Citation d´un site juif, 15/11/2005: http://www.upjf.org/actualiees-upjf/article-10527-109-1-sarkozy-juif-air-deja-macina.html:
"Dans un discours prononcé à l’Assemblée nationale, le 6 juin 1936, le député Xavier Vallat s’adressait, en ces termes, au nouveau chef de Cabinet, Léon Blum : "Votre arrivée au pouvoir marque incontestablement une date historique.
Pour la première fois, ce vieux pays gallo-romain va être gouverné par un juif... ».
En 1956, Le Pen reprit ces propos, à l'intention de Mendès-France."
"L’Union des patrons et professionnels juifs de France" (UPJF) a décerné à Nicolas Sarkozy le prix de "l’homme politique de l’année" lors de son "dîner de gala annuel". Une cérémonie marquée par le discours véritablement apocalyptique du président de l’UPJF, le juif Claude Barouch, qui évoque pour les "Français" de confession juive "la nécessité d’"un combat vital pour empêcher, une fois de plus d’être relégué au rang de dhimmi" en France, c’est-à-dire de minorité religieuse dans un pays islamique".
Le ministre de l’intérieur a remporté le prix juif de "l’homme politique juif de l’année" décerné par " l’Union des patrons et professionnels juifs de France" (UPJF), une association juive plus connu pour ses positions pro-israéliennes que pour son action en faveur de la libre entreprise .
C’est au cours du "dîner de gala de l’UPJF", le 30 mars 2006, sobrement intitulé « Meurtres antisémites et appels à l’élimination d’Israël, les Juifs de France face à de nouveaux périls (Paris, Téhéran, Ramallah...) » (sic) que la récompense juive a été décernée au ministre de l’intérieur que les organisateurs ont salué comme celui qui "saura sans doute redonner une nouvelle dynamique aux relations d’amitiés solides qui lient Paris, Washington et Jerusalem". Pour l’occasion, Nicolas Sarkozy avait "spécialement dépêché" son directeur de cabinet, Claude Guéant. Ce n’est pas la première fois que des responsables politiques acceptent l’onction interrogatoire de l’UPJF qui avait déjà auditionné les principaux candidats aux élections régionales d’Ile de France en 2004, ou encore les candidats à l’investiture de l’UMP à la mairie de Paris .
Parmi les 500 invités (!) revendiqués par l’UPJF pour cette "belle occasion" on relevait notamment la présence du "Grand" Rabbin de France, Joseph Sitruk, d’un chargé d’affaires de l’ambassade d’Israël en France, du vice-président de l’Assemblée nationale, Eric Raoult, décidément bien oecuménique , et du socialiste juif Julien Dray que l’on n’est pas habitué à voir fréquenter publiquement les cercles capitalistes patronaux juifs.
Ce parterre éclectique a ensuite assisté au discours du président juif de l’UPJF, Claude Barouch, qui après avoir dressé un portrait apocalyptique de
la France (cf. les extraits ci-dessous et la version intégrale sur le site de l’UPJF), s’est écrié : "le véritable lobby que nous voulons affirmer doit relever un premier défi. Celui qui consiste à assurer l’organisation de la faisabilité des chantiers sur lesquels elle travaille et qui sera la véritable et première démonstration à l’égard de tous, dans la communauté (juive) et dans la nation, que notre détermination est sans faille".
Plus besoin d’aller chercher dans la prose "d’extrême-droite" la référence à un lobby juif, son existence est désormais revendiquée par les communautaristes juifs, au mépris de la tradition républicaine française et sans se soucier le moins du monde de l’influence que peut avoir un tel activisme sur la résurgence de "l’antisémitisme". Il semble que ce courant a déjà choisi son champion pour la prochaine présidentielle. Et celui-ci ne semble pas dédaigner ses soutiens communautaires juifs...
