La Chronique de Maxime
Pale
1
J´entame cette chronique hebdomadaire par ce texte qui traite de
la situation politique en France et du role de l'ideologie
republicaine dans la création d'une histoire erronée et
d'une pensée unique dans ce pays. Il amorce une serie d'autres
textes qui critiquent l'histoire telle qu'elle est enseignée
dans les ecoles françaises.
La "démocratie"
totalitaire,
LE FASCISME DEMOCRATIQUE
La morale du Génocide
L'idéologie
démocratique
La Démocratie morale est née en même temps que
le politiquement correct. Et en même temps que l'acte fondateur
du politiquement correct. C'est à dire la mémoire du
Génocide juif.. Avant que les organisations de contrôle
de la pensée correcte ne viennent me chercher, avant que les
ligues morales ne pointent leur doigt sur moi, je vais devoir
m'expliquer, je crois.
Voyons-voir. La Démocratie est un truc vieux comme le
monde, nous sommes d'accord. Rien de bien nouveau, dans tout cela.
Mais ici, il est question de la France. Pour le moment, restons-en
là. C'est à dire au début du siècle.
C'est mon défaut. Je fais toujours tout remonter au
début du siècle. Juste après le machin Dreyfus.
Qu'est-ce que nous avons? Une scène politique totalement
inédite. Nouvelle. Il y a les droites et les gauches. Mais
à cette époque, la Démocratie est un truc comme
un autre. Une alternative, ni plus et, le croirez-vous, ni moins. Ce
n'est pas encore le modèle universel que nous connaissons vous
et moi.
Juste un système à la
mode.
Un truc qui sonne bien, quoi. Et il n'y a pas de consensus sur le
fait que ce soit le meilleur modèle ou je ne sais quoi.
Churchill ne s'est pas encore pointé, vous comprenez? La
Démocratie est encore critiquée, remise en question ici
et là. Les monarchistes râlent, pas contents du tout.
Quelques années plus tard, les fachos s'y mettent aussi.
Regardez! Regardez! Il n'y a pas que votre Démocratie! Il y a
mieux!
Mais déjà, en France, le grand truc
démocrate, c'est la République. Cool. Je crois que la
première pierre du politiquement correct, c'est ça. La
République. Les conneries de la Révolution
Française enfin appliquées à l'échelle
d'une Nation. C'est nous! La France! Le système qui
aujourd'hui est devenu la pensée dominante est quelque part
par là. Entre Jaures et Zola. La culture de masse. J'aime bien
Zola, mais bon. La Démocratie, c'est la masse qui parle et qui
joue avec les affaires de l'Etat. Un coup oui, un coup non.
Aujourd'hui, on dit que les sondages sont stupides parce que
l'opinion publique est trop volage et changeante. Et bien la
Démocratie, c'est l'opinion publique mesquine et
égoïste érigée en dictature! Et à
cela s'ajoute le concept républicain. C'est à dire la
plus écoeurante pensée correcte élevée
à l'échelle universelle par les mégalomanes de
la morale.
Mais à l'époque, aux temps anciens, tout ce fatras,
ce n'est qu'une idéologie parmi les autres. Elle
détient le pouvoir, certes, mais l'opposition est encore vive.
L'opposition est encore tolérée. Elle a son mot
à dire. Elle n'est pas stigmatisée, elle n'est pas
rejetée. L'idée pluraliste fait encore partie du
génie démocrate. Les braves gens ont encore le droit de
penser à gauche ou de penser à droite.
Bien sûr, ça ne va pas durer.
Parce que la Démocratie est un concept intolérant.
Et que ses miasmes divers, les droits de l'hommes et les élans
caritatifs, ne tolèrent pas l'opposition. Voyons-ça.
Vous connaissez la phrase qu'on cite souvent à propos du Front
National honni: « Pas de parole aux ennemis de la
Démocratie», ou un truc dans le genre. Et ça veut
dire quoi? Qu'au sein d'une Démocratie, ceux qui contestent la
forme du régime en place ne devrait pas avoir le droit de
s'exprimer. Car le principe démocratique ne saurait être
remis en question ou menacé.
J'applaudis, des deux mains.
Voici l'idée totalitaire et fasciste la plus aboutie et la
plus forte qu'il m'ait été donné d'entendre.
Réfléchissons. Ensembles, main dans la main. Il y a ici
une rupture idéologique incroyable que votre culture morale
vous empêche peut-être d'assimiler. On vous dit que la
Démocratie est un système basé sur le pluralisme
et la libre expression de tous. Or, elle ne tolère pas de
véritable opposition. Ce qu'elle tolère, c'est
l'opposition politique en son sein. Ce sont les partis maladifs qui
croissent en elle. Et ces partis sont tous calqués en fin de
compte sur le même modèle démocrate et
républicain. Sur le même modèle
égalitariste et moral. Ils sont tous calqués sur la
même orthodoxie gauchiste. La Démocratie
républicaine.
