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LIVRE

La domination juive
Par:
Ahmed Rami

PREFACE
Par: Gerd Honsik

J'ai appris à connaître Ahmed Rami dans la demeure de l'ancien Major général, âgé de 82 ans, Otto Ernst Remer, lors de son exil en Andalousie, à Marbella.

L'amitié pleine de respect mutuel qui unissait ces deux hommes si dissemblables, paraissait une contradiction de prime abord : d'un côté, l'officier allemand de la deuxième guerre mondiale, âgé, décoré de la récompense suprême, la Ritterkreutz, aux feuilles de chêne, car il fut blessé 11 fois et connut 48 jours de combat au corps à corps, de l'autre, le jeune ancien lieutenant des panzers de l'armée marocaine.

D'un côté, le soldat de métier allemand, sorti tout droit de la tradition prussienne, qui a surtout à son actif d'avoir fait échouer un putsch contre son Führer Adolf Hitler, le 20 juillet 1944 ; de l'autre, l'ancien lieutenant de panzers, Ahmed Rami, fils d'un Imochar berbère, très pauvre, - il ne possédait qu'une vache et 4 moutons - mais fier, qui, jeune officier attenta à la vie du roi du Maroc, Hassan II, le chef de l'Etat, comme autrefois Guillaume Tell attenta à la vie de son bailli.

Mais après avoir réfléchi, je trouvai que ces deux hommes si différents dans leurs personnalités apparentes étaient animés par un idéalisme intransigeant, sans nul égard pour les règles du jeu matérialiste de la société occidentale, blindés également contre ses tentations, chevaleresques et prêts à tout moment à se mettre au service du Bien comme le fit jadis un don Quichotte. Et prêts à offrir leur vie pour la cause de leur peuple.

Une solide conception de l'honneur déterminait leurs actes, à tous deux. Tous deux voulurent servir leur peuple. L'un en 1944, l'autre en 1972. Remer avait conscience, le 20 juillet 1944, que la grande majorité du peuple allemand s'était rangée derrière Hitler. Le régime avait donc été fondé légalement.

Ahmed Rami, en 1972, était convaincu que le roi du Maroc n'était qu'une marionnette de la puissance coloniale française et de la CIA, qui exerçait sans pudeur un pouvoir tyrannique contre la volonté de son peuple. Le pouvoir de l'Etat était de ce fait illégitime.

Aussi l'un défendit son Fürher lorsque celui-ci fut attaqué et l'autre, attaqua le chef d'Etat dont il avait reçu l'ordre d'assurer la défense. Et cependant tous deux ont agi en vertu d'un même motif : l'amour de la patrie !

Et l'on peut dès maintenant tirer le premier enseignement de ce livre :

Il existe des circonstances qui lient un soldat à son devoir de fidélité envers le chef de l'Etat et d'autres circonstances qui l'obligent au contraire à se révolter contre celui-ci.

Car un soldat, comme n'importe quel citoyen, doit d'abord être au service de son peuple. (démocratie signifie : autorité du peuple). Et par conséquent le pouvoir exécutif de l'Etat tient sa légitimité, de façon naturelle, du peuple car celui-ci est souverain.

Lorsque le gouvernement, en effet, se dresse contre le peuple, la résistance devient un devoir pour chaque citoyen et en priorité pour le soldat.

D'où, si un gouvernement agit au détriment de son peuple dont la souveraineté est bafouée par la ruse et la duplicité, qu'il cherche à le frustrer de ses intérêts, à le dépouiller de l'exclusivité de son territoire ou qu'il cherche à le détruire par d'autres moyens, la défense commune du pays concerné oblige à la résistance à l'encontre d'un un tel gouvernement. Un gouvernement criminel de cette espèce, s'il existe, doit être renversé par un soulèvement brutal de la force militaire et doit être traduit en justice.

Et ceci constitue le deuxième enseignement de ce livre :

A une époque, où l'ordre mondial américain a déclaré universellement la guerre et a détruit au moyen de son système monétaire, de ses trusts médiatiques la reconnaissance des frontières nationales comme des frontières des peuples aux peuples d'Afrique, d'Europe et d'Asie, nous devons, nous, Allemands, reconnaître ceci : nous ne sommes plus capables de nous libérer tout seuls : la révolte de l'ensemble des nations et des démocraties (gouvernements du peuple) pourra seule y mettre obstacle.

Nous devons faire nôtres, les droits des Albanais, des Tibétains, des Hutus, des Tutsis, des Apaches, des Croates et des Palestiniens, faire de leurs revendications, une affaire allemande. Et les hommes des autres pays deviendront nos alliés naturels puisque notre droit à nous sera considéré aussi par eux comme le leur.

Jamais la haine, la violence ni l'épuration ethnique n'ont été engendrées par la reconnaissance du droit légitime des peuples à disposer d'eux-mêmes mais bien par la négation de celui-ci.

L'impérialisme américain est seul responsable de cette guerre totale séculaire menée contre le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes.et la souveraineté des nations ;il écrase par son système totalitaire malfaisant non seulement son propre peuple mais par le contrôle des flux monétaires, avec l'aide de ses médias, au moyen de ses troupes d'intervention, il constitue un danger permanent pour les démocraties du monde entier.

Ce danger qui est naturellement universel doit être combattu universellement.

L'homme blanc, l'homme noir, l'homme jaune, l'homme rouge doivent s'unir dans le monde entier contre la dictature de l'Argent !

Ce qui arrive aujourd'hui nous concerne tous.

Ahmed Rami est un combattant pour le droit des citoyens. Il est un ami des Allemands. Venu des déserts de pierre des montagnes de l'Atlas,il s'est engagé dans le combat pour le droit des Palestiniens autant que dans le combat pour la liberté de pensée en Allemagne. Il doit être notre exemple s'il s'agit d'être artisan d 'une union de tous les peuples qui dépasse les races et les religions contre la mondialisation.

Ahmed Rami a sans cesse élevé la voix en faveur des prisonniers et des persécutés politiques, pour Faurisson, pour Remer, pour Walendy, pour Deckert, pour Kemper, pour Lachout et tant d'autres.

Mais prenons tout de suite connaissance de son discours simple et clair, comme le Coran.

Comme la source aussi à laquelle, jeune pâtre, il s'est désaltéré !

Ecoutez l'histoire du petit garçon aux pieds nus qui est venu des gorges de l'Atlas et qui portant son message, est parti sur les routes vers Casablanca pour apprendre à lire.

Celui qui sortit du dénuement pour devenir un combattant incorruptible pour la liberté et dont la voix sortie de l'exil redonna l'espoir à son peuple.

Parle à présent, mon Ami, Ahmed Rami, fils d'Imochar !

Gerd Honsik,
( Ecrivain autrichien )
 
 



Qui est Ahmed Rami ?
Par:
Magdy Hussein

Ahmed Rami, correspondant pour l'Europe de l'ALSHAAB, est un combattant islamiste d'origine marocaine. Sa vie est en beaucoup de chose typique de sa génération. Il fut accusé de complicité lors d'un putsch raté en juillet 1971 contre Hassan II. A cette époque, Rami était officier dans l'armée marocaine. Il fut condamné à mort mais put s'enfuir à l'étranger. Il fait partie des admirateurs de l'Egypte de Nasser. Rami ne vit pas seulement en Suède aujourd'hui cependant il est devenu citoyen suédois. Dans sa nouvelle patrie, il a créé la station émettrice Radio Islam.

Ahmed Rami voit dans l'Islam le moyen d'unifier les nations arabes. Encore aujourd'hui il continue à avoir la plus grande estime pour l'époque de Nasser. Mais malgré toutes ses passions pour le passé, son regard est pourtant tourné vers l'avenir. Selon lui, l'avenir appartient au mouvement islamique et il fait siennes les idées du parti d'action islamique égyptien. Il travaillera à partir d' aujourd'hui pour notre journal comme correspondant pour l'Europe. Nous l'accueillons avec joie dans les rangs des collaborateurs du ALSHAAB.

Ahmed Rami accomplit en Suède un travail extraordinaire. Pratiquement seul, il lutte là-bas contre l'infiltration sioniste. Rami utilise sa radio émettrice Radio Islam à partir de son logement exigu de 20 mètres carrés (le poste est provisoirement hors d'action pour des raisons financière). Il ne veut pas louer un plus grand appartement car il songe à retourner au Maroc ou dans un autre endroit de sa patrie arabe.

Sous sa plume sont nés quatre livres volumineux en langue suédoise qui démasquent les sionistes. Ce sont des chrétiens suédois qui ont financé leur impression ! En Suède, tout le monde connaît Ahmed Rami. Ses opinions politiques sont discutées au Parlement et jusque dans le Gouvernement suédois ! Sans doute, les organisations juives ont réussi à porter plainte contre lui pour cause de ce que l'on appelle l'antisémitisme et à le faire emprisonner durant six mois. Mais pendant sa détention, il a organisé les émissions de Radio Islam à partir de sa cellule !

Il quitta la prison, devenu combattant convaincu de la résistance antisioniste. Aujourd'hui, il poursuit son combat comme correspondant au sein de l'ALSHAAB. Que Dieu le bénisse et le protège ainsi que tous qui comme lui oeuvrent pour la prospérité de notre nation !

Magdy Hussein,
( Rédacteur en chef du journal égyptien ALSHAAB )



 

La domination juive
Par: Ahmed Rami


De l'Etre du Sionisme

Le sujet qui est traité dans ce livre est tabou en Suède, comme aussi dans d'autres pays occidentaux : le sionisme, la juiverie et l'état juif d'Israël avec sa fausse démocratie. A cet ensemble de tabous, les média n'osent pas toucher et il n'existe aucun débat public sur ce sujet. Ceci découle des faits suivants que chacun de nous connaît bien.

Nous pouvons critiquer et condamner l'enseignement chrétien, le capitalisme et le marxisme selon notre bon plaisir. Nous pouvons mettre au pilori l'ordre social de l'URSS, des USA et de l'Afrique du Sud. Nous pouvons faire un battage médiatique sur l'anarchie ou la monarchie et toute chose semblable sans risquer davantage qu'une réponse par une polémique ou une discussion.

Cependant pour notre sujet, il n'existe aucune liberté de pensée : si on analyse les fondements du sionisme et qu'on remet en question son idéologie comme sa domination sur la Palestine, on viole un tabou établi. On a fait quelque chose d'indécent, de criminel même. On n'est plus alors invité à des séminaires de réflexion politique mais bien invité à comparaître devant le tribunal de l'Etat.

En tant qu'antisioniste démocratique, on n'est pas seulement personnellement diffamé et accablé par des accusations insensées mais on encourt le danger d'entrer en conflit avec la justice et d'être traîné devant le Cadi comme un malfaiteur. En outre on est traité de fou et de menteur.

La critique légalement admise dans chaque démocratie pour un adversaire politique devient ici quelque chose d'infamant, de méchant et pratiquement, de criminel. Paradoxalement, on est accusé de trahir la démocratie, on s'est dressé contre cette démocratie qu'on veut cependant exercer en paroles et en actes.

Le sionisme est en fait un phénomène anti-démocratique autant dans sa théorie que dans sa pratique : il est extrêmement chauvin, raciste et exerce une pure violence contre un autre peuple, ainsi il occupe la Palestine au nom de la sécurité du peuple juif et oppresse la population qui y est depuis longtemps établie.

L'auteur de ce livre peut dire un brin à ce sujet vu sa propre expérience sur ce qui arrive à un critique de la puissance sioniste. Il a été poursuivi en justice pour "incitation à la haine raciale" et il se trouve en but à des diffamations continuelles. Dans la presse, on le désigne comme "un antisémite enragé", comme fidèle adepte des bourreaux antisémites nazis et par tous les noms les plus aimables qui soient !

Le fait que quiconque examine d'un oeil critique l'idéologie humanitaire raciste des sionistes et l'état d'occupation d'Israël, veut "exterminer les Juifs", est devenu un refrain de la propagande monstrueuse sioniste qui revient constamment, un mensonge qui est gobé par la plupart des journalistes et auteurs.

On se croit revenu plusieurs siècles en arrière à l'époque des croisades ou des grandes guerres de religion lorsque, non seulement des personnes innombrables, mais aussi des peuples entiers étaient emplis de fanatisme religieux et voyaient dans chaque "incroyant", "hérétique" ou "papiste", une incarnation de Satan qu'il fallait exterminer sans pitié soit en le convertissant par la torture à la "vraie foi" soit en lui coupant simplement la tête.

Comment tout cela est-il possible à notre époque qualifiée cependant si volontiers de siècle des lumières, dans laquelle la raison est reine et qui place la science si haut dans l'échelle des valeurs qu'on est sûr qu'elle pourra résoudre tous les problèmes et tous les conflits !

Pourquoi justement un état déterminé, en l'occurrence l'Etat juif d'Israël avec l' idéologie qui le sous-tend, le sionisme qui est sanctifié par l'Ancien Testament (dont les fondements sont la reconnaissance du Peuple élu et l'espoir de la Terre promise), est-il devenu sacro-saint et exclu de toute critique ? En vertu de quoi Israël et le sionisme (un mouvement d'occupation) sont-ils intouchables comme une vache sacrée ?

En vérité une telle mise au point ne doit-elle pas s'allier à une vision politique claire, nécessaire pour trouver des solutions constructives au conflit palestinien ? Et comment tout ceci s'accorde-t-il en particulier, avec la liberté de pensée démocratique et avec le principe de la dignité humaine qu'on estime tellement comme contrepoids aux conceptions totalitaires et au plat conformisme intellectuel ?

Ce sont ces questions difficiles qui sont traitées dans ce livre. Je remercie très cordialement tous les amis qui m'ont aidé à rassembler des faits de même qu'à les exprimer correctement. Sans leurs conseils éclairés et leur soutien, ce livre n'aurait pas vu le jour. Ma gratitude va aussi à ceux qui ont accepté de se mettre à ma disposition pour des interviews avec Radio Islam et qui ont contribué ainsi à un débat constructif.

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Dans un compte rendu publié par l'Internationale socialiste au sujet de l'anti-sémitisme en URSS on trouve un article d'un journal soviétique, dans lequel on peut lire ce qui suit :

"Le sionisme constitue un empire invisible, mais fort et puissant de gens de la finance et de l'industrie, un empire qu'on ne peut montrer sur aucune carte mais qui existe bel et bien et qui opère à travers le camp capitaliste. Des sionistes - les juifs des USA - possèdent à eux seuls 80% des organismes d'information locaux et internationaux."

A peu près au même moment, Sigbert Axelson écrivait dans le cahier du Forum Chrétien :

"Les sionistes gouvernent les médias de tout le monde occidental et ils possèdent une hégémonie assurée dans ce domaine. Ils travaillent avec acharnement à empêcher que le large public soit informé objectivement et ils y arrivent habituellement."


Dans un livre récemment paru de l'ancien correspondant Nahost du quotidien Nyheter Ake Ringberg, qui porte comme titre "Du sang à Beyrouth", l'auteur écrit au sujet de la minorité juive des USA : "Le pouvoir installé des juifs est une menace pour la liberté de pensée et la libre circulation des informations et cette menace s'exprime par des assassinats, des menaces de morts, des incendies provoqués, des diffamations, l'interdiction de réunions, etc."

Radio Islam a dénoncé ce fait par ces mots : La propagande sioniste a pris sous son contrôle les médias les plus importants. Ceci stipule des mesures soigneusement orchestrées :

"Les sionistes tiennent entre leurs mains presque toutes les industries cinématographiques américaines, la télévision, la presse ainsi que les éditions de livres, et toutes leurs productions sont répandues dans le monde entier. En Suède aussi, les sionistes ont placé leurs disciples dans le but d'acquérir des positions stratégiques sûres au sein de la police de la pensée."

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Mais nous devons savoir que la force d'Israël réside dans notre faiblesse. Les régimes politiques qui règnent dans nos pays peuvent être comparés à des organismes morts, nos gouvernants sont politiquement finis.

Et, au lieu d'abdiquer dans l'honneur, ils se cramponnent au pouvoir et tentent d'entraîner malgré eux leurs peuples dans l'abîme.

Tout d'abord, il nous faut vaincre le despotisme, la décadence et la corruption dans nos coeurs et dans nos peuples !

Au lieu de baisser les bras, nous devons travailler sérieusement pour créer des conditions économiques, politiques, militaires et sociales nécessaires à la victoire de la Justice !

L'avenir appartient aux forces de l'Islam. Le Hezbollah, le Hamas, la Djihad sont autant de réponses de l'Islam au défi sioniste.

L'Islam a commencé au 6e siècle en tant que mouvement culturel et spirituel contre les super puissances de l'époque.

La force militaire de l'Islam s'est accrue en proportion de sa force spirituelle.

Aujourd'hui, capituler devant l'arrogance juive n'est pas une solution. C'est trahir les générations futures.

Même si nous ne pouvons pas aujourd'hui créer les conditions de la victoire, ne soyons pas cependant nous-mêmes les instruments de notre défaite. Le pire que nous puissions faire est de capituler sans résistance.

Chaque "solution" extorquée par la violence, chaque "paix" (capitulation !) seront rejetées par les futures générations.

La seule solution à la question palestinienne réside dans le retour du peuple palestinien dans sa patrie.

 

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Le sionisme consiste donc en un empire invisible mais gigantesque et puissant de gens de la finance et de l'industrie, un empire qu'on ne trouve sur aucune carte du monde mais qui n'en existe pas moins et qui opère partout dans les camps capitalistes. Des sionistes, les Juifs des Etats-Unis, possèdent 80% des organismes d'information locaux et internationaux.

Ce livre est une critique de notre pensée politique habituelle. La réalité qui se cache derrière la façade "démocratique" est-elle autre chose que la conception du monde inculquée à travers les mass média ? D'après l'auteur, nous vivons déjà sous la dictature camouflée de véritables multimilliardaires sionistes, bien réels, qui par leur contrôle sur l'industrie de la pensée exercent un pouvoir terrible et conspirent à mettre l'humanité en esclavage dans un "Nouvel Ordre Mondial" totalitaire. Le système politique tout entier des Etats-Unis, par exemple, se trouve déjà sous l'autorité des sionistes et ce pays peut être considéré comme rien de plus qu'une colonie d'Israël ! Comme jeune officier des Panzers au Maroc, Ahmed Rami, au début des années 70, prit part à deux essais de renversement de la dictature royaliste corrompue et il dut fuir à l'étranger. Il est aujourd'hui citoyen suédois et il poursuit son combat consciencieux et déterminé comme militant islamiste pour libérer l'humanité et instaurer la justice sociale.

 

LE GENOCIDE PALESTINIEN

Le "débat" passionné, voire virulent sur le conflit palestinien continue de plus belle.

Pourtant un observateur attentif constatera qu'il s'agit là d'un débat étrange, voire fantômatique, conduit par les amis d'Israël et qui porte en majorité sur la crise interne d'Israël. Ceux là se demandent comment Israël pourra résoudre au mieux ses problèmes intérieurs pour pouvoir survivre en tant qu'état juif.

Les Palestiniens dont les immigrations sionistes venues de tous les coins du globe ont volé la patrie et qui voient s'installer partout la plus grave des usurpations, ne jouent pratiquement aucun rôle dans les débats médiatiques. Ils constituent une masse impersonnelle, sans visage : des jeunes gens, et parfois même des femmes d'âge moyen qui jettent des pierres ; l'un ou l'autre vieillard mélancolique qui parle de sa petite ferme, des légumes et des oliviers que sa famille et lui-même possédaient autrefois, mais qu'ils ont perdus depuis longtemps parce qu'ils doivent habiter, comme des étrangers, dans un des camps de réfugiés abandonnés par la Providence.

Lors des émissions télévisées ou autres comptes-rendus médiatiques, on ne rencontre parmi les Palestiniens aucune forte personnalité, au caractère ardent, à l'exception de Yasser Arafat, présenté comme le Chef des Palestiniens, qui joue, hélas, un rôle de dupe, qui passe la majorité de son temps à voyager, qui doit fournir son lot de déclarations, et qui semble vivre dans un monde abstrait coupé de la réalité.

Les Palestiniens forment un peuple de 5 millions de personnes, comprenant beaucoup de diplômés universitaires, des gens compétents, hautement qualifiés, des écrivains et des publicistes parmi lesquels on trouve des personnalités riches et passionnées pour la cause de leur peuple. Dans les médias suédoises, ils deviennent une masse anonyme.

Quel contraste étrange avec les juifs d'Israël et des autres pays ! Ceux-ci sont présentés comme formant un peuple qui a souffert d'une manière indicible au cours de son histoire sans qu'il y ait eu faute de sa part et qui a subi toutes les persécutions imaginables ! En plus, ils sont présentés comme doués d'une façon singulière, souvent comme des génies, en quelque sorte comme les joyaux du genre humain ! Cette image des juifs est tout à fait conforme à la représentation d'un Peuple élu par son Dieu.

Ce que les écrivains israélites éprouvent et pensent possède toujours une importance exceptionnelle. On accorde la plus grande attention à tout ce qu'ils disent de leurs souffrances psychologiques et sur l'âme d'Israël car l'âme d'Israël n'est-elle pas enfin de compte l'âme de toute l'humanité ?

Personne par contre ne s'intéresse aux auteurs palestiniens.

On peut en déduire ceci : le peuple palestinien est condamné à mort. Car un génocide ne consiste pas seulement en la destruction physique des membres d'un peuple déterminé car celui-ci peut continuer à vivre, tant qu'une partie de lui survit, tant que survivent son âme, ses traditions, son acquis spirituel. Les juifs se plaignent sans arrêt d'avoir subi un "Holocauste".

Ceci est d'ailleurs sujet à caution dans tous les sens du terme. La plus grosse majorité de la juiverie mondiale a trouvé refuge durant la deuxième guerre mondiale en Amérique, dans le Comonwealth, en Union Soviétique, derrière le front, et n'a pu de ce fait être victime d'un "Holocauste". Même une grande partie des juifs résidant dans les territoires allemands a survécu à la guerre. Et parmi ceux-ci des centaines de milliers de détenus des fameux camps.

Nahum Goldmann, président durant de nombreuses années du Congrès juif mondial, a écrit dans son livre "Le paradoxe Juif" éd. européennes, 1978, p.263, qu'il y avait, après la guerre, 600 000 anciens détenus encore en vie. Comment tout cela se concilie-t-il avec la thèse que les Allemands auraient planifié la destruction totale des juifs?.

Mais surtout : le patrimoine culturel juif et les traditions juives n'ont pas seulement survécu, elles se sont même renforcées après la guerre et elles exercent une influence prédominante surtout aux E.U et naturellement en Palestine, territoire volé par les sionistes aux Palestiniens.

Certes, les juifs ont subi des contraintes dures et contraignantes sous le pouvoir national-socialiste mais ils n'ont subi en aucune manière un génocide. Par contre, et là se révèle la tragique ironie du destin, ce sont eux qui par leur idéologie meurtrière perpètrent le génocide des Palestiniens. Et ceci pas seulement parce qu'ils les chassent de leur pays mais aussi parce qu'ils humilient les ressortissants du peuple palestinien qui sont restés, de toutes les façons imaginables.

L'Etat d'Israël et tous ses propagandistes dans le monde occidental, y compris en Suède, se rendent coupables envers les Palestiniens d'un génocide sournois, mais réel parce qu'ils anéantissent leur âme. Ils réduisent les Palestiniens, par leur propagande médiatique à une masse impersonnelle au sein de laquelle il est impossible de discerner l'âme d'individualités fortes et puissantes, représentatives de leur peuple.

A bon droit, beaucoup se sont soulevés contre la prétention fallacieuse d'Israël de vouloir récupérer les territoires que les Palestiniens ont occupés durant un ¼ de siècle en Jordanie occidentale et dans la bande de Gaza. Une indignation plus vive encore se manifeste à l'encontre des interventions brutales de l'armée israélienne contre la population civile sans défense qui souffre les pires exactions : beaucoup de Palestiniens ont été assassinés de sang froid et vraisemblablement des dizaines de milliers ont été ou blessés ou estropiés. Des femmes enceintes ont été maltraitées si durement qu'elles ont avorté. A cela s'ajoute le fait que les Palestiniens qui vivent sous l'occupation israélienne, sont obligés de vivre d'une façon permanente dans la crainte et la peur. Ce qui entraîne inévitablement un regain de haine envers Israël et les juifs. Comprendre cela nous est difficile car nous n'en avons connaissance qu'indirectement et que nous ne le vivons pas nous-mêmes.

Les exactions inhumaines d'Israël contre la population civile palestinienne ont été mises en évidence par des documents télévisés et elles sont si brutales que l'on ressent une très grande émotion en les regardant et que l'on regrette profondément de ne pas pouvoir s'y opposer. Mais peu de personnes se rendent compte de la campagne de destruction culturelle plus néfaste encore, que mènent les sionistes. En Occident, de même qu'en Suède, les médias tuent en quelque sorte l'âme palestinienne qui est, consciemment ou non, l'essence de la personnalité de ce peuple. Elles les présentent comme une masse stupide envers laquelle on ne peut éprouver qu'une émotion passagère, mais à laquelle personne ne peut s'identifier. Enlever à un homme sa personnalité, son âme, c'est le tuer. Priver tout un peuple d'un défenseur fort et vivant, c'est lui voler son âme et ainsi le réduire à néant.

Rappelons-nous pourtant celle que les médias occidentaux appelaient : "Mère Courage". Golda Meir a dit un jour "Il n'y a pas de Palestiniens". Une telle négation de l'existence d'un peuple auquel Golda Meir et consorts ont volé son pays, constitue un génocide au sens spirituel du terme. Un peuple accapare les terres d'un autre peuple et affirme ensuite que cet autre peuple n'a jamais existé ! Derrière cela se cache l'intention évidente de faire le raisonnement suivant : puisqu'il n'existe pas de Palestiniens, les sionistes ne pouvaient pas leur prendre leur pays, ils n'ont pas pu expulser en 1948, 750 000 Palestiniens et ils ne peuvent pas opprimer ceux qui sont restés !. Il n'y a pas de Palestiniens : ce sont de purs fantômes, non des êtres humains qui embarrassent le Peuple élu, dans le pays du Peuple élu, en Palestine où les sionistes ont érigé leur état d'Israël

Israël signifie d'ailleurs : le peuple qui lutte pour moi, son Dieu. On peut le vérifier dans la Torah, au premier livre de Moïse, chapitre 32, versets 24 à 28.

Réfléchissons à nouveau à cette chose incroyable : l'ancienne premier ministre, Golda Meir pour qui il n'existe aucun peuple palestinien, fut adulée au delà de toutes mesures dans le monde occidental et pas seulement ici en Suède. N'était-elle pas l'incarnation même de la figure type de la Mère juive, une combattante indomptable pour Israël et les juifs du monde entier ?

La regrettée Golda Meir, la joyeuse et espiègle Golda Meir, la courageuse combattante pour la justice sociale qui naquit en Russie, qui échangea son nom pour celui de Golda Meir aux USA, qui a avidement saisi l'idée sioniste sublime d'un Etat juif, qui a travaillé avec zèle dans un kibboutz et qui si désintéressée, rejoignit le mouvement des Travailleurs israéliens !

A la télévision américaine, un film fut tourné sur la vie de Golda Meir, un film émouvant, en plusieurs épisodes. Un film dans lequel Ingrid Bergman avait le rôle principal. Lors d'une interview, Ingrid Bergman exprima toute l'émotion et toute la gratitude qu'elle éprouvait à avoir pu jouer le rôle de Golda Meir !

C'est ainsi qu'agit la propagande sioniste : elle exalte les juifs en les présentant comme des gens chaleureux, luttant avec honneur, tandis que les Palestiniens comme tous les Arabes d'ailleurs - ne sont ni grands, ni bons, ni nobles ! Ils ne sont, comme nous l'avons déjà mentionné, qu'une masse anonyme, ou bien on nous les dépeint comme des politiciens cruels, intrigants, constamment en train de se quereller, à la peau sombre et au caractère douteux.

Sinon, ils sont des émirs du pétrole, des princes roulant dans de somptueuses Cadillac de luxe et à l'arrière plan, avec un harem qu'on ne peut montrer concrètement, des gens richissimes, mais des types avec lesquels il ne fait pas bon frayer !

Des personnalités palestiniennes ? Existe-t-il seulement quelque chose de semblable ? Dans les médias occidentales, vecteurs de la propagande sioniste, les Palestiniens représentent une partie du monde arabe qui nous est présenté comme une meute sauvage ou comme un rassemblement de vieillards priant dans une quelconque mosquée sombre.

A travers ces images médiatiques, on ne peut reconnaître les Palestiniens tels qu'ils sont : un peuple indépendant, et encore moins un peuple grand et tragique. Et c'est justement ce qu'a pour but ce génocide planifié par les sionistes envers les Palestiniens.

 

LE SIONISME EN THEORIE ET EN PRATIQUE

L'Etat d'Israël est basé sur une doctrine, une idéologie que l'on nomme sionisme. Sans le sionisme, pas d'Israël ! Les juifs ne sont pas installés depuis longtemps en Palestine. L'Etat d'Israël qui a vu le jour en 1948, se situe en territoire arabe là où des Palestiniens vivent depuis des temps immémoriaux.

En l'année 1917, les juifs ne représentaient que 4 % de la population du pays. Par la force des armes et le terrorisme, quelques 750 000 Palestiniens furent expulsés, ce qui représente la moitié de l'ancien peuple palestinien. A leur place vinrent s'installer des immigrants juifs, venus en majorité d'Europe.

Cette immigration avait fortement débuté avant la création de l'Etat d'Israël et elle continua ensuite de plus belle. A partir de ce moment, les Palestiniens restés au pays ont été systématiquement dépouillés de leurs droits et ont été opprimés sans scrupules par les occupants israéliens. Aujourd'hui, il existe environ 5 millions de Palestiniens dont 2,5 millions vivent sous occupation étrangère et 2,5 millions en exil.

L'Etat d'Israël fut reconnu par l'ONU sans tenir compte de l'avis des Palestiniens et en méprisant toutes les protestations qui se firent entendre du côté arabe. Pourtant, l'ONU ne possédait en aucune manière le droit de donner à un autre peuple, un pays ou une partie de pays possédant déjà une population. De toute évidence, l'ONU a outre passé ses compétences lorsque ses états membres, sous la pression américaine, reconnurent l'Etat juif d'Israël par un scrutin (se terminant d'ailleurs par un score très serré). Plus tard, les Nations Unies dénonceraient d'ailleurs le sionisme comme une forme de racisme !

Cet Israël reconnu par l'ONU, état basé sur le plan de répartition de 1947, englobait 57 % du territoire palestinien. La partie restante fut laissée aux Palestiniens. Cependant, plus tard, Israël accapara le territoire entier palestinien lors d'une guerre menée contre les états arabes voisins. Israël a de plus annexé la Jérusalem orientale et les hauteurs du Golan après la Guerre des 6 Jours lors de laquelle il s'empara aussi de la Bande de Gaza et de la Cisjordanie.

Ces territoires furent soumis à l'administration militaire israélienne et près d'une centaine de milliers de colons juifs ont créé là leurs propres implantations. Le plan d'Israël est d'annexer progressivement ces territoires. C'est pourquoi les colonies d'implantation se multiplient de plus en plus et de toutes les manières possibles, les Palestiniens sont expulsés de leur pays comme on avait déjà procédé auparavant lors de la création de l'état d'Israël.

L'état juif a non seulement volé leur pays aux Palestiniens au moyen d'une politique d'expropriation sans scrupules mais de plus, il méprise l'opinion mondiale et n'accorde aucune valeur à la condamnation par l'ONU et les organisations internationales. En moins d'un demi-siècle d'existence, Israël a mené 5 guerres, a bombardé sans interruption des camps de réfugiés, a tué 100.000 Palestiniens chrétiens et musulmans et a humilié un milliard de musulmans.

Israël est un petit état, mais il représente un danger pour l'humanité car il possède des armes nucléaires parfaitement mises au point, et il dépend totalement des milliards de dollars qu'il reçoit chaque année, surtout des Etats Unis. Les Américains sont concernés eux aussi puisqu'ils mettent à la disposition de ce pays les armes les plus sophistiquées. Comment tout cela est-il possible ?

La réponse à cette question est claire et nette : le sionisme ! La source de la toute puissance du sionisme, sa force, réside dans le judaïsme, la foi juive en l'Ancien Testament.

Quelques lignes suffiront à démontrer la justesse de cette assertion :

1. Les juifs sont le peuple choisi par leur dieu entre les autres peuples. (2. Moïse 15 : 16-21)

2. les juifs ont reçu de leur dieu le droit d'occuper le pays des autres peuples du Nil jusqu'à l'Euphrate. (1. Moïse 19 : 5-6)

De ce fait, la création d'un grand état d'Israël est légitimé par leur dieu. Ceci explique pourquoi l'état d'Israël n'a jamais entériné un traité concernant ses frontières. Israël est avide de toujours plus de conquêtes et mène dans ce but une politique d'expansion tout à fait déterminée. Selon Moshe Dayan, les frontières d'Israël se trouvent là où parvient son armée !

3. Les juifs ont reçu de leur dieu le droit d'exterminer les autres peuples qui habitent le territoire qu'ils revendiquent ou bien de les chasser ou de les réduire en esclavage. (5. Moïse 7 : 1-9, 16) Bien entendu ils ont aussi le droit de prendre possession des propriétés de ces peuples dans le pays que leur dieu leur a promis. (5. Moïse 6 : 10-19)

Conséquemment à ce droit, pour les sionistes dont le livre saint, la Torah, a valeur de loi (plus le Pentateuque de Moïse) les scrupules moraux les plus infimes n'existent pas à l'égard des autres peuples. Ceux-ci n'existent que pour les servir et doivent se soumettre à eux. Dans le chapitre du livre d'Isaïe, qui porte le titre de "La Royauté future de Sion", le prophète dit :

"Les étrangers bâtiront tes murailles et leurs rois te serviront (...) Tes portiques doivent être toujours ouverts, n'être fermés ni le jour ni la nuit, car la richesse des nations te sera apportée et leurs rois te seront livrés. Si ces nations ne veulent pas te servir, ils doivent mourir et leurs peuples doivent être exterminés." (Isaïe 60 : 10-12)

 

LE CODE MORAL DES SIONISTES

La Bible est-elle vraiment si sacrée pour l'état moderne d'Israël et le sionisme ?

Finalement, le sionisme n'est - il pas un courant fondamentalement religieux s'appuyant sur la Bible et non un mouvement politique national juif qui, né à la fin du 19e siècle, se développa à une époque où fleurissait le nationalisme européen en général ?

On trouve la réponse à cette question lorsque l'on étudie les documents du professeur Israël Shahak dans "Le livre du terrorisme sioniste" qui fut publié en octobre 1975 en langue hébraïque, en Israël. Trois des chapitres les plus importants ont été traduits en anglais par Israël Shahak lui-même. Cet ouvrage de 123 pages porte le titre "Begin and Co. as they really are" ; il parut en septembre 1977, en Israël lui aussi.

Voici quelques extraits particulièrement instructifs :

Le rabbin Tzwi Hacohen Kook est un des rabbins les plus importants et les plus influents en Israël et dans le monde entier. C'est ce qu'affirme du moins le professeur Israël Shahak un éminent défenseur des droits de l'homme israélien. Ce que dit le rabbin Kook a énormément d'importance dans le cercle des officiers supérieurs israéliens. Le 31 décembre 1973, parut dans Haaretz, une des déclarations publiques du rabbin Kook :

"Laissez-moi vous citer le début de Josué 4 ; 24 : Tous les peuples doivent reconnaître quelle est la puissance de la main de Yahvé...Ce pays nous appartient, absolument, totalement. C'est un héritage sacré de nos ancêtres, de notre père Abraham, de notre père Isaac, de notre père Moïse".

Le rabbin faisait allusion aux extraits du livre 1. de Moïse : 12 : 7, 13 : 5, 13 : 7, 15 :18, 17 : 18, 35 : 12, ainsi qu'au livre 2. de Moïse 6 : 8, et 32 : 13)

Pour cette raison, il est clair une fois pour toutes, qu'il n'existe pas ici quelque chose qui puisse être un territoire arabe ou un pays arabe. C'est un ordre de Yahvé donné à nos ancêtres pour notre vie et notre sainteté." (le rabbin se référait au psaume 102 :14 et au psaume 46 : 12.)

Il est reconnu généralement que nous n'avons pas chassé les Arabes de leurs demeures situées dans notre patrie qui nous appartient, dans le pays de nos prophéties,de nos royautés et de nos rois, de notre temple saint et du foyer de notre influence sur toute l'humanité ; non, ce sont eux, les Arabes, qui sont partis de leur propre volonté et qui ont laissé leurs foyers en plan que ce soit par crainte excessive ou par un désarroi dont ils sont eux-mêmes responsables, par calcul politique pour colporter ensuite des informations défigurées sur leurs souffrances, informations dans lesquelles ils se présentent comme de malheureux déportés, pour s'attirer la sympathie du monde. Nous, par contre, nous continuons d'édifier ce pays grâce au miracle merveilleux de notre dieu."

Telles sont les paroles du rabbin Hook cité par Shahak p.66-67

Un autre dispensateur de morale israélien, Abraham Avidan, rabbin, qui est actuellement lieutenant et membre de l'état-major israélien, a dit (selon le journal israélien Haolam Hazeh du 15 mai 1974) ce qui suit :

"Nos écritures montrent clairement, d'une façon évidente, qu'un non - juif, un goy, aussi évolué et civilisé qu'il soit, n'est pas digne de confiance. On doit se tenir sur ses gardes et reconnaître clairement que le même non-juif qui peut être décelé d'un coup d'oeil comme un bon non-juif, incite nos amis à la révolte.. De même il est tout à fait patent que ceux qui apportent leur aide à l'ennemi ou l'encouragent se conduisent tout à fait en ennemis et doivent être aussi tués."

(Shahak, p. 69)

Dans un autre rapport, le rabbin Avidan, dit entre autres :

"En aucun cas, nous ne devons faire confiance à un Arabe, même si nous avons l'impression qu'il est un homme civilisé." (Shahak p.70)

Ailleurs le rabbin et lieutenant Avidan dit :

"La loi juive nous permet de ne pas faire la moindre distinction entre les soldats ennemis et les civils ennemis. Durant une guerre, c'est un devoir de tuer aussi les civils même ceux qui semblent avoir bon coeur et se conduisent convenablement" (enfin le rabbin cite le Talmud où il est écrit que même les non-juifs qui adorent Yahvé doivent être exterminés.) (Shahak p.70)

Moshe Ben-Zion Ushpizai est depuis quelque temps le plus célèbre des rabbins d'Israël. Dans le journal Yediot Achronot du 20 décembre 1974, il dit entre autres les phrases suivantes :

"Comment devons-nous vaincre totalement les terroristes arabes, la plaie palestinienne ? Les défaitistes et les pessimistes ne donnent pas de réponse à cette question. L'espoir leur manque. Pourtant pour ceux qui ont étudié la loi juive, il n'y a rien auquel la Bible ne donne pas de réponse

La loi d'Israël s'applique tout à fait d'une manière évidente à chaque peuple qui habite le pays de Canaan...Ils doivent être traités comme du bétail pour Israël. La bible enjoint qu'Israël usurpe le pays, qu'il extermine ses habitants, et qu'il l'occupe. Israël ne peut pas déroger à cet ordre. Il lui est strictement défendu de laisser le pays à des non-juifs. Dans ce pays il n'y a pas de place pour d'autre peuple que le peuple d'Israël." (Shahak p.76-77)

Le rabbin Moshe Ben-Zion Ushpizai dit aussi : "Si nous voulons obéir aux ordres de notre dieu, il n'y a pas de place pour des compromis. D'où il s'ensuit qu'il ne peut exister en aucune façon des négociations en vue de traités de paix avec d'autres peuples qui habitent ce pays."

Le rabbin cite alors la Torah, c'est à dire le livre 5 de Moïse, 7 :2-3 et 16 : "Et si le Seigneur ton dieu les conduit vers toi pour que tu les combattes, alors tu dois les bannir. Tu ne dois pas conclure de traité avec eux, n'avoir aucune pitié et ne pas conclure d'alliance avec eux ; vous ne donnerez pas vos filles à leurs fils, et vous ne donnerez pas vos fils à leurs filles. Tu extermineras tous les peuples que le seigneur ton dieu te donnera. Tu ne dois pas les épargner ni servir leurs dieux car cela te porterait préjudice." (Shahak p. 78).

Pour être tout à fait certain d'être compris, le pieux rabbin continue : "Si nous ne purifions pas ce pays des peuples qui le souillent alors ils nous contamineront. C'est cela que nous apprend la bible." (Shahak p ;78) Enfin il ajoute encore : "Les peuples qui empêchent la renaissance d'Israël dans ce pays doivent être exterminés." (Shahak p.79)

Le très célèbre général de triste réputation et politicien Arik Sharon qui fut plusieurs fois ministre du gouvernement israélien, disait, le 26 mai 1974, dans une interview avec Yediot Achronot : "Tous les terroristes arabes, partout, en Israël et à l'étranger, doivent être mis une fois pour toutes hors d'état de nuire. Je sais que ce projet est en cours d'exécution : je l'ai moi-même planifié et exécuté." (Shahak p.87)

Sharon, le bourreau de Beyrouth, très mal perçu à cause de sa riposte au massacre commis dans les camps de réfugiés de Shabra et Shatila, jugé en été 1982, mais pas condamné, affirme clairement : "Ils doivent être tués. Tous les terroristes doivent être tués. Sur cette question, je suis entièrement d'accord avec le Ministre de la Défense." (Shahak p.88)

Le Docteur Aharon Davidi académicien israélien et général des parachutistes, disait le 6 décembre 1974, dans le journal Ma'ariv : "Les Arabes n'ont apporté aucun élément de valeur à la culture mondiale. Ils n'ont jamais rien créé. Les Arabes constituent le peuple le moins créateur du globe terrestre. Ils vendent du pétrole brut dans lequel ils n'ont investi aucun sou vaillant. Ils tiennent le monde dans leurs griffes ...

Dans toutes les guerres contre les Arabes, Israël a été vainqueur et cela sera toujours ainsi à supposer que nous ne cédions jamais. Capitulerions-nous, cela entraînerait la constitution d'un état palestinien à la place d'Israël et c'est totalement impensable." (Shahak p.93-94)

Dans les écoles de Yeshiva, où plus de 10% de la jeunesse israélienne est instruite, se trouvent les rabbins Kook et Avidan comme piliers de sainteté. Là, il est prêché sans arrêt qu' "Israël comprend tout le territoire entre le Nil et l'Euphrate. "Dans ces mêmes écoles de Yeshiva, la violence et la guerre sont présentées comme des phénomènes naturels qui fortifient la vie israélienne et juive." (Shahak p.74-75)

Le fait qu'Israël se déclare en faveur d'une idéologie de surhommes, ce qui fut à tort reproché au national-socialisme, ressort aussi clairement des oeuvres de différents auteurs sionistes. Vous voulez des exemples ?

Eh bien en voici ! L'écrivain très apprécié, Ahad Ha'am, écrit :

"Nous reconnaissons aussi que le but de chaque existence est de devenir un surhomme. Cela est une des caractéristiques essentielle et éminente d'une nation supérieure. Une telle nation possède un droit à l'existence. Son caractère intellectuel la rend apte à vivre et plus puissante que les autres nations." (Sources de la Pensée Juive Contemporaine, Jérusalem, 1970, p. 49).

Cet Ahad Ha'am, qui vécut de 1856 à 1927, (depuis 1921 en Palestine) est considéré comme un "rabbin agnostique". En l'an 1910, il écrivait dans une lettre à Judah Magnes : "A mon avis, notre religion est de nature nationale, ce qui signifie qu'elle est le produit de notre esprit national. Refuser ce principe ne serait pas juste." (id. p. 262)

David Ben Gourion, le premier ministre israélien, chef du parti travailliste, disait lors d'une conférence tenue à Jérusalem pour des rabbins orthodoxes américains : "Le système théocratique actuel d'Israël doit être élargi par des institutions permanentes." (The Jewish Newsletter, 18 septembre 1961).

Shulamit Aloni, membre de la Knesseth et adversaire acharnée d'un état israélien basé sur une loi religieuse, disait : "En Israël, les rabbins ont acquis de plus en plus d'influence et ils s'en servent pour maintenir le peuple dans l'ignorance. Autant le peuple est ignorant et crédule, autant est plus forte la caste sacerdotale." (Interview d'Aloni avec Norman Dacey, cité par Dacey dans son livre "Démocratie en Israël" p.21).

Aloni disait aussi : "Chaque juif qui a dit une parole favorable à Jésus, risque que l'entrée d'Israël lui soit interdite parce que le ministre de l'intérieur a la compétence requise pour tenir éloigné de notre pays celui qui d'une manière ou d'une autre a blessé les sentiments de la communauté, et cela sans que l'accusé puisse porter plainte devant un tribunal contre cette décision. (Yediot Achronot, 2 février 1975, cité par Dacey, p. 39).

Le commentateur israélien bien connu, Boaz Evron disait dans un journal très important d'Israël : "De très nombreux politiciens importants israéliens soutiennent l'idée que la minorité arabe doit quitter le pays tôt ou tard. Ben Gourion espérait que les chicaneries continuelles à l'encontre des Arabes israéliens deviendraient avec le temps tellement insupportables que les Arabes feraient d'eux-mêmes leurs valises." (Yediot Ahronot, avril 1975)

Meron Benvenisti, bourgmestre de Jérusalem, déclarait avec un aplomb à vous couper le souffle : "Ou bien nous restons un état juif et de ce fait un état non démocratique, soit nous deviendrons un état démocratique et de ce fait non-juif. Si nous voulons garder notre caractère juif, qu'adviendra-t-il de la partie de la population arabe qui compose la moitié de notre population?

Il ressort qu'il n'y a pas de sionisme, pas d'occupation juive et aucun état juif sans le retrait des Arabes et la confiscation de leurs terres"

 

QU'EST-CE QUE LE SIONISME ?

Une mafia qui empêche la liberté de pensée démocratique par des moyens coercitifs ! Toutes les idéologies peuvent être critiquées ouvertement, être mises en question, et soumises à l'analyse. Mais il y a une exception : le sionisme.

Chaque critique consciencieux du sionisme est considéré comme "antisémite", comme ayant de la haine envers les juifs, un mépris pour les juifs en tant que peuple. Dans ces conditions, la liberté de pensée n'existe pas en ce qui concerne le sionisme.

La thèse principale de la propagande sioniste consiste en ceci : Israël est sacro-saint, il est une vache sacrée dont toute critique quelle qu'elle soit est malvenue. Et puisque Israël est un état sioniste, on est tenu suivant une logique imparable, de ne pas critiquer le sionisme. Ce simple argument est d'une valeur redoutable dans les débats publics ce qui arrange bien Israël et sa propagande mais constitue une atteinte à la liberté de pensée.

Les sionistes et leurs partisans qui sont souvent dénués de sens critique et dépourvus d'une connaissance élémentaire ont compris depuis longtemps que si le sionisme était remis en question et pouvait être analysé d'une façon critique, l'existence légale d'Israël elle-même vacillerait sur ses bases et que la sympathie éprouvée envers les Palestiniens expulsés ou opprimés s'accroîtrait d'autant. Ce ne serait alors plus qu'une question de temps pour voir Israël isolé et la catastrophe pour les sionistes serait complète.

Tout le monde sait que, sans l'aide de l'Occident et particulièrement des USA, Israël, devrait déposer, en moins d'un an, son bilan., ce serait la banqueroute et il ne pourrait plus exister en tant qu'état muni d'une machine de guerre démesurée

Une telle éventualité doit être écartée à tout prix du point de vue sioniste., cela va de soi. Et ceci explique l'intensité et la force de frappe de la propagande sioniste qui utilise des moyens de pression énormes par le biais des différents lobbies juifs. Israël ne doit en aucun cas être boycotté comme l'Afrique du Sud !

Un procédé malhonnête utilisé depuis longtemps par les sionistes est l'identification de l'anti-sionisme avec l'antisémitisme et le nazisme. En réalité, il s'agit d'une inversion des faits : comme les juifs auraient été (ce qui n'est pas le cas) opprimés sous le troisième Reich, ainsi les Palestiniens sont réellement opprimés aujourd'hui. Le sionisme est une espèce de reflet de l ' anti-sémitisme ; les juifs jouent ici le rôle des seigneurs de la race supérieure et les Palestiniens celui de la nation qui est bafouée sur son propre sol.

Qu'est donc ce sionisme qu'il n'est pas permis de critiquer à cause de l'intimidation de la propagande médiatique ?

1. Le sionisme n'est en aucune façon un nationalisme local, limité aux frontières de l'état sioniste d'Israël. Si c'était le cas, la création d'Israël n'aurait pas pu avoir lieu et dans l'affirmative il n'aurait pu en aucune façon durer longtemps. Non, le sionisme est une idéologie d'extension mondiale, un mouvement politique puisque les sionistes exigent la loyauté de tous les juifs du monde à l'égard de l'état d'Israël.

Ceci est répété inlassablement aux juifs de tous les pays par des moyens tels que des congrès mondiaux, diverses rencontres, qui, d'année en année, sont tenus une fois dans tel pays une fois dans tel autre. Le tragique, si l'on peut dire, de cette situation pour beaucoup de juifs, réside dans le fait que le sionisme les considère comme une cinquième colonne et cloue au pilori les juifs anti-sionistes comme étant des traîtres à la cause nationale

2. Le sionisme est colonisateur et impérialiste. Il est colonisateur parce que l'état d'Israël est une création de juifs vivant à l'étranger qui a été entreprise de telle manière qu'un groupe de population, en l'occurence les Palestiniens qui y habitaient depuis toujours a été chassé de son pays par la force brutale ou s'ils sont restés, ont été réduits à la situation de citoyens de seconde zone.Il est impérialiste aussi parce que Israël est en fait suspendu aux basques des sionistes du monde entier et spécialement de ceux des USA.