Source: communautarisme.net
Son Le père juif de Sarkozy s’appelait Pal Nagy Bosca y Sarközy. On a appris en décembre 2004, lors de la visite de Sarkozy à Herzliya - où il a fait un grand discours à la conférence annuelle sur le terrorisme - que son grand-père maternel Benedict Mallah, était un Juif ottoman de Salonique (aujourd’hui en Grèce), d’origine ladina [lire : ladino] (juif espagnol, donc "séfarade"), mais converti au catholicisme. On trouve une Henriette Mallah, née Benroubli, parmi les victimes d’Auschwitz. Cette femme était née à Cavalla, en Turquie en 1895. Il n’y a eu apparemment aucune transmission de traditions juives dans la famille de Nicolas Sarkozy, mais il semble bien qu’en vertu de la matrilinéarité [ascendance maternelle]… les organisations juives israéliennes et US considèrent Sarkozy comme juif, puisque sa mère avait cette origine. »
Fils de réfugiés
juifs "hongrois"
(père et mère juifs)
Selon "L´encycolpédia" juive Wikipédia: Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa, est né, en France, le 28 janvier 1955. Sa mére - Andrée Mallah - est une juive séfarade de Salonique et son pére - Pál Sárközy - est un juif séfarade immégré hongrois de Budapeste qui s´est engagé pour 5 ans - comme mercenaire - à la "Légion Étrangère" et fait ses classes en Algérie à Sidi-Bel-Abbès puis démobilisé à Marseille en 1948. Son nom est alors francisé en "Paul Sarközy de Nagy-Bocsa". Devenu publicitaire, il rencontre en 1949 Andrée Mallah, qu'il épouse.
Nicolas Sarkozy naît en 1955. Il a deux frères : Guillaume, né en 1952, futur patron dans le textile, et François, né en 1957, qui devient pédiatre. Lorsque Paul Sarkozy quitte le domicile conjugal en 1959, sa femme reprend ses études pour élever ses enfants. Elle devient avocate au barreau de Nanterre ; elle plaide dans l'affaire Villarceaux. Paul Sarkozy se marie encore trois fois. De son deuxième mariage, il a deux autres enfants : Caroline et Olivier.
Nicolas Sarkozy
passe son
enfance dans le
XVIIe
arrondissement
de Paris puis à
Neuilly-sur-Seine.
Le terme raciste
employé par
Nicolas Sarkozy,
"racaille",
[désignant
les jeunes
arabes et
africains des
banlieues] a
connu son appogé
de la fin des
années 1900
jusqu'à l’été
2003 sur le site
Internet "SOS-RACAILLE"
qui estimait que
depuis "depuis
20 ans, la
France est
colonisée par
les immigrés
afro-arabes". Ce
site, d'abord
accusé d'être
une émanation de
"l'extrême
droite
française"
anti-musulmane,
présenté même
par la presse
comme
"néo-nazi",
était en réalité
fabriqué par un
ultranationaliste
juif, "escroc
multirécidiviste"
surnommé le
"caméléon", Joël
Michel Sambuis,
ingénieur en
informatique
déjà condamné à
Grenoble. Il
sera arrêté le
15 juillet 2003
à Moscou,
(Russie) par le
département "K"
de la Direction
centrale des
affaires
intérieures
(GOuVD) de la
ville de Moscou,
une unité de la
police russe
chargée de la
criminalité liée
aux nouvelles
technologies. Il
est alors sous
le coup de
mandat d'arrêt
international
lancé contre lui
par la justice
française d'au
moins 13 chefs
d'inculpation,
dont celui
d'escroquerie à
la carte
bancaire.
Nicolas Sarkozy,
à gauche, Pierre
Lellouche, au
centre et Israël
Singer président
du
Congrès juif
mondial,
WJC
à
droite.Rencontre
à
New-York,
Etats-Unis,
11, 12 et 13
septembre 2006,
les principaux
représentants
des
organisations
juives
"américaines"
dont Israël
Singer président
du
Congrès juif
mondial,
WJC.
NICOLAS SARKOZY
ET
CONGRES JUIF
MONDIAL :
14
septembre 2006
Nicolas
Sarkozy a
rencontré à
New-York les
principaux
représentants
des
organisations
juives
"américaines"
dont Israël
Singer président
du Congrès juif
mondial, WJC,
qu'il avait
décoré de la
Légion d'honneur
le 3 mai 2004 à
Paris. Nicolas
Sarkozy était
accompagné des
principaux
responsables de
l'UMP, dont le
député
"atlantiste" UMP
et ancien
conseiller
diplomatique de
Jacques Chirac,
le juif Pierre
Lellouche,
président de
l’Assemblée
parlementaire de
l’OTAN,
vice-président
du groupe
d'amitié France
Israël à
l'Assemblée
nationale.