L'alternance dans nos Démocratie modernes n'est qu'un
putain de leurre, une illusion grossière et bien
intériorisée. Car être démocrates
constitue une ligne politique et idéologique qui se suffit
à elle même. Qu'on ne me parle pas de droite et de
gauche au sein d'une Démocratie! Ou alors expliquez moi la
différence. Pour moi, une organisation politique, c'est une
organisation idéologique.
Or la Démocratie est une idéologie à elle
seule.
Il ne peut y avoir de pluralisme au sein d'une même
idéologie! Soit, il y peut y avoir différentes formes
de conception de la Démocratie, mais il ne s'agit là
que de nuances trop légères pour constituer une
réelle alternative. Vous connaissez une droite et une gauche
au Communisme, vous? Ou encore au Fascisme, au Monarchisme! Allons,
allons, je ne parle pas d'ailes politiques ou je ne sais quoi.
Mais alors l'un de vous va me demander forcément où
se trouve la véritable alternative à tout ça.
Elle se trouve dans des conceptions différents de l'Etat et de
la vie politiques. Des putains de conceptions aussi
différentes que le Marxisme, le Fascisme, le Monarchisme,
l'Anarchisme et ainsi de suite. Il y en a plein. Il suffit de
chercher un peu. De lever un peu le nez, quoi. C'est pas si
difficile. Et pourtant. La Démocratie est une idéologie
forte qui sait se défendre. Oui. Elle ne tolère aucune
opposition. Revenons à la phrase de toute à l'heure. La
citation approximative, là.
Les ennemis de la Démocratie, c'est à dire les
idéologies alternatives qui mettent en avant une conception
autre du politique, n'ont pas le droit d'exister. Il y a des limites
à la tolérance tout de même, bon sang! Le
régime qui a placé la tolérance niaise au sommet
de ses directives culturelles se permet d'y apposer des limites! Tout
ce qui pourrait poser une véritable alternative au
régime est écarté, dénigré. On
crache dessus, on marche dessus, on le ridiculise on l'ignore et on
le combat. Ce Fascisme là, à mon avis, est une sorte de
perfection. Il dépasse toutes les espérances des
apprentis totalitaires du siècle mourant.
Certaines idées sont tolérées. Le Communisme,
allez. Il est de gauche, ce truc là. Il est donc
tolérable dans une certaine mesure. Qu'importe les cadavres
qui ont pourri en Sibérie dans les geôles du père
des peuples. Oublions ça. Après tout, entre
idéologies de gauche, on peut s'entendre, pas vrai? Par
contre, ce qui est plus à droite est mal. C'est sale, c'est
repoussant. C'est le Royaume des Damnés.
Tolérance?
Admettons. Fascisme, Communisme et les autres ne sont pas
tolérants. Ils refusent toute alternative, ils refusent tout
autre système et modèle politique. Mais voilà,
eux, ils le refusent ouvertement en cherchant à
démontrer à tous les instants que leur système
est le meilleur, qu'il est le seul. Pas la Démocratie. Cette
salope, elle est en plus hypocrite. Elle dégouline de
tolérance mièvre et en même temps se
complaît à bannir tout ce qui est différent
d'elle. Elle est la mère de l'intolérance hypocrite.
Elle dénature ses adversaires. Elles les caricature avec une
imagination inégalée. Le Fascisme devient monstrueux,
énorme et aussi contre-nature. Le Monarchisme devient ringard,
grotesque et risible sous sa plume. L'Anarchisme libertaire finit
puéril, pervers et utopique.
Tolérance?
Nous ne nous étonnerons pas que les régimes
démocratiques deviennent alors les terroirs des hypocrisie
politiques les plus évidentes. Où l'on tolère en
détestant sous cape. Où l'on accepte les
différences en les écartant au premier prétexte.
Je ne vois pas ce que l'on pourrait demander de plus à une
idéologie qui se vautre chaque jour dans la tolérance
valorisante des droits de l'homme et de l'humanitaire facile tout en
pinçant les lèvres de dégoût face au
premier conflit ethnique à l'intérieur de ses terres.
Croyez-moi, la Démocratie est l'invention du totalitarisme
inavoué. Elle inculque à ses citoyens des valeurs
uniques et exclusives en leur faisant croire qu'ils vivent dans un
régime pluriel où chacun peut s'exprimer. Croyez-moi,
la Démocratie est l'invention du Fascisme Caché.
