Le professeur Robert Faurisson
devant le tribunal juif !
Une nouvelle fois, le professeur Robert Faurisson a comparu le mardi 11 juillet 2006 devant la XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris dans un nouveau procès politique juif qui juge un professeur et chercheur français uniquement pour les résultats de ses recherches et pour ses opinions. Qui "forme", ou - à vrai dire - qui déforme - ces "juges" ou cette "justice"? Qui gére ces procès médiévaux juifs, à l´aube duvingt-et-unième siècle, pour appliquer une vieille "justice" juive déjà vue en action dans le procès qui a condamné Jésus et gracié le voleur Barabbas !? Pour répondre à cette question, il convient de savoir que cette audience du 11 juillet 2006 était présidée par Nicolas Bonnal, vice-président du Tribunal de grande instance de Paris. Qui est ce Nicolas Bonnal ? Selon une note officielle du CRIF (Conseil Représentatif des Institutions Juives de France) en date du 5 juillet 2006: "Pour la seconde année consécutive, l´Ecole Nationale de la Magistrature (ENM ) a convié Marc Knobel (un activiste extrêmiste juif du CRIF ), à participer à la formation continue de l´ENM, qui porte cette année sur la 'Cybercriminalité et les atteintes à la dignité humaine en Europe' et que "Une cinquantaine de magistrats français assistent à cette formation" ... dont ledit Nicolas Bonnal, " juge" ainsi juivement juridiquement déformé en policier juif de la penssée! Un véritable scandale "judiciaire", et un vrai massacre juif de la justice en France! Pour plus de détails voici , trouvé sur Internet, un communiqué du professeur Robert Faurisson daté du 8 juillet 2006, relatif à ce sujet :
Professeur Robert FAURISSON 8 juillet 2006
Vais-je comparaître devant un juge formé par le CRIF et le Centre Simon-Wiesenthal ?
Le CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France) est présidé par le banquier Roger Cukierman, qui a autrefois exercé de hautes responsabilités au sein du groupe Edmond de Rothschild.
Dans un communiqué en date du 5 juillet 2006, le CRIF rappelle clairement qu’il assure une « formation » des magistrats européens ; or, au nombre desdits magistrats qui ont assisté à ces stages de formation, dirigés par Marc Knobel, attaché de recherches au Centre Simon-Wiesenthal, le CRIF cite Nicolas Bonnal, qui, dans trois jours, va présider le tribunal devant lequel je suis cité à comparaître, et le procureur adjoint François Cordier.'D’après l’Annuaire de la magistrature 2000 (p. 476), Nicolas Bonnal, né le 2 novembre 1960 à Plaisir (Yvelines), possède un « diplôme de l’Institut d’études politiques de Paris ».
Le mardi 11 juillet 2006, à 13h30, il présidera le tribunal de la XVIIe chambre correctionnelle de Paris (métro : Cité), où je comparaîtrai pour avoir accordé, le 3 février 2005, un entretien de caractère révisionniste à la station de télévision iranienne Sahar 1.
En la circonstance, le délateur a été le CSA (Conseil supérieur de l’audiovisuel), présidé par Dominique Baudis.
François Cordier, né le 27 juillet 1952 aux Sables-d’Olonne (Vendée), possède une licence en droit et une licence d’anglais.
Le 9 mai 1995, il s’était permis de requérir contre moi une peine de trois mois d’emprisonnement ferme pour avoir publié une Réponse à Jean-Claude Pressac sur le problème des chambres à gaz. Pressac avait prétendu posséder des «éléments de preuves » de l’existence de chambres à gaz nazies.
J’avais obtenu sa comparution à l’audience. Devant un François Cordier décontenancé et une présidente, Martine Ract-Madoux, stupéfaite, le malheureux Pressac avait alors manifesté un tel désarroi devant les questions posées que les larmes lui en étaient montées aux yeux.
Peu après, Pressac signait une sorte d’acte de capitulation, dont le texte ne nous a été révélé qu’en 2000 par Valérie Igounet tout à la fin de son Histoire du négationnisme en France (Paris, Gallimard, p. 651-652).