3. Le sionisme est une politique d'arrogance et de répression parce que l'Israël sioniste viole impunément toutes les résolutions de l'ONU et les principes de cet ONU qui pourraient entraver ses agissements. De plus Israël peut miser sur l'aide du lobby juif qui le fait soutenir par les Etats Unis qui possèdent un droit de veto au Conseil de Sécurité des Nations Unies. Il existe des tas de documents prouvant la puissance politique des sionistes aux USA.

4. Les médias occidentaux se trouvent sous la puissante influence sioniste. C'est le cas surtout pour les films, la télévision et autres branches de loisirs américaines dont les productions inondent le monde entier. Pour Israël, ceci est d'une importance inestimable car il est toujours représenté par des images le décrivant comme un pays menacé par ses affreux voisins, constamment visé par les perfides terroristes palestiniens, lui, le petit Israël, héroïque, qui mène une guerre en dentelles contre toutes les canailles arabes usurpatrices !

5. Un autre brandon allumé sans arrêt par la propagande sioniste est le présentation continuelle des anti-sionistes comme de fous avides de sang, une horde de "juivivores" aux dents acérées, qui n'ont rien d'autre dans la tête que d'enfourner le plus possible de juifs dans des chambres à gaz. Avec cette histoire-là, les propagandistes charlatans sionistes ont atteint leur but le plus important, celui de placer le sionisme sous une protection naturelle et de le soustraire ainsi à tout examen critique, ce qui fait que chaque anti-sioniste est traité d'idiot, de débile mental, dogmatique ou simplement d' antisémite haineux enragé. Tout à fait à l'opposé, les sionistes se posent en quelque sorte comme les fleurons de l'humanité, sans parler de leur intelligence supérieure, comme des esprits remplis de tolérance et des modèles éclairés de l'humanité.

6. Le sionisme est une idéologie et une politique et non une communauté nationale. Aussi, une critique à son encontre, si forte soit elle, ne peut en aucune façon être considérée comme une expression de haine envers une communauté de peuple.

Or logiquement, le sionisme est raciste puisque en son nom la Palestine est occupée par lui et est affublée du nom d'Israël, afin que s'accomplisse la promesse que Yahvé a faite à son peuple suivant l'Ancien Testament. N'a-t-il pas donné à son peuple l'ordre de chasser ou d'exterminer les occupants de ce pays qui porte le nom de Canaan ?

Dans ses effets concrets, le sionisme a une ressemblance frappante avec la politique d'apartheid puisque les juifs, sont privilégiés en Israël de même que dans les territoires qu'ils occupent et qu'ils privent les Palestiniens de leurs droits en les contestant.

7. Le sionisme est une espèce de mafia ou de franc-maçonnerie militante et conspiratrice puisqu'il tente d'organiser la population juive partout dans le monde au service d'une puissance étrangère. Ces activités sont exercées en coulisse et ne font jamais l'objet de discussions publiques. Les critiques à ce sujet sont interdites par les sionistes et elles sont réfutées avec le vocable liberticide habituel d'antisémitisme.

Pour nous, Musulmans - et nous comptons en Suède plus de 75 000 âmes, plus de 4 fois la communauté juive si on peut se fier aux chiffres officiels, - le sionisme est un adversaire, une provocation à laquelle nous voulons nous opposer pour en triompher, non par la violence, mais par une information constante, toujours plus vaste et un appel à la raison.

Il serait peut-être bon que les sionistes aussi soient mieux informés, qu'ils puissent faire un peu d'autocritique et se laisser guider par la raison pour abandonner la forme stérile et désuète du sionisme que l'historien britannique, Arnold Toynbee a qualifié de fossile dans le monde des idées et de la politique actuel.

"Israël ne peut avoir aucun égard envers l'opinion du monde lorsqu'il s'agit de l'occupation juive sur un ancien pays biblique". Ariel Sharon, ministre de l'agriculture, 1977.

 

ISRAEL : UN MENSONGE !

Les juifs affirment que la Palestine serait le pays que Yahvé aurait promis à Abraham. Ils affirment en outre qu'ils auraient été conduits là après leur captivité en Egypte et qu'ils y auraient créé leur royaume. David et Salomon auraient régné à Jérusalem et Salomon y aurait bâti son temple.

Or, d'une manière étrange, les archéologues n'ont pas réussi à découvrir la moindre trace de ce royaume juif ou du temple de Salomon. En fait ceci n'a rien d'étonnant car les juifs ne sont pas venus en Palestine après leur captivité en Egypte et Salomon n'a pas construit de temple à Jérusalem.

Un professeur de l'université américaine de Beyrouth, Kamal Salibi,a étudié à fond l' ancienne histoire arabe et a ainsi découvert que l'ancien royaume juif d'avant la captivité à Babylone qui fut détruit par les Babyloniens en l'an 587 avant J.C, ne se trouvait pas en Palestine mais dans la péninsule arabique un peu au Sud de la Mecque actuelle.

Il a identifié le lieu d'origine cité dans la Bible à cet endroit.Dans la Bible, il n'est pas indiqué que le Jourdain ait été un fleuve. Salibi a remarqué que les rabbins, au 8e siècle après J.C avaient intercalé des voyelles inexactes au milieu des consonnes et par là, avaient entièrement falsifié le contenu., ce qui rend dans de nombreux cas le texte incompréhensible.

Par l'étude linguistique méthodique des sources, Salibi a retrouvé la signification véritable du texte et l'histoire de la Bible dès ce moment s'accorde parfaitement à la géographie de la zone concernée dans la péninsule arabique. Le Jourdain n'était pas un fleuve mais en réalité une chaîne de montagnes qui s'étend de la bande côtière à la partie intérieure de la péninsule arabique.

Les villes de Sodome et Gomorrhe qui auraient été détruites par un tremblement de terre se trouvaient dans un territoire volcanique où, encore en 1820, des éruptions volcaniques ont pu être observées. Jusqu'alors on prétendait que ces deux villes se trouvaient sur les bords de la Mer Morte en Palestine., mais dans cet endroit-là, il n'y a jamais eu d'activité volcanique. Le fait que l'ancien royaume juif promis par Yahvé à Moïse ne se trouve pas en Palestine explique pourquoi ce royaume n'y a pas laissé la moindre trace archéologique. Le pays qui, selon Moïse, appartiendrait aux juifs, ne se trouvait pas du tout en Palestine mais tout à fait ailleurs. Le livre du Professeur Salibi est paru en langue anglaise sous le titre "The Bible came from Arabia."

Les sionistes sont d'un autre avis :

"Les Juifs s'intéressent à la Palestine non pas pour des raisons religieuses ou parce qu'elle est mentionnée dans l'Ancien Testament, ni parce que dans la Mer Morte se trouvent des minerais et des métaux pour 5 milliards de dollars, ni même parce que le sol de la Palestine contient des réserves de pétrole 20 fois supérieures à celles des deux Amériques réunies, non, nous les Juifs nous nous intéressons à la Palestine parce qu'elle constitue un noeud de communication entre l'Europe, l'Asie et l'Afrique et, de ce fait, elle possède une importance géostratégique capitale, bref, elle est un centre stratégique militaire pour la domination du monde." Nahum Goldmann, président durant de longues années de l'Organisation Mondiale Sioniste lors du Congrès mondial du Sionisme en 1947.

"L'état juif doit comporter les territoires qui vont du Nil égyptien jusqu'à l'Euphrate" (Théodore Herzl, fondateur et premier président de l'Organisation sioniste mondiale en l'an 1904) Cette phrase provient de la collection des journaux intimes de Herzl, partie 2, page 711 de l'édition anglaise.

"Vous devez vous battre de façon indomptable et sans relâche, que ce soit sur le champ de bataille ou le champ de la diplomatie pour réaliser l'empire d'Israël qui comporte le territoire du Nil jusqu'à l'Euphrate" (David Ben Gourion, premier ministre israëlien, lors d'un discours à des étudiants à l'université hébraïque de Jérusalem en 1950).

 

LE MYTHE BIBLIQUE DE LA PALESTINE

On nous rabâche sans relâche qu'avec la création de l'état d'Israël, les juifs seraient revenus dans leur patrie d'origine, après deux mille ans de diaspora parmi des peuples étrangers. Cette histoire est-elle vraie ? Est-ce que l'état juif d'Israël construit sur le sol palestinien est réellement le pays où les juifs auraient vécu à l'origine ?

Non, c'est un mythe historique, une falsification énorme des faits historiques. Les juifs sont issus de la tribu de Juda, une des douze tribus d'Israël dont l'ancêtre était un des douze fils de Jacob, Juda, ainsi que nous l'apprend l'Ancien Testament. Naturellement celui-ci n'est pas un document historique fiable ni une source digne de confiance. Les anecdotes de la Bible se contredisent en beaucoup de points.

La science peut uniquement constater qu'il n'existe aucun repère, autre que biblique, contemporain d'Abraham, d'Isaac, de Jacob et de ses douze fils. Aucun document historique ne vient confirmer le fait que les Hébreux ou Israélites aient été esclaves en Egypte, qu'ils furent sauvés de cet esclavage par les 7 plaies subies par le peuple de Pharaon, que tous les premiers-nés égyptiens ont été massacrés, que les Hébreux ont pillé les richesses des Egyptiens, qu'ils ont traversé le désert vers la Terre promise comme il est raconté dans l'Exode, livre écrit par Moïse.

De même, les rois juifs David et Salomon n'apparaissent dans aucun document daté des nombreux pays voisins bien qu'il existât là, au 9e siècle avant J.C une histoire écrite courante.

A l'époque où Salomon, d'après la Bible, a fondé un puissant empire au Proche Orient, les Phéniciens, leurs voisins du nord à cette époque, n'ont pas une seule fois remarqué ce prodigieux développement.

Bien que la Bible rapporte que le roi de Phénicie, Hiram, ait envoyé des architectes et des maîtres d'oeuvre pour construire le temple de Salomon et ait construit la flotte que le roi Salomon dirigea à Esjon-Geber, qui se trouve près de l'actuelle ville d'Eilat sur le Golfe d'Akaba (1. Rois 5 :1, Rois 9 : 26-28.)

Sur l'origine des juifs, il est dit dans Ezechiel, chap.16, verset 3 :

"Ainsi parle le Seigneur Yahvé à Jérusalem : par ton origine et par ta naissance, tu es du pays de Canaan. Ton père était Amorite et ta mère Hittite."

Tout cela ne s'accorde pas avec les histoires racontées dans les livres de Moïse suivant lesquelles les juifs descendraient d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, que leur origine remonterait à Jacob ou à son fils Juda, fils d'Israël, qu'ils aient été en esclavage en pays d'Egypte et que Josué les ait conduits dans la terre promise de Canaan, qu'ils exterminèrent les Cananéens qui y habitaient ou bien les expulsèrent, etc.

D'après la version juive habituelle, Abraham est l'ancêtre des juifs. Cependant il est originaire d'Ur en Chaldée, l'actuel Irak, non loin du Golfe persique et là-bas régnaient les Sumériens qui n'étaient pas un peuple sémite et qui ne parlaient pas une langue sémite. Cet Abraham reçut l'ordre de Yahvé de partir dans un pays qu'il lui indiquerait. Yahvé lui promit une sainte alliance avec ses descendants qui deviendraient de ce fait un grand peuple et règneraient sur un territoire qui s'étendrait du Nil à l'Euphrate, un pays dans lequel vivaient déjà au moins dix peuples différents. (Genèse 15 :18-21)

Le mariage d'Abraham avec Sarah était resté stérile. En revanche, il eut un fils du nom d'Ismaël avec la servante Agar. Abraham avait déjà 99 ans et la perspective de pouvoir engendrer était minime ! Cependant Yahvé lui promit que Sarah qui avait été stérile jusqu'alors (ce nom signifie "princesse") lui donnerait un fils. "Je la bénirai et des peuples sortiront d'elle et des rois au-dessus de plusieurs nations." (Genèse,16 :17) Et Sarah devint enceinte.

Mais le père était-il réellement Abraham âgé de 99 ans ? Dans la Bible, il est écrit : "Yahvé visita Sarah comme il avait dit et il fit pour elle comme il avait promis. Sarah conçut et enfanta à Abraham un fils à l'époque que Yahvé avait marquée."

Abraham avait 100 ans lorsque lui naquit un fils, Isaac, et Sarah dit : "Yahvé m'a donné de quoi rire, tous ceux qui l'apprendront me souriront." (Genèse, 21 :1-2 et 5-6)

Il est clair d'après ce texte que Yahvé était le père biologique d'Isaac et en aucune manière Abraham qui avait 100 ans. Dans ce contexte, on peut mieux comprendre la version juive qui affirme que Yahvé a conclu une alliance particulière avec le peuple juif et l'a choisi comme son peuple. (Exode19 :5-6)

Une des pierres d'angle de la croyance juive en la Bible consiste en ce que les juifs se considèrent comme le peuple élu de Yahvé, qui leur aurait promis un pays qui s'étendrait du Nil jusqu'à l'Euphrate. mais ce pays était déjà occupé par d'autres peuples et Yahvé ordonna que les juifs expulsent ceux-ci, les exterminent ou les réduisent en esclavage. :

"Je sèmerai devant toi la panique. Je jetterai la confusion chez tous les peuples où tu pénètreras et je ferai détaler tes ennemis. Je te ferai précéder de frelons qui chasseront devant toi les Hittites, les cananéens les Hewites. Je ne les expulserai pas devant toi en une seule année, car le pays deviendrait un désert où se multiplieraient à tes dépens les bêtes sauvages. Je les expulserai devant toi peu à peu, jusqu'au jour où ta fécondité t'aura mis en mesure d'occuper tout le pays, ton héritage. Je fixerai pour limites à ton territoire la mer des Roseaux, et la mer des Philistins, le désert et l'Euphrate. Je livrerai, en effet, entre vos mains, les habitants du pays et tu les expulseras devant toi." (Exode, 23 :27-31)

Un tel passage doit fortement troubler les Palestiniens : ont-ils donc à subir dans leur propre chair les effets de la foi juive en la Bible maintenant que les sionistes ont envahi la Palestine et ont fondé l'état juif d'Israël pour les expansionnistes ? On observe que l'état d'Israël repose sur cette foi en la Bible ! Sans la Bible juive, pas d'état d'Israël ! Mais les mythes et les légendes bibliques ont-ils une quelconque valeur éthique contraignante ? Sont-ils à considérer comme fondement du droit des peuples ? Naturellement non !

 

LA BIBLE JUIVE COMME LIVRE Dʼ "HISTOIRE" !

L'Ancien Testament, la Bible juive, est considéré en Israël comme un livre d'histoire, comme la relation du passé juif. Pourtant une recherche scientifique sérieuse a déjà depuis longtemps démontré que les récits bibliques ne sont rien d'autre qu'une collection de mythes et de légendes dont la valeur historique est minime. Nous avons affaire ici à une falsification systématique des événements qui se sont passés durant des milliers d'années.

On trouve les conclusions auxquelles sont arrivés les archéologues dans le livre : "Fynd i Bibelns Länder" ("découvertes dans les pays de la Bible") qui a été publié par Magnus Magnusson, historien, archéologue et recteur de l'Université d'Edimbourg, livre qui a paru en 1977 chez Raben et Sjögren en langue suédoise.

Sur l'exode, la fuite des enfants d'Israël hors d'Egypte dont il est question dans le second livre de Moïse, l'auteur porte le jugement suivant :

"Les chercheurs qui étudient la Bible ont consacré beaucoup d'efforts assidus pour établir où se situaient les lieux géographiques de l'histoire de l'exode. Cependant leurs efforts ont abouti uniquement à des spéculations qui se fondent sur différentes interprétations des sources existantes.

Certains, d'après celles-ci, essaient de prouver que les enfants d'Israël ont barboté jusqu'aux genoux dans la Méditerranée à travers un passage peu profond. D'autres pensent qu'ils ont pataugé dans la Mer rouge.

Toutes sortes de variantes existent naturellement entre ces deux extrêmes. Si l'on essayait de situer sur une carte toutes les routes que les enfants d'Israël sont supposés avoir parcourues lors de leur fuite hors d'Egypte, on aurait l'impression, comme l'a fait remarquer un observateur attentif, qu'un mille-pattes ivre chancelle sur la carte.

Un autre problème se pose au sujet de l'importance de l'exode. D'après le premier chapitre du 4e livre de Moïse, les douze tribus d'Israël comptaient pas moins de 603 550 hommes valides. On peut en déduire que l'émigration concernait plus de 2 millions de personnes, ce qui est tout à fait invraisemblable. Une telle masse de population n'aurait jamais pu survivre 40 ans dans le désert comme l'affirme la Bible

En bref, le récit entier de la fuite hors d'Egypte et la traversée du désert durant 40 ans ne sont pas des faits historiques mais des mythes, des légendes. On peut, d'après Magnusson, penser la même chose à propos des suppositions sur le Pharaon de l'Exode :

"Si l'on admet que le pharaon du temps de leur captivité était Ramsès II, alors le pharaon du temps de l'exode aurait été son successeur Menefta. Or on éprouva beaucoup émotion lorsque l'on découvrit en l'an 1881 sur la rive gauche du Nil, le cadavre embaumé de ce pharaon dans un tombeau non loin de Deir el- Bahri. Il est vrai que la trouvaille avait un côté gênant : si Menefta était mort noyé dans la mer Rouge (comme il est affirmé que le fut le pharaon de l'exode) comment se faisait-il que sa dépouille mortelle se trouvât en Egypte ?

Les fondamentalistes se consolent avec le fait que la momie présente des traces évidentes de sel. Le corps du roi égyptien aurait été rejeté sur la côte après sa noyade et il aurait été enterré ensuite suivant les coutumes ancestrales. Ce qui cloche dans cette explication est pourtant clair : chez toutes les momies, il y a des traces de sel car l'une des opérations d'embaumement exige l'emploi de sel.

Des recherches ultérieures démontrent que la momie de Menefta contenait ni plus ni moins de sel que d'autres

De même, d'une autre point de vue, Menefta ne semble pas avoir été très indiqué pour être le pharaon de l'exode. Il régna, à ce qu'il paraît, de 1224 à 1211. Dans sa cinquième années de règne, il entreprit une campagne contre la Palestine. Or sur la stèle qui célèbre ses exploits on trouve la liste des peuples qu'il a vaincus : Canaan, Askelon, Geser, etc. C'est un chant de louange, un monument de triomphe. Il n'est pas question de défaite. D'une façon assez ironique on trouve ici la seule mention d'Israël dans les sources égyptiennes découvertes jusqu'ici : "Israël est détruit, il n'a plus d'héritiers".

Menefta n'aurait pas pu se vanter d'une victoire sur le peuple d'Israël à Canaan si celui-ci avait réussi lors de sa fuite à le noyer misérablement auparavant dans la Mer Rouge !

Celui qui voudrait un peu de logique dans les récits bibliques de l'exode avec ses contradictions flagrantes peut se référer à un fait aujourd'hui reconnu : la désignation de "Mer Rouge" provient d'un erreur de traduction. L'expression hébraïque utilisée est "Yam Suf" ce qui a été souvent traduit par "Mer des Roseaux" mais pas par "Mer Rouge". Et ceci a conduit à d'autres suppositions : où se trouvait donc la Mer des Roseaux ? On a proposé au moins une douzaine d'endroits situés le long du canal de Suez qui auraient pu présenter une ressemblance sans qu'on put jamais vérifier leur authenticité. (p.63)

Bref, on trouve ici aussi une falsification historique grossière dans un fatras de mythes et de légendes !

La description du sanctuaire au 6e chapitre du 2e livre de Moïse présente aussi des perles fantaisistes  :

"Dans la Bible juive, la construction du sanctuaire, en bois d'acacia est décrite en pas moins de 6 chapitres. Ceci démontre que la signification cultuelle de ces objets est prépondérante sur l'authenticité de la description. La tentative de construction du sanctuaire qui a été faite durant 15 ans par le diamantaire Moïse Levine s'est révélée si compliquée et coûteuse qu'on ne peut croire qu'elle fut entreprise par un peuple nomade. Peut-être la description dont il s'agit ici s'est-elle inspirée de celle du temple de Salomon qui fut construit au dixième siècle avant J.C, à Jérusalem" (p.69)

Selon Magnusson, aucune trouvaille archéologique n'est venue confirmer les victoires remportées par Israël selon la Bible, sur les royaumes arabes d'Edom, de Maab, et d'Ammon dans l'actuelle Jordanie, lors desquelles les Israëlites sont venus de l'Est et ont pénétré dans le pays de Canaan, la Palestine actuelle. (p.71-78)

A propos des récits de l'Ancien Testament concernant Saul et David, Magnusson déclare : "Les rivalités entre Saul et David sont présentées à l'avantage de David dans un but de propagande. Les récits populaires concernant les exploits de champions durant la guerre et les drames humains sont manipulés dans le but évident de sanctifier David et de noircir Saul. (p.120). Nous avons affaire ici à des légendes et non à de l'histoire."

Un peuple sur lequel on déverse des torrents de saletés abominables dans la bible juive est le peuple des Philistins. Pourtant la spécialiste israélienne, le docteur Trude Dothan, a, d'après Magnusson, une grande admiration pour la culture hautement développée de ce peuple qu'il a amenée avec lui à Canaan, une culture bien supérieure à celle des Israélites et des Cananéens, qui s'est exprimée d'une manière remarquable dans ses céramiques, ses constructions et son organisation sociale élaborée. C'est à cause de cela que les Israélites ont toujours considérés les Philistins comme de dangereux ennemis. Et plus tard ils ont écrit sur leur compte avec mépris.(p.127) La conséquence de la propagande biblique fut que le sens de Philistin devint péjoratif ; il devint même par la suite synonyme de "personne sans érudition réelle", de "petit bourgeois".

La recherche ne peut pas prouver que le temple de Salomon a réellement existé.

"Aucune pierre, aucune trace n'a subsisté de cette construction légendaire si honorée." affirme Magnusson (p.138)

Et même s'il avait existé, il n'aurait pas été juif, ni israélite, mais cananéen ou phénicien puisque c'est le roi Hiram qui a fourni à Salomon les matériaux de construction ainsi que les ouvriers pour sa construction.

C'est encore Hiram qui a fourni la flotte de Salomon à Esjon-Geber, près d'Eilat sur les rivages de la mer Rouge, de même que les marins expérimentés qui suivirent les gens de Salomon lors de son départ pour Ofir où ils gardaient de l'or. (livre I des Rois, 9 :26)

Le mur des Lamentations de Jérusalem n'est pas un reste du temple de Salomon comme on veut nous le faire croire mais un vestige du temple que Hérode a fait construire beaucoup plus tard au temps de la naissance de Jésus-Christ. Comme on le sait, Hérode est considéré par les juifs comme un tyran et un vassal de Rome.

On s'étendrait trop longtemps dans ce chapitre si on voulait citer toutes les falsifications et tous les mensonges de l'Ancien Testament. Mais il faut tout de même encore préciser que la captivité à Babylone est une pure légende comme la plupart des autres récits bibliques juifs.

La preuve en est que la grande majorité du peuple juif resta de sa propre volonté sur place après la prise de Babylone par les Perses, bien que ceux-ci aient accordé aux juifs le droit de regagner leur patrie. En outre de nombreux documents confirment que les juifs étaient actifs chez les Babyloniens dans le commerce comme dans le système bancaire, activités qui ne s'accordent pas du tout avec le statut de "captifs". De plus, la partie la plus importante de la bible juive, dont font partie les 5 livres de Moïse ou la Torah, a été rédigée justement durant la captivité à Babylone.

Enfin, il faut noter que les traductions occidentales de l'Ancien Testament sont déformées. Un spécialiste juif de premier plan de la Bible, Joseph Kastein, a dit, en 1933, dans son livre : "History and Destiny of the Jews" : "Les traductions en grec eurent lieu pour que les textes puissent être compris par le monde culturel grec et cela a conduit à des déformations et des falsifications intentionnelles de mots et de termes.".

Oui, les sionistes et leurs partisans peuvent se vanter de posséder une riche moisson d'expériences dans le domaine de la falsification historique !

 

LE BLUFF DES "DROITS HISTORIQUES"

"Ce pays est la patrie historique des Juifs" déclarait l'Organisation Mondiale Sioniste dans un Memorandum à la conférence sur la paix de Versailles en 1919. Lors de la proclamation de l'Etat d'Israël le 14 mai 1948, il a été affirmé que la création de cet état s'est réalisé par suite des droits naturels et historiques du peuple juif.

La thèse des "droits historiques" est une constante de la propagande sioniste et est liée régulièrement au mythe de la "terre promise" suivant lequel les juifs revendiquent un droit d'origine divine sur la Palestine (celui qui s'intéresse à ce sujet lira avec profit le livre de Roger Garaudy, The Case of Israël, paru chez Shoruouk en 1983)

Commençons par constater qu'avant le 10e siècle av. J.C. il n'existe pas la moindre preuve des événements relatés dans l'Ancien testament dans les écrits historiques des pays du Proche Orient comme l'ont prouvé depuis à leur tour les archéologues. Ceci est également concédé par un savant tel le Père de Vaux à qui pourtant la validité de l'Ancien Testament tient fort à coeur " On n' a pu, dit-il, trouver en aucune manière des preuves évidentes de l'existence des patriarches hébreux, de la captivité en Egypte ou de la prise de Canaan. Comme nous l'avons déjà mentionné, ces histoires de l'Ancien Testament sont de pures légendes.

La présentation de la Palestine comme la "terre promise" est fondée uniquement sur l'Ancien Testament que certains croyants prennent à la lettre En réalité, l'histoire des Hébreux n'a pas été aussi glorieuse et brillante que tentent de nous le faire croire les sionistes

Dans les époques reculées, leur histoire ne peut être séparée de celle des Mésopotamiens du royaume hittite (où était parlée une langue indo-germanique et non une langue sémite) ou de celle des Egyptiens.

Laissons de côté les découvertes archéologiques prouvant la présence d'êtres humains dans l'actuelle Palestine depuis environ 10 000 ans et limitons-nous aux périodes qui nous ont livré des documents écrits. A partir de ceux-ci nous pourrions établir les faits suivants :

1. Age du bronze antérieur à environ 2000 ans av. J.C. Pour cette époque, nous possédons (surtout depuis la découverte des écrits d'Ebla en 1976) de très nombreuses preuves de l'existence d'une civilisation indigène, développée dans le pays de Canaan qui englobait des peuples aux types linguistiques sémitiques occidentaux comme l'araméen, le cananéen,et également l'hébreu. L'araméen a été la plus durable de ces langues. Il était la langue courante du temps de Jésus en Palestine. Et il y a encore aujourd'hui, en Syrie, des petites communautés qui parlent araméen.

2. Age du Bronze moyen avec des mouvements migratoires massifs

3. Il s'en suivit une nouvelle période de vie citadine (1900-1500 av. J. C.)

4. A partir du milieu du 15e siècle avant J.C, l'Egypte était la puissance dominante dans cette région. Les Pharaons de la 18e dynastie firent de la Palestine un royaume frontalier égyptien.

Sur le territoire qui s'étendait du Nil jusqu'à l'Euphrate, il y eut de nombreuses migrations de peuples qui souvent s'affrontaient. Lorsque les peuples de bergers nomades de Mésopotamie et de Transjordanie arrivèrent à Canaan vers l'an 2000, ils y trouvèrent des habitants sédentaires, les Cananéens civilisés. Ceux-ci connaissaient le fer et avaient un alphabet. Les nomades hébreux,même après le passage à un mode de vie sédentaire ne représentèrent pas un groupe ethnique uniforme mais étaient composés de plusieurs ethnies.La situation se présente donc tout autrement qu'elle est décrite dans la bible.

On a pu prouver qu'à peine une partie de ces Hébreux nomades s'installèrent définitivement à Canaan. Les autres allèrent plus loin en Egypte. Ceux qui y restèrent adoptèrent la langue, l'écriture et même la religion des Cananéens. Aux alentours de 1400 une partie émigra vers l'Egypte, vraisemblablement dans la foulée du peuple envahisseur des Hyksos.

Lorsque les Hyksos, ce peuple venu du Nord, probablement de souche indo-européenne, fut chassé d'Egypte, ils retournèrent vers une vie nomade. Les hébreux qui avaient joui de la protection des Hyksos et avaient profité de leur suprématie, furent considérés comme leurs complices et subirent plusieurs persécutions. Ce groupe de rebelles qui n'était aucunement homogène mais était constitué par différentes ethnies dont l'union reposait sur leur hostilité envers le Pharaon. s'échappa d'Egypte On les nomma "Apiru" mot d'où vient probablement le nom "hébreu".

C'est à peu près ainsi que s'est déroulée cette fuite hors d'Egypte décrite dans l'Exode comme un événement sanglant dans lequel Yahvé joua le rôle de génocideur pour libérer son peuple de l'esclavage. Les sources égyptiennes si abondantes d'habitude ne soufflent pas mot de cet événement

Une des rares mentions du terme Israël chez les Egyptiens, se trouve sur une stèle qui date à peu près de l'année 1225. Cette stèle commémore le triomphe du pharaon Meneptah.

A Tel-El-Amarna, la capitale fondée par Aménophis IV, on a trouvé environ 400 tablettes d'argile. Celles-ci nous indiquent un important échange de lettres entre le pharaon et les princes vassaux égyptiens de Palestine et de Syrie. Le nom d'Israël n'y figure pas du tout. Par contre on y trouve une foule d'informations très intéressantes sur les grandes cités de Canaan, leurs conflits et leurs différends.

En nous appuyant sur ces remarques, on peut établir que :

1. Les faits ne permettent pas de reconnaître à Israël de quelconques "droits historiques" sur la Palestine. Lorsque les Hébreux arrivèrent dans le pays de Canaan comme le firent d'autres peuples migrateurs, lors de leurs pérégrinations, ils y trouvèrent des populations solidement établies : les Cananéens, les Hittites, (dans la région d' Hébron qui fut fondée par eux), des Amonites (près d'Amon, l'actuelle Amman), les Moabites (à l'est de la Mer Morte) et les Edomites (dans le Sud-Est).

En même temps arrivait un autre peuple de la Mer Egée : les Philistins indo-germaniques qui s'établirent entre le mont Carmel et le désert. Le mot "palestinien" vient probablement de ce mot "philistin" Les Palestiniens actuels chrétiens et musulmans ne sont donc en aucune manière de souche exclusivement arabe mais proviennent d'ancêtres bien plus lointains.

A partir du 7e siècle après J.C. arrivèrent les Arabes d'abord en petit nombre en Palestine. Ils convertirent la majorité de la population (parmi laquelle les Cananéens subsistant et les Hébreux) à l'Islam, ils se mélangèrent à la population et imposèrent leur langue. L'immigration arabe fut avant tout d'ordre culturel plus que d'ordre ethnique

Les fondements ethniques des Palestiniens sont par conséquents fort nombreux. ; leurs ancêtres étaient cananéens, Philistins et Arabes. On trouve aussi des traces du passage d'autres peuples qui ont occupé la Palestine (les Perses, les Grecs, les Romains et les Turcs)

On peut affirmer avec assurance que les Palestiniens ont été les premiers habitants de ce pays et cela depuis la nuit des temps. Par contre, les Juifs vinrent en tant qu'envahisseurs.

2. Répétons-le : les "Apiru" (Hébreux) constituaient uniquement un parmi les nombreux peuples qui immigrèrent dans le pays de Canaan. Quant aux autres peuples, on trouvait dans l'ordre chronologique :les Babyloniens, les Hittites, les Egyptiens, les Perses, les Grecs, les Romains, les Arabes et les Turcs (on pourrait y ajouter les Francs et les Normands qui y restèrent après les croisades) Les Hébreux, eux, arrivèrent d'Egypte vraisemblablement au 13e siècle avant J.C et s'établirent soit pacifiquement soit par des guerres de conquête à Canaan.

Des livres soi-disant historiques de l'Ancien Testament, comme par exemple le Livre des Rois et les deux livres de Samuel, on ne peut apprendre que le fait que David fut un conquérant particulièrement cruel. (cf. Samuel 2, 12-29-31) une espèce de condottiere à la manière des condotierri de la Renaissance. Il commanda des troupes de soldats qui se composaient de Philistins et de Crétois. Nous connaissons l'expression "Crétois et Philistins" pour désigner une communauté métissée. Elle provient d'une expression tirée de la Bible (livre de Samuel 2 8 :18) où l'on parle des soldats étrangers employés par David, les Crétois et les Philistins dont la traduction grecque a donné "Creti et Pleti"

David et son fils Salomon profitèrent adroitement des dissensions entre les deux grandes puissances, l'Egypte et Babylone,. Avec sa garde du corps de Crétois et de Philistins, David s'empara de Jérusalem que ses habitants, les Jésubites, continuèrent à habiter.

David confia le commandement du tiers de son armée au Philistin Ittai de Gath. Durant la révolte de son fils Absalon, David trouva un appui auprès du prince ammonite Schobi. David n'a jamais été le souverain d'un royaume exclusivement juif. Il créa un état multinational dans lequel existaient beaucoup de religions. L'ancêtre de David, Ruth, était une Moabite et lorsque David fut en péril, il mit ses parents à l'abri chez le roi moabite Sa maîtresse préférée Batseba, était l'épouse du Hittite, Uria, que David aurait perfidement envoyée à la mort.(Samuel 2 11 :3). Avec elle, il engendra son héritier Salomon.

Sous Salomon, le royaume comprit encore plus de nations, toujours en supposant que l'on prenne la Bible pour une source historique sûre. Le soi-disant temple de Salomon a été construit par des Phéniciens et les matériaux de construction avaient été fournis également par le roi de Phénicie, Hiram (Les Rois 1, 5:8)

De même que La flotte avec laquelle il cingla vers Ofir pour y chercher de l'or avait été construite par les Phéniciens et elle a été conduite par des marins phéniciens (Rois, 9 :27). Les nombreuses épouses de Salomon appartenaient à des peuples très divers. (Rois, 11 :1-3). Vraiment peu de choses étaient juives dans ce royaume de David et de Salomon, et cet ancien royaume doit servir de modèle pour l'état juif d'Israël !

Après la mort de Salomon, le royaume a été divisé en deux moitiés : Israël dans le Nord et Juda dans le Sud. En l'an 721 av. J. C, les Assyriens envahirent Israël et en l'an 587 av. J. C., Juda fut vaincu par les Babyloniens. La classe dirigeante de Juda fut traînée de force ou alla de son plein gré à Babylone.

Lorsque le roi de Perse, Cyrus, s'empara de la ville de Babylone, il laissa tous les juifs qui le désiraient rentrer chez eux ; cependant la majorité resta à Babylone dirigée à présent par les Perses.

Ensuite les Hébreux ont vécu à tour de rôle sous l'autorité des Perses, des Grecs et des Romains. En l'an 167 av. J.C. eut lieu la révolte des Macchabées contre le roi grec Antiochus de la dynastie des Séleucides.

Après vingt ans de combat, les Macchabées fondèrent une lignée de prêtres juifs, une dynastie qui est connue aussi sous le nom des Hasmonées. Elle s'éteignit bientôt par suite de luttes internes.

En l'an 63 av. J.C., la Palestine secouée par des désordres intérieurs constants, fut conquise par Gaius Pompée. Elle se transforma en un royaume vassal sous Hérode, et plus tard, en une province romaine. Elle se souleva deux fois contre les Romains mais ces deux révoltes échouèrent. La première eut lieu en l'an 70 après Jésus-Christ, l'autre en l'an 135 après Jésus-Christ.

Après l'échec du deuxième soulèvement - à la tête desquels se trouvait Bar Kochba qui se serait fait appeler "Fils des Etoiles" en tant que Messie - le temple fut également détruit. Le destin du peuple juif dès ce moment fut la diaspora, l'exil. Les Juifs qui déjà depuis longtemps avant ces événements avaient vécu tout autour de la Méditerranée en Mésopotamie, l'actuel Irak, vécurent dès lors dispersés partout dans l'empire romain,également à Rome même. La communauté juive de Palestine avait cessé d'exister.

Quel rapport y a-t-il entre tout ceci et la revendication de pouvoir des Juifs sur la Palestine ? La réponse est sans équivoque : les revendications des sionistes sur la Palestine, inlassablement évoquées, n'ont aucune valeur au point de vue historique. Les sionistes ont déformé ou falsifié systématiquement les faits historiques tandis qu'ils présentent dans leurs propres livres scolaires dont les copies conformes se trouvent en Occident, un compte rendu d'événements de second rang qui présentent de l'importance pour eux, à savoir :

1) La prise de territoire du pays de Canaan au temps de Josué qui est présentée par les exégètes de la Bible comme s'étant déroulée en l'an 1200 av. J.C. et qui s'est passée en réalité environ 300 ans plus tard. Ces expéditions de rapines et de pillages sont glorifiées par les écrivains du sixième siècle av. J.C. comme une "Guerre Sainte" qui se serait terminée par une victoire écrasante. Par cette littérature historique remaniée, on poursuit naturellement des intentions politiques.

2) Les 73 années de règne de David et de Salomon. Il est soigneusement tu que ce royaume était de type vassal et de caractère multinational de surcroît.

3) L'exil à Babylone et le retour au pays après la captivité de Babylone. Naturellement on passe sous silence que la majorité des Juifs sont restés de leur plein gré à Babylone.

4) Les révoltes contre Rome en 66-70 et en 132-135.

Dans la version sioniste de l'histoire de la Palestine manque tout le reste comme s'il n'y avait rien eu à signaler durant presque 2 millénaires entre la rébellion de Bar Kochba et la création d'Israël en l'an 1948 ! Il faut fouiller longuement dans l'histoire pour trouver un cas semblable d'ethnocentrisme.

De cette manière a été créé un mythe lourd de conséquences. On a sélectionné délibérément quelques épisodes de l'histoire d'environ 5000 ans d'un pays : l'immigration des Hébreux - mais pas des autres peuples ! - dans le pays de Canaan, le royaume de David et de Salomon - mais pas des autres royaumes qui ont existé également en cet endroit ! - et les révoltes des Macchabées et de Bar Kochba - comme s'il n'y avait eu aucun autre événement digne d'intérêt dans le courant de l'histoire ! Oui, l'histoire de la Palestine telle qu'elle est présentée aux écoliers d'Israël, est un fatras de mensonges.

Mais l' "Histoire Sainte" de la "Terre Sainte" telle qu'elle est enseignée dans les cours de catéchisme et dans les écoles du dimanche protestantes est centrée essentiellement sur la Bible et accrédite ainsi involontairement la version de la propagande sioniste. Ceci fait que d'innombrables milliers de Chrétiens du monde entier tiennent pour vrai un mythe qui entraîne la privation des droits et la misère pour les Palestiniens et une paix sans cesse compromise non seulement au Proche Orient mais aussi à l'échelle mondiale. Ce mythe justifie en effet aussi les annexions territoriales de même que la guerre de conquête des sionistes.

Les sionistes renforcent leurs mensonges historiques avec deux autres mythes qui sont racontés comme suit :

1) Les Juifs ont créé là-bas en Palestine où régnait le désert, un jardin fertile. Ainsi la légende dit que ce pays vide d'habitants jadis s'est peuplé grâce aux Juifs. "Donnez un pays sans population à un peuple sans pays !" avait clamé le sioniste anglais Israël Zangwill (et après lui, Théodore Herzl).

2) Le peuple juif actuel appartiendrait à la même race que les anciens Hébreux. Ceci justifie son "retour" dans sa "vieille patrie". Or comme nous le démontrerons plus loin, il ne peut être question que les Juifs contemporains soient les descendants des Hébreux bibliques.

Lorsque le sionisme politique dont la pièce maîtresse pour l'état juif a été le livre de Herzl paru en 1896, entra dans sa phase décisive, on n'accorda aucune importance au fait que la Palestine était déjà peuplée. La non existence du peuple palestinien est un des principes de base du sionisme. Ce dogme a conduit à beaucoup de massacres de Palestiniens par les sionistes. Qu'a donc dit Golda Meir le 15 juin 1969 au Sunday Times ? "Il n'existait aucun peuple qui réponde au nom de palestinien". "D'où il n'existe en aucune manière un peuple palestinien que nous aurions chassé et auquel nous aurions pris son pays. Ces gens n'existaient tout simplement pas".

Si ces Palestiniens qui n'existent pas sont assez fous pour résister, ils doivent être envoyés au diable ou être abattus. Ceci ne peut pas entraîner des protestations sérieuses puisque on a expulsé ou égorgé de simple fantômes. Ainsi est légitimé ce que nous appelons un génocide.

Lorsqu'Albert Einstein demanda à l'ancien chef de l'organisation mondiale sioniste Chaim Weizmann ce qui se passerait avec les Arabes si on donnait le pays aux Juifs, celui-ci répondit avec mépris : "Quels Arabes ? Ces gens là ne jouent aucun rôle !".

Le professeur Ben Zion Dinur, le premier ministre de l'éducation de l'état d'Israël et un ami intime de Ben Gourion, écrivit, en 1954, dans son introduction à l'histoire de l'Haganah par l'organisation sioniste mondiale ce qui suit : "Dans notre pays, il n'y a de la place que pour les Juifs. Nous dirons aux Arabes : fichez le camp ! S'il n'obéissent pas à cet ordre ou s'ils manifestent de l'hostilité alors nous les expulserons du pays par la force".

Joseph Weitz, l'ancien directeur de la commission pour l'arbitrage au sein de l'agence juive, écrivit en 1940 : "Entre nous, il doit être clair qu'en ce pays, il n'y a pas de place pour deux peuples... L'unique solution est Eretz Israël, à tout le moins un Israël occidental débarrassé des Arabes, et pour cela il n'existe aucune autre possibilité si ce n'est d'expulser ces Arabes dans les pays voisins."

Il faut savoir qu'un pionnier sioniste très célèbre Hascher Ginzberg qui était producteur de littérature abondante sous le nom de Ahad Ha'am ("un du pays"), en 1891 déjà écrivait ce qui suit : "Nous, à l'étranger, nous nous imaginons que la Palestine est actuellement pratiquement sans habitant, un désert stérile où chacun peut acheter la terre qu'il désire. En fait il n'en est pas ainsi. Dans toute la Palestine on trouve difficilement un terrain arabe qui n'est pas cultivé. Il y a seulement des dunes et des régions montagneuses stériles où rien ne peut pousser si ce n'est quelques arbres fruitiers isolés et encore seulement après un dur travail."

Non la Palestine n'était pas du tout un pays vide d'habitants ni n'était laissé à l'abandon et inculte Elle était habitée. L'arboriculture et l'agriculture étaient en pleine expansion.

 

LE PEUPLE ELU DE DIEU

Leur pays a été volé aux Palestiniens par les juifs, parce que le Tout Puissant aurait promis la Palestine à ce peuple prétendument élu par un dieu. Comment peut-il en être ainsi ?

D'après l'Ancien Testament, l'écriture sainte des juifs, les juifs constituent les peuple choisi par Dieu, le peuple des "Seigneurs". Dans le chapitre 19 du second livre de Moïse (v. 3-6), il est dit : "Et Moïse monta vers Dieu. Et le Seigneur l'appela de la montagne et lui dit : "Voici en quels termes tu parleras à la maison de Jacob et aux enfants d'Israël : vous avez vu vous-mêmes comment j'ai traité les Egyptiens et comme je vous ai emportés comme sur des ailes de vautour et je vous ai amenés à moi. Si vous obéissez désormais et respectez mon alliance, je vous tiendrai pour miens parmi tous les peuples ; car toute la terre est à moi. Tel est le discours que tu tiendras aux enfants d'Israël."

Dieu a donc conclu ainsi une alliance avec les enfants d'Israël et choisi ce peuple avant tous les autres peuples. C'est aussi exposé dans le 5e livre de Moïse (v.1-3). "Et Moïse convoqua tout Israël et lui dit : "Ecoute, Israël, les lois et coutumes qu'aujourd'hui je prononce à tes oreilles et apprends-les et garde-les pour les mettre en pratique. Yahvé, notre Dieu, a conclu une alliance avec nous sur l'Horeb et il n'a pas conclu cette alliance avec nos pères mais avec nous qui sommes aujourd'hui ici et tous vivants."

Que ce choix, cette preuve de Dieu d'être son peuple à lui entraîne forcément une position prédominante sur les autres peuples, c'est ce qui ressort du 26e chapitre du 5e livre de Moïse (18-19) : "Et Yahvé a obtenu de toi aujourd'hui cette déclaration que tu serais son peuple personnel comme il te l'a dit - mais à la condition de garder tous ses commandements. Il t'élèverait alors au-dessus de toutes les nations qu'il a faites, en honneur, en renom et en gloire et tu seras un peuple consacré à Yahvé ainsi qu'il te l'a dit."

Cette domination du peuple choisi sur tous les autres peuples est présentée expressément dans le 5e livre de Moïse. Au verset 13 du 28e chapitre, il est dit en toutes lettres : "Yahvé te mettra à la tête et non à la queue, tu ne seras jamais qu'au dessus et non point au dessous, si tu écoutes les commandements de Yahvé ton dieu que je te prescris aujourd'hui pour les garder et les mettre en pratique..."

Pour n'importe quel croyant qui considère que tous les hommes sont des créatures de Dieu, il est particulièrement choquant que Dieu aurait donné la préférence à un certain peuple et aurait conclu une alliance particulière avec lui contre tous les autres peuples. Pourtant c'est écrit sans équivoque possible, dans la bible juive de même que dans la loi juive, dans les livres de Moïse. Là il est aussi écrit que ce dieu permit à son peuple élu de voler le pays des autres peuples et comme si ce n'était pas assez, il lui accorde la permission d'exterminer les autres peuples au moyen du fer et de l'acier, et de commettre ainsi un holocauste dans le vrai sens du terme !

Dans le cinquième livre de Moïse, chapitre VI, v. l, 10, 12 et 13, il est dit : "Lorsque Yahvé, ton dieu, t'aura conduit au pays qu'il a promis à tes pères, Abraham, Isaac et Jacob, de te donner, aux villes grandes et prospères que tu n'as pas bâties, aux maisons pleines de toutes sortes de biens, maisons que tu n'as pas remplies, aux puits que tu n'as pas creusés, aux vignes et aux oliviers que tu n'as pas plantés, lors donc que tu auras mangé et que tu te seras rassasié, garde-toi d'oublier Yahvé qui t'a fait sortir du pays d'Egypte, de la maison de servitude. C'est Yahvé ton dieu que tu craindras, Lui que tu serviras, c'est par son nom que tu jureras."

A un autre endroit (5ème livre, chapitre VII, v. 16-24), Yahvé dit encore clairement : "Tu dévoreras donc tous ces peuples que Yahvé ton dieu te livre, sans les prendre en pitié et sans servir leurs dieux car tu y serais pris au piège. Peut-être vas-tu dire en ton coeur : ces nations sont plus nombreuses que moi, comment pourrais-je les déposséder ? Ne les crains pas, rappelle-toi donc ce que Yahvé ton dieu a fait à Pharaon et à toute l'Egypte, ces grandes épreuves que tes yeux ont vues, ces signes et ces prodiges, cette main forte et ce bras étendu par lesquels Yahvé ton dieu t'a fait sortir. Ainsi fera Yahvé ton dieu contre tous les peuples que tu crains d'affronter. De plus, Yahvé ton dieu enverra des frelons pour anéantir ceux qui seraient restés et se seraient cachés pour t'échapper. Ne tremble donc pas devant eux, car au milieu de toi est Yahvé ton dieu, dieu grand et redoutable. C'est peu à peu que Yahvé ton dieu détruira ces nations devant toi : tu ne pourras pas les exterminer sur le champ de peur que les bêtes sauvages ne se multiplient à ton détriment, mais Yahvé ton dieu te les livrera et elles resteront en proie à de grands troubles jusqu'à ce qu'elles soient détruites. Il livrera leurs rois en ton pouvoir et tu effaceras leur nom de dessous les cieux. Nul ne tiendra devant toi jusqu'à ce que tu les aies exterminés."

Ce que ce dieu promet, c'est-à-dire exterminer tous les peuples qui se trouvent sur le chemin de son peuple élu, est un leitmotiv de la Torah. Dans le cinquième livre de Moïse, chapitre XI, v. 22-25, il est dit :

"Car si vraiment vous gardez et pratiquez tous ces commandements que je vous prescris, aimant Yahvé votre dieu, marchant dans toutes ses voies et vous attachant à lui, Yahvé dépossédera à votre profit toutes ces nations et vous déposséderez des nations plus grandes et plus puissantes que vous. Tout lieu que foulera la plante de vos pieds sera vôtre ; depuis le désert, depuis le Liban, depuis l'Euphrate jusqu'à la "mer occidentale", s'étendra votre territoire. Personne ne tiendra devant vous. Yahvé votre dieu vous fera craindre et redouter sur toute l'étendue du pays que vous foulerez ainsi qu'il vous l'a dit."

Encore toujours dans le cinquième livre de Moïse, chapitre XX, v. 10-13, Yahvé recommande à son peuple élu de mettre en esclavage les peuples qui veulent la paix et de tuer tous ceux qui osent résister :

"Lorsque tu t'approcheras d'une ville pour l'attaquer, tu lui proposeras la paix. Si elle l'accepte et t'ouvre ses portes, tout le peuple qui s'y trouve te devra la corvée et le travail. Mais si elle refuse la paix et ouvre les hostilités, tu l'assiégeras. Yahvé ton dieu la livrera en ton pouvoir et tu en passeras tous les mâles au fil de l'épée. Les femmes, toutefois, les enfants, le bétail, tout ce qui se trouve dans cette ville, toutes ses dépouilles, tu les prendras comme butin. Tu mangeras les dépouilles de tes ennemis que Yahvé ton dieu t'aura livré. C'est ainsi que tu traiteras les villes très éloignées de toi qui n'appartiennent pas à ces nations. Quand aux villes de ces peuples que Yahvé te donne en héritage, tu n'en laisseras subsister rien de vivant. Oui, tu les voueras à l'anathème, ces Hittites, ces Amorites, ces Cananéens, ces Perizittes, ces Hivvittes, ces Jébusiens, ainsi que te l'a commandé ton dieu !"