Israël Singer a
souligné que
"les
déclarations de
Nicolas Sarkozy
sur
l'antisémitisme,
la lutte contre
l'islamisme et
les positions en
faveur d'Israël
qu'il a
rappelées au
Président George
W Bush, le
terrorisme
palestinien et
du Hezbollah, ou
sur l'Iran, sont
telles qu'elles
pourraient avoir
été faites par
un leader d'une
d'organisation
juive." Israël
Singer a
également
déclaré avoir
reçu Nicolas
Sarkozy en
leader politique
et candidat aux
élections
présidentielles
françaises de
2007. (Source
WJC, traduction
du 13 septembre
2006). A propos
d'Israël, The
New York Times
rapporte que
lors de la
rencontre à
Washington avec
le Président
américain George
W bush, Nicolas
Sarkozy a
déclaré qu'en ce
qui concerne la
seconde guerre
du Liban : "Je
veux dire
combien je me
sens proche
d'Israël. Israël
est la victime."
Cette rencontre
a eu lieu mardi
12 septembre
2006 en présence
de Cécilia
Sarkozy et de
Pierre
Lellouche,
député UMP, dans
le bureau du
conseiller à la
sécurité
nationale,
Stephen Hadley .
Source:
http://www.fil-info-france.com/actualites-monde/2006_septembre_14.htm
En désignant Nicolas Sarkozy
comme candidat à la
prochaine élection
présidentielle, l’UMP tire un
trait définitif sur son histoire
gaulliste et prend une sérieuse
option sur une probable défaite.
Des candidats de qualité, à
l’UMP, ce n’est pourtant pas ce
qui manque. Avec Nicolas
Sarkozy, c’est tout simplement
la fin du Gaullisme, la fin
d’une époque, une page
importante de l’histoire se
tourne sous nos yeux.
La zizanie, le clanisme, les
luttes intestines n’ont pas fini
de perturber et d’affoler l’UMP.
Si les « Chiraquiens » laissent
passer Nicolas Sarkozy, sans
trop offrir de résistance,
n’est-ce pas pour espérer
l’expédier vers la porte de
sortie ?
Cela ne fait aucun doute :
Nicolas Sarkozy joue sa carrière
politique sur cette élection
présidentielle. Il n’a pas droit
à l’erreur. Ceci explique
sûrement ses énervements
répétitifs même s’il fait
d’énormes efforts pour tenter de
les dissimuler.
S’il était battu, je suis
persuadé qu’à droite beaucoup se
réjouiraient bien plus qu’à
gauche. Les amis ne se
souviennent de vous que quand
tout va bien. Dès les premières
difficultés, ils vous tournent
le dos. Et c’est
particulièrement vrai dans le
milieu très pernicieux de la
politique.
Le Premier Ministre actuel, M.
de Villepin, a marqué sa
différence. Il est aujourd’hui
critiqué par sa famille
politique. A moyen terme, il
risque d’avoir raison. Parfois,
il faut avoir le courage
d’afficher ses convictions
personnelles, même si celles-ci
dérangent ou ne font pas
l’unanimité.
Je suis convaincu qu’au sein de
l’UMP beaucoup doutent sur les
capacités de Nicolas Sarkozy à
rassembler le peuple français.
A l’heure où la construction
européenne piétine, parce
qu’elle n’a de programme social
et politique que celui de
s’ouvrir sans cesse à de
nouvelles Nations issues de la
culture socialo-communiste (où
l’hégémonie américaine sème le
trouble et l’incertitude, le
désordre, le désastre et le
chaos sur terre), et où
La France ne rayonne que
lorsqu’elle reste fidèle à
elle-même, c'est-à-dire une
France libre.