Pressac reconnaissait, comme l’avait fait avant lui le professeur Michel de Boüard, que le dossier de l’histoire officielle de la déportation était, en fin de compte « pourri » par trop de mensonges, irrémédiablement pourri au point d’en être voué, écrivait-il, aux « poubelles de l’histoire ».
« Le CRIF partie active de la
formation des magistrats européens »Le 12 octobre 2004, le CRIF était intervenu avec efficacité auprès du CSA pour que ce dernier refuse de conventionner une télévision arabe qui, malheureusement pour elle, se trouvait déplaire aux sionistes (http://www.col.fr/breve–1778.html).
Le 7 juin 2005, sous son en-tête habituel, « Le Crif en action », il titrait : « Séminaire d’étude à l’ENM [Ecole nationale de la magistrature] : les nouveaux visages du racisme et de l’antisémitisme ». Et cette année, sous le même en-tête il vient de publier le communiqué suivant, daté du 5 juillet 2006 :
Le Crif en action
Le CRIF
partie active de la formation
des magistrats européens
05/07/06
Internet
http://www.crif.org/?page=articles_display/detail&aid=7222&artyd=2&stinfo=297.376.1467Pour la seconde année consécutive, l’Ecole Nationale de la Magistrature (ENM) a convié Marc Knobel, Chercheur au CRIF, à participer à la formation continue de l’ENM, qui porte cette année sur la « Cybercriminalité et les atteintes à la dignité humaine en Europe. »
L’apparition des nouvelles technologies de la fin du XXème siècle n’est pas sans incidence sur la délinquance tant nationale qu'internationale. Ainsi, il a été possible d’observer un double mouvement : d’une part les criminalités classiques se sont mises à utiliser, de plus en plus, les nouveaux médias et, d’autre part, sont apparues de nouvelles formes spécifiques d’activités illicites, notamment le racisme, l’antisémitisme et le négationnisme sur l’Internet. Contre ce phénomène très préoccupant et cette cybercriminalité, des réponses techniques, préventives et répressives, ainsi que juridiques existent : signature électronique, techniques d’investigation et de preuve, harmonisation des infractions, renforcement de la procédure et de la coopération internationale. Lors de ce séminaire, Marc Knobel a expliqué que les extrémistes et les fondamentalistes utilisent systématiquement et rationnellement l’Internet pour embrigader de nouvelles recrues, préparer des actions militantes, inciter à la violence ou faire l’apologie du terrorisme. Il a également parlé des autres outils et supports qui sont utilisés par les extrémistes : cassettes, vidéos, CD, DVD, jeux, disquettes, télévisions…
Une cinquantaine de magistrats français assistent à cette formation (de métropole, de Martinique, Guadeloupe, Guyane, Réunion, Polynésie Française, Nouvelle Calédonie), ainsi que des représentants des différents ministères (Justice, Intérieur…). Le séminaire est organisé sur financement de la Commission européenne et il est également ouvert aux magistrats européens, dans le cadre du Réseau Européen de Formation Judiciaire (REFJ). Une quarantaine de magistrats d’Allemagne, Belgique, Espagne, Grèce, Hongrie, Italie, Luxembourg, Pologne, République Tchèque, Roumanie, participent à cette formation exceptionnelle. Ont également participé à ce séminaire : Nicolas Bonnal, vice-président au Tribunal de grande instance de Paris, François Cordier, Procureur de la République adjoint près le Tribunal de grande instance de Paris, Brigitte Pesquie, membre du bureau des études et de l’informatique à la Direction des Affaires Criminelles et des Grâces au Ministère de la Justice et Myriam Quemener, sous-directrice de la justice pénale générale, au Ministère de la Justice.
Le CRIF constitue un Etat dans l’EtatPrétendant représenter un tiers des 600 000 juifs de France, c’est-à-dire un tiers de un pour cent de la population française, le CRIF constitue un Etat dans l’Etat. J’ai suffisamment traité du sujet dans mes écrits antérieurs pour ne pas avoir à y revenir ici (voy., par exemple, « Juivre ou mourir », 22 mars 2003 avec les additifs de 2004, 2005 et 2006).