Lorsque l'état actuel d'Israël se désigne comme état juif, il se réfère aux principes religieux du dieu de la torah et se considère comme le peuple élu avec les droits sanctionnés par son dieu sur le pays des Palestiniens, la "terre promise". Alors les Israéliens et les Sionistes endossent une très grande responsabilité. Car cette foi en l'ancien testament est incompatible avec les plus hautes religions, telles que le Christianisme et l'Islam et pas davantage avec la démocratie et les droits de l'homme.

Golda Meïr, la dame très estimée en Occident, premier ministre israélien,des années 70, David Ben Gourion et Menahem Begin ont déclaré publiquement que le Sionisme et la création de l'état d'Israël était issu de la Promesse que Yahvé avait faite dans les temps bibliques à son peuple élu !

Dans ces circonstances, il est réjouissant de constater qu'en Israël s'élèvent pour protester des voix critiques raisonnables. Meron Benisti, l'ancien bourgmestre de Jérusalem, a dit : "Soit nous restons un état juif nous deviendrons toujours plus anti-démocratiques, ou bien nous resterons un état démocratique et non plus juif... La démocratie peut seulement être respectée si nous accordons tous les droits de citoyens aux arabes israëliens." (Cité d'après le Newsweek du 20 avril 1970)

Depuis Israël est devenu toujours "plus juif" et par là toujours plus anti-démocratique envers les Palestiniens, tout particulièrement dans les territoires occupés de la Cisjordanie et dans la bande de Gaza où sont créées, aux frais de la population palestinienne, toujours plus de colonies juives.

Israël Shahak, fondateur et membre du mouvement du droit des citoyens israëliens, a, à plusieurs reprises, qualifié Israël d' "état raciste où, sur des principes religieux dépassés, on crée l'image que les Juifs constituent l'élite de l'humanité qui possède le droit de traiter les autres peuples comme des esclaves." (cité d'après le journal israëlien Ha'aretz du 27 novembre 1971)

Dans le fond, la représentation d'être le peuple de dieu est une glorification antithéiste de son propre peuple au détriment des autres. Des représentations tout à fait semblables ont caractérisé l'idéologie des "Chrétiens allemands" durant le IIIè Reich au sujet de laquelle l'évèque suédois et historien renommé des religions, Anders Nygren disait : "On se crée un dieu selon sa propre image, à l'image des hommes allemands...le dieu qui est adoré en réalité est une image de ce peuple particulier." Il aurait mieux fait d'appliquer cette fausse définition de "l'idéologie" du IIIè Reich à la juiverie biblique !

 

LES MYTHES DE LA PROPAGANDE SIONISTE

Pour renforcer leur pouvoir, les sionistes répandent en Suède et dans les autres démocraties occidentales, avec l'aide des mass média, plusieurs mythes de propagande qui sont trop rarement décelés comme tels par le public.Ces mythes doivent être démasqués.

1. "Les juifs sont le peuple de Dieu", d'où qui attaque les juifs ou conteste leur droit à un état propre, s'attaque à Dieu et jette le plan de Dieu aux oubliettes !

Des fidèles chrétiens sont souvent réceptifs à cette affirmation et cela parce qu'ils ne font aucune distinction entre le Dieu qu'ils prient eux-mêmes et le dieu de la bible hébraïque.

En reconnaissant cette bible comme faisant partie de l'Ecriture Sainte, la chrétienté s'est judaïsée depuis le début.

2. "Les juifs ont été persécutés et opprimés incessamment au cours de l'histoire. Durant la seconde guerre mondiale, ils furent exterminés en masse. C'est pourquoi il est de notre devoir d'éprouver une compassion particulière pour les juifs et de leur accorder plus d'indulgence que nous ne le faisons généralement."

Il faudrait étudier la question si les juifs n'ont pas une part de responsabilité dans ce qui leur est arrivé, ou bien même s'il est vrai qu'ils ont été persécutés beaucoup plus que ne l'ont été d'autres minorités. Mais se poser cette question est regardé comme inconvenant, comme une espèce de sacrilège. (les chercheurs révisionnistes en savent quelque chose !)

3. "Les juifs sont plus intelligents et plus méritants que les autres." Les juifs se distingueraient dans tous les domaines. On les trouverait au sommet de toutes les branches intellectuelles, en tant que chercheurs, médecins, avocats, régisseurs, auteurs et journalistes. Qu'on pense seulement aux "prix Nobel" où leur nombre esr extraordinairement élevé. Mais on ne lit rien dans la presse au sujet des juifs qui se trouvent au bas de la société ou totalement en dehors.

4. "Les juifs sont de vrais démocrates" dont les idées libérales ont été présentées par les mass média comme déterminantes ! "En plus, il existe l'état d'Israël, la seule démocratie du Proche Orient ! Les juifs ne sont pas seulement l'avant-garde de la démocratie dans le monde occidental et les porte-drapeau du monde libre mais aussi des citoyens du monde qui rejettent les frontières trop étroites des nations et se présentent comme les meilleurs propagateurs de la culture universelle.

5. "Les juifs doivent posséder leur propre pays où ils pourraient enfin se sentir en sécurité après avoir subi des persécutions incessantes au cours de leur longue histoire." Chaque peuple a droit à un pays qui lui soit propre. Pourquoi ne serait-il pas accordé aux juifs, l'état d'Israël ? L'état d'Israël est sacré et intouchable et les adversaires d'Israël ne sont au fond que les ennemis déclarés du genre humain. Ce que signifie pour la population palestinienne la création de l'état d'Israël par les armes, personne n'y trouve rien à redire.

 

1. REFUTATION DE LA PROPAGANDE MYTHIQUE

Les thèses et arguments présentés ci-dessus ne sont que des mensonges éhontés qu'on doit rejeter comme tels.

1. Il n'existe pas de "peuple élu", ni de "Peuple de Dieu". Un dieu, qui en plus, ordonne à ses élus de s'emparer du pays des autres peuples (cf. Moïse, livre 3, v. 20 :24) est un potentat maléfique et doit être rejeté au nom de l'humanité, de la civilisation et de la justice.

2. Les persécutions dont ont souffert assez souvent les juifs au cours de l'histoire sont en grande partie imputables aux juifs eux-mêmes. Elles sont la conséquence avant tout de leur manière de vivre, de ce qu'ils vivent comme des étrangers et même comme des éléments déstabilisateurs au sein des autres peuples.

Leurs efforts souvent couronnés de succès en vue de créer en leur faveur une grande puissance et de s'attribuer des privilèges princiers aux frais des autres habitants de la planète suscitent naturellement la haine et le rejet de la part des autres peuples.

Ce rejet sera d'autant plus fort, cela va de soi, si l'on peut lire dans la bible comment se sont comportés dans les anciens temps les Enfants d'Israël sur ordre de leur dieu contre les peuples voisins. Ainsi ce dieu leur ordonna par exemple de massacrer les Madianites, un peuple très hospitalier chez lequel Moïse a longtemps séjourné et auquel appartenait sa fiancée Siffora, à l'exception toutefois des jeunes filles vierges dont les juifs pourront abuser.

Moïse, livre 4, 31, 17-18 : "Tuez donc tous les enfants mâles. Tuez aussi toutes les femmes qui ont partagé la couche d'un homme. Ne laissez la vie qu'aux jeunes filles qui n'ont pas partagé la couche d'un homme et qu'elles soient à vous."

Un peuple peut-il, parce qu'il adore un tel dieu, attendre de la part des autres peuples une compassion particulière pour ses souffrances et ses victimes ? certainement pas plus que tous les autres peuples qui ont eu à souffrir des injustices et des cruautés !

3. Il n'existe aucune preuve de quelque sorte que ce soit que les juifs soient plus intelligents et plus capables que les autres peuples. Sauf dans leur propre propagande bien entendu. Celle-ci n'est rien d'autre qu'une exaltation de soi tout à fait abusive et une grossière vantardise. Une chose apparaît clairement : au point de vue de l'art, s'il s'agit d'architecture, de sculpture ou de peinture, les juifs n'ont presque rien apporté en comparaison des autres nations civilisées. On ne trouve parmi eux qu'une poignée de compilateurs, d'imitateurs de talent.

4. Hors de quelques passages dans la bible, les juifs n'ont également apporté aucune oeuvre de premier plan dans la littérature. Il n'y a eu ni un Homère, ni un Sophocle, ni un Euripide, ni un Platon, ni un Dante, ni un Ibn Kaldoun, ni un Shakespeare, ni un Molière, ni un Goethe, ni un Balzac ou un Dostoievsky juif. De même, on ne trouve pas de Plutarque, de Thucydide, de Tacite, de Snorri Sturluson, de Carlyle, de Mommsen ou de Toynbee juif.

Les juifs ont certainement produit quelques savants de pointe. Par exemple des physiciens et mathématiciens comme Einstein, John von Neumann et Edouard Teller qui ont participé à la fabrication de la bombe atomique. Malheureusement donc, leur recherche dans le domaine scientifique n'offre que la perspective d'une destruction de l'humanité !

La littérature juive tradest une littérature de mode. On peut en dire autant du domaine scientifique où les juifs se sont créé un nom surtout en psychologie, en sociologie ou en politique, de même que dans l'économie nationale.

Il est indéniable que les juifs se défendent avec succès dans la communauté d'échanges internationaux capitaliste occidentale même si leurs résultats ne sont pas aussi probants que les média pro-sionistes ne l'affirment. C'est en effet une loi non écrite qu'on ne doit nommer les juifs en tant que tels que si l'expérience est positive.

Par exemple, ont peut dire que les lauréats du Prix Nobel comme Canetti et Singer sont juifs (c'est l'Académie suédoise qui est responsable de l'attribution des prix Nobel, mais c'est une organisation qui se trouve sous forte influence franc-maçonne, et qui a le devoir de désigner le plus possible de juifs - ou bien de dire que des chanteurs de pop music comme Bob Dylan (en fait Fred Zimmerman) ou Léonard Cohen sont d'origine juive ; par contre l'origine juive des chefs de la mafia ou des boss de la drogue ou des producteurs d'oeuvres pornographiques n'est jamais soulignée.

Les succès importants des juifs dans la société de concurrence capitaliste s'expliquent sans difficulté. celui qui dispose d'assez de capitaux, qui contrôle la branche publicitaire et une bonne partie des média, possède naturellement la clef de toutes les portes du monde des affaires. Ceci vaut particulièrement pour les E.U. où l'influence juive est énorme.La dimension réelle de la puissance juive aux USA n'a pas encore été pleinement révélée.

Les juifs n'ont jamais été de véritables démocrates Les racines de la démocratie se trouvent dans l'Athènes des Grecs et dans l'ancienne République romaine. En plus, nous trouvons une démocratie dans le Nord Pensons aux Lands germaniques ou à l'Angleterre où le système parlementaire a été appliqué très tôt. L'ancienne forme de l'état juif était théocratique, c'était un type d' auto-cratie orientale. (Saul, David, Salomon)

Durant leurs siècles d'existence dans les ghettos, les juifs n'ont jamais développé le moindre rudiment d'un gouvernement démocratique. Le fait que les juifs émancipés se soient mués plus tard en disciples fervents de la démocratie capitaliste (mais aussi les commissaires politiques du bolchevisme, de Lénine et de Staline étaient en majorité juifs !) doit faire subodorer qu'ils y trouvent le moyen d'agir au mieux de leurs intérêts particuliers.

Les sionistes devraient se rappeler que leur peuple, dans notre siècle, a été responsable de persécutions fanatiques contre les chrétiens en URSS et dans les autres états communistes.

Le chef de l' "alliance des athées", du pouvoir dirigeant sous la terreur religieuse barbare était un certain Jaroslawsky alias Minej Israilovitch Kubelmann.

De même les goulags mortifères de l'empire soviétique furent créés et dirigés par des juifs comme le sait fort bien tout lecteur de l' "Archipel du Goulag" d'Alexandre Soljénitsine. Parmi les noms les plus fameux, on trouve Naftali Aronowitsch Frenkel, Jakov Rappoport, Matvej Berman, Lazar Kogan de même que le chef du GPU Genrich Jagoda.

Un dirigeant sioniste américain, porte-parole d'une "Ligue pour la Paix" américaine, Théodore Nathan Kaufmann, ami intime du Président des EU Roosevelt et de sa femme Eléonore, publia, en mars 1941, un livre portant le titre de "Germany Must Perish"(L'Allemagne doit périr) Argyle Press, Neward, New Jersey.

Dans celui-ci, cet ami de la paix, Kaufmann, soutient que la seule solution au problème allemand se trouve dans l'extermination du peuple allemand par la stérilisation de tous les hommes de moins de 60 ans et de toutes les femmes de moins de 45 ans et par le partage de l'Allemagne entre les pays voisins.

Ce programme de génocide radical trouva une chaleureuse approbation dans les grands journaux des EU comme le Times, le Washington Post et le New York Times. Dans ce dernier il était présenté comme "un plan pour garantir une paix durable entre les nations civilisées."

Qu'on se souvienne en outre que Henry Morgenthau, le ministre des finances juif de Roosevelt, proposa un plan durant la seconde guerre mondiale qui proposait la transformation de toute l'Allemagne en un pays exclusivement agricole sans la moindre industrie. Cette réalisation aurait eu comme conséquence la mort par la faim d'au moins 20 millions d'Allemands. Ce projet de génocide et si possible sa réalisation semblent bien faire partie d'une tradition très prisée par les juifs !

Les liens des juifs avec la criminalité organisée sont exposés jusque dans les milieux juifs Ainsi, dans l'Almanach juif très sérieux de Richard Siegel et de Carl Rhein qui fut publié à New York par Bantam Books, tout un chapitre est consacré à ce sujet : "The Jewish Underworld : American-Jewish Gangsters." Il y est dit entre autres : "Il n'est pas exagéré d'affirmer que l'influence des bandits juifs dans le crime organisé aux USA durant les années 20 et 30 était comparable à celle des professionnels italiens, et même qu'elle les surpasse encore"

Dans cet Almanach, sont cités nommément, et se trouvent même les photos de quelques uns des chefs gangsters de : Moses L. Annenberg, Louis "Lepke" Buchalter et Jake "Greasy Thumb" Guzik à Meyer Lansky et Benjamin "Bugsy" Siegel. Cette "démocratie" que les sionistes ont réalisée en Israël est naturellement d'une nature douteuse puisqu'elle exclut les Palestiniens ce qui nie l'idée même de démocratie, de même que les droits de l'homme et la volonté de compréhension entre les peuples.

Aucun état n'a rejeté avec autant de désinvolture les résolutions de l'ONU qu'Israël. Aucun état en dehors d'Israël ne se refuse à déterminer ses frontières. Aucun état sauf Israël ne justifie la main-mise sur des territoires en notre siècle, par la "volonté de dieu".

Non, la démocratie telle qu'elle est pratiquée par les Israéliens n'est qu'une farce, et pas une bonne farce ! Seuls les âmes naïves croient en une telle supercherie.

Le sionisme s'appuie sur une philosophie machiavélique Le chef de sa diplomatie est le "Prince" de Machiavel qui affirme : "Les hommes sont si naïfs et se plaignent tellement du fardeau quotidien qu'un trompeur trouve toujours quelqu'un prêt à se laisser rouler par lui."

Ce n'est pas parce qu'ils sont des citoyens de nombreux états, qu'ils parlent différentes langues et s'approprient la culture des pays qu'ils habitent que les Juifs sont des citoyens du monde et de véritables internationalistes. Disciples de la religion juive extrémiste, ethnocentriste, et du sionisme le plus chauvin, ils paraissent des "citoyens du monde" à peu près aussi convaincants qu'un sourd-muet comme chanteur d'opéra.

Aux yeux de ces juifs, l'humanité et la compréhension de l'être humain ne sont pas pour tous les hommes mais uniquement pour les disciples de leur foi.Car le Congrès mondial juif et l'organisation mondiale sioniste se soucient-ils des intérêts des autres peuples sinon de ceux du peuple juif ?

Israël a-t-il proposé à la Croix Rouge internationale ou au Croissant Rouge international d'adhérer ou de participer à des actions humanitaires internationales ?

Les juifs s'intéressent aux autres peuples ou aux individus non-juifs uniquement dans la mesure où le point de vue de ces peuples ou de ces individus s'accorde avec les intérêts de la juiverie. Un "citoyen du monde" est quelqu'un qui non seulement peut se sentir à l'aise dans une culture étrangère mais encore considère tous les êtres humains sans faire référence à leur race, à leur nationalité, à leur religion comme des frères et des soeurs

5. La revendication juive de la Palestine est totalement injustifiée au nom des droits des peuples. Pourquoi les juifs pourraient-ils, eux qui durant des millénaires ont vécu disséminés dans tous les pays imaginables, revendiquer tout à coup un état particulier et l'obtenir par l'expulsion ou l'oppression de la population qui y réside depuis toujours ?. Peut-être parce que dans ce pays il y a eu, il y a très, très longtemps, il y a 2800 ans, un royaume juif ? cette revendication sioniste est totalement absurde :

La revendication de la Palestine est fondée sur la Bible juive, pourtant celle-ci n'est pas un véritable livre d'histoire mais bien une collection de légendes et de mythes que les Juifs ont amoncelés durant leur prétendue captivité à Babylone et qu'ils ont ensuite gonflés avec leur imagination. C'est seulement à Babylone qu' ils ont développé une tradition écrite propre.

A cela s'ajoute que les histoires de l'Ancien Testament sur les royaumes juifs d'Israël et de Juda, de même que sur le royaume unifié de Salomon, n'ont jamais été confirmées par la recherche historique et archéologique.

On n'a trouvé en Palestine aucun vestige d'une civilisation juive mais bien ceux de civilisations phéniciennes, cananéenne et philistine. On n'a pas retrouvé la moindre pierre du temple légendaire de Salomon bien que, durant les 150 dernières années, les archéologues aient fouillé nulle part ailleurs dans le monde autant qu'en Palestine.

Selon toute vraisemblance, il y a eu seulement un petit groupe de population juive et une poignée de principautés vassales qui étaient tout à fait dépendantes des grandes puissances de l'époque : les Egyptiens, les Babyloniens, les Assyriens, les Phéniciens et plus tard les Perses. Peut-être l'ancien Israël se trouvait-il à Asir dans le Sud-ouest de la péninsule arabique comme l'affirme le professeur Kamal Salibi !

Les Juifs n'ont jamais vécu exclusivement en Palestine mais ils ont vécu dispersés depuis toujours dans différents pays. Après la "captivité de Babylone" du VIè siècle avant J-C, comme cela a déjà été souligné, la majorité des Juifs resta à Babylone qui se trouvait sous l'autorité de la Perse. Au temps de Jésus, la colonie juive était plus dense dans l'Alexandrie égyptienne que toute la population juive de Palestine.A ceux-là s'ajoutèrent les communautés juives sur le pourtour de la Méditerranée orientale et même à Rome. Cela ne s'accorde en aucune façon avec le fait que la diaspora juive ait commencé seulement en l'an 70 après J-C avec la destruction de Jérusalem par les légions romaines.

Les tentatives sionistes pour créer un état juif en Palestine ne purent être réalisées que par la première guerre mondiale. Pour attirer les Etats-Unis aux côtés de la Grande Bretagne et de la France dans la guerre contre l'Allemagne, le gouvernement britannique promit aux Juifs de leur préparer une "foyer national" en Palestine. Pour l'obtenir, les Juifs devaient se servir de leur influence pour faire entrer les Etats-Unis dans la guerre.

Les Sionistes revendiquèrent, il est vrai, d'abord seulement un "foyer national" et en aucune façon un Etat juif spécifique. Lord Curzon, le successeur de Balfour avait sans doute subodoré la réalité comme ministre des affaires étrangères lorsqu'il écrivait déjà, le 26 février 1919, : "Weizman peut leur raconter ce qu'il veut et il peuvent comprendre sous le terme "foyer national" un centre culturel et de religion juive. Cependant il veut tout à fait autre chose. Il a en vue un état juif, une nation juive qui soit gouvernée par les Juifs et dans lequel la population arabe ne jouerait qu'un rôle de second plan. Cela, il désire le créer sournoisement sous la protection de l'administration britannique".

En mars 1921, le Conseil national juif, l'ancienne organisation sioniste la plus influente à l'époque envoya au ministre des colonies Winston Churchill un mémorandum qui contenait ce qui suit : "Nous ne pouvons pas supporter la pensée que nous voulons enlever leurs droits à une autre nation."

Mais lorsque les Sionistes, plus tard, par le mensonge et la fourberie, les armes et la terreur, construisirent leur état d'Israël, chaque chef israélite a admis tout à fait ouvertement que toutes les promesses antérieures, de créer un "foyer national juif" pour l'administration de la culture juive, n'avait pas été autre chose qu'un fieffé mensonge qui dissimulait l'intention d'amorcer la création d'un état juif.

 

Le culot des sionistes

Si l'état lilliputien d'Israël qui ne pourrait absolument pas exister sans le chantage de sa cinquième colonne sioniste située aux USA, se procurait l'arme atomique et menaçait d'exterminer totalement sinon partiellement tout ce qui l'entoure, alors la menace sioniste sur la civilisation du genre humain atteindrait son plus haut point.

Le monde libre doit absolument s'y opposer de toutes ses forces. Car il ne s'agirait plus seulement des Palestiniens volés et de leur droit de mener une vie d'êtres humains à part entière dans leur propre patrie, mais de l'avenir, de la survie même de toute l'humanité.

La propagande sioniste est totalement dénuée de conscience. Les mensonges éhontés des sionistes sont présentés comme des vérités, leur brutalité comme de la justice, leur terrorisme d'état comme une "lutte contre le terrorisme", leurs intrigues ourdies comme de la diplomatie, leurs atteintes à la liberté d'expression comme une liberté de pensée, leur machiavélisme comme une morale, leur campagne ordurière comme une défense de la tolérance et de la démocratie. En bref, ils inversent toutes les valeurs.

Cela tient peut-être au fait que mentalement ils se sentent ligotés par la peur de mépriser les ordres de Yahvé. Celui-ci, en effet, leur ferait subir les pires châtiments pour leur désobéissance : "Si vous vos opposez à moi, et ne consentez pas à m'écouter, j'accumulerai sur vous ces plaies au septuple pour vos péchés (...) C'est moi qui dévasterai le pays et ils en seront stupéfaits, vos ennemis venus l'habiter ! Vous, je vous disperserai parmi les nations. Je dégainerai contre vous l'épée pour faire de votre pays une lande et de vos villes une ruine."

Un peuple prie un dieu monstrueux et devient par là lui-même monstrueux !, un abominable ennemi de la Vérité et de la Morale ! Ou bien y aurait-il une autre explication à un tel phénomène ?

La propagande sioniste se sert toujours de quelques armes qui se révèlent être extraordinairement efficaces :

1. Un lavage de cerveau par de continuels rabâchages des hypothèses de base mensongères du sionisme jusqu'à ce que par la force de l'habitude, le peuple accepte ces mensonges comme argent comptant.

2. Une compassion à leur égard par un rappel incessant des souffrances endurées par le peuple juif, souffrances dont les juifs ne portent naturellement pas la moindre responsabilité. Cela commence avec la "servitude en Egypte" et la "captivité à Babylone" et se termine avec les "chambres à gaz" de l' "Holocauste".

Dans leur entourage, ces histoires juives sont utilisées par les Juifs pour se présenter comme le peuple miraculé, le seul peuple martyr de l'antiquité ayant survécu de manière à susciter la compassion et un sentiment de culpabilité chez les autres peuples. Ceux-ci ne peuvent évidemment expier leur faute qu'en honorant le "peuple élu" sans réserve, et en gardant ses souhaits toujours présents devant les yeux.

3. Des campagnes de diffamation sont une des armes favorites des sionistes. On inculque à tout un chacun qu'un individu marqué au fer rouge du titre infamant d'antisémite ou de "porteur de haine contre les juifs" a commis le crime le plus horrible dont on puisse se rendre coupable, un crime beaucoup plus grave qu'un blasphème, beaucoup plus répugnant qu' un vol, qu' un crime, qu' un assassinat. Un sacrilège peut quand même être un brave homme et un voleur, un criminel, un assassin peuvent s'améliorer et être réinsérés socialement, mais pas un "antisémite".

Pour que puisse se réaliser la force de frappe de la propagande sioniste, il faut obligatoirement le contrôle absolu sur toutes les entreprises importantes qui concourent à façonner l'opinion publique: l'industrie publicitaire, la presse, les grandes maisons d'édition, le théâtre et le show business, les films, la télévision, la vidéo et la radio ainsi que de nombreuses entreprises dont les annonces sont nécessaires pour financer les médias. D'où il devient possible d'amadouer les organismes médiatiques récalcitrants par le boycottage.

Cette pression s'exerce sur les organismes qui osent élever une critique contre le sionisme, ses plans et ses méthodes. Aux USA, toutes ces conditions sont parfaitement remplies mais elles sont en vigueur également en Suède et dans beaucoup d'états occidentaux. Le véhicule de la propagande sioniste est ici la culture impérialiste américaine.

La vulgarité de cette sous-culture décadente américaine qui coule à flots continus, son humour plat, sa sentimentalité larmoyante, son hard rock assourdissant, ses ineptes inventions quant à la mode, sa pornographie, son culte de la violence, tout cela est d'origine sioniste et est répandu par leurs commis.

En tout cas, l'intérêt des sionistes y trouve son compte : dans l'abrutissement et l'abêtissement des masses pour fabriquer des idiots tournés vers la consommation qui n'ont plus la moindre étincelle d'intelligence, de sens critique, et qui deviennent de ce fait des proies faciles pour les ambitions politiques des sionistes. Ceux-ci, au moins dans le monde technologiquement progressiste et riche de l'Occident, s'efforcent de parvenir à garder sous contrôle l'opinion publique.

Dénoncer le sionisme et sa propagande est un devoir terriblement important, essentiel.

 

LE SOI-DISANT "ANTISEMITISME"

La haine envers les juifs, appelée communément "antisémitisme" a été le bouillon de culture du sionisme et l'est resté jusqu'à aujourd'hui. Sans antisémitisme, pas de sémitisme.

Pour les sionistes, le principal danger est le risque d'intégration juive parce qu'un juif intégré n'est plus un nationaliste juif et ne peut plus servir par conséquent de lansquenet pour le sionisme. L'unité du judaïsme par delà les frontières et le mythe d'un peuple juif unique qui se distingue des autres peuples, ce qui est précisément le fondement même du sionisme disparaissent.

Pour exister, cette unité des juifs a besoin d'une menace reconnue contre tous les juifs : l'antisémitisme. S'il n'existait pas un tel mouvement au sein de la société laïque moderne, l'intégration des juifs serait facilitée et accélérée. Et le sionisme deviendrait un quartier général sans soldats du sommet à la base. C'est pourquoi l'antisémitisme est indispensable aux sionistes, comme le sauveur face à leur misère. (Ils vont donc jusqu'à l'inventer) voici quelques propos de sionistes connus :

Théedore Herzl, le fondateur du sionisme, a écrit dans son journal : "Les antisémites sont devenus nos alliés et les pays antisémites(?) nos amis." (Pataï, 1960, vol. I, p.84)

Le Docteur Arthur Ruppin a dit : "On ne peut pas vraiment affirmer que l'antisémitisme a produit à lui tout seul le sionisme, mais en Europe occidentale au moins, l'antisémitisme est l'agitateur le plus actif pour la cause sioniste et la disparition de l'antisémitisme (qui n'existe pas) entrainerait celle du sionisme." (Les juifs contemporains, éd. juive, Cologne, 1911, p.278).

Le Docteur Léo Wertheimer a écrit dans son livre paru en 1968 : "La haine envers les juifs et les juifs" : "L'antisémitisme est l'ange sauveur des juifs, qui oeuvre puissamment à ce que les juifs restent juifs... Les antisémites ont créé la conscience d'être juifs chez beaucoup de juifs qui ne désiraient pas l'être." (cité d'après le Docteur Franz Scheidl, "Israël, rêve et réalité", Vienne, 1962, p.18)

Le grand chef du sionisme, Nahum Goldmann, a dit dans un discours prononcé lors de la rencontre du Congrès mondial juif du 27 juillet 1958, à Genève : "Si l'antisémitisme disparaît dans sa forme classique, cela conduirait sans doute à une amélioration matérielle et politique au niveau de la communauté juive partout dans le monde, mais cela aurait surtout une action négative sur notre être intime. Notre peuple sait se battre héroïquement (?) dans les mauvais jours, mais il n'a pas encore appris à vivre d'une façon créatrice dans les jours meilleurs." (New York Times, 24 juillet 1958)

Dans son livre "Le paradoxe juif", Goldmann continue : "Une totale intégration serait une véritable catastrophe pour l'ensemble de la vie juive." (p. 182 de l'édition suédoise parue à Stockholm)

Le Professeur Jeshua Goldmann a déclaré au 26e rassemblement de l'Organisation Mondiale Sioniste en Israël, le 30 décembre 1964 : "Le plus grand danger pour le judaïsme et l'unité juive est l' absence d'antisémitisme" (cité d'après le docteur Franz Scheidl, voir plus haut, p.18)

Il ne subsiste aucun doute que le sionisme est indissolublement lié à l'antisémitisme et que sans lui il ne serait pas viable. Les sionistes clament sans cesse leur peur et leur dégoût de l'antisémitisme mais ne veulent pas qu'il disparaisse, mais au contraire voudrait le voir se réveiller, le rappeler sans cesse à la vie. Si l'antisémitisme mourrait, le sionisme mourrait avec lui. C'est pourquoi il ont forgé ce nouveau mythe.

 

LE MYTHE DE LA RACE DES SEIGNEURS

Comparer et assimiler le sionisme raciste au National Socialisme relève de l'ignorance.

Le National Socialisme, mouvement politique qui a voulu le bien de son pays et n'a jamais voulu s'imposer aux autres peuples. Qui a voulu redonner aux Allemands leur honneur d'êtres humains après la terrible déchéance orchestrée par les vainqueurs de 1918. Mouvement qui n'a jamais haï les juifs en tant qu'individus, mais a cherché à les empêcher de nuire dans les domaines où ils s 'étaient incrustés comme parasites, mérite tout notre admiration. A l'opposé du sionisme qui est un mouvement religieux qui veut la domination du Mal sur le monde et utilise en ce but les moyens les plus dépravés et les plus horribles.

Nous trouvons dans la bible juive des propositions que la connaissance de la Torah énonce comme suit : "Yahvé fera de toi son peuple qui lui est consacré ainsi qu'il te l'avait promis si tu gardes ses commandements et que tu marches dans ses voies. Et tous les peuples sur la terre verront que tu portes le nom du Seigneur et ils te craindront." (5 Moïse, 28 :9-10)

Les autres peuples doivent craindre le peuple élu. Mais cela ne suffit pas, le peuple élu doit aussi régner sur les autres peuples comme il est prescrit dans le 5e livre de Moïse, 28 :13 : "Et Yahvé te mettra à la tête et non à la queue. Tu ne seras jamais qu'au dessus et non point au dessous si tu écoutes les commandements de Yahvé ton dieu, que je te prescris aujourd'hui pour les garder et les mettre en pratique."

Que le peuple des hommes élus possède le droit d'expulser les autres peuples et de les soumettre ressort de cette autre citation de la bible :

"Car si vraiment vous gardez et pratiquez tous ces commandements que je vous prescris, aimant Yahvé votre dieu, marchant dans toutes ses voies, et vous attachant à lui, Yahvé dépossédera à votre profit toutes ces nations et vous déposséderez des nations plus grandes et plus puissantes que vous. Tout lieu que foulera la plante de vos pieds sera vôtre ; depuis le désert, depuis le Liban, depuis le fleuve Euphrate jusqu'à la Mer occidentale, s'étendra votre territoire. Personne ne tiendra devant vous, Yahvé votre dieu vous fera craindre et redouter sur toute l'étendue du pays que vous foulerez ainsi qu'il vous l'a dit." (Moïse 5, 11 : 22-25)

Les paroles suivantes de la bible révèlent que le génocide est désigné comme une action qui plaît à leur dieu et qu'il est sévèrement défendu de se mélanger aux autres races et autres peuples :

"Lorsque Yahvé ton dieu t'aura fait entrer dans le pays dont tu vas prendre possession, des nations nombreuses tomberont devant toi : les Hittites, les Girgashites, les Amorites, les Cananéens, les Périzzites, les Hivvites, les Jébuséens, sept nations plus nombreuses et plus puissantes que toi. Yahvé ton dieu te les livrera et tu les battras. Tu les désavoueras par anathème. Tu ne conclueras pas d'alliance avec elles, tu ne leur feras pas grâce. Tu ne contracteras pas de mariage avec elles, tu ne donneras pas ta fille à leur fils ni ne prendras leur fille pour ton fils."

Les politiciens qui dirigent Israël légitiment le rapt sioniste du territoire palestinien de même que la politique raciste et expansionniste d' Israël en se référant à la bible. Est-il besoin d'exemples ?

"Ce pays existe comme résultat d'une promesse faite par notre dieu lui-même. Il serait absurde de mendier la reconnaissance de sa légitimité." a dit Golda Meir, l'ancienne premier Ministre d'Israël, en octobre 1971 lors d'un discours devant la Knesseth. (Le Monde, 15 octobre 1971)

"Ce pays nous était promis, nous avons tous les droits sur lui." a dit le premier Ministre Menahem Begin, lorsqu'il reçut le Prix Nobel de la Paix (!) à Oslo. (Dabar, 12 décembre 1978)

 

LES JUIFS ONT-ILS TOUJOURS ETE PERSECUTES ?

La thèse continuellement répétée comme quoi les Juifs auraient été persécutés tout au long de l'histoire, sans qu'il ait eu faute de leur part doit être remise en question, de même que la thèse suivant laquelle la haine envers les Juifs (ou antisémitisme) serait une manifestation presque chronique chez tous les peuples.

Dans leur livre "Why the Jews ?" (Simon and Schuster, New York, 1983, p. 17), les deux auteurs juifs, Dennis Prager et Joseph Teleshkin écrivent : "La haine envers les juifs fut la grande haine de l'humanité. Bien que d'autres groupes aient été haïs, en aucun cas la haine n' a été si étendue, si profonde et si durable que contre les Juifs." Ces phrases sont typiques. Elles reflètent la dominante non seulement des innombrables articles de polémique issues de la plume des Juifs, mais aussi d'oeuvres importantes qualifiées de sérieuses qui décrivent l'histoire des Juifs et de l'antisémitisme. Dans chaque cas, pour ainsi dire, les éditeurs sont des Juifs. En Suède, Le professeur aujourd'hui décédé, Hugo Valentin, en France, Léon Poliakov, dirigeant du Centre de Documentation juif, à Paris, en Amérique, entre autres, Max I. Dimont Ainsi tous ces livres sont partiaux.

En de telles conditions, il est bon d'attirer l'attention sur le livre objectif du professeur Efraïm Briem, "Antisemitismen genom tiderna" (L'antisémitisme au fil du temps) Natur och Kultur, Stockholm, 1940 duquel nous voulons citer quelques passages sur l'antisémitisme dans l'ancienne Rome :

"Une cause de la haine envers les Juifs résultait du fait que les Juifs, plus que n'importe quel autre peuple, profitaient dans l'Antiquité de nombreux avantages et droits particuliers qui n'étaient pas justifiés. Pour des raisons diverses, plusieurs empereurs romains, depuis Jules César, favorisaient les Juifs, et divers édits leur assuraient la liberté religieuse. Pour qu'ils puissent observer rigoureusement le sabbat, ils étaient exemptés du service militaire afin qu'ils ne doivent pas prendre les armes le samedi (p. 169). Que de cette façon, les Juifs jouissaient de plus de liberté et de droits qu'ils n'accordaient eux-mêmes aux autres peuples vaincus ressort de nombreuses citations de Josèphe, le plus grand historien juif qui vécut de l'an 37 à l'an 100 après J.C.

L'orientaliste renommé, le professeur Julius Wellhausen écrit dans son ouvrage : "Israël, Histoire juive", page 236 : "Les Juifs jouissaient de divers privilèges et libertés pour pouvoir accomplir leurs obligations religieuses. Ils avaient même leur propre jurisprudence liée étroitement à leur foi. Ainsi, ils obtenaient le droit de prélever l'impôt capitulaire prescrit par la loi de Moïse pour le service du temple et l'expédiaient à Jérusalem. Ils étaient donc privilégiés d'une manière importante même s'ils n'étaient pas reconnus comme citoyens romains et par là, exclus du gouvernement de l'Empire. Ce dernier fait n'est d'ailleurs que la conséquence de leur propre refus de participer aux affaires communes et aux cérémonies religieuses publiques."

Evidemment cette situation particulière des Juifs pouvait peut-être provoquer l'hostilité de la part des autres citoyens mais surtout grâce à ces privilèges, ils pouvaient s'isoler des autres groupes humains et conserver ainsi leurs particularités. Ceci de même que leur ethnocentrisme éveillait l'antipathie chez les autres. Ainsi nous trouvons des propos anti-juifs chez divers écrivains grecs et romains.

Les Juifs auraient-ils été réellement persécutés (et d'après les citations, il semble bien que non), eux ne se gênaient pas pour persécuter les autres partout où ils se répandaient. Moins de 50 ans après la destruction de Jérusalem, en l'an 116 après J.C., la population juive se souleva dans toute la région méditerranéenne orientale pour exterminer les peuples parmi lesquels ils vivaient et qui les détestaient autant qu'eux les haïssaient. Le soulèvement juif se concentra en première ligne sur l'Egypte, la Cyrénaïque, et sur Chypre, mais s'étendit aussi en Mésopotamie et en Palestine Partout où les Juifs sortaient vainqueurs, ils commettaient des massacres certainement aussi sinon plus horribles que ceux qu'ils avaient subi eux-mêmes auparavant. Ils faisaient mourir leurs victimes à petit feu et forçaient leurs prisonniers à s'affronter dans des combats de gladiateurs où les vaincus étaient toujours condamnés à mort. En Cyrénaïque, Les Juifs auraient tué pas moins de 22 000 habitants, à Chypre même, 240 000. Ces chiffre semblent exorbitants. D'après l'historien Dio Cassius, (qui est crédible d'après Gibbon et Mommsen) les juifs taillaient en morceaux les cadavres des vaincus et se barbouillaient de leur sang.

En Palestine, des agitations débutèrent à nouveau,en l'an 132, sous la conduite du chef de bandits, Bar Koshba, le "Fils de l'Etoile" Ce nom fait allusion à une prophétie du 4e livre de Moïse(24. 17-19) que voici : "Je le vois, mais non pour maintenant, je l'aperçois - mais non de près : Un astre issu de Jacob devient chef, un sceptre se lève, issu d'Israël. Il frappe les tempes de Moab et les crânes de tous les fils de Seth. Edom devient un pays conquis ; pays conquis, Séir. Israël déploie sa puissance. Jacob domine sur ses ennemis et fait périr les rescapés d'Ar."

Ce Bar Koshba a été proclamé messie par l'écrivain de renom Rabi Akiba et honoré comme tel par le peuple juif. Ce soulèvement avait pris des allures si barbares que l'empereur Hadrien a dû rappeler de Grande Bretagne son meilleur général Julius Severus pour le mater. C'est seulement en 135, après 3 années de lutte acharnée que la rébellion fut domptée.

580 000 hommes auraient été tués et toute la Judée était en ruines, couverte de cendres. Tout cela ne contribua pas à renforcer la position des Juifs dans l'Empire romain et jusqu'à l'avènement du christianisme, il régna durant toute l'époque dite païenne une ambiance anti-juive assez prononcée

 

RACISME DE JUIFS MONDIALEMENT CONNUS

Dans la propagande sioniste, on souligne avec force que les anti-sionistes, c'est à dire ceux qui condamnent Israël et sa politique de répression et d'occupation seraient des racistes et des antisémites.

En réalité, c'est l'inverse qui est le cas. Les sionistes eux-mêmes sont des racistes. Mais la majorité des gens ne connaissent pas l'histoire ; ils croient en la version sioniste falsifiée qui leur sert de propagande. Malheureusement tous les propagandistes le savent bien :quand un mensonge est répété assez souvent sans jamais être contredit publiquement, la majorité finit par le considérer comme une vérité.

Nous tenons à préciser que nos sources sont sionistes. Personne ne pourra donc nous accuser d'anti-sionisme. Les sionistes eux-mêmes révèlent leur racisme.

Theodor Herzl, la figure centrale du sionisme, n'était pas un adversaire de l'anti-sémitisme, du moins pas un adversaire actif. Il le considérait comme inévitable et incurable. Dans les notes de son journal intime, il écrit :

"Je comprends l'anti-sémitisme. Nous, les Juifs, nous l'avons provoqué nous-mêmes en tant qu'étrangers dans divers pays. En fait, l'anti-sémitisme est la conséquence de l'émancipation juive. mais l'anti-sémitisme ne sera pas nuisible aux Juifs : je le considère comme un mouvement utile à l'éducation du caractère juif. (Journal, Berlin 1922, traduit en suédois)

Théodor Herzl n'était pourtant pas le premier sioniste politique. Il y eut Moses Hess, un ancien ami du jeune Karl Marx. "Par Moses Hess, l'idée nationale juive s'est érigée sur la notion de race" relevait Edmond Silberner dans son livre : "Socialists and the Jewish question" (Princeton University, 1969). Le fait que Moses Hess fut le premier véritable sioniste est confirmé aussi par Chaïm Weizmann dans son autobiographie ("Ett liv i kamp för Israël", Une vie de combat pour Israël, Stockholm, 1951, p. 60)

Dans son livre paru en 1862, "Rome et Jérusalem", Hess déclare : "Jusqu'à ce jour, l'histoire dans son ensemble s'est déroulée autour de luttes de races et de classes. La race est à l'origine de la lutte, la cause primordiale ; en second vient la lutte des classes. Cette lutte des races s'est déroulée au cours de l'histoire avant tout entre deux races opposées : les Aryens et les Sémites" (trad du suédois)

Cette conception de l'histoire se retrouve quant à la lutte des races dans le livre de Gobineau "Sur la différence des races humaines" et dans celui de Steward Chamberlain, "Les bases du 19e siècle". Chamberlain était anglais de naissance mais adopta plus tard la nationalité allemande

Moses pensait cependant : "Si l'on doit avouer que des races différentes existent, cela ne doit pas conduire pour autant à parler de races supérieures ou inférieures. Une vie harmonieuse entre les peuples ne peut être obtenue que si chaque peuple se libère de toute domination étrangère. L'indépendance nationale est la condition nécessaire à tout progrès politique et social." (trad. du suédois)

C'est Moses Hess qui créa le premier l'expression "national- socialisme" et ceci déjà en l'année 1862.

Le successeur de Théodore Herzl et porte-parole de l'organisation sioniste mondiale devint un écrivain renommé : il s'agit de Max Nordau. Bien qu'il fut marié à une chrétienne non-juive et qu'il avait fait baptisé ses enfants, Max Nordau était un raciste juif ou sioniste. Le 21.12.1903, il s'exprimait ainsi dans le journal antisémite de Edouard Drumont, "La parole libre" : "Le sionisme n'est pas une question de religion mais exclusivement une question de race, et à cet égard personne n'approuve davantage Monsieur Drumond que moi !"(Desmond Steward, Theodore Herzl, p. 332)

Contrairement à la plupart des juifs émancipés, les sionistes acceptent la conception fondamentale que les Juifs forment un peuple bien à eux qui vit dans des pays étrangers auxquels il leur est impossible de s'assimiler. La seule véritable patrie des Juifs est le pays de leurs pères, la Palestine.

Sur ce point, les sionistes sont entièrement d'accord avec les antisémites. Ils font comprendre à ces derniers que les mariages mixtes sont un mal et ceci non pour des raisons religieuses ou culturelles mais parce que leur sang, leur race, doivent rester purs. Pour cela, ils se réfèrent à la Torah (Moïse, 5, 7 :3-4) et aux législateurs Esdras et Néhémie dans l'Ancien Testament.

Le philosophe Martin Buber vénéré par de nombreux Juifs et que certains tiennent pour le plus important penseur juif du siècle, écrivit en 1911, dans son livre : "Trois discours sur le judaïsme" : "C'est le sang que le Juif ressent comme son héritage millénaire et qui le rend immortel. Cette connaissance du fait que le sang produit la force nutritive de chaque individu est essentielle. Que les lois les plus profondes de notre existence sont déterminées par le sang, que notre pensée intérieure et notre volonté sont déterminées par lui...Si quelqu'un est amené à choisir entre les influences de l'environnement et la substance et la source de vigueur du sang, il se décidera pour le sang s'il veut être un juif authentique." (trad. du suédois)

Cette conception du sang et du sol se retrouve, mais sans haine, dans le national socialisme. Pour lui, les Juifs sont toujours des Sémites dont la seule véritable patrie fut la Palestine. Dans son livre pré-cité, Martin Buber affirme : "Les juifs ont été chassés de leur pays et se sont éparpillés dans tous les pays de l'Ouest et pourtant ils sont restés des orientaux, des Juifs et rien que des Juifs... On peut remarquer ceci même chez les Juifs les mieux assimilés dès qu'on arrive à toucher leur âme. Dès que le Juif entre en contact avec sa terre maternelle, il devient à nouveau créateur ; (p ; 75-77, trad. du suédois)

Le sionisme mystique de Buber ne va pas jusqu'au racisme sioniste populaire. Le responsable de ce dernier sera le Juif autrichien Ignatz Zollshau. Il disait : "Les Juifs forment une nation au sang pur avec un sentiment très développé de la pureté de la famille et avec des vertus enracinées profondément, qui se traduisent par une activité intellectuelle supérieure incomparable. L'interdiction des mariages mixtes avec des peuples étrangers de moindre valeur a créé les conditions pour ces valeurs morales et ces performances intellectuelles qui ne doivent pas se perdre par un mélange avec des races inférieures ; Si une telle race surdouée obtenait une nouvelle fois la possibilité de développer sa force originelle, personne ne pourrait se mesurer avec ses exploits." (Questions juives, 1914, trad. du suédois)

Le savant, peut-être le plus célèbre de notre siècle, Albert Einstein, un Juif, dont les coreligionnaires sont si fiers, n'est pas non plus exempt d'idées racistes il dit, par exemple, d'après le livre de Salomon Goldman (1938, p. 116) :

"Les nations qui se composent de plusieurs races semblent posséder un instinct qui agit contre le mélange des races. L'assimilation des Juifs dans les nations européennes n' a pas pu anéantir le sentiment de parenté entre les Juifs et l'incompatiblité avec leurs peuples d'accueil. Et ce manque fondamental de sentiment de parenté entre Juifs et non-Juifs ne peut être éliminé par aucune pression si forte et si bien intentionnée qu'elle soit."

Le prix Noble de la paix de renommée mondiale, Albert Einstein, dont la théorie de la relativité fit sensation à son époque, met donc son immense prestige dans la balance en faveur d'une pensée raciste que les Juifs reprochent aux autres d'utiliser à leur encontre.

Ce même Albert Einstein tenta aussi de convaincre par une série de lettres le président des Etats Unis, Franklin Rooseveld que les Etats Unis devaient fabriquer la bombe atomique et a contribué ainsi de façon déterminante à l'avènement de l'âge des armes nucléaires sous l'ombre desquelles le monde entier vit avec terreur. Comparons à ceci Max I Dimont, "Judarna, Gud och historien" (les juifs, Dieu et l'histoire) Stockholm 1980, p. 305.

Maurice Samuel, fut un raciste enragé parmi les sionistes, qui, dans ce domaine dépasse tous ses amis politiques. C'est à lui que Chaïm Weizman a exprimé ses remerciements les plus sincères dans son autobiographie : "Trial and Error". Samuel, un écrivain américain très connu à l'époque, a publié en 1927 le livre "I, the Jew" (moi, le Juif) dans lequel il condamnait avec indignation une ville qu'il n'avait jamais visitée durant sa vie et qu'il ne connaissait que par ouï-dire, la ville de Taos à New Mexico :

"Dans ce petit endroit, il y a des représentants de toutes les races, des noirs africains, des mongols américains, des Chinois, des sémites et des aryens qui se mélangent pêle-mêle et se fréquentent entre eux. Pourquoi ce spectacle demi-réel, demi-irréel, éveille-t-il en moi un dédain, quelque chose de honteux, d'une animosité lugubre ? Cet ensemble a l'air d'une poignée de reptiles grouillant dans une poubelle."

La plupart des gens trouvent trop choquant pour être vraie l'idée que le sionisme soit une idéologie raciste et que ses militants soient des racistes. Finalement on nous a tellement submergés jusqu'à plus soif de thèses de la propagande sioniste qui affirment que les sionistes combattent le racisme et sont eux-mêmes les victimes de puissances racistes occultes ! Nous avons montré ci-dessus que des dirigeants sionistes comme Moses Hess, Max Nordau, le philosophe renommé Martin Buber de même que le physicien célèbre de renommée mondiale, Albert Einstein et Maurice Samuel, collaborateur intime de Chaïm Weizman étaient tous des racistes chevronnés.

Pour les sionistes, l'assimilation des Juifs représente l'ennemi numéro 1. Tant que les Juifs persécutés en Russie et en Europe de l'Est pouvaient émigrer vers l'Europe de l'Ouest et surtout vers l'Amérique, tant que les Juifs étaient considérés dans l'ensemble comme des citoyens égaux à ceux des états qui les hébergeaient, le danger existait que les Juifs ne se mélangent avec les peuples d'accueil et n'oublient leur origine juive, ce que les sionistes reconnaissaient avec raison. Dès lors il n'y aurait plus de solidarité juive par delà les frontières et le sionisme deviendrait superflu. Cette perspective paraissait sombre aux sionistes et l'est restée encore aujourd'hui.

L'anti-sémitisme, la haine des Juifs, étaient considérés comme des sauveurs dans la détresse, des alliés indispensables.

Voici maintenant des citations de quelques sionistes importants : Leo Wertheimer écrivit en 1918 dans son livre "La haine des Juifs et les Juifs" : "L'antisémitisme est l'ange gardien des Juifs qui contribue énergiquement à ce que les Juifs restent juifs. Les antisémites ont créé la conscience juive chez de nombreux juifs qui ne voulaient pas être juifs." (cité d'après Franz Scheidl : "Israël, rêve et réalité", Vienne 1962, p. 18 trad. du suédois)

Théodore Herzl a dit : "Les antisémites seront nos amis les plus fidèles et les pays antisémites seront nos alliés." (Patai, 1960, vol 1, p. 84).