Or, nous savons pertinemment que [le juif et
le sioniste] Nicolas
Sarkozy est un authentique
atlantiste passionnément
admiratif du système ultra
libéral américain, et un
pieux défenseur de la politique
oppressive et colonialiste
conduite par les gouvernements
israéliens successifs. Un
homme excessif dans tout ce
qu’il entreprend.
D’ordinaire, la France est
mesurée dans ses prises de
positions, respectant toujours
ses engagements pris, mais
signifiant clairement ses
différences. Le non alignement
sur les Etats-Unis, lorsqu’il
s’est agi de s’engager ou non
dans une mission aventureuse en
Irak, l’illustre parfaitement.
Avec Nicolas Sarkozy à la tête
du pays, la France serait
enlisée dans le terrain
marécageux irakien. Il est clair
que les partisans de la paix sur
terre vont avoir à se battre
durement contre les nombreux
bellicistes de la planète.
Un homme de paix l’est à
commencer dans le verbe. Il ne
faudrait pas l’oublier, Nicolas
Sarkozy a tenu des propos
douteux à l’encontre de pauvres
citoyens déjà affaiblis et pris
dans les marasmes des dures lois
de l’économie.
La France est une grande
Nation qui a ses spécificités.
Elle compte près de 5
millions de musulmans qui vivent
sur son sol, essentiellement des
ressortissants français ;
l’islam en est la seconde
religion.
La politique « arabe » de la
France est historiquement
connue. Un français sur quatre
est issu de l’immigration. Terre
d’asile politique et d’accueil
pour tous les combattants de la
liberté, la France est également
le pays des droits de l’homme,
des libertés et de l’humanisme,
tant et tant défendus par
d’illustres hommes et
intellectuels ; c’est pour
toutes ces raisons que nous
l’aimons et la respectons.
Communautariste [juif et
sioniste] avéré et partisan de
plus de religion face aux
carences de l’Etat en matière
d’éducation et de solidarité, ce
qui est paradoxal dans une
société laïque, Nicolas Sarkozy
s’est mis une majorité de
républicains laïcs à dos.
Les banlieusards lui ont
également témoigné une grande
hostilité, suite à certains
vocables honteux sortis de sa
propre bouche et à des prises de
position ambiguës sur des sujets
tels que le colonialisme et ses
méfaits.
Est-ce l’effet d’une
incompréhension entre un homme
politique fougueux et une
population réticente, ou la
réaction extrême par rapport à
cet axiome : « On a trop laissé
faire ! » d’un ministre parti
très tôt en campagne ?
L’avenir nous le dira. Son
récent voyage en Algérie, sur
lequel il ne s’est d’ailleurs
pas trop étendu, a permis aux
autorités algériennes –
inquiètes de la montée du
racisme en France – de lancer
une mise en garde contre toute
atteinte physique et morale à
l’encontre des femmes et des
hommes français d’origine
algérienne ou ayant la double
nationalité.
Ce qui prédomine dans tout
cela ne sont pas les idées de
Nicolas Sarkozy. Après tout,
cela relèverait du débat
d’idées : c’est tout l’intérêt
de la démocratie. Ce qui est
préoccupant ce sont les méthodes
et les moyens mis en œuvre par
Nicolas Sarkozy pour créer les
conditions mêmes de son
éventuelle accession au pouvoir.
Les êtres assoiffés de pouvoir –
l’Histoire n’en manque pas –
n’ont malheureusement pas été
des références. Ainsi, Nicolas
Sarkozy a prétendu qu’Alain
Finkielkraut, ce sinistre
individu qui tient publiquement
des propos racistes sans pour
autant être inquiété, incarnait
l’intelligence française, juste
pour s’attirer la faveur des
intellectuels français néoréacs
et à présent maudits, rangés
derrière le raciste notoire
Redeker.
Son choix ministériel ne s’est
pas porté sur le poste de la
solidarité et de l’emploi, par
exemple, mais sur celui de
l’Intérieur. Ce n’est évidemment
pas le fruit du hasard. Un choix
judicieux et calculé qui en dit
long sur ses intentions.
Ses clins d’œil répétés lancés
aux puissants lobbies [juifs]
français, connus de tous, ne
sont pas innocents non plus.
« Je ne me sens pas chez-moi en
France » avait-il dit.
