"SIX MILLIONS DE MORTS" (JUIFS)
LE SONT-ILS RÉELEMENT?
par Richard E. HARWOOD



 
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Enfin la vérité ! L'oeuvre de Paul Rassinier

 

L'oeuvre de l'historien français Paul Rassinier fut sans aucun doute la contribution la plus importante à une étude véridique de la question de l'"extermination". La valeur remarquable de cette oeuvre réside premièrement dans le fait que Rassinier fut lui-même détenu dans les camps de concentration et aussi qu'il était moins disposé que quiconque à défendre Hitler et la national-socialisme puisque Rassinier était un intellectuel socialiste antinazi. Pourtant, soucieux de défendre la justice et la vérité historique, Rassinier consacra les années d'après-guerre jusqu'à sa mort, survenue en 1966, à poursuivre des recherches dont l'aboutissement fut la réfutation complète du mythe des Six Millions et de la légende du nazisme diabolique. De 1933 à 1943, Rassinier fut professeur d'histoire au lycée de Belfort, Académie de Besançon. Pendant la guerre, il fit de la Résistance et fut arrêté par la Gestapo le 30 octobre 1943; il fut détenu à Buchenwald et à Dora jusqu'à la fin de la guerre. Atteint du typhus à Buchenwald, vers la fin de la guerre, il ne put se rétablir complètement et dut abandonner son travail dans l'enseignement. Décoré de la Médaille de la Résistance et de la Reconnaissance Française, élu député à l'Assemblée Constituante dont les communistes parvinrent à le faire évincer en novembre 1946. Rassinier entreprit alors une analyse systématique des prétendues atrocités allemandes, en particulier de la prétendue "extermination" des Juifs. Ses livres sont peu connus, ce qui ne doit pas nous surprendre. Aucun de ses livres n'a été publié en anglais. Titres les plus importants: Le Mensonge d'Ulysse, une étude des conditions de vie dans les camps de concentration basée sur sa propre expérience; Ulysse trahi par les Siens, suite du premier livre poursuivant la réfutation des impostures des propagandistes anti-allemands. Le véritable Procès Eichmann, le Drame des Juifs européens, dans lequel Rassinier montre au moyen d'une analyse statistique soigneuse comment on a déformé les faits de façon malhonnête et irréfléchie; il examine aussi dans ce livre les conséquences politiques et financières de la légende de l'extermination et son exploitation par Israël et par les pays communistes. (Autres livres de Rassinier: Les Responsables de la Seconde Guerre Mondiale", L'Opération "Vicaire", etc. etc. N.d.T.)

Un des nombreux mérites de l'oeuvre de Rassinier est d'avoir démontré la fausseté du mythe de la "méchanceté", uniques en leur genre, des Allemands. Il révèle au moyen d'arguments accablants comment on a fait disparaître la vérité historique dans un brouillard impénétrable de propagande partisane. Il démontre de façon concluante que le sort des Juifs pendant la Deuxième Guerre Mondiale dégagé de la déformation des faits et ramené à ses justes proportions, perd son "énormité" tant proclamée et devient seulement un acte d'une tragédie beaucoup plus grande et plus vaste. Au cours d'une grande tournée de conférences en Allemagne Occidentale au printemps de 1960, Rassinier dit qu'il était grand temps que renaisse la vérité sur l'"extermination" et que c'étaient les Allemands eux-mêmes qui devaient entreprendre cette tache puisque cette accusation restait aux yeux du monde entier une tache -- absolument injustifiable -- sur le blason de l'Allemagne.

L'imposture des "chambres a gaz"