Voyez-vous, les parodies d'élections des pays autoritaires
tant critiqués ne sont rien en comparaison de la
Démocratie. Et les partis uniques aux candidats multiples des
pays totalitaires ne sont rien non plus en comparaison de la
Démocratie.
Rien, rien du tout.
Mais où donc tout cela avait bien pu commencer, hein? Du
temps de Dreyfus, du temps de Maurras et les autres, ça allait
encore. Comprenez, l'Affaire Dreyfus n'aurait pu avoir lieu sous la
Démocratie de Gauche. Il fallait une vraie pluralité
pour cette affaire. Une remise en question permanente des principes
démocratiques et républicains. La Démocratie,
à l'époque, avait au moins le mérite de vaciller
sur sa future base onctueuse, à savoir la tolérance. Il
fallait qu'elle se batte, qu'elle s'impose. Et elle ne pouvait pas
encore nier ses adversaires ou les dédaigner, non.
C'est venu après. Plus tard, quoi.
Il fallait pour cela un événement fondateur. Tout
d'abord l'écrasement et l'humiliation des régimes qui
la contestaient. Et ensuite l'avènement du tout premier
principe politiquement correct en tant que modèle culturel. Et
la France était le pays le plus apte à subir cette
conquête idéologique totale. Nous verrons vite pourquoi.
Bon, parlons peu et bien. La Seconde Guerre Mondiale. Un tournant.
La Démocratie est victorieuse. C'est une guerre
idéologique qui s'achève. Comme une première
pierre. Me parlez pas de batailles, de machins et d'espaces vitaux
nazillons. Non, la Seconde Guerre Mondiale est une guerre
idéologique. Pas comme la Première, hein. Le
Communisme, la Démocratie et le Fascisme plus ou moins
perverti par le Nazisme luttent pour la légitimité
idéologique. C'est à celui qui prouvera que son
modèle est capable de triompher sur tous les fronts.
La Démocratie, forcément. Les soviétiques et
compagnie, on s'en fout ici. Ils vont rester cloisonnés. Ce
n'est pas l'important. C'est un autre sujet. Ce qui est important;
c'est que le modèle gauchiste démocrate et moral
apparaît pour la première fois comme la seule
idée politique correcte. C'est à cette date que la
Démocratie devient le régime des gentils. Les Nazis
sont discrédités. On le serait pour moins. Mussolini va
devenir dans les mentalités le pantin que l'histoire peindra
pendant les années à venir. Les cocos s'enferment et se
planquent vite fait hors de vue des ricains. Et si les grands
démocrates ne dominent pas encore le monde, ils se partagent
néanmoins l'Europe pro-américaine.
Mais la légitimité est acquise.
Posée, Elle ne vacillera jamais plus. Et cela même
pendant les vagues bouffonneries marxistes-révolutionnaires.
Fière et altière, la légitimité
Démocratique s'installe. Elle imprègne les cultures et
les esprits. Elle commence après la Seconde Guerre Mondiale sa
lente expansion spirituelle. Après ça, plus
d'opposition. Vous étiez un démocrate
républicain ou rien du tout. Ou alors une espèce de
monstre hideux, hein. Fallait être de gauche, après
ça. Et après des décennies de lutte,
après une guerre idéologique menée au nom de la
pluralité et de la tolérance, la Démocratie
s'est installée au pouvoir.
Et alors nos parents ont accouchés de nous dans un
régime Fasciste.
Désolé, les mecs.
La République
Universelle
Mais pour que cette légitimité s'installe, il
fallait quelque chose de plus. Un petit quelque chose. Parce que si
la Démocratie sortait bénie des dieux de la Guerre, la
République morale et humaniste se devait de garder le rythme.
De ne pas se laisser distancer, si vous voyez ce que je veux dire. Il
faut voir ça comme un aigle à deux tête. D'une
part le truc des masses, le machin démocratique. Et tout ce
que je vous ai dit dessus. D'autre part la pensée correcte,
qui vient s'amalgamer là dessus et respirer le même air.
Et ça a pas tardé.
Prenez la droite d'avant guerre. Elle est épurée,
comme on dit. Elle mettra du temps à s'en remettre. La droite
qui se forme à la Libération n'a plus le moindre point
commun avec celle des années d'avant. Ou alors vraiment pas
grand-chose, on est pas là pour jouer sur les mots. Elle est
bannie de la vie politique. Elle est bannie des mentalité.
Elle ne peut plus exister que dans la clandestinité honteuse.
Des mecs sont fusillés parce qu'ils ont eu le malheur de
défendre une idéologie différente du
récital des masses. Ils se sont battus contre
l'idéologie démocratique. Parce qu'à leur
époque, avant la guerre, ça se faisait. Ils avaient le
droit, dans leurs journaux ou dans leurs livres.