Fallait-il interpréter cette
phrase par « Il y a trop
d’Arabes et trop de Noirs en
France ? » C’est mon
interprétation personnelle. Je
ne puis qu’en être indigné,
triste et révolté.
La crise du logement en France ?
Nicolas Sarkozy est le Maire de
la richissime ville de
Neuilly-sur-Seine. En élitiste
convaincu, Nicolas Sarkozy, pour
préserver son électorat nanti,
se moque de la loi SRU (sur la
mixité sociale, entre autres),
préférant acquitter de fortes
compensations financières plutôt
que de construire des logements
sociaux destinés à accueillir
des personnes issues de milieu
modeste.
Une gifle pour tous ceux qui
luttent pour plus de justice et
de cohésion sociale dans ce
pays. Nicolas Sarkozy aime tous
les Français, dit-il, mais il
oublie de préciser qu’il les
aime selon une hiérarchie
décroissante, en commençant, à
ne pas en douter, par ceux qui
paient l’impôt sur les grandes
fortunes.
Pauvre France. Je me trouve,
comme beaucoup de Français, dans
une position inconfortable,
hésitant et n’ayant qu’un choix
limité par une frustrante
régulation « démocratique »
imposée par les puissants
partis.
Les candidats issus des partis
dominants ne correspondent pas à
mes convictions. Il faudra
pourtant faire avec. L’enjeu
est de taille, malheureusement
les candidats ne me paraissent
pas être à la hauteur des enjeux
nationaux et internationaux à
venir.
Je vais donc revenir à des
principes simples. J’ai une
opinion républicaine de la
France résumée par : Liberté,
Egalité, Fraternité.
Auxquelles j’ajouterai, en mon
nom propre : solidarité,
éducation, justice. Des
valeurs, a priori,
fondamentales.
En conséquence, je voterai
pour la ou le candidat qui s’en
approchera le plus. Il
appartient au peuple de placer
la barre très haut. Mais je suis
de plus en plus dépité, navré
et irrité d’avoir à voter par
défaut.
Décidément, la démocratie se
meurt à petit feu et personne
n’a l’air de s’en soucier. Seul
le pouvoir intéresse nos
politiques. Le XXIe siècle ne
sera pas l’avènement de la
spiritualité, il sera celui de
la fin de la démocratie....
Touhami
Moualek
Auteur de : La Déchirure
- Algérie de mon père, France de
mon enfance
Editions
Osmondes, Disponbile
notamment à la
FNAC, Centre commercial,
Carrefour 93 Aulnay-sous-bois
Sarkozy
Rioters Shout, 'Dirty
Jew!'
Television channel handles delicate
issue by providing fraudulent subtitles
2005-11-13
PARIS, FRANCE --
The website of the Canal+ satellite/cable television network
yesterday posted video news footage of rioting that has now entered its
third week. In it we can see mobs of young immigrants from North and
Central Africa rampaging and shouting. Some appear black, others brown or
tan. As the mob shouts, subtitles provided by Canal+ read: "Sarkozy, fasciste!" ("Sarkozy, fascist!"). However, a close examination reveals the Muslims to be actually shouting "Sarkozy, sale Juif!" ("Sarkozy, dirty Jew!"). This is clearly audible. They can also be heard yelling "Allah u akbar!" (God is great!) and making reference to the "mosque" (into which a tear gas canister landed, supposedly). Interior Minister Sarkozy's mother is Jewish and his father Hungarian. Last week he enraged the fire-bombers by calling them "scum" and "thugs." Sarkozy plans to run in the 2007 presidential election against incumbent Jacques Chirac, and the Jewish community is excited at the prospect. The rioting, and waning popularity of the aging and disconnected French president is expected to provide an opening for the pro-White National Front. As a result, mainstream media are cleverly positioning Sarkozy as the "right-wing alternative." Earlier this year, Sarkozy smeared National Front leader Jean-Marie Le Pen on national television, calling him an "anti-Semite." He also condemned what he called "Chirac's obstructionist stance on the Iraq war." In 2003, Sarkozy was awarded the Tolerance Prize of the Simon Wiesenthal Center for his work in combating anti-Semitism. In his acceptance speech Sarkozy snarled: "Confronted with anti-Semitism, I know only two words. Zero tolerance. You don't explain anti-Semitism. You fight it." |
France: Jews Work to Undermine National Front Media positions Jewish neocon as "darling of the right"
by Jeff Hook
Posted 2004-09-29
Nicolas
Sarkozy, whose mother is Jewish and father an ethnic
Hungarian, is being labeled the best hope of the French
right by controlled media. The French Jewish community is
already getting excited at the prospect - even though the
election may not be until 2007.