En chaque début d’année, une quinzaine de nos ministres en exercice et un nombre considérable de représentants de l’autorité politique, judiciaire, policière, universitaire, sans compter les ambassadeurs, y compris parfois notre « ambassadeur itinérant en charge de la dimension internationale de la Shoah » (sic), se pressent au dîner casher donné par le CRIF. Là ils écoutent Roger Cukierman lancer à la face du Premier ministre et des autres membres du gouvernement français récriminations, remontrances et MENACES, précédées de flatteries.
Dans leurs propres discours en réponse, nos Premiers ministres ne manquent jamais de se confondre en remerciements et de promettre qu’ils feront plus, encore plus et toujours plus, contre l’hydre de l’antisémitisme et du « négationnisme », c’est-à-dire du révisionnisme historique.
Même des militants de l’antiracisme
dénoncent l’action du CRIFLe pouvoir du CRIF est devenu si exorbitant que même l’Observatoire du communautarisme, connu pour sa lutte
contre le racisme et l’antisémitisme, a fini par s’en émouvoir.
Le 20 mars 2004, cet observatoire, fondé en juillet 2003 par Julien Landfried, a publié le communiqué suivant :[Observatoire du communautarisme.– Informations sur la laïcité, les discriminations et le racisme. Observatoire indépendant d’information et de réflexion sur le communautarisme, la laïcité, les discriminations et le racisme - http://www.communautarisme.net index.php?action=syndication]
« Le CRIF promu gendarme du Net ? »
L’Etat peut-il déléguer certaines de ses attributions à des associations communautaires, fût-ce au nom de la lutte contre le racisme et l'antisémitisme ?
En compte rendu du troisième comité interministériel de lutte contre le racisme et l'antisémitisme, le site du premier ministre annonce ce jour un partenariat renforcé entre le ministère de l’intérieur et le Conseil représentatif des Institutions Juives de France dans la lutte contre les contenus racistes et antisémites sur la toile (1).Ce partenariat devrait notamment prendre la forme d’« une liaison Internet directe entre le CRIF, les fournisseurs d'accès et l’Office Central de Lutte contre la Criminalité sur Internet ...
pour permettre le signalement immédiat des sites racistes et antisémites et le déclenchement des investigations policières. »Nul ne contestera au CRIF une compétence spécifique en matière d’antisémitisme.
Dans le contexte particulier d’une recrudescence des violences commises à l’encontre de juifs, l’institution s’est notamment dotée d’un « service de protection de la communauté juive » dont l’action la plus visible a été la mise en place d’un « numéro vert » (2) pour recueillir le signalement des victimes potentielles.
Il peut aussi compter dans ses rangs sur l’expertise d’un spécialiste de la lutte contre les contenus racistes et antisémites sur la toile en la personne de Marc KNOBEL, attaché de recherches au Centre Simon-Wiesenthal et président de l’association « J’accuse - AIPJ ( Action Internationale Pour la Justice) » ( http://www.chez.com/aipj ).
Toutefois, et sauf à ce que cette collaboration que l’on espère fructueuse ne soit ultérieurement étendue à l’ensemble des associations antiracistes ( le cas échéant au moyen d’un dispositif adéquat de coordination ), on s’étonnera que cette décision semble méconnaître le principe de neutralité de l’Etat en confiant l’identification des contenus racistes et antisémites de l’Internet à une organisation particulière et exclusivement communautaire.
Il conviendrait, pour le moins, de s’assurer que l’association désormais délégataire (?) dispose des ressources nécessaires à la prise en compte dans ses recherches de toutes les formes de xénophobie, et surtout en manifeste la volonté.