C'est fini, ça.
Après la guerre, la Démocratie triomphe. Alors elle
purifie. Ces mecs, elle les élimine, les calomnie ou bien les
exile. Les pauvres! Ils n'ont pas compris ce qui leur arrivait! Dix
ans auparavant, ils pouvaient faire ce qu'ils voulaient. Ils
pouvaient défendre leur conception du monde. Car si la
Démocratie s'opposait à eux, elle n'avait pas encore le
pouvoir et la force de les détruire. Elle n'avait pas encore
l'appui d'une pensée correcte culturelle.
Le nettoyage commence. C'est normal. Ce sont les vaincus, souvent.
J'ai pas grand chose à dire là-dessus. Sur le moment,
ils ont perdu une guerre, les mecs. On va pas leur offrir des fleurs,
non plus. Ceci dit, ça prend quand même de l'ampleur,
l'épuration. Toutes les idéologies non
démocrates sont expurgées. Comme après une
révolution bolchevique. Ou même Pinochet n'a pas fait
mieux. Que dis-je, il n'a sans doute pas eu de meilleur exemple pour
sa purification politique que l'épuration française.
C'est dire l'élimination systématique de tout opposant
idéologique, de toute force politique contestatrice.
Lui, ça venait après un coup d'état, alors
ça faisait mauvais effet. Il était méchant, le
gars. Et ça faisait désordre. Du point de vue des
régimes démocratiques, on se comprend, je vais pas vous
faire un dessin. Mais notre épuration, c'était
après une guerre. Alors bien sûr, c'était
légitime, c'était justifié. Acceptable. Bien
sûr, il y a eu des débordements. Mais bon, mon pauvre
ami, ça arrive, hein.
Lui? Au peloton.
Et celui-là? Au peloton.
Par contre, lui, là, en prison, allez! Tondez-lui la
tête, avant, d'accord?
Et ainsi de suite.
C'est le début de la pensée correcte. C'est un
balbutiement pour le Fascisme Moralisateur. Un premier pas. Dans ce
régime, la droite d'avant guerre est devenue subversive,
malsaine et détestable. Les enfants qui sont nés
après cette époque ont été
élevés dans la haine de cette droite incorrecte. Mais
ça s'est encore fait petit à petit. Doucement. La
Démocratie n'a pas pu tout de suite en finir avec tout
ça.
Mais la République Morale était en train de se
former.
Nous verrons ça mieux avec un petit retour en
arrière. Qu'est-ce que la République Morale, à
la base, hein? Ce sont des valeurs issues de la Révolution
française. Des valeurs universalisantes et donc
intolérantes. Parce que celui qui prétend imposer
à tous et toutes son modèle de pensée ne sera
jamais ouvert aux idées de ceux qu'ils veut éduquer. Et
voilà, tout est dit. La charte des droits de l'homme est la
préhistoire du politiquement correct. C'est cette niaiserie
égalitariste qui a l'arrogance de s'affirmer comme la seule
détentrice du bien et du bon. La bonté, la
tolérance, le respect et j'en passe.
Personne n'avait du y penser avant!
La liberté, tout d'abord. Elle ose l'afficher haut et fort
alors que son but n'est autre que l'aliénation
systématique des générations. Quelle
liberté? Dans un monde où les enfant sont
éduqués pour haïr tout ce qui s'éloigne de
ses principes supposés universellement
bénéfiques! En plus! Universel! C'est le monde qui est
visé, que dis-je, l'univers! Devant un tel conformisme
idéologique, il est difficile de parler de liberté de
pensée. Quel était le cheval de bataille des
républicains au début du siècle? L'Education.
Oui! Ils avaient compris qu'il était essentiel de former leurs
futur cadres à la base, dans les maternelles! Devant un tel
encadrement culturel, il est difficile de simplement parler de
pensée.
Et l'égalité!
D'un côté sont exclus les opposants et les critiques,
tués, pendus ou diffamés, et de l'autre est
créée une grande masse informe où chacun doit se
fondre. Se fondre et disparaître, se mêler aux autres.
Abandonner toute personnalité et toute qualité propre
dans un ensemble de droits de l'homme qui place le génie et le
singe sur un pied d'égalité. L'égalité,
c'est le conformisme rabaissant, ou la masse se venge de votre
personnalité. Honte aux individualistes, ils seront
jugés et éliminés, libres de crever.
Liberté. Egalité.
Et Fraternité!
Merveille des merveilles! Le voici enfin, le politiquement
correct! Il fallait bien que l'on y arrive un jour ou l'autre. Et
voilà. Nous sommes tous frères. Vous êtes con.