Le docteur Nahum Goldmann, décédé à l'âge biblique de 87 ans, fut le sioniste le plus important de tous les temps, un véritable Hercule du sionisme : président de la Conférence Mondiale pour l'enseignement juif, président de l'Organisation sioniste Mondiale, président du Congrès Mondial juif, président de l'Agence Jewish Claims qui escroque des indemnisations à l'Allemagne et président du Comité exécutif de la Jewish Agency. Ce Nahum Goldmann a donc dit lors du discours d'ouverture de la Rencontre du Congrès juif mondial à Genève :

"Quand l'antisémitisme dans sa forme classique disparaît, cela conduit sûrement à une amélioration de la situation matérielle et politique des communautés juives de par le monde, mais simultanément, cela produit une répercussion négative sur notre vie intérieure. Notre peuple juif sait se battre héroïquement dans les temps difficiles mais il n'a pas encore appris à vivre d'une façon créative lorsque tout va bien."

Le 30 du 12 1964, il déclara à la 26e rencontre du Congrès mondial sioniste en Israël : "Le plus grand danger pour le judaïsme et l'unité juive est le manque d'antisémitisme." (Franz Sheidl, cité ci-dessus, p. 18, trad. du suédois)

Le chef sioniste Nahum Goldmann voulait interdire aux Juifs de se mélanger à d'autres peuples. dans "Le paradoxe juif", il écrit : "Une assimilation complète serait une réelle catastrophe pour toute la vie juive." (p. 182 de l'éd. suédoise ;1978, Tiden)

En 1951, le chercheur et historien juif, le professeur Bruno Blau affirmait : "Aussi curieux que cela puisse paraître, l'état d'Israël doit toute sa reconnaissance au Reich d'Hitler de ce siècle parce que sans le dynamisme de l'antisémitisme national-socialiste, les Nations Unies n'auraient jamais pris la décision de soutenir la création d'un état juif dans la Palestine arabe" "L'état d'Israël dans son devenir", Cahiers de Francfort, décembre 1951, etc.)

Les juifs sont une race à part. C'est l'opinion professée par Louis D. Brandeis, membre du Tribunal Suprême des USA et président de longue date de l'Alliance sioniste américaine, un homme avec lequel Chaïm Weizman était en contact permanent comme il est précisé dans ses mémoires déjà citées.

Pour Brandéis, le sionisme était une expérience intellectuelle qui reposait sur une base logique solide et sur le raisonnement, écrit Weizman.

Ce Brandeis annonçait : "Nous désirons avouer franchement que nous, les Juifs, nous représentons une nation toute particulière à laquelle appartient obligatoirement chaque Juif quelle que soient sa situation sociale et sa relation avec la foi. Nous devons nous organiser aussi longtemps qu'il sera nécessaire pour que chaque Juif valide se range volontairement ou non sous notre bannière."

Il est curieux de constater que certains activistes sionistes auraient pu passer pour de véritables antisémites ! L'Organisation de la jeunesse sioniste "Hashome Hatzaïr" ("Les jeunes veilleurs de nuit") créée en 1917, publia en 1936, le pamphlet qui suit :

"Le Juif est la caricature d'un être humain normal, naturel, aussi bien physiquement que spirituellement. En tant qu'isolé dans la société, il est un émeutier ; il n'admet pas les devoirs imposés par la société et ne reconnaît ni l'ordre ni la discipline."

C'est de la même façon que s'est exprimé le sioniste américain Ben Frommer : "Il est indéniable que les Juifs, vus collectivement, sont des malades et des névrotiques. Les Juifs qui se savent malades et nient le fait sont les pires ennemis de leur propre race parce qu'ils cherchent de fausses solutions au problème juif, ("The Significance of a Jewish State", dans le cahier "The Jewish Call", Shangaï, mai 1935, p.10) les pires ennemis de leur propre race

Cette haine des Juifs envers eux-mêmes n'avait rien d'étonnant parmi les sionistes militants des années 20. En 1934, Jehezkel Kaufman, un chercheur bien connu dans le domaine historique à l'Université hébraïque de Jérusalem, fit sensation en révélant ouvertement quelques-uns des pires passages de la littérature hébraïque. Dans son livre "Hurban Hanefesh" ("L'holocauste de l'âme"), il cite trois penseurs sionistes classiques : Mikha Josef Berdijevski, qui avait dit : "Les Juifs ne sont ni une nation ni un peuple ni des humains." ; Josef Brenner qui avait écrit : "Les Juifs ne sont rien d'autre qu'une racaille de bohémiens, de chiens sales, non des hommes, mais des êtres qui se plaignent, hyperémotifs ;", et Aaron David Gordon qui disait : "Les Juifs ne sont rien d'autre que de misérables parasites, un peuple absolument inutile et superflu". (J. Kaufman, "Hurban, Hanefesh", 1967, p. 106

Et Maurice Samuel, collaborateur de Chaïm Weizman, écrivit dans son livre "You, Gentiles" (Vous les non juifs) paru en 1924 : "Nous les Juifs, nous détruisons, nous serons toujours ceux qui démolissent et réduisent à néant ce que d'autres ont construit."

 

BARBARIES DANS LA FOI BIBLIQUE JUIVE

D'après la Sainte Ecriture juive voici comment le roi héroïque, David, se conduisait vis à vis de ses ennemis vaincus : il fit couper les Ammonites en morceaux avant de les faire brûler (Samuel 2, 12 :31) David est honoré par les Juifs et par tous les "chrétiens" comme un héros plein de gloire !

En ce qui concerne ce roi David, on n'oublie pas seulement qu'il fit massacrer tous les Ammonites qui lui étaient tombés sous la main mais aussi que sur son lit de mort, il exhorta son fils, héritier du trône, Salomon, à tuer son vieux et fidèle serviteur, Joal. (Bile, Rois, 2 :6) : "Tu agiras sagement en ne laissant pas ses cheveux blancs descendre en paix au Shéol."

Pour que David puisse entrer en possession de Michal, la fille de Saul, et la prendre pour épouse, il devait rapporter cent prépuces de Philistins comme dot.(1 Samuel, 18 :25) David réalisa deux fois sa mission puisque étant parti avec ses hommes, il tua 200 Philistins. Et il rapporta leurs prépuces et les compta au roi pour devenir son gendre. Alors Saul lui donna sa fille Micka pour femme. Ainsi Saul s'aperçut que Yahvé était avec David. (1 Samuel, 18, 27-28

Dans les psaumes qui servent encore aujourd'hui de livres de chants et de prières, on célèbre la haine, la vengeance, le désir de tuer, le massacre des peuples et même l'assassinat des enfants (Psaumes 37 :28, 34, 59 :6, 79 :5-6, 110 :6, 118 :10-12, 137 :8-9)

Ainsi nous lisons dans ce dernier psaume : "Fille de Babel, ô dévastatrice, heureux qui te revaudra les maux que tu nous valus, heureux qui saisira et brisera tes petits enfants contre le roc !"

Quels plaisirs la bible des Juifs promet-elle à ses fidèles disciples ? Que leur promet par exemple le grand prophète Isaïe que tant de chrétiens vénèrent puisqu'il doit avoir prophétisé à un endroit l'avènement du Christ ? Isaïe ne promet pas aux fidèles et aux justes un paradis céleste car la foi juive n'admet pas de vie après la mort et ne croit pas en l'immortalité de l'âme comme le firent Platon, Socrate, et d'autres philosophes "païens". Non, le judaïsme promet aux hommes : "Tu es poussière et tu retourneras en poussière" (1 Moïse, 3-19)

Mais comme récompense pour les croyants et les justes, on donne comme perspective un empire terrestre sous domination juive, la gloire future du sionisme, empire dont les non-juifs bâtiront les murailles et que les rois non-juifs serviront comme esclaves. Celui qui ne se soumet pas à leurs ordres seront exterminés (Isaïe 60 : 10-12)

Peut-on décrire avec plus d'exactitude, plus concrètement l'état impérial et exploiteur, l'état esclavagiste que nous subissons aujourd'hui ? Ces passages peuvent-ils être interprétés différemment ? N'est-ce pas pure hypocrisie, un détournement de signification des mots, un mensonge éhonté lorsque Isaïe affirme plus loin : "Ton peuple ne sera composé que de justes qui posséderont pour toujours la terre. Rejeton des plantations de Yahvé, tu seras l'oeuvre de mes mains pour être belle."

Les ressortissants du peuple élu prouvent leur justice en exploitant et en réduisant en esclavage les autres peuples, malheureux damnés voués à ce sinistre destin ! Ce n'est pas un hasard s'il a subi tant de méfiance et parfois des révoltes impitoyables de la part des autres peuples ! L'orgueil précède la chute. La roche tarpéenne n'est pas loin du Capitole.

 

LES ETATS-UNIS SOUS DOMINATION SIONISTE

Si l'on veut comprendre comment Israël peut opprimer les Palestiniens depuis des dizaines d'années, on doit connaître le rôle que jouent les sionistes aux Etats Unis dans cette affaire.

Les politiciens et les généraux sont menés par le lobby israélien des USA, révèle -t -on dans une rubrique du Herald Tribune, rubrique qui vaut d'être lue.

Il nous est dit là combien les sionistes sont incroyablement puissants aux Etats Unis.

Les medias suédoises n'abordent que rarement ou jamais ce sujet.

Suivant l'article du Herald Tribune concerné, le lobby israélien est devenu aux Etats Unis d'année en année de plus en plus vaste, de plus en plus expert et de plus en plus fort. Il est la force puissante qui agit dans les coulisses, qui crée et dirige la politique proche-orientale américaine

D'après un journal américain connu, le comité directeur du lobby se nomme l'AIPAC (American-Israeli Public Affairs Committee).

Celui-ci exerce ses activités dans des bureaux bien protégés à l'extrême Nord du Capitole, la Maison du Congrès à Washington.

Cette organisation a acquis tant de pouvoir qu'elle a toujours son mot à dire si un président des Etats Unis doit choisir ses collaborateurs, et elle peut de même empêcher à son gré la livraison d'armes aux pays arabes

De plus, l'AIPAC entretient des relations actives entre le Pentagone et l'armée israélienne.

L'AIPAC est consultée régulièrement par le Ministère des Affaires Etrangères des Etats Unis ainsi que par les conseillers de l'Homme de la Maison Blanche. Les sénateurs de même que les membres du Congrès et les généraux ont des contacts étroits avec cette association. A la suite de quoi il est certain que les intérêts d'Israël ne sont pas laissés de côté lors de la discussion d'affaires importantes.

Il faut bien comprendre que l'AIPAC est un lobby américain et non un lobby israélien. Les moyens considérables dont dispose cette association sortent tout droit de la poche des contribuables américains

Cette association qui agit uniquement en faveur d'Israël jouit d'un soutien aussi considérable par le fait que non seulement le gouvernement et le Congrès mais aussi les grandes entreprises qui forgent l'opinion sont alignées derrière Israël. Cela rend des groupes de lobbies concurrents assez jaloux, en particulier ceux qui désireraient des liens plus étroits entre les Etats Unis et les Arabes du Proche Orient.

Un porte-parole du Ministère des Affaires étrangères communique : "L'AIPAC déforme des questions d'affaires très adroitement Ces gens-là ne se soucient pas de savoir si l'on peut être d'un avis différent, s'il existe une autre alternative. S'ils sont une fois convaincus que l'affaire d'Israël est juste, ils ne dévient pas de ce point de vue, même si on avance des raisons fort pertinentes."

Un ancien conseiller haut placé d'un président arrivait à une autre conclusion : "Même si l'AIPAC est un facteur qui doit être pris en considération, il n'est pas exclu que d'autres facteurs soient pris eux aussi en considération avant que ne soit prise une décision.. Je n'ai pas souvenance d'un cas où l'AIPAC ait fait pencher la balance du moins pas dans la phase d'analyse. La plus forte influence semble venir de bien plus haut encore."

Le lobby israélite prépare toujours avec soin les élections présidentielles. 16 mois déjà avant ces élections, presque tous les candidats à la présidence ont rencontré des représentants de l'AIPAC et ont été interviewés sur leur position vis à vis de la politique du Proche Orient. Tous sont alors soumis à la censure sous la forme d'une marque rouge, bleue ou blanche ainsi que nous l'a confié Thomas A. Dine, le directeur des affaires commerciales de l'AIPAC. "Nous prenons cette affaire très au sérieux" a dit Dine au cours d'une conversation" Cela représente une part du mandat politique, continue-t-il. "Avant qu'un candidat à la présidence ne tienne un discours public, il nous demande comment ses prises de position seront vues par les juifs qu'on ne doit brusquer en aucune façon. Certains candidats demandent l'avis de l'AIPAC avant d'engager des collaborateurs."

Dine n'a voulu donner aucun nom mais il a affirmé qu'un des candidats aurait appelé l'AIPAC pour lui dire :

"Je vais bientôt tenir un discours public et je voudrais bien engager une personne compétente pour ma campagne présidentielle, mais je désire savoir ce que vous pensez de la personne avant de prendre une décision. Me donnez-vous le feu vert ?" "oui," répondit Dine.

Quelques anciens fonctionnaires haut placés reprochent à l'AIPAC ses manières trop autoritaires. Un de ceux-ci qui veut garder l'anonymat a parlé d'une campagne épistolaire dans une université qui l'avait invité comme orateur.L'AIPAC et d'autres organisations juives lui avaient reproché sa position hostile à Israël. La direction de l'université subit de graves pressions pour empêcher son discours. Elle résistait pourtant à ces pressions. Certaines personnes étaient directement concernées et craignaient pour leur carrière.Là dessus, il lui sembla préférable à cause de cela de renoncer à son discours. Car "il ne voulait pas délibérément entraver la carrière d'autres personnes."

Il se peut qu'on exagère la force et la puissance de l'AIPAC. Cependant tel est en tous cas, l'avis d'un haut fonctionnaire de la Maison Blanche qui entretient des relations étroites avec diverse organisations juives Certains politiciens ont l'impression que c'est le lobby israélite qui décide quel candidat sera sur les rangs,et quels collaborateurs en politique étrangère les candidats devront nommer et en contre partie des moyens mis à leur disposition.

Le directeur de l'AIPAC, Dine, affirme que tous les membres du lobby sont informés du point de vue des divers candidats sur Israël. Leur degré de sympathie envers l'état juif est marqué sur une échelle et il dépend de celle-ci quels candidats pourront espérer réellement un appui économique et quels sont ceux auxquels cet appui sera refusé. Les autres groupes ou lobbies qui travaillent de concert avec l'AIPAC sont tenus également au courant.

On chuchote depuis longtemps que l'AIPAC se cache derrièrele Mouvement des Travailleurs et les syndicats organisés des USA. C'est ce que laisse entendre en tous cas Bob Beckel qui conduisit en 1984 la campagne présidentielle du candidat Walter Mondale. En même temps a été démontré que l'AIPAC dispose d'une énorme influence dans les mileux patronaux. Cela amène la plupart des sénateurs et des membres du Congrès à traiter l'AIPAC avec des gants. Aujourd'hui la puissance de celle-ci est plus forte que jamais. Le gouvernement de Reagan soutient entièrement Israël, ce qui aux yeux de beaucoup constitue un triomphe pour les propagandistes zélés de l'AIPAC.

L'AIPAC peut s'appuyer sur un état major de collaborateurs organisés incroyablement efficace, sans reproche, qui sont à 100 % amis d'Israël. Ils s'y connaissent fort bien en relations publiques, souligne un fonctionnaire haut placé au Ministère des Affaires Etrangères.

Ceci a conduit entre autres à ce que les Etats Unis ont raté une grosse commande saoudienne Il s'agissait de fusées modernes du nom de Maverick que cet état du désert voulait acheter. En même temps les Etats Unis réclamaient la protection de l'Arabie Séoudite pour le trafic pétrolier dans le Golfe Persique quoique les Séoudiens ne manifestaient qu'un enthousiasme mitigé pour accomplir ce souhait car les Américains de leur côté n'étaient pas prêts à leur livrer les armes nécessaires à leur propre défense. Ce qui en résulta fut que les Etats Unis durent veiller eux-mêmes à la sécurité de leurs tankers ce qui a entraîné un risque de confrontation militaire directe avec l'Iran. C'est le lobby central sioniste efficace, l'AIPAC, qui porte la responsabilité de toute cette affaire.

Israël reçoit annuellement une aide militaire et économique de la part des Etats Unis de 10 milliards de dollars. Ceci est sans comparaison aucune avec n'importe quel autre état. Dans le même temps les USA perdent en fumée les bénéfices de ces milliards et ceci en raison des pressions de l'AIPAC en faveur des souhaits d'Israël. Les stratèges américains du Proche Orient en ont mal au ventre.

Depuis 1980, moment où Thomas Dine devint directeur de l'AIPAC, celle-ci a recruté toute une armée d'experts dans le domaine des armes modernes ainsi que des analystes de stratégie qui ont transformé le lobby israélite en une institution scientifique de haute valeur.L'AIPAC publie entre autres des brochures portant des titres comme "L'importance stratégique d'Israël" ou "Les armes américaines et les fournitures de service pour la défense d'Israël" Rien qu'à Washington, il n'y a pas moins de 58 chercheurs hautement qualifiés qui agissent pour le compte de l'AIPAC.

Déjà, sous les présidents précédents, à commencer par Truman, les Etats Unis ont soutenu fortement Israël et cela souvent sans conditions. Mais sous Reagan cette protection est devenue encore plus forte et plus efficace.

Les lobbyistes sionistes ont, grâce à leur réseau très serré de relations, des entrées de premier plan aux sources d'information officielles. En 1980, l'AIPAC avait 9000 collaborateurs alors qu'à présent ils sont déjà environ 55 000. Le budget annuel de l'organisation est passé de 1,4 millions de dollars en 1980 à plus de 6 millions aujourd'hui. (c'est à dire en 1987). 90 à 95 % des collaborateurs étaient des juifs américains et le restant, des fondamentalistes protestants qui soutiennent sans conditions Israël comme le pays du Peuple Elu.

Pour respecter la règle du jeu, Dine nie que l'AIPAC soit porte-parole du gouvernement israélien et un diplomate israélien va jusqu'à se plaindre de ce qu' "ils ne nous tiennent rarement au courant de ce qu'ils font et ils ne se soucient pas du tout de ce que nous pensons." !

Sans ce soutien inconditionnel aussi bien économique que politique et militaire, l'état juif serait voué à une mort prochaine. Pour assurer la continuité de ce soutien vital pour Israël, celui-ci doit mobiliser constamment les 6 millions de juifs américains pour qu'ils fassent pression politiquement et économiquement en sa faveur. Ces campagnes sionistes d'intimidation sont parfaitement organisées et suivies de succès.

Les deux associations les plus compétentes dans ce domaine sont l'AIPAC et l'ADL (Ligue anti-diffamation) qui sont liées étroitement à la loge franc-maçonne du B'nai B'rith. Il n'est guère nécessaire de mentionner que l'AIPAC et l'ADL sont à tu et à toi avec le gouvernement israélien et l'ambassade israélienne à Washington.

Déjà avant et pendant la première guerre mondiale, sous la présidence de Woodrow Wilson, les sionistes avaient commencé à influencer massivement la politique américaine. Et ceci durait déjà depuis la fin de la Guerre de Succession avec Abraham Lincoln. Sous Rooseveld, leur puissance s'accrut et sous Trumann, elle acquit des proportions telles qu'ils tenaient entièrement la politique américaine entre leurs griffes. Aujourd'hui leur puissance est à son apogée et peu importe que siège un président démocrate ou républicain à la Maison Blanche.

Le seul président des Etats Unis qui osa braver le pouvoir sioniste, au moins dans un cas important, fut Dwight D. Eisenhower. Celui-ci jouissait en tant qu' ancien général des Alliés du plus haut prestige dans son pays. En 1956, lors de la Guerre de Suez, Eisenhower força Israël avec les Français et les Anglais à se retirer des territoires occupés faute de quoi il menaça de couper immédiatement toute aide des Etats Unis.

La menace fit son effet ! Jamais auparavant ni plus tard, un président américain n'eut le cran de s'opposer au petit état juif et au puissant lobby sioniste. Son Ministre des Affaires Etrangères, John Forster Dulles, parla à son collègue du parti républicain William Knowland Klartext lorsque celui-ci voulut le menacer de lui retirer son poste à la Commission de l'ONU, après qu'Eisenhower lui eut confié qu'il appuierait une résolution de l'ONU pour juger l'agression d'Israël. Dulles dit : "Nous devons étudier cette affaire à fond. Il n'est pas normal que toute notre politique soit faite à Jérusalem.". Et Dulles dit à Henry Luce, le puissant propriétaire du Consortium du Time : "Je me suis rendu clairement compte combien il est impossible dans ce pays de mener une politique qui ne soit pas accréditée par les juifs."

"Cependant j'ai l'intention de mener une politique qui serve les intérêts américains et pas uniquement ceux des juifs. Cela ne signifie en aucune façon que je sois un ennemi des juifs mais je suis d'accord avec les paroles qu'a prononcées Georges Washington dans son célèbre discours d'adieu, qu'une sympathie de coeur envers un pays étranger ne doit pas nous conduire à mener une politique qui serve en premier lieu les intérêts de ce pays étranger."

Ces mots clairs évidents quant à leur fond qui préparaient bien des embêtements au lobby sioniste firent sensation aux USA de l'après-guerre. Après cet affront, le lobby travailla encore plus à renforcer son contrôle sur la politique extérieure américaine.

Le successeur d'Eisenhower, John F. Kennedy, eut un amer avant-goût de la puissance avide des sionistes lorsqu'il fut candidat pour la présidence en 1960.Un soir, il fut invité à diner chez quelques juifs riches connus. Un de ceux-ci, Abraham Feinberg, puissant président de la Banque Américaine et de la Trust Company à New York, et par suite un très influent lobbyiste du parti démocrate, dit à Kennedy ce qui suit :

"Nous sommes parfaitement au courant du fait que votre campagne présidentielle est entravée par de sérieux problèmes financiers. Mais notre groupe est prêt à vous aider si vous vous engagez à nous laisser la direction de la politique du Moyen Orient durant les 4 prochaines années. Ceci restera naturellement tout à fait entre nous."

Kennedy fut profondément scandalisé par ces tentatives frauduleuses de corruption. Cependant il était déjà au courant des méthodes de gangster qui se pratiquaient dans les coulisses en politique. Il garda un visage impassible devant ce mauvais pas et répondit évasivement qu'il réfléchirait à la question. Le jour suivant, il se rendit chez son vieil ami, le journaliste Charles Bartlett pour discuter avec lui de l'événement. Bartlett déclara plus tard que Kennedy avait été profondément affecté par le culot des juifs.

"Si je deviens président, je ferai en sorte qu'aucun candidat à la présidence ne puisse être soumis au chantage d'une façon aussi éhontée. Ainsi j'épargnerai à mon pays un tas d'ennuis et de complications".

Mais lorsqu'il fut au pouvoir, Kennedy ne put pas mettre cette idée en pratique pour les campagnes présidentielles ni empêcher que les candidats ne soient dépendants financièrement d'intérêts privés ni qu'ils ne soient soumis ainsi à des pressions.

La tentative de corruption que subit Kennedy n'est pas un fait isolé. Chaque candidat à la présidence peut chanter un air sur le même refrain. Même les présidents sont soumis à ces chantages. Le lobby sioniste fait en sorte que cela grouille de juifs tant dans le Conseil de décision personnel du Pouvoir suprême de l'Etat que dans les différents ministères.

Ainsi le conseiller personnel très intime de Truman fut le juif Ed. Jakobson. Les deux conseillers les plus écoutés de Lyndon B. Johnson étaient Monsieur et Madame Krim, deux sionistes en chair et en os. Aux côtés de Kennedy siégeait Myer Feldman comme éminence grise ; plus tard ce fut le juif déjà cité, Abraham Feinberg qui conseilla aussi Johnson. Mais aucun président n' a eu un essaim de juifs aussi dense autour de lui que Jimmy Carter.

Aux élections présidentielles de 1984, les deux candidats démocrates, Garry Hart et Walter Mondale, étaient totalement dans les mains des juifs vu que leurs campagnes avaient été managées par des géants de la finance juifs comme l'avaient été auparavant celles de Truman, Eisenhower, Kennedy, Johnson et Carter. Comme nous l'avons déjà mentionné, Eisenhower fut le seul à opposer un veto, une seule fois, aux désirs des sionistes.

L'influence sioniste battit tous les records avec la présidence de Bill Clinton dont les ministres et conseillers appartenaient à 50 % au Peuple Elu.

Le lobby sioniste se signale aussi par une intense activité d'espionnage.Georges Ball, un politicien des plus expérimentés, des plus informés des affaires et un homme courageux, a dit un jour : "Les protecteurs américains d'Israël n'exercent pas seulement leur influence considérable sur la majorité des membres du Congrès, ce qui est bien plus grave, c'est que tout ce qui concerne Israël ne peut être discuté en petit comité sans que le gouvernement israélien ne sache dans l'heure quelle mesure a été prise. Les yeux d'Israël sont partout."

John Connaly, l'ancien gouverneur du Texas, fut en 1980 candidat à la présidence. Lorsqu'il insista pour qu'Israêl se retire des territoires occupés de la Cisjordanie et de la Bande de Gaza, il rencontra un peu plus d'approbation de la part de plusieurs journaux dont le Washington Post.

Que s'était-il passé ? En un clin d'oeil une horde de rabbins et d'autres lobbyistes juifs s'étaient dressés comme un seul homme et avaient protesté avec fureur contre la destruction programmée d'Israël par l'Amérique qui jouait ainsi le rôle du bourreau. Cela suffit pour réduire rapidement au silence les "antisémites" cloués au pilori. Un républicain juif qui était candidat pour devenir bourgmestre de Philadelphie, refusa catégoriquement de se laisser photographier aux côtés de Connaly parce qu'il ne voulait pas être montré avec "le bourreau du peuple juif".

Il peut sembler étrange que le peuple américain composé de personnes de bon sens et saines moralement puisse être devenu ainsi l'esclave de cette propagande insensée, hystérique. Il faut en chercher la cause dans la terreur que les sionistes font régner sans scrupule dans tous les domaines de la société américaine.

C'est aussi le cas pour les universités dont on pourrait admettre pourtant qu'elles sont les citadelles des débats publics et de la liberté de pensée, un foyer pour les assoiffés de savoir et les chercheurs de vérité.

Cela reste vrai pour certains domaines mais dès qu'il y a conflit entre Israël et la Palestine, les juifs font en sorte, par des manifestations bruyantes et la dissolution des réunions que le plus petit début de liberté académique soit emporté dans un tourbillon émotionnel.

Toutes ces cochonneries sont orchestrées par l'AIPAC et l'ADL qui battent le rappel si besoin est de bandes de spadassins de la JDL (Jewish Defence league). Celle-ci constitue une véritable organisation terroriste juive qui a été fondée par le rabbin Meir Kahane qui émigra plus tard vers Israël et qui siège là-bas comme élu au parlement.Il fut assassiné en 1992.

C'est Kahane qui mange de l'Arabe à belles dents qui a créé le mot connu : "Je ne suis pas démocrate, je suis juif." Pour lui il s'agit simplement de dire tout haut ce que murmurent tout bas les autres sionistes pour des causes tactiques. Le parti Kach de Kahane se tient derrière les colons les plus militants de la Cisjordanie et de Bande de Gaza qui tentent d'expulser les Palestiniens par la terreur.

Noam Chomsky, le linguiste connu même chez nous en Suède, partisan du droit des citoyens, et lui-même juif, critique clairement Israël et se trouve de ce fait le point de mire d'une campagne de scandale permanente.Chomsky affirme : "Dès que je veux tenir un discours dans une université ou dans un autre endroit, de façon systématique un groupe répand des feuilles et des papiers sans signature qui contiennent un flot d'attaques contre ma personne. Dessus on trouve des citations presque toutes inventées qui me sont attribuées. Je ne doute pas un instant que derrière tout cela se cache l'ADL et ceux qui répandent ces écrits orduriers le concèdent souvent".

"Ce procédé est ignoble.Il a exclusivement pour but de terroriser beucoup de gens de façon à ce que plus personne n'ose exprimer sa pensée. Naturellement c'est une violation des lois. Mais si l'ADL utilise ces méthodes, on ne peut l'empêcher mais on doit au moins le dénoncer."

En avril 1982, le mensuel Berkely Graduate publia à l'université de Berkeley en Californie quelques articles dans lesquels on exprimait une critique à l'égard d'Israël et de son premier ministre de l'époque, Menahem Begin.Ce dernier est connu comme terroriste et comme responsable du massacre collectif des habitants du village de Deir Yassin ;

Les sionistes entreprirent une campagne haineuse de scandale à l'encontre de James Shamus, le rédacteur responsable du mensuel. Dans des lettres de menaces anonymes, il était sommé de prendre "le prochain train pour Auschwitz". Et naturellement sous la direction de bandes d'étudiants juifs, des plaintes contre Shamus s'élevèrent à l'université :il était un antisémite bon teint, etc.

Mais voilà que Shamus put prouver qu'il était lui-même juif ! Et lorsque dans le numéro suivant il eut admis que les articles du numéro précédent étaient de l'antisémitisme mesquin de l'espèce la plus vile autant dans son contenu que dans son intention, on lui exprima des regrets. Vive l'inquisition juive !

Lorsque le professeur Edouard Said, un citoyen des Etats Unis d'origine palestinienne et membre du Conseil national palestinien fut invité à faire un exposé sur le conflit palestinien à l'université de Washington, des voyous sionistes de Rowdy se rassemblèrent pour disperser la manifestation et empêcher Said de parler. Ils hurlaient et rugissaient en choeur : "Stop aux terroristes ! Stop aux assassins des juifs !"

On se demande pourquoi de tels bourreaux, de tels fossoyeurs de la liberté de pensée ne sont pas immédiatement arrêtés par la police de la Sûreté, pourquoi on ne les met pas pour un temps sous les verrous, ainsi ils pourraient un peu se calmer, et pourquoi on ne leur intente pas un procès pour leur infliger une peine conséquente. La réponse est que les sionistes ont acquis une telle influence dans la plupart des états des USA que les autorités actuelles tremblent dans leurs bottes et n'osent pas les faire arrêter par la police.

Les pauvres sionistes pourraient alors, grâce à l'aide de leurs amis des medias, se présenter comme des martyrs et les victimes d'un futur holocauste dans la société américaine infestée de plus en plus par l'antisémitisme et le nazisme

Chaque politicien qui aurait fait appel à la police risque de ce fait les pires ennuis et serait difficilement réélu car la minorité juive est très fortement liée au pouvoir politique et elle est en réalité la minorité la plus puissante des Etats Unis.

Par conséquent, en Amérique, la majorité des medias : presse, radio, et spécialement la télévision se trouvent aux mains des juifs. Un reporter indépendant a-t-il un jour le courage de regarder d'un peu trop près l'état sioniste d'Israël ou ose-t-il exprimer un mot timide contre la puissance et l'arrogance du lobby, le journal concerné ou la station de radio ou de TV est aussitôt submergée d'un véritable ouragan de protestations juives. On menace alors d'un boycott d'annonces publicitaires de la part des entreprises juives. On cède enfin face à ces menaces. Ici on peut reconnaître à l'évidence le talon d'Achille de la société capitaliste.

En Suède, d'autres possibilités d'expression existent puisque les journaux, la radio et la télévision sont subventionnés par l'Etat et par conséquent ne sont pas exclusivement dépendants de financiers privés. Mais en Amérique, c'est le cas et les sionistes en profitent en première ligne et derrière eux, une puissance étrangère, Israël !

Il est inutile d'être un fervent socialiste qui croit fermement dans les bénédictions du socialisme pour reconnaître qu'un socialisme réel (comme le national-socialisme) serait le seul remède contre le sionisme virulent dans les Etats Unis capitalistes.

Eisenhower qui, malgré ses faiblesses, fut un des présidents des USA les plus compétents de notre siècle, mettait en garde en connaissance de cause contre le complexe militaro-industriel qui représentait selon lui un danger pour la nation.Mais bien plus dangereux encore est, non seulement pour les Etats Unis mais pour le monde entier, le complexe sioniste car celui-ci enchaîne les Etats Unis à l'état pirate d'Israël mais en plus terrorise la population américaine, pour la forcer à hurler avec les loups sionistes.

Personne n'a mieux mis en lumière la puissance énorme et dévastatrice du lobby sioniste aux E U d'une façon plus détaillée et plus complète que l'ancien homme du Congrès républicain, Paul Findley,auteur du livre : "They dare to speak out". C'est un livre excellent mais aussi un livre terrible ; Åke Ringberg, un correspondant de longue date du journal Dagens Nyheter, pour le Proche Orient, consacre un chapitre spécial de son propre livre "Blodet i Beirut" (Carlsson, Stockholm, 1987) à l'oeuvre de Findley. On y trouve une conversation avec Findley.

Ringberg dit : "L'exposé essentiel du livre de Findley consiste à dénoncer l'influence anormalement forte du lobby juif et de ses nombreuses associations secondaires purement et simplement comme un danger pour l'expression libre de la pensée et l'objectivité des débats publics. Ce danger prend des formes différentes : meurtres, menaces de mort, incendies criminels, campagnes de calomnie, dispersions de réunion, tentatives de pressions sur les radios et les émetteurs de télévision locaux dans le but de taire certaines informations et d'empêcher les discussions, etc.. Durant notre entretien qui avait lieu dans le Musée Abraham Lincoln de Springfield au Texas, Findley cita le premier président américain : "La démocratie ne peut pas prospérer dans un atmosphère dans laquelle les citoyens n'osent pas parler ouvertement."

Ce fut ce même Lincoln qui déclencha la Guerre de Sécession, la plus meurtrière des guerres du 19e siècle en faveur des ploutocrates yankees qui offrirent le fumier de leur civilisation du dollar comme terreau pour l'invasion juive. C'est après cette guerre que les juifs ont lancé sur le Nouveau Monde, leurs premières vagues d'assaut. En moins d'un demi siècle, la conquête était achevée. L'Amérique toute entière était entre leurs mains . cf. Cousteau, L'Amérique juive, p. 19)

Voici encore une citation du livre de Ringberg : "L'humiliation la plus incroyable qu'eut à subir la super puissance des Etats Unis eut lieu le 8 juin 1967, deux jours après le déclenchement de la Guerre des 6 jours. Le bateau USS Liberty qui ne possédait que des fusils mitrailleurs fut agressé en plein jour dans la Méditerranée orientale, à 15 km de la Péninsule du Sinaï. Durant deux heures, on tira sur le Liberty à partir d'avions et de bateaux lance torpilles, bien qu'il fut tout à fait reconnaissable par son drapeau américain. Auparavant, durant des heures, des avions de reconnaissance israéliens avaient survolé sans arrêt le bateau et si bas que les pilotes de l'équipage pouvaient leur faire signe. Durant l'attaque, 34 matelots furent tués et 171 blessés. Ce fut un acte absolu de guerre ouverte. Cependant sur l'ordre du président Johnson, tout fut passé sous silence.

Pourquoi cette incroyable indulgence ? Un autre état aurait-il commis une telle agression sans fard contre les Etats Unis, il aurait dû compter avec les protestations diplomatiques les plus vives, et probablement avec des représailles, les medias se seraient élevées avec ensemble contre l'état gangster et celui-ci aurait été condamné par l'ONU. Pourtant Israël ne fut pas inquiété et put même par la suite empocher d'année en année des milliards de dollars comme aide américaine, dollars avec lesquels il put financer d'autres actes de piraterie. Pourquoi ?

L'amiral Thomas L. Moore affirme que les causes étaient de nature de politique intérieure. "Johnson craignait de perdre des voix juives. Israël déclarait impudemment, avec culot, que l'agression avait été une "erreur" et put établir ensuite que le lobby juif mettrait rapidement de l'ordre dans cette affaire. Le peuple américain serait furieux s'il savait ce qui se passe." (hum !)

Comme preuve supplémentaire de l'influence d'Israël sur la politique extérieure américaine qui conduit à ce que l'état juif reçoit l'aide militaire la plus énorme qui soit, Findley donne l'exemple suivant : "Durant la Guerre du Yom Kippour en octobre 1973, Israël subit de lourdes pertes d'armes durant le combat contre les Egyptiens et les Syriens, parmi lesquelles des chars. Israël se tourna alors vers les USA pour recevoir une aide immédiate. Kissinger, le ministre des Affaires Extérieures joua à l'ange sauveur. Nixon, lui, avait fort à faire avec le scandale du Watergate et voyait déjà se profiler sa prochaine démission.

Aussi en bon remplaçant, Kissinger décida à sa place d'envoyer un nombre impressionnant de chars à Israël. Ces Panzers furent ramenés de tous les endroits possibles aussi bien des unités actives que des dépôts de réserve, ou bien même directement des fabricants. Rien ne devait entraver le renforcement le plus musclé possible de l'armée israélienne. Israël voulait les tanks les plus modernes avec des canons de 105 mm. Mais il n'existait en Amérique qu'un nombre limité de chars de cette sorte et en remplacement on envoya des chars similaires avec des canons de 90 mm. Mais ensuite on s'aperçut que les munitions pour de tels tanks manquaient. Le Pentagone affolé chercha partout dans les munitions de réserve mais n'en trouva pas.

Un officier nommé Thomas Planka, qui servait alors au Pentagone rapporte ce qui suit : "Nous avons entrepris les plus gros efforts pour trouver des munitions ; nous avons cherché partout, dans l'armée, dans la marine, mais nous n'avons trouvé nulle part des munitions pour des canons de 90 mm.Le Pentagone en avertit Israël et lui exprima ses regrets.

Quelques jours plus tard, la réponse arriva d'Israël : "Quoi ! Mais vous avez 15 000 grenades en réserve à Hawaï !" Planka raconte qu'on suivit l'ordre et qu'on aurait trouvé réellement les munitions à l'endroit nommé. Les espions israéliens étaient donc plus au courant au sujet des munitions américaines que les Américains !

Encore un exemple : Richard Helms était chef de la CIA durant la Guerre des 6 Jours en juin 1967. Il se rappelle un cas où du matériel non adéquat avait été livré à l'armée israélienne. Israël présenta une nouvelle demande pour le matériel désiré avec le nom de code secret et une note pour s'informer si le Pentagone avait bien compris les souhaits israéliens. Helms affirme qu'à cette époque, Israël avait accès à tous les secrets importants.

L'amiral Thomas Moore peut rapporter un autre exemple frappant de la puissance du lobby israélien. Durant la Guerre du Yom Kippour en 1973, Moore était chef de l'état-major général. En ce temps-là, Mordéchaï Gur était attaché militaire auprès de l'Ambassade israélienne à Washington. Plus tard ce même Gur fut aussi général en chef de la force de frappe israélienne.

Gur contacta Moore et lui dit que les Etats Unis devaient livrer des avions munis de fusées modernes anti-chars du nom de Maverick. Moore répliqua que l'Amérique ne possédait qu'une unique escadrille de tels avions et que le Congrès accepterait difficilement qu'Israël prenne possession de cette unique escadrille.

Alors Gur le fixa droit dans les yeux et dit : "Vous nous donnez les avions. Quant au Congrès, je m'en occuperai." Et c'est ce qui arriva. La seule escadrille américaine d'avions à fusées Maverick s'en alla pour Israël. Moore avait refusé la livraison mais un ordre était venu du sommet, du président Nixon en personne.

Laissons la parole à l'amiral : "Je n'ai jamais vécu le fait qu'un président ait refusé un ordre quelconque des Israéliens. On lit chacun de leurs désirs dans leurs yeux. De plus, ils sont parfaitement informés de tout ce qui se passe. Finalement cela tournait si mal que je n'osais plus signer quelqu'ordre écrit que ce soit. Si le peuple américain savait quel pouvoir ces gens ont sur notre gouvernement, il y aurait sûrement une insurrection armée. Nos citoyens n'ont pas le moindre soupçon de ce qui se passe dans les coulisses".

Paul Findley expose clairement comment celui qui ose exprimer une critique à l'encontre d'Israël subit inévitablement de douloureuses représailles jusqu'à perdre son existence professionnelle. Les présidents ont une peur bleue du lobby. Le Congrès obtempère avec empressement à ses moindres désirs. Les medias et les militaires cèdent devant leurs pressions.. Aussi modérément que puissent s'exprimer les critiques du lobby, ils sont immanquablement salis ensuite comme agents du lobby pétrolier, comme amis intimes des terroristes arabes et qualifiés d'antisémites.

Le plus grave de ces trois points d'accusation est le dernier : l'expression antisémite ne désigne plus depuis longtemps autre chose que l'attitude de quelqu'un qui ne soutient pas la politique israélienne. La plus minime prise de position anti-israélienne ou pro-arabe provoque des attaques du lobby L'intention cachée est de protéger Israël de toute critique. Bien entendu, les agents sionistes ne s'embarrassent pas d'arguments puisque ceux-ci leur font défaut. Ils préfèrent d'autres méthodes :

Calomnies, déshonneur, diffamations auprès des supérieurs des victimes qui sont inscrites sur des listes publiques comme "ennemis publics", lettres de menace ou coups de fil anonymes, menaces de violences ainsi que des agressions réelles.

Le lobby sioniste aux Etats Unis est le plus puissant et le plus craint de tous les groupes d'influence politiques. Pris dans le sens le plus strict, il est bien plus qu'un simple groupe d'influence. Il rassemble des organisations travaillant étroitement en commun, actives dans plusieurs domaines et qui travaillent aussi bien à ciel ouvert que dans les coulisses. Ses activités ne ménagent guère la moindre sphère d'activité de la politique américaine.

L'AIPAC et l'ADL déjà citées représentent les organisations sionistes les plus visibles. Ces deux grandes associations ont un budget annuel de quelques douzaines de millions de dollars. La mission de l'AIPAC est de créer constamment de nouveaux liens entre le gouvernement israélien et le congrès américain et de renforcer les anciens. Elle influence les parlementaires américains sur toutes les questions importantes pour Israël, comme par exemple, l'aide étrangère américaine, le commerce extérieur des Etats Unis et l'aide militaire américaine à ses alliés. L'AIPAC opère à peu près comme un lobby conventionnel : on invite les hommes politiques à diner ou à des voyages, on les submerge de tracts de propagande qui sont présentés comme des "informations", on offre des vacances gratuites en Israël à des politiciens choisis etc.

L'ADL agit différemment. Elle fonctionne plutôt comme un service secret d'un état totalitaire, comme un organisme de contrôle et de surveillance. Elle tente d'empêcher l'élection ou la réélection dans un emploi ou une fonction publique de tout homme politique qui dit ouvertement du mal de la politique israélienne et qui ose critiquer le soutien sans faille accordé par l'Amérique à l'état juif.

Dans ce but, l'ADL entretient une véritable armée d'agents aux Etats Unis et aussi, via les organisations filiales, dans d'autres états. Ces agents écoutent avec soin tout ce qu'expriment les hommes politiques et rapportent leurs propos au siège d'informations du quartier principal de l'ADL à New York et à Jérusalem.

Supposons qu'un écolier ou un étudiant dise à un de ses camarades un seul mot contre Israël et qu'un agent de l'ADL (ou un juif qui est en contact avec celle-ci) soit mis au courant. Le propos concerné est transmis et classé au siège d'informations. Si quelques années plus tard, l'étudiant qui a décidé entre temps de sa carrière, se tourne vers un emploi public quelconque ou désire s'inscrire sur une liste électorale d'un parti, l'ADL mène son contrôle de routine au siège d'informations et tombe sur la remarque qu'il a faite il y a des années.

L'homme (ou la femme) sera alors écrasé(e) par les agents de l'ADL. Peut-être tentera-t--il (elle) de rétorquer qu'il ne s'agit que d'une erreur de jeunesse et qu'entre temps il (elle) a changé d'avis : l'ADL donne alors le feu vert c'est à dire qu'elle ne met plus d'entraves pour la personne concernée. Sinon celle-ci se trouve sur la liste noire. Le comité local juif et les medias sont avertis qu'un antisémite se présente comme candidat.

Si cela ne suffit pas à écraser dans l'oeuf les chances d'élection des candidats indésirables, alors le quartier général de l'ADL sort ses grosses batteries. Elle entreprend une énorme campagne de dénigrement avec l'aide d'autres organisations par un véritable déluge d'écrits et de lettres de protestation. L "antisémite" se présente-t-il à une réunion électorale, on rassemble des manifestants pour la perturber. Dans ces circonstances, celui ou celle qui est concerné (e) n'a plus qu'à céder ainsi que ceux qui ont soutenu sa candidature.

L'AIPAC et l'ADL ne représentent que le sommet de l'iceberg. Israël est soutenu aussi par l'Organisation mondiale sioniste, par le Congrès mondial juif et une foule d'autres organisations juives dans chaque pays occidental. En Suède, ce sont les communautés juives à Stockholm, à G?teborg et Malm?, l'Association unie pour Israël, l'Association suédoise pour les juifs et les chrétiens, le Comité suédois contre l'antisémitisme, etc. A toutes ces organisations dont il y a cent autres encore aux Etats Unis, s'ajoute encore le Centre Simon Wiesenthal à Los Angeles et le centre de Documentation juif de Wiesenthal à Vienne.

Celui-ci agit indirectement pour les intérêts d'Israël en dépistant sans arrêt de soi-disant criminels de guerre nazis pour garder la mémoire de l'Holocauste. Si les medias ne nous inondaient pas continuellement avec des histoires sur l'Holocauste, les juifs perdraient leur titre de persécutés qui peut facilement faire couler un argent liquide dont la somme peut atteindre des milliards.

Une condition importante pour la survie de l'état sioniste qui frôle la banqueroute depuis longtemps déjà et qui ne se maintient hors de l'eau que grâce à l'aide économique et militaire étrangère, consiste dans le fait que les médias des Etats Unis et du reste du monde présentent Israël comme un état courageux, plein de bonne volonté, composé de braves juifs qui sont persécutés par des Arabes cruels, barbares et belliqueux. Les pires de tous ceux-ci sont, bien sûr, les Palestiniens, tous fanatiques, terroristes sans pitié, ennemis de tout arrangement pacifique.

Déjà longtemps avant la création d'Israël, la majorité des médias des Etats Unis se trouvait totalement entre les mains des Juifs. Les deux quotidiens américains les plus célèbres, le New York Times et le Washington Post appartiennent aux Juifs. La famille juive Sulzberger possède le New York Times tandis que Katherine Meyer-Graham, fille du magnat financier juif Eugène Meyer, est propriétaire du Washington Post. L'hebdomadaire Newsweek appartient également à Meyer-Graham. Le deuxième grand hebdomadaire américain, le Time, est dirigé par le Juif Henry Grunwald tandis que le troisième hebdomadaire du lot, l'US News and World Report, se trouve sous les ailes du Juif Marvin Stone. Parade, hebdomadaire au tirage le plus important même si moins connu à l'étranger, est possédé par la famille d'éditeurs juifs Newhouse.

Les trois grandes compagnies américaines de la radio et de la télévision appartiennent toutes trois à des Juifs : l'ABC au Juif Léonard Goldensohn, la CBS au Juif William Paley et la NBC au Juif David Sarnoff ainsi qu'à ses héritiers. Et ce n'est pas fini :toutes les grandes maisons d'édition américaines sont contrôlées par des Juifs.

Il va de soi que toutes ces médias ne peuvent pas prendre à 100 % le parti des intérêts d'Israël parce qu'il existe de nombreux journalistes et rédacteurs qui pensent d'une manière indépendante et qui publient de temps à autre des informations ennuyeuses pour le gouvernement israélien. C'est le cas quand la situation est trop évidente. Par exemple lorsque des soldats israéliens tuent des civils sans défense en Cisjordanie ou dans la Bande de Gaza.

Mais dans l'ensemble on réussit à dissimuler le véritable visage de haine du sioniste et sa brutale politique d'occupation. Le lobby sioniste s'y emploie constamment. Tout reporter libre dans ses convictions risque le licenciement et s'il cherche une nouvelle place, il n'en trouvera pas parce qu'il sera fiché sur la liste noire de l'ADL.

Tout le monde islamique sait que l'industrie américaine cinématographique avec son centre prestigieux et brillant d'Hollywood se trouve entièrement à la solde du sionisme ; le fait qu'Hollywood avec ses productions gigantesques composées en grande partie de films, de séries TV et vidéos sans valeur aucune est sous la domination juive.devrait être un peu gênant.

Cette idée n'est pas partagée par un des plus grands journaux juifs, le Jewish Chronicle, hebdomadaire qui paraît à Londres. En 1974, il rendait public un long article où il était révélé que les Juifs tenaient Hollywood totalement entre leurs griffes. L'article qui a été retranscrit le 6 décembre 1974 dans le grand journal juif le "Jewish Post and Opinion" aux Etats Unis, avait pour titre triomphant : "Jews dominant in Hollywood" (Les Juifs gouvernent Hollywood)

Nous extrayons les citations suivantes de cet article : "Les Juifs gouvernent aujourd'hui Hollywood dans toute son ampleur comme ils l'ont fait dans l'enfance de l'industrie cinématographique. Les Juifs sont prépondérants en tant qu' acteurs, régisseurs et producteurs." Tom Tugend écrit ce qui suit dans la "Jewish Chronicle" de Londres : "Dans l'ensemble, la présence juive à Hollywood est un fait historique. Très peu de gens l'ignorent."

On présente comme allant de soi que les Juifs gouvernent le monde du film et que le caractère et les "qualités" juives soient mises ainsi au premier plan "A des cocktails, la conversation tournait sur les derniers triomphes ou les fiascos de notre peuple. Paul Newman, Barbara Streisand, Joel Grey, Tony Curtis, Dustin Hoffman, Kirk Douglas, Woody Allen sont nos congénères."