Le titre Le Mensonge d'Ulysse fait allusion aux histoires incroyables contées par ceux qui reviennent de pays lointains ("a beau mentir qui vient de loin"). Jusqu'à sa mort Rassinier lut tout ce qui se publiait sur l'"extermination" et il essaya de retrouver ou de rencontrer les auteurs de ces histoires. Il fit justice des affirmations extravagantes de David Rousset qui prétendait dans son livre The Other Kingdom (New York, 1947) qu'il y avait des chambres à gaz à Buchenwald; ayant été lui-même à Buchenwald, Rassinier prouva qu'il n'y eut jamais de chambres à gaz dans ce camp (Le Mensonge d'Ulysse, p .209 ff ) . Rassinier interpella aussi l'abbé Jean-Paul Renard qui avait affirmé la même chose dans son livre Chaînes et Lumières. L'abbé Renard lui répondit que d'autres lui avaient dit qu'il y en avait..! (ibid, p.209 ff). Rassinier disséqua aussi le livre de Denise Dufournier Ravensbrück: The Women's Camp of Death (Londres, 1948) et découvrit également que l'auteur n'avait d'autres preuves de l'existence de chambres à gaz que de vagues "bruits" qui, selon Charlotte Bormann, furent lancés délibérément par les détenus communistes. Il aboutit au même résultat avec les livres de Philip Friedman This was Auschwitz: The Story of a Murder Camp (N.Y., 1946) et d'Eugen Kogon The Theory and Practice of Hell (N.Y., 1950): aucun de ces auteurs ne pouvait présenter un témoin oculaire authentique d'une chambre à gaz d'Auschwitz et ils n'avaient jamais vu de chambres à gaz eux-mêmes. Kogon prétend qu'une ancienne détenue, décédée, Janda Weiss, lui avait dit, rien qu'à lui, qu'elle avait vu des chambres a gaz à Auschwitz, mais, naturellement, puisque cette personne était décédée -- disait Kogon -- Rassinier ne pouvait pas aller lui demander des explications. Rassinier put rencontrer Benedikt Kautsky, auteur du livre Teufel und Verdammte qui avait prétendu que des millions de Juifs furent exterminés à Auschwitz. Kautsky confirma seulement à Rassinier ce qu'il avait avoué dans son livre, à savoir qu'il n'avait jamais vu de chambre à gaz et qu'il basait son information sur ce que d'autres "lui avaient raconté". Selon Rassinier, il faut attribuer l'"Oscar" de la littérature sur l'extermination au livre de Miklos Nyizli, Doctor at Auschwitz: la falsification des faits, les contradictions évidentes et les mensonges éhontés montrent que l'auteur parle d'endroits qu'il n'a jamais vus, manifestement (Le Drame des Juifs européens, p.52). Suivant ce "docteur d'Auschwitz", 25.000 personnes y furent exterminées chaque jour pendant 4 ans et demi, ce qui représente un grand progrès par rapport aux 24.000 par jour pendant 2 1/2ans d'Olge Lengyel. Cela nous donnerait un total de 41 millions de victimes pour Auschwitz jusqu'en 1945, soit deux fois et demie la population juive du monde entier avant la guerre. Rassinier essaya de découvrir l'identité de cet étrange "témoin", on lui dit qu'il "était mort peu de temps avant la publication du livre." Rassinier était convaincu que cette personne n'a jamais existé. Après la guerre, Rassinier voyagea dans tous les coins d'Europe pour essayer de rencontrer un témoin oculaire des exterminations dans des chambres à gaz dans les camps de concentration allemands. Il n'en trouva jamais un seul. Aucun des auteurs des nombreux livres accusant les Allemands d'avoir exterminé des millions de Juifs n'avait jamais vu une chambre à gaz construite dans ce but, et encore moins une chambre à gaz en fonctionnement. Aucun auteur ne pouvait présenter un témoin authentique vivant ayant vu une chambre à gaz. Invariablement, les anciens détenus tels que Renard, Kautsky et Kogon basaient leurs affirmations, non pas sur ce qu'ils avaient vu réellement, mais sur ce qu'ils avaient "entendu dire", toujours par des personnes "dignes de foi", mais qui, par un triste hasard, étaient presque toujours décédées et ne pouvaient donc pas confirmer ou infirmer leurs déclarations.

Le fait certainement le plus important qui ressort des études de Rassinier et qui n'offre aucun doute est l'imposture absolue des "chambres a gaz". Des enquêtes sérieuses faites sur place révélèrent, de manière irréfutable, que, contrairement aux déclarations des "témoins" survivants, examinées ci-dessus, il n'y eut jamais de chambres à gaz à Buchenwald, Bergen-Belsen, Ravensbrück, Dachau et Dora, ni à Mauthausen en Autriche. Ce fait avait été certifié -- nous l'avons vu plus haut -- par Stephen Pinter du Ministère de la Guerre des Etats-Unis. Il est reconnu maintenant et admis officiellement par l'Institut d'Histoire Contemporaine de Munich. Cependant, Rassinier fait remarquer que malgré cette vérité historique officielle, des "témoins" s'en furent de nouveau déclarer au procès Eichmann qu'ils avaient vu à Bergen-Belsen des prisonniers partir pour les chambres à gaz. Quant aux camps de l'Est, en Pologne, Rassinier montre que l'unique "preuve" de l'existence de chambres à gaz à Treblinka, Chelmno, Belzec, Maidanek et Sobibor est constituée par les notes, dont la véracité est contestée, de Kurt Gerstein, dont nous avons parlé plus haut. Rappelons qu'il prétendit en premier lieu que 40 millions de personnes furent exterminées pendant la guerre, chiffre absurde, et que dans sa première note signée, il ramena ce chiffre à 25 millions. Nouvelles réductions dans sa deuxième note. L'authenticité de ces notes parut si douteuse qu'elles ne furent même pas acceptées par le Tribunal de Nuremberg, bien qu'elles continuent à circuler dans trois versions différentes, une version allemande (distribuée dans les écoles!) et deux versions françaises, aucune de ces versions ne concordant avec les autres. La version allemande servit de "preuve à conviction" au procès Eichmann en 1961. Finalement, Rassinier attire l'attention sur an aveu important fait par le Dr Kubovy, directeur du Centre Mondial de Documentation Juive Contemporaine de Tel-Aviv, dans La Terre Retrouvée du 15 décembre 1960. Le Dr Kubovy reconnaît qu'il n'existe pas un seul ordre d'extermination écrit de Hitler, de Himmler, de Heydrich ou de Goering (Le Drame des Juifs européens, p.31,39).