Tant pis. Je vous aime comme un frère. Vous êtes
débile. Ce n'est pas grave non plus, je vous aime comme un
frère. Comprenez-bien, nous devons tous nous aimer. Tous.
Voici la tolérance universelle. Quel que soit le mal que vous
fait l'autre, quel que soit le dégoût que vous
éprouvez pour lui, vous devez le tolérer. Même
s'il représente un danger pour vous. Même s'il vous
menace. Il faut être gentil avec lui. Lui caresser sa putain de
tête.
Et bien sûr, par un tour de force idéologique
incroyable, la République Démocratique se charge elle
même des exceptions à ces principes. Elle prend bien
soin de tracer des limites à cette même
Fraternité qu'elle loue avec la larme à l'oeil.
« Pas de Démocratie pour les ennemis de la
Démocratie ». C'est la même chanson qui
revient. Le refrain, quoi. Un vrai tube, ce truc là. Des
décennies au sommet du hit parade.
Et ce n'est que le début.
En tout cas, la pensée correcte est née par
là. C'est la tolérance universelle,
l'intolérance en principe culturel. Le début de la
gauche. Vous savez, la République, au début du
siècle, c'est le drapeau de la gauche politique. Oui. C'est
son putain de cheval de bataille. Sa hache de guerre et tout et tout.
Son petit régime à elle, et sa petite sauce. Alors il
ne faut pas trop s'étonner. Quand la République
triomphe, c'est la gauche qui triomphe. Et il est normal que la
droite soit malmenée, épurée, diffamée.
Je le répète, la guerre idéologique, toujours
elle. Le poids de l'histoire et des idées.
Mais si la France à succombée, c'est qu'elle a eu
honte.
Oui, il fallait quelque chose pour cimenter Démocratie et
République. Pour cimenter le pluralisme illusoire de masse et
la morale bien-pensante de la Révolution.. Une cause. Un mythe
fondateur, comme une référence immortelle de
l'orthodoxie démocratique. Un symbole de victoire. Voyez,
avant la guerre. Démocratie et République forment deux
pendants d'une idéologie qui cherche à s'approprier le
monopole de l'espace politique. L'une est le mode de reproduction de
la domination gauchiste, l'autre est l'ensemble de ses valeurs
morales.
Et la Seconde Guerre Mondiale est alors l'occasion d'une
Révolution. D'un coup d'Etat. Cette fois, les
démocrates en ont assez du jeu de l'alternance. Ils
décident d'en finir avec l'opposition, de la rayer de la vie
politique. Forts de leur légitimité de vainqueurs, ils
s'emparent de la vie politique après avoir
décapité les idéologie adverses. Mais ils savent
que la guerre n'a pas détruit à jamais leurs ennemis.
Il leur faut donc installer dans les moeurs et la culture la
pensée correcte. Définitivement.
La République bien-pensante.
Non pas ce mode de gouvernement abstrait qui existait avant la
guerre, mais l'application des principes issus de la
Révolution française. Quand je vous parle de
République, je ne fais pas allusion au temps politique
jalonné par les constitutions française. Non, je parle
d'une conquête culturelle, de la domination de principes sur
les mentalités. Une domination capable de se reproduire toute
seule d'années en années.
Pour cela, les amis, c'est d'une justification permanent de ses
principes dont le génie républicain avait sans doute
besoin. Une justification de la liberté illusoire, de
l'égalité intolérante et de la pensée
fraternelle correcte.
La mémoire du Génocide juif est tout cela à
la fois.
Ces mecs se sont fait tuer. Un sacré paquet d'entre eux,
nous dit-on. Et ça, je veux bien le croire. Après tout,
si un type à fait Hiroshima, un autre a bien pu faire
Auschwitz. Tant qu'à faire, hein. Il n'y a pas deux poids deux
mesures, y a pas de raisons. Mais la rupture commence par là.
On fait de ce truc une monstruosité idéologique. Le
Nazisme. Pauvres allemands. Les petits américains, eux, n'ont
pas à vivre avec ce fardeaux sur les épaules. Parce que
eux n'ont pas de nom pour qualifier leur génocide Made In USA.
Impérialisme démocratique? Vous voyez, ça ne
sonne pas aussi monstrueusement. Si l'on disais plutôt, je ne
sais pas moi, allez, Nazisme Yankee, ça irait mieux.
Mais non!