Bien plus importants que tous ces artistes renommés sont les juifs au sommet qui décident du choix des films, les boss, les directeurs avec leur pouvoir effectif, comme Ted Ashley de la société de films la firme Warner Brothers fondée et dirigée par des Juifs ; Gordon T. Stulberg, avec la firme de propriété juive, 20th Century Fox, Frank Rosenfeld et Daniel Melnick avec la Metro-Goldwyn Mayer (MGM), David Begelman avec la Columbia juive, Lew Wasserman et Jennings Lang avec l'Universal Pictures juive et Charles Bloudon de même que Robert Evans avec la Paramount juive.

Si nous regardons du côté des producteurs et des régisseurs, on s'aperçoit qu'une majorité écrasante est juive.Les producteurs de scénarios de films représentent presque une guilde fermée car au moins 80 à 90 % d'entre eux sont juifs.Tugend se pose alors la question suivante : "A quel point la nouvelle génération de films aux USA est-elle juive ?" Il y répond en donnant la parole à Charles Powell, vice-président de la Metro- Goldwyn Mayers : "La chose est évidente et l'on n'a pas besoin de chercher longtemps. Il suffit de citer des noms comme Richard Benjamin, Elliot Gould, Ron Leibman etc."

Les journaux juifs, la Jewish Chronicle en Angleterre et la Jewish Press and Opinion aux USA sont d'avis qu'on pourrait ajouter que si les juifs composent 3% de la population américaine, ils sont environ à 80% dans les industries du film, de la TV et des industries annexes. C'était déjà le cas dans les trente années passées, et cela a sans doute augmenté depuis.

Il faut aussi mentionner que les trois grandes sociétés nationales des Etats Unis : la Colombia Broadcasting System (CBS), l'American Broadcasting Corporation (ABC) et la National Broadcasting Corporation (NBC) sont entre les mains des Juifs. Le propriétaire de la CBS se nomme William Paley, celui de l'ABC, Leonard Goldensohn, et la NBC est possédée par les frères David et Robert Sarnoff. Tous ces messieurs sont multimillionnaires, même probablement milliardaires.

Les films d'horreur, macabres ou carrément sadiques dont le seul but est de susciter l'angoisse et la peur chez les spectateurs sont caractéristiques des producteurs juifs, tel le si célèbre Alfred Hitchcock. Parmi les noms importants de la nouvelle génération cinématographique, il faut naturellement citer Steven Spielberg qui investit pourchaque nouveau film 150 à 400 millions de dollars.

Les films sur le sexe, pornographiques sont aussi une spécialité juive. On peut citer ici Joe Levine qui sert souvent de directeur de scénario pour les romans orduriers de l'écrivaine juive Robins. Pour son film "The first Grade", (Le premier Degré) Levine a empoché la bagatelle de 130 millions de dollars

On peut tirer de tout cela que le lobby sioniste aux Etats Unis n'est pas seulement un groupe de pression habituel qui soigne les intérêts de ses membres face aux tenants du pouvoir politique, mais bien une 5e colonne au service d'une puissance étrangère qui peut établir ainsi sa force inouïe, efficace et son contrôle sur les medias par le chantage sur chaque gouvernement américain

Aucun président américain, aucun gouvernement américain ne peut survivre s'il a contre lui la meute des médias. Qui contrôle la presse, la radio et la télévision possède aussi la force de faire tomber un président et son gouvernement.

Selon toute apparence, des actes criminels peuvent être commis impunément à partir des Etats Unis contre les Arabes par les sionistes. D'après un document du FBI publié dans le journal américain "The Village Voice" (un memorandum intérieur du FBI) des activités terroristes de la Jewish Defense League (JDL) ont été déjouées par les recherches du FBI.

Dans le Memorandum, on dit entre autres : "De nombreuses indications furent fournies par le FBI à la police secrète israélienne, pourtant l'éclaircissement espéré des 25 meurtres terroristes et d'autres infractions à la loi, n' a pas eu lieu." Le FBI a demandé des informations sur les numéros de téléphone, les condamnations précédentes, les contacts personnels, les aides, les domiciles, les passeports des personnes soupçonnées. Mais suivant le memorandum, les ressortissants israéliens n'ont donné aucune réponse à ces questions.

La section du FBI contre le terrorisme a rencontré très souvent les représentants israéliens à Washington, cependant, "la quantité d'information ne s'est pas améliorée." La Commission israélienne à Washington a refusé de commenter les réclamations du FBI.

La JDL fut fondée en 1968 à Washington. Son premier président fut Rabbi Meir Kahane. En 1971, Kahane émigra vers Israël où il créa le parti raciste Kach, qui se mobilise pour l'expulsion de tout Arabe vivant en Israël et ou dans les territoires occupés.

A l'intérieur du FBI, on se doute que beaucoup de gens soupçonnés d'être des terroristes sont en contact étroit avec le parti Kach et la JDL. Les moyens d'action du FBI sont entravés par le fait que ces personnes soupçonnées possèdent la double nationalité américaine et israélienne et peuvent donc voyager facilement sans passeport, sans ennuis bureaucratiques sous leur nom hébreu. Les membres de la JDL sont soupçonnés entre autres d'avoir été derrière l'attentat meurtrier à la bombe contre Olex Odeh, l'ancien président de la Ligue antidiscrimination américano-arabe.



LE SIONISME ET LES JUIFS AUX ETATS UNIS

D'après le politologue et journaliste américain Stephen D. Isaacs (lui-même d' origine JUIVE), les juifs politiquement conscients, du moins aux USA, ne voient pas le monde habité par des juifs et d'autres peuples mais bien par des juifs et leurs ennemis. Ces derniers sont considérés comme antisémites et les non juifs totalement pro-sionistes comme dignes d'être juifs, "juifs d'honneurn (!)."

Un juif d'honneur particulièrement fidèle fut Jimmy Carter qui, comme protestant fondamentaliste, considérait les juifs comme le Peuple élu de Dieu. La même chose vaut pour Ronald Reagan.

Pour le lobby, la loyauté envers Israël est prioritaire alors que la loyauté envers les Etats Unis dépend de la détermination avec laquelle ceux-ci soutiennent Israël. Si l'Amérique se désolidarisait de l'état juif et rompait les relations privilégiées à son encontre, le lobby protesterait de toutes sortes de manières et ferait de son mieux pour compromettre leur propre pays d'accueil aux yeux de l'opinion publique mondiale.

D'après Stephen D. Isaacs, la puissance d'Israël domine les juifs riches avant tout au niveau psychologique. Sa manoeuvre consiste à leur rappeler constamment le danger antisémite qui peut à chaque instant prendre des dimensions menaçantes. Et peut conduire les juifs dans une misère terrible et peut-être même dans de nouvelles chambres à gaz. Sans ce fantôme horrible d'un antisémitisme  inventé, le sionisme et avec lui l'état juif ne pourraient subsister durablement.

Si malgré la meilleure volonté, on ne peut trouver nulle part des actes antisémites, alors il faut réanimer les horreurs du passé en rappelant qu'elles peuvent se reproduire à tout moment. Cela explique le flot ininterrompu de films et d'émissions de TV toujours neufs sur l'antisémitisme du national socialisme et des efforts zélés pour mettre au pilori d' imaginaires néo-nazis.

A la base de toute la tradition juive on trouve l'idée fixe juive que les juifs tout au long de l'histoire ont été continuellement  persécutés. Le traumatisme résultant de la peur de voir à nouveau se répéter ces atrocités est exploité à fond par les sionistes (dixit Isaacs) On rappelle quotidiennement aux juifs qu'ils vivent dans un monde hostile (!) que la peur et la crainte font partie de leur identité, de leur nature.

Alors intervient le sionisme ! Et ce sionisme les sermonne, l'index levé : Pensez que vous êtes juifs !, que vos prochains vous détestent et qu'ils peuvent à chaque moment fomenter de nouveaux pogroms et vous pousser dans de nouvelles chambres à gaz.

Et ceci n'est possible qu'avec votre aide financière et votre publicité pour la cause."

Voilà comment fonctionne, selon Isaacs, le mécanisme psychologique de l'agitation sioniste. Et cela trouve un terrain particulièrement favorable du fait que, d'après la religion juive, les Goyms pleins de malice sont considérés comme les acteurs de la punition de leur dieu de colère.

Rationalisme et irrationnel marchent souvent la main dans la main (dixit Isaacs, qui ajoute comme preuve :) Pensons seulement au psychologue juif Sigmund Freud avec son obsession sexuelle (celle qu'il voulait inculquer aux autres !) et son complexe d'Oedipe ou à un génial (?) Franz Kafka avec ses cauchemars lugubres exposés dans ses pièces célèbres (hélas !) : "Le Procès", etc.

Mais les oeuvres de Freud et de Kafka ont été rédigées bien avant l'arrivée au pouvoir d'Hitler et des soi-disant persécutions nazies. Donc, cette peur typiquement juive trouve sa source dans la crainte de Yahvé. Isaacs décrit clairement quelle est la réaction d'un juif dès qu'il entend le nom "juif" dans la bouche d'un non-juif. Il éprouverait une peur intense parce qu'il pense avoir affaire à un antisémite qui déteste les juifs en général et donc lui aussi personnellement.

Le mot "juif" est tabou sauf lorsqu'on l'utilise dans un sens élogieux. D'après la conception juive, le juif est invulnérable, saint, sacro-saint puisque dans la Torah, il est répété sans arrêt que les juifs sont le peuple élu de Yahvé. Et ne doivent pas se souiller en fréquentant les autres peuples qui sont impurs.

D'après Isaacs, cette peur irrationnelle touche particulièrement les juifs qui s'engagent en faveur du sionisme alors que ceux qui sont pour le socialisme et surtout ceux qui participent au domaine scientifique et médical y sont moins sujets.

Le juif Isaacs, collaborateur du Washington Post libéral et influent, ne craint pas de nommer comme qualités spécifiquement juives la crainte irrationnelle et l'hypersensibilité de la paranoïa. Il parle ouvertement d'une manie de la persécution qui présente les caractéristiques d'une maladie mentale, une sorte d'étape intermédiaire entre la santé et la folie pure et simple.

Ainsi pourrait-on encore parler de hasard lorsqu'on apprend que 80 à 90 % des Américains qui suivent un traitement psychologique sont juifs et que plus de 95 % des spécialistes en psychologie sont juifs aussi ! Isaacs estime que sans cette paranoïa, il n'existerait pas de lobby juif, pas de sionisme et pas d'état d'Israël

On pourrait ajouter qu'alors il n'existerait plus de motif de conserver la religion juive (et tout ce qu'elle entraîne, elle, la cause réelle de tout le mal que font les juifs !) Le mieux serait que les juifs cessent d'être juifs tout simplement ! On pourrait en conserver quelques exemplaires orthodoxes (!) comme curiosités archaïques et les exposer derrière les vitrines d'un musée.

Le fait que le sionisme considère l'assimilation comme le danger le plus mortel ressort des mises en garde continuelles des dirigeants sionistes. Le boss sioniste Nahum Goldmann a dit le 30 du 12 1964 lors du 26e congrès sioniste mondial à Jérusalem : "L'assimilation représente pour l'existence éternelle du peuple juif un danger plus grand que ne l'ont été dans le passé les persécutions, inquisitions, pogroms et l'Holocauste" (cité d'après le Monde du 1.1. 1965).

Cette citation prouve l'existence d'un traumatisme racial mélangé d'anxiété chez les sionistes.

Celui qui s'intéresse à la politique sait que l'état d'occupation d'Israël ne pourrait survivre sans l'aide financière massive de la super puissance des Etats Unis Dans la presse suédoise aussi on attire de temps en temps l'attention sur ce fait. Depuis des années déjà, cet état qui ne compte que 4 millions d'habitants encaisse autant d'aide au développement que l'ensemble des pays du monde. Chaque citoyen israélien touche de la part de la caisse de l'Etat américain le double d'un citoyen américain ! Et à cela s'ajoutent les sommes énormes provenant des organisations juives des Etats Unis sommes pour lesquelles suivant la coutume américaine on ne paie pas d'impôts.

 

SUR LA REVOLUTION "RUSSE"

Dire que l'Union soviétique marxiste-léniniste a été antisémite ou ennemie des Juifs est une plaisanterie et même une sinistre plaisanterie ! Karl Marx, fondateur du communisme, était entièrement juif : il appartenait à une lignée de rabbins. Une très grande partie - environ 80% - des commissaires directeurs de la Russie léniniste étaient d'origine juive même si les Juifs ne représentaient qu'environ 3 % de la population.

12 des 19 membres du premier gouvernement de Lénine étaient juifs, parmi ceux-ci les suivants : Schmidt (Commissaire en chef pour les travaux publics), Pfenigstein (Commissaire en chef pour la déportation des contre-révolutionnaires), Kukorskij (Commissaire au commerce), Schlichter (Commissaire en chef pour la confiscation des Biens privés) et Simasko (Commissaire en chef pour la Santé).

Les Juifs étaient encore en nombre plus élevé dans les différents commissariats. Au Ministère de l'Intérieur, il y avait par exemple 9 Juifs parmi les 10 commissaires : Ederer, Rosental, Goldenrubin, Krasikow, Rudnik, Krohmal, Martensohn, Pfeifermann,et Schneider.

Au commissariat du ministère des Affaires étrangères, les 17 diplomates bolcheviques appartenaient tous au Peuple élu. : Margolin, Fritz, Joffe, Lewin, Axelrod, Beck, Beintler, Martins, Rosenfeld, Vorovskij, Voikoff, Malkin, Rako, Manuilskij, Atzbaum, Beck et GrundBaum.

Au Commissariat supérieur économique, 13 des 14 membres étaient de la lignée d'Abraham. : Merzvin, Solfein, Harskyn, Berta Hinewitz, Gurko, Gladneff, Axelrod, Michaelsohn, Fürstenberg, et Kogon (secrétaire de Fürstenberg)

Au commissariat pour la Justice, tous les 8 commissaires étaient juifs : Steinberg, Berman, Lutzk, Berg, Koinbark, Schrewin, Gaussmann, et Schrader.

Au commissariat supérieur pour la formation publique, 7 des 8 commissaires de même que leurs collaborateurs les plus proches étaient juifs : Groinim, Lurie, Rosenfzeld, Jatz, Sternberg, Zolotin et Grünberg.

Au commissariat pour l'Armée Rouge il y avait seulement des Juifs, 15 en tout : Trotsky, Schorodak, Slanks, Petz, Gerschenfeld, Fruntze, Fiscmann, Potzern, Schutzmann, Gübelmann, Eviensohn, Dietz, Glusmann, Beckmann et Kahlmann.

De la même manière, 14 Juifs siégeaient au Soviet Suprême pour le Commerce national :

Kamenjev, Krasokov, Schotmann, Hekina, Eismobd, Landemann, Kreinitz, Alperovitj, Herzen, Schilmon, Tavrid, Rotenberg, Klammer et Kisswalter. Au commissariat supérieur de la représentation publique les 6 membres et leurs plus proches collaborateurs étaient juifs.

Au Comité central du Parti siégeait Lénine, qui était seulement juif pour un quart (sa mère, née Blank, était demi-juive) avec deux non-Juifs et 27 (!) juifs : Swerdlow, Kremmer, Bronstein, Katz, Goldstein, Abelmann, Zünderbaum, Uritzki, Rhein, Schmidowitz, Zeimbuhr, Rifkin, Schirota, Tschenilowski, Lewin, Weltmann, Axelrod, Fuschmann, Kraiskow, Knitzunck, Rader, Haskyn, Goldenrubin, Frisch, Bleichmann, Lantzner et Lischatz.

Dans la police secrète, la Tchéka, qui a précédé le GPU et le NKVD, 31 des 34 commissaires en chef étaient juifs : Derzhinski, Limbert, Vogel, Deipkhyn, Bizenskij, Razmirovitj, Sverdlov, Jahnsohn, Kneiwitz, Finesch, Delavnoff, Ziskyn, Golden, Scholovski, Rentenberg, Pernstein, Knigkiesen, Blumkin, Grunberg, Lanz, Heikina, Ripfkin, Kamkov, Jacks, Woinstein, Leindovitj, Gleistein, Helphan, Lazarevitj, Silencus et Mohdel.

On pourrait encore allonger longtemps la liste des commissaires juifs dans la jeune Union Soviétique. La prédominance juive des révolutionnaires bolcheviques était écrasante, ce qui a été depuis longtemps parfaitement prouvé par les documents. Tout parle en faveur du fait que la légendaire "révolution russe" au fond n'était pas russe mais a été une révolution juive. Les nouveaux maîtres du peuple russe étaient en majorité juifs.

C'est ainsi que des dirigeants juifs de l'Occident ont compris cette révolution et la Russie bolchevique a soumis le peuple russe à une domination meurtrière et terroriste Des Juifs importants ont fomenté aussi cette révolution à partir de l'Occident et ont forgé la Russie bolchevique, contre le peuple russe qui a subi un régime de meurtres atroces et de terreur. Des feuilles sionistes renommées comme la Jewish Chronicle de Londres et l'American Hebrew à New York ont salué la Russie bolchevique comme une idée de société utopique juive qui s'était matérialisée. Même s' ils ne pouvaient pas cacher qu'il y avait même entre les Juifs certaines dissensions. Ainsi Dora Kaplan, une révolutionnaire socialiste juive tenta d'assassiner Lénine le 30 août 1918.

Dans un livre blanc officiel britannique sur les origines de la révolution bolchevique, est cité l'ambassadeur néerlandais à Pétrograd qui avait dit le 6 septembre 1918 : "Le bolchevisme est organisé et dirigé par des juifs dont le seul but est la chute de l'ordre établi."

Le consul britannique d'Ekaterinenbourg où la famille du tsar fut massacrée par une bande d'assassins dirigés par le juif Swerdlow, écrivit le 23 janvier 1919 à Lord Curzon qui avait remplacé Balfour comme ministre des Affaires Extérieures britannique : "On ne peut pas qualifier les bolcheviques de parti politique. Ils représentent une classe relativement petite, privilégiée, qui s'est créé un monopole sur les armes et les ressources alimentaires et tient tout le reste de la population dans la crainte et la terreur. Cette classe se compose d'ouvriers et de soldats mais est conduite par une clique juive."

Et Winston Churchill déclara lors d'un discours dans le Dundee écossais, paru à Londres dans l'Illustrated News le 24 septembre 1921 :

"Cette cruelle catastrophe (la révolution bolchevique) a été voulue par une petite clique de révolutionnaires professionnels qui sont en grande partie juifs. Ceux-ci ont asservi le malheureux peuple russe par un régime tyrannique."

Ne manquons pas de préciser que les bolcheviques ont été nourris financièrement par des capitalistes juifs. Au premier plan, il faut nommer la firme bancaire juive Kuhn, Loeb et compagnie dont les directeurs et propriétaires se parent de noms bien juifs : Jacob et Mortimer Schiff, Felix Warburg, Otto Kahn, et Jérôme H. Hannauer. En plus des hommes qui se cachaient derrière le bolchevisme comme puissance financière étaient Helphand, souverain d'une fortune de millions escroqués dans des affaires douteuses, la famille du cuivre Guggenberg, Olof Aschberg, propriétaire de la banque Nya à Stockholm,de même que le propriétaire du syndicat Rhénois-Westphalien, Max Warburg. Tous ces noms sont des noms juifs.

Les faits ci-dessus sont prouvés par David Schub, journaliste et écrivain juif travaillant aux USA, dans sa biographie de Lénine, et plus tard, dans la foulée, dans plusieurs ouvrages de l'historien économiste Anthony Sutton.

Les régimes de marionnettes installés après la deuxième guerre mondiale en Europe de l'Est étaient composés en grande partie de juifs. Dans le KP tchécoslovaque, la domination juive a été écrasante jusqu'à la mise en échec en 1952 de la ligue de Slansky. En Hongrie, les proportions étaient encore plus fortes ; là, on chuchotait en plaisantant que Janos Kadar était le seul non juif parmi les membres du Comité central afin que quelqu'un puisse signer les condamnations à mort le jour du sabbat.

En URSS même, Staline dut, peu de temps avant sa mort soudaine et mystérieuse, avoir dressé des plans de mesures drastiques pour briser la toute-puissance juive.Il aurait décidé entre autres, la déportation de toute la population soviétique juive dans le Birobidschan sibérien.Sa disparition brutale empêcha la réalisation de cette politique.

Pourtant peu après la mort de Staline, en juin 1953, Marschall Schukow écrasa la clique sanguinaire du ministère de la police dirigé par Lavrentiy Béria, un géorgien d'origine juive et annonça ainsi la fin de la domination de la terreur juive sur les peuples de l'URSS. Cette domination qui avait provoqué quelques douzaines de millions de morts a conduit au plus grand holocauste de tous les temps, un véritable holocauste pas un imaginaire comme celui des juifs dans des chambres à gaz qui n'ont jamais existé, durant la deuxième guerre mondiale.)




QUI EST JUIF ?

Hans W. Levy est un juif né en Allemagne qui émigra de sa patrie natale, en 1940 en Suède où il acquit la nationalité suédoise. Plus tard, il devint président de la communauté juive de G?teborg qui compte environ 1800 personnes. Dans le "Svenska Dagbladet" du 22 juillet 1990, parut une interview de lui consacrée à des questions religieuses posées par le journal. Le titre annonçait : "L'amour pour Israël unit." Levy expose d'abord que cet amour est caractéristique de tous les juifs indistinctement. Lévy sait clairement, lui le président de la communauté juive de Göteborg, ce que ressentent et pensent tous les juifs. De ce fait on peut le considérer comme le représentant des juifs et ceci devient d'autant plus intéressant que peu seulement savent ce qu'il fait connaître au sujet de l'amour de tous les juifs pour Israël.

A la question qui est vraiment juif, une question sur laquelle beaucoup de juifs et de non-juifs se sont creusé la tête au cours des siècles, Levy répond :

"C'est tout simple. Est juif celui dont la mère est juive." On ne trouve rien d'original dans cette réponse. Une mère juive est la condition nécessaire pour qu'un juif soit considéré automatiquement comme citoyen d'Israël. Ce principe est raciste ou si l'on préfère, à moitié raciste. celui qui n'a qu'un père juif mais pas une mère juive, n'est pas reconnu comme juif. En Suède, comme ailleurs, la communauté juive lui refusera l'admission et il n'aura aucun droit à la citoyenneté israélienne.

Levy dit ensuite que tous les juifs forment un peuple particulier et une nation particulière et qu'ils sont liés à Israël. La nationalité suédoise ne fait pas d'un juif - d'un vrai juif qui peut se réclamer d'une mère juive - un Suédois. Il est et reste juif même si pour des raisons d'opportunité, il se désigne comme suédois.

Un exemple encore de ce que la définition juive du mot juif est raciste : Si on dit : "Ne peut être chrétien que celui qui possède une mère chrétienne" ou "N'est musulman que celui qui possède une mère musulmane", cela signifierait que le christianisme et l'islam sont racistes, qu'ils sont des religions associées à une certaine ethnie. Ceci n'est naturellement pas le cas. Chacun peut être soit chrétien soit musulman. Le judaïsme se distingue des autres religions principales par le fait qu'il n'est pas universel et ne s'adresse pas à tous les peuples mais n'est valable que pour un seul peuple.

Hans W. Levy dit ce qui suit à propos des juifs et de leur religion :

"A vrai dire chaque juif possède sa propre religion. D'une part nous avons les juifs qui suivent méticuleusement les préceptes de la Torah et de la Loi juive et respectent soigneusement le sabbat. D'autre part, il y a les juifs qui se désignent comme athées."

Levy oublie de dire que beaucoup de juifs se sont convertis officieusement au christianisme mais qu'ils sont restés juifs. Prenons par exemple le cas de l'historien de l'art, Berenson, ou du grand premier ministre britannique Disraéli, ou du poète Henri Heine, du prophète Nostradamus, des compositeurs Mendelsohn et Mahler et de l'actuel archevêque de Paris, Monseigneur Lustiger. Ce ne sont pas des cas isolés.

On s'aperçoit aussi que, suivant Levy, les athées s'ils ont une mère juive, ne sont pas seulement des juifs mais aussi des "juifs religieux" puisqu'il affirme que chaque juif possède sa propre religion et qu'il classe les athées dans cette catégorie. Un athée est quelqu'un qui ne croit pas en Dieu et qui, de ce fait, est hors de toute religion. Ainsi un chrétien ou un musulman ne peuvent être désignés comme athées. Il y aurait une contradiction.

Il en va tout autrement avec les juifs ! Les juifs athées, selon Levy, ont leur propre religion ! De tout ceci on peut conclure qu'en toute logique les juifs échappent aux définitions courantes. Un juif non religieux n'est pas irréligieux, mais il possède sa propre religion !

La solution à ce mystère apparent est fort simple. Le judaïsme n'est pas une religion dans le vrai sens du terme, mais un nationalisme déguisé en religion qui repose sur un concept de race suivant lequel les juifs ne peuvent pas se mélanger aux autres peuples. (Moïse, 5, 7 :1-3 ; Esrah, 9 :12, 10 :2-3, Néhémie, 13 :3,25,30-31)

Par conséquent la "communauté juive" n'existe réellement que nominalement. elle se donne ce titre parce qu'ainsi elle entend jouir des avantages et du respect attribués aux communautés religieuses. En fait, elle n'est qu'un rassemblement de juifs nationalistes qui oblige à être loyal envers tous les juifs et entraîne l "amour pour Israël".

En résumé : les juifs peuvent se désigner comme religieux ou non religieux. Même dans le second cas, ils seront religieux ! C'est certainement un truc malsain mais efficace. Le prestidigitateur qui au cirque sort de sa poche vide des mouchoirs de soie ou de petits lapins blancs est salué par de chaleureux applaudissements. Au juif aussi, il ne manque pas de spectateurs qui n'ont pas compris l'astuce, pour applaudir. Ergotage, détournement de sens, logique ? Vocabulaire homicide, avec lequel ils matraquent leurs adversaire ? : tout cela fait partie de la tradition talmudique centenaire.

"Chaque juif français est un représentant d' Israël" a déclaré le grand rabbin de France, Joseph Sitruk, à la radio israélienne le 9 juillet 1990. A Jérusalem lors de la construction de la "maison de la communauté juive française", Sitruk se tourna vers le ministre Yitzhak Shamir, et déclara : "Soyons conscients du fait que chaque juif de France défend ce que vous défendez" et il poursuivit : "personne ne peut rompre cette alliance ni nos diffamateurs ni nos ennemis" (AFP, Agence d'information française)

Le grand rabbin français fait donc connaître que la communauté juive et le sionisme mondial d'agression appartiennent tous deux à Israël en tant que citadelles. Les 750 000 juifs français sont par conséquent en dépit de leur citoyenneté française des agents israéliens. Ils ne se comportent pas vis à vis de la France avec loyauté mais offrent leur loyauté à une puissance étrangère qui est en état de guerre avec des états arabes islamiques avec lesquels la France entretient traditionnellement de bonnes relations !

Il est clair pour chacun qu'il faut être loyal envers son pays qu'on y soit né ou qu'on y ait émigré et ceci tout à fait indépendamment de la religion. Mais pour les juifs cela n'est pas valable. Le lien avec Israël est une revendication absolue. Comment tout cela peut-il se concilier ?

On peut comprendre et admettre que beaucoup d'immigrés ou de réfugiés tiennent encore sentimentalement à leur pays d'origine où ils ont leurs racines. C'est un sentiment personnel d'attachement à son ancienne patrie mais pas un lien politique ou religieux sans réserve avec une puissance étrangère ennemie qui mène fatalement à un conflit envers la loyauté envers le pays où l'on vit, où l'on travaille et jouit de tous les droits civiques

Le cas est différent pour les juifs de France, de Suède ou d'ailleurs. Les juifs concernés ne sont pas nés en Israël et les seuls liens qui les unissent à ce pays sont de nature fictive, d'origine biblique.

Avec ce même raisonnement, tous les chrétiens du monde pourraient se sentir chez eux en Israël puisque le Christ y est né et y a vécu.

Ce que le grand rabbin de France a déclaré officiellement en Israël au premier ministre Yitzhak Shamir est extrêmement instructif et démasque beaucoup de choses !


 

LA PUISSANCE DE LA MAISON ROTHSCHILD

En Suède comme au Canada, il existe une loi qui interdit la "haine envers un groupe ethnique" D'après celle-ci, répandre de fausses informations est interdit Cette loi est utilisée comme une matraque pour la répression du révisionnisme.

C'est par une ironie amère que de telles lois ont vu le jour dans certains pays pour empêcher des capitalistes juifs d'escroquer des sommes énormes en propageant consciemment de fausses informations.

Voici un exemple type bien connu de fausse information : Après la bataille de Waterloo, en juin 1815, le juif Nathan Rothschild a répandu la nouvelle à Londres que Napoléon était vainqueur de la bataille. Rothschild avait appris par un pigeon voyageur l'issue du combat et savait que Wellington et Blücher étaient vainqueurs. L'information mensongère provoqua naturellement la panique et les actions en bourse chutèrent à un niveau record. Nathan Rothschild acheta alors ces actions pour une miette de pain.

Avec un truc de cette espèce, les juifs se sont rendus coupables de cette, catastrophe dans l'économie mondiale., catastrophe entrée dans l'histoire sous le nom de "Grande Dépression". Il existe d'innombrables exemples des mensonges de la haute finance juive mais je ne peux pas m'étendre ici plus longtemps sur ce sujet.

D'innombrables légendes et anecdotes circulent au sujet de l'empire fabuleux de la tribu Rothschild et de sa puissance financière durant les 19e et 20e siècles

Dès le début du dix-neuvième siècle, Amschel Mayer Rothschild de Francfort envoya ses fils dans différentes métropoles - Paris, Londres, Vienne et Naples - où ils s'établirent bien vite comme banquiers et comme gens de commerce. Ils ne se gênaient jamais pour monnayer leur immense pouvoir économique au pouvoir politique. Et c'est bien ce qu'ils réussirent d'une part par la mise en place d' un réseau d'information qui fonctionnait parfaitement, d'autre part en s'immisçant dans les affaires des gouvernements économiquement faibles qu' ils financèrent en échange d'une sécurité garantie.

Déjà un peu avant le vingtième siècle, la branche Rothschild britannique s'était engagée sur la question du Moyen Orient qui était d'une importance géostratégique considérable pour l'ancien empire britannique oriental de Suez jusqu'aux Indes et la Birmanie.

Les Rothschild montrèrent ouvertement à Londres leur fascination pour l'idée d'une Palestine gouvernée par les juifs. Dans une biographie ultérieure des Rothschild, l'auteur Derek Wilson dit : "Aucune chronique de la famille Rothschild ne serait complète si on décrivait seulement leur puissance économique et leur style de vie brillante, sans révéler leur lien à leur héritage juif tumultueux et écrasant. Ce lien témoigne de leur engagement en faveur du sionisme."

Déjà dans la seconde moitié du dix-neuvième siècle, les Rothschild favorisèrent l'immigration juive en Palestine gouvernée alors par les Turcs. Les sionistes de ce temps-là qui ne voulaient absolument pas reconnaître l'existence des Palestiniens, immigrèrent dans ce pays et découvrirent avec un profond ahurissement qu'il était réellement habité par un peuple palestinien et que celui-ci s'insurgeait de plus en plus contre l'invasion juive.

Derek Wilson dit à ce sujet : "Malgré toutes ces difficultés, le juif palestinien arrivait à survivre facilement grâce au soutien financier constant des juifs occidentaux fortunés."

Avec la forte prise de pouvoir du sionisme au début du 20e siècle et avec la première guerre mondiale, lorsque la France et l'Angleterre firent la guerre au royaume ottoman, Lord Rothschild, élevé au rang de chevalier, se dévoua totalement pour les sionistes. Avec la protection des hommes politiques importants, Arthur Balfour et Lloyd Georges, il travailla en faveur de la formation d'une "patrie nationale juive" en Palestine que les Britanniques voulaient prendre aux Turcs après la victoire attendue de la guerre. A cette époque Lord Rothschild passait pour le prophète mondial juif et prit parti, avec sa fortune prodigieuse et sa place au sommet comme prophète mondial du judaïsme mondial, pour la colonisation juive de la Palestine !

Ceci doit être considéré comme la cause cachée de la fameuse Déclaration Balfour de novembre 1917. Après le travail acharné de publicité de Lord Rothschild, parut le 2 novembre cette lettre confidentielle du ministre des Affaires étrangères :

 


Cher Lord Rothschild,
Au nom de Sa Majesté britannique, j'ai le grand plaisir de vous adresser les déclarations de sympathie suivantes en faveur des tentatives sionistes juives qui ont été déposées au Cabinet et ont été agréées par celui-ci. :
Le gouvernement de Sa Majesté regarde avec bienveillance les efforts entrepris en faveur de la création d'une patrie nationale en Palestine pour le peuple juif et soutient ces efforts qui ne doivent en rien léser les intérêts des groupes non-juifs en Palestine ou les droits et le statut que les Juifs possèdent dans d'autres pays.
Je vous serais obligé de porter à la connaissance de la ligue sioniste le contenu de cette déclaration,
Votre dévoué Arthur James Balfour

Ce qui est remarquable dans cette Déclaration Balfour, c'est que le gouvernement britannique visait un pays, en fait la Palestine, comme patrie pour les juifs, sur lequel il ne possédait aucun droit de décret et au nom duquel il n' aurait donc pas pu parler au nom du droit des peuples.

Ce fut naturellement un cas classique de politique impérialiste. Les sionistes se comportèrent encore plus sournoisement en toute liberté avec la réalisation de leur état d'Israël et l'expulsion en masse qui s'ensuivit : les intérêts des groupes non-juifs étaient oubliés, ce qui était interdit par la Déclaration.

La maison Rothschild avait commençé un jour par des affaires de bordel ses entreprises commerciales à Francfort et par la suite avait amassé.par toutes sortes d 'affaires louches et de spéculations, un pouvoir fabuleux.

La guerre civile américaine fut planifiée à Londres en 1857, c'est à dire 4 ans avant le déclenchement des hostilités. Certains banquiers de la branche parisienne devaient soutenir et financer les états du Sud et la branche britannique du même groupe devait donner son aide aux états du Nord. Derrière les deux branches se trouvait la maison Rothschild.

Dans le Nord, elle fut représentée par un juif que l'on connaît sous le nom d'Auguste Belmont (son véritable nom était Auguste Schönberg). Il était d'origine allemande mais il avait émigré aux USA. Dans le Sud, le groupe fut représenté par son oncle, le sénateur de la Louisiane John Slidell. Celui-ci était juif du côté paternel et avait sa résidence à New York. L'associé économique le plus intime de Slidell était un autre juif du nom de Judah Benjamin qui avait été un bon ami de Disraéli. Durant la guerre civile américaine, Benjamin fut le secrétaire de la Confédération des Etats du Sud. Selon l'encyclopédie juive (vol. III, p. 30) Benjamin était le "cerveau coordinateur de la Confédération", mais fut fortement impopulaire surtout durant son service rémunéré durant la guerre ".

La chronique The Counciler (5. -25 octobre 1973, vol. 10, n° 15) affirme : "Aussi bien Benjamin que Slidell étaient des agents de Rothschild et, durant la guerre civile, les moyens financiers coulèrent dans les coffres de la part des Rotschild via les banques Erlander."

Pour les magnats de la finance Rothschild, le but de la guerre civile était d'endetter les Etats du Nord aussi bien que les Etats du Sud afin que dans leur situation financière désespérée, ils soient prêts à accepter le même système monétaire qu'avait déjà mis sur pied la maison Rothschild en Angleterre et sur le continent européen. Egalement aux Etats Unis, une banque nationale ou impériale devait être appelée à l'existence et l'argent en cours devait être centralisé afin de liquider en partie les dettes nationales dont on garantissait le paiement avec les impôts payés par les citoyens américains.

De ce fait, la production économique américaine et par suite le peuple américain lui-même, devaient tomber dans la dépendance financière de la maison Rothschild et des banques qui lui sont affiliées

Dire que le but de la guerre a consisté dans l'abolition de l'esclavage est un conte de nourrice répandu par la propagande des Etats du Nord et plus tard par les livres d'histoire à l'usage des naïfs. Tout ceci a été exposé entre autres dans le livre de Gertrude Coogens, "The Historical Facts. Our Untaugh History". (p. 174-184).

Le fait qu'Abraham Lincoln, chef des Etats du Nord, ait vu clair dans le jeu de cartes des Rothschild est très instructif. Il avait fort bien compris que les banquiers juifs étaient les véritables ennemis de l'Amérique et non les Etats du Sud révoltés ou les "barons de l'esclavage". Les manigances et les machinations dégoûtantes des magnats des banques juives préoccupaient profondément Lincoln. Nous renvoyons à ce sujet à John R. Elsons, "Lightening Over the Treasure Building" (Meador, Boston, 1941, p. 78) ainsi qu'au livre de Gertrude Coogans déjà cité.

Beaucoup de chercheurs pensent qu'il peut être prouvé valablement que le meurtrier de Lincoln, John Wilkes Booth, ne fut pas un espion ou un fanatique agissant en son nom personnel mais comme l'a dit sa mère : "une marionnette aux mains de gens qui agissaient dans les plus haut milieux", un petit rouage dans une conspiration dont les acteurs cachés étaient Judah Benjamin déjà cité et à l'autre extrémité, les Rothschild. Lincoln a dû être écarté pour que la clique des Rothschild puisse avoir l'économie américaine entièrement dans ses mains. Il fallait pour cela créer une banque nationale. Et cela se fit en 1913. Celui qui aida à sa naissance fut le banquier juif, Paul Warburg, qui avait ouvert la voie pour la création de la Federal Reserve Bank

Une source juive révèle combien le pouvoir financier des Rothschild était déjà gigantesque dès la première moitié du 19e siècle. Moses Margoliuth écrit dans son livre "The History of the Jews in Great Britain" (Londres, 1951, vol. II, p. 161) : "Le nom des Rothschild était omniprésent et on s'apercevait avec justesse que la maison Rothschild avait étendu un réseau sur toute la nation. Il n'est pas étonnant qu'aucun gouvernement de quelque état européen que ce soit ne pouvait contrecarrer ses opérations sur le marché monétaire ;

Le capitalisme - ou le pouvoir de l'argent - est un instrument que la puissance juive utilise sous le couvert de la démocratie. Il faut ajouter que la famille bancaire Rothschild déjà immensément riche dès le milieu du siècle passé a participé activement à la politique en Angleterre et en France, en Allemagne et en Autriche. Au 20e siècle, elle soutint activement le sionisme. Lors de notre introduction sur la Déclaration Balfour, nous avons vu que Lord Rothschild se présentait comme défenseur du sionisme mondial.



COMMENT LES ETATS-UNIS ENTRERENT-ILS DANS LA PREMIERE GUERRE MONDIALE ?

Samuel Landman, secrétaire de l'Organisation Mondiale Sioniste de 1917 à 1922 révèle dans son écrit Great Britain : "The Jews and Palestine" (New Zionist Press, London, 1936) comment l'Organisation Mondiale Sioniste conclut un accord secret avec le Cabinet de la guerre britannique qui ouvrait la voie à la Déclaration Balfour de l'année suivante.

Suivant cet accord, la Grande-Bretagne promettait aux sionistes l'acquisition de la Palestine gouvernée alors par les Turcs en échange de l'entrée en guerre des Etats Unis à côté des des Anglais qui devait se faire sous la pression des sionistes. Le sioniste Landman écrit : "La meilleure façon et peut-être la seule pour obtenir l 'entrée en guerre de la part du président américain, Woodrow Wilson, consiste en ce que ce dernier soit assuré du soutien des sionistes convaincus. En posant comme objectif, devant les yeux de ceux-ci, la Palestine, on mobilisa le potentiel inespéré des sionistes des Etats Unis et d'ailleurs pour les Alliés. Quid pro quo - Service pour service !"

Selon l'Agence officielle américaine (World Almanach), 4 millions 335 000 Américains furent appelés sous les drapeaux durant la première guerre mondiale. 116.516 d'entre eux moururent, 204.002 furent estropiés. L'Amérique paya d'un beau bain de sang les intérêts juifs.

James A. Malcolm, qui a été chargé par le Cabinet de la guerre britannique en 1916 de traiter avec les sionistes, révèle dans son livre "Origins of the Balfour Declaration : Dr Weisman's Contribution" (Londres 1944) : "On peut gagner partout la sympathie des juifs mais seulement si on leur offre la Palestine. "Lord Alfred Milner du ministère de la Guerre s'y intéressait mais il ne croyait pas en la possibilité de promettre la Palestine aux juifs. Je répondis qu'il n'y avait qu'une seule méthode pour créer l'événement désiré, à savoir l'entrée de l'Amérique dans la guerre et je lui désignai un des amis les plus intimes du président Wilson, en l'occurrence Louis Brandéis, président du tribunal suprême des Etats Unis, de la Cour Suprême : Brandéis était un sioniste de corps et d'âme.

Ensuite, James A. Malcolm décrit les tractations dures entre les chefs sionistes et le Cabinet de la guerre britannique : "Les entretiens aboutirent à un accord que je désignai du nom de "Gentleman Agreement" : les sionistes devaient oeuvrer activement pour que les juifs se rangent du côté des Alliés surtout aux Etats Unis et pour influencer l'opinion publique dans le sens des Alliés. En échange, le Cabinet britannique devait aider les juifs à gagner la Palestine."

Sir Francis Neilson, historien et parlementaire britannique, écrit dans son ouvrage classique sur la première guerre mondiale "The Makers of the War" : "En Amérique, le président Woodrow Wilson cherchait désespérément un prétexte pour entrer en guerre. Il le trouva finalement dans l'histoire du naufrage du Sussex dans la Manche. Tous les citoyens américains qui se trouvaient à bord auraient péri. Avec ce prétexte, il se tourna vers le Congrès pour obtenir la permission de déclarer la guerre. Plus tard il fut prouvé que le Sussex n'avait pas coulé et qu'aucun Américain n'avait trouvé la mort."

James A. Malcolm a dépeint en détails dans le New Judaea, l'organe officiel de l'Organisation Mondiale sioniste à Londres, (ed. d'octobre-novembre 1944) comment les sionistes ont remué ciel et terre aux Etats Unis pour entraîner le pays dans la guerre. : "Le Gentlement Agreement entre les chefs sionistes et le cabinet de la guerre britannique dont l'élaboration m'a été confiée représentait la base de la coopération. Déjà après quelques mois de guerre on constatait d'excellents résultats malgré les nombreuses défaites."

Dans son oeuvre citée ci-dessus, Great Britain, "The Jews and Palestine", Samuel Landman dit : "Le fait que l'entrée en guerre des Etats Unis dans la première guerre mondiale soit due à l'initiative des juifs a provoqué en Allemagne, surtout chez les Nationaux-socialistes, une profonde amertume. Il en a résulté que l'antisémitisme joua un rôle si important dans la politique du national-socialisme." 

Le journal juif "Jewish Daily Bulletin" imprima le 30 octobre 1934 un télégramme juif de Berlin dans lequel il était dit en substance : "La nouvelle Allemagne tente de rendre inopérante l'influence juive actuelle car les juifs ont poussé les Etats Unis dans la guerre mondiale pour contribuer à la défaite de l'Allemagne et amener ensuite une inflation catastrophique dans ce pays. C'est ce que déclarait hier, à Magdebourg, Richard Kunze, un député, dirigeant national-socialiste."

 

DES CHEFS DE LA MAFIA POUR ISRAEL

Beaucoup d'Américains furent profondément choqués lorsque l'ADL, organe de la loge juive du B'naï Brith, conféra au gangster Morris, "Moe" Dalitz, en 1985, la distinction "Flambeau de la Paix". Dalitz était le fondateur du "Gang Pourpre", une bande d'assassins de triste réputation et l'acolyte de longue date de Meyer Lanski. Qu'on s'imagine une association d'Italo-Américains décernant une distinction à Al Capone !

Le Gang Pourpre opérait à Détroit et Cleveland et était cette branche de la mafia américaine qui, durant l'ère de la prohibition des années 20, avait eu la plus grosse part dans le trafic de l'alcool. Après la fin de la prohibition, il se spécialisa dans le commerce des stupéfiants. Meyer Lanski comptait parmi les plus grands boss de la mafia et était responsable de plusieurs meurtres.

Comment l'ADL eut-elle l'idée d'attribuer une distinction à un bandit juif, mal famé ? Peut-être que le long article paru le 20 avril 1990, sous la rubrique "Les mafias sionistes en WK" du Jerusalem Post Magazine, d'un certain Robert A. Rockaway, expert en histoire juive à Tel Aviv, pourra nous révéler la cause cachée de cette énigme.

Dans cet article, il était dit comment Meyer Lanski, Dalitz et d'autres gangsters juifs collaboraient clandestinement à la lutte pour la création de l'état d'Israël. Durant les années 40, ces cercles envoyèrent de l 'argent et des armes en Palestine.

Si l'article avait paru dans un autre journal, on l'aurait certainement qualifié d'antisémite.

Le lecteur aura les cheveux qui se dresseront sur la tête lorsqu'il apprendra que : "De même que dans beaucoup d'autres domaines, les juifs se sont créé une position dominante dans le domaine du crime." Après cette introduction, suit une énumération des chefs américains de premier plan. :

Charles King Salomon dirigeait le monde de la pègre à Boston et gérait le trafic de drogue en Nouvelle Angleterre. Max Dalitz (celui à qui l'ADL rendit les honneurs), Sam Tucker, Morris Kleinmann, et Louis Rothkopf dirigeaient le trafic d'alcool à Cleveland...

Jake "Greasy Thumb" était caissier et comptable dans la bande d'Al Capone. Une véritable mafia juive du nom de Purple Gang régentait en grande partie le trafic d'alcool à Détroit et s'occupait de salons de jeu, de fraudes d'assurances, de commerce de stupéfiants, d'enlèvements et de meurtres sur commande... Abner "Longy" Zwillmann, un trafiquant d'alcool important du temps de la prohibition, était chef de la mafia à New Jersey.

A New York, qui était déjà en 1920 la plus grande ville juive du monde, l'instigateur en chef des crimes organisés, le juif Arnold Rothstein, fut considéré par les historiens comme le plus grand entrepreneur dans l'histoire du gangstérisme américain. Rothstein, connu aussi par le public comme organisateur des World Series, en 1919, construisit l'empire du jeu le plus puissant du monde entier. Grâce à ses ressources financières illimitées, il finançait le trafic de l'alcool et celui de la drogue, il achetait les juges et les hommes politiques et prêtait de l'argent à des firmes légales. L'influence de vaste envergure de Rothstein l'amena à recevoir le titre de noblesse de "Tsar de la Pègre".

Parmi ses disciples les plus fervents, on comptait le juif Meyer Lanski qui, plus tard, devint une des figures les plus connues de la pègre. Il fonda des casinos à Cuba et aux Bahamas ; le juif Bugsy Siegel qui se spécialisa à Los Angeles dans les affaires de chantage et qui créa à Las Végas une voie d'accès pour la mafia ; le juif Louis "Lepke", comptable, qui commandait une troupe de plus de 200 gangsters et gouvernait par les menaces et la terreur l'industrie du textile à New York ; et le juif Arthur "Dutch Schultz" Flegenheimer, un meurtrier brutal,qui fut le roi incontesté de la bière dans le Bronx. "

De tels faits bien établis doivent être considérés comme très importants ; ce n'est pas rien de prendre des assassins sous sa protection et de les honorer pour des motifs soi-disant objectifs. Rockaway écrit : "Beaucoup de juifs ont une admiration à contre coeur pour ces gangsters parce qu'ils brisent les normes traditionnelles de la société sans se soucier de ce que pensent les Goïms."

L'article se termine sur ces phrases incroyables : "Même si la pratique du gangstérisme juif pouvait être gênante, ils pouvaient faire ce que les juifs décents ne pouvaient pas : une protection physique des juifs et de l'argent rapide pour Israël qui luttait pour sa survie. Ces hommes n'étaient pas des successeurs de Robin des Bois et ne devaient pas être louangés. Pourtant ils ont fait de leur mieux pour aider leur peuple à survivre."

La distinction décernée par l'ADL au meurtrier Moe Dalitz peut être considérée comme une bizarre façon de venir à bout du passé des dirigeants de l'ADL suivant la devise : "Ne cachons pas notre sale passé plus longtemps ! Soyons en fiers ! Honorons-le !"

Dans l'article du Post Magazine de Jérusalem manque un nom tout à fait fondamental. Car il est universellement connu que la famille juive Bronfmann a escroqué une fortune fabuleuse en mettant sous son contrôle le trafic de l'alcool durant l'époque de la prohibition d'abord au Canada et ensuite aux Etats Unis. Lorsque la consommation de l'alcool fut interdite de 1915 à 1919 au Canada, la famille Bronfmann importa clandestinement des boissons fortes dans le pays. En 1919, l'interdiction fut levée. Alors commença la prohibition aux Etats Unis. Les Bronfmann eurent de ce fait un nouveau marché.

Leurs aides étaient des hommes de la mafia américaine qui manageaient et protégeaient le commerce de l'alcool : les quatre frères Bronfmann, Allan, Sam (le père d'Edgard Bronfmann, le président d'honneur actuel de l'ADL), Abe et Harry possédèrent la majorité des actions dans le si nommé "syndicat Reinfeld" qui achetait du whisky aux fabricants britanniques et le revendait par la mafia. La distribution était surveillée par le juif Joseph Reinfeld, un meurtrier présumé, à New Jersey, par Abner "Longy", Zwillmann et par le "Paten" Arnold Rothstein, avec leurs bandes à New York.

Sous la protection de l'oncle d'Al Capone, John Torrio, la mafia fut centralisée durant les années 20 en organisation criminelle strictement organisée couvrant l'ensemble du pays.

A cette époque, les grandes batailles de la mafia s'enflammèrent, batailles par lesquelles un grand nombre de mafiosi italiens dut mordre la poussière, et la fraction dirigée par John Torrio, Meyer Lansky et Lucky Luciano triompha. Au début des années trente, Meyer Lansky et Benjamin "Bugsy" Siegel fondèrent le "Bureau du crime" de la mafia cartellisée dont la mission était d'envoyer ad patres ceux qui représentaient une gêne pour la mafia. On appelait ce bureau l' "AB Meurtre".

