Les crimes de guerre fabriqués calomnient la Nation Allemande
LES FAUSSES PHOTOGRAPHIES SONT EXPOSEES
“Les corps des prisonniers gazés à la sortie des chambres de gaz, avant d’être brûlés.” Un partie agrandie d’une “photographie” prétendue prise à la sortie de une chambre de gaz. La peinture montre un groupe d’hommes sur la droite, un homme avec les bras incroyablement longs et deux coudes, nuages de fumée et un premier plan jonché de “corps.” Il est apparu dans plusieurs livres L’Etoile Jaune inclus et une édition de grand format de La Montée et la Chute du Troisième Reich de Shirer. C’est le “corps” le plus détaillé dans la peinture. Souvent la “photographie” est reproduite dans une petit taille pour des raisons évidentes.
Beaucoup de photographies de l’Holocauste ainsi que d’autres photographies d’atrocités de la deuxième guerre mondiale montrées dans Les crimes de guerre fabriqués calomnient la Nation Allemande peuvent être regardées dans nos bibliothèques publiques, où elles sont présentées comme authentiques. En comparant des versions dans différents livres et en analysant l’éclairage et l’échelle, ce livre étonnant les expose comme contrefaçons. Ils sont le produit de la machine de propagande de la guerre froide de Staline et beaucoup sont simplement des dessins photographiés. Pour exposer la fraude son auteur, Udo Walendy, a été emprisonné en Allemagne. “Nous ne vous condamnons pas pour ce que vous avez écrit, mais pour ce que vous avez omis.” Les crimes de guerre fabriqués calomnient la Nation Allemande par Udo Walendy, 80 pages, 58 b/w photographies, ISBN 1-901240-00-2, 1996.
KZ-guard, victimes du Buchenwald: “Dans le gouvernement de SS, la système parfait de esclavage.” Publié avec ce texte dans Der Spiegel 10.10.1966 No. 42, p. 101. ‘Cette image est fabriquée. L’éclairage du côté gauche de l’image est certainement différent de celui du côte droit. Les contours faciaux des prisonniers sont méconnaissables, tandis que ceux des “SS-Unterscharführer” sont resonnaissabes dans leur moindre détail. Considérant que le prisonnier incliné jette une ombre claire le “SS-Unterscharführer,” lui n’en jette aucune. La partie supérieure de l’uniforme du “garde” (au-dessus de la ceinture) ne correspond pas à la partie inférieure. Il en est de même pour l’alignement des boutons. La main gauche (droite dans l’image) devrait être à l’ombre, tandis qu’elle est en pleine lumière. On n’a jamais permis à SS-Unterscharführer de porter les pantalons d’officiers avec des bottes. Le pistolet est accroché du mauvais côté. Il est peu probable que des prisonniers seraient pendus de cette façon aux arbres, qui au mieux auraient seulement une prise très haut dans la cime. Les personnes accrochées avec les jambes tirées vers le haut sont inexistantes. En janvier 1968, dans le musée du mémorial à Dachau, le rédacteur pourrait voir clairement sur un agrandissement grandeur nature qu’ils ont oublié de dessiner les cordes dans cette image par laquelle les deux “prisonniers” sont censés être accrochés. En tant que tels, ils flottent dans le vide.’
“Les remorques avec les corps des prisonniers, CC-Buchenwald.” Publié avec ce texte dans R. Schnabel, Macht ohne Moral p. 343. ‘Cette image est également fabriquée. C’est clairement reconnaissable en comparant des agrandissements de cette copie et de la reproduction dans le SS im Einsatz Berlin East 1957, p. 193, et Buchenwald – Mahnung und Verpflichtung – Dokumente und Berichte, Berlin-Est, aucune-date. Les roues sont différentes. Les jambes dans la partie arrière ne correspondent pas anatomiquement et perspectivement aux parties avant de corps. Le manque de clarté de la charge contredit la clarté des pièces de la remorque.
‘L’anatomie des “corps” est beaucoup trop petite par rapport à la remorque.’
“Polonais sont forcés de ramper sur la terre dans le ghetto de Lemberg.” Publié avec ce texte dans Macht ohne Moral par R. Schnabel, p. 442. ‘Cette image est également une fabrication. Le 1er indice montre qu’au premier plan il n’a y aucun contour qui va du 1er plan à l’arrière de la photo (jusqu’a la porte). Selon l’éclairage de la maison la lumière vient de la gauche, tandis que les “Polonais” sont éclairé de dos et jettent seulement les ombres entres les corps qui se dirigent au soleil brillant verticalement sur eux (impossible en Pologne). L’agrandissement de la photo indique que le bâtiment n’a jamais existé, comme tous les alignements tordu les uns par rapport aux autres. La recherche de perspective indique que les soldats, la barrière, la lanterne, et la maison sont beaucoup trop grands par rapport au “Polonais” avant à une distance au moins de 10m et pour un photographie frontale, ils se tiennent beaucoup trop “haut.” La tête du “Polonais” rampant qui parle apparemment à la femme, ne correspond pas anatomiquement à son corps du tout et est indépendamment beaucoup trop foncé en comparaison de ses mains.’
“Le terreur dans les aires occupées a comme son premier but l’extermination de la population juive et l’intimidation de tout les résidents qui n’ont pas subi complètement au régime.” Publié avec ce texte dans K. Zentner IIIustrierte Geschichte des Zweiten Weltkrieges p. 490. Un meilleur version retouché était publié dans Der gelbe Stern Lc. p. 96, (La étoile jaune). ‘Une comparaison entre les peintures des pages 26 et 27 montré de façon plus nette la contrefaçon qui sera reconnue d’une image. Toutes les femmes portent quelque chose de différent. Sur une image les sous-vêtements ont un col en V, dans les autres un col rond. La femme sur le côté gauche porte un pantalon en une image et une jupe, qu’elle a relevée, dans l’autre. L’habillement des soldats est dessiné différemment sur la gauche et sur la droite, ce fait là parle assez fortement que la fausse perspective (les tailles des soldats sont trop variables) et de plus la terre est trop inclinée. Toute la situation est complètement irréaliste. Avant une exécution, on ne regarde pas de façon si détendue lors d’une photo de groupe, en plus de cela – comment c’est embarrassant pour les faussaires – elles sont pieds-nu en Lettonie le 15 décembre 1941, avec une température de moins 40°C. Si on compare la culotte de la femme plus âgée sans aucune ombre avec les gilets et les pantalons des autres femmes, mais aussi avec le contraste normal en noir et blanc de l’habillement sur le côté droit et le plan complètement différent du côté gauche, cela montre bien que c’est un dessin et non une photo.’
“Un groupe des femmes avant être fusillées. Sur la gauche de la peinture est Purve Rosa, travailleuse dans l’usine ‘Kursa’ et sa mère à ses côtes. Un photographie de la chef de l’unité Gestapo en Ljiepaja, Hauptscharfuehrer Karl Schrot, le 15 décembre 1941.” Publié avec ce texte dans Verbrecherische Ziele – verbrecherische Mittel par le “Institut fuer Marxismus – Leninismus beim ZK der KPdSU,” Moskau 1963, p. 132.
‘Maintenant nous savons exactement. La femme sur la gauche au deuxième rang lève les yeux, étonnée. Sans hésitation, le journal Der Stern a transféré toute la scène à Ruthénie et la a nommé “Action 1005.”’
Une partie de l’image agrandie de la page 26 (soldat sur la gauche) en comparaison avec une véritable structure osseuse humaine.
1. Basée sur une comparaison de la taille de la tête.
2. Basée sur une comparaison de la longueur du corps.
Pas besoin de faire des remarques.