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[25] (p. 261-270)
[261]
se transformer en professionnel. Sa mère est compositeur et pianiste virtuose. Sa soeur fait de la danse et son mari est un imitateur de premier ordre qui pourrait tenir la scène en empruntant la voix de Louis Jouvet, aussi bien que celle de Michel Simon ou de Joseph Caillaux.
"Quant à Mme Lévy de Tact, elle aime chanter les chansons anciennes avec une diction qui s'apparente à celle d'Yvette Guilbert, et une voix d, un charme incomparable.
"Si M. Lévy de Tact, ambassadeur, appartient à la Carrière, on peut dire que celles de sa famille auraient, si elles se manifestaient en public, un sort fort enviable."
Que de "wunderkinder" n'est-ce pas dans une seule famille?...
Mais de quoi fouetter un chat? Non! Je vous l'accorde! De tels
vaniteux babillages ne peuvent alarmer personne... ne peuvent
déclencher nulle émeute! Certes!... Je vous abandonne
aussi ce ton!... Cette très juive surenchère en
flagornerie... Nous sommes au Congo! ne l'oublions pas!... cette
accablante concentrée balourdise, ce narcissisme si pabouin,
si tropical... Nous n'y pouvons rien... Les échos mondains
(presque tous juifs) tiennent presque tous cette même note,
ce même diapason de foire équatoriale... Tout ce
très mauvais goût nous arrive de la brousse aux calebasses,
par des voies très frénétiques, très
ardentes, très anciennes et tarabiscotées, ne l'oublions
jamais... Cette vulgarité hurlante, trépidante,
abrutissante, vous la retrouverez toujours autour de tous les
tam-tams!... Fatalement aussi dans tous les salons, puisque tous
les salons, ou à peu près tous, sont juifs, autant
de tam tams dits mondains.
Rien n'est plus "monroviesque", plus farce en fait, en pratique, que cette drôle de prétention des salons au "bon goût"... au "raffinement"... Dans n'importe quel salon, en dix minutes d'assemblage, il se commet plus d'impairs, d'horreurs de goût et de tact, que dans tous les Corps de garde de France en dix ans... Le seul fait d'aller dans le monde dénote déjà chez le bonhomme une impudeur de cochon... une sensibilité de bûche. Le Monde, c'est un vrai paradis pour les sapajous exhibitionnistes.
-- Ah! mais, me répondrez-vous, gros pervers dégueulasse vous-même?... Voici tout autant de remarques absolument inutiles, futiles, insolentes et vilaines...
-- Mais non! mais non! pas futiles du tout! Ce puéril "écho" non plus... Ah! l'abominable erreur! Il a sa place dans le Grand [262] Tout. Il n'est pas à mépriser. La pénétration juive, l'infiltration, l'imbibition de juiverie, s'effectue en nappe, concevez!... par mille filets publicitaires... Rayonnants... pondérables... occultes... Ce petit écho dans sa toute suffisante niaiserie, jouera très bien son petit rôle, comme tant d'autres avant lui, semblables... après lui... Il va donner au grand public, parfaitement jobard et cocu, la bonne pensée, que tous ces noms, ces vedettes, et ces mondains et ces radios qu'on lui révèle (tous parfaitement juifs, demi-juifs, ou enjuivés) représentent tout autant [161] d'étoiles dans un certain firmament... adorablement mystérieux... vers lequel il s'habitue à prier... à ne plus prier que "juif". Toutes ses ferveurs, toutes ses prières d'Aryen iront désormais aux Juifs... Un petit écho comme celui-ci... mais c'est un " Ave Maria"... un petit "Ave Maria" de la juiverie... ce n'est pas grand'chose, bien sûr un petit " Ave Maria". Mais c'est avec des millions de millions de ces "Ave Maria"... que les Juifs font tourner la terre... juive... dans le sens juif.
[263]
Dieu donna toute puissance aux Juifs sur
les biens et le sang de tous les peuples.
Le Talmud.