Paul Rassinier nie l'authenticité du chiffre de Six Millions

Quant au chiffre effrayant de Six Millions, adopté pour les besoins de la propagande, Rassinier prouve qu'il est totalement faux en se basant sur une analyse statistique extrêmement détaillée. On a gonflé, d'une part, le chiffre de la population juive d'avant la guerre en ignorant toute l'émigration et l'évacuation, et d'autre part, on a réduit le nombre de survivants après 1945. Telle fut la méthode utilisée par le Congrès Juif Mondial. Rassinier rejette aussi tous les témoignages écrits ou verbaux des "témoins" du genre cité plus haut et qui indiquent le chiffre de Six Millions, parce qu'ils sont pleins de contradictions, d'exagérations et de mensonges. Il donne l'exemple du total des morts de Dachau: en 1946, le pasteur Niemoller avait répété le total mensonger d'Auerbach (238.000 morts), mais en 1962, l'évêque Neuhausseier de Munich déclara dans un discours prononcé à Dachau que 30.000 personnes seulement y moururent "sur les 200.000 détenus de 38 pays qui avaient été enfermés à Dachau" (Le Drame des Juifs européens, p.12). Aujourd'hui, cette estimation a encore diminué de plusieurs milliers d'unités et cela continue!

Rassinier récuse aussi les témoignages, à l'appui du chiffre de Six Millions, présentés par des accusés tels que Hoess, Hoettl, Wisliceny et Hoellriegel, qui se trouvaient dans l'alternartive d'une condamnation à mort et de l'espoire d'obtenir une commutation de la peine capitale, et qui furent souvent torturés pendant leur détention. Rassinier estime qu'il est très significatif que le chiffre de Six Millions n'ait pas été cité pendant le procès Eichmann. "Au procès de Jerusalem, l'accusation fut considérablement affaiblie par l'absence de son motif central: les six millions de Juifs européens qui, prétend-on, auraient été exterminés dans des chambres à gaz. Cette allégation parvint facilement à s'imposer juste après la guerre, en profitant de chaos général, spirituel et matériel. Aujourd'hui, plusieurs documents qui n'étaient pas disponibles au moment des procès de Nuremberg ont été publiés; ils tendent à prouver que si les Juifs furent lésés et persécutés par le régime hitlérien, il n'a pas pu y avoir six millions de victimes" (ibid, p.125). Rassinier utilise 100 pages de statistiques qu'il recoupe entre elles et il conclut dans Le Drame des Juifs européens qu'il n'a pas pu y avoir plus de 1.200.000 Juifs tués ou morts pendant la Deuxième Guerre Mondiale; il fait remarquer que ce chiffre a été accepté finalement par le Centre Mondial de Documentation Contemporaine de Paris. Il considère cependant que ce chiffre est une limite maximale et il cite l'estimation inférieure de 896.892 morts ou tués dans une étude du même problème par le statisticien juif Raul Hilberg. Et pourtant, dit Rassinier, l'Etat d'Israël continue à réclamer des indemnités pour 6 millions de morts, à raison de 5.000 marks par cadavre (imaginaire)!

 

 

L'émigration à la solution finale

Rassinier affirme catégoriquement que le gouvernement du 3· Reich n'a jamais eu d'autre politique à l'égard des Juifs que celle de les faire émigrer par-delà les mers. Il montre qu'après la promulgation des lois raciales de Nuremberg en septembre 1935, les Allemands négocièrent avec les Anglais l'envoi de Juifs allemands en Palestine, sur la base de la Déclaration de Balfour. Quand ce plan échoua, ils demandèrent à d'autres pays d'accepter des Juifs chez eux, mais ces pays refusèrent (ibid, p.20). Le projet d'émigration en Palestine refit surface en 1938 mais échoua parce que l'Allemagne ne pouvait pas accepter de payer 3 millions de marks réclamés par les Anglais sans obtenir un accord de compensation. Malgré ces difficultés, le Reich parvint à faire émigrer la majorité des Juifs allemands, surtout aux Etats-Unis. Rassinier parle aussi du refus de la France d'accepter le plan allemand d'émigration des Juifs à Madagascar, à la fin de 1940. "Dans un rapport du 21 août 1942, Luther, Secrétaire d'Etat du Ministère des Affaires Etrangères allemand, dit qu'il serait possible de négocier avec la France dans ce sens et décrit les entretiens qui avaient eu lieu entre juillet et décembre 1940 et qui furent stoppés à la suite de l'entrevue de Montoire, le 13 décembre 1940, par Pierre-Etienne Flandin, successeur de Laval. Pendant toute l'année 1941, les Allemands gardèrent l'espoir de pouvoir reprendre ces négociations et de les faire aboutir" (ibid, p.108).