Enfin, il n’est pas démontré que le CRIF ait exactement la même appréciation que la puissance publique sur la caractérisation des actes antisémites, si l’on s’en réfère du moins à quelques déclarations hâtives sur le sujet et à l’activisme judiciaire qu’il a récemment déployé à l’encontre de personnalités – pour un certain nombre relaxées des accusations d’antisémitisme portées contre elles – qui ne partagent pas sa vision très personnelle du conflit proche-
oriental.Quant aux esprits chagrins, ils ne pourront s’empêcher de noter qu’une telle déclaration ministérielle intervient fort opportunément à quarante-huit heures d’échéances électorales que d’aucuns prédisent mal engagées pour le parti majoritaire.
La XVIIe chambre d’Epuration ?
A Paris, pendant plusieurs années à partir de l’automne 1944, des tribunaux spéciaux ont comporté des jurés « issus de la Résistance » et donc formés, formatés ou préformatés dans le sens nécessaire pour prononcer les plus lourdes sanctions contre leurs adversaires politiques.
Appartenant déjà au camp des vainqueurs, ils jugeaient les vaincus. C’est précisément, me semble-t-il, dans l’enceinte aujourd’hui occupée par la XVIIe chambre correctionnelle que, quelques années après la fin de la guerre j’ai assisté au procès, révoltant, du milicien Pierre Gallet.
Le 11 juillet 2006, à la XVIIe chambre, je serai entendu par un juge qui vient d’être en partie formé, formaté ou préformaté par le CRIF de Roger Cukierman et par le dénommé Marc Knobel du Centre Simon Wiesenthal.
En acceptant, de leur plein gré et non en service commandé, de participer à ce stage de formation apparemment technique mais en réalité de propagande idéologique, Nicolas Bonnal et François Cordier se sont compromis avec deux officines, le CRIF et le Centre Simon-Wiesenthal, qui sont toutes deux connues pour leur extrémisme en faveur de l’Etat d’Israël.
On comprend que lesdites officines se soient hâtées de publier les noms de ces deux magistrats français qui, oublieux de leurs obligations professionnelles et morales, ont à ce point apporté leur caution à une entreprise de l’extrême droite israélienne.
Robert FAURISSON
Notes de ce communiqué
- (1) Troisième comité interministériel de lutte contre le racisme et l’antisémitisme - communiqué du Premier ministre, Paris, 18 mars 2004
http://www.premier-ministre.gouv.fr/fr/p.cfm?ref=42896&d=1- (2) 0 800 18 26 26. Numéro vert est une marque déposée de France Telecom.
Samedi 20 mars 2004. –Observatoire du communautarisme - Depuis juillet 2003 - Nous écrire 66 rue de l’Arbre sec 75001 Paris et courriel contact@communautarisme.net
"La mémoire Juive"... plat de
résistance au menu du dîner du CRIFLe 3 octobre 2006
, le tribunal de la XVIIe chambre correctionnelle de Paris a
rendu son jugement dans l'affaire de l'interview qu'on me reprochait d'avoir
accordée à un journaliste de Sahar 1 (station de radio-télévision
iranienne). L'audience avait eu lieu le 11 juillet 2006.
Je suis condamné à 3 mois de prison avec sursis, à 7 500 euros d'amende. Je
devrai en outre verser 1 euro de dommages-intérêts à chacune des trois
associations venues plaider contre moi ainsi que 1 500 euros à chacune
d'entre elles pour frais d'avocat.
J'interjetterai appel et je vous invite à venir nombreux à l'audience d'appel,
en 2007. J'y serai encore plus ferme et encore plus net qu'en première instance.
Les magistrats de Paris sont décidément à la gêne avec ces procès pour délit
de révisionnisme.
Pas moi. Ni Me Eric Delcroix, mon avocat, que je remercie de sa prestation
et que je félicite pour sa bravoure.