Parce que les vainqueurs font l'histoire. C'est un putain de lieu
commun mais c'est comme ça. Les vainqueurs choisissent les
termes à aimer et les termes à haïr. Ils font les
grands hommes et les inhumains. Et pas besoin de traverser
l'Atlantique. En France, c'est pas mal non plus. Mais regardez les
japonais, ils n'en ont pas fait tout un flanc. Il n'y a pas de
débat sur le nombre de victimes, sur la responsabilité
de l'un ou l'autre. Non, ils ont perdu la guerre. C'est tant pis pour
eux. Moi, je serais un jap' que j'égorgerais tous les putains
d'américains qui viendraient faire leur tourisme à la
con chez moi.
Mais en écrivant l'histoire du Génocide, la
Démocratie Fasciste est devenue l'idéologie
antisémite la plus répandue au monde. Car elle s'est
servie de la mort des juifs dans les camps d'extermination pour
asseoir la légitimité de son pendant moral, à
savoir la République et ses principes universels et
gauchistes.
Et la France était un terrain parmi les plus propices
à cette implantation et à cette manipulation
culturelle. En effet, la France n'était pas dans le camps des
vaincus. Même si des idéologies contraires à
l'élan démocratique s'y étaient
affrontés, elle demeurait aux côtés des
maîtres de la Démocratie. Mais il s'en était
fallu de peu, tout même, non? A jamais, la France allait savoir
qu'elle avait été le pays où l'idéologie
démocratique n'avait triomphé que de justesse. Le pays
de la culpabilité, à l'orthodoxie douteuse et bancale.
Or c'est dans la culpabilité qu'est né le politiquement
correct. Dans la mémoire coupable du massacre des juifs s'est
assise la République Morale et ses préceptes fascistes.
La Mémoire Coupable
Le politiquement correct. Qui plus est, le politiquement correct
à la française. Comme on parle de fascisme à la
française. Dois-je vraiment revenir là-dessus?
Regardez-donc notre France, notre bon pays en cette fin de
siècle. Regardez la police des pensée. Nous sommes
formés dès notre plus jeune âge. Nous sommes
éduqués selon un clivage simpliste qui place d'un
côté les bons, et de l'autre les méchants. Cette
idéologie a le mérite de sa simplicité. Il y a
d'un côté les démocrates républicains.
Vous savez, le grand Parti Moral Gauchiste. Et les monstres rodent en
face, dans des terres d'inhumains rejetés.
Ce sont vos principes républicains! Séculaires,
aujourd'hui, ils dominent vos pensées et vos actes! La
Fraternité! C'est la tolérance poussée
jusqu'à l'absurde. Je dois tout accepter. Je ne peux rien
refuser. Je ne peux avoir d'ennemis, je ne peux lutter contre eux.
Sinon, il a diffamation. Je dois aimer tous les peuples et toutes les
cultures, toutes les religions et toutes les ethnies. Si l'une
d'elles ne me plaît pas, malheur. Je deviens un raciste
ethnocentrique. Et j'y laisse mon humanité. Car la
Démocratie fait cela. Elle pose une définition
exclusive de l'humanité. Si je n'aime un homme pour la couleur
de sa peau, pour sa religion ou son mode de vie, je ne suis plus un
être humain. Je suis condamnable et réduit au rang de
bête.
Et je ne peux plus m'élever au dessus de personne. Mes
qualités deviennent coupables de rabaisser les autres. Ma
valeur fait de l'ombre, je dois la cacher et la fondre dans la masse.
De mes capacités ne dépend nullement ma place dans la
société. Quelque soit votre intelligence ou votre
savoir-faire, vous n'avez pas plus de droits que les autres. Ce qui
veut dire que dans notre société actuelle, non
seulement vous ne pouvez combattre ceux que vous méprisez,
mais qu'en plus ils sont eux-mêmes considérés
comme vos égaux!
Laissons tomber la Liberté, d'accord?
Et la Démocratie possède ses propres chevaliers en
dehors des partis officiels.
Ce sont toutes les organisations qui défendent les
principes républicains. Ce sont les mouvements contre le
racisme et l'antisémitisme. Ces sont les ligues des Droits de
l'Homme. Les vraies émanations idéologique de la
Démocratie. Ce sont elles qui surveillent vos paroles et vos
actes, qui vous jugent. Ce sont elles qui imposent la
tolérance universelle. Ce sont les nouveau croisés
chargés de purifier le régime de ses
éléments subversifs.
Nous avons notre Gestapo à la française.
Et elle se charge d'éliminer ceux qui prétendent
opposer à la Démocratie une quelconque alternative
idéologique. Regardez, si je vous les cite. Le Monarchisme, le
Fascisme, l'Anarchisme, tout cela vous fait frémir. Tout cela
vous parait ridicule ou monstrueux, n'est-ce pas? C'est normal!
Depuis votre plus jeune âge, ils vous ont appris à
penser cela. Ils vous ont appris que ces gens là
n'étaient pas des être humains. Qu'ils étaient
suspectés d'intolérance, d'élitisme arrogant,
menaçant votre quotidien fumeux qu'on appelle liberté.