Après que la guerre eût éclaté, les Juifs qui, comme Rassinier nous le rappelle, avaient déclaré la guerre financière et économique à l'Allemagne dès 1933, furent internés dans des camps de concentration, "ce que font tous les pays en guerre avec les citoyens des pays ennemis... On décida de les regrouper et de les faire travailler dans un immense ghetto qui, après l'invasion de l'Union Soviétique, fut installé vers la fin de 1941 dans les 'territoires de l'Est' (Ostgebiete), près de l'ancienne frontière entre la Russie et la Pologne: à Auschwitz, Chelmno, Belzec, Maidanek, Treblinka, etc... C'est là qu'ils devaient attendre la fin de la guerre, pour qu'on puisse reprendre les négociations internationales qui décideraient de leur avenir" (Le Véritable Procès Eichmann, p.20). L'ordre de concentrer les Juifs dans le ghetto des "territoires de l'Est" fut donné par Goering à Heydrich -- nous l'avons dit plus haut -- et était considéré comme le prélude de "la solution finale désirée", c'est-à-dire de leur émigration par-delà les mers après la fin de la guerre.

 


Une énorme escroquerie

Rassinier insiste sur l'exploitation délibérée de la légende de l'extermination pour en retirer des avantages politiques et financiers, et il trouve qu'Israël et l'Union Soviétique sont d'accord pour exploiter ce "filon". Il fait remarquer comment, après 1950, on vit apparaître une avalanche de livres mensongers sur l'extermination, sous l'estampille de deux organisations dont les activités sont synchronisées de manière si remarquable qu'on pourrait croire qu'elles sont conçues de concert. La première organisation est le "Comité de Recherche des Crimes et des Criminels de Guerre" sous les auspices des communistes à Varsovie, et la deuxième est le "Centre Mondial de Documentation Juive Contemporaine" à Paris et à Tel-Aviv. Leurs publications paraissent à des moments favorables du climat politique, et pour l'Union Soviétique, elles ont uniquement pour but d'entretenir la crainte du nazisme pour distraire l'attention de ses propres activités. Quant à Israël, Rassinier considère que le mythe des Six Millions a des motivations purement matérielles. Il écrit dans le Drame des Juifs européens (p .31,39):

"...Il s'agit simplement de justifier par un nombre proportionné de cadavres les sommes énormes versées chaque année à l'Etat d'Israël par l'Allemagne Fédérale au titre de réparation de dommages; cette indemnisation n'a aucune base ni morale ni légale puisque l'Etat d'Israël n'existait pas au moment des prétendus faits; c'est donc purement et platement une question de 'gros sous' ".

"Qu'il me soit permis de rappeler que l'Etat d'Israël fut fondé seulement en mai 1948 et que les Juifs étaient des citoyens de tous les pays, sauf d'Israël, pour souligner les dimensions d'une escroquerie défiant la description dans toute langue vivante: d'une part, l'Allemagne de Bonn verse à Israël des sommes calculées sur la base de 6 millions de morts, et d'autre part, puisqu'il y avait au moins les 4/5 de ces 6 millions qui vivaient bel et bien à la fin de la guerre, elle verse aussi des sommes importantes au titre de Wiedergutmachung (indemnisation des victimes des persécutions du national-socialisme) aux Juifs encore vivantes dans des pays du monde entier autres qu'Israël et aux ayants-droit des Juifs décédés depuis lors, ce qui signifie que, pour les premiers (c'est-à-dire les 6 millions) ou autrement dit, pour la grande majorité, elle paie deux fois. "


Introduction

1.
La politique allemande envers les Juifs avant la guerre

2.
Politique allemande envers les Juifs après le déclenchement des hostilités

3.
Population et émigration

4.
Les Six Millions: documents "probants" (!?)

5.
Les Procès de Nuremberg

6.
Auschwitz et les Juifs de Pologne

7.
Quelques mémoires publiés sur les camps de concentration

8.
Nature des camps de concentration pendant la guerre et conditions de vie dans ces camps

9.
Les Juifs et les camps de concentration: une appréciation de la Croix Rouge basée sur les faits

10.
Enfin la vérité ! L'oeuvre de Paul Rassinier

11.
Conclusion



Did Six Million Really Die?
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