Robert Faurisson
Robert Faurisson commente sa condamnation
Tue, 03 Oct 2006
Parmi les divers communiqués, voici celui de l'Agence
France-Presse signé "ben/mck/bg" accompagné [entre crochets] des
rectifications du professeur Faurisson et suivi d'un commentaire:
Justice-histoire-négationnisme,LEAD
Le négationniste [non : Le révisionniste] Robert Faurisson condamné à trois
mois avec sursis
" PARIS, 3 oct 2006 (AFP) - L'ex-professeur de littérature [non: je ne suis
pas ex-professeur mais professeur d'université à la retraite et ma
spécialité était la critique de textes et documents (littérature, histoire,
médias)] Robert Faurisson a été condamné mardi à trois mois de prison avec
sursis par le tribunal correctionnel de Paris pour des propos niant [non:
contestant] la réalité de l'Holocauste diffusés sur une chaîne satellitaire
iranienne en février 2005.
M. Faurisson est également condamné à payer une amende de 7.500 euros.
M. Faurisson, 77 ans, a été reconnu coupable par la 17e chambre du
tribunal correctionnel de Paris de "complicité de contestation de
l'existence de crime contre l'humanité" pour avoir nié [non: contesté] la
réalité du génocide juif et l'existence des chambres à gaz sur la chaîne
satellitaire gouvernementale Sahar 1, le 3 février 2005.
"Il n'a jamais existé une seule chambre à gaz d'exécution chez les
Allemands, pas une seule (...). Par conséquent, ce que des millions de
touristes visitent à Auschwitz, c'est un mensonge, c'est une falsification,
c'est une tromperie pour touristes", avait notamment déclaré l'ex-professeur
de littérature [non: voyez ci-dessus] à l'Université de Lyon.
Le 11 juillet 2006, le ministère public [invoquant "Yahweh, Dieu protecteur de
son peuple élu"] avait requis de la prison assortie ou non de sursis. M.
Faurisson, qui à l'audience s'était livré à une diatribe [non: à une
défense] révisionniste en "maintenant" ses déclarations à la télévision
iranienne, encourait un an de prison et 45.000 euros d'amende.
La LICRA juive (Ligue juive internationale raciste), le MRAP juif (Mouvement
raciste juifs) et la Ligue des droits (uniquement) des juifs (LDH) étaient "partie
civile". M. Faurisson devra leur verser un euro de dommages et intérêts
[et, à chacune de ces organisations, 1.500 euros pour leurs frais d'avocat].
ben/mck/bg
Le professeur Faurisson a déclaré:
"C'est dérisoire en comparaison de ce qu'on nous a infligé, durant ces
vingt-cinq dernières années, à ma femme, à mes enfants et à moi-même.
C'est encore plus dérisoire en comparaison de ce qu'on inflige à Zündel, à
Reynouard et à bien d'autres révisionnistes français ou étrangers."
AFP-MAIL : Justice-histoire-révisionnisme-réactions
Condamnation du révisionniste Robert Faurisson: Les organisations juives la
Licra et la LDH satisfaites !!
PARIS, 3 oct 2006 - La Licra Juive et la LDH juive se sont félicitées mardi
3 oct 2006 de la condamnation à trois mois de prison avec sursis du professeur
Robert Faurisson pour des propos contstant la réalité de l'Holocauste diffusés en
février 2005 sur une chaîne satellitaire iranienne.
Ces organisations juives étaient partie civile.
Dans ce procès et M.Robert Faurisson, 77 ans, également condamné à une
amende de 7.500 euros, devra leur verser un euro de dommages et intérêts.
l'Homme (LDH) Jean-Pierre Dubois.
La loi antirévisionniste française
Par:
Jessie Aitken
9 octobre 2006La loi antirévisionniste française date du 13 juillet 1990. Elle est connue sous diverses appellations : « loi Gayssot », « loi Fabius-Gayssot », « loi Faurisson », « lex Faurissonia » ou encore « article 24bis » (de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse). Elle prévoit une peine d’emprisonnement qui peut aller jusqu’à un an ainsi qu’une amende d’un maximum de 45 000 euros pour toute personne contestant publiquement l’existence d’un ou plusieurs « crimes contre l’humanité » tels que définis et condamnés essentiellement par le Tribunal militaire international de Nuremberg en 1945-1946. A la peine de prison et à l’amende peuvent s’ajouter le versement de dommages-intérêts au profit d’associations juives ou autres ainsi que de lourds frais de publication du jugement de condamnation dans les médias ; enfin, peut aussi être prononcée la confiscation du matériel de travail et des livres et documents saisis par la police.