L'idée même que quelqu'un puisse envisager une
alternative à la Démocratie vous fait trembler de
dégoût. Alors vous fermez vos petits poings rageurs et
vous les secouez devant vous. Cherchez le monstre! Où est le
raciste, où est le méchant? Vous êtes prisonnier
de votre pensée correcte. Vous êtes si bien
éduqués que tout ce qui prétend être
différent de votre Démocratie ne saurait colporter que
la haine, la bêtise ou le mensonge.
Et moi de même, n'est-ce pas?
J'accuse vos organisations bien-pensantes d'intolérance. Je
pousse leur logique perverse jusqu'au bout. Et avouez-le, me voici
tout autant suspect. Suspect? Non! Coupable, plutôt! Je plaide
pour le droit à la différence et pour le droit au rejet
de la différence. Je plaide pour la liberté de
pensée. Je veux penser comme je l'entend. Je veux aimer ou
détester ce qui me chante. Mais pour vous, déjà,
je ne suis plus qu'un raciste intolérant, je suis devenu un
antisémite en puissance, ethnocentriste et élitiste. Je
n'ai pourtant demandé que la liberté. Mais cette
requête est une faute que vous punissez par le rejet, le
mépris et la loi.
Merci, au fait!
Et tout cela est apparu quand la Démocratie de Gauche a
accouché de la première loi de tolérance. Et
pour cela, elle s'est appuyée sur le souvenir du
Génocide du Peuple Juif, que celui-ci soit réel ou non.
Comprenez-moi. Cet événement a servi de justification
au rejet des adversaires de l'idéologie démocratique.
D'accord, on ne va pas faire une croix sur ce truc. Mais
écoutez-moi, c'était il y a cinquante putains
d'années! Un demi-siècle, les mecs! Vous croyez que
personnellement, j'ai la moindre raison de me sentir responsable ou
honteux de ce truc? Vous croyez que les adversaires actuels de la
Démocratie puisse être supprimés au nom de machin
qui commence quand même sérieusement à dater?
Et oui!
Car la Mémoire a été implantée.
Et tout acte s'opposant à la Démocratie sera
ramenée à cette mémoire. Toutes les
idéologies qui se sont un jour dressées en face de la
Démocratie sont fondus dans une responsabilité unique.
Vous voulez penser hors de l'idéologie
morale-démocrate? Mais regardez-donc ce qu'ils ont fait vos
maîtres à penser! Quels qu'ils soient, ils sont
forcément quelque part responsables du Génocide! Si
vous n'acceptez pas la Morale fasciste de gauche, c'est que vous
adhérez forcément aux idées de ceux qui ont
failli plonger notre pauvre France dans le mal absolu.
La Démocratie nous a enseigné la Mémoire et
la Honte.
Et dans dix mille ans, quand quelqu'un cherchera à remettre
en cause les principes moralistes républicains, il y aura sans
doute encore quelqu'un pour rappeler ce qu'ont fait les ennemis de la
démocratie et brandir les fantômes de la
culpabilité.
Le Communisme est mort. Et il été absorbé par
la pensée correcte. Il n'y a plus, à gauche de la
Démocratie, d'adversaire réel. Alors nul besoin de
parler de la Sibérie, tout le monde s'en tape. Par contre, au
delà de la Frontière Droite règne toujours le
Mal. Et les guetteurs des ligues anti-intolérance demeurent
encore postés tout le long. Ils cherchent la moindre trace de
ces être odieux qui prétendent incarner une alternative.
C'est tellement facile! Il suffit d'apposer sur eux le terme
d'extrême droite pour que se réveillent les vieux
démons du Génocide et de la Honte. Même le simple
qualificatif de droite suffit parfois. Car si la Démocratie
tolère l'illusion partisane en son sein, elle n'en surveille
pas moins avec une vigilance morale extrême ceux qui se
rapprochent de la frontière dans leurs textes ou leurs
discours. La Gestapo veille.
Avec son arme la plus tranchante, le politiquement correct. Vous
devez absolument comprendre un truc. Ce que l'on vous présente
comme l'extrême droite n'existe pas. Ce sont des hommes et des
femmes qui ont simplement eu le malheur de s'opposer au principe
démocratique. Il y a des catholiques. Il y a des païens.
Il y a des royalistes, et aussi des anarchistes. Il y a des
fascistes, et des bolcheviques un peu perdus, et il y a des
solidaristes au milieu qui les haïssent cordialement.
