaine
de milliers de survivants d'Auschwitz !
Nous, Arabes, nous racontons volontiers des contes
concernant le destin merveilleux de personnages et leur
sauvetage miraculeux-qu'on songe seulement aux Contes des
Mille et une Nuits- mais nous sommes conscients que ce ne
sont que des contes. C'est pourquoi tout ce qui est
imprimé à ce sujet ne nous paraît pas
forcément crédible. Lorsque les
révisionnistes occidentaux considèrent les
histoires sur les camps d'extermination comme un gigantesque
mensonge, nous les écoutons avec intérêt
sans trop nous étonner. Ils confirment même ce
que nous avons toujours soupçonné : que
l'histoire de l'Holocauste doit être quelque chose
d'absolument faux. Cela sentait dès le début,
le mensonge concocté par la propagande sioniste !
Nous, à Radio Islam, nous avons exposé par
le détail les arguments que les révisionnistes
avancent à l'encontre de la propagande sioniste. Nous
avons entre autres donné un résumé de
l'exposé de John Bennet bien connu en Australie,
juriste très estimé en droit civil de
même que nous avons exposé des
déclarations entières de
révisionnistes.
Celui qui écoute ces arguments sans idée
préconçue, devra instantanément
considérer la soi-disant extermination de 6 millions
de juifs - la majorité d'entre eux auraient
été tués dans des chambres à
gaz - comme rien d'autre qu'un mensonge énorme de
propagande que les sionistes et l'enseignement, grâce
à leur pouvoir incroyable sur les medias
occidentales, ont pu maintenir jusqu'à
aujourd'hui.
Ce pouvoir est exercé par un terrorisme moral,
psychologique et social. Ce qui signifie que celui qui ne
croit pas à la légende de l'Holocauste est
considéré comme un menteur dangereux qui doit
être rejeté moralement et banni de la
société.
Ce terrorisme ignoble, sournois (dont le mécanisme
a été exposé dans les Protocoles des
Sages de Sion) a été dépeint par
l'écrivain génial britannique, Georges Orwell,
dans le roman du siècle "1984" avec une
clarté qui fait frémir. Nous devons absolument
triompher de ce mensonge en toutes circonstances sous peine
de perdre notre condition d'hommes libres ; notre
démocratie dégénererait en farce
grotesque, nous aurions seulement une démocratie de
façade où les gens ne pensent plus librement,
n'ont pas le droit de parler librement et n'osent plus
défendre leur point de vue.
Une société dans laquelle les citoyens sont
soit totalement dépourvus de sens critique soit
intimidés au point de ne plus oser user de leur
faculté de penser n'est plus une véritable
démocratie, mais seulement une
pseudo-démocratie.
Après ces brèves réflexions,
tournons-nous vers les questions primordiales qu'a
posées John Bennet.
1) Pourquoi devons-nous avoir foi en une histoire qui n'a
jamais été prouvée mais seulement
affirmée par une des parties concernées ?
Aucun tribunal jugeant des causes de droit commun ne rend
par exemple un jugement dans une affaire de meurtre si des
preuves claires comme le jour ne sont pas retenues contre
l'accusé
Dans le cas de l'Holocauste, il s'agit d'un meurtre sans
précédent commis par les Allemands, en fait
l'extermination de 6 millions de juifs et en plus de
quelques millions de non-juifs qui a été
avancé sans que des preuves n'aient été
présentées. Il n'y a rien d'autre que
certaines affirmations, certains indices qui ne peuvent
être considérés par un tribunal de droit
commun, jamais, au grand jamais, comme des preuves de
culpabilité. Il faut ajouter que le tribunal des
vainqueurs à Nuremberg qui était chargé
du jugement de l'équipe nationale socialiste
n'était pas un tribunal impartial et qu'il n'a jamais
présenté de preuves véritables.
2) Il n'existe pas un seul document prouvant que le
gouvernement national-socialiste a ordonné de tuer
les juifs parce qu'ils étaient juifs. Pourtant
après la guerre, les Alliés ont saisi des
tonnes de documents allemands qui prouvent clairement que
dans le Reich rien ne fonctionnait sans preuves
écrites.
Le président du Centre de Documentation juif de
Tel Aviv, le docteur Arjek Probovi, lors du procès
d'Eichmann à Jérusalem, le 15 décembre
1960, publia dans le journal juif de Paris "La Terre
retrouvée", le texte suivant :
"Il n'existe aucun document signé ou d'Hitler ou
d'Himmler ou d'Heydrich, qui parle d'une extermination des
juifs.Les mots "extermination" ou "destruction"
n'apparaissent pas dans la cékèbre lettre de
Goering à Heydrich (du 31 juillet 1941) dans laquelle
il s'agit de la solution finale de la question juive."
Pourquoi ? Poser la question, c'est déjà y
répondre : le gouvernement allemand n'a jamais
publié un ordre pour l'extermination physique des
juifs.
3) Mise en face de ce pénible dilemne, la
propagande sioniste cherche à nous prouver qu'Hitler
aurait donné un ordre oral à Goering pour
l'extermination des juifs et que celui-ci aurait transmis
l'ordre au SS Reichsführer Heinrich Himmler qui
l'aurait transmis pour sa part oralement aux SS de grade
inférieur.
A l'occasion de la conférence de Wannsee le 20
janvier 1942, cet ordre aurait été
dissimulé sous la dénomination "déportation des juifs vers l'Est" La propagande
sioniste affirme donc que le mot "déportation"
aurait été un mot de code grâce auquel
on a pu cacher au monde entier ce qui était
planifié en réalité : un gigantesque
massacre collectif des juifs.
Comment une aussi énorme opération a pu
être possible sans directives écrites :
là dessus les autorités gardent volontairement
le silence. N'importe quel agent ennemi aurait pu
répandre des rumeurs fantastiques du genre de :
"Tuez tous les généraux de la Wehrmacht.
C'est un ordre oral du Führer. Il est strictement
interdit de vérifier son authenticité pour des
raisons de sécurité. Celui qui n'obéit
pas, est un homme mort."
Rien que la supposition qu'Hitler aurait donné
oralement un ordre d'une telle importance est, et c'est un
euphémisme, complètement idiote Les choses ne
se passent spas si simplement dans un état
autoritaire surtout en temps de guerre. Ceci doit être
pris en considération par n'importe qui a un tant
soit peu de réflexion. Mais on exige que nous
croyions à cette idiotie !
4) Comment se fait-il que le mouvement de
résistance allemand contre le national-socialisme, au
premier rang pour les informations, en contact permanent
avec l'état major d'Hitler, dont faisait partie
Canaris, chef de l'Abwehr, n'ait pas su la moindre chose au
sujet de cette gigantesque opération,
l'extermination des juifs ?.
Comment se fait-il qu'ils n'aient pu donner aucune preuve
permettant de stopper instantanément le massacre
collectif ou au moins pourquoi n'ont-ils pas donné
des informations aux alliés ? Poser la question,
c'est à nouveau y répondre : il n'y a jamais
eu de massacre collectif organisé de juifs ou
d'autres hommes !
5) Comment se fait-il que le Vatican qui était en
contact permanent avec le mouvement de résistance
catholique polonais n'ait rien appris sur cette sanglante
boucherie ? Pourquoi de même la Croix Rouge
internationale à Genève n'a-t-elle rien su de
cette extermination d'êtres humains à la
chaîne ? Elle avait finalement envoyé en 1944,
à Auschwitz qui se trouvait dans la Pologne
occupée, une délégation d'observateurs
spéciaux à cause de rumeurs de massacre
collectif provenant de l'Organisation juive. cependant les
délégués durent s'en tenir aux rumeurs.
Dans ce cas aussi, la solution s'impose d'elle même :
On n'a pas pu trouver une seule preuve d'un massacre
collectif qui n'a eu lieu que dans les cerveaux malades des
menteurs sionistes professionnels !