Il est inexact de dire que cette loi interdit la contestation de la totalité du jugement de Nuremberg. Elle n’interdit que la contestation des crimes censément commis contre « l’humanité », c’est-à-dire, d’abord et avant tout, contre les juifs. Or la portion du texte du jugement de Nuremberg qui traite de ce sujet-là n’occupe que 2% de l’intégralité dudit jugement. On reste donc libre, du moins en principe, de contester publiquement les 98 autres pour cent de ce jugement. Ne sont, par conséquent, décrétés incontestables que les seuls crimes qui auraient été commis, avant tout, contre les juifs. Saluons là un étonnant privilège accordé au bénéfice exclusif du « peuple élu » de Dieu !
Ce sont les juifs de France qui, en mai 1986, ont été les premiers à réclamer l’instauration d’une telle loi. A l’époque, l’Etat d’Israël s’apprêtait à voter une loi antirévisionniste qui allait finalement être adoptée par la Knesset deux mois plus tard, en juillet 1986. Le promoteur de la loi antirévisionniste française a été le grand rabbin de France René-Samuel Sirat. C’est sous son égide qu’en mai 1986 ont réclamé une telle loi des universitaires juifs, tel Pierre Vidal-Naquet, et des propagandistes juifs, tels Serge Klarsfeld et Georges Wellers (Bulletin quotidien de l’Agence télégraphique juive, 2 juin 1986, p. 1 et 3).
Ces juifs ont dû attendre quatre ans pour obtenir satisfaction. Un gouvernement de coalition socialo-communiste, sous la présidence de François Mitterrand, a enfin voté cette loi le 13 juillet 1990. Mais, bien avant l’instauration de ladite loi, le révisionnisme historique avait été légalement réprimé. Les motifs les plus divers étaient invoqués : apologie du crime, diffamation raciale, provocation à la haine raciale, publication d’ouvrages dangereux pour la jeunesse, dommage à autrui, etc. Par exemple, c’est pour « apologie de crime » que Maurice Bardèche a été mis en prison pour avoir publié en 1948 Nuremberg ou la Terre promise.
L’homme politique dont l’action a été déterminante pour la rédaction et pour le vote de la loi du 13 juillet 1990 est Laurent Fabius. Candidat possible, aujourd’hui, à la présidence de la République en 2007, L. Fabius est un juif, un millionnaire et un socialiste. En 1990, il était président de l’Assemblée nationale. Dans cette assemblée se trouvait un communiste assez fruste et inculte, Jean-Claude Gayssot, ministre des Transports. Ce dernier voulait présenter, au nom du Parti communiste, une loi antiraciste visant Jean-Marie Le Pen, responsable du Front national. Mais le texte de sa proposition de loi était mal rédigé. C’est alors que L. Fabius a conclu un arrangement avec son collègue communiste. Au texte mal rédigé il a substitué un texte qu’avait préparé le Parti socialiste et qui visait à la fois Jean-Marie Le Pen pour « racisme » et le professeur Robert Faurisson pour « négation de l’extermination des juifs » et L. Fabius a accordé à J.-C. Gayssot le privilège de présenter sous son nom ce projet de loi devenu, pour le coup, à la fois antiraciste et antirévisionniste. L’affaire une fois conclue entre le juif L. Fabius et le communiste J.-C. Gayssot, il restait à défendre ce projet de loi devant l’Assemblée nationale et le Sénat. La tâche s’annonçait ardue. Nombre de juristes, d’universitaires et d’hommes politiques s’élevaient contre le principe d’une telle loi, jugée stalinienne, quand, soudain, un événement providentiel en a permis le vote par la majorité socialo-communiste. En effet, le 11 mai 1990, éclatait dans la presse du monde entier le scandale de tombes juives « profanées » dans un cimetière de Carpentras, petite ville du midi de la France. L. Fabius prenait alors la tête d’une tonitruante opération de propagande destinée à faire croire que l’antisémitisme ressurgissait en France, un antisémitisme nourri par le révisionnisme. Des dizaines de milliers de manifestants, brandissant des drapeaux israéliens, allaient défiler, notamment à Paris, où – pour la première fois depuis août 1944, à la libération de Paris – on a fait sonner le bourdon de la cathédrale Notre-Dame. L’intimidation a été si forte qu’il ne s’est pas trouvé un minimum de soixante députés et sénateurs pour oser saisir le Conseil constitutionnel et lui demander si cette loi était conforme ou non à la Constitution de la République française.