Dans le "Paris-Soir" du lendemain... musant... j'en
découvrais encore deux ou trois... des petits échos
du même ordre... superbes en vérité... sans
effort... Vous les trouverez aussi... si vous les cherchez un
peu... et sans vous donner aucun mal:
"Le Baron de Cahen ou le lyrisme dans les Finances"
"L'Odéon vient de présenter une pièce en vers du baron Léo de Cahen, sur "Sapho et l'Académie de Lesbos", et, aujourd'hui, l'Association France-Grande-Bretagne organise à la Sorbonne une conférence du même baron de Cahen sur Abraham."Tout le monde connaît la situation qu'occupe dans la Cité de Londres le fameux financier qui, même dans ses affaires, n'a pas négligé de mêler un certain lyrisme. Il s'est consacré, en effet, à deux projets grandioses: le tunnel sous la Manche et la voie ferrée du Cap au Caire. Le tunnel sous la Manche. Son histoire mériterait un volume. Ses vicissitudes furent nombreuses; il choquait l'esprit insulaire de la Grande-Bretagne.
"Le chemin de fer du Cap au Caire, fut, lui, commencé. Il n'est pas achevé malgré les efforts de la maison Cahen qui commandita la construction de la voie jusqu'à Kenya et les travaux du fort de Monbassa.
"Le baron Cahen appartient à une véritable dynastie de lettrés et d'artistes. Son frère Alexandre, avait dans son sérail mauresque de Sidi-bou-Saïd, à Carthage, recueilli les mélodies du [264] folklore arabe, tandis que l'autre, Samuel, a composé la musique "des Mille baisers" que le Covent Garden représenta naguère avec succès pendant la saison des Ballets Russes.
«La baronne de Cahen, née de Grand-Bey, est un peintre de talent et son accueillante maison de Piccadilly est l'un des centres où rayonnent sur Londres l'esprit français et le goût parisien.
"Ses petites-filles Sarah, Esther et Rachel, sont les compagnes favorites de jeux de la petite princesse Elisabeth, future reine d'Angleterre."
Je ne vous expliquerai plus rien... J'espère qu'à présent vous savez lire "juif"... Tout au plus pourrais-je, par quelques mots opportuns, souligner les qualités exceptionnelles de ce cru très spécialement riche... le commenter très dévotieusement, comme un grand vin d'une célèbre cuvée. Bouquet d'aromes "juifs" tout à fait précieux... Grande classe!... très riche en "Tunnel sous la Manche"... Intimité monarchique... dynastique!.... soutenu d'ensorcelants parfums exquis de "Cité"... Sérail de Carthage... chemin de fer et ballets russes... "Mille baisers:"... le "certain lyrisme"... le tout très capiteux... très soutenu, très saphique, très enveloppé... sur Paris-Londres... Immense année d'HébraIsme!... Jouissez-vous ?
[265]
Si vous étiez des enfants spirituels d'Abraham vous feriez
les
oeuvres d'Abraham... le père spirituel dont vous êtes
issus
c'est le diable... Et il n'y a point de vérité en
lui.
Jésus.
Vous souvenez-vous?
"Toute la production d'Hollywood l'Infâme... monstrueuse permanente insulte au labeur prolétaire... à toute la vertu prolétarienne... la plus monstrueuse entreprise idéologique de corruption capitaliste... la plus éhontée de tous les âges... Un torrent de navets pourris... bla... bla... bla... Prolétaires! en masses! sifflez toutes ces ordures!... Fuyez les salles obscures, où l'on vous contamine, vous abrutit intégralement, systématiquement!... Ah! Nous ne sommes pas dupes! nous les "responsables" du prolétariat! La pureté prolétarienne doit se raidir contre cet immense danger de souillure! toutes les énergies de saine révolte se trouvent minées par cette mondiale infection!... Toutes ces vedettes, putains surplâtrées dont les salaires astronomiques d'une seule journée de grimaces surpassent bien souvent ceux que touchent plusieurs familles ouvrières misérables! au labeur acharné! pendant des mois!... Quelle honte! Quel défi à notre immense détresse! La collusion des Banques... la complicité des Trusts!... Haro!... Haro!... Cette prostitution, cette dégradation sans vergogne de tous les Arts... de tous les sentiments, ce mercantilisme sacrilège, pourrisseur des élans les plus nobles de la nature humaine... bla... bla... bla... La gangrène cinématographique! Au pilori du peuple!... bla... bla... Nous te retrouverons ma belle! Le complot permanent contre l'esprit sain des masses! bla... bla... bla... le haut idéal des masses!... bla... bla... bla...