Il n'y a ni cohérence, cohésion. La
Démocratie transforme ces hommes et ces femmes en un amalgame
grossier, comme elle sait si bien le faire. Egalité,
n'oublions pas. Elle vole au dessus des différences
idéologiques, des antagonismes de l'opposition. Elle en fait
un tout cohérent tellement plus facile à rejeter en
bloc. Tellement plus facile à désigner à ses
jeunes cadres moraux. Les multiples et plurielles opposition à
ses principes deviennent un seul et même mouvement à
écraser. Car la Démocratie les rend tous responsables
et coupables dans la Mémoire du Génocide.
C'est cela, le politiquement correct.
C'est le rejet de la différence morale. Et les
organisations de lutte contre le racisme et l'antisémitisme
n'en sont que la forme la plus aboutie. Elles sont des outils au main
de du fascisme de gauche. Elle croient défendre leurs
communauté, elles ne sont que le prétexte au rejet des
opposants politiques et à la négation de toute
liberté de pensée. Le Génocide est devenu une
légende. Le dégoût qu'il inspire aux braves gens
de France est devenu un moyen de rejeter toute alternance politique.
La Démocratie bafoue la mémoire du Peuple Juif en se
l'appropriant, en en faisant la Mémoire Honteuse. Elle
dénature le respect et le souvenir en réécrivant
l'histoire à son profit.
Elle contrôle les pensée en se servant de la
Mémoire comme référence universelle condamnant
sans appel ses ennemis. Partie du Peuple Juif, la pensée
correcte qu'elle diffuse pour éliminer toute opposition morale
s'est étendue à toutes les ethnies et toutes les
religion. L'antisémite décrié est devenu raciste
sans avoir rien demandé. Des gens qui luttent contre le
fascisme moral au nom de valeurs individuelles et de la
liberté de paroles et de pensée sont alors
stigmatisés par les guetteurs moraux de la République.
Les guetteurs de la frontière.
Vous savez, ces organisations de lutte contre le racisme et
l'antisémitisme qui sont en fait les seules et uniques
mouvements fascistes sur le territoire français.
Gestapo Morale.
Grâce à elle, République morale et
Démocratie fasciste ont pu s'emparer de la vie politique
depuis un demi-siècle. Elles croient défendre les
intérêts de leurs ethnies et de leurs communautés
religieuses. Elles ne sont que le produit d'une histoire aux
souvenirs réinventés pour servir la tolérance et
la liberté fictives dont se nourrit la Démocratie.
Elles croient lutter contre les erreurs du passé, elles ne
font que servir une forme d'Etat hypocrite et une idéologie de
l'intolérance caché qui sont les seuls responsables des
massacres passés et à venir, ethniques ou religieux.
A part ça, tout va bien.
Maxime Pale
Les Chroniques de Maxime
Pale
1.
La "démocratie"
totalitaire
2.
Sur les
bancs de la République
3.
Les mythes
fondateurs...
4.
La pensée
unique!
5.
La révolution
idéologique
6.
La rafle de la mémoire
7.
L´"Holocauste": un commerce lucratif!
8.
Révisionnismes, populismes et sionismes
9.
Honte et péché de la République française
10. Qu'est-ce qui succédera au
mensonge?
11. Le révisionnisme face à la répression
Elie Wiesel: Un grand faux témoin
Par Robert Faurisson
Ils sont partout ! -
Liste des Juifs qui dominent la France
The Jewish hand behind Internet
The Jews behind Google, Facebook, Wikipedia,
Yahoo!, MySpace, eBay...
Le Holo-CULOT juif veut s'imposer en "religion" mondiale !
Protocoles des Sages de Sion
La tyrannie du "Nouvel ordre mondial" sioniste
Entretien du général REMER

Garaudy:
"Les mythes fondateurs de la politique israélienne"
The Jews behind Islamophobia
Lobby israélo-sioniste en France
Par Roger Garaudy
Le Judaïsme est nu !
Notes sur l'ouvrage d'Israël Shahak
Talmudophobe 
Clip officiel, Rude-Goy Recordz
Israel controls U.S.
Presidents
Biden, Trump, Obama, Bush, Clinton...
Les victoires du révisionnisme
Discours du professeur Robert Faurisson à la conférence de Tehran
Les relations secrètes entre les Noirs et les juifs
Nation of Islam
Liste des agressions de la Ligue de Défense Juive (LDJ)
Vidéos


Le Talmud démasqué
Le Gouvernement juif-sioniste de François Hollande
Bernard-Henri Lévy - Agent
d´Israël
Le dossier photo
Qui se cache derrière les
caricatures «danoises» ?
Par Ahmed Rami
La France juive
Par Édouard Drumont, 1886
Le CRIF un lobby au coeur de la république

Caricatures

Activisme !