Mais, une fois adoptée, la loi antirévisionniste s’est révélée d’une application laborieuse. La première condamnation a été prononcée en avril 1991, à Paris, contre le professeur Faurisson et, dans ces quinze dernières années, il est probable que le total des autres condamnations définitives prononcées, soit contre le professeur, soit contre d’autres révisionnistes, s’est élevé à une vingtaine. Les peines financières ont été parfois très lourdes et, dans ces derniers temps, diverses peines de prison ferme ont été prononcées, mais jusqu’à présent personne n’a été effectivement incarcéré en France sur le seul fondement de la loi antirévisionniste du 13 juillet 1990.
Cette loi est de nature soviétique. Elle supprime surtout la liberté de recherche. Or cette liberté-là ne peut normalement se voir assigner de limite en matière d’histoire. L’histoire des hommes est faite de milliards d’événements sur lesquels chacun est, en principe, autorisé à se poser des questions et à proposer librement son interprétation. On se demande donc comment un point, et un seul, de l’histoire des hommes, parmi des milliards d’autres, peut être ainsi mis à part et interdit de vraie recherche. Car c’est interdire la recherche que de décréter d’avance le résultat auquel le chercheur doit parvenir. Il est stalinien de dire, par exemple, à un chercheur qui étudie « le problème des chambres à gaz nazies » : « 1) Vous devrez conclure de votre recherche que les chambres à gaz nazies ont réellement existé et fonctionné bien que nous ne possédions aucune expertise criminelle établissant l’existence d’une seule de ces armes de destruction massive ; 2) Vous devrez, en outre, conclure que ces abattoirs chimiques ont eu une existence réelle dans tel camp et une existence fictive dans tel autre camp ; 3) Vous devrez enfin conclure que le total des morts juives dans la Deuxième guerre mondiale reste invariablement de six millions comme l’ont décrété ex cathedra les juges de Nuremberg sans pouvoir s’appuyer sur aucune expertise criminelle *».
Il est stupéfiant qu’une loi de la République française déclare ainsi l’infaillibilité, en matière d’histoire, d’un simple tribunal, celui de Nuremberg. Ce tribunal se disait « militaire » alors qu’il ne l’était pas. Il se disait « international » alors qu’il n’était qu’interallié. Il n’était pas même un tribunal au sens propre du mot car, exclusivement constitué de vainqueurs jugeant exclusivement et à chaud leurs propres vaincus, il était juge et partie. Il jugeait souverainement sans possibilité d’appel. Il pratiquait la rétroactivité des lois. Il instituait la responsabilité collective. Il n’était « pas lié par les règles techniques relatives à l’administration des preuves » (article 19 de son Statut). Il n’exigeait pas que fût rapportée la preuve de « faits » qu’il considérait, sans donner ses raisons, comme « de notoriété publique » et il accordait automatiquement « valeur de preuve authentique » à tout rapport des commissions des crimes de guerre accusant les vaincus (article 21).