[266] "Le cinéma, la pieuvre mondiale des cerveaux... toute la pourriture... autant de ventouses à pourriture que de salles obscures!...
"Le veau d'or d'Hollywood... arrogant, campé sur son Cinéma... "le moulin des obscénités mondiales... bla... bla..."
Qui donc nous renseignait ainsi, à longueur de colonnes?... Mais "l'Humanité", ma chère!... des beaux âges!,... des temps austères!... "l'Humanité " précisément d'avant le "Triomphe des masses "... sous la houlette juive... Vous vous souvenez aussi?... Mais le vent tourne, ma belle, il faut le saisir... Et tous les malheurs à celui qui ne sait pas comprendre!... En octobre 1937, la même "Humanité", sur une tout autre corde, d'un tout autre ton, chante une tout autre chanson... Réjouissez-vous de ce qu'elle pense à présent "l'Humanité", des mêmes farcissures d'Hollywood... (dans ses pages non publicitaires)...
"Dans un genre comme le Vaudeville les Américains préfèrent la naïveté et la candeur à la grossièreté; il faut les en féliciter. Ce sont des qualités qui ont d'autant plus de charme qu'elles ne tuent en rien le mécanisme savant qui doit déclencher en nous le rire le plus "physique". Donc la "Vie facile" est un vaudeville, mais délicieux, frais et cocasse à souhait. Il n'y est pas jusqu'à la "scène du lit" qui ne soit d'une ravissante pudeur. Quant à la loufoquerie, elle a sa bonne part et une scène comme celle du bar automatique en délire et mis au pillage par les consommateurs, peut être classée parmi les chefs-d'oeuvre. Quant à l'histoire, elle ne tient qu'à un point de départ: à la suite d'une discussion, un riche banquier jette le manteau de fourrure de sa femme d'un 20e étage. Ce manteau tombe sur la tête d'une jeune fille, secrétaire d'un journal pour enfants. C'est tout. Mais de ce point de départ les Américains ont tiré toutes les conséquences possibles avec une fantaisie à décourager les imaginations les plus fécondes. Ce manteau de grand luxe donne à la jeune fille de telles apparences que, de conséquences en conséquences, toutes les difficultés vont disparaître devant elle. Elle sera bientôt habillée, logée, nourrie gratuitement. Si elle le faisait "exprès", ça ne réussirait peut-être pas, et ce serait de l'escroquerie. Mais comme elle ne comprend rien à ce qui lui arrive et demeure ingénue... c'est comme un conte [267] de fées. Il n'est pas jusqu'à un prince charmant qu'elle rencontre et qu'elle finira bien par épouser, malgré toutes les situations tragi-comiques où l'a plongée son aventure. On dirait de l'Andersen revu et arrangé par les "Marx Brothers ". Et Joan Arthur, par sa gentillesse naturelle, nous fait croire bien facilement, que tout ce qui arrive à Marie Smith-à-la-vie-facile est chose méritée."
Comme on est devenu câlin, cousin d'Hollywood à "l'Humanité"!
L'on dirait positivement La Rocque prenant ses ordres chez Tardieu..
l'on s'épaule, l'on se comprend à présent...
comme l'on "s'a dans la main"... Le coup n'est plus
du tout le même!... On apprend plus d'une nouvelle en dix
ans!... Seul l'idiot n'évolue pas!... Il suffit un jour
venu, d'un tout petit coup de téléphone... et l'on
se met à se comprendre... tout soudain et le miracle est
accompli... et le plus facilement du monde... Et vous êtes
là.. les fesses en l'air... Vous demeurez vous "masses
de masses"... ruminantes!... dégueulasses!... Vous
comprenez rien!...