Simultanément on continuait la politique d'investissement dans des branches commerciales légales, ce qui eut pour résultat qu'en 1936, lorsque la prohibition fut levée, beaucoup de mafiosi étaient devenus immensément riches et possédaient un impact formidable dans la société américaine.

En mai 1936, le clan Bronfmann accepta de payer à l'état américain 1,5 million de dollars pour régler ses dettes. La facture représente un aveu implicite du fait qu' à peu près la moitié de l'eau de vie trafiquée durant la prohibition venait des Bronfmann. Durant l'époque qui suivit, ceux-ci s'endormirent sur leurs lauriers maintenant qu'ils étaient devenus "respectables". Des personnalités juives influentes veillèrent à ce que Sam Bronfmann dès 1934 c'est à dire déjà avant la fin de la prohibition, obtint son poste de président du National Jewish People's Relief Commitee, poste plein de prestige.

En 1939, il fut nommé président de la Jewish Colonisation Association, et beaucoup d'autres postes suivirent. D'autres gangsters de la mafia américaine, également, se muèrent en juifs philanthropes. Ils protégèrent des organisations juives qui s'occupaient des réfugiés juifs devant le national-socialisme.

Edgar Bronfmann se servit de la fortune familiale escroquée pour prendre son essor vers la présidence du Congrès Mondial Juif. Une partie du clan des Bronfmann couvre encore aujourd'hui le gangstérisme sous son aile. En 1972, Mitchell, le frère d'Edgar, fut cité à Montréal dans un rapport d'une commission criminelle comme acolyte du dirigeant local du gangstérisme Willy Obront : "Leur situation comporte des activités illégales qu'ils ont pratiquées ensemble, les services spéciaux qu'ils se sont rendus réciproquement et les profits qui en sont sortis pour tous les deux dans le domaine de l'usure, des jeux de hasard, de paris illégaux, des falsifications d'actions, d'impôts extorqués et de corruption." (cité à partir de Peter C. Newmans "The Bronfmann Dynasty", p. 231) Obront et un autre copain de Mitchell Bronfmann, un juif du nom de Sidney Rosen, furent tous deux envoyés derrière les barreaux durant les années septante pour blanchiement d'argent sale et autres délits.

Encore aujourd'hui les postes directeurs de l'ADL sont occupés par des gens qui entretiennent des relations avec le crime organisé, le B'nai Brith et leur ADL.

Le quartier général d'où les racistes juifs pratiquent l'espionnage et la propagande raciste juive est le B'nai B'rith juif de la confrérie franc-maçonne avec l'ADL qui lui est rattachée. Cette dernière a de nombreuses filiales locales partout aux Etats Unis et dans tous les pays où il y a un nombre appréciable de juifs. Tous les gouvernements occidentaux soutiennent l'ADL. En août 1988, par exemple, le B'nai B'rith a tenu un congrès d'une semaine à Stockholm.

Lorsque l'ADL fêta son cinquantième anniversaire en 1963, cette organisation de propagande juive put démontrer ainsi fièrement que son quartier général de New York possédait des bureaux régionaux dans pas moins de 30 villes américaines et commandait un état major de 150 avocats, de professeurs de sciences sociales, de pédagogues et de spécialistes en publicité à temps complet. Le budget s'élevait déjà en 1960 à 3, 940 millions de dollars bien établis (Thomas B. Morgan : "The fight against prejudice", Look Magazine, 4 juin 1963).

Bien que l'ADL soit exempte d'impôts parce que reconnue soi-disant "d'utilité publique", elle joue un rôle politique considérable et peut prétendre souvent à des pouvoirs dans la police. Le chef régional de l'ADL à la Nouvelle Orléans, contrôle une partie importante des fonds publics utilisés par le FBI dans ses agences pour la découverte de soi-disant attentats contre des synagogues dans le Mississipi.

Une jeune professeur fut tuée par le FBI lors de son arrestation. On l'avait soupçonnée de vouloir faire sauter une synagogue. L'ADL réussit à éviter toute enquête bien que celle-ci soit de règle lors d'attentats, de coups meurtriers et d'accidents mortels. (Los Angeles Times, 13 février 1970)

La loge du B'nai Brith fut fondée en 1843. En 1966, Elle avait 205 000 membres masculins dans l'ensemble des 350 loges réparties dans 43 pays et 130 000 membres féminins dans 600 sections (Edward Grusd : "B'nai B'rith", Appleton Century, New York, 1966, p. 283/286). Elle travaille en tant que lobby puissant pour Israël et d'autres intérêts juifs même si elle n'a jamais été enregistrée comme agentur d'un gouvernement étranger. (New York Times, 28 mai 1970, p. 21)

 

QUE SE CACHE-T-IL DERRIERE L'ADL ?

C'était le 16 février 1979. Un jeune homme de 19 ans qui s'appelait James Guttmann se présenta chez les autorités de l'époque et leur demanda l'autorisation d'organiser une manifestation du parti nazi américain auquel il adhérait pour revendiquer une "force blanche".

Guttmann déclara tout de suite qu'on apporterait à la manifestation : des uniformes nazis, des accessoires du Ku Klux Klan, des pancartes avec croix gammées et certaines avec le slogan : "Hitler avait raison ! Que les communistes et les juifs soient gazés !"

Ce fut l'occasion rêvée pour la JDL (Jewish Defense League) d'organiser une contre-manifestation à Philadelphie à laquelle participèrent des organisations qui étaient en relation avec l'ADL ;

Malheureusement on s'aperçut bientôt que le jeune morveux qui avait demandé l'autorisation pour la manifestation nazie appartenait lui-même à la JDL et ne s'appelait pas du tout Guttmann mais bien Mordechaï Levy !

La chose vola en éclats ; la JDL prit ses distances avec Levy et les titres des gazettes parlèrent d'un certain juif qui revendiquait pour le nazisme : "Le chef des nazis est-il réellement un juif ?" ou "Les nazis sont-ils tous balayés ?"

Cette histoire est le premier épisode venu à la lumière de la carrière de Mordechaï Levy comme provocateur de l'ADL et qui fut plus tard assassin et terroriste. Depuis longtemps déjà il n'était pas seulement en relation avec la JDL du Rabbin Meir Kahane, mais aussi avec l'ADL.

Dans une déclaration écrite parue le 18 juillet 1984, Irwin, le chef du département de la documentation et membre haut placé de l'organisation, a admis qu'il avait rencontré Levy ou lui avait téléphoné à maintes occasions.

Levy n'est pas une exception. Suivant le journal " ... " du 5 avril 1955, l'ADL travaillait déjà depuis quelque temps à la formation d'un parti néo-fasciste NPP aux USA.

Le chef de ce parti était un certain Robert Madole. Des agents infiltrés de l'ADL firent de leur mieux pour peindre le danger d'un fascisme américain dans les couleurs les plus sombres. Si nous accordons foi au journal cité plus haut, le parti attirait une foule de sympathisants. Le fondateur du NRP Robert Mardole fut approvisionné via l'ADL par un groupe de prostituées menées par le proxénète juif nommé Mickey Jelke qui s'occupait des membres du parti. L'agent soviétique Wladimir Stepanowsky que l'ADL avait infiltré dans le NRP confia ceci aux hommes de l'ADL Ben Epstein et Arnold Forster. Ceux-ci répandirent la nouvelle à donner le frisson que rien qu' à New York le NRP comptait déjà entre 200 et 700 membres.

Plus tard également, l'ADL se servit sans cesse de la présence d'agents provocateurs qui excitaient les tensions entre les différentes races et les divers groupes de population des Etats Unis. Des actes à l'origine dissimulés mais ensuite rendus publics prouvent que l'ADL opérait au sein du FBI sous la dénomination de Cointelpro qui devait infiltrer les groupes de citoyens noirs ainsi que ceux de leurs adversaires.

Le reporter Jack Nelson révéla dans le Los Angeles Times du 13 février 1973, le fait suivant : en 1968, l'ADL finança les deux assassins du K.K.K Alton Wayne Roberts et Raymond Roberts, pour qu'ils exécutent un attentat contre un membre de l'ADL. La police devait être aux aguets Lors de l'échange de tir qui suivit, une jeune fille du KKK fut touchée mortellement

Parlons encore de ce qui se trouvait dans le Los Angeles Times. En 1964, Alton Wayne Roberts avait tué avec six autres membres du Klan 3 citoyens dont deux étaient juifs- dans le Mississipi. Ils furent jugés pour leurs crimes contre les droits civils fédéraux. Les frères Roberts firent appel après leur condamnation.

Selon les avis de la police, un émissaire d' Adolphe "Sam" Botnick se présenta chez eux. Il était président de l'ADL à la Nouvelle Orléans. Il leur offrit 69 000 mille dollars s'ils acceptaient de jouer le rôle d'agents provocateurs par la mise en scène d'un attentat à la bombe contre la maison du fonctionnaire de l'ADL Meyr Davidson à Meridan dans le Mississipi. La police tendrait une embuscade.

Un agent anonyme du FBI informa le reporter Jack Nelson.que l'agent du FBI, Franck Wattes et le policier Mike Scarborough auraient marchandé un accord avec le KKK comme suit : l'ADL devait payer à un intermédiaire la somme de 10 000 dollars et 69 000 dollars aux frères Roberts pour que les deux membres du Ku Klux Klan Thomas A. Tarrants et Joe Danny Hawkins, tombassent dans un piège dont ils ne devaient pas sortir vivants.

"Le 10 juin, l'accord fut conclu et le jour suivant Botnick fit en sorte que 25 000 dollars soient envoyés de la Nouvelle Orléans à Meridan où le FBI devait rencontrer le même jour les deux frères" écrit Nelson dans le Los Angeles Times. Le 20 juin, les frères Roberts confièrent au FBI que l'attentat à la bombe aurait lieu comme prévu. Le 29 juin, Alton Wayne Roberts donna le feu vert pour le drame financé par l'ADL. La seule modification fut que Hawkins s'était désisté et qu'il avait été remplacé par la membre active du Klan Cathy Ainsworth.

Dans la nuit du 29 au 30 juin, juste après minuit, Tarrant et Ainsworth parquèrent leur voiture dans la rue en face de la maison de Meyer David Son. Ainsworth resta assise au volant tandis que Tarrand se dirigeait vers la maison muni de plusieurs charges de dynamite dans une main et d'un pistolet dans l'autre. Il n'a pas encore été éclairci qui a ouvert le feu le premier. Les 10 agents du FBI et les 12 policiers locaux ou Tarrant. Ainsworth reçut une balle dans la colonne vertébrale tandis que Tarrand était frappé de 70 balles mais il survécut d'une manière inexplicable.

Selon un rapport de police, trois jours plus tard, l'ADL payait aux frères Roberts 10 000 dollars. Le 10 juillet suivit un autre paiement d'un même montant. Et le 27 août, trois hommes d'affaire juifs allèrent de Jackson à Meridan et payèrent 17 500 dollars comme dernier compte aux frères Roberts, écrit le Los Angeles Times.

C'est cette collaboration entre l'ADL et le FBI qui amena les autorités à la prudence quand Altyon Wayne Roberts reçut finalement son jugement définitif pour avoir participé au triple meurtre du Mississipi. Le 17 mars 1970, il fut condamné seulement à 10 ans de prison dont trois avec sursis. Les frères Roberts obtinrent ensuite le statut de témoins protégés par l'état et continuent à servir le FBI aussi bien que l'ADL encore aujourd'hui en tant que mouchards.

Sam Botnick, en tant que participant parmi les plus importants dans cette affaire trouble, est toujours président de l'ADL à la Nouvelle Orléans et son ancien subordonné immédiat, le juif Richard Lobenthal, dirige aujourd'hui l'ADL à Détroit. Justin J. Finger qui dirigeait le département juridique de l'ADL à l' époque où le mouvement pour le droit des citoyens de même que le KKK étaient à leur apogée, est actuellement le suppléant du chef de l'ADL au niveau national.

Deux bons mois seulement avant l'échange de tir perpétré à Meridan, Martin Luther King était assassiné sur le tas à Memphis. Dans cette relation il est très instructif de voir que Botnick avait collaboré étroitement avec le chef décédé entretemps du département 5 du FBI (contre espionnage) à la Nouvelle Orléans, Guy Bannister. Ce Bannister avait créé un réseau d'agents provocateurs qui infiltraient l'organisation terroriste Minutemen. Suivant une source bien informée du service d'informations des USA, les minutemen avaient aidé James Earl Ray à s'échapper de prison de telle sorte que le 4 avril, il put être arrêté comme soi-disant meurtrier de Martin Luther King. Ceci signifierait que Ray n'était qu' un bouc émissaire tandis que les véritables meurtriers n'ont jamais été arrêtés !

Des documents secrets antérieurs du FBI qui ont été ouverts au public (Dossier Les Panthères Noires /Questions de race)) démontrent que l'ADL et le FBI ont collaboré aussi contre les Panthères Noires, organisation militante nègre. Ce qui nous intéresse spécialement ici est un rapport de l'ADL du 22 octobre 1968 sur les Panthères Noires, qui provient de la plume d'un certain Carl Gershman de même que de celle de Jérôme Bakst et dans lequel on peut lire : "On peut s'attendre dans un avenir proche à des heurts meurtriers toujours plus graves entre les Panthères et la police."

Le fait que ce rapport dfort révélateur fut trouvé dans les archives du FBI prouve la justesse d'un passage d'un livre qui porte le titre "Racial Matters" (problèmes raciaux). Dans un chapitre sous le titre "La seule bonne Panthère" on lit : "Le département 5 cherchait à nuire aux Panthères en manipulant Rabbi Meir Kahane de même que la Jewish Defense League qui n'est pas hostile aux méthodes terroristes, en laissant transpirer des informations vers l'administration des universités et les filiales de l'ADL et en collaborant avec des journalistes.. Dans le cas de la JDL, le FBI ne s'inquiéta pas de publier des faits, le groupe de Kahane ne pouvant être motivé à agir quand les renseignements sur l'antisémitisme et sur d'autres questions n'étaient pas décrits avec assez de précision.

L'ADL coopère jusqu'à aujourd'hui aux opérations du nom de Cointelpro. Des sources des services d'information des services américains montrent à quel point le FBI s'occupait de ce contre espionnage condamné par le Congrès,et que chaque fois que cela transpirait celui-ci a toujours mis en cause l'ADL pour toutes les actions où des agents provocateurs étaient à l'oeuvre. Un bon exemple de cela nous est fourni par le cas James R. Rosenberg, alias Jimmy Mitchell, alias Jimmy Anderson.

Le juif Rosenberg est un agent à temps complet dans le département de la documentation de l'ADL. Des rapports de police établissent que Rosenberg a infiltré le groupe du KKK à Trenton, dans le New jersey à l'instigation de l'ADL et voulait ainsi provoquer le dynamitage du bureau de l'organisation de couleur NAACP à Trenton. On trouva même la facture de l'argent payé par l'ADL à Rosenberg.

En 1981, un membre féminin de la JDL qui se servait du nom d'emprunt "Ricky" rapporta à un journaliste : "J'ai rencontré Jimmy en Israël à peu près en 1978 lorsque je me trouvai dans le kibboutz.Kfar Saba sur la côte occidentale.. Il avouait qu'il noyautait le Klan au service de l'ADL. Jimmy était largement dépendant du valium.Il devait être hospitalisé.Personnellement il voulait servir dans l'armée israélienne et il y réussit - il m'a envoyé une photo. Mais c'est un bureaucrate, un gratte-papier ; au combat, on ne pouvait pas se fier à lui."

Rosenberg revint en Amérique en 1979 où il travailla sous la direction de Irwin Suall dans le département de la documentation de l'ADL. On lui confia la mission d'infiltrer la droite paramilitaire qui était devenue une cible importante pour l'ADL. Le 7 décembre,1981, il se produisit sous une nouvelle identité dans un film documentaire télévisé qui s'appelait "Les armées de la droite" à Minnéapolis dans le Minnesota. Il s'agissait d'une organisation du nom d'Alliance christique patriotique. Il dénonçait les propos antisémites les plus racistes de tous ceux qui se produisirent dans ce film.

Nous nous souvenons de Mordechaï Levy, le jeune homme qui, en 1979, sous le nom de James Guttman, demanda à Philadelphie une autorisation pour une manifestation nazie. Il était aussi-tout comme Rosenberg - un agent provocateur qui travaillait non seulement pour l'ADL mais aussi pour le FBI et d'autres instances policières. Il se manifestait sous différents noms : James Franck, Mark Levine, Mark Levy et Morty. Deux de ses contrôleurs du FBI s'appelaient Joseph Valiquette et Paul Locke.

Tous deux travaillaient dans la filiale de New York. Ceux-ci avaient entretenu, comme il ressort de documents secrets qui furent dévoilés, des liens officiels depuis au moins les années soixante avec l'ADL.Et ce n'est pas tout : Levy est aussi soupçonné d'avoir trempé dans des attentats terroristes très violents commis aux USA ces dernières années.

Le 7 septembre 1985 mourut Tscherim Soobzokov, président d'une communauté musulmane à Paterson, New York, des suites d'un attentat à la bombe contre sa maison le 15 août de cette même année. Quelques jours à peine avant l'attentat, Levy s'était arrêté à Paterson et s'était élevé contre Soobzokov dans une synagogue. L'Office des investigations spéciales, une organisation juive, qui essayait de détecter tous les soi-disant "criminels nazis" aux USA, avait cherché sans succès à prouver que Soobzokov était un "criminel nazi".

Quelques jours après l'attentat meurtrier, Levy donna une conférence de presse à Paterson et prononça des louanges du crime. Une semaine avant l'acte meurtrier il avait appelé l'avocat de Soobzokov, Michael Dennis et lui avait adressé des menaces de mort dans lesquelles il prédisait la mort prochaine de Soobzokov lui-même

Le 11 octobre 1985, Alex Odeh, président du comité anti-discrimination arabo-américain fut tué àSanta Anna en Californie, par une bombe qui avait été placée à la porte de son bureau. Le soir précédent, Odeh avait été interviewé dans deux émission télévisées nationales. Douze heures après, il était mort. Si l'on se réfère à des sources crédibles, Odeh aurait reçu de nombreuses menaces de mort venant de Mordechaï Levy et de la JDL.

Bien que le chef du FBI, William Webster, depuis longtemps un ami intime de l'ADL, n'a pas pu s'empêcher d'avouer que la "pègre juive" avait été en 1985 l'organisation terroriste la plus active, dans le cas Soobzokov et dans celui de Odeh, il n'y eut aucune interpellation.

Le FBI affirma devant les proches d'Odeh qu'il n'y avait pas d'arrestation parce que les meurtriers étaient en relation avec le service de sécurité israélien. Ils leur apprirent aussi qu'il n'y avait eu aucune plainte déposée contre Lévy même si celui-ci était soupçonné d'avoir commis l'attentat.

Le 10 août 1989, Mordechaï Levy fut cependant arrêté par la police new yorkaise après que, monté sur le toit de sa maison haute de six étages, à Greenwitch Village, il s'était mis à tirer autour de lui comme un forcené et avait blessé un passant non concerné. L'incident se produisit après qu'Irv Rubin de la JDL ait tenté de porter plainte pour diffamation contre Levy qui dirigeait à présent une organisation concurrente nommée JDO (Jewish defense organisation). Le terroriste âgé de 30 ans fut reconnu coupable de tentative de meurtre par voies de fait comme de menaces publiques mais fut bientôt libéré.

La direction actuelle de l'ADL se trouve largement entre les mains de personnes qui ont entretenus des rapports à long terme avec des associations criminelles organisées, spécialement avec la mafia internationale de blanchiment de la drogue.

A la tête de tous ces fonctionnaires corrompus se trouve le juif Kenneth Bialkin, ancien président de l'ADL et actuel président d'honneur de même que membre de la direction des fondateurs de l'ADL. Pendant les années 70, Bialkin travaillait au bureau d'avocat Wilkie Farr & Gallagher à New York.C'est lui qui intriguait derrière Robert Vesco qui frauda pour une somme de 60 000 000 millions l'entreprise Investors Overseas Service (IOS). Le géant de la finance, Vesco, établi comme fugitif à la Havane cubaine devant la justice américaine, avait déjà auparavant collaboré avec le pourvoyeur de drogue colombien Carlos Lehder et avait contribué à la création de voies d 'écoulement de la cocaïne et de la marijuana sur l'île des Bahamas. Le 17 avril 1989, Robert Vesco fut trainé devant le juge à Jacksonville pour implication dans une affaire de drogue colombienne passée en fraude.

En janvier 1980, Wilkie Farr & Gallagher furent condamnés par un tribunal de New York à payer 35 millions de dollars de dommages et intérêts à la victime de leur fraude gigantesque, l'entreprise IOS. Or on découvrit alors que Bialkin avait participé à l'escroquerie à tous les échelons. D'après les annales policières publiées, l'IOS aurait perçu des milliards de dollars de la part de fournisseurs de drogue et le roi des gangsters, le jui Meyer Lansky y aurait investi son argent.

Depuis peu de temps, Bialkin travaille pour Skadden Arps, le plus grand bureau d'avocats d'Amérique. Comme Wilkie Farr & Gallagher furent les pionniers du blanchiment de la drogue qui aujourd'hui remplit les artères du réseau commercial international d'opium, Skadden Arps joua un rôle de pionnier dans un autre commerce trouble, en fait l'achat d'obligations fictives et d'entreprises de prêts financés qui ont pour but de ramener aux Etats Unis par le biais d'opérations dénommées "hostile takeovers" et "asset stripping" des milliards de dollars d'origine douteuse. Aux clients les plus célèbres et les plus mal famés de l'entreprise Skadden Arps appartiennent Michael Milken et Ivan Boesky deux juifs gangsters qui ne comptent pas par hasard parmi les sponsors de l'ADL.

Un autre ancien président de l'ADL, Burton Joseph, joua un rôle clef auprès de Robert Vesco dans la prise en charge et le pillage de l'entreprise IOS :il ouvrait la voie aux contacts entre Vesco et son protégé, le financier Meshulan Riklis de la Rapid America Corp. Selon les actes du procès, Riklis acheta en tant que représentant de Vesco un poste d'action de contrôle. Plus tard on mit en relation Ricklis avec Bialkin, Edgar Bronfman, Henry Kissinger et d'autres personnalités de l'ADL. Il s'agissait d'un scandale où de grands terrains ont été achetés illégalement dans les territoires occupés par Israël de même que dans les parties chrétiennes et islamiques de Jérusalem.

Tandis que Bialki était employé chez Wilkie Farr & Gallagher, cette entreprise fonctionna aussi comme représentante juridique de l'ADL ; elle représentait en outre les puissants protecteurs financiers de l'ADL et de criminels supposés comme le banquier Edmond Safra.

Bialkin oeuvra personnellement comme défenseur de Safra surtout lors d'un procès dans lequel il s'agissait de son acquisition de l'American Express. La transaction s'acheva des années plus tard par un fiasco. Les porte parole de l'American Express accusèrent Safra de blanchiment de la drogue.

Le 3 janvier 1989, Safra fut accusé par les douaniers américains ainsi que par les représentants de la police contre la drogue des Etats Unis à Berne comme acteur principal dans une entreprise de blanchiment d'argent sale internationale à laquelle appartenait la Shakarchi Trading Company. La banque nationale républicaine de Safra à New York servait de lieu de transit pour l'argent provenant de la drogue de gangs libanais, bulgares et colombiens.

Tandis que ces "transactions" continuaient leur cours, Bialkin siégeait comme président de l'ADL dans une commission qui avait pour fonction de contrôler fortement les lois en cours sur tout le territoire des Etats Unis. A la même commission appartenait aussi C. Boyden Gray, avocat de l'ancien vice-président Georges Bush qui dirigeait deux organisations, le "Special Situation Group" et le "Crisis Pre-planning Group" pour la coordination de la politique de l'Amérique centrale du gouvernement de Reagan Bush.

L'entreprise de boites aux lettres Lake Ressources à Genève, dont se servaient 2 acolytes d'Olivier North, General Secord et Albert Hakim, dépendit dès le début de l'avocat Willard Zucker. Le juif Zucker avait travaillé avec Bialkin à la Wilkie Farr & Gallagher. En 1972, il passa de président de l'ADL au poste de chef du département juridique de l'IOS et il joua par là un rôle majeur dans le pillage mené par Vesco au sein de cette entreprise.

Edmond Safra, un des sponsors les plus généreux envers l'ADL, et Wilkie Zucker possédaient ensemble une escadrille d'avions privés dont l'ancien conseiller de la Sûreté Robert mac Farlane et le premier lieutenant Olivier North se servaient pour leurs expéditions de vente d'armes illégale. D'après les aveux de collaborateurs de Safra, celui-ci offrit à l'ADL un million de dollars lorsqu'il eut gagné son procès civil en 1989.

La Sterling National Bank de New York travaille plus étroitement qu'aucune autre avec l'ADL.Le 29 janvier 1982, les autorités italiennes déposèrent une plainte contre la Sterling National Bank de même que contre d'autres banques des Etats Unis. Il leur était reproché d'avoir subtilisé à la banque italienne - la Banca Privata Italiana - 27 millions de dollars.

A la tête de la Sterling National Bank se trouvait et se trouve encore le juif Théodore H. Silbert, un autre président d'honneur de l'ADL et ancien directeur de l'organisation ADL Appeal qui récoltait des fonds pour l'ADL. D'après des cercles de policiers américains, la banque serait depuis sa fondation en 1929 par l'acolyte de Meyer Lanski, Franck Erickson, au service de la mafia.Son nom fut aussi cité lors d'une affaire de fuite d'impôts au début des années 80, dans laquelle se trouvait aussi impliqué un autre membre du directoire, Arnold Burns, le vice-ministre de la justice sous Reagan, un homme qui entretenait de bonnes relations avec l'ADL.

Burns possédait un bureau d'avocats, Burns & Summit dont on dit qu'il offrait à ses clients un nombre d'objets de placement exempts d'impôts dans le monde du pétrole, ce qui conduisit à ce que des millions de dollars furent soustraits à l'administration fiscale des USA pour être utilisés pour la recherche et le développement en Israël.

Un autre figure haut placée dans le team de Reagan, Masvell Raab, ambassadeur en Italie, siégea longtemps simultanément au comité de la Sterling National Bank. Raab avait travaillé autrefois en collaboration avec Meyer Lanski dans la International airport Hotel Corporation. Un autre banquier dont les meilleures relations avec la mafia furent dénoncées est Leonard Abess de la City National Bank à Miami. Il appartient à la Commission nationale de l'ADL et fut désigné comme président d'honneur dans l'écrit récemment publié par l'ADL "Purpose and Program". En 1981, Abess appela Alberto Duque,un blanchisseur d'argent sale du cartel de la drogue Medellin au comité de sa banque. Il y siégea jusqu'en 1986. Depuis ce temps-là, il siège dans un endroit un peu moins confortable à cause justement de ce blanchiment d'argent sale !

En 1982, Donald Beasly fut appelé au comité la présidence de la City National Bank dont on suppose qu'elle lave de l'argent provenant du commerce de l'héroïne du Sud Est asiatique de même que de l'argent sale du commerce illégal d'armes qui est dirigé par Théodore Shackley et d'autres anciens "grands" de la CIA. Ils figurèrent plus tard comme acteurs principaux dans le scandale de la Contra.

La liste de toutes les personnalités qui ont dépensé de l'argent pour l'ADL et qui en contre partie ont reçu d'elle des distinctions pourrait servir de Who is Who pour le syndicat d'assassins international de Meyer Lanski. Des acolytes de longue date de Meyer Lanski comme Victor Posner, l'avocat d'Hollywood Sidney Korchak et Moe Dallitz appartiennent tous aux bienfaiteurs de l'ADL.

Au niveau régional, nous trouvons les mêmes figures. Phil Baskin, un avocat et un troubleshooter du Parti démocrate à Pittsburg et en même temps membre actif dirigeant de l'ADL en Pennsylvanie occidentale dut démissionner comme actionnaire de sa propre entreprise après que le bruit eut couru qu'il avait participé à une tentative de faire parvenir une importante commande immobilière à "Nicky" Sands, un gangster clef de la famille Gambino de New York.

De même Paul Lipkin, président de la direction régionale de l'ADL en Virginie est digne d'être mentionné. Lipkin travailla des dizaines d'années comme avocat du juif Arthur "Bootsy" Goldstein, le roi de la pornographie de Norfolk. Goldstein fut arrêté 85 fois.

L'ADL n' a jamais éprouvé la moindre gêne pour enrôler ces criminels dans ses rangs. Au contraire, elle donne des décorations à des gens comme Dalitz et qualifie d' "antisémites" tous ceux qui condamnent ses liens avec le crime organisé.




LA POLITIQUE D'ISRAEL CONFIRME LA VERACITE DES PROTOCOLES DES SAGES DE SION

Israël et les sionistes occidentaux s'offusquent continuellement du fait que les Protocoles des Sages de Sion peuvent être vendus librement dans les pays arabes musulmans et qu'on considère cet écrit chez les Arabes musulmans comme un document très instructif car on peut mieux comprendre grâce à lui le contrôle sioniste rigide sur la politique et sur l'opinion publique occidentales.

Je voudrais à présent soulever une question primordiale à laquelle je m'efforcerai de répondre le plus objectivement possible : Les Protocoles sont-ils réellement un faux fabriqué par la police secrète du Tsar, l'Okrana, comme l'affirment les sionistes ? Ou cette dernière affirmation n'est-elle qu'un mensonge de plus de la part des sionistes ?

Il faut d'abord bien établir ce qui suit : Par les Protocoles, on entend le document secret qui doit avoir été rédigé en 1897 au premier congrès de l'Organisation mondiale sioniste à Bâle. Ce document était secret parce qu'il était destiné uniquement à un cercle étroit de maîtres secrets et non au public, et certainement pas aux non juifs.

Dans ces mystérieux Protocoles, il est exposé d'une manière très détaillée et cynique comment les leaders juifs collaborent tous ensemble dans tous les pays surtout dans les pays chrétiens avec une minorité juive relativement importante, pour affaiblir et anéantir l'ordre de la société et préparer ainsi des bases pour une domination mondiale juive. Ceci s'accorde d'ailleurs totalement d'une manière saisissante avec plusieurs citations de la bible juive, de l'Ancien Testament, par ex. avec : Isaïe, 60, 10-12 où la royauté future de Sion est décrite comms suit :

"Les fils de l'étranger rebâtiront tes murailles
Et leurs rois seront tes serviteurs ;
Car dans ma colère je t'avais frappée
Mais dans ma bienveillance, j'ai eu pitié de toi.
Et tes portes seront toujours ouvertes
Le jour ni la nuit elles ne seront fermées
Pour t'amener les richesses des nations
Et leurs rois pour les conduire.
Car la nation et le royaume qui ne te serviront pas périront
Et les nations seront exterminées."


La description d'une domination mondiale juive où tous les autres peuples seront esclaves, ou s'ils se révoltent, seront exterminés, n'est pas à considérer comme une monstrueuse invention mensongère de méchants antisémites, mais sort de l'écriture sainte des juifs et est exprimée dans leur bible par le prophète le plus grand et le plus cité : Isaïe.

Dans la Torah aussi, le plus saint des livres juifs, nous retrouvons souvent cette description d'un futur gouvernement mondial juif. Par ex. dans le 5e Livre de Moïse, 33, v.29 :

"Heureux es-tu, ô Israël !
Qui est comme toi, peuple vainqueur ?
En Yahvé est le bouclier qui te secourt
Et l'épée en marche qui te mène au triomphe.
Tes ennemis voudront te corrompre
Mais toi, tu fouleras leurs os."


La cruauté des juifs est mise en évidence dans la Torah, comme dans le 4e Livre de Moïse, 23, 22-24 :

"Dieu le fait sortir d'Egypte,
Il est pour lui comme des cornes de buffle.
Car il n'y a pas de présage contre Jacob
Ni de sortilège contre Israël.
alors même qu'on dit à Jacob
Et à Israël : "Que fait donc Dieu ?"
Voici qu'un peuple se dresse comme une lionne
Qu'il surgit comme un lion :
Il ne se couche pas qu'il n'ait dévoré sa proie
Et bu le sang de ceux qu'il a tués."


A différents endroits de la bible juive on chante le poème sublime de la haine sanguinaire et on décrit par la louange comment Israël sèmera la discorde et les conflits chez les peuples étrangers. Qu'on se réfère à Isaïe, 19, 1-4 où le Seigneur parle par la bouche de son prophète au peuple élu :

"J'exciterai les Egyptiens l'un contre l'autre
et ils combattront frère contre frère,
ami contre ami, ville contre ville,
Royaume contre royaume.
L'Egypte perd la tête
Et j'abolis son habileté.
Ils consulteront idoles et enchanteurs,
Nécromants et sorciers.
Je livre les Egyptiens
Aux mains d'un maître dur
un roi cruel les dominera,
Oracle du Seigneur Yahvé Sabaoth."


Dans le même chapitre 19, v. 14-17, on décrit comment les juifs ont jeté chez les Egyptiens la crainte et la peur avec l'aide et la bénédiction du Seigneur :

"En eux Yahvé a répandu
Un esprit de vertige.
Ils font divaguer l'Egypte en toutes ses entreprises
Comme divague un ivrogne vomissant
Et l'Egypte ne peut plus rien réussir
de ce que font la tête et la queue, la palme et le jonc
Ce jour-là, les Egyptiens deviendront des efféminés, saisis d'effroi et de terreur, en voyant se dresser la main que Yahvé Sabaoth lèvera contre eux.
Le territoire de Juda deviendra la terreur de l'Egypte. Toutes les fois qu'on le lui rappellera, elle sera prise d'épouvante à cause du dessein formé contre elle par Yahvé Sabaoth."


Par ces citations hautement probantes de la bible juive, il est évident que tout ce qui se trouve pour l'essentiel dans les Protocoles de Sion, ne fait qu'un avec les croyances de la religion ancienne juive originelle, en particulier que les juifs veulent obtenir un gouvernement mondial par la ruse et le sapage moral des sociétés non juives. La pensée des Protocoles repose entièrement sur la bible juive et ne constitue absolument pas une méchante calomnie de la croyance et des préceptes religieux juifs !

Il faut toujours tenir devant les yeux que si les propagandistes sionistes pleurnichent en larmoyant que les Protocoles seraient un faux commun machiné par de sombres antisémites qui visent à noircir les juifs et à exciter la haine contre eux, on trouve des citations ignobles écrites par le peuple d'Israël, qui démontrent une avidité cynique de puissance inhumaine dans l'écriture sainte du peuple juif, dans la bible elle-même. où ils célèbrent un dieu épouvantablement cruel qu'ils considèrent comme leur protecteur.

Les juifs qui se plaignent tellement que les Protocoles soient une pitoyable oeuvre antisémite, devraient d'abord régler leurs comptes avec leur propre bible et fustiger celle-ci comme une oeuvre de propagande haineuse sémite ! Sinon ils ne peuvent plus être crédibles mais se révèlent être de fieffés hypocrites !

Tournons-nous à présent vers les Protocoles eux-mêmes et posons-nous la question de savoir s'il s'agit d'un faux comme les sionistes l'affirment inlassablement depuis leur publication et surtout depuis le procès de Berne. (nous parlerons plus loin de celui-ci) Je veux d'abord expliquer comment ces Protocoles ont vu le jour d'après ceux qui les considèrent comme authentiques.

C'est un savant russe nommé Sergueï A. Nilus qui, le premier, publia les Protocoles. Il affirmait qu'il avait reçu en 1901 un exemplaire avec une inscription signée par les représentants de Sion du 33e degré, ce qui signifiait en clair qu'il désignait ainsi un ordre maçonnique juif. Ce document saisi en français lui aurait été donné par un major tsariste, comte et chevalier au Tribunal de guerre de Petersbourg, Alexis Nikolajewitsch Suchtin du Gouvernement de Tula.C'est ce que prétend Nilus dans son livre : "Das Grosse im Kleinem." Plus tard, en 1936, son fils a confirmé dans une déclaration qu'il avait été personnellement présent lorsque le comte Suchotin avait remis en mains propres le document à son père.

Madame Antonia Profyrjewna Manjakowskaja, parente du comte Suchotin, née Suchotina, veuve de l'amiral Manjakowsky, a dit dans les années trente de son exil en Yougoslavie que, étant jeune femme, elle avait souvent rendu visite à Sukotin et qu'elle avait été chez lui en 1895 donc deux ans avant le Congrès de Bâle lorque la soeur de Suchotin, Véra, de même que sa nièce Olga Wischnjewskaja, plus tard Lotin, avaient rédigé une copie des Protocoles secrets.

Vera Sukotina mourut dans la tourmente révolutionnaire mais Olga Lotin vivait encore dans les années trente à Paris. Mais elle était dans une maison de santé comme malade mentale et ne pouvait donner aucune interview. Madame Manjakowskaïa, une émigrée russe en Yougoslavie, écrivit deux livres, le premier en anglais avec le titre "Waters flowing Eastward" et le second en français sous le titre "Le juif, notre maître". Dans ces deux livres se trouve une lettre de Filip Petrowitsch Stepanow - procurateur du Saint Synode à Moscou durant l'époque tsariste - à l'écrivain américaine Louise Fry. Cet écrit date du 17 avril 1927. Stepanow y affirme qu'il existait déjà une copie des Protocoles en 1895.

Les Protocoles furent publiés pour la première fois à Moscou durant l'hiver 1902-1903. Le 28 août de même que le 7 septembre 1903, le journal russe Snanja (Savoir) publia une version abrégée et en 1905, Sergej alexandrowitsch Nilus rendit public le texte complet dans son livre sur l'Antichrist qui portait le titre "Le Grand dans le Petit et l'Antichrist comme possibilité immédiate de gouvernement" Sous le nouveau titre "Il se trouve à la Porte" parut en l'année fatidique 1917 une 4e version "La Lumière du Monde".

En 1916, l'auteur russe Georgij Butmi avait publié les Protocoles dans un livre qui connut déjà sa quatrième édition l'année suivante.

Tout ceci restait ignoré dans les autres pays européens où personne ne savait quoi que ce soit de ces mystérieux Protocoles. Seulement après la première guerre mondiale et la révolution d'octobre bolchevique, des fugitifs russes diffusèrent cet écrit aux Etats Unis, en Allemagne et dans d'autres pays. Cela provoqua une terrible agitation dans les cercles juifs. La supposition qu'il existerait un Protocole sioniste qui dévoilerait une conspiration juive au niveau mondial devait être clouée au pilori à tout prix comme une honteuse escroquerie. Pour les Protocoles, il ne pouvait s'agir que d'un faux né du cerveau malade et haineux d'antisémites.

La contre offensive juive fut ouverte le 25 février 1921. Ce jour-là, le journal sioniste américain "The American Hebrew" publia une interview du reporter juif Isaac Landman avec la princesse tsariste Catherine Radziwill qui affirmait que les Protocoles seraient une oeuvre rédigée par la police secrète de l'Okrana dans le but de légitimer des persécutions antisémites. Le 12 et le 13 mai, le journal Poslednjeje Nowosti "Dernières nouvelles", publia à Paris une nouvelle version provenant de la plume du comte français Armand du Chayla et dans laquelle les Protocoles étaient également considérés comme un faux.

Toujours en 1921, les 16, 17, et 18 août, le célèbre Times londonien publia une longue série d'articles du journaliste Philip Graves qui sont de la même veine. Ses arguments sont ceux des sionistes dont les gens naïfs sont abreuvés jusqu'à plus soif.

Les Protocoles des Sages de Sion, dit Graves, seraient une énorme tromperie agencée par un faussaire sans vergogne et peu doué puisque, pour lui, il s'agissait du plagiat d'un livre qui avait paru déjà en 1864 sous le titre "Dialogue aux Enfers entre Machiavel et Montesquieu". Son auteur était un avocat français nommé Maurice Joly.

Dans les trois articles du Times se trouvaient pluieurs colonnes d'extraits concordants des deux livres. On voulait démontrer ainsi que les Protocoles étaient un plagiat fondé sur l'écrit de Joly. Pour un observateur superficiel, il peut sembler que le faux est prouvé ainsi.

La série du Times se termine sur ces mots :

"Ce que notre journal fait comme révélation sur cette escroquerie sert uniquement à servir la vérité parce qu'il est extrêmement important que la légende des Protocoles soit liquidée. Maintenant que le faux est démontré de façon claire et nette, cette légende disparaîtra, nous l'espérons, dans les oubliettes de l'histoire."

Les sionistes naturellement jubilèrent à ces propos qui résonnent encore à nos oreilles aujourd'hui. Opiniâtrement, ils répètent la thèse que les Protocoles seraient un misérable faux reconnu comme tel, créé par un cerveau malade, haineux, aliéné d'un fanatique détestant les juifs.

Pourtant, l'affaire n'est pas si simple. Car, pour citer le grand Shakespeare : "Il y a quelque chose de pourri dans le royaume du Danemark". Il est interessant d'aller voir plus profond dans cette histoire et d'établir la vérité effective et pas seulement un semblant de vérité apparente.

Admettons qu'il s'agisse d'un faux et examinons point par point les arguments :

1) Le fait que le Times reconnu pour sa crédibilité et sa bonne renommée, s'intéresse précisément avec tant d'ardeur au problème et se présente en faveur du faux peut fort bien se comprendre si l'on sait qu'au moment même de la publication, à la mi-août 1921, la famille de banquiers juifs Samuel & Samuel acquit au sein du Times une influence économique prépondérante. Les séries pourraient avoir ainsi pour cause un motif économique.

2) Le Times déclara que le faux avait été découvert par un hasard étonnant et par un correspondant étranger au journal qui aurait habité Constantinople.Par un caprice du hasard, celui-ci aurait rencontré un Russe désirant garder l'incognito qui serait désigné à cause de cela Mister X. Le mystérieux Mister X d'origine inconnue aurait remis au reporter du Times un livre paru 57 ans auparavant à Bruxelles en quelques centaines d'exemplaires.Alors l'homme du Times a vu clair, comprenant que les Protocoles des Sages de Sion étaient un pitoyable faux ; qu'un journal sérieux comme le Times n'ait jamais dévoilé l'identité des deux personnages clefs, celle du correspondant de Turquie de même que celle du Russe, le fameux Monsieur X démontre qu'il pourrait y avoir quelque chose de louche dans cette histoire.

3) Les citations rencontrées dans les deux écrits concordent quant au contenu mais non par l'expression. Si un texte présente des concordances de contenu et de sens avec un autre cela ne signifie pas qu'il soit nécessairement l'oeuvre d'un plagiaire. A qui viendrait sérieusement à l'esprit de qualifier de plagiaire le curé qui prend un extrait de la Bible et l'exprime ensuite avec ses propres termes ? Il s'agit de la même chose, mutatis mutandis pour un article de journal dans lequel un journaliste transcrit les déclarations de ses correspondants, etc.

Des personnes versées dans l'étude des textes bibliques peuvent prouver ici que le texte complet du premier livre de Moïse, chapitre 36, v. 31 et 32, correspond au premier chapitre des Chroniques 1, v.43. Y a t'il plagiat, faux ou duperie ?

Ne serait -il pas plus juste de parler de paraphrase ? Différents auteurs n'ont-ils pas parlé du même sujet en plusieurs occasions ?

D'après la tradition juive, le premier livre de Moïse a été écrit par Moïse lui-même tandis que la première Chronique fut couchée sur le papier seulement environ 860 ans après sa mort et a été redigée par Isaïe et Néhémie suite à la captivité à Babylone. Pourtant une personne sensée pourrait aussi peu parler ici d'un plagiat que dans le cas des correspondances de contenu entre l 'écrit de Joly et les Protocoles de Sion.

Qui était donc en réalité ce monsieur Maurice Joly, auteur du Dialogue aux Enfers entre Machiavel et Montesquieu ? Un avocat français si nous voulons bien croire le Times. Pourtant un chercheur allemand du nom de Gottfried von Beck affirme que ce Joly serait d'origine juive et qu'il a été circoncis suivant un rituel fort ancien sous le nom de Moses Joel. Il est né en France en 1831et, d'après les Mémoires de René Maureuil qui fut en France membre du gouvernement Polignac, il reçut déjà un poste en 1849 au ministère de l'Intérieur français. Maurice Joly alias Moses Joel était un ami intime d'Adolphe Isaac Crémieux, le célèbre fondateur de l'ordre franc maçon juif "Alliance israélite universelle"

Joly écrivit plusieurs pamphlets dont seul le Dialogue entre Machiavel et Montesquieu aux Enfers est encore connu aujourd'hui. Cet écrit satirique critique Napoléon III. En fait c'était aussi un plagiat : il paraphrase un texte paru 14 ans auparavant à Berlin sous le même titre dont l'auteur était le juif Jakob Venedy. Ce Venedy né à Cologne en 1805 résidait depuis 1835 à Paris. Comme Joly, il entretenait des relations intimes avec Crémieux et entra dans la Ligue mondiale israélite qui publia le joyeux message suivant : "Un nouveau royaume mondial, une nouvelle Jérusalem règnera à la place des rois et des nations détronés !"

Ces deux textes qui présentent de telles analogies avec les Protocoles de Sion proviennent donc de la plume de sionistes pur sang !

5) La Ligue mondiale israélite fondée par Crémieux à Paris possédait en Allemagne une plus vieille filiale, l'Association pour la culture et la science juives. Un de ses membres fut un certain Baruch Lévy qui désirait réussir à amener le juif Karl Marx à collaborer avec cette association. Dans une lettre à Marx, Levy écrit :

"Le peuple juif est dans sa totalité son propre messie et acquerra la domination sur tous les autres peuples, domination dans laquelle fusionneront toutes les races et qui abolira toute frontière. Ceci est le véritable internationalisme. Une république universelle sera créée et dans cette nouvelle organisation, le peuple d'Israël représentera l'élément dominant car les juifs s'entendent le mieux à diriger les masses et à les faire progresser. Par la victoire du prolétariat, les gouvernements des nations tomberont peu à peu dans les mains des juifs. Toute propriété privée reviendra de cette manière aux princes d'Israël et à eux appartiendront les richesses des nations. Ceci est l'accomplissement d'une prophétie du Talmud où il est dit qu'à l'avènement du Messie, les clefs de la chambre du Trésor de tous les peuples seront dans les mains des juifs".

On pourrait ajouter ici que cela concorde entièrement avec le texte d'Isaïe 60 déjà cité où il est dit que les princes de tous les pays viendront à Jérusalem et y livreront leurs trésors. C'est aussi conforme au ton des Protocoles.

6) Les Protocoles durent être écrits d'abord en langue hébraïque et ont été traduits ensuite en français et en russe, avant qu'ils ne commencent à faire sensation d'une manière si fantastique peu après la première guerre mondiale. Dans le livre de l'Américaine Louise Fry, Les auteurs des Protocoles, il est affirmé qu'il s'agit d'un écrit qui aurait été esquissé au début du 19e siècle par Kahal, le gouvernement secret juif et qu'il aurait été remanié par le juif sioniste Ahad Haam alias Asher Ginsburg à Odessa. En l'an 1886, ce Ginsburg fonda une communauté juive nommée Beni Mosheh, les Fils de Moïse. Les Protocoles étaient bien connus dans ce cercle fermé. Entre autres, un juif russe Bernstein, émigré plus tard aux USA a attesté en 1922 devant le secrétaire de Henri Ford, William Cameron, avoir déjà lu les Protocoles en 1895 en russe à Odessa. Au cas où ceci serait vrai, cela contredit l 'affirmation de la Princesse Radziwill qui dit que les Protocoles auraient été fabriqués après la révolution d'Octobre par l'Ochrana.

7) Examinons cette Princesse Radziwill de plus près. Bien que son témoignage fut considéré comme crédible au Procès de Berne, elle était cependant une personne peu digne de confiance. Ceci ressort d'une étude accomplie par la défense même si, d'une façon étonnante, le tribunal n'y accorda aucune importance. La Princesse aurait épousé un prince nommé William Radziwill qu'elle aurait envoyé promener en 1914. Ensuite elle épousa un ingénieur du nom de Karl Emil Kolb, divorça également d'avec lui aussi vite et saisit finalement un monsieur Danvin dans les liens du mariage. Son passé démontre, au bas mot, un caractère douteux. Déjà avant ses différents mariages, elle ne fuyait pas du tout la compagnie des hommes surtout si ses soupirants étaient puissants financièrement. Aux alentours de 1900, elle avait eu une liaison amoureuse avec le roi du diamant Cecil Rhodes avant de partir pour l'Afrique du Sud et la Rhodésie, pays qui doit son nom à ce même Rhodes (l'actuel Zimbabwé). Tout à fait en accord avec Cecil Rhodes, elle publia un journal intitulé "Greater Britain". Dans celui-ci, elle interviewe Lord Salisbury sur la situation politique en Afrique du Sud. Salisbury déclara dans cette interview que Rhodes devait être nommé premier ministre de la Colonie du Cap de ce temps-là. Elle montra au secrétaire privé de Rhodes une déclaration écrite signée par Salisbury de même qu'un télégramme émanant soi- disant de lui qui l'invitait à l'interviewer. Il fut établi plus tard qu'il s'agissait d'un faux que la princesse Radziwill se serait adressé à elle-même, la signature de Lord Salisbury étant imitée !

Ce ne fut pas la seule escroquerie que commit la dame ! En 1901, elle aurait falsifié la signature de Cecil Rhodes sur un chèque de plus de 29 000 livres ce qui représentait à l'époque une somme assez considérable. L'histoire éclata très vite et à cause de cette grave falsification de chèque elle alla passer 18 mois derrière les barreaux. On peut lire tout ceci dans le livre de Cecil Rhodes "His private life by his private secretary Philip Jordan" qui parut à Londres en 1910. L'oeuvre de Cecil Rhodes "The man and his work by one of his private and confidentials secretaries, Gordon le Sueur", parle du même sujet. A peine l'aventurière avait-elle quitté sa prison qu'elle recommença ses machinations frauduleuses. Entre autres elle fut arrêtée à New York à cause de deux affaires de fraude commises dans des hôtels. Devons-nous, même si elle a été un moment l'épouse d'un prince, considérer cette dame comme un témoin crédible lorsque elle affirme que les Protocoles sont un faux ?