Sarkozy announced on Monday that he hopes to run in 2007's
presidential election - against incumbent Jacques Chirac if
necessary.
On the Jewish-owned and produced 100 Minutes TV show, where
he declared his presidential hopes, Sarkozy smeared Muslim
intellectual Tariq Ramadan and the National Front's
patriotic leader Jean-Marie Le Pen as "anti-Semitic" and
"racist." He also condemned what he calls "Chirac's
obstructionist stance on the Iraq war."
As minister for the interior, Sarkozy has threatened to
persecute "preachers who incite violence or call for the
breaking of French law." Referring to Christians and Muslims
who commit "hate speech" by mentioning the Israel lobby. He
also forced police to label attacks on Jewish-owned
buildings "anti-Semitic," rather than vandalism, as was the
case before he became minister.
In 2003, Sarkozy was awarded the "Tolerance Prize" of the
Jewish-supremacist Simon Wiesenthal Center for his work in
"combating anti-Semitism" in France. In his acceptance
speech Sarkozy snarled: "Confronted with anti-Semitism and
racism, I know only two words. Zero tolerance. You don't
explain anti-Semitism and racism. You fight it."
Israelite Sarkozy enjoys easily the highest approval ratings
of any French politician and is said to be a "shoe-in" for
the 2007 race. He has exploited a shrewd understanding of
propaganda to help establish his omnipresence, appearing on
news bulletins almost daily. This media cooperation is
believed to be part of a deliberate strategy to undermine
the National Front after its electoral successes last
year.
The waning popularity of Frances president and prime
minister is of great concern to the Israel lobby as it
provides a dreaded, possible opening for the pro-White
party. That problem and its potential solution was
conveniently highlighted late last year in an opinion poll
which revealed that the powerful interior minister was rated
more highly as a president-in-waiting than either of his
masters. Sarkozy was described as an "excellent" or "good" right-wing presidential candidate by 50% of those
polled for a survey published in the Jewish-owned Le Point
magazine. President Jacques Chirac was seen as a positive
runner by only 40% and the prime minister, Jean-Pierre
Raffarin, got the support of just 24%.
The highly publicized [and suspect] poll also rated
the Jew as the man "most capable of changing things in
France." There's certainly no doubt about that.
January 25, 2007
Radio Islam to French Muslims:
France is Being Run by Zionist
Lackeys
The website of the Swedish
Radio Islam, founded
by the Moroccan-born
Holocaust-denier Ahmed Rami,
posted an appeal to French
Muslims to vote for National
Front leader Jean-Marie Le
Pen in the upcoming
elections. The appeal, authored
by Kamal Khan, reads as follows:
"Appeal to French Muslims: Vote
Le Pen! And don't let yourselves
be manipulated by the lies of
the false propaganda of the Jews,
who want to fight against France
down to the last Arab! The Jews
are in power in France, with
their Socialist-Communist
accomplices and their Freemason
allies… Do not believe the
Socialist-Zionist propaganda
that claims to defend you
against racism, while their
'God', Israel, treats the Arabs
of the Middle East like animals.
"France is not being run by true
French, but by the lackeys of
the Zionist international who
control the economy… Le Pen is
acting to liquidate the forces
of evil that want to enslave
France like they have enslaved
Palestine and numerous other
nations, like the United States,
Germany, Austria, Switzerland,
and the Vatican, which have
unconditionally surrendered to
the blackmail of the Zionist
international. Jean-Marie Le Pen
is fighting to restore the
political independence of
France, to make it a strong,
powerful, and truly independent
country, and to help the
oppressed Arab world, in turn,
break the diabolical chains of
Zionism!"