Il est terriblement important de démasquer
l'imposture du gigantesque holocauste, selon laquelle durant
la seconde guerre mondiale, 6 millions de juifs auraient
été gazés ou exterminés. Radio
Islam s'y emploie du mieux qu'elle peut. Elle a
présenté une longue liste d'arguments dont
chacun porte un rude coup au mythe. Chacun de ces arguments
doit être examiné en détails
Voyons les plus importants :
1) On affirma après la guerre que tous les camps
de concentration, ou au moins les plus grands, avaient
été des camps d'extermination dans lesquels
les juifs auraient été assassinés dans
des chambres à gaz ou par d'autres moyens
meurtriers. On affirma cela également au Procès
de Nuremberg. : Des milliers de prétendues preuves,
entre autres de témoignages visuels, et surtout les
aveux des gens de la SS eux-mêmes, auraient
étayé cette thèse. En
conséquence de quoi, des hommes de la SS et d'autres
Allemands furent condamnés à mort et souvent
exécutés
Dans les année suivantes, des faits nouveaux
apparurent à la lumière, qui
démontraient que les fondements du jugement de
Nuremberg - pour parler avec réserve - avaient
été fragiles. Toutes les preuves
apportées là-bas se révélaient
sans valeur ou fabriquées de toutes pièces.
Les témoignages visuels étaient ostensiblement
faux ou se contredisaient sur tous les points possibles. Les
aveux des hommes de la SS avaient été obtenus
par la brutalité des bourreaux. Ceci était
particulièrement le cas pour les déclarations
du témoin clef, Rudolf Höss, le premier commandant du
camp d'Aushwitz
Son aveu obtenu dans une prison anglaise de même
que ses notes écrites dans la prison de Cracovie
servaient de preuves irréfutables de l'extermination
collective. Il faut ajouter que l'ensemble du procès
de Nuremberg a été une farce mise en
scène par les sionistes.
Dernièrement, la preuve fut donnée par le
meilleur des témoins que les révisionnistes
auraient pu souhaiter, le Président du Congrès
Mondial juif, Nahum Goldmann avec une candeur
rafraîchissante. Nahum Goldmann écrit en effet
dans son livre : Le Paradoxe juif, éd. de l'Europe,
1978, p.166,167, ce qui suit :
"Durant la guerre, le Congrès Mondial juif avait
créé à New York, un institut pour les
affaires juives dont le siège se trouve aujourd'hui
à Londres. Ses chefs étaient 2 juifs
lituaniens importants, Jacob et Nehemiah Robinson.
D'après leur plan, furent développées
deux idées révolutionnaires : le tribunal de
Nuremberg et la restitution des biens par les Allemands.
L'importance de la cour du Tribunal international de
Nuremberg n'est pas estimé aujourd'hui à sa
juste valeur. Puisqu'il s'agissait de droit international,
il lui était en fait impossible de juger des
militaires qui avaient simplement obéi aux ordres qui
leur étaient donnés. Ce fut Jacob Robinson qui
eut une idée géniale : Lorsqu'il la soumit aux
juristes de la cour suprême de justice
américaine, ils le priprent pour un fou : "Qu'ont
donc fait les officiers nazis de si extraordinaire ?
demandèrent-ils. On pourrait s'imaginer Hitler ou
à la rigueur Goering devant le Tribunal, mais tout de
même pas de simples militaires qui ont suivi les
ordres et se sont comportés en loyaux soldats. Nous
avions la plus grande peine à convaincre les
Alliés."
Parmi les plaignants "américains" de Nuremberg,
la plupart étaient des juifs allemands qui avaient
quitté le Reich durant les années trenteplus
ou moins volontairement et qui à présent,
essayaient de faire passer leur colère sur les
Nationaux- Socialistes vaincus.
L'exemple le plus connu est Robert Kempner,
décédé en 1993, qui entre autres
mensonges, était probablement l'auteur du bluff du
protocole de Wansee. Celui-ci aurait été
découvert par un de ses collaborateurs. Les juifs,
à Nuremberg, étaient à la fois
plaignants, juges et bourreaux dans une même
affaire, ce qui est totalement inconciliable avec les bases
du droit
Au début des années 60, tant de faits
avaient été mis en lumière que la
situation devenait intenable pour les sionistes. Ils ne
pouvaient pas s'empêcher d'avouer que quelque chose
n'allait pas dans l'histoire de l'Holocauste. alors ils
réagirent par une de leurs manoeuvres typiques de
mystification : Eh bien, dirent-ils, c'est vrai les
histoires sur les chambres à gaz dans le Reich
allemand (avec le frontières de 1937) dans des camps
de concentration comme Dachau, Bergen Belsen, et Buchenwald,
ne tiennent pas debout. Mais tout ce qui a été
dit sur les camps de la mort en territoire polonais est vrai
à 100% !
Les sionistes avouent ainsi que les histoires de chambres
à gaz de l'Allemagne de l'Ouest et les jugements qui
s'y rapportent étaient des mensonges. D'innombrables
personnes innocentes furent condamnées à cause
de ces histoires, dont beaucoup à mort et une grande
partie des condamnations à mort fut
exécutée. En même temps, on nous somme
de croire que sous l'occupation soviétique des
condamnations qui eurent lieu étaient
irréfutablement valides. Les menteurs sionistes
désirent que nous croyions ces contes à dormir
debout.
Dans beaucoup de cas, la même personne fut
condamnée pour des crimes commis à l'Ouest
comme à l'Est. Les plaintes pour crimes, en Occident
seraient injustifiées alors que celles pour des
crimes commis à l'Est seraient justifiées !
Cette thèse soulève des centaines de questions
qui appellent chacune une réponse
appropriée.
Si nous devons croire les racontars sur "les usines de
mort" en Pologne, est ce à dire que la justice
soviétique était meilleure que le justice
démocratique anglo-saxonne ?
Devons-nous faire confiance à l'appareil
judiciaire soviétique même si nous savons tous
que la justice stalinienne était responsable de
parodies de procès absurdes à Moscou et qu'en
outre, de nombreux juifs au cours de ces séries de
semblant de procédure, furent condamnés
à mort et mis au poteau ?
Quelle personne sensée conserve aujourd'hui la
moindre confiance dans la justice de Staline ?
2) Rien qu'à Auschwitz Birkenau, 4 millions de
jifs auraient été gazés ou
assassinés d'une autre manière. Ceci est
confirmé entre autres par le juif Philippe Friedmann,
ancien détenu d'Aushwitz, dans son livre : "This was
Oswiecim" (London, 1946) Les régimes communistes
de Pologne et d'URSS défendaient également le
chiffre de 4 millions même s'ils affirment qu'une
grande partie des 4 millions de victimes auraient
été des non juifs et surtout des
communistes.
D'après des statistiques allemandes
précises, le nombre total des prisonniers
transportés à Auschwitz entre 1940 et 1945, se
monte à 363 000. e chiffre est avancé par le
chercheur Gérald Reitlinger, juif britannique, auteur
du livre de poche : "Die Endlösung" ("La solution finale"). Franciczek Piper, directeur du Musée d'Auschwitz,
donne un chiffre supérieur : environ 400 000, dans sa
brochure publiée en 1992 : "Ilu ludzi zginelo w KL
Auschwitz ?" Wydawnictwo Panstwowego Muzeum w Oswiecimu.)
D'après cela, 4 millions ni même un seul
million - nombre avancé aujourd'hui par les historiens
officiels - ne pouvaient pas avoir été
exterminés là.
De toutes façons, la mortalité à
Auschwitz et surtout dans le camp annexe de Birkenau fut
extrêmement élevée. A cause de la
surpopulation du complexe des camps et du manque
d'hygiène qui favorisa la propagation de graves
épidémies de typhus exanthématique
périodiques. La direction des camps ne parvenait pas
à maîtriser les épidémies.En
été 1942, jusqu'à 300 personnes par
jour moururent de typhus et parmi elles des gens de la SS,
ce qui conduisit à la fermeture momentanée du
camp le plus à l'Est, situé à Monowitz,
ainsi que de ses usines.
Qu'on se réfère au protocole du
procès des usines IG- Farben. En 1943 aussi, 2 graves
épidémies sévirent à Auschwitz
et en 1944, le camp fut frappé d'une
épidémie de typhus particulièrement
dévastatrice. Le nombre définitif des victimes
d'Auschwitz n'a pas encore été établi.
En tous cas, les révisionnistes ne se fient pas aux
chiffres sacrés qui ont été
affirmés juridiquement et qui ne peuvent plus
être discutés. Le débat est encore en
cours !
3) On ne trouve pas en arrivant à Auschwitz ou
dans n'importe quel camp national socialiste, une chambre
à gaz qui d'après sa construction aurait pu
être utiliséedans ce but. On n'a trouvé
aucun ordre de construction, aucun dessin, aucun plande
construction. Les prétendues chambres à gaz
n'auraient pas fonctionné. En 1988, Fred Leuchter a
entrepris avec une petite équipe la première
recherche chimique des crématoires et des "chambres
à gaz" d'Auschwitz d'Auschwitz Birkenau et de
Majdanek. Il arriva à la conclusion que les "chambres à gaz" n'en étaient pas. L'étude "Gutachten uber die Bildung und
Nachweisbarkeit von Cyanidverbindungen in den "Gaskammern"
von Auschwitz" du chimiste diplômé allemand,
Germar Rudolf fournit plein de détails et des preuves
indiscutables. Elle peut être commandée aux
Cromwell Press, 27, Old Gloucester Street, London. Rudolf y
expose que tous les témoignages sans exception des
témoins oculaires du gazage d'êtres humains
contredisent les lois naturelles concernant le Zyclon B et
que les chambres à gaz n'ont jamais été
en contact avec le poison Zyclon B. Enfin on peut
vérifier à travers cette recherche par des
échantillons prélevés dans les chambres
à gaz qui auraient dû contenir une
quantité élevée de cyanide encore
aujourd'hui, qu'il n'y en a aucune trace ou seulement une
infime quantité telle qu'on peut la trouver à
l'état naturel dans chaque demeure puisque le cyanide
est un produit naturel.par contre, les échantillons
prélevés dans les chambres de
désinfection en contiennent encore aujourd'hui.
L'expertise de Rudolf fut exposée en 1993 devant 306
professeurs de chimie d'université allemands. Aucun
ne décela une erreur et il en fut de même pour
l'Institut Max Planck.)
4) Les crématoires d'Auschwitz-Birkenau
n'auraient jamais pu brûler 4 millions ou même
seulement 1 million de cadavres. Il n'y avait pas de fosses
collectives dans les environs. Où sont donc
passés, s'il vous plaît, les cadavres des
victimes ? Le révisionniste italien Carlo Mattogno
publiera en 1994 un ouvrage sur les crématoires
d'Auschwitz qui présente les résultats des
recherches effectuées durant de longues
années. Selon Mattogno, le nombre théorique le
plus probable de crémations est de 170 000)
5) Qu'il y ait eu un gazage collectif de juif
planifié est tout aussi incroyable puisque on a
vérifié que pluieurs centaines de milliers de
détenus juifs des camps se sont exilés
après leur libération en Israël et aux
Etats Unis. Encore en 1967, il y avait, comme l'a fait
remarquer le premier ministre israélien Levy Eskol
seulement en Israël, 120 000 anciens détenus
d'Auschwitz.
Sur l'aspect démographique de la question, on
lira avec profit l'étude fracassante de Walter
Sannings : "La dissolution" Edition Grabert, 1983 qui
s'appuie presque uniquement sur des sources juives et
alliées, qui montre tous les chiffres concernant
l'exil juif d'avant guerre, de pendant la guerre et
d'après-guerre et vérifie qu'une grande partie
des juifs polonais "gazés" a été
absorbée par l'URSS. Sannings arrive à la
conclusion que, dans le Reich allemand, quelques centaines
de milliers de juifs ont trouvé la mort.
Beaucoup de ces survivants ont écrit ensuite des
livres dans lesquels ils décrivent l'exécution
collective d'une manière grotesque. Nous
désirons offrir un morceau de choix : la description
de l'extermination des juifs par le juif hongrois, le
Docteur Phil. Stefan Szende émigré en
Suède durant les années trente dans son livre
"Le dernier juif de Pologne" éd. Europa, 1945, p.
290 et s
Szende se réfère à un personnage témoin du nom d'Adolf Folkmann
devenu le dernier juif de Pologne qui arriva en personne à
l'abattoir de Belzec :
"L'abattoir se compose d'une aire d'environ 7 km. de
diamètre. Ce terrotoire est gardé par des fils
de fer barbelés et par quelques autres dispositifs de
sécurité.. Personne ne peut s'en approcher.
personne ne peut le quitter. Les trains chargés de
juifs passent à travers un tunnel vers les chambres
souterraines, lieux d'extermination capitale.
Tout leur est retiré. Les affaires sont
nettoyées, inventoriées et naturellement
envoyées pour satisfaire les besoins de la race des
Seigneurs. Pour simplifierce travail compliqué et qui
prend beaucoup de temps,plus tard tous les
transportés furent livrés nus.
Les juifs nus étaient conduits dans d'immenses
halls. Plusieurs milliers de personnes à la fois
pouvaient remplir ces halls. Ceux-ci n'ont aucune
fenêtre, ils sont en métal avec un plancher
escamotable. Le sol de ces halls avec les milliers dejuifs
était plongé dans un bassin d'eau qui se
trouvait dessous, cependant pas assez profondément
afin que les personnes sur le plateau métallique ne
disparaissent pas sous l'eau. Lorsque tous les juifs se
trouvaient sur la plate-forme de métal,
plongés jusqu'aux hanches dans l'eau, un courant
électrique était envoyé à
travers l'eau. après quelques moments, tous les
juifs, des milliers en tout, étaient morts.Alors le
plateau métallique s'élevait hors de l'eau.
Sur lui gisaient les cadavres des exécutés. Un
autre courant était envoyé et le plateau
devenait brûlant afin de servir de cercueil de
crémation jusqu'à ce que tous les corps soient
réduits en cendres. Des grues puissantes soulevaient
alors le cercueil de crémation et vidaient les
cendres. De grandes cheminées d'usine aéraient
la pièce. La procédure était
terminée. Le prochain train attendait
déjà empli de nouveaux juifs à
l'entrée du tunnel. Chaque convoi transportait 3
à 5 000juifs parfois plus encore. Il y avait des
jours où la ligne vers Belzec a conduit 20 ou plus de
tels convois. La technique moderne triompha sous le
règne des nazis. Le problème de savoir comment
exécuter des millions de personnes était
résolu."
Cette histoire bien caractéristique disparut
bientôt après la fin de la guerre dans les
oubliettes de l'histoire et le moulin à personnes fut
transformé en chambres à gaz.
Mais le comble, c'est que, d'après la nouvelle
version, les juifs auraient été tués
dans les camps d' "extermination" de Belzec, de Treblinka
et de Sobibor par des gaz d'échappement de moteurs
diesel ! Alors qu'il est pratiquement impossible d'asphyxier
des êtres humains avec des gaz d'échappement de
moteur diesel parce que ceux-ci ne contiennent que
très peu de CO et possèdent en outre
suffisamment d'oxygène pour permetre de survivre.
N'importe quel moteur à essence ordinaire serait bien
plus efficace comme arme du crime ! Les escrocs de la
propagande siçniste ont donc remplacé une
absurdité par une autre. Sur le problème des
gaz d'échappement des moteurs diesel, voir Friedrich
P. Berg, "The Diesel Gas Chambers. Myth within a myth",
Journal of Historical Review, Vol. 5, n°1, printemps
1984, p. 15 et sv.
Si nous examinons un peu attentivement les nombreuses
biographies des "survivants" professionnels, nous trouvons
quantité de choses très instructives ! Ainsi le
socialiste autrichien et juif authentique Benedikt Kautsky a
passé plusieurs années dans des camps de
concentration sans encourir le moindre danger d'être
gazé ! Sa mère mourut fin 1944,
octogénaire, à Birkenau, de mort naturelle.
Philip Auerbach,condamné pour haute trahison, ne fut
cependant pas gazé, mais passa deux ans à
Auschwitz ! Après la guerre, il fut
traîné en justice en RDA pour cause de
détournement de fonds et il mit fin volontairement
à ses jours.
Le juriste américain, Stephen Pinter,
lui-même juif, qui travailla pour le ministère
de la Défense des Etats Unis et qui travailla
après la guerre dans l'Allemagne de l'Ouest
occupée et qui passa entre autres 17 mois à
Dachau, a écrit dans le courrier des lecteurs au grand
journal catholique "Our Sunday Visitor", le 16 juin 1959,
: "C'est un mythe de propagande que d'affirmer que des
millions de juifs ont été gazés par les
Nationaux-Socialistes. De ce que j'ai appris pendant six
années d'après-guerre en Allemagne et en
Autriche ; j'ai pu conclure qu'un certain nombre de juifs ont
été tués mais on n'a même pas
atteint le chiffre de 1 million.
J'ai interrogé des milliers de juifs, d'anciens
déportés de camps en Allemagne et en Autriche
et je me considère en ce cas comme qualifié."
Auschwitz et les autres camps "d'extermination" ou "camps de la mort" situés en Pologne ne furent jamais
visités après leur libération par des
enquêteurs ou des experts techniciens occidentaux ou
neutres, parce que les soviétiques ne le voulaient
pas. Seulement en 1988, à la demande des
révisionnistes, la toute première visite de
chercheurs eut lieu grâce à Fred Leuchter et
à son équipe !
6) Il est très instructif que la propagande
concernant l'extermination fonctionnait déjà
pendant la guerre du côté juif dans les
sommets. Déjà, en février 1942, le
journal clandestin juif de la résistance "Veker"
parlait d' une liquidation des juifs planifiée. Un
autre journal juif de la Pologne occupée continua sur
la même veine en 1942. Qu'on compare cela aux
déclarations de Lucy Dawidowicz dans son livre "The
War against the Jews"
Ces rumeurs furent dirigées vers les cercles
sionistes en Suède, en Angleterre et aux USA de
même qu'à l'Agence juive dans l'ancien
territoire sous mandat britannique, la Palestine.
Le 29 juin 1942, des journaux occidentaux, entre autres
le New York Times, publièrent un
télégramme émanant de l'United Press
dans lequel le Congrès Mondial Juif accusait les
Allemands d'avoir installé en Europe de l'Est une
gigantesque "schlachthaus" (abattoir) pour les juifs dans
laquelle ceux-ci étaient exterminés, non pas
gazés, mais fusillés !
Le 22 juillet de la même année, la presse
annonça que Rooseveld aurait dit devant 20 000
personnes à New York, que les nazis
s'apprêtaient à exterminer les juifs, mais
qu'ils n'y réussiraient pas de même qu'ils ne
réussiraient pas à rendre esclave toute
l'humanité
Le 23 novembre 1942, un télégramme de
l'United Press de Jérusalem annonçait que la
presse de langue hébraïque avait parlé le
même jour d'extermination en masse de juifs en
Pologne, et des communiquésen provenance de l'Agence
juive confirmaient une extermination systématique de
la population juive avec une "commission spéciale
d'extermination" dans les territoires frontaliers entre les
parties de la Pologne occupées respectivement par les
Allemands et les Russes. Des milliers de juifs à la
chaine auraient été jetés dans un
fleuve et se seraient noyés.
Le 13 décembre, on lisait dans le New York Times :
"Rabbi Israël Goldstein déclare selon des
documents authentiques qu'il y a déjà 2
millions de juifs assassinés par toutes sortes de
méthodes sataniques et barbares et qu'il existe des
plans pour une extermination systématique des juifs
qui tombent aux mains des les nazis. Le massacre d'un 1/3
des juifs dans l'empire d'Hitler et la ruine
planifiée de tous les juifs résidant
là-bas constitue un génocide sans
précédent."
Dès lors les sionistes exercèrent sur tous
les gouvernements une pression de plus en plus forte pour
leur faire admettre l'existence d'une extermination
collective. Dans des communiqués de presse du 18
décembre, il fut annoncé à Washington,
que le jours avant, des membres des Nations Unies ont fait
une déclaration commune dans laquelle la politique
bestiale des Allemands d'extermination de sang froid des
juifs était condamnée. Ainsi les deux
démocraties dirigeantes, c'est à dire les
Etats Unis et l'Angleterre, furent impliquées dans la
propagande sur l'Holocauste. Le 20 décembre, la
presse récidiva. Cette fois elle parlait de 5
millions de juifs qui étaient sur le point
d'être exterminés. Les exécutions
collectives sont réalisées entre autres par du
courant électrique.
Plus tard on laissa tomber ces histoires de même
que celles des chambres à vapeur dans lesquelles, au
camp de Treblinka, plusieurs centaines de milliers de juifs
auraient été assassinés (doc. de
Nuremberg PS 3311). Les chefs sionistes qui avaient
répandu cette absurdité sortie de leurs
cerveaux dérangés utilisèrent la
propagande d'atrocités pour favoriser une immigration
massive de juifs vers la Palestine.
Ceci peut être prouvé par diverse
déclarations publiques.
Ainsi Chaïm Weizmann, président de l'Agence
juive, a dit, le 1er mars 1943, à Square Madison
Garden, que les démocraties avaient maintenant,
après l'extermination de 2 millions de juifs, le
devoir incontournable de traiter, via les pays neutres, avec
l'Allemagne pour arriver à ouvrir la Palestine aux
juifs venant des pays occupés par l'Allemagne.
Le
combattant pour la liberté
Le texte suivant, paru dans le "Judisk Häxprocess
i Sverige" est du professeur Faurisson, le chercheur
révisionniste le plus renommé aux
côtés de l'Américain Arthur Butz.
Faurisson a été professeur de
Littérature française et critique
littéraire à l'Université de Lyon. Il a
produit plusieurs articles et plusieurs livres. Il s'occupe
de la question des chambres à gaz depuis les
années 60. Ses recherches donnèrent
l'impulsion pour effectuer des expertises qui
prouvèrent l'impossibilité technique par les
lois naturelles des prétendus gazages d'Auschwitz.
Dans ce texte, Faurisson dénonce le "saint"
numéro 1 du sionisme international, l´escroc
Elie Wiesel, comme un menteur malade et un propagateur de
haîne notoire. Nous nous sommes servis de la brochure
publiée par "Journal of Historical
Review" (Post Office Box 2739, Newport Beach, CA 92659,
USA) :
"Ahmed Rami, le combattant pour la
liberté marocain qui participa en tant que jeune
officier à deux tentatives de putsh contre la
dictature de la royauté corrompue de son pays, arriva
comme réfugié politique en Suède.
Lorsqu'il arriva en Suède, il crut avoir
réussi à atteindre un pays utopique où
la démocratie sociale était une
réalité, comme on pouvait le désirer
à juste titre : avec une sécurité
sociale gratuite, un soin permanent des personnes
âgéespour tous, ainsi qu'une liberté de
pensée complète, rafraîchissante.
Il voulait naturellement poursuivre son combat pour son
idéal : la liberté et la justice, par sa
parole et ses écrits, en tant que citoyen
suédois.
Dans plusieurs livres et par le biais de ses
émissions sur Radio Islam qu'il avait
créée, il exprima des arguments en faveur
des droits des Arabes opprimés en Palestine et
s'opposa aux valeurs sionistes d'Israël.
Mais il n'avait pas compté avec la puissance
sioniste dans les medias suédoises et il fut
bientôt accusé de "manque
de respect envers le groupe ethnique juif" et
condamné à une peine d'emprisonnement de 6
mois !
Il ne passa pas sous silence l'offense à la
liberté de pensée infligée par les
puissants, au contraire, il
dénonça dans un livre ce procès en
sorcellerie dans notre temps moderne. En
voici un passage ici traduit
en français:"
LE PROCES EN
SORCELLERIE INTENTE A RADIO ISLAM
En 1977, Radio Islam commença à
émettre sur ondes courtes à Stockholm sous ma
direction. Son but déclaré était
d'informer sur la question palestinienne et de permettre la
discussion sur des thèmes tabous du sionisme,
l'usurpation et l'occupation juives de la Palestine.
Le judaïsme avec ses revendications politiques sur
la Palestine et ses lobbys politiques repose en fait sur une
idéologie politique, c'est évident. Le
judaïsme joua un rôle tout à fait
prépondérant dans la fondation et la
continuité de l'existence actuelle de l'état
d'Israël. Il s'en suit que les juifs sont des acteurs
politiques sur la base de leurs organisations
représentatives et par leur soutien à
Israël. Pour cette raison, Israël et le
judaïsme qui lui est associé doivent être
examinés et soumis à une analyse
sérieuse par leurs adversaires.
Dès le début, je poursuivais le but
très ambitieux de faire de Radio Islam un forum pour
le dialogue et la compréhension mutuelle de la
Chrétienté, de l'Islam et du judaïsme.
Pour atteindre ce but, j'avais interviewé sur mes
ondes des leaders et des défenseurs connus des
différentes églises et communautés,
comme l'archevêque du diocèse de Stockholm, le
directeur des programmes religieux de la Radio
suédoise, Krister Hedin, et Soeur Marianne du couvent
d'Alsike.
Soeur Marianne fut victime d'une campagne de sorcellerie
haineuse menée par les medias dirigées par les
sionistes à cause de sa position claire et courageuse
en faveur de la justice au Proche Orient.Cette femme pieuse
qui avait été considérée comme
une sainte auparavant par les medias suédoises, fut
bannie de facto de ces mêmes médias
après son interview à Radio Islam. Un peu
avant cet entretien,lors d'un sondage qui devait
déterminer quelles sont les personnalités les
plus influentes sur l'opinion publique, elle était
arrivée en deuxième position après le
Ministre de l'Etat.
J'avais désiré également avoir un
entretien avec le rabbin supérieur
émigré des USA à Stockholm, Morton
Narrowe, au cours duquel je l'invitai à
débattre sur les questions d'intérêts
communs dans une émission sur Radio Islam. Pourtant
la seule chose que je pus obtenir de ce leader juif fut une
lettre laconique dont le contenu consistait en une seule
phrase : "Je n'ai pas de temps à vous consacrer".
Ainsi le rabbin refusa de se mesurer dans un combat oral
avec ses adversaires politiques parce qu'il ne voulait leur
accorder aucun débat dans les medias habituellement
dominées par les sionistes Par ce comportement
prétentieux, il prouvait que les sionistes n'ont pas
l'intention de se laisser entraîner dans un dialogue
constructif et civilisé concernant le conflit
palestinien.Les autorités sionistes ne se sentent
à l'aise que là où des monologues
stériles sont tenus par des sympathisants. Si un
débat a lieu dans les medias occidentales sur la
question palestinienne, on s'assure au départ que les
participants sont des amis d'Israël, qu'ils soutiennent
Israël et ne souhaitent que du bien à
l'état hébreu.
On ne peut donc pas être un adversaire
d'Israël ! Par exemple, une "critique" de l'invasion
du Liban par Israël peut, lors d'un tel débat
fictif entre sionistes et amis des sionistes, être
justifiée et excusée car elle "fait du tort
à Israël et menace son existence ainsi que sa
morale."
Le conflit entre l'état juif et les Arabes est
très rarement vu dans la presse occidentale du point
de vue des Arabes et de leurs intérêts. Ce
conflit représente un puzzle compliqué dans
lequel la partie arabe reste tout à fait
ignorée dans le monde occidental. Seule la
sécurité d'Israël - jamais celle des
Arabes ! -est prise en compte et provoque du souci. Les "groupes palestiniens" eux-mêmes en Suède, au
sommet desquels se trouvent quelques trotskystes juifs et
d'autres radicaux de gauche, ont publié une
déclaration publique suivant laquelle ils
s'inquiétaient de la morale d'Israël à
cause de la politique de Shamir- si tant est que
l'état d'Israël puisse posséder quelque
chose qui s'apparente à une morale !
Au milieu de ce débat stérile dû
à la propagande sioniste, tout à coup, Radio
Islam fait entendre sa voix ! Sans doute les circonstances
décrites furent - elles la cause que Radio Islam a
pris la liberté d'éclairer l'histoire du
sionisme autant que celle de la Palestine d'une façon
critique et ce, dans la perspective inhabituelle pour les
Suédois, du point de vue islamique et arabe. Radio
Islam parle des intérêts et de la
sécurité des Palestiniens, des Arabes et des
musulmans.
Etant musulmans et victimes du sionisme, les Palestiniens
et Arabes rejettent en bloc la version juive qui est
présentée sur le conflit palestinien.
D'après cette version juive, l'existence même
d'un peuple palestinien est niée de sorte qu'aux
Palestiniens chrétiens et musulmans sont
refusés les droits de l'homme légitimes.
Dans ses programmes, Radio Islam reflète le
nouveau mouvement de réveil islamique et fait sienne
sa prise de position. Chaque reconnaissance de l'état
colonisateur d'Israël est désigné comme
la reconnaissance du viol et de l'occupation de la Palestine
par les juifs. (Le ministre suédois des Affaires
Etrangères, Sten Andersson, a désigné
le président de l'Irak de "voleur". Quel politicien
suédois aurait le courage de désigner un
leader israélien de "voleur" quoique Israël
soit aujourd'hui le plus grand état gangster du
Proche Orient ?)
La supériorité militaire des juifs et
l'infériorité technologique des musulmans sont
des phénomènes provisoires qui peuvent
s'expliquer par des circonstances historiques
déterminées. En principe, il n'y a qu'une
seule solution au problème d'occupation et de
colonisation et c'est la décolonisation !
Dans tout conflit entre juifs et non juifs, que ce soit
en Palestine ou ailleurs, il y a au moins deux partis. Dans
le domaine politique des mass media ou de l'histoire
écrite, on doit se tenir au courant des versions
émanant des deux côtés et s'informer sur
les droits, l'histoire et les points de vue des deux
camps.
Si dans les temps anciens il était d'usage que les
vainqueurs écrivent l'histoire des anciens royaumes
sous forme de contes et de légendes a pris fin avec
l'histoire moderne dont nous pouvons situer le début
sous Ibn Khaldoun qui séparat l'histoire des "histoires"
Dans le cas du conflit actuel, on se comporte de telle
façon que les juifs vendent leurs légendes
religieuses juives comme "histoire". Le judaïsme
représente un anachronisme, reliquat de la nuit des
temps !
Pour obtenir une paix juste et durable, il est tout
à fait indispensable de corriger la version de
propagande sioniste de l'histoire qui est en cours, de la
mettre en question et finalement de la rejeter. Il s'agit
là des fondements mêmes de la liberté de
pensée et de recherche. L'histoire ne peut être
avilie parce que au service de la politique et être
compressée dans un corset de paragraphes. Il n'existe
pas d' "histoire sainte". Une histoire digne de ce nom ne
peut pas être transformée en croyance
religieuse.
On ne peut pas interdire à des gens et à des chercheurs habituels de
poser des questions, d'entreprendre des recherches et de discuter
certains thèmes historiques et politiques. Les méthodes
scientifiques doivent pouvoir être utilisées dans tous les domaines
de la recherche historique et politique, indépendamment de
l'hégémonie et de la supériorité militaire d'Israël.
Si la supériorité militaire actuelle des
juifs empêche une solution pacifique,
civilisée, rationnelle et juste du conflit
palestinien, alors, on doit au moins se préoccuper de
poser correctement le problème. Mais si les medias et
l'histoire sont aux mains des juifs, la présentation
du problème du même coup est par
conséquent déformée
Pour paraphraser un mot célèbre de de
Gaulle après la première victoire des
Allemands en France : "Les musulmans ont perdu une bataille
mais pas la guerre. La résistance contre l'occupant
est un droit légitime, oui, même un devoir pour
toutes les communautés jetées sous la
domination coloniale".
La chasse aux sorcières contre Radio Islam
illustre parfaitement le terrorisme intellectuel juif.
Aussitôt que quelqu'un fait montre de courage
ouvertement contre un tabou sioniste pour démolir ou
critiquer radicalement le sionisme, le lobby juif bat le
rappel de ses amis et des amis de ses amis pour faire taire
la voix du gêneur.
Pour les sionistes, Radio Islam était un
phénomène entièrement nouveau puisque
quotidiennement un quelconque ami des Arabes avait le
courage de parler sur les ondes, en suédois, de la
concentration du pouvoir juif dans le monde occidental et de
leur soutien à l'occupation barbare de la Palestine
!
Qu'on se représente la scène : un musulman
qui exerce son droit garanti par écrit de
l'expression libre d'opinion et qui réellement le
revendique !
De la même manière que les medias sionistes
avaient mobilisé l'opinion publique en 1989 pour
défendre le malheureux Salman Rushdie, les sionistes
mobilisèrent peu après les intellectuels sur
cette affaire, les cliques médiatiques ainsi que la
justice pour mettre une muselière à Radio
Islam.
L'éminent trompettiste de la propagande sioniste,
Elie Wiesel, fit jouer ses batteries. Dans un article du
journal l' "Express", il appela les medias et les
auditeurs à boycotter Radio Islam et à
l'assigner devant un tribunal.
La campagne de sorcellerie intentée contre Radio
Islam commença dès les premières
émissions. De toute la Suède,des centaines de
plaintes affluèrent vers le Ministère de la
Justice. Un "auditeur" juif de Göteborg
(loin de Stockholm de 350 Km) où il
était impossible de capter les
émissions de Radio Islam, fit
paraître une plainte de douze pages pleines avec
citations tirées de l'émission de Radio Islam
!
Partout, même aux Etats Unis, des
délégations juives dansèrent devant les
ministères de la Justice pour demander la fermeture
immédiate du poste émetteur.
Déjà en 1987, nous avions été
sérieusement attaqués à la
télévision par l'autorité sioniste, Per
Ahlmark, un Suédois converti au judaïsme et on
m'avait interdit le droit de réponse.
Le 27 janvier 1988, le journaliste Sune Olofson
écrivit dans le journal "Svenska Dagbladet" ce qui
suit : "Le ministre de la Justice hans Stark connaît
le contenu des émissions de Radio Islam. Les
personnes et organisations suivantes lui ont fait part de
leur préoccupation : Gabriel Romanus, le
Comité suédois contre l'anti sémitisme,
Stefan Meisels, le Conseil central de la communauté
juive, Gabriel Stein, l'ADL de même que le politologue
Svante Hansson, résidant à Paris. Ils veulent
tous arrêter Radio Islam."
Le Chancelier de la Justice Stark
dit au journal "Svenska Dagbladet" : "Dans les
émissions de Radio Islam, a lieu un débat sur
la question palestinienne et nous devons pouvoir le
tolérer. De telles questions ne peuvent être
dissimulées en aucune manière. C'est ce que
nous pourrions faire de plus dangereux."
Svante Hansson a examiné soigneusement pour le
compte de la communauté juive les émissions de
Radio Islam. Le représentant israélien
auprès de l'ONU à New York, critiqua le
gouvernement suédois dans un entretien public avec
Per Ahlmark paru dans le journal sioniste suédois l'
"Express" parce qu'il tolérait cette station de
radio islamique.
Elie Wiesel, le prédicateur ambulant sioniste et
le survivant professionnel de l' "Holocauste", plein de
haine, s'en prit à moi dans l'Express ainsi que dans
des journaux sionistes américains.
La loge franc maçonne juive du B'naï Brith
tint en 1989 un congrès à Stockholm avec 500
participants, au cours duquel elle prit position contre
Radio Islam derrière la campagne sioniste.
Puisqu'il m'était impossible de placer un mot dans
les medias dirigées par le sionisme, j'ai
publié trois livres : "Vad är Israël ?", "Israëls makt i Sverige" et "Ett liv för frihet". En
1988, le ministère de la Justice capitula finalement
sous la pression juive devant leurs désirs et
décida de porter plainte contre moi
Per Ahlmark, le porte - parole suédois
numéro 1 des sionistes, déclara, le 31 mars de
cette année-là, dans le journal "Sydsvenska
Dagbladet" que la campagne contre Radio Islam avait conduit
"à une victoire pour nous. Nous avons enfin réussi à avoir les
autorités de notre côté !"
Le point d'accusation était : "outrage à un groupe ethnique juif ".
J'avais ouvertement fait sentir mon mépris pour l'occupation juive
de la Palestine. On déposa aussi une plainte pour mon livre "Vad är
Israël ?", entre autres parce que j'avais fait une caricature qui
comparait l'ancien ministre des Affaires étrangères des Etats-Unis
Kissinger aux nationaux socialistes. "Par là, Ahmed Rami avait
blessé le peuple juif en la personne de Kissinger"!
En plus du livre "Vad är
Israël ?", les plaintes s'étendirent à
64 citations tirées des émissions de Radio
Islam. Le procès commença le 5 septembre 1989
et dura plus de deux mois, en fait jusqu'au 14 novembre.Ce
fut probablement le plus long procès de l'histoire
suédoise. Tous les passages du programme furent
joués devant le jury et les juges sur bande
magnétique. Un acteur, Leif Stålhammar, lut le texte
concerné de "Vad är Israël ?".
L'accusation avait appelé 4 témoins
à la barre :
a) Le grand rabbin Morton Narrowe. Celui-ci approuva,
entre autres, le fait que des soldats israéliens
avaient fusillé des enfants palestiniens lors de
l'Intifada parce que "les pierres que les enfants jettent
sur les soldats juifs sont trop grosses." Le pieux rabbin
montra avec les mains la grosseur présumée des
pierres.
b) Le professeur en médecine juif Georges Klein. Un
des arguments présenté comme témoignage
fut que beaucoup de survivants juifs de l' "Holocauste"
avaient souffert d'un traumatisme psychologique parce qu'ils
avaient écouté les émissions de Radio
Islam ! Le profeseur Klein se présenta lui-même
comme une "victime de l' "Holocauste" donc comme un "exterminé". Il se lamenta : "Hitler nous a
volé la vie par son holocauste et à
présent Rami veut nous voler notre mort puisqu'il
conteste cet holocauste."
c) L'historien pro-sioniste Jörgen Weibull donna le
témoignage suivant : la critique d'Ahmed Rami contre
les juifs était "inspirée par le nazisme et
l'antisémitisme" et "la critique du judaïsme
de Rami concordait tout à fait avec la critique du
judaïsme par Hitler. Par conséquent le livre de
Rami "Vad är Israël ?" devait être interdit
comme avait été interdit "Mein Kampf"
d'Hitler."
Les citations qui étaient selon le professeur
Weibull inspirées d'Hitler étaient en fait des
citations de l'Ancien Testament ainsi que des citations sur
les juifs qui provenaient de Karl Marx, de Jésus, de
Luther, de Voltaire, de Mahomed et d'autres
personnalités et qui avaient été
reprises par Radio Islam. Weibull objecta alors que les
citations anti-juives de Karl Marx avaient été
inspirées par Hitler ! On voit qu'un professeur
d'histoire peut tenir en réserve toutes sortes de
surprises et qu'on peut attendre de lui de nouvelles
connaissances scientifiques fort intéressantes !
d) L'ancien évêque, ami des sionistes,
Krister Stendahl, professeur émérite des
Universités de Boston et d'Harvard. Il fut
appelé de Boston à Stockholm pour
témoigner contre Radio Islam. Stendahl fit valoir
entre autres, que l'interprétation de Rami de
l'Ancien Testament qui faisait partie de sa critique
d'Israël, était fausse et criminelle ; seuls les
juifs possèdent le droit de se définir
eux-mêmes et d'interpréter leur Ancien
Testament !
Suivant cette contre-logique, les nationaux-socialistes
seuls pourraient interpréter leurs propres textes et
expliquer leur idélologie ! L'auto-définition
des juifs ne contient-elle pas aussi le "droit" de
revendiquer la Palestine, d'opprimer le peuple palestinien
et de le détruire si besoin ? Cette
auto-définition des juifs n'est-elle pas
déjà une déclaration de guerre contre
le peuple musulman et un acte d'agression contre les
Palestiniens ?
En tant qu'ancien évêque de Stockholm,
Krister Stendahl affirma que l'écrit de Luther sur
les juifs et ses mensonges, de même que les
thèses qui y étaient exprimées
étaient une honte pour la chrétienté !
Le luthéranien Stendahl se montra pour
l'auto-définition sioniste qui qualifie le sionisme
de "mouvement de libération du peuple juif".
La définition par Radio Islam s'exprime, au
contraire, un tout petit peu différemment : nous
définissons le sionisme comme "une doctrine qui
justifie l'annexion d'un pays étranger". Cette
définition qui ne s'accorde absolument pas avec celle
des sionistes indigna Stendahl
Plus loin, Radio Islam dit que la religion juive
légitime le génocide des Palestiniens qui
représentent une partie du monde arabe et de
l'humanité en général et que le
sionisme est un sous produit raciste, nationaliste et
colonialiste du judaïsme.
Il tend à réaliser un commandement qu'on
trouve dans le judaïsme et ses écritures
saintes, dans la Torah et le Talmud,à savoir :
réaliser dans les faits le "retour", de la "diaspora" dans la "terre promise". Le proverbe "L'an
prochain à Jérusalem" comme les termes "retour", "diaspora", "terre promise" jouent un
rôle central dans la religion juive.
Le plaignant appela Krister Stendahl à Stockholm
pour qu'il puisse prouver que "l'interprétation de
Rami de la bible était inepte !"
La défense produisit deux témoins : le
professeur Jan Hjärpe de l'Université de Lund et le
professeur Jan Bergman de l'Université d'Uppsala. Le
premier dit entre autres, devant le tribunal, que les
points de vue exprimés par Rami apportaient la
position anti-sioniste dans le débat entre la
Palestine et les juifs.
Bergman fit savoir que 6 membres féminins du
parlement de tous les partis représentés au
gouvernement avaient demandé que lui, le professeur
Bergman, écrive la préface d'une nouvelle
traduction suédoise de l' Ancien Testament de
même que ses commentaires sur l'image de la femme dans
la bible juive
Les réactions du lobby juif ne se firent
naturellement pas attendre. Le 2 mars 1990, la feuille juive
"I Dag" écrivit : "Les organisations juives sont
révoltées par cette proposition. Jackie
Jakubowski, rédacteur du journal "Judisk Krönika"
(Chronique juive) dit :
"C'est comme si on demandait aux Nazis d'écrire
un chapitre sur la deuxième guerre mondiale. Le fait
qu'un antisémite du Reichtag soit proposé pour
faire des commentaires sur un des textes les plus
sacrés des juifs constitue une énorme
provocation. Le professeur Bergman a soutenu Radio Islam
durant le procès. Maintenant il s'engage davantage et
reconnaît ouvertement son antisémitisme."
Jakubowski est très bien placé pour faire
de la propagande et pour parler de "révolte" et de
"consternation" ! S'il désigne le professeur
Bergman comme antisémite, c'est totalement inexact !
Il s'agit ici d'une truc éculé utilisé
depuis belle lurette par les sionistes à l'aide
duquel on diffame, faute de meilleurs arguments, les
adversaires des sionistes et ce faisant on occulte la
vérité sur ce qui se passe aujourd'hui en
Palestine. Celui qui dit un mot contre les sionistes et leurs
mensonges dans le monde occidental est tout de suite
estampillé comme "antisémite".
Durant le procès qui m'était
intenté, le gouvernement israélien envoya une
dame haut placée du Mossad,organisation terroriste
d'espionnage, en Suède. Elle s'appelait Hadassa Ben
Itto et devait instruire le plaignant Per Håkan Bondestam
sur les méthodes efficaces à utiliser pour
réduire au silence Radio Islam.
Bondestam qui représentait au procès le
Ministère de la Justice ne fit aucun mystère
de sa partialité scandaleuse puisqu'il avait
participé pendant le procès à un
rassemblement sioniste organisé durant le
congé du 4 octobre 1989 par les politiciens
israéliens au centre juif de Stockholm.
Hadassa Ben Itto révéla après sa
visite en Suède dans une interview accordée
à la radio israélienne qu'elle avait
invité le plaignant suédois en Israël
où il devait participer à un cours sur le "combat contre l'antisémitisme" auquel des amis des
sionistes de toute l'Europe ainsi que des USA avaient
été conviés.
Je protestai clairement conte le fait qu'un plaignant se
soit engagé politiquement durant le procès. Il
rectifia le 5 octobre affirmant qu'il avait seulement voulu
"s'informer". Pourquoi cet individu n'a-t'il visité
aucune mosquée ni aucune ambassade arabe s'il leur
accordait autant de valeur pour "s'informer" ? Pourquoi
n'a-t-on pas envoyé le plaignant en Iran où
il aurait pu s'informer sur la vision islamiste du cas
Rushdie ?
L'accusateur principal s'était laissé
égarer consciemment ou inconsciemment. Par ce fait il
avait perdu son indépendance et entaché son
honnêteté.Il s'était laissé
manipuler par un certain lobby contre un adversaire
politique. De cette manière, le jury ainsi que les
juges ont été mal informés par de
fausses informations qui lui ont été
transmises par la machine de propagande sioniste et la
propagande sioniste les avait transformer en point
d'accusation contre moi
PARAGRAPHES CONTRE
ARGUMENTS
Dans le monde occidental, les sionistes se servent de
différentes lois formulées de façon
nébuleuse et de formules toutes faites comme "incitation à la haîne contre une ethnie" ou
comme en suédois : Hets mot folkgrupp, c'est à
dire "provocation contre un groupe en raison de son origine
ethnique ou raciale" afin d'étrangler toute critique
de leurs objectifs. Dans beaucoup d'états
occidentaux, des lois adaptées ont été
promulguées sous la pression sioniste durant la
période qui a suivi la deuxième guerre
mondiale. Dans pratiquement tous les pays où ils
exercent leur influence, que ce soit à l'Est ou
à l'Ouest, les sionistes ont fait promulguer des lois
conformistes.
Depuis longtemps déjà, les sionistes
avaient ainsi forgé des armes au moyen desquelles ils
pouvaient réduire leurs adversaires au silence. Nous
voyons ici combien le plan concocté dans les
Protocoles des Sages de Sion est scrupuleusement suivi. Des
lois qui musèlent sont votées afin d'interdire
la parole à celui qui oserait critiquer l'état
d'Israël et sa cruelle domination sur la Palestine.
On doit reconnaître sans ambage que les sionistes
mettent en pratique leurs lois d'une façon vraiment
diabolique. Grâce à elles, ils ne font pas
qu'empêcher toute critique à leur encontre mais
comme manoeuvre de diversion, on applique ces mêmes
lois à d'autres minorités sans existence
politique effective tels les tziganes.
Ainsi les sionistes peuvent se poser comme de
véritables humanistes qui sont hors de tout
soupçon de s'adonner à des
préjugés racistes et autres vulgaires parti
pris. Ce sentiment de supériorité des juifs
à ce sujet est psychologiquement de grande importance
pour beaucoup de Goïm.
Voici maintenant un autre coup génial des
sionistes. Ils ont exlu de la protection par leurs lois
antiracistes deux groupes de population : les Allemands et
les musulmans, les Arabes et les Palestiniens. Ainsi le goy
peut se féliciter de son manque d'à priori
envers les juifs et les tziganes et laisser le champ libre
à sa haine envers les Allemands et les musulmans.
Les mass media controlées et dirigées par
les sionistes ont pour mission d'orchestrer la propagande
juive. Nous en avons la confirmation chaque jour sous les
yeux. Jour après jour, nous sommes, par le biais des
media asservies, confrontés à des descriptions
pleines de haine envers les Allemands. Qu'on s'imagine que
ce soient les juifs qui soient présentés de
cette façon dans des films et dans la presse ! Les
employés des PTT devraient faire des heures
supplémentaires pour arriver à endiguer le
flot de lettres de protestations contre la haine raciale
!
On excite de la même manière la haine envers
les musulmans, les Arabes et les Palestiniens.
Le 24 mai 1989, le grand journal suédois "Dagens
Nyheter" donna le compte rendu d'un discours sous le titre
"L'apartheid musulman se propage". L'Islam
représenterait une menace contre notre idéal
d'égalité non encore réalisé et
les musulmans sont décrits comme un groupe
possédant une grande influence politique. "Les buts
qu'ils cherchent à atteindre dépendent du
degré de résistance qu'on leur oppose." Il
s'agit ici d'un bel exemple du "nous" et du "ils"
idéologiques que les sionistes condamnent pourtant
sans relâche.
Plus loin, il est écrit : "La loyauté
religieuse a chez eux une place prépondérante
sur la loyauté envers leur nouvelle patrie." On
reproche aux musulmans leur double loyauté. Qu'on
agisse seulement ainsi vis à vis des juifs, cela
serait qualifié d'ignominie !
Quelle hypocrisie répugnante ! L'article se
termine sur l'affirmation que les musulmans veulent vivre en
Suède selon leurs propres coutumes. Qu'on remplace
dans cette affirmation les termes "musulmans" et "Islam"
par "juifs" et "judaïsme" ! Nous nous trouverions
devant la plainte qui a conduit au procès contre
Radio Islam et mon livre "Vad är Israël ?" (Qu'est-ce
qu'Israël ?)