8) Allons vers le témoin suivant, le comte du Chayla. Au procès de Berne, la défense put prouver que celui-ci avait été démasqué par le général russe blanc Wrangel comme agent bolchevique et condamné à mort ; grâce à l'intervention de l'ambassade française, il fut grâcié. Le comte affirmait que les Protocoles auraient été un instrument de propagande tsariste ; ceci doit être accepté avec la plus extrême méfiance car le gouvernement bolchevique affirmait déjà la même chose. Le régime rouge aussi dénonçait les Protocoles comme un faux. Le même régime condamna l'antisémitisme à la peine de mort.

9) Au procès de Berne de 1934-1935, on reprocha aux propagateurs des Protocoles de s'être servi d'une infâme falsification présentée comme un authentique écrit juif. Ce reproche fut exprimé surtout par l'Alliance juive de la Suisse et de la juiverie de Berne. Comme experts, les organisations juives avaient choisi un certain docteur A. Baumgarten, professeur de Droit à l'Université de Bâle ainsi qu'un écrivain pro-sioniste nommé A. Loosli. Fin octobre 1934, 16 mois après la déposition de la plainte, le tribunal invita 16 témoins qui s'exprimèrent dans le sens des plaignants juifs. Le 14 mai 1935, le tribunal rendit son jugement : les Protocoles seraient un faux et en plus de la littérature ordurière. Le président du tribunal avait refusé catégoriquement d'examiner la véracité des témoignages de la princesse Radziwill et du comte de Chayla et avait pris leurs affirmations pour argent comptant. A cause de cela, le procès tourna à la farce. Cela aussi parce que le tribunal refusa d'écouter 40 témoins produits par la défense. Les plaignants juifs purent agir à leur guise comme il leur plaisait.

10) C'est seulement deux ans et demi après le jugement, le 27 octobre 1937,qu' un des accusés, Silvio Schnell, réussit à faire reprendre l'affaire grâce à son avocat juridique Hans Ruef. La Cour d'Appel de Berne accéda à sa requête. Les deux avocats de la défense, Ruef et Ursprung, purent prouver entre autres que les témoignages produits par les plaignants juifs ne portaient en aucun cas la signature requise des témoins. En outre, il put être prouvé que les pièces russes que M. Loosli avait présentées au Tribunal étaient des copies non certifiées conformes qui comportaient un grand nombre de fautes de traduction et cela constamment au désavantage des accusés. L'avocat général déclara les objections des deux avocats tout à fait fondées. En novembre 1937, la Cour d'Appel de Berne, fit savoir que l'accusé Silvio Schnell était acquitté sans poursuite pénale parce que aucune preuve n'avait pu être produite contre lui par l'accusation.

Dans l'ordonnance du jugement, le président de la Cour d'Appel soutint que toutes les expertises tentant de prouver la véracité ou la fausseté des Protocoles étaient sans signification. A cause de cela, le plan de l'organistion juive fut contrecarré, elle qui avait espéré que la justice d'un état internationalement reconnu pour neutre comme la Suisse, à cette époque siège de la société des nations, reconnaisse comme juste la version sioniste sous la pression juive. Qu'elle y soit parvenue en première instance montre combien la puissance sioniste était forte déjà bien avant le prétendu holocauste et depuis cette puissance est devenue encore plus effrayante !

11) Le triomphe espéré par les juifs fut détruit par la décision de la Cour d'Appel qui confirma clairement que le juge en première instance n'avait en aucune manière compétence d'examiner l'authenticité ou la fausseté des Protocoles et de s'exprimer à ce sujet vu que ceci ne relevait absolument pas de sa compétence. Il s'agissait uniquement d'établir s'il était question de littérature obscène ou non.

Le fait que les héraults de la propagande sioniste piaillent sans arrêt dans le monde encore aujourd'hui que la fausseté des protocoles aurait été établie juridiquement à Berne est dans tous les cas une inexactitude puisque le jugement de la première instance a été annulé en deuxième instance. On pourrait seulement en conclure que les Protocoles sont de la littérature ordurière, verdict qui retomberait sur leurs auteurs !

12) Trois juifs orthodoxes- dont l'un s'est converti à vrai dire au christianisme- ont confirmé l'authenticité des Protocoles. Le premier fut Rudolf Fleishmann, (au nom prédestiné !) boucher de profession. et aide de rabbin. Il résidait dans la ville polonaise de Skoki et était l'ami de l'avocat général chrétien M. Noskowics. Déjà en 1901, Fleishman en la présence de celui-ci fit une déclaration solennelle.Le deuxième juif orthodoxe qui confirma l'authenticité des Protocoles - et cela même indirectement - fut le rabbin Grünfeld de la ville polonaise de Swarzedz. Celui-ci fournit la déclaration suivante typiquement juive à la demande de l'avocat général Noskowicz en 1906 :

"Mon cher Noskowicz, Vous êtes trop curieux et vous voulez en savoir trop. Nous n'avons pas la compétence voulue pour parler de ces choses et vous ne pouvez pas prétendre à apprendre quoi que ce soit : Soyez donc prudent pour la volonté de Dieu sinon vous mettrez en danger votre vie et celle de ceux qui vous sont chers !"

Le troisième juif qui confirma l'authenticité des Protocoles par une déclaration fut Sawelij Konstantinowitsch Efron qui avait fui en Yougoslavie devant les bolcheviques. Là il fit la connaissance d'un officier russe blanc, émigré lui aussi, du nom de Gregorij Dschepanowitsch. Efron avait été du temps des tsars rabbin à Vilnius en Lituanie. Cependant il se convertit au christianisme orthodoxe puis fit une formation d'ingénieur de mine. Il fut aussi un homme de lettres et écrivit sous le pseudonyme de Litwin entre autres dans la revue mensuelle "La Lumière" qu'il dirigeait lui-même comme rédacteur en chef. De plus Efron travailla pour la revue tsariste "Le Messager" et se créa une certaine renommée avec sa pièce de théâtre très anti juive : "Les contrebandiers". Par suite de ses activités publiées, il fut vilipendé par une campagne de haine juive ciblée et fut même un jour roué de coups par des gibiers de potence juifs.

Lorsque par la suite les bolcheviques arrivèrent au pouvoir et que les juifs purent à loisir passer leur colère contre leurs adversaires, Efron trouva le sol trop brûlant sous ses pieds et s'enfuit en Serbie où il trouva refuge dans un monastère proche de Petkovic. Il y mourut dans l'année du Seigneur 1926. Ce juif converti fit à l'officier russe blanc Gregorij Dschepanowitsch une déclaration formelle suivant laquelle lui, Efron, aurait connu le contenu des Protocoles déjà longtemps avant leur publication dans la presse chrétienne.

Les déclarations de ces trois juifs suivant lesquels l'authenticité des Protocoles était réelle furent présentées au procès de Berne par l'avocat de la défense Fleischhauer. Pourtant, comme d'autres témoignages, ils furent ignorés par le tribunal. Plus tard, il fut établi qu'Efron, en l'an 1921, avait soutenu dans un journal d'immigrés russes paraissant à Paris, qu'il s'agissait pour les Protocoles d'un véritable écrit juif. Il attirait l'attention sur le fait que tout juif croyant doit dire trois fois par jour la prière suivante : "Schaketz Tischakzenu, Sawe Tissawenu, Ki Cherem, Hu." C'est de l'hébreu et cela signifie : "Tu dois (il s'agit indubitablement de la croix) l'exécrer le plus profondément, elle doit te dégoûter le plus profondément parce qu'elle est damnée. Pfui !". D'après les dires de ce juif Efron converti au christianisme, la haine des juifs envers le christianisme est enracinée si fortement que les juifs croyants sont poussés par leurs rabbins à dire tous les mensonges imaginables et à fomenter toutes les machinations possibles pour faire du tort aux croyants chrétiens. Rien que cela parle en faveur de la véracité des Protocoles.

13) Après avoir disserté aussi longtemps sur l'origine et la véracité des Protocoles, nous désirons à présent citer un extrait. Il s'agit du Protocole n° 7 qui s'occupe de la course à l'armement.

"L'intensification de l'armement et l'augmentation des forces de police sont essentielles à la réalisation des plans mentionnés ci-dessus. Nous devons arriver à ce que dans tous les états du monde sauf dans le nôtre, que seules les masses du prolétariat quelques millionnaires dévoués à notre cause fournissent policiers et soldats.

Dans toute l'Europe et avec l'aide de l'Europe sur les autres continents, nous devons exciter la sédition, les dissensions et l'hostilité mutuelle. Il y a à cela un double avantage : d'abord nous tenons ainsi en échec tous les pays qui savent bien que nous avons le pouvoir de créer les soulèvements à volonté et de restaurer l'ordre. Tous ces pays voient en nous une tyrannie inévitable. En second lieu nous embrouillerons par des intrigues tous les fils ourdis par nous dans les ministères de tous les gouvernements non seulement au moyen de notre politique mais par des contrats économiques et des obligations financières.

Pour atteindre ces fins, il nous faudra recourir à beaucoup de ruse et d'artifices pendant les négociations et les débats ; mais dans ce qui s'appelle le "langage officiel", nous semblerons adopter la tactique opposée et paraîtrons honnêtes et conciliants. Ainsi les peuples et les gouvernements des Gentils à qui nous avons appris à ne regarder que le côté brillant des affaires telles que nous les leur présentons, nous considèreront même comme les bienfaiteurs et les sauveurs de l'humanité. Nous devons être en mesure de contrer toute résistance d'un pays à notre égard avec des guerres contre les pays voisins. Si ces mêmes voisins devaient s'allier contre nous, alors nous devrons leur résister par une guerre mondiale."

Tout ceci fut écrit avant la première guerre mondiale ! Qui lit ce texte éprouvera un étonnement sans borne en voyant combien tout ce qui est annoncé s'est accompli dans les grandes lignes.

Cela ne s'accorde-t-il pas avec le fait que les sionistes ont accaparé la Palestine. et ont créé là-bas un état juif, Israël, qui mène, sous le couvert d'une politique démocratique, une politique de guerre tyrannique ?

Cela ne s'accorde-t-il pas en outre avec le fait qu'Israël a à ses ordres la superpuissance des Etats Unis, qu'un démocrate ou un républicain siège à la Maison Blanche ? L'influence de la cinquième colonne n'est-elle pas ainsi qu'en Suède, d'une force inouïe ? Je me souviens du fait qu'avant les élections de 1988, les 4 grands partis démocratiques en Suède ont signé par la société Suède Israël interposée, un traité de confiance envers l'état sioniste. La suprématie du sionisme n'est-elle pas écrasante dans les medias occidentaux, dans les films, les théâtres, la littérature populaire et l'industrie des loisirs ?

Qui pourrait encore parler de hasard si on a devant les yeux le fait que le plus grand quotidien scandinave, l'Express, n'est que l'interprète des sionistes ? Cela ne s'accorde-t-il pas avec le fait qu'Israël attise les dissensions et l'hostilité entre les différents états non juifs, qu'il a jeté abondamment de l'huile sur le feu du conflit entre l'Irak et l'Iran, que cela sert la guerre froide entre les superpuissances pour se présenter comme un avant-poste occidental contre le soi-disant danger soviétique au Proche Orient, et s'assurer ainsi le soutien inconditionnel des USA ?

Point par point, nous voyons la véracité du 7e Protocole de Sion confirmée par les événements.L'information de telles réalités est d'une énorme importance puisque ces Protocoles ne sont pas disponibles ou même interdits de vente dans la plupart des états européens !



LE CINQUIEME PROTOCOLE

Le cinquième Protocole s'exprime comme suit :

" Quel genre de gouvernement peut-on donner aux sociétés pénétrées de toutes parts par la corruption, au milieu desquelles les richesses ne s'acquièrent que par les surprises de tricheries astucieuses, où règne la licence des moeurs, où la moralité est maintenue par des châtiments et non par des principes acquis, où les sentiments patriotiques et religieux sont remplacés par des idées cosmopolites ? Quelle autre forme de gouvernement peut-on donner à de telles sociétés si ce n'est la forme despotique que je vais vous décrire ;

Il faut que nous créions une centralisation très ferme du gouvernement de façon à tenir entre nos mains toutes les forces sociales. Ensuite nous réglerons automatiquement, par de nouvelles lois, toutes les fonctions de la vie politique de nos sujets. Ces lois aboliront les uns après les autres tous les privilèges et toutes les franchises, et notre règne sera marqué par un despotisme si majestueux qu'il sera en état d'écraser, en tout temps et en tout lieu, les récalcitrants ou les mécontents.

On nous dira que le despotisme dont je parle ne s'accorde pas avec le progrès moderne, mais je vais prouver le contraire :

Au temps où les peuples considéraient leurs souverains comme une pure manifestation de la volonté divine, ils se soumettaient sans murmure à l'autorité des monarques, mais du jour où nous leur avons suggéré la notion de leurs propres droits, ils commencèrent à considérer leurs souverains comme de simples mortels, l'onction sacrée cessa d'être regardée comme divine par le peuple auquel nous avons enlevé sa foi ; dès que nous eûmes ébranlé la croyance en Dieu, le pouvoir fut jeté au ruisseau, il devint la propriété publique dont nous nous emparâmes. De plus, l'art de gouverner les masses et les individus au moyen de théories, de grandes phrases, de soi-disant préceptes de vie sociale, d'étiquette et de toutes sortes d'artifices dont les Goïm ne peuvent saisir ni comprendre le but, cet art est une des particularités de notre génie administratif nourri d'analyse, d'observation et de telles subtilités de raisonnement que, dans ce domaine, nous ne pouvons avoir de rivaux, non plus que dans celui de l 'élaboration des plans d'activité politique et de solidarité.

A notre connaissance, la seule société capable de lutter avec nous dans cette science serait celle des jésuites. Mais nous sommes parvenus à la discréditer aux yeux de la foule stupide, comme étant une organisation apparente, tandis que nous sommes restés dans la coulisse, tenant occulte notre organisation.

En outre, qu'est-ce que cela pourra bien faire au monde que celui qui doit devenir son maître soit le chef de l'église catholique ou un despote du sang de Sion ? Mais à nous, le "Peuple élu", la chose ne peut être indifférente.

Une coalition universelle des Goïm aurait pu, à un moment donné, avoir raison de nous. Mais nous sommes désormais protégés de ce côté par des dissensions si profondément enracinées chez eux, qu'on ne peut plus les extirper. Nous avons mis en conflit leurs intérêts personnels et nationaux et aussi leurs haines de religion et de race, tous sentiments entretenus par nous dans leurs coeurs depuis de longs siècles. Grâce à cela, aucun Etat n'obtiendra nulle part de secours pour nous combattre, parce que chaque Etat croira qu'une coalition contre nous lui sera personnellement désavantageuse. Nous sommes trop puissants, il faut compter avec nous.

Les puissances ne peuvent conclure le moindre traité sans que nous n'y participions secrètement.

Le Seigneur a dit : "Par moi règnent les rois." Nos prophètes nous ont dit que nous avons été choisis par Dieu Lui-même pour régner sur toute la terre. C'est pourquoi Dieu nous a doués de génie ; il faut que nous puissions mener à bonne fin notre tâche qui est la conquête du monde par des moyens pacifiques. S'il se trouvait un génie dans le camp ennemi, il pourrait cependant, nous combattre, mais un nouveau venu ne pourrait se mesurer à de vieux lutteurs de notre espèce et le combat serait entre nous d'une nature si désespérée que le monde n'en a encore jamais vu de semblable. Il est déjà trop tard pour leur génie

Actuellement, tous les rouages des mécanismes gouvernementaux sont mis en mouvement par un moteur qui est entre nos mains ; ce moteur, c'est l'or. La sceince de l'économie inventée par nos Sages a déjà prouvé que la puissance du capital surpasse le prestige de la couronne.

Le capital pour avoir le champ libre., doit obtenir le monopole de l'industrie et du commerce. Ceci est en voie d'être réalisé, dans toutes les parties du monde, par une main invisible. Un tel privilège donnera un pouvoir politique aux industriels qui, s'enrichissant de profits excessifs, opprimeront le peuple. De nos jours, il importe plus de désarmer complètement les peuples que de les mener à la guerre, d'utiliser à notre profit les passions qui s'éveillent que de les éteindre, de saisir et d'interpréter les idées des autres dans le sens voulu par nous plutôt que de les supprimer.

Le problème essentiel et secret de notre gouvernement est d'affaiblir l'esprit public par la critique, de lui faire perdre l'habitude de la réflexion qui détermine une opposition à surmonter, d'orienter ses forces vers la vaine éloquence.

De tous temps, les peuples, comme les individus, ont pris les paroles pour des actes. Ils se contentent des apparences et font rarement attention si les promesses touchant la vie sociale ont été tenues. C'est pourquoi dans le seul but de parader, nous avons organisé des institutions présentant une belle façade, c'est à dire des loges maçonniques qui démontreront éloquemment leur contribution au progrès.

Nous nous sommes approprié la physionomie de tous les partis à tendances libérales et nous leur avons fourni des orateurs qui ont tant parlé qu'ils ont fatigué leurs auditeurs et les ont dégoûtés d'eux ;

Afin de prendre en main l'opinion publique, il faut la rendre perplexe et exprimer de toutes parts tant d'opinions contradictoires que les Goïm non initiés soient perdus dans leur labyrinthe et finissent par conclure qu'il vaut mieux ne pas avoir d'opinion politique, que les questions politiques ne doivent pas être connues du public sous leur vrai jour, que cela appartient à celui-là seul qui dirige.Ceci est le premier secret.

Le second moyen de réussir à gouverner est de multiplier les coutumes, habitudes, passions, conventions populaires, de telle façon que personne ne puisse plus rien démêler dans ce chaos et que, par suite, les hommes voyant tout sous un aspect différent et donnant à toute chose une interprétation personnelle, cessent de se comprendre réciproquement.

Sur un tel terrain, l'inimitié des Goïm les amènera à se trahir entre eux à notre profit. La différence des points de vue est la meilleure créatrice des malentendus et des haines. Par ce moyen, nous sèmerons les dissensions dans tous les partis ; nous désagrégerons toutes les forces collectives qui refusent de nous obéir et de se soumettre à nous, et nous découragerons toute initiative personnelle, susceptible d'entraver notre oeuvre.

Il n'y a rien de plus dangereux que l'initiative personnelle ; si elle est géniale en quoi que ce soit, elle peut avoir plus d'action que n'en auraient les millions d'individus parmi lesquels nous avons jeté la dissension. Nous devons éduquer les Goïm de telle façon que, devant toute tâche qui exigerait une initiative personnelle, les bras leur tombent de découragement

La pression émanant de la liberté d'action que nous avons inculquée aux Goïms, affaiblit les forces quand elle se heurte à la liberté d'autrui ; il en résulte de sérieux échecs, des déceptions et des secousses morales.

Tout cela à la fin des fins, nous servira à lasser les Goïm à ce point que nous les obligerons à nous offrir le pouvoir international, pouvoir qui, par ses tendances et sa préparation, est susceptible d'englober sans heurts toutes les forces gouvernementales du monde et de former un supergouvernement. Alors, à la place des souverains régnants, nous mettrons un dictateur que tous considèreront comme l'administration supergouvernementale : Ses mains s'étendront dans toutes les directions, comme des tenailles, et son organisation sera si colossale qu'elle ne pourra manquer de dominer les peuples du monde ".

 

MON COMMENTAIRE SUR
LE
 5e PROTOCLE

Dans le cinquième Protocole, il est mis en évidence que dans une société matérialiste, la corruption tout autant que la violence, est une manifestation courante qui doit forcément être dirigée par un gouvernement centralisé qui impose un contrôle sévère des particuliers. Puisque la morale générale a déjà été depuis longtemps décomposée, personne ne peut plus se fier à qui que ce soit.

Pense-t-on ici à l'état communiste au parti unique ou à l'état pluripartis démocratique muni de son appareil de contrôle qui surveille tout, par lequel de multiples informations sur chaque individu sont recueillies et emmagasinnées sur ordinateur ? C'est plus que probable ! et cela était déjà programmé dans le 5e Protocoleil y a presqu'un siècle car il y est dit : "Nous créerons une centralisation très ferme du gouvernement de façon à tenir entre nos mains toutes les forces publiques. Nous réglerons automatiquement par de nouvelles lois toutes les fonctions de la vie politique de nos sujets."

Cette prédiction ne s'est-elle pas réalisée par le menu ? Déjà, il y a 20 ans, au Parlement suédois, deux nouvelles lois étaient décrétées par an. Aujourd'hui, environ mille nouvelles lois sont décrétées par an. De combien d'entre elles, le peuple est-il informé correctement et comment les apprécie-t-il ?

Il n'y a naturellement qu'une poignée de juristes capables de se retrouver approximativement dans ce fouillis de paragraphes et à savoir comment expliquer les lois toujours nouvelles. La majorité écrasante de nos concitoyens est livrée sans défense à ce déferlement juridique continu. Un citoyen qui n'enfreindrait pas quotidiennement une loi n'est pas encore né ! C'est tout à fait logique que le développement absurde du droit ne cesse de prendre de l'extension.

Plus loin, il est dit dans le 5e Protocole : "L'art de gouverner les masses et les individus au moyen de théories appliquées habilement, de grandes phrases, de soi-disant préceptes de vie sociale, d'étiquette et de toutes sortes d'artifices dont les Goïm ne peuvent ni saisir ni comprendre le but, cet art est une des particularités de notre politique."

Cela s'accorde-t-il avec les événements en cours ? De quelles théories et de quels raisonnements incompréhensibles aux Goïm s'agit-il ?

Nous avons d'abord le marxisme, création du juif Karl Marx avec ses nombreuses variantes comme la social-démocratie créée par le juif Lassalle et le marxisme révisé du juif Edouard Bernstein comme le flot continu de nouvelles formes marxistes fondées par les juifs Adorno, Reich, Marcuse et Fromm nommées "Ecole de Francfort" dont l'influence remarquable atteint même les Etats Unis.

Ensuite nous avons eu droit au libéralisme dont les initiateurs étaient en grande partie juifs comme Daniel Bell en Amérique, Isaac Berlin en Angleterre et ainsi de suite. L'école monétariste avec son gourou, Milton Friedmann, prix Nobel d'économie et conseiller du gouvernement chilien de Pinochet ne doit pas être oubliée. Très significative également est toute la troupe des philosophies anti-marxistes, néo-conservatrices, à commencer par celle du juif Friedrich A. Hayek, connu aussi comme prix Nobel d'économie, jusqu'au juif Karl Popper qui a rédigé la bible néo-conservatrice, néo-libérale, "La société ouverte et ses ennemis". Pire encore, nous avons la psychanalyse juive initiée par son fondateur le juif Sigmund Freud, puis par le juif Alfred Adler avec leur enseignement sur les complexes d'infériorité compensés et Arthur Janov avec ses thèses d'introspection approfondie, sa thèse du cri originel : il suffit de crier assez fort et de manière suffisamment furieuse pour jeter tout son lest d'états d'âme par dessus bord et pouvoir ainsi comme un jeune homme plein de vigueur recommencer sa vie pour se rendre, et le monde avec, heureux !

Une autre citation du 5e Protocole peut de prime abord rester incompréhensible : "Les nations ne peuvent pas agir individuellement sans que nous tenions toutes les ficelles dans nos mains."

Quelle signification profonde se cache sous ces mots ? Mais c'est évident ! Qu'on pense seulement aux puissantes organisations internationales riches d'influence comme l'Organisation mondiale du Sionisme et le Congrès Mondial Juif qui travaille étroitement en liaison avec Israël comme avec toutes les communautés juives répandues dans le monde, on s'apercevra que cette citation convient admirablement. Ecoutons ce que notre vieil ami, Nahum Goldmann, président de longue date du Congrès juif Mondial a dit dans son livre paru aussi en suédois en 1978, "Le paradoxe juif" :

"Un des buts principaux du Congrès mondial juif consiste à représenter chaque communauté juive peu importe l'endroit où elle se trouve, si elle n'est pas assez forte pour se défendre elle-même. Voilà pourquoi la plupart de nos interventions sont tenues secrètes. Par exemple, une vague d'anti sémitisme déferle-t-elle dans un quelconque état latino-américain, les juifs de là-bas nous prient d'intervenir rapidement. Nous nous adressons alors au ministère des Affaires étrangères des Etats Unis ainsi qu'à l'ambassade du pays concerné à Washington ou à Paris. Personne, ni l'état concerné ni les Américains, ne désire que notre intervention soit rendue publique. Il s'agit pourtant en l'occurence d'états formellement indépendants."

Nahum Goldmann ne confirme-t-il pas l'existence d'une puissance sioniste répandue sur le monde, qui se mêle des affaires intérieures d'états étrangers de la façon la plus éhontée qui soit pour imposer la volonté des sionistes ?

Dans le livre de Nahum Goldmann, on trouve plein de citations qui valent leur pesant d'or, par exemple :

"Les juifs sont les plus grands spéculateurs du monde. N'importe où une nouvelle citadelle du monde civilsé s'érige, les juifs ne sont pas loin. Lorsque cette citadelle s'est trouvée au Proche Orient, les juifs furent d'abord en Palestine, puis à Babylone et enfin à Alexandrie. Lorsque les Romains soumirent le Proche Orient, les juifs émigrèrent vers l'Europe, vers Rome et en Rhénanie. Plus tard, ils gagnèrent l'Amérique. Aujourd'hui, le Proche Orient est à nouveau un territoire précieux et c'est pourquoi les juifs sont à nouveau là-bas. On les rencontre partout où de grosses affaires de spéculation ont lieu dans l'histoire. .. A mon avis, la présence juive ne se limite ni à Israël ni à la diaspora seule, mais comprend les deux parties également. Mais Israël et la diaspora doivent être indépendants l'un de l'autre. Si le système scolaire juif dont j'ai parlé, devait devenir réalité, chaque étudiant juif devrait passer un an en Israël. Aujourd'hui déjà beaucoup d'universités ont accepté un tel accord et reconnaissent cette année d'études. Cela ne peut que conduire à un contact permanent et nécessaire entre Israël et les juifs de la Diaspora. La condition nécessaire est que l'hébreu devienne la seconde langue parlée pour tous les juifs. La nouvelle culture hébraïque deviendra dans ces conditions une manière de civilisation mondiale qui empêche qu' Israël ne devienne un pays à mentalité provinciale. 18 % du peuple juif habite en Israël et plus de 80 % ailleurs. D'autres peuples, par exemple l'Arménie, ont connu le phénomène de la diaspora mais pas de la même manière.La diaspora juive est unique en son genre. Les juifs de la diaspora décident-ils demain qu'Israël ne les intéresse plus, le rêve s'effondrerait et Israël s'écroulerait aussitôt aussi bien économiquement que politiquement. L'Amérique continuerait-elle à soutenir Israël si les juifs des USA délaissaient leur propre pays ?

Lors de la création de notre état tout comme de notre armée, nous avons pu nous baser sur des modèles Cependant pour régler les relations entre Israël et la Diaspora nous ne disposions d'aucun modèle. Nous avons dû le créer nous-mêmes" (trad. du suédois, p. 91, 92de l'édition suédoise)

Et c'est le président de longue date du Congrès mondial Juif qui dit ceci ! Que désirez-vous de plus ?

Continuons notre examen du 5e Protocole Il est dit : "Le principal problème de notre gouvernement consiste à affaiblir le sens critique du public, à lui faire perdre l'habitude de la réflexion qui pourrait conduire à éveiller de la résistance, et à orienter leur esprit combatif vers la lutte fictive de la vaine éloquence."

Lorsque l'on lit cela, on se souvient des débats officiels parus dans les medias lors des campagnes électorales comme des manifestations des syndicats sur les lieux de travail ou des cours donnés dans les universités populaires : ces professionnels adroits n'utilisent comme cartouches que de vaines paroles, de la rhétorique. On ne trouve jamais une question importante débattue à chaud. A peine lui accorde-t-on un renseignement précis. Qui de nous n'a pas vécu cela une centaine de fois !

Dans le 5e Protocole il est aussi avoué sans fard quelle intention se cache derrière tout cela : on veut fatiguer les auditeurs et ainsi les dégoûter des discours. On peut trouver là la cause des discussions politiques si fastidieuses !

Il est dit plus loin dans le 5e Protocole : "Afin de prendre en mains l'opinion publique, il faut la rendre perplexe et exprimer de toutes parts tant d'opinions contradictoires et cela pendant si longtemps que les Goïm perdront la tête dans ce labyrinthe et arriveront à la conclusion qu'il vaut mieux n'avoir aucune opinion politique et que seuls peuvent comprendre la politique ceux qui les dirigent. Ceci est le premier secret."

Je pose ici une question de pure rhétorique : Peut-on imaginer un énoncé plus juste de la réalité sociale actuelle dans laquelle nous vivons ? Le secret qui se trouve dans le 5e Protocole prend forme dans le chaos des exposés les plus confus et les points de vue les plus divergents sur le monde et sur Dieu qui sont répandus à dessein pour conduire la société toute entière dans l'obscurité la plus totale et pour faciliter à la clique dirigeante d'exercer le pouvoir auquel le nigaud participe en imagination ! En quoi consiste le deuxième secret ? Les Protocoles ne laissent pas cette question sans réponse : "Le deuxième secret dont nous avons besoin pour la réussite de notre gouvernement est le suivant : enflammer les tendances et les passions, exacerber les faiblesses nationales, rendre confus les objectifs des partis de telle sorte que personne ne puisse plus se retrouver dans ce chaos de manière à ce que finalement les hommes du peuple en arrivent à ne plus se comprendre mutuellement" C'est bien ainsi que l'on se comporte ! Voici notre société faiblarde dans laquelle ne règne pas seulement une surabondance de denrées et de services, mais également toutes imbécillités et camelotes imaginables présentées tantôt comme culture tantôt comme divertissement.jusqu'à ce que les hommes en perdent le sens commun. Mais les relations entre les humains dans la société moderne se perdent bel et bien et conduisent à une sorte d'homme névrosé de telle sorte que l'homme normal est regardé aujourd'hui comme une exception. De véritables troupes de psychologues et de psychothérapeutes sont lâchées aujourd'hui sur nos écoliers innocents. Mais les efforts de ces plombiers de l'âme changent-ils quelque chose au fait qu'environ ¾ des enfants peuvent être classés comme "perturbés psychologiquement" ? Comment a-t-on pu en arriver là ? Qui avait intérêt à ce que cela arrive ?

Où trouver le remède ?Aucune des questions primordiales n'est même posée car elle mettrait dans l'embarras ceux qui devraient donner la réponse. A la place, on nous offre un tas énorme de débats apparents qui peuvent à l'occasion effleurer les questions primordiales mais sans jamais aller à l'essentiel.

La situation critique que les Protocoles nous livrent dans leur description comme un phénomène, un nombre illimité de sociologues, de politologues et de médiologues. ne peuvent pas et ne veulent pas en tenir compte.

Comment se termine le 5e Protocole ? "Nous pouvons mener l'instruction des Goïm de telle sorte que devant toute tâche qui exigerait une initiative personnelle, les bras leur tombent de découragement. Avec tous ces moyens, nous lasserons les Goïm au point que nous les obligerons à nous offrir le pouvoir international, pouvoir qui, par ses tendances et sa préparation, est susceptible d'englober sans heurts toutes les forces gouvernementales du monde et de former un supergouvernement. A la place des souverains régnants, nous mettrons un dictateur. Il nommera l'administration supergouvernementale. Ses mains s'étendront comme des tenailles dans toutes les directions et son organisation sera si colossale qu'elle ne pourra manquer de dominer les peuples."

Ainsi cette vision de cauchemar est l'avenir que les sionistes nous ont concocté, le résultat d'une politique orientée. Atteindront-ils leur but ? Aucun mortel ne peut le prédire. Cependant beaucoup de sonnettes d'alarme indiquent depuis longtemps que le sionisme travaille à instaurer une dictature mondiale totalitaire. Et le lobby sioniste des Etats Unis et de beaucoup d'autres pays est devenu tellement fort et influent !



LA PORNOGRAPHIE "DURE" EST BIEN AUX MAINS DES JUIFS !

Y a t-il une raison de supposer que les juifs occupent une place prépondérante dans le domaine de l'obsession sexuelle et que, bien plus que d'autres groupes ethniques ou religieux, ils s'attachent à toutes les variantes imaginables des débauches sexuelles ?

Si je parle ici des juifs ce n'est pas en raison de leur race ni en tant que peuple, mais bien comme d'un groupe d'hommes liés par une même idéologie ou religion.

Je veux considérer le judaïsme comme le communisme, le christianisme et l'Islam, comme une communauté universelle à laquelle on peut adhérer alors qu' on ne peut être juif qu'héréditairement, par le sang et la race.

D'après les chiffres officiels livrés par les synagogues des Etats Unis, il y aurait en Amérique quelques 6 millions de juifs, ce qui représente environ 2,5 % de la population.

Malgré leur nombre relativement peu élevé dans l'ensemble de la population, les juifs sont prédominants d'une façon incontestable dans certains domaines à l'intérieur de la communauté des Etats Unis.

Par exemple, dans l'industrie cinématographique, la télévision, la radio, la presse et la vie culturelle. De même qu'ils ont sous leur contrôle une bonne partie de la publicité et des maisons d'édition. Ce n'est pas une affirmation gratuite mais on peut la vérifier sans difficulté.

On ne peut reprocher aux juifs d'avoir acquis un tel pouvoir mais dans une démocratie, ceux qui gouvernent doivent admettre l'existence d'une opposition !

Mais peut-on parler de démocratie lorsqu'il s'agit d'une affaire aussi mal famée que la pornographie la plus dégoûtante qui n'est plus l'objet d'une quelconque censure depuis le milieu des années 60 ?

Est-ce que ce sont les juifs qui, ici aussi, donnent le "la" ?

L'importante revue pronographique américaine Screw qui propose à ses lecteurs toutes les perversions sexuelles imaginables, dégoûtantes, est totalement aux mains des juifs. Elle est rédigée par des juifs et ses collaborateurs : journalistes, photographes et dessinateurs sont en majorité juifs.

Al Goldstein, le producteur et le rédacteur en chef de ce torchon disait, le 25 septembre 1989, dans l' interview d'une actrice porno, parue dans son propre journal: "Comme vous le savez, 85 % des acteurs dans les films pornographiques sont juifs."

Nous ne mettrons pas en doute une affirmation venant d'un spécialiste reconnu et qui est de plus lui-même juif.

Cet Al Goldstein a écrit un éditorial dans le même numéro de Screw, où il condamnait le président Bush pour sa décision de mener une campagne contre les bandes de la drogue et les drogués, sous prétexte que derrière cette campagne se cacherait en réalité une chasse contre la porno et le sexe. Par ce dernier terme, l'homme entend clairement toutes les déviations et les perversions sexuelles qu'il encourage lui-même avec tant de zèle. Apparemment il craignait qu'une lutte menée avec succès contre le mauvais usage de la drogue ne mette sa branche en difficulté !

Si l'on jette un oeil dans ce journal pornographique ou un production de cette espèce ou si l'on regarde un film pornographique "dur", dans lequel 85 % des acteurs principaux appartiennent au Peuple élu, on est facilement persuadé que c'est dans une tradition et une "religion" juives enracinées que s'expriment ici cette obsession sexuelle.

Cette impression se renforce encore si on lit quelques articles de cette presse ou que l'on parcourt le flot d'annonces dans les journaux émanant de clubs pornos.

Ainsi la réponse à la question de savoir si les juifs sont impliqués plus particulièrement comme groupe "religieux" dans le domaine de l' obsession sexuelle est "oui". La prédominance écrasante des juifs dans l'industrie pornographique s'est exprimée dans la suprématie juive de la psychanalyse attachée au sexe depuis Sigmund Freud, de même que par le nombre très élevé de juifs parmi les psychanalystes et sexologues ainsi que parmi leurs clients

 

LE REVISIONNISME HISTORIQUE

Par révisionnistes, on entend des personnes qui soumettent à un examen critique des représentations de faits connus à la lumière de connaissances nouvelles ou méconnues quant à leur importance. Des historiens qui méritent ce nom ne s'occupent ni d'opportunisme ni de propagande. C'est pourquoi ils sont souvent gênants pour le pouvoir en place qui aimerait tellement les réduire au silence même si des méthodes comme la liquidation ou l'emprisonnement ne sont plus à la mode.

Dans le monde arabe et musulman, les représentants de la conception révisionniste ne sont pas taxés d'esprits confus, comme c'est le cas en Suède et dans les autres pays occidentaux à cause du contrôle sioniste sur les medias, quand ils examinent de plus près la thèse sioniste inlassablement répétée suivant laquelle 600 000 de juifs de même que quelques millions de non juifs auraient été gazés ou exterminés d'une autre façon durant la deuxième guerre mondiale par les Allemands.

En définitive, le monde arabe composé aujourd'hui approximativement d'1 milliard de personnes n'est pas soumis à la propagande sioniste. Là-bas, on conserve une vision des choses saine vis à vis des sionistes et de leur propagande.On sait là-bas combien souvent les sionistes changent la couleur du ciel en fonction de leurs intérêts et comment ils noircissent impudemment leurs adversaires.Par amère expérience, on est conscient dans le monde islamique qu'Israël et le sionisme international qui protège cet état usurpateur sont bâtis sur des mensonges. C'est pourquoi on n'y tient pas pour invraisemblable que les sionistes racontent des mensonges lorsqu'ils parlent des 6 millions de juifs assassinés dans l'Allemagne nazie. Pourqoi diraient-ils la vérité sur ce point alors qu'ils mentent comme des arracheurs de dents à d'autres occasions ?

A cause de cela, les productions de la recherche des auteurs révisionnistes occidentaux sont publiées et lues avec intérêt dans les états musulmans. On y lit aussi les Protocoles des Sages de Sion afin de mieux comprendre la prise de pouvoir des sionistes sur le monde entier.

Chez les Musulmans, il n'existe aucune censure sioniste qui décide de ce qui peut être imprimé ou non et les juifs ne décident pas ce qu'on doit croire et ce pour quoi il faudrait éprouver une "repentance" appropriée. on regrette seulement que le monde occidental soit tombé si bas, lui qui possède un passé culturel immense et un formidable développement technique, qu'il croit les centrales de propagande sionistes qui prennent les gens de l'Occident pour des imbéciles grâce à leurs histoires à dormir debout.

Une de ces histoires les plus absurdes raconte comment des millions de juifs ont dû marcher comme des moutons vers les chambres à gaz qu'ils pensaient être des salles de douches ! Les myriades de gazés auraient dû être brûlés dans des crématoires sans que les juifs qui attendaient au dehors ne remarquent quoi que ce soit ! Et cependant un nombre incalculable de juifs auraient survécu d'une façon miraculeuse aux camps d'extermination. Rien qu'en Israël, il y avait par moment plus d'une centaine de milliers de survivants d'Auschwitz !

Nous, Arabes, nous racontons volontiers des contes concernant le destin merveilleux de personnages et leur sauvetage miraculeux-qu'on songe seulement aux Contes des Mille et une Nuits- mais nous sommes conscients que ce ne sont que des contes. C'est pourquoi tout ce qui est imprimé à ce sujet ne nous paraît pas forcément crédible. Lorsque les révisionnistes occidentaux considèrent les histoires sur les camps d'extermination comme un gigantesque mensonge, nous les écoutons avec intérêt sans trop nous étonner. Ils confirment même ce que nous avons toujours soupçonné : que l'histoire de l'Holocauste doit être quelque chose d'absolument faux. Cela sentait dès le début, le mensonge concocté par la propagande sioniste !

Nous, à Radio Islam, nous avons exposé par le détail les arguments que les révisionnistes avancent à l'encontre de la propagande sioniste. Nous avons entre autres donné un résumé de l'exposé de John Bennet bien connu en Australie, juriste très estimé en droit civil de même que nous avons exposé des déclarations entières de révisionnistes.

Celui qui écoute ces arguments sans idée préconçue, devra instantanément considérer la soi-disant extermination de 6 millions de juifs - la majorité d'entre eux auraient été tués dans des chambres à gaz - comme rien d'autre qu'un mensonge énorme de propagande que les sionistes et l'enseignement, grâce à leur pouvoir incroyable sur les medias occidentales, ont pu maintenir jusqu'à aujourd'hui.

Ce pouvoir est exercé par un terrorisme moral, psychologique et social. Ce qui signifie que celui qui ne croit pas à la légende de l'Holocauste est considéré comme un menteur dangereux qui doit être rejeté moralement et banni de la société.

Ce terrorisme ignoble, sournois (dont le mécanisme a été exposé dans les Protocoles des Sages de Sion) a été dépeint par l'écrivain génial britannique, Georges Orwell, dans le roman du siècle "1984" avec une clarté qui fait frémir. Nous devons absolument triompher de ce mensonge en toutes circonstances sous peine de perdre notre condition d'hommes libres ; notre démocratie dégénererait en farce grotesque, nous aurions seulement une démocratie de façade où les gens ne pensent plus librement, n'ont pas le droit de parler librement et n'osent plus défendre leur point de vue.

Une société dans laquelle les citoyens sont soit totalement dépourvus de sens critique soit intimidés au point de ne plus oser user de leur faculté de penser n'est plus une véritable démocratie, mais seulement une pseudo-démocratie.

Après ces brèves réflexions, tournons-nous vers les questions primordiales qu'a posées John Bennet.

1) Pourquoi devons-nous avoir foi en une histoire qui n'a jamais été prouvée mais seulement affirmée par une des parties concernées ? Aucun tribunal jugeant des causes de droit commun ne rend par exemple un jugement dans une affaire de meurtre si des preuves claires comme le jour ne sont pas retenues contre l'accusé

Dans le cas de l'Holocauste, il s'agit d'un meurtre sans précédent commis par les Allemands, en fait l'extermination de 6 millions de juifs et en plus de quelques millions de non-juifs qui a été avancé sans que des preuves n'aient été présentées. Il n'y a rien d'autre que certaines affirmations, certains indices qui ne peuvent être considérés par un tribunal de droit commun, jamais, au grand jamais, comme des preuves de culpabilité. Il faut ajouter que le tribunal des vainqueurs à Nuremberg qui était chargé du jugement de l'équipe nationale socialiste n'était pas un tribunal impartial et qu'il n'a jamais présenté de preuves véritables.

2) Il n'existe pas un seul document prouvant que le gouvernement national-socialiste a ordonné de tuer les juifs parce qu'ils étaient juifs. Pourtant après la guerre, les Alliés ont saisi des tonnes de documents allemands qui prouvent clairement que dans le Reich rien ne fonctionnait sans preuves écrites.

Le président du Centre de Documentation juif de Tel Aviv, le docteur Arjek Probovi, lors du procès d'Eichmann à Jérusalem, le 15 décembre 1960, publia dans le journal juif de Paris "La Terre retrouvée", le texte suivant :

"Il n'existe aucun document signé ou d'Hitler ou d'Himmler ou d'Heydrich, qui parle d'une extermination des juifs.Les mots "extermination" ou "destruction" n'apparaissent pas dans la cékèbre lettre de Goering à Heydrich (du 31 juillet 1941) dans laquelle il s'agit de la solution finale de la question juive." Pourquoi ? Poser la question, c'est déjà y répondre : le gouvernement allemand n'a jamais publié un ordre pour l'extermination physique des juifs.

3) Mise en face de ce pénible dilemne, la propagande sioniste cherche à nous prouver qu'Hitler aurait donné un ordre oral à Goering pour l'extermination des juifs et que celui-ci aurait transmis l'ordre au SS Reichsführer Heinrich Himmler qui l'aurait transmis pour sa part oralement aux SS de grade inférieur.

A l'occasion de la conférence de Wannsee le 20 janvier 1942, cet ordre aurait été dissimulé sous la dénomination "déportation des juifs vers l'Est" La propagande sioniste affirme donc que le mot "déportation" aurait été un mot de code grâce auquel on a pu cacher au monde entier ce qui était planifié en réalité : un gigantesque massacre collectif des juifs.

Comment une aussi énorme opération a pu être possible sans directives écrites : là dessus les autorités gardent volontairement le silence. N'importe quel agent ennemi aurait pu répandre des rumeurs fantastiques du genre de :

"Tuez tous les généraux de la Wehrmacht. C'est un ordre oral du Führer. Il est strictement interdit de vérifier son authenticité pour des raisons de sécurité. Celui qui n'obéit pas, est un homme mort."

Rien que la supposition qu'Hitler aurait donné oralement un ordre d'une telle importance est, et c'est un euphémisme, complètement idiote Les choses ne se passent spas si simplement dans un état autoritaire surtout en temps de guerre. Ceci doit être pris en considération par n'importe qui a un tant soit peu de réflexion. Mais on exige que nous croyions à cette idiotie !

4) Comment se fait-il que le mouvement de résistance allemand contre le national-socialisme, au premier rang pour les informations, en contact permanent avec l'état major d'Hitler, dont faisait partie Canaris, chef de l'Abwehr, n'ait pas su la moindre chose au sujet de cette gigantesque opération, l'extermination des juifs ?.

Comment se fait-il qu'ils n'aient pu donner aucune preuve permettant de stopper instantanément le massacre collectif ou au moins pourquoi n'ont-ils pas donné des informations aux alliés ? Poser la question, c'est à nouveau y répondre : il n'y a jamais eu de massacre collectif organisé de juifs ou d'autres hommes !

5) Comment se fait-il que le Vatican qui était en contact permanent avec le mouvement de résistance catholique polonais n'ait rien appris sur cette sanglante boucherie ? Pourquoi de même la Croix Rouge internationale à Genève n'a-t-elle rien su de cette extermination d'êtres humains à la chaîne ? Elle avait finalement envoyé en 1944, à Auschwitz qui se trouvait dans la Pologne occupée, une délégation d'observateurs spéciaux à cause de rumeurs de massacre collectif provenant de l'Organisation juive. cependant les délégués durent s'en tenir aux rumeurs. Dans ce cas aussi, la solution s'impose d'elle même : On n'a pas pu trouver une seule preuve d'un massacre collectif qui n'a eu lieu que dans les cerveaux malades des menteurs sionistes professionnels !

Il est terriblement important de démasquer l'imposture du gigantesque holocauste, selon laquelle durant la seconde guerre mondiale, 6 millions de juifs auraient été gazés ou exterminés. Radio Islam s'y emploie du mieux qu'elle peut. Elle a présenté une longue liste d'arguments dont chacun porte un rude coup au mythe. Chacun de ces arguments doit être examiné en détails

Voyons les plus importants :

1) On affirma après la guerre que tous les camps de concentration, ou au moins les plus grands, avaient été des camps d'extermination dans lesquels les juifs auraient été assassinés dans des chambres à gaz ou par d'autres moyens meurtriers. On affirma cela également au Procès de Nuremberg. : Des milliers de prétendues preuves, entre autres de témoignages visuels, et surtout les aveux des gens de la SS eux-mêmes, auraient étayé cette thèse. En conséquence de quoi, des hommes de la SS et d'autres Allemands furent condamnés à mort et souvent exécutés

Dans les année suivantes, des faits nouveaux apparurent à la lumière, qui démontraient que les fondements du jugement de Nuremberg - pour parler avec réserve - avaient été fragiles. Toutes les preuves apportées là-bas se révélaient sans valeur ou fabriquées de toutes pièces. Les témoignages visuels étaient ostensiblement faux ou se contredisaient sur tous les points possibles. Les aveux des hommes de la SS avaient été obtenus par la brutalité des bourreaux. Ceci était particulièrement le cas pour les déclarations du témoin clef, Rudolf Höss, le premier commandant du camp d'Aushwitz

Son aveu obtenu dans une prison anglaise de même que ses notes écrites dans la prison de Cracovie servaient de preuves irréfutables de l'extermination collective. Il faut ajouter que l'ensemble du procès de Nuremberg a été une farce mise en scène par les sionistes.

Dernièrement, la preuve fut donnée par le meilleur des témoins que les révisionnistes auraient pu souhaiter, le Président du Congrès Mondial juif, Nahum Goldmann avec une candeur rafraîchissante. Nahum Goldmann écrit en effet dans son livre : Le Paradoxe juif, éd. de l'Europe, 1978, p.166,167, ce qui suit :

"Durant la guerre, le Congrès Mondial juif avait créé à New York, un institut pour les affaires juives dont le siège se trouve aujourd'hui à Londres. Ses chefs étaient 2 juifs lituaniens importants, Jacob et Nehemiah Robinson. D'après leur plan, furent développées deux idées révolutionnaires : le tribunal de Nuremberg et la restitution des biens par les Allemands.

L'importance de la cour du Tribunal international de Nuremberg n'est pas estimé aujourd'hui à sa juste valeur. Puisqu'il s'agissait de droit international, il lui était en fait impossible de juger des militaires qui avaient simplement obéi aux ordres qui leur étaient donnés. Ce fut Jacob Robinson qui eut une idée géniale : Lorsqu'il la soumit aux juristes de la cour suprême de justice américaine, ils le priprent pour un fou : "Qu'ont donc fait les officiers nazis de si extraordinaire ? demandèrent-ils. On pourrait s'imaginer Hitler ou à la rigueur Goering devant le Tribunal, mais tout de même pas de simples militaires qui ont suivi les ordres et se sont comportés en loyaux soldats. Nous avions la plus grande peine à convaincre les Alliés."

Parmi les plaignants "américains" de Nuremberg, la plupart étaient des juifs allemands qui avaient quitté le Reich durant les années trenteplus ou moins volontairement et qui à présent, essayaient de faire passer leur colère sur les Nationaux- Socialistes vaincus.

L'exemple le plus connu est Robert Kempner, décédé en 1993, qui entre autres mensonges, était probablement l'auteur du bluff du protocole de Wansee. Celui-ci aurait été découvert par un de ses collaborateurs. Les juifs, à Nuremberg, étaient à la fois plaignants, juges et bourreaux dans une même affaire, ce qui est totalement inconciliable avec les bases du droit

Au début des années 60, tant de faits avaient été mis en lumière que la situation devenait intenable pour les sionistes. Ils ne pouvaient pas s'empêcher d'avouer que quelque chose n'allait pas dans l'histoire de l'Holocauste. alors ils réagirent par une de leurs manoeuvres typiques de mystification : Eh bien, dirent-ils, c'est vrai les histoires sur les chambres à gaz dans le Reich allemand (avec le frontières de 1937) dans des camps de concentration comme Dachau, Bergen Belsen, et Buchenwald, ne tiennent pas debout. Mais tout ce qui a été dit sur les camps de la mort en territoire polonais est vrai à 100% !

Les sionistes avouent ainsi que les histoires de chambres à gaz de l'Allemagne de l'Ouest et les jugements qui s'y rapportent étaient des mensonges. D'innombrables personnes innocentes furent condamnées à cause de ces histoires, dont beaucoup à mort et une grande partie des condamnations à mort fut exécutée. En même temps, on nous somme de croire que sous l'occupation soviétique des condamnations qui eurent lieu étaient irréfutablement valides. Les menteurs sionistes désirent que nous croyions ces contes à dormir debout.

Dans beaucoup de cas, la même personne fut condamnée pour des crimes commis à l'Ouest comme à l'Est. Les plaintes pour crimes, en Occident seraient injustifiées alors que celles pour des crimes commis à l'Est seraient justifiées ! Cette thèse soulève des centaines de questions qui appellent chacune une réponse appropriée.

Si nous devons croire les racontars sur "les usines de mort" en Pologne, est ce à dire que la justice soviétique était meilleure que le justice démocratique anglo-saxonne ?

Devons-nous faire confiance à l'appareil judiciaire soviétique même si nous savons tous que la justice stalinienne était responsable de parodies de procès absurdes à Moscou et qu'en outre, de nombreux juifs au cours de ces séries de semblant de procédure, furent condamnés à mort et mis au poteau ?

Quelle personne sensée conserve aujourd'hui la moindre confiance dans la justice de Staline ?

2) Rien qu'à Auschwitz Birkenau, 4 millions de jifs auraient été gazés ou assassinés d'une autre manière. Ceci est confirmé entre autres par le juif Philippe Friedmann, ancien détenu d'Aushwitz, dans son livre : "This was Oswiecim" (London, 1946) Les régimes communistes de Pologne et d'URSS défendaient également le chiffre de 4 millions même s'ils affirment qu'une grande partie des 4 millions de victimes auraient été des non juifs et surtout des communistes.

D'après des statistiques allemandes précises, le nombre total des prisonniers transportés à Auschwitz entre 1940 et 1945, se monte à 363 000. e chiffre est avancé par le chercheur Gérald Reitlinger, juif britannique, auteur du livre de poche : "Die Endlösung" ("La solution finale"). Franciczek Piper, directeur du Musée d'Auschwitz, donne un chiffre supérieur : environ 400 000, dans sa brochure publiée en 1992 : "Ilu ludzi zginelo w KL Auschwitz ?" Wydawnictwo Panstwowego Muzeum w Oswiecimu.) D'après cela, 4 millions ni même un seul million - nombre avancé aujourd'hui par les historiens officiels - ne pouvaient pas avoir été exterminés là.

De toutes façons, la mortalité à Auschwitz et surtout dans le camp annexe de Birkenau fut extrêmement élevée. A cause de la surpopulation du complexe des camps et du manque d'hygiène qui favorisa la propagation de graves épidémies de typhus exanthématique périodiques. La direction des camps ne parvenait pas à maîtriser les épidémies.En été 1942, jusqu'à 300 personnes par jour moururent de typhus et parmi elles des gens de la SS, ce qui conduisit à la fermeture momentanée du camp le plus à l'Est, situé à Monowitz, ainsi que de ses usines.

Qu'on se réfère au protocole du procès des usines IG- Farben. En 1943 aussi, 2 graves épidémies sévirent à Auschwitz et en 1944, le camp fut frappé d'une épidémie de typhus particulièrement dévastatrice. Le nombre définitif des victimes d'Auschwitz n'a pas encore été établi. En tous cas, les révisionnistes ne se fient pas aux chiffres sacrés qui ont été affirmés juridiquement et qui ne peuvent plus être discutés. Le débat est encore en cours !

3) On ne trouve pas en arrivant à Auschwitz ou dans n'importe quel camp national socialiste, une chambre à gaz qui d'après sa construction aurait pu être utiliséedans ce but. On n'a trouvé aucun ordre de construction, aucun dessin, aucun plande construction. Les prétendues chambres à gaz n'auraient pas fonctionné. En 1988, Fred Leuchter a entrepris avec une petite équipe la première recherche chimique des crématoires et des "chambres à gaz" d'Auschwitz d'Auschwitz Birkenau et de Majdanek. Il arriva à la conclusion que les "chambres à gaz" n'en étaient pas. L'étude "Gutachten uber die Bildung und Nachweisbarkeit von Cyanidverbindungen in den "Gaskammern" von Auschwitz" du chimiste diplômé allemand, Germar Rudolf fournit plein de détails et des preuves indiscutables. Elle peut être commandée aux Cromwell Press, 27, Old Gloucester Street, London. Rudolf y expose que tous les témoignages sans exception des témoins oculaires du gazage d'êtres humains contredisent les lois naturelles concernant le Zyclon B et que les chambres à gaz n'ont jamais été en contact avec le poison Zyclon B. Enfin on peut vérifier à travers cette recherche par des échantillons prélevés dans les chambres à gaz qui auraient dû contenir une quantité élevée de cyanide encore aujourd'hui, qu'il n'y en a aucune trace ou seulement une infime quantité telle qu'on peut la trouver à l'état naturel dans chaque demeure puisque le cyanide est un produit naturel.par contre, les échantillons prélevés dans les chambres de désinfection en contiennent encore aujourd'hui. L'expertise de Rudolf fut exposée en 1993 devant 306 professeurs de chimie d'université allemands. Aucun ne décela une erreur et il en fut de même pour l'Institut Max Planck.)

4) Les crématoires d'Auschwitz-Birkenau n'auraient jamais pu brûler 4 millions ou même seulement 1 million de cadavres. Il n'y avait pas de fosses collectives dans les environs. Où sont donc passés, s'il vous plaît, les cadavres des victimes ? Le révisionniste italien Carlo Mattogno publiera en 1994 un ouvrage sur les crématoires d'Auschwitz qui présente les résultats des recherches effectuées durant de longues années. Selon Mattogno, le nombre théorique le plus probable de crémations est de 170 000)

5) Qu'il y ait eu un gazage collectif de juif planifié est tout aussi incroyable puisque on a vérifié que pluieurs centaines de milliers de détenus juifs des camps se sont exilés après leur libération en Israël et aux Etats Unis. Encore en 1967, il y avait, comme l'a fait remarquer le premier ministre israélien Levy Eskol seulement en Israël, 120 000 anciens détenus d'Auschwitz.

Sur l'aspect démographique de la question, on lira avec profit l'étude fracassante de Walter Sannings : "La dissolution" Edition Grabert, 1983 qui s'appuie presque uniquement sur des sources juives et alliées, qui montre tous les chiffres concernant l'exil juif d'avant guerre, de pendant la guerre et d'après-guerre et vérifie qu'une grande partie des juifs polonais "gazés" a été absorbée par l'URSS. Sannings arrive à la conclusion que, dans le Reich allemand, quelques centaines de milliers de juifs ont trouvé la mort.

Beaucoup de ces survivants ont écrit ensuite des livres dans lesquels ils décrivent l'exécution collective d'une manière grotesque. Nous désirons offrir un morceau de choix : la description de l'extermination des juifs par le juif hongrois, le Docteur Phil. Stefan Szende émigré en Suède durant les années trente dans son livre "Le dernier juif de Pologne" éd. Europa, 1945, p. 290 et s

Szende se réfère à un personnage témoin du nom d'Adolf Folkmann devenu le dernier juif de Pologne qui arriva en personne à l'abattoir de Belzec :

"L'abattoir se compose d'une aire d'environ 7 km. de diamètre. Ce terrotoire est gardé par des fils de fer barbelés et par quelques autres dispositifs de sécurité.. Personne ne peut s'en approcher. personne ne peut le quitter. Les trains chargés de juifs passent à travers un tunnel vers les chambres souterraines, lieux d'extermination capitale.

Tout leur est retiré. Les affaires sont nettoyées, inventoriées et naturellement envoyées pour satisfaire les besoins de la race des Seigneurs. Pour simplifierce travail compliqué et qui prend beaucoup de temps,plus tard tous les transportés furent livrés nus.

Les juifs nus étaient conduits dans d'immenses halls. Plusieurs milliers de personnes à la fois pouvaient remplir ces halls. Ceux-ci n'ont aucune fenêtre, ils sont en métal avec un plancher escamotable. Le sol de ces halls avec les milliers dejuifs était plongé dans un bassin d'eau qui se trouvait dessous, cependant pas assez profondément afin que les personnes sur le plateau métallique ne disparaissent pas sous l'eau. Lorsque tous les juifs se trouvaient sur la plate-forme de métal, plongés jusqu'aux hanches dans l'eau, un courant électrique était envoyé à travers l'eau. après quelques moments, tous les juifs, des milliers en tout, étaient morts.Alors le plateau métallique s'élevait hors de l'eau. Sur lui gisaient les cadavres des exécutés. Un autre courant était envoyé et le plateau devenait brûlant afin de servir de cercueil de crémation jusqu'à ce que tous les corps soient réduits en cendres. Des grues puissantes soulevaient alors le cercueil de crémation et vidaient les cendres. De grandes cheminées d'usine aéraient la pièce. La procédure était terminée. Le prochain train attendait déjà empli de nouveaux juifs à l'entrée du tunnel. Chaque convoi transportait 3 à 5 000juifs parfois plus encore. Il y avait des jours où la ligne vers Belzec a conduit 20 ou plus de tels convois. La technique moderne triompha sous le règne des nazis. Le problème de savoir comment exécuter des millions de personnes était résolu."

Cette histoire bien caractéristique disparut bientôt après la fin de la guerre dans les oubliettes de l'histoire et le moulin à personnes fut transformé en chambres à gaz.

Mais le comble, c'est que, d'après la nouvelle version, les juifs auraient été tués dans les camps d' "extermination" de Belzec, de Treblinka et de Sobibor par des gaz d'échappement de moteurs diesel ! Alors qu'il est pratiquement impossible d'asphyxier des êtres humains avec des gaz d'échappement de moteur diesel parce que ceux-ci ne contiennent que très peu de CO et possèdent en outre suffisamment d'oxygène pour permetre de survivre. N'importe quel moteur à essence ordinaire serait bien plus efficace comme arme du crime ! Les escrocs de la propagande siçniste ont donc remplacé une absurdité par une autre. Sur le problème des gaz d'échappement des moteurs diesel, voir Friedrich P. Berg, "The Diesel Gas Chambers. Myth within a myth", Journal of Historical Review, Vol. 5, n°1, printemps 1984, p. 15 et sv.

Si nous examinons un peu attentivement les nombreuses biographies des "survivants" professionnels, nous trouvons quantité de choses très instructives ! Ainsi le socialiste autrichien et juif authentique Benedikt Kautsky a passé plusieurs années dans des camps de concentration sans encourir le moindre danger d'être gazé ! Sa mère mourut fin 1944, octogénaire, à Birkenau, de mort naturelle. Philip Auerbach,condamné pour haute trahison, ne fut cependant pas gazé, mais passa deux ans à Auschwitz ! Après la guerre, il fut traîné en justice en RDA pour cause de détournement de fonds et il mit fin volontairement à ses jours.

Le juriste américain, Stephen Pinter, lui-même juif, qui travailla pour le ministère de la Défense des Etats Unis et qui travailla après la guerre dans l'Allemagne de l'Ouest occupée et qui passa entre autres 17 mois à Dachau, a écrit dans le courrier des lecteurs au grand journal catholique "Our Sunday Visitor", le 16 juin 1959, : "C'est un mythe de propagande que d'affirmer que des millions de juifs ont été gazés par les Nationaux-Socialistes. De ce que j'ai appris pendant six années d'après-guerre en Allemagne et en Autriche ; j'ai pu conclure qu'un certain nombre de juifs ont été tués mais on n'a même pas atteint le chiffre de 1 million.

J'ai interrogé des milliers de juifs, d'anciens déportés de camps en Allemagne et en Autriche et je me considère en ce cas comme qualifié."

Auschwitz et les autres camps "d'extermination" ou "camps de la mort" situés en Pologne ne furent jamais visités après leur libération par des enquêteurs ou des experts techniciens occidentaux ou neutres, parce que les soviétiques ne le voulaient pas. Seulement en 1988, à la demande des révisionnistes, la toute première visite de chercheurs eut lieu grâce à Fred Leuchter et à son équipe !

6) Il est très instructif que la propagande concernant l'extermination fonctionnait déjà pendant la guerre du côté juif dans les sommets. Déjà, en février 1942, le journal clandestin juif de la résistance "Veker" parlait d' une liquidation des juifs planifiée. Un autre journal juif de la Pologne occupée continua sur la même veine en 1942. Qu'on compare cela aux déclarations de Lucy Dawidowicz dans son livre "The War against the Jews"

Ces rumeurs furent dirigées vers les cercles sionistes en Suède, en Angleterre et aux USA de même qu'à l'Agence juive dans l'ancien territoire sous mandat britannique, la Palestine.

Le 29 juin 1942, des journaux occidentaux, entre autres le New York Times, publièrent un télégramme émanant de l'United Press dans lequel le Congrès Mondial Juif accusait les Allemands d'avoir installé en Europe de l'Est une gigantesque "schlachthaus" (abattoir) pour les juifs dans laquelle ceux-ci étaient exterminés, non pas gazés, mais fusillés !

Le 22 juillet de la même année, la presse annonça que Rooseveld aurait dit devant 20 000 personnes à New York, que les nazis s'apprêtaient à exterminer les juifs, mais qu'ils n'y réussiraient pas de même qu'ils ne réussiraient pas à rendre esclave toute l'humanité

Le 23 novembre 1942, un télégramme de l'United Press de Jérusalem annonçait que la presse de langue hébraïque avait parlé le même jour d'extermination en masse de juifs en Pologne, et des communiquésen provenance de l'Agence juive confirmaient une extermination systématique de la population juive avec une "commission spéciale d'extermination" dans les territoires frontaliers entre les parties de la Pologne occupées respectivement par les Allemands et les Russes. Des milliers de juifs à la chaine auraient été jetés dans un fleuve et se seraient noyés.

Le 13 décembre, on lisait dans le New York Times : "Rabbi Israël Goldstein déclare selon des documents authentiques qu'il y a déjà 2 millions de juifs assassinés par toutes sortes de méthodes sataniques et barbares et qu'il existe des plans pour une extermination systématique des juifs qui tombent aux mains des les nazis. Le massacre d'un 1/3 des juifs dans l'empire d'Hitler et la ruine planifiée de tous les juifs résidant là-bas constitue un génocide sans précédent."

Dès lors les sionistes exercèrent sur tous les gouvernements une pression de plus en plus forte pour leur faire admettre l'existence d'une extermination collective. Dans des communiqués de presse du 18 décembre, il fut annoncé à Washington, que le jours avant, des membres des Nations Unies ont fait une déclaration commune dans laquelle la politique bestiale des Allemands d'extermination de sang froid des juifs était condamnée. Ainsi les deux démocraties dirigeantes, c'est à dire les Etats Unis et l'Angleterre, furent impliquées dans la propagande sur l'Holocauste. Le 20 décembre, la presse récidiva. Cette fois elle parlait de 5 millions de juifs qui étaient sur le point d'être exterminés. Les exécutions collectives sont réalisées entre autres par du courant électrique.

Plus tard on laissa tomber ces histoires de même que celles des chambres à vapeur dans lesquelles, au camp de Treblinka, plusieurs centaines de milliers de juifs auraient été assassinés (doc. de Nuremberg PS 3311). Les chefs sionistes qui avaient répandu cette absurdité sortie de leurs cerveaux dérangés utilisèrent la propagande d'atrocités pour favoriser une immigration massive de juifs vers la Palestine.

Ceci peut être prouvé par diverse déclarations publiques.

Ainsi Chaïm Weizmann, président de l'Agence juive, a dit, le 1er mars 1943, à Square Madison Garden, que les démocraties avaient maintenant, après l'extermination de 2 millions de juifs, le devoir incontournable de traiter, via les pays neutres, avec l'Allemagne pour arriver à ouvrir la Palestine aux juifs venant des pays occupés par l'Allemagne.

 


Le combattant pour la liberté

Le texte suivant, paru dans le "Judisk Häxprocess i Sverige" est du professeur Faurisson, le chercheur révisionniste le plus renommé aux côtés de l'Américain Arthur Butz. Faurisson a été professeur de Littérature française et critique littéraire à l'Université de Lyon. Il a produit plusieurs articles et plusieurs livres. Il s'occupe de la question des chambres à gaz depuis les années 60. Ses recherches donnèrent l'impulsion pour effectuer des expertises qui prouvèrent l'impossibilité technique par les lois naturelles des prétendus gazages d'Auschwitz. Dans ce texte, Faurisson dénonce le "saint" numéro 1 du sionisme international, l´escroc Elie Wiesel, comme un menteur malade et un propagateur de haîne notoire. Nous nous sommes servis de la brochure publiée par "Journal of  Historical Review" (Post Office Box 2739, Newport Beach, CA 92659, USA) :

"Ahmed Rami, le combattant pour la liberté marocain qui participa en tant que jeune officier à deux tentatives de putsh contre la dictature de la royauté corrompue de son pays, arriva comme réfugié politique en Suède.

Lorsqu'il arriva en Suède, il crut avoir réussi à atteindre un pays utopique où la démocratie sociale était une réalité, comme on pouvait le désirer à juste titre : avec une sécurité sociale gratuite, un soin permanent des personnes âgéespour tous, ainsi qu'une liberté de pensée complète, rafraîchissante.

Il voulait naturellement poursuivre son combat pour son idéal : la liberté et la justice, par sa parole et ses écrits, en tant que citoyen suédois.

Dans plusieurs livres et par le biais de ses émissions sur Radio Islam qu'il avait créée, il exprima des arguments en faveur des droits des Arabes opprimés en Palestine et s'opposa aux valeurs sionistes d'Israël.

Mais il n'avait pas compté avec la puissance sioniste dans les medias suédoises et il fut bientôt accusé de "manque de  respect envers le groupe ethnique juif" et condamné à une peine d'emprisonnement de 6 mois !

Il ne passa pas sous silence l'offense à la liberté de pensée infligée par les puissants, au contraire, il dénonça dans un livre ce procès en sorcellerie dans notre temps moderne. En voici un passage ici traduit en français:"

LE PROCES EN SORCELLERIE INTENTE A RADIO ISLAM

En 1977, Radio Islam commença à émettre sur ondes courtes à Stockholm sous ma direction. Son but déclaré était d'informer sur la question palestinienne et de permettre la discussion sur des thèmes tabous du sionisme, l'usurpation et l'occupation juives de la Palestine.

Le judaïsme avec ses revendications politiques sur la Palestine et ses lobbys politiques repose en fait sur une idéologie politique, c'est évident. Le judaïsme joua un rôle tout à fait prépondérant dans la fondation et la continuité de l'existence actuelle de l'état d'Israël. Il s'en suit que les juifs sont des acteurs politiques sur la base de leurs organisations représentatives et par leur soutien à Israël. Pour cette raison, Israël et le judaïsme qui lui est associé doivent être examinés et soumis à une analyse sérieuse par leurs adversaires.

Dès le début, je poursuivais le but très ambitieux de faire de Radio Islam un forum pour le dialogue et la compréhension mutuelle de la Chrétienté, de l'Islam et du judaïsme. Pour atteindre ce but, j'avais interviewé sur mes ondes des leaders et des défenseurs connus des différentes églises et communautés, comme l'archevêque du diocèse de Stockholm, le directeur des programmes religieux de la Radio suédoise, Krister Hedin, et Soeur Marianne du couvent d'Alsike.

Soeur Marianne fut victime d'une campagne de sorcellerie haineuse menée par les medias dirigées par les sionistes à cause de sa position claire et courageuse en faveur de la justice au Proche Orient.Cette femme pieuse qui avait été considérée comme une sainte auparavant par les medias suédoises, fut bannie de facto de ces mêmes médias après son interview à Radio Islam. Un peu avant cet entretien,lors d'un sondage qui devait déterminer quelles sont les personnalités les plus influentes sur l'opinion publique, elle était arrivée en deuxième position après le Ministre de l'Etat.

J'avais désiré également avoir un entretien avec le rabbin supérieur émigré des USA à Stockholm, Morton Narrowe, au cours duquel je l'invitai à débattre sur les questions d'intérêts communs dans une émission sur Radio Islam. Pourtant la seule chose que je pus obtenir de ce leader juif fut une lettre laconique dont le contenu consistait en une seule phrase : "Je n'ai pas de temps à vous consacrer".

Ainsi le rabbin refusa de se mesurer dans un combat oral avec ses adversaires politiques parce qu'il ne voulait leur accorder aucun débat dans les medias habituellement dominées par les sionistes Par ce comportement prétentieux, il prouvait que les sionistes n'ont pas l'intention de se laisser entraîner dans un dialogue constructif et civilisé concernant le conflit palestinien.Les autorités sionistes ne se sentent à l'aise que là où des monologues stériles sont tenus par des sympathisants. Si un débat a lieu dans les medias occidentales sur la question palestinienne, on s'assure au départ que les participants sont des amis d'Israël, qu'ils soutiennent Israël et ne souhaitent que du bien à l'état hébreu.

On ne peut donc pas être un adversaire d'Israël ! Par exemple, une "critique" de l'invasion du Liban par Israël peut, lors d'un tel débat fictif entre sionistes et amis des sionistes, être justifiée et excusée car elle "fait du tort à Israël et menace son existence ainsi que sa morale."

Le conflit entre l'état juif et les Arabes est très rarement vu dans la presse occidentale du point de vue des Arabes et de leurs intérêts. Ce conflit représente un puzzle compliqué dans lequel la partie arabe reste tout à fait ignorée dans le monde occidental. Seule la sécurité d'Israël - jamais celle des Arabes ! -est prise en compte et provoque du souci. Les "groupes palestiniens" eux-mêmes en Suède, au sommet desquels se trouvent quelques trotskystes juifs et d'autres radicaux de gauche, ont publié une déclaration publique suivant laquelle ils s'inquiétaient de la morale d'Israël à cause de la politique de Shamir- si tant est que l'état d'Israël puisse posséder quelque chose qui s'apparente à une morale !

Au milieu de ce débat stérile dû à la propagande sioniste, tout à coup, Radio Islam fait entendre sa voix ! Sans doute les circonstances décrites furent - elles la cause que Radio Islam a pris la liberté d'éclairer l'histoire du sionisme autant que celle de la Palestine d'une façon critique et ce, dans la perspective inhabituelle pour les Suédois, du point de vue islamique et arabe. Radio Islam parle des intérêts et de la sécurité des Palestiniens, des Arabes et des musulmans.

Etant musulmans et victimes du sionisme, les Palestiniens et Arabes rejettent en bloc la version juive qui est présentée sur le conflit palestinien. D'après cette version juive, l'existence même d'un peuple palestinien est niée de sorte qu'aux Palestiniens chrétiens et musulmans sont refusés les droits de l'homme légitimes.

Dans ses programmes, Radio Islam reflète le nouveau mouvement de réveil islamique et fait sienne sa prise de position. Chaque reconnaissance de l'état colonisateur d'Israël est désigné comme la reconnaissance du viol et de l'occupation de la Palestine par les juifs. (Le ministre suédois des Affaires Etrangères, Sten Andersson, a désigné le président de l'Irak de "voleur". Quel politicien suédois aurait le courage de désigner un leader israélien de "voleur" quoique Israël soit aujourd'hui le plus grand état gangster du Proche Orient ?)

La supériorité militaire des juifs et l'infériorité technologique des musulmans sont des phénomènes provisoires qui peuvent s'expliquer par des circonstances historiques déterminées. En principe, il n'y a qu'une seule solution au problème d'occupation et de colonisation et c'est la décolonisation !

Dans tout conflit entre juifs et non juifs, que ce soit en Palestine ou ailleurs, il y a au moins deux partis. Dans le domaine politique des mass media ou de l'histoire écrite, on doit se tenir au courant des versions émanant des deux côtés et s'informer sur les droits, l'histoire et les points de vue des deux camps.

Si dans les temps anciens il était d'usage que les vainqueurs écrivent l'histoire des anciens royaumes sous forme de contes et de légendes a pris fin avec l'histoire moderne dont nous pouvons situer le début sous Ibn Khaldoun qui séparat l'histoire des "histoires"

Dans le cas du conflit actuel, on se comporte de telle façon que les juifs vendent leurs légendes religieuses juives comme "histoire". Le judaïsme représente un anachronisme, reliquat de la nuit des temps !

Pour obtenir une paix juste et durable, il est tout à fait indispensable de corriger la version de propagande sioniste de l'histoire qui est en cours, de la mettre en question et finalement de la rejeter. Il s'agit là des fondements mêmes de la liberté de pensée et de recherche. L'histoire ne peut être avilie parce que au service de la politique et être compressée dans un corset de paragraphes. Il n'existe pas d' "histoire sainte". Une histoire digne de ce nom ne peut pas être transformée en croyance religieuse.

On ne peut pas interdire à des gens et à des chercheurs habituels de poser des questions, d'entreprendre des recherches et de discuter certains thèmes historiques et politiques. Les méthodes scientifiques doivent pouvoir être utilisées dans tous les domaines de la recherche historique et politique, indépendamment de l'hégémonie et de la supériorité militaire d'Israël.

Si la supériorité militaire actuelle des juifs empêche une solution pacifique, civilisée, rationnelle et juste du conflit palestinien, alors, on doit au moins se préoccuper de poser correctement le problème. Mais si les medias et l'histoire sont aux mains des juifs, la présentation du problème du même coup est par conséquent déformée

Pour paraphraser un mot célèbre de de Gaulle après la première victoire des Allemands en France : "Les musulmans ont perdu une bataille mais pas la guerre. La résistance contre l'occupant est un droit légitime, oui, même un devoir pour toutes les communautés jetées sous la domination coloniale".

La chasse aux sorcières contre Radio Islam illustre parfaitement le terrorisme intellectuel juif. Aussitôt que quelqu'un fait montre de courage ouvertement contre un tabou sioniste pour démolir ou critiquer radicalement le sionisme, le lobby juif bat le rappel de ses amis et des amis de ses amis pour faire taire la voix du gêneur.

Pour les sionistes, Radio Islam était un phénomène entièrement nouveau puisque quotidiennement un quelconque ami des Arabes avait le courage de parler sur les ondes, en suédois, de la concentration du pouvoir juif dans le monde occidental et de leur soutien à l'occupation barbare de la Palestine !

Qu'on se représente la scène : un musulman qui exerce son droit garanti par écrit de l'expression libre d'opinion et qui réellement le revendique !

De la même manière que les medias sionistes avaient mobilisé l'opinion publique en 1989 pour défendre le malheureux Salman Rushdie, les sionistes mobilisèrent peu après les intellectuels sur cette affaire, les cliques médiatiques ainsi que la justice pour mettre une muselière à Radio Islam.

L'éminent trompettiste de la propagande sioniste, Elie Wiesel, fit jouer ses batteries. Dans un article du journal l' "Express", il appela les medias et les auditeurs à boycotter Radio Islam et à l'assigner devant un tribunal.

La campagne de sorcellerie intentée contre Radio Islam commença dès les premières émissions. De toute la Suède,des centaines de plaintes affluèrent vers le Ministère de la Justice. Un "auditeur" juif de Göteborg (loin de Stockholm de 350 Km) où il était impossible de capter les émissions de Radio Islam, fit paraître une plainte de douze pages pleines avec citations tirées de l'émission de Radio Islam !

Partout, même aux Etats Unis, des délégations juives dansèrent devant les ministères de la Justice pour demander la fermeture immédiate du poste émetteur. Déjà en 1987, nous avions été sérieusement attaqués à la télévision par l'autorité sioniste, Per Ahlmark, un Suédois converti au judaïsme et on m'avait interdit le droit de réponse.

Le 27 janvier 1988, le journaliste Sune Olofson écrivit dans le journal "Svenska Dagbladet" ce qui suit : "Le ministre de la Justice hans Stark connaît le contenu des émissions de Radio Islam. Les personnes et organisations suivantes lui ont fait part de leur préoccupation : Gabriel Romanus, le Comité suédois contre l'anti sémitisme, Stefan Meisels, le Conseil central de la communauté juive, Gabriel Stein, l'ADL de même que le politologue Svante Hansson, résidant à Paris. Ils veulent tous arrêter Radio Islam."

Le Chancelier de la Justice Stark dit au journal "Svenska Dagbladet" : "Dans les émissions de Radio Islam, a lieu un débat sur la question palestinienne et nous devons pouvoir le tolérer. De telles questions ne peuvent être dissimulées en aucune manière. C'est ce que nous pourrions faire de plus dangereux."

Svante Hansson a examiné soigneusement pour le compte de la communauté juive les émissions de Radio Islam. Le représentant israélien auprès de l'ONU à New York, critiqua le gouvernement suédois dans un entretien public avec Per Ahlmark paru dans le journal sioniste suédois l' "Express" parce qu'il tolérait cette station de radio islamique.

Elie Wiesel, le prédicateur ambulant sioniste et le survivant professionnel de l' "Holocauste", plein de haine, s'en prit à moi dans l'Express ainsi que dans des journaux sionistes américains.

La loge franc maçonne juive du B'naï Brith tint en 1989 un congrès à Stockholm avec 500 participants, au cours duquel elle prit position contre Radio Islam derrière la campagne sioniste.

Puisqu'il m'était impossible de placer un mot dans les medias dirigées par le sionisme, j'ai publié trois livres : "Vad är Israël ?", "Israëls makt i Sverige" et "Ett liv för frihet". En 1988, le ministère de la Justice capitula finalement sous la pression juive devant leurs désirs et décida de porter plainte contre moi

Per Ahlmark, le porte - parole suédois numéro 1 des sionistes, déclara, le 31 mars de cette année-là, dans le journal "Sydsvenska Dagbladet" que la campagne contre Radio Islam avait conduit "à une victoire pour nous. Nous avons enfin réussi à avoir les autorités de notre côté !"

Le point d'accusation était : "outrage à un groupe ethnique juif ". J'avais ouvertement fait sentir mon mépris pour l'occupation juive de la Palestine. On déposa aussi une plainte pour mon livre "Vad är Israël ?", entre autres parce que j'avais fait une caricature qui comparait l'ancien ministre des Affaires étrangères des Etats-Unis Kissinger aux nationaux socialistes. "Par là, Ahmed Rami avait blessé le peuple juif en la personne de Kissinger"!

En plus du livre "Vad är Israël ?", les plaintes s'étendirent à 64 citations tirées des émissions de Radio Islam. Le procès commença le 5 septembre 1989 et dura plus de deux mois, en fait jusqu'au 14 novembre.Ce fut probablement le plus long procès de l'histoire suédoise. Tous les passages du programme furent joués devant le jury et les juges sur bande magnétique. Un acteur, Leif Stålhammar, lut le texte concerné de "Vad är Israël ?".

L'accusation avait appelé 4 témoins à la barre :

a) Le grand rabbin Morton Narrowe. Celui-ci approuva, entre autres, le fait que des soldats israéliens avaient fusillé des enfants palestiniens lors de l'Intifada parce que "les pierres que les enfants jettent sur les soldats juifs sont trop grosses." Le pieux rabbin montra avec les mains la grosseur présumée des pierres.

b) Le professeur en médecine juif Georges Klein. Un des arguments présenté comme témoignage fut que beaucoup de survivants juifs de l' "Holocauste" avaient souffert d'un traumatisme psychologique parce qu'ils avaient écouté les émissions de Radio Islam ! Le profeseur Klein se présenta lui-même comme une "victime de l' "Holocauste" donc comme un "exterminé". Il se lamenta : "Hitler nous a volé la vie par son holocauste et à présent Rami veut nous voler notre mort puisqu'il conteste cet holocauste."

c) L'historien pro-sioniste Jörgen Weibull donna le témoignage suivant : la critique d'Ahmed Rami contre les juifs était "inspirée par le nazisme et l'antisémitisme" et "la critique du judaïsme de Rami concordait tout à fait avec la critique du judaïsme par Hitler. Par conséquent le livre de Rami "Vad är Israël ?" devait être interdit comme avait été interdit "Mein Kampf" d'Hitler."

Les citations qui étaient selon le professeur Weibull inspirées d'Hitler étaient en fait des citations de l'Ancien Testament ainsi que des citations sur les juifs qui provenaient de Karl Marx, de Jésus, de Luther, de Voltaire, de Mahomed et d'autres personnalités et qui avaient été reprises par Radio Islam. Weibull objecta alors que les citations anti-juives de Karl Marx avaient été inspirées par Hitler ! On voit qu'un professeur d'histoire peut tenir en réserve toutes sortes de surprises et qu'on peut attendre de lui de nouvelles connaissances scientifiques fort intéressantes !

d) L'ancien évêque, ami des sionistes, Krister Stendahl, professeur émérite des Universités de Boston et d'Harvard. Il fut appelé de Boston à Stockholm pour témoigner contre Radio Islam. Stendahl fit valoir entre autres, que l'interprétation de Rami de l'Ancien Testament qui faisait partie de sa critique d'Israël, était fausse et criminelle ; seuls les juifs possèdent le droit de se définir eux-mêmes et d'interpréter leur Ancien Testament !

Suivant cette contre-logique, les nationaux-socialistes seuls pourraient interpréter leurs propres textes et expliquer leur idélologie ! L'auto-définition des juifs ne contient-elle pas aussi le "droit" de revendiquer la Palestine, d'opprimer le peuple palestinien et de le détruire si besoin ? Cette auto-définition des juifs n'est-elle pas déjà une déclaration de guerre contre le peuple musulman et un acte d'agression contre les Palestiniens ?

En tant qu'ancien évêque de Stockholm, Krister Stendahl affirma que l'écrit de Luther sur les juifs et ses mensonges, de même que les thèses qui y étaient exprimées étaient une honte pour la chrétienté ! Le luthéranien Stendahl se montra pour l'auto-définition sioniste qui qualifie le sionisme de "mouvement de libération du peuple juif".

La définition par Radio Islam s'exprime, au contraire, un tout petit peu différemment : nous définissons le sionisme comme "une doctrine qui justifie l'annexion d'un pays étranger". Cette définition qui ne s'accorde absolument pas avec celle des sionistes indigna Stendahl

Plus loin, Radio Islam dit que la religion juive légitime le génocide des Palestiniens qui représentent une partie du monde arabe et de l'humanité en général et que le sionisme est un sous produit raciste, nationaliste et colonialiste du judaïsme.

Il tend à réaliser un commandement qu'on trouve dans le judaïsme et ses écritures saintes, dans la Torah et le Talmud,à savoir : réaliser dans les faits le "retour", de la "diaspora" dans la "terre promise". Le proverbe "L'an prochain à Jérusalem" comme les termes "retour", "diaspora", "terre promise" jouent un rôle central dans la religion juive.

Le plaignant appela Krister Stendahl à Stockholm pour qu'il puisse prouver que "l'interprétation de Rami de la bible était inepte !"

La défense produisit deux témoins : le professeur Jan Hjärpe de l'Université de Lund et le professeur Jan Bergman de l'Université d'Uppsala. Le premier dit entre autres, devant le tribunal, que les points de vue exprimés par Rami apportaient la position anti-sioniste dans le débat entre la Palestine et les juifs.

Bergman fit savoir que 6 membres féminins du parlement de tous les partis représentés au gouvernement avaient demandé que lui, le professeur Bergman, écrive la préface d'une nouvelle traduction suédoise de l' Ancien Testament de même que ses commentaires sur l'image de la femme dans la bible juive

Les réactions du lobby juif ne se firent naturellement pas attendre. Le 2 mars 1990, la feuille juive "I Dag" écrivit : "Les organisations juives sont révoltées par cette proposition. Jackie Jakubowski, rédacteur du journal "Judisk Krönika" (Chronique juive) dit :

"C'est comme si on demandait aux Nazis d'écrire un chapitre sur la deuxième guerre mondiale. Le fait qu'un antisémite du Reichtag soit proposé pour faire des commentaires sur un des textes les plus sacrés des juifs constitue une énorme provocation. Le professeur Bergman a soutenu Radio Islam durant le procès. Maintenant il s'engage davantage et reconnaît ouvertement son antisémitisme."

Jakubowski est très bien placé pour faire de la propagande et pour parler de "révolte" et de "consternation" ! S'il désigne le professeur Bergman comme antisémite, c'est totalement inexact ! Il s'agit ici d'une truc éculé utilisé depuis belle lurette par les sionistes à l'aide duquel on diffame, faute de meilleurs arguments, les adversaires des sionistes et ce faisant on occulte la vérité sur ce qui se passe aujourd'hui en Palestine. Celui qui dit un mot contre les sionistes et leurs mensonges dans le monde occidental est tout de suite estampillé comme "antisémite".

Durant le procès qui m'était intenté, le gouvernement israélien envoya une dame haut placée du Mossad,organisation terroriste d'espionnage, en Suède. Elle s'appelait Hadassa Ben Itto et devait instruire le plaignant Per Håkan Bondestam sur les méthodes efficaces à utiliser pour réduire au silence Radio Islam.

Bondestam qui représentait au procès le Ministère de la Justice ne fit aucun mystère de sa partialité scandaleuse puisqu'il avait participé pendant le procès à un rassemblement sioniste organisé durant le congé du 4 octobre 1989 par les politiciens israéliens au centre juif de Stockholm.

Hadassa Ben Itto révéla après sa visite en Suède dans une interview accordée à la radio israélienne qu'elle avait invité le plaignant suédois en Israël où il devait participer à un cours sur le "combat contre l'antisémitisme" auquel des amis des sionistes de toute l'Europe ainsi que des USA avaient été conviés.

Je protestai clairement conte le fait qu'un plaignant se soit engagé politiquement durant le procès. Il rectifia le 5 octobre affirmant qu'il avait seulement voulu "s'informer". Pourquoi cet individu n'a-t'il visité aucune mosquée ni aucune ambassade arabe s'il leur accordait autant de valeur pour "s'informer" ? Pourquoi n'a-t-on pas envoyé le plaignant en Iran où il aurait pu s'informer sur la vision islamiste du cas Rushdie ?

L'accusateur principal s'était laissé égarer consciemment ou inconsciemment. Par ce fait il avait perdu son indépendance et entaché son honnêteté.Il s'était laissé manipuler par un certain lobby contre un adversaire politique. De cette manière, le jury ainsi que les juges ont été mal informés par de fausses informations qui lui ont été transmises par la machine de propagande sioniste et la propagande sioniste les avait transformer en point d'accusation contre moi



PARAGRAPHES CONTRE ARGUMENTS

Dans le monde occidental, les sionistes se servent de différentes lois formulées de façon nébuleuse et de formules toutes faites comme "incitation à la haîne contre une ethnie" ou comme en suédois : Hets mot folkgrupp, c'est à dire "provocation contre un groupe en raison de son origine ethnique ou raciale" afin d'étrangler toute critique de leurs objectifs. Dans beaucoup d'états occidentaux, des lois adaptées ont été promulguées sous la pression sioniste durant la période qui a suivi la deuxième guerre mondiale. Dans pratiquement tous les pays où ils exercent leur influence, que ce soit à l'Est ou à l'Ouest, les sionistes ont fait promulguer des lois conformistes.

Depuis longtemps déjà, les sionistes avaient ainsi forgé des armes au moyen desquelles ils pouvaient réduire leurs adversaires au silence. Nous voyons ici combien le plan concocté dans les Protocoles des Sages de Sion est scrupuleusement suivi. Des lois qui musèlent sont votées afin d'interdire la parole à celui qui oserait critiquer l'état d'Israël et sa cruelle domination sur la Palestine.

On doit reconnaître sans ambage que les sionistes mettent en pratique leurs lois d'une façon vraiment diabolique. Grâce à elles, ils ne font pas qu'empêcher toute critique à leur encontre mais comme manoeuvre de diversion, on applique ces mêmes lois à d'autres minorités sans existence politique effective tels les tziganes.

Ainsi les sionistes peuvent se poser comme de véritables humanistes qui sont hors de tout soupçon de s'adonner à des préjugés racistes et autres vulgaires parti pris. Ce sentiment de supériorité des juifs à ce sujet est psychologiquement de grande importance pour beaucoup de Goïm.

Voici maintenant un autre coup génial des sionistes. Ils ont exlu de la protection par leurs lois antiracistes deux groupes de population : les Allemands et les musulmans, les Arabes et les Palestiniens. Ainsi le goy peut se féliciter de son manque d'à priori envers les juifs et les tziganes et laisser le champ libre à sa haine envers les Allemands et les musulmans.

Les mass media controlées et dirigées par les sionistes ont pour mission d'orchestrer la propagande juive. Nous en avons la confirmation chaque jour sous les yeux. Jour après jour, nous sommes, par le biais des media asservies, confrontés à des descriptions pleines de haine envers les Allemands. Qu'on s'imagine que ce soient les juifs qui soient présentés de cette façon dans des films et dans la presse ! Les employés des PTT devraient faire des heures supplémentaires pour arriver à endiguer le flot de lettres de protestations contre la haine raciale !

On excite de la même manière la haine envers les musulmans, les Arabes et les Palestiniens.

Le 24 mai 1989, le grand journal suédois "Dagens Nyheter" donna le compte rendu d'un discours sous le titre "L'apartheid musulman se propage". L'Islam représenterait une menace contre notre idéal d'égalité non encore réalisé et les musulmans sont décrits comme un groupe possédant une grande influence politique. "Les buts qu'ils cherchent à atteindre dépendent du degré de résistance qu'on leur oppose." Il s'agit ici d'un bel exemple du "nous" et du "ils" idéologiques que les sionistes condamnent pourtant sans relâche.

Plus loin, il est écrit : "La loyauté religieuse a chez eux une place prépondérante sur la loyauté envers leur nouvelle patrie." On reproche aux musulmans leur double loyauté. Qu'on agisse seulement ainsi vis à vis des juifs, cela serait qualifié d'ignominie !

Quelle hypocrisie répugnante ! L'article se termine sur l'affirmation que les musulmans veulent vivre en Suède selon leurs propres coutumes. Qu'on remplace dans cette affirmation les termes "musulmans" et "Islam" par "juifs" et "judaïsme" ! Nous nous trouverions devant la plainte qui a conduit au procès contre Radio Islam et mon livre "Vad är Israël ?" (Qu'est-ce qu'Israël ?)

Où se situe la différence entre mon livre et celui de Salman Rushdie ? Mon livre critique l'état oppresseur d'Israël et son idéologie. Pour cela, il doit, il faut, il est absolument évident qu'il doit être interdit ! Le livre de Rushdie "Les Versets sataniques" raille les musulmans opprimés, faibles et humiliés. Pour cela, il doit être, au nom de la liberté de pensée, loué et soutenu !

LA GLOIRE FUTURE DE SION

Après que la Cour de Justice m'ait acquitté en 1989 pour mon livre "Vad är Israël ?" et qu'elle ait déclaré au terme d'un procès qui dura deux mois que les plaintes à mon encontre étaient irrecevables, les sionistes se mirent en effervescence avant le procès important qui devait se passer le 4 septembre 1990 devant le tribunal de l'Oberland contre ma personne.

Le but principal de ce procès était de faire taire Radio Islam et moi-même. Les sionistes voulaient créer un précedent pour détruire la liberté de pensée sur toutes les questions concernant la puissance juive et le sionisme.

Il est totalement impossible de défendre Israël dans un débat ouvert et libre ! Ma condamnation devait conduire à ce que les discussions publiques ne soient autorisées que dans des conditions dictées par les sionistes. Leur but était de donner le coup de grâce à la liberté d'expression et de pensée en Suède, cette liberté qui les gêne tellement ! Un débat libre n'admet pas une concentration des forces politiques, culturelles et médiatiques dans les mains des seuls sionistes. Une parole libre est l'ennemie mortelle de la dictature juive.

Le procès commença comme déjà dit le 4 septembre 1990 à Stockholm. Il dura 5 semaines et eut un très grand retentissement jusqu'au delà des frontières de la Suède. Il n'est pas exagéré d'affirmerqu'à ce procès, la direction a "été donnée pour l'avenir de la démocratie en Suède. Ma condamnation signifiait que les forces juives qui désirent créer une dictature totalitaire se heurtaient à peine à une certaine résistance. Il ne s'agissait pas seulement de défendre la domination sioniste en Palestine mais aussi leur pouvoir occulte en Occident et donc en Suède.

Pour Radio Islam et moi, il ne s'agit pas uniquement de la libération de la Palestine mais aussi de la libération de la Suède puisque nous luttons pour la démocratie, la liberté, l'égalité et les droits de l'homme pour tous les citoyens et que nous nous opposons à toute discrimination.

La liberté de pensée et l'égalité sont aujourd'hui menacées au premier chef par la franc maçonnerie dirigée par les juifs. Les sionistes essaient d'imposer dans le monde entier le modèle israélien de la "liberté de pensée" sélective et raciste dont les juifs et leurs complices profitent exclusivement.

Au procès, il ne s'agissait pas moins que d'exiger le droit d'exprimer librement son point de vue et de pouvoir dire la vérité. Personne ne m'a reproché la diffusion d'informations inexactes. Ma documentation s'appuie en premier lieu sur ceux qui se sentent insultés, c'est à dire les sionistes. Personne non plus n'a soutenu que j'avais raconté des absurdités sur des questions vaines. Les thèmes de mon livre sont : le pouvoir des sionistes comme le conflit du Proche Orient. J'y ai traité de ces sujets et des questions qui s'y rapportent. Seuls des gens peu consciencieux pourraient hésiter à classer ces questions parmi celles qui sont les plus importantes pour le destin de l'humanité. Il s'agissait de défendre la justice, la liberté, la démocratie de même que le droit des peuples et des gens face à l'injustice et à la barbarie.

Me suis-je rendu coupable d'autres infractions qui justifieraient une condamnation ? Ai-je répandu des choses contraires aux bonnes moeurs ou qui représenteraient un danger pour l'état ? Ai-je blessé l'intégrité morale de certaines personnes ? Non ! Rien de ce genre ne me fut reproché.

Il s'ensuit que mon unique crime avait consisté à dire la vérité. J'ai sorti de l'ombre des documents qui appartenaient aux sionistes eux mêmes. Pour cela, j'ai été cité devant le juge ! J'ai osé dire tout haut que le roi était nu !

Pour trouver quelque chose d'analogue à ce procès intenté contre moi, nous devons retourner au temps de l'Inquisition et aux procès de sorcellerie de la même époque qui eurent lieu en Europe du Nord protestante.

Comme procès semblable, il y eut le procès Dreyfuss qui a soulevé des tourbillons sans fin. Ceci malgres que Dreyfuss était coupable. Ce sont les juifs - Dreyfuss était juif- qui ont voulu annuler la première décision puis qui ont fait traîner le procès jusqu'à l'acquittement.

Cependant il y a une différence importante : il y avait alors encore en France des tribunaux libres et avant tout une presse libre. L'influence des juifs  y était déjà très forte mais elle était plus cachée au  public. Ces conditions n'existent plus du tout en Occident à nottre connaissance. Toute la puissance politique, culturelle, juridique et tout spécialement médiatique se trouve aux mains des juifs.

Comme exemples vécus en France, on trouve les nombreux procès concernant l'égalité des droits menés contre le Professeur Faurisson.

Faurisson est très estimé en tant que savant et professeur d'Université. Par ses travaux de recherche, il a prouvé avec une exactitude scientifique que le journal d'Anne Franck était un faux grossier. En outre il a démontré que l'affirmation suivant laquelle les Allemands auraient planifié la destruction des juifs et auraient exterminé 6 000 000 de juifs principalement dans des chambres à gaz était complèteùment fausse.

Personne ne peut contredire Faurisson d'une manière purement scientifique. Ses thèse reposent sur des documents invulnérables. Mais certains auraient été contents si Faurisson avait gardé ses connaissances pour lui. Cela Faurisson ne le fit pas. Il dit publiquement la vérité. Cela provoqua un chahut de tous les diables. (au sens propre comme au sens figuré) Les sionistes firent en sorte qu'il predit sa place à l'Université. Il fut agressé plusieurs fois dont une fois si gravement qu'il faillit mopurir, et sa famille fut accablée de toutes sortes d'embêtements. Bref, on connaît les méthodes sionistes ! Bien sûr il fut trainé plusieurs fois devant les tribunaux. Cependant en dépit de leurs efforts et de leur grande influence sur les gens de la Justice, les sionistes n'arrivèrent pas à faire condamner Faurisson pour la divulgation de fausses informations. Mais il fut condamné pour avoir osé divulguer la vérité.

L' "affaire Faurisson" commença en France fin 1978 et n'est toujours pas terminée. Un aspect intéressant de l'affaire est qu'aucuh Français n'est censé ignorer l'Inquisition du Moyen Age ou les procès en sorcellerie du 17e siècle, le procès Dreyfuss et les méthodes utilisées aujourd'hui par les "dictatures". Et pour cause ! Ces désinformations sont propagées par les juifs ! Par contre un Français ou un Suédois même s'il occupe une situation importante au point de vue social ne connaît rien du cas Faurisson et du cas Rami. Et pourtant là, il s'agit de deux procès très importants de notre époque ! L'explication se trouve naturellement dans le fait que les sionistes ont créé un blocus total sur ces affaires dans les medias.

Les medias suédoises ont obéi servilement aux ordres que leur ont donnés leurs maitres sionistes. Elles n'ont donné sur les procès contre Faurisson et Rami qu'une image grossièrement déformée. Un écrivain sioniste suédois, Per Wästberg, marqua au fer rouge Faurisson avec le terme d' "antisémite mal famé".

Pour ce Per Wästberg, il ne s'agissait pas d'un poète anonyme mais du président de longue date du Pen Club international des intérêts des écrivains. Il profita ainsi d'une organisation très influente pour répandre ses mensoges sur une personn qui lui était livrée pieds et mains liées.

Ahmed Rami

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