Si, en France, cette loi a été exigée par les juifs les plus influents, c’est parce que ces derniers ont été pris de panique en constatant que les historiens en place étaient incapables de répondre aux révisionnistes sur le plan de l’argumentation scientifique, technique et historique. Quand, en 1978-1979, le professeur Faurisson a clairement mis en évidence les impossibilités techniques des prétendues exécutions massives dans des chambres à gaz et quand il a lancé : « Expliquez-nous comment un tel meurtre de masse a été, pour vous, possible techniquement », on lui a piteusement répondu : « Il ne faut pas se demander comment un tel meurtre de masse a été possible techniquement ; il a été possible techniquement puisqu’il a eu lieu » (Le Monde, 21 février 1979). Le même professeur a ainsi posé toute une série de questions d’une grande simplicité auxquelles on a été incapable de répondre. En outre, il a prouvé que des photographies et des documents invoqués par ses accusateurs avaient été soit dénaturés ou falsifiés, soit détournés de leur sens. On a répondu au professeur par des agressions physiques, par l’interdiction, en fait, d’enseigner et, surtout, par des procès. Mais ces procès n’ont pas vraiment pris la tournure espérée par les juifs. Bien sûr, le professeur Faurisson a été condamné, par exemple, pour « dommage à autrui » mais jamais, ainsi que le demandaient les juifs, pour « falsification de l’histoire ». Au contraire, le 26 avril 1983, la première chambre de la Cour d’appel de Paris l’a condamné en rendant toutefois un hommage appuyé à la qualité de son travail sur ce qu’elle a appelé « le problème des chambres à gaz ». Cette cour a conclu que, dans le travail du professeur sur ce sujet, il n’y avait aucune trace de légèreté, de négligence, d’ignorance délibérée ou de mensonge et qu’en conséquence tout le monde désormais devait avoir le droit d’affirmer que les chambres à gaz n’avaient pas existé ! Dans le langage des magistrats, cela donnait exactement : « La valeur des conclusions défendues par M. Faurisson [sur le problème des chambres à gaz] relève DONC de la seule appréciation des experts, des historiens et du public ». Dans cette période qui allait conduire au vote de la loi antirévisionniste, les juifs savaient aussi que le professeur avait été, sur le plan historique et scientifique, l’inspirateur et l’organisateur de la défense d’Ernst Zündel dans ses deux longs procès de Toronto, en 1985 et en 1988. Ces procès ont tourné à la confusion pour l’ensemble des tenants de la thèse du prétendu « Holocauste ». Le procès de 1985 a été une catastrophe particulière pour les juifs Raul Hilberg et Rudolf Vrba. Le premier pouvait être considéré comme l’historien Number One et le second comme le témoin Number One de la prétendue « destruction des juifs d’Europe ».
Les révisionnistes ont ainsi accumulé une longue série de victoires. Mais le grand public l’ignore. L’emprise des juifs sur les médias et leurs multiples procédés d’intimidation sont tels que le public a été largement tenu dans l’ignorance de ces victoires. Aujourd’hui encore, en dépit du développement généralisé d’Internet, cette ignorance persiste.
Aujourd’hui, la loi antirévisionniste française est encore en vigueur mais ceux qui s’imaginaient qu’elle serait un rempart contre les progrès du révisionnisme doivent déchanter. Du simple fait de son existence, cette loi est en quelque sorte devenue l’une des meilleures preuves que l’histoire officielle est impuissante à se défendre avec des arguments, des preuves et des documents dans un libre débat public.
Ce débat au grand jour, les révisionnistes n’ont cessé de le proposer et, quelle que doive être la violence de la répression qu’on exerce contre eux, ils ne cesseront de le réclamer. Les révisionnistes n’ont pas peur de la lumière ; au contraire, ils la recherchent.
* Les juges de Nuremberg ont écrit que ce chiffre de six millions venait d’Eichmann. Or, ils savaient qu’il s’agissait là d’une estimation prêtée par l’un des collaborateurs de l’accusation américaine, le SS Wilhelm Höttl, à son collègue Adolf Eichmann (qui avait disparu). En 1961, à Jérusalem, ce dernier opposera un démenti formel devant la justice israélienne et, en 1987, W. Höttl finira par dire qu’il ne fallait pas accorder d’importance à cette « estimation » car Eichmann … était ivre le jour où il avait tenu ce propos dès … septembre 1944 !