Où se situe la différence entre mon livre
et celui de Salman Rushdie ? Mon livre critique
l'état oppresseur d'Israël et son
idéologie. Pour cela, il doit, il faut, il est
absolument évident qu'il doit être interdit !
Le livre de Rushdie "Les Versets sataniques" raille les
musulmans opprimés, faibles et humiliés. Pour
cela, il doit être, au nom de la liberté de
pensée, loué et soutenu !
LA GLOIRE FUTURE DE
SION
Après que la Cour de Justice m'ait acquitté
en 1989 pour mon livre "Vad är Israël ?" et qu'elle
ait déclaré au terme d'un procès qui
dura deux mois que les plaintes à mon encontre
étaient irrecevables, les sionistes se mirent en
effervescence avant le procès important qui devait se
passer le 4 septembre 1990 devant le tribunal de l'Oberland
contre ma personne.
Le but principal de ce procès était de
faire taire Radio Islam et moi-même. Les sionistes
voulaient créer un précedent pour
détruire la liberté de pensée sur
toutes les questions concernant la puissance juive et le
sionisme.
Il est totalement impossible de défendre
Israël dans un débat ouvert et libre ! Ma
condamnation devait conduire à ce que les discussions
publiques ne soient autorisées que dans des
conditions dictées par les sionistes. Leur but
était de donner le coup de grâce à la
liberté d'expression et de pensée en
Suède, cette liberté qui les gêne
tellement ! Un débat libre n'admet pas une
concentration des forces politiques, culturelles et
médiatiques dans les mains des seuls sionistes. Une
parole libre est l'ennemie mortelle de la dictature
juive.
Le procès commença comme déjà
dit le 4 septembre 1990 à Stockholm. Il dura 5
semaines et eut un très grand retentissement jusqu'au
delà des frontières de la Suède. Il
n'est pas exagéré d'affirmerqu'à ce
procès, la direction a "été
donnée pour l'avenir de la démocratie en
Suède. Ma condamnation signifiait que les forces
juives qui désirent créer une dictature
totalitaire se heurtaient à peine à une
certaine résistance. Il ne s'agissait pas seulement
de défendre la domination sioniste en Palestine mais
aussi leur pouvoir occulte en Occident et donc en
Suède.
Pour Radio Islam et moi, il ne s'agit pas uniquement de
la libération de la Palestine mais aussi de la
libération de la Suède puisque nous luttons
pour la démocratie, la liberté,
l'égalité et les droits de l'homme pour tous
les citoyens et que nous nous opposons à toute
discrimination.
La liberté de pensée et
l'égalité sont aujourd'hui menacées au
premier chef par la franc maçonnerie dirigée
par les juifs. Les sionistes essaient d'imposer dans le
monde entier le modèle israélien de la "liberté de pensée" sélective et
raciste dont les juifs et leurs complices profitent
exclusivement.
Au procès, il ne s'agissait pas moins que d'exiger
le droit d'exprimer librement son point de vue et de pouvoir
dire la vérité. Personne ne m'a
reproché la diffusion d'informations inexactes. Ma
documentation s'appuie en premier lieu sur ceux qui se
sentent insultés, c'est à dire les
sionistes. Personne non plus n'a soutenu que j'avais
raconté des absurdités sur des questions
vaines. Les thèmes de mon livre sont : le pouvoir des
sionistes comme le conflit du Proche Orient. J'y ai
traité de ces sujets et des questions qui s'y
rapportent. Seuls des gens peu consciencieux pourraient
hésiter à classer ces questions parmi celles
qui sont les plus importantes pour le destin de
l'humanité. Il s'agissait de défendre la
justice, la liberté, la démocratie de
même que le droit des peuples et des gens face
à l'injustice et à la barbarie.
Me suis-je rendu coupable d'autres infractions qui
justifieraient une condamnation ? Ai-je répandu des
choses contraires aux bonnes moeurs ou qui
représenteraient un danger pour l'état ? Ai-je
blessé l'intégrité morale de certaines
personnes ? Non ! Rien de ce genre ne me fut
reproché.
Il s'ensuit que mon unique crime avait consisté
à dire la vérité. J'ai sorti de l'ombre
des documents qui appartenaient aux sionistes eux
mêmes. Pour cela, j'ai été cité
devant le juge ! J'ai osé dire tout haut que le roi
était nu !
Pour trouver quelque chose d'analogue à ce
procès intenté contre moi, nous devons
retourner au temps de l'Inquisition et aux procès de
sorcellerie de la même époque qui eurent lieu
en Europe du Nord protestante.
Comme procès semblable, il y eut le procès
Dreyfuss qui a soulevé des tourbillons sans fin. Ceci
malgres que Dreyfuss était coupable. Ce sont les
juifs - Dreyfuss était juif- qui ont voulu annuler la
première décision puis qui ont fait
traîner le procès jusqu'à
l'acquittement.
Cependant il y a une différence importante : il y
avait alors encore en France des tribunaux libres et avant
tout une presse libre. L'influence des juifs y
était déjà très forte mais elle
était plus cachée au public. Ces
conditions n'existent plus du tout en Occident à
nottre connaissance. Toute la puissance politique,
culturelle, juridique et tout spécialement
médiatique se trouve aux mains des juifs.
Comme exemples vécus en France, on trouve les
nombreux procès concernant l'égalité
des droits menés contre le Professeur Faurisson.
Faurisson est très estimé en tant que
savant et professeur d'Université. Par ses travaux de
recherche, il a prouvé avec une exactitude
scientifique que le journal d'Anne Franck était un
faux grossier. En outre il a démontré que
l'affirmation suivant laquelle les Allemands auraient
planifié la destruction des juifs et auraient
exterminé 6 000 000 de juifs principalement dans des
chambres à gaz était
complèteùment fausse.
Personne ne peut contredire Faurisson d'une
manière purement scientifique. Ses thèse
reposent sur des documents invulnérables. Mais
certains auraient été contents si Faurisson
avait gardé ses connaissances pour lui. Cela
Faurisson ne le fit pas. Il dit publiquement la
vérité. Cela provoqua un chahut de tous les
diables. (au sens propre comme au sens figuré) Les
sionistes firent en sorte qu'il predit sa place à
l'Université. Il fut agressé plusieurs fois
dont une fois si gravement qu'il faillit mopurir, et sa
famille fut accablée de toutes sortes
d'embêtements. Bref, on connaît les
méthodes sionistes ! Bien sûr il fut
trainé plusieurs fois devant les tribunaux. Cependant
en dépit de leurs efforts et de leur grande influence
sur les gens de la Justice, les sionistes
n'arrivèrent pas à faire condamner Faurisson
pour la divulgation de fausses informations. Mais il fut
condamné pour avoir osé divulguer la
vérité.
L' "affaire Faurisson" commença en France fin
1978 et n'est toujours pas terminée. Un aspect
intéressant de l'affaire est qu'aucuh Français
n'est censé ignorer l'Inquisition du Moyen Age ou les
procès en sorcellerie du 17e siècle, le
procès Dreyfuss et les méthodes
utilisées aujourd'hui par les "dictatures". Et pour
cause ! Ces désinformations sont propagées par
les juifs ! Par contre un Français ou un
Suédois même s'il occupe une situation
importante au point de vue social ne connaît rien du
cas Faurisson et du cas Rami. Et pourtant là, il
s'agit de deux procès très importants de notre
époque ! L'explication se trouve naturellement dans le
fait que les sionistes ont créé un blocus
total sur ces affaires dans les medias.
Les medias suédoises ont obéi servilement
aux ordres que leur ont donnés leurs maitres
sionistes. Elles n'ont donné sur les procès
contre Faurisson et Rami qu'une image grossièrement
déformée. Un écrivain sioniste
suédois, Per Wästberg,
marqua au fer rouge Faurisson avec le terme d' "antisémite mal famé".
Pour ce Per Wästberg, il ne
s'agissait pas d'un poète anonyme mais du
président de longue date du Pen Club international
des intérêts des écrivains. Il profita
ainsi d'une organisation très influente pour
répandre ses mensoges sur une personn qui lui
était livrée pieds et mains liées.
Ahmed Rami
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