[268]
Je voudrais être enculée
sur le corps d'un homme
qu'on vient de guillotiner.
(Rachel à son amant Léopold Lehon.)
Il serait bien surprenant que les Juifs ayant redoublé
d'exactions, de rapines, depuis l'avènement du Front Populaire,
n'aient pas senti venir une petite bouffée d'antisémitisme
en France... n'aient conçu quelques craintes pour leur
avenir immédiat...
Nous pouvions nous attendre à quelque contre-offensive préventive de grande envergure... à très grands frais... Pourquoi pas?... Déjà toute notre presse (droite ou gauche) ne sert en définitive qu'à la défense des intérêts juifs, à la manoeuvre des grands desseins juifs. Le cinéma, toujours si éminemment juif, devait nous donner pour la circonstance, quelques oeuvres très probantes, très remarquables, une apologie du Juif extrêmement pépère
Jusqu'à une époque récente, cette propagande s'effectuait par symboles... insinuations... allusions... coïncidences... par la bande... Voici que le ton change avec la "Grande Illusion"... Tout change! Forte de ses succès politiques, la propagande juive débusque ses batteries, devient catégorique, affirmative, agressive... elle se découvre... Elle nous montre à présent à l'écran le Juif tel quel... non plus en breton, flamand, auvergnat, basque... mais en juif réel, textuel, en "Rosenthal"... Plus de chichis!...
Sans doute, verrons-nous bientôt, dans le même esprit, beaucoup mieux, encore plus insolent, plus impératif. Ce film remporte déjà, hurlant de sectarisme, un immense succès... La colonisation youtre peut foncer désormais "au culot"!... Toutes les digues sont rompues!... La colonisation youtre se fait de jour en jour, plus impatiente, plus despotique, plus susceptible, intransigeante. Dans [269] ce film tout empêtré de dialogues "cheveux-sur-la-soupe" il ne s'agit au fond que d'une seule ritournelle, mais alors passionnément... faire bien comprendre aux masses imbéciles aryennes, bien faire entrer dans tous ces cassis d'ivrognes, que le Juif et l'ouvrier aryen sont exactement créés, mis au monde, pour s'entendre, pour se lier l'un à l'autre par un pacte à la vie à la mort, absolument indissoluble... "C'est écrit".
Dans le cours de ce film, on ne nous révèle chez ce Juif, principal personnage, qu'un seul petit travers, bien véniel à vrai dire, une certaine tendance à l'orgueil, à l'ostentation... petit travers de nègre... vétille... Ce Rosenthal ne nous en paraît que plus sympathique, plus "humain"... et par contre, à son actif, que de vertus! et quelles vertus!... essentielles! les qualités primordiales d'une nouvelle élite, d'une nouvelle noblesse!... Grande générosité, grande clairvoyance, pacifisme frémissant, connaissances générales, tendre prescience du coeur humain... et surtout du coeur populaire!... Oh! populaire!... Infiniment populaire!... D'habitude les films projuifs (ils le sont tous) opèrent, trafiquent, trifouillent l'opinion publique par allusions, suggestions, comparaisons, bafouillages, ils ne nous présentent guère le Juif tel quel, positivement juif, dans son rôle guerrier ou "sozial"... La "Grande Illusion" vient brusquer les choses... Ce film prend date... Il fait passer le Juif de son ombre, de son travesti, au premier plan, au plan "sozial" en tant que juif, nettement juif. La "Grande Illusion" complète admirablement l'exposition juive, la grande Youstricade 37. Avènement du petit Juif au rôle de Messie officiel.
Parfaitement millionnaire ce petit Rosenthal... mais parfaitement "populaire"... Ah! mais populaire encore bien plus que millionnaire!... Il est riche! richissime! remarquez ce petit youtre. Au départ, il a tout contre lui ce petit nabab pour jouer les rôles de rédempteur: dégaine, verbiage, figure... Il a tout du "puant"... l'exact produit surconcentré de la classe abominable... Tout pour être honni, sifflé, pendu recta par le peuple. Parasite absolu, torve produit superjuif, c'est un enfant Stavisky, un cousin Barmat. Il représente intégralement l'abject gibier de réverbère... Toute l'imagerie d'Epinal soviétique joue sur ce prototype. Il représente pour Moscou, pour "l'Humanité", le parfait "spéculant", en pleine insolence de fonction, à en rugir de perfection! l'Ennemi du Peuple incarné... la synthèse personnifiée, le plus méprisable exemple, le plus haïssable, du Capitalisme vampire. Mais erreur, [270] maldonne! Pas du tout! Miracle! Miracle juif! Peuple à genoux! Loin d'esquiver la difficulté... de tricher... le créateur de cette chose aborde au contraire de front (populaire) toutes les incompatibilités du problème. Et tout ce qui semblait inconciliable devient parfaitement, devant nos yeux, harmonieux et probant! Triomphe! Et comment! Haut la main! Tout va bien! La nouvelle vérité coule à flots, à pleines salles obscures... Ce petit Juif Rosenthal n'est pas du tout ce que l'on pouvait imaginer!... quelque capitaliste du même genre que les autres capitalistes... clique d'impassibles brutes, vaniteux, bornés, pompeurs d'entrailles, tous les autres!.... Ah! mais pas du tout,... Attention! Rien du tout d'abject comme les autres... comme tous les exploiteurs aryens... les patrons... les vampires aryens!... Ah! mais!... Ah! mais! Attention Peuple! toujours si prompt à généraliser... distinguons! Finesse! Pas abject du tout ce petit Rosenthal!... Ne confondons pas! Ce supercapitaliste, fils de supercapitaliste ne jouit qu'à regret de ses exorbitants privilèges... Mais oui... mais oui... On ne lui découvre à l'usage, que ce tout petit défaut d'être un petit peu sûr de lui... comme tous les Apôtres... C'est tout... Ainsi voyez-vous... comme il faut se méfier des jugements portés à la hâte!... Ce petit Rosenthal est un véritable petit djibouk et nous ne nous en doutions pas!... Un petit néo Jésus-Christ... Il souffrait pour nous!... et nous ne le savions pas!... Il le dit lui-même: "Jésus, mon frère de race" De nos jours, les Messies ne naissent plus dans les étables, ils naissent dans les coffres-forts... C'est ainsi chez les Juifs... "Milliardaire et Jésus"... Qui s'en douterait ?... (Vous entendrez cependant bien rarement un Juif, si pauvre soit-il, médire des Rothschild... mais tant que ça peut! médisent les Aryens des Wendel!... Chers Masochistes aryens!...) Le prolétariat rabâche déjà très plaisamment l'excellente rengaine... "Le Juif est un homme comme un autre ".
Un peu plus d'entrain, je vous prie! Plus de complaisance! Plus de zèle vers l'indigénat: "Le Juif est un homme plus qu'un autre "! Voilà ce qu'il convient de jacasser désormais!... Perroquets aryens que je vous entende! Sautez à vos perchoirs... et répétez en choeur... "Il est plus!... plus!... plus!..." Ce "plus " est essentiel! il est tout!...
Vous avez à présent compris, je l'espère, Masses de Masses! que le supercapitaliste juif demeure toujours, en toute circonstance, un capitaliste spécial, tout près du coeur du peuple...
Contrairement à la rumeur, les pamphlets ne sont pas interdit par des lois, des règlements ou des tribunaux. Ils n'ont pas été réédités par des maisons d'édition ayant pignon sur rue parce que l'auteur, revenu en France, voulait pouvoir vendre les livres qu'il écrivait alors pour gagner sa pitance. Cette mesure d'opportunité n'a plus lieu d'être après la disparition de l'auteur, en 1961. Personne n'a la droit de soustraire à la légitime curiosité des générations suivantes ce qui a été le noyau incandescent de la littérature française vers le milieu du vingtième siècle.
Le texte ici reproduit est celui d'une édition probablement pirate. Les détenteurs d'une éditions réellement authentique voudront bien nous signaler les éventuelles différences.
D'autres groupes de 10 pages